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ANN« LXXVI
íisííirorfé’ PeUìceV tÓ^Maggìo 1946
N. 19
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ABBONAMENTO
Italia ; Annuale
Estero : »
L. 150,— Semestrali* h. 75,—
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Ogni cambiamento d’imlirizzo costa Lire Cinque - La copia Lire 4,
f^l^uordate alla roccia onde toste
Isola i.I; 1.
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BEI'IAZIONE; Via Siliaud, 7 - liol)liio Pellicc ai l
AMMINISTRAZIONiì: Via Carlo Alliei to, 1 liis - Torre l'ellicea , •. .w ,
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»1.
«...nous sommes ouvriers avec Dieu«.
1 Cor. 3 ; 9.
Evidemment, Saint Paul appliquait cette
phrase au ministère apostolique, mais il me
semble qu’elle pourrait tout aussi bien être
appliquée au ministère de l’éducation. 11 est
en effet reconnu que la mission de la mère à
l’égard de ses enfants a quelque chose de
sublime et reflète, quoique d’une façon imparfaite, l’amour insondable du Père céleste.
Deux traits saillants ressortent de cette
phrase : « Nous sommes ouvriers avec
Dieu » : l’action à laquelle les mères sont
appelées et la foi dont elles doivent et peuvent s’alimenter.
Ouvriers. Pour accomplir sa tâche fidèlement, l’ouvrier a besoin de posséder, en
premier lieu, une grande qualité : le sentiment de s#J rçsponsubifiié. D’ouvrier n’est pas
un esclave. Il doit avoir pleinement conscience de ce que l’on attend de lui. Il doit
aussi posséder une certaine compétence pour
ce qui touche à son travail, afin que son maître puisse lui accorder sa confiance.
De même, si l’éducation est l’oeuvre de
Dieu, elle est aussi celle de la mère. Si Dieu
l’appelle à travailler avec Lui, il est de son
honneur qu’elle réponde à son attente et
qu’elle ne gâte pas l’oeuvre qu’il lui confie.
Tout dépend de son assiduité, de sa conscience, des moyens qu’elle emploiera. L’éducation est un travail : il peut sembler banal
de le dire, il n’est peut*-être pas superflu, cependant, de le rappeler. L’erreur de certaines mères chrétiennes qui ont cru pouvoir
compter sur la grâce de Dieu pour suppléer
à leur inaction éducatrice, s’est douloureusement vue condamnée par ses fruits : l’éducation est avant tout une oeuvre de prière, toutefois ne tentons pas de remplacer par la
prière les efforts qu’il est en notre pouvoir
de faire.
•Mais, de même qu’un ouvrier ne naît p-vs
capable d’accomplir son travail, nous devons
nous-mêmes nous former à cette tâche d’éducatrices. 11 nous faudra acquérir du tact,
de la patience, de la sagesse pour pouvoir
en arriver à d’heureux résultats. Non seulement, mais comme l’ouvrier ne doit pa.s se
laisser distraire, de peur de commettre une
faute qu’il serait difficile de réparer, nous
devrons veiller à notre tâche, en nous rappelant constamment que notre ministère mérite que nous nous y appliquions de toutes
nos forces de réflexion, de conscience et
d’amour.
(I Avec Dieu ». Mais « nous sommes ouvriers avec Dieu)). Cela veut dire que, dans
l’accomplissement de la tâche qui nous a été
confiée, nous ne sommes ni libres, ni seules.
Toute association dans le travail exige ces
deux conditions. Nous ne sommes pas libres
d’agir selon notre propre volonté parce que
nous avons été appelées 5 collaborer avec
un Maître qui est et qui doit être à la fois
avant et au-dessus de nous. Nous ne somme.s
pas libres parce que nous ne sommes pas les
seules à avoir droit au fruit de notre travail ;
bien au contraire, l’objet de nos soins appartient tout d’abord au .Maître, c’est-à-dire à
Dieu. Un des dangers de l’amour maternel,
lorsqu’il est mal compris, consiste en ce qu’il
nous pousse à l’exclusivité. Or. un amour exclusif risquerait de détruife, en peu de temps,
tout ce que nous aurions réussi à obtenir.
Gardons-nous de ce défaut de peur que, au
lieu de travailler avec Dieu, nous ne travaillions contre Dieu. II pourrait nous arriver
de tray^iller contre Lui si. dans le cœur de
nos enfants, ’’nous étouffons ou reffôkfissons
une aspiration de leur conscience. Que de
jeunes; gens, se sentant, app^és ô mettre leur
intelligence et leur cœur au service de Dieu
se sont vus arrêtés par les intérêts purement
matériels de leur famille ! Que de jeunes filles. ayant le désir de se consacrer aux malades ou aux déshérités, reçoivent le « seau
d’eau froide » justement de la part de leur
mère, dont l’amour égoïste ne veut pas les
voir s’éloigner^ ou. «q aacri^ 1, Non, nou‘^
n’avons pas le droit de contrecarrer'les des
.seins de Dieu à l’égard de nos enfants car,
ne l’oublions pas, Lui seul est le Maître !
Si nous ne sommes pas libres, nous ne
sommes pas seules non plus. Cette dernière
constatation est une force et une consolation
en tout temps, mais tout particulièrement aux
heures graves, aux heures de lutte plus pénible. Car elles existent, ces heures-ià, au
cours de l’éducation de nos enfants, nous le
savons toutes fort bien. Alors, le sentiment
de notre responsabilité nous écrase et le cri
de l'apôtre monte à nos lèvres: «Qui est
suffl-sant pour ces choses?».
Mais quelle force, en revanche, si nous
pensons que nous ne sommes pas seules!
Quel repos que de pouvoir recevoir l’aide de
Dieu au moment où nos forces défaillent.
Soit que nous recevions nous-mêmes des lumères et des forces, soit que, en dehor.s de
nous et dans nous, l’action soit exercée directement par Dieu sur nos enfants, nous
savons que c’est à Lui que reste le dernier
mot. C’est Lui qui peut réparer les biêche.s
de notre travail, commencer son œuvre là
où finit la nôtre. Délia Bert.
Dalla Settimana Santa
a Pentecoste
Dalla Settimana Santa a Pentecoste corrono cinquanta giorni.
La Settimana Santa è l’ultima offesa del
peccato contro Cristo e la vittoria di Cristu
sulla morte. La Pentecoste è l’arruolamento
dei credenti sotto la bandiera vittoriosa. La
Settimana Santa è, per i discepoli, un abisso di dolore e un’alba — solo un’alba — di
speranza. La Pentecoste è il pieno meriggio
di una vita nuova, vittoriosa, traboccante, felice; la potenza che fa degli umili operai di
ieri, dei conquistatori di anime, dei gloriosi
pionieri del Regno di Dio.
Tra l’una e l’altra corrono cinquanta giorni sui quali abitualmente la nostra attenzione di credenti sorvola troppe facilmente, come se l’una fosse seguita all’altra naturalmente ed in maniera piana. Tutt’altro ! Durante questi due mesi si sono verificati dei
fatti importanti e caratteristici la cui funzione informatrice nella nostra esperienza cristiana non deve essere trascurata : l’amore
impotente di Giuseppe d’Arimatea, che si fa
complice involontariamente dell’odio altret
tanto impotente dei sacerdoti, che sigiller. n
no il sepolcro eppoi suborneranno le guardie... Le varie apparizioni di Gesù, sospese
tra il reale e l’irreale, il materiale e io spirituale, che non sono dei ritorni alla vita come quello di Lazzaro, che sono tuttavia dei
superamene della morte assai più evidenti,
che gli uni chiameranno gllucinazloni e gli
altri realtà... L’episodio di Pietro che ritorna
all’antico mestiere ed al quale Gesù ricorda
che una volta messa la mano aH’aratro non è
possibile ritornare indietro... Quello di Toma
al quale Gesù persuade che l’onesto neri pu.,
restare a lungo nella incredulità... Lo speitacolo dei centoventi in preghiera nell’alto solaio finché odono il suono del vento impetuoso che soffia e vedono le lingue di fuoco
posarsi su ciascunp dei presenti...
j Non contengono forse questi episodi proprio quelle esperienze che difetta.no a tanta
folla di credenti, giunti nel pellegrinaggio
della loro fede fino alla contemplazione dolorosa della croce, od a quella abbagliante
de) giorno di Pasqua, e che poi si son fermati lì e non son più riusciti a raggiungere
la propria Pentecoste?
Le prossime ^ttimane. adunque, lungi
dal segnare un rallentamento delle nostre at
tività religiose, dovrebbero vedere moltiplicare il nostro fervore, così come la gara nel lo stadio, quando volge verso l’epilogo, vede
i corridori protendersi in uno sforzo supremo
per raggiungere la meta.
Pentecoste, 11 battesimo trasformatore dello Spirito Santo, ,è infatti la meta suprema di
questa fase terrena della nostra vita! All’opera dunque o corridori cristiani affinchè, dopo
esser giunti in prossimità della meta, non ci
arrestiamo e non rischiamo dì perdere il nostro premio ! Enrico Geymet.
DOMENICA I
12 I
MAGG10 ! Q p75 p
1
nel Tempio di
Torre Pellice:
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PROBLEMI DI OGGI E DI DOMANI
Scrivevo qualche tempo fa su queste colonne («Segni dei tempi». Eco n. 12) che
un grave problema si presenta oggi alla nostra chiesa nei riguardi della situazione religiosa italiana, caratterizzata al tempo stesso da un grande fervore cattolico e da una
crescente marea di ateismo o di indifferenza. Ponevo quindi la quistione : è più facile 0 meglio per noi dover afrontare un
popolo cattolico 0 un pòpolo ateo? Correggere la fede o ridonarla?
Riprendo oggi l’argomento, che non mi
pare privo di uno spiccato interesse d’altunHtà e che non sembra destinato ad esaurirsi in una determinata e temporanea presa di
posizione della nostra Chiesa, poiché il domani non sarà che la continuazione dell’oggi, e l’impostazione che essa cercherà di
dare a tali problemi sarà vitale anche per il
suo avvenire.
Mi limiterò a presentare, con qualche lieve considerazione, due punti di vista in antitesi sulla medesima quistione. Sì tratta di
due persone ben lontane fra di loro, con
mentalità del tutto diversa, che noi láscete*
mo parlare : le loro considerazioni ci porteranno un po’ nel mondo politico, e se ciò
può riuscire indigesto a qualcuno dei nostri
lettori, cliiediamo loro venia di questo strappò alla regola, persuasi d’altronde che imo
sguardo nel mondo che ci circonda è pur ne
cessarin ad un cristiano : chi considera la
politica come un male, è pur obbligato di
conoscerla, di valutarla, se vuole affrontarla come avversaria; e se essa è un peccato, non dimentichiamo che essa non è uno
dei minori, e che altri si presentano a noi
sotto aspetti ben più seducenti...
Il signor X, dunque, risiede m una grande città italiana, è un uomo d'affari colto,
I cattolico di nascita, ma amico e simpatizza,n
I te della nostra Chiesa e della nostra opera.
Egli scrive: «Vorrei rispondere, buttando
giù qualche idea, alle sue domande : Noi che
faremo di fronte alle nostre gravi' responsabilità? Ci rivolgeremo più facilmente ad un
popolo cattolico 0 ad un popolo ateo?».
Passa quindi in rassegna la situazione attuale, con acutezza ed originalità, e quindi
conclude con tre punti che riferiamo :
Il I") La Chiesa di Roma non muore, perchè
ciò significherebbe la fine della civiltà occidentale e anche di quella americana. Essa
ha una formidabile capacità di ricupero, che
le permette sempre di fronteggiare qiialsia-'-i
situazione; essa sa adattarsi perfettamente a
tutti i momenti storici, e se pure si trova
attualmente ad una svolta decisiva della sua
storia, il suo pericolo non è più grave di
quello corso in altre circostanze, come ad
esempio al tempo della Riforma; anzi la lotta finirà col rinvigorirla e con l’alimentare
quella linfa vitale cui lei allude. D’altra parte la sua potenza attuale in estensione ed in
profondità le fa accusare solo relativamente i
colpi vibrati dagli avversari e l’edificio non
crolla, per quanto intaccato in qualche,.sua
parte.
g') Credete voi Valdesi di essere immuni
dai pericoli che minacciano la stessa. Chiesa
Cattolica? Lq spirito di disgregazione che si
infiltra in mezzo a voi sotto forma di duitrine sociali materialistiche è assai grave ; e
la vostra Chiesa, come fa la Chiesa Cattolica, deve prendere posizione anche in questo campo : altrimenti essa si troverà un giorno in mezzo a difficoltà oggi impensate o per
lo meno sottovalutate, che appariranno allora in tutta la sua gravità, e forse irrimediabili. I nuovi ordini sociali, che in sostanza
sono una negazione del cristianesimo ed un
avviamento ad un « libero pensiero moralizzante 0 razionalistico », stanno larvatamente
rodendo le basi secolari della vostra fede religiosa. In questo campo, se la Chiesa fa
della politica, non adempie che la sua missione religiosa, e si trova a combattere il
male ed il peccato, che non è soltanto nelle
sale da ballo o nei matrimoni misti, ma in
queste dottrine materialistiche che piano
piano, con arte subdola, sovvertiscono ed annullano la fede religiosa per sostituirvi, sugli altari della ragione, le forze sole deli’uomo...
Combattetele ; è vostro dovere ; e riconoscete che in questo la Chiesa Cattolica combatte la nostra stessa lotta-, le sue vittorie
sono le vostre, poiché sono in fondo le vittorie della croce cristiana; e dovreste rallegrarvene, come di un successo comune.
3) La Chiesa Valdese deve pensare ai propri mali anziché contare su quelli che. presumibilmente, potrebbero provocare lo sfacelo del cattolicesimo. Come la Chiesa Cattolica
lentamente si trasforma e corregge i propri
errori, così anche voi Valdesi^ dovreste cercare di curare, possibilmente con una certa
urgenza, i mali che vi travagliano, rivedendo la vostra situazione religiosa, geografica
e politica, in base alle esperienze che ntn
ci mancano dopo sette secoli di vita e u):
secolo di evangelizzazione in Italia. Io amerei vedere il popolo valdese come lo descriveva alle sue origini il Monastier, semplice,
pieno di fede, senza tanti fronzoli e meno
regolamenti: cosi darebbe affidamento...».
Fin qui il signor X : i suoi punti di vista
sono assai interessanti, per quanto discutibili in alcuni aspetti, e non mancano di originalità. Altrettanto interessante è il punto di
vista del signor Y ; questi è un pastore italiano, residente a New-York da molti anni,
che conosce quindi assai bene la nostra situazione religiosa italiana e quella europea,
e che ha attinto dalle aure del nuovo mondo
il «modus» di concepire i problemi spirituali e materiali, come di prospettarne le soluzioni, con una certa ampiezza di vedute,
del tutto americana, e che a noi chiusi tra
il Granerò ed il Ghinivert può sembrare esagerata. Egli dice infatti : « Non è il caso che
io faccia presente a te che sei in Europa
come il vostro vecchio continente si trovi in
questo momento diviso in due blocchi, che
un giorno o l’altro potranno ancìic dichiararsi pericolosi avversari : quello delle nazioni
occidentali, dietro cui stanno gli Sfati Uniti
e quello dei popoli slavi ; per dir meglio, un
blocco capitalistico protestante ed un blocco
marxistico operaio. Col primo è schieratii,
poiché la politica non conosce parentele, la
Chiesa Cattolica, tutta volta a .salvare il
suo dominio temporale e spiritual? e se mai
ad e.stenderlo. Tu non 'ai infatti quanto grande sia ridiventata in questi ultimi anni l’influenza della Chiesa Romana qui negli Sta
ti Uniti : e se recentemente voi avete udito
che i nuovi cardinali hanno baciato la pantofola del papa, devi pure sapere che qui da
twi la radio, la stampa, il cinema, il governo stesso baciano la pantofola del papa. Il
pericolo è grave e siccome' è vero i' d'tfO :
«a mali estremi, estremi rimedi», il min
pensiero è questo : per la salvezza della vecchia Europa e la sua rinascita ¡o mi auguro che vi abbia a trionfare il b’^ eco marxistico operaio. Cono.sco benissimo le tue obbiezioni ; tu mi dirai che i! ComuniSmo significherà non solo la fine della v'te. religiosa ma anche della civiltà occideuiale; che
porterà la dittatura là dove sE è
lingamenfe
%
sognato la libertà, ccc. lo' ti rispmdo breve-
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L^eOO »ELLE VAIXI VALOBSl
mente in questo modo : se è vero elle il Comunismo è ateo, 0 quasi, non illudiamoci di
essergli di molto superiori, poiché la nostra
vita religiosa come la vostra in Europa, cat^
tolica 0 protestante che sia, pur projessanìdosi cristiana è ben lungi dall'esserlo e le
nuove generazioni crescono atee ed incredule ^
quanto quelle cresciute in territorio sovietico. L’individualismo occidentale ha generato l’egoismo, ed è ’ben lontano dall’essere evangelico, laddove invece una concezio- ^
ne ed una pratica collettivistica come quella
che si verifica in Russia si avvicinano sensibilmente a quella forma di convivenza che
noi troviamo tratteggiata negli Atti degli Apostoli : da questa forse, seppure con il tempo
e dure prove, potrà sorgere quella società
cristiana ohe finora, dopo duemila anni dalla
sua proclamazione, siamo stati incapaci di
realizzare.
La dittatura e rautoritarismo che tu temi
non sono di certo più nocivi, anzi meno, di
quello esercitato sinora, ed avviato ad aumentare della Chiesa Romana ; la dittatura
degli spiriti che essa ha mantenuto finora
sulle nazioni cattoliche e le ha rese le meno
progredite del mondo; lo spirito di conformismo e di rassegnazione che hanno caratterizzato sempre i popoli dominati da Roma ne
sono il frutto più evidente.
Credi a me : nessun consiglio ecumenico,
nessuna unione di chiese potrà fermare il progressivo e minaccioso dilatare del potere papale ; la sola forza capace di opporvisi è il
marxismo ».
« * *
Giudichi ora il lettore : ci troviamo di
fronte a due punti di vista nettamente contrari ; se « in medio stat virtus », c’è un
punto mediano? A quale delle due soluzioni
ci appiglieremo noi, protestanti italiani? 1
pericoli sono due : se è vero che bisogna
scegliere il minore, quale dei due giudichia- ,
mo tale? Per me la risposta è una sola ; essere forti abbastanza per sostituire nella sua
posizione di paladina del Cristianesimo la
Chiesa cattolica, per sostituirla con un Cristianesimo scevro di diciannove secoli di storia : quello delle origini.
Augusto Huoon
Jn Jyiemoriam
A mio fratello, nel 1 anniversario della
.sua scomparsa - 30 aprile 1945.
Anche tu. Armando, quel giorno riuscivi
a stento a dominare quella gioia che ¡’inondava l'animo, la gioia di vivere dopo aver
superato tami pericoli, la gioia che l'immane tragedia che sconvolgeva il mondo fosse
finalmente al termine e quella d’aver combattuto per un ideale ch’era stato raggiunto.
Non t’avevo più riveduto. Eri sceso dalla
montagna, a Torino, coi tuoi compagni, per
l’ultima azione decisiva, pieno d’entusiasmo
e convinto di ritornare. Eri sempre tornato
attraverso le più arrischiate missioni ed eri
sempre tanto fiducioso
M'avevi poi fatto sapere che tutto era andato bene, che stavi bene, che saresti toT'naio
presto.
Ed eri ripartito quel giorno da Torino,
contento e impaziente di giungere su per riabbracciarmi, per raccontare a me, a quelli che
ti amavano, senza spavalderia e senza orgoglio, ma con quel tuo calmo e sereno modo
di dire, tutto quello che era stato laggiù, le
lotte, le insidie, i pericoli affrontati coraggiosamente
Ti attendevo. Ma l’ultima rabbia, la più
criminale, ti fermò m up agguata e con te i
tuoi dodici compagni! Non tornasti più.
...Ti rivedo sempre sereno, sorridente, gli
occhi tuoi puri che esprimevano tanta bontà
e illuminati .come dal riflesso d’una luce interiore. E sento ancora la tua voce dirmi
quand’er.o preoccupata per la tua vita continuamente esposta al pericolo : (( Non preoccuparti, Nina, non essere triste, sono nelle
mani di Dio, lo sai!» Quanta calma e quanta
pace sempre nel tuo cuore! Anche dalla lontana Croazia tu mi scrivevi dopo una Notte
di Natale, passata montando di guardia : «Ho
passato la notte di Natale di sentinella e mentre ero là solo-mi son messo a cantare gli inni nostri che più mi piacciono « Solfo splendido stellato - Calma è la notte, splendono le
stelle, e nonostante qualche sparo qua e là e
il vento che soffiava, a me sembrava che tutto fosse insolitamente calmo : forse la calma
era solo nel mio cuore che non temeva perchè non mi sentivo solo, ma sentivo Dio lassù. nel cielo stellato e vicino a me».
Sì, tu sentivi Dio e amavi le sue vie. Avevi fiducia in Lui, Egli ti ha ripreso con Sè.
perchè forse il tuo compito era terminato su
questa terra. Ed io pur nel desiderio ardente
di riaverti con me, di sentire la tua presenza
affettuosa, nella certezza che lassù tu sei felice nella gloria de! Signore che hai amato,
non vorrei richiamarti quaggiù!
E questa certezza e la speran^ja di fitr<fe:
varti un giorno datino. Armando, 'ài cuore di'
tua creila la pace nel suo dolore^; Jt iil, .J;
■*' NinaIpurci®.. :•
4 Tbrre Pellice - 30 aprile 1946.
Prospettive
Come già a varie riprese è stato detto, la
Costituente dovrà, tra l’altro, affrontare e risolvere il problema dei rapporti tra le Chiese e lo Stato in Italia. Il nostro punto di vista sulla questione è stato già più volte precisato: ne^un privilegio di sorta per nessuna chiesa. Libe'rtà di coscienza, di fede, di
culto, di testimonianza, di organizzazione per
tutte le Chiese nei limiti del diritto comune.
E’ noto il punto di vista cattolico-romano
sulla questione ; La Chiesa Romana si autodefinisce come « la sola vera chiesa » ; per
lei, le altre chiese rappresentano e predicano Terrore. Non è quindi concepibile, date
queste premesse, che la Chiesa Romana, la
quale (almeno nominalmente!' è la chiesa
della stragrande maggioranza degli Italiani e
la quale pretende di avere essa sola il monopolio esclusivo della verità, ammetta, accanto a sè stessa, la possibilità e tanto meno
la liceità di altre chiese che, per essa, sono
nell’errore.
Alla Chiesa Romana noi Evangelici contestiamo appunto e precisamente la premessa assiomatica da cui essa parte e secondo
la quale essa si ritiene la sola vera chiesa.
Non è infatti sufficiente affermare di essere
la sola vera chiesa per esserlo in realtà. Non
basta pretendere di avere l’esclusività del
F. U. V.
tioveiio deiriuiiiaziiii »tr il laliiliiii
(alle Barrióle di Angrogna)
L’argomento da studiare in questo convegno non è ancora fissato in maniera definitiva. I giovani Unionisti del Val Pellice che
desiderano possono suggerircene uno. Saranno preferite le proposte corredate dalle firme
di gruppi di unionisti.
E’ necessario che esse ci siano fatte pervenire presso la Libreria Claudiana in Torre
Pellice entro lunedì 13 maggio.
Per la Commissione Organizzatrice :
Enrico Geymet, Pastore.
mandato divino per averlo veramente e tanto meno, poi, in modo esclusivistico. Ed infine la verità di una qualunque istituzione
non è nè potrà mai essere provata fondandosi sul numero dei suoi adepti o componenti.
Come sarà risolta questa grave questione
dalla Costituente? E’ diffìcile ed azzardato
oltremodo fare pronostici. Vi sono elementi
che potrebbero indurci alTottimismo ; ve ne
sono altri che ci rendono perplessi e dubbiosi. Sapranno i membri della Costituente superare quelli che sono i pregiudizi secolari
ormai così profondamente radicati nella mentalità religiosamente superficiale del popolo
italiano e dargli, con una legge savia e giusta in materia, la possibilità di sciogliersi dalle sue ormai tradizionali pastoie onde poter
accogliere in una atmosfera di vera e genuina libertà scevra da timori artificiosamente,
anche se in buona fede suscitati, Tannunzio
della Vivente Parola di Cristo che, in tutta
umiltà le Chiese Evangeliche vogliono portargli? Lo voglia Iddio !
Comunque — e questo è il punto essenziale che non va mai da noi dimenticato —
con 0 senza libertà religiosa, l’Evangelo deve
essere predicato in Italia e vi sarà predicato
anche a dispetto di tutte le possibili restrizioni e manomissioni. Qui infatti è precisamente in gioco la nostra vocazione cristiana.
Chi ci ha rivolto questa vocazione è Dio. Di
questo noi dobbiamo prima di tutto essere
assolutamente certi. Ed allora noi saremo
altrettanto assolutamente certi che Dio, nella Sua sapienza ci darà i mezzi onde adempiere la vocazione che Egli ci ha rivolta alla
Sua gloria. A noi è richiesto di non confondere mai la libertà che rivendichiamo come
« mezzo », con una libertà che sia fine a sè
stessa e che potrebbe anche risolversi in
ultima analisi, in una comoda posizione di
inerzia.
In Italia potrà forse essere impedita la libera proclamazione delTEvangelo. .Ma sta
scritto che « la Parola di Dio non è intatenata ». Essa potrà anche qui da noi, in circostanze forse attualmente ancora imprevedibili, ma sempre possibili alla fede, far saltare il quadro di ogni costituzione che tenti
di comprimerla, annullarla, addomesticarla.
Di fronte alla apparente impossibilità umana,
noi sappiamo che «ogni cosa è possibile a
Dio ».
Con questa certezza siamo dunque chiamati ad affrontare questa questione : con la
serena, assoluta fiducia in Colui che è il Si
gnore dei popoli e.ideile nàzibtH., I pensieri
di Dio non .sono i nààtri e quello che noi giudichiamo come un bene assoluto per noi non
lo è necessar&mente « agfi occhi dj, Dio ».
Perciò appunto, netìe concrete caiigeni» delle nostre legittime rivendicazioni siamo chiamati a lasciare operare Dio dicendogli con
tutta umiltà : «La Tua volontà sia fatta ». In
fondo Dio potrebbe anche non aver bisogno
del popolo italiano. Ma è assolutamnete certo per contro che il popolo italiano ha un immenso bisogno di Dio e della Sua Parola.
Questa certezza deve stare sulla base di ogni
nostra richiesta onde essa sia jiienamente
giustificata. E. Aime.,
CULLMANN, OSCAR: Christus und die Zeit. Die
uTchristliche Zeit - und Geschichtsauffassung.
Evangelischer Verlag A.G. - ZolUkon Zeli,
pagg, 224.
Un decisivo contributo alla conoscenza storicoteologica del Nuovo Testamento è offerto da quest’opera, in cui l’A. intende dimostrare che Telemento specificamente cristiano del N.T. sta nell’annuncio della infallibile ed imminente parusia,
nell’avvento prossimo e concreto del regno di
Dio, il cui centro è rappresentato dalla predicazione e dalla persona storica di Gesù Cristo. Difficile sarebbe riassumere in poche righe i concetti fondamentali dell’opera di C.. che conosce
con profondità e maestrìa assolute la letteratura
sulTargomento, pur limitando la discussione alle
opere principali (Barth, Weiss, Schweitser, Werner, Bultmann, etc.). Partendo dalla constatazione che l’intera storia acquista la sua determinazione temporale in relazione ad un punto centrale di riferimento, rappresentato dalla persona
del Cristo, l’A. sottolinea a buon diritto che la
concezione delTimminente avvento del regno di
Dio costituisce il cuore della primitiva predicazione cristiana. Nella prima parte, perciò, egli esamina la natura della concezione neotestamentaria
della parusia, secondo cui l’attesa fine del mondo viene fatta coinoidere non solo con un accadimento storico imminente, ma anche come l’inizio delTultimo periodo, cioè del tempo indefinito.
La concezione del tempo, cioè, non è più quella
antica dominata dal criterio della circolarità : ma
assume un carattere di linearità ; la distinzione
fra tempo ed eternità non è qualitativa, ben.sì rappresenta la opposizione tra tempo definito e tempo indefinito (Barth). Il centro del tempo è costituito dalla persona e dalla .storia di Cristo, la
cui essenza storica assume perciò il rilievo di essere il centro della nuova fede. Nella seconda
parte, TA. esamina il valore ed il significato unico ed esclusivo della persona del Cristo nella
concezione della salvezza : per cui t’A.T. appare
come una preparazione al Cristo.
Nella terza parte, TA. esamina il rapporto tra
la storia della salute e la storia in generale, che
poggia sulla affermazione che, dopo la resurrezione. Cristo appare come il signore di ogni cosa,
e che questo dominio si realizza nella Chie.«a.
Que: e sommarissime note sono sufficienti per
indicare che la lettura di quest’opera si raccomanda a tutti coloro che intendono raggiungere una
reale conoscenza storica del Nuovo Testamento.
G. C. B.
J’ai reçu de New-York un charmant opuscule
d’un vieil ami du Collège, le pasteur Pierre Grill
'ou Griglio, si vous préférez).
Il fut mon caporal (ou sergent?) au Collège,
il était en «philosophie« quand j’étais encore en
« réthorique » et ¡e le vois encore à Sainte-Mar.guerite en train de lire «Les Misérables»... vers
la fin du siècle passé !
A ses côtés je vois un jeune homme que les
demoiselles du pensionnat (étaient-elles malicieuses 1) avaient surnommé: « planche à repasser»
parce qu’il se tenait raide et droit !
Le brave révérend a mis à profit ses lectures
et le voilà qui taquine la muse (et ce n’est pas
la première fois 1) et nous a servi à l’occasion du
XVII février un petit cours d’histoire vaudoise
en vers, s’il vous plait !
Je veux Ten remercier sur VEcho en souhaitant
qu’il retourne un jour prochain revoir nos Vallées.
Quelques-uns des anciens compagnons vivent encore et l’accueilleront avec un vif plaisir.
G. Malan.
CB0NACA VALDB8E
Mercoledì V maggio un lungo corteo accompagnava al campo del riposo la spoglia mortale di
Giovanni Coìsson fu Daniele, delle Briiere, spentosi dopo lunga infermità, in età di TI anni. Ebbe
ancora la grande gioia di rivedere prima della
dipartenza il figlio maggiore, dopo sei anni di
lontananza.
Alla vedova ed ai figliuoli, vicini e lontani, rinnoviamo l’espressione della nostra simpatia.
— Presente il capogruppo della FUV, pastore
Gustavo Bertin. e sotto la presidenza del pastore
locale, l’Unione Giovanile Valdese — ohe comprende le tre sezioni di Prassuit-Vernet. Jourdan
e Marte! — si è riunita giovedì sera 2 maggio in
seduta di chiusura.
Dopo Io studio biblico di F. Comba, le tre segretarie Giovanna Bertin, Anita Bertalot e Ada
Gamba, fanno una completa ed esauriente relazione sull’attività delle rispettive sezioni.
Il Capogruppo che si è cosi reso conto del
funzionamento dell’Unione, rivolge ai giovani un
fervido messaggio di incoraggiamento tracciando
^oro direttive per l’attività futura.
Poi, in una atmosfera di conversazione si stabilisce un utile scambio di pensieri tra il Capogruppo ed i giovani, che hanno inframmezzato la
serata di numerosi canti.
vmian S. Gi«»v«inml
Il 25 aprile ha avuto luogo il funerale del signor Guglielmo Malan, deceduto ai Boeri all’età
di 83 anni. Rinnoviamo aila vedova ed ai parenti
le nostre sincere condoglianze e ringraziamo il pa
' ctó ha pfesieduto la ocrij t^oiiill^funeb^', ' à'-;
I — il 27 api^le jè stato celebrai^ nel nostro Tem1 pio il,.matrimqifiio hefìsig. Erinamo Revel. dei Ma; ìan, 4Òn la ^.na Paola Jourdan. di Ghignet di
Bflgheilaste, Ai ^i^^^osi i nostri più affettuosi
, .auguri di felicità e 'di benedizione nel Signore.
Atti LnuRGici. Sabato, 27 aprile, si univano
in matrimonio, sotto lo sguardo di Dio, Pons Renaldo, del comune di Perrero, con Pons Ida, di
Massello. Auguri ai novelli sposi, che si stabili- '
ranno a Maniglia.
Decessi. Il 19 marzo decedeva a Salza, Didier,
Pascal Renato, di mesi 10, dì Augusto e di Tron
Alma, e il 30 aprile Tron Adele, del Roberso, in
età di anni 60, dopo molto sofferenze cristianamente 'sopportate.
•A qdelii che questi lutti ■ particolartnente tfolpisconó esprimiamo il nostro cordoglio e la, nòstra
cordiale simpatia.
Domenica, 12 maggio, sarà inaugurata, alla
Balziglia, una lapide in ricordo della cattura e
della morte di due partigiani di Massello, Giraud
Guido, e Tron Rinaldo,
11 pubblico è cordialmente invitato.
— Domenica 28 aprile, l’Unione Giovanile di
Massello ha avuto la gradita visita di quella consorella dei Campi (Bobbio Pellice). Giornata di
animato e caldo cameratismo, improntata alla più
cordiale fratellanza.
La Chiesa tutta ringrazia quei cari giovani.
rnmmmWm
I culti della Settimana Santa furono imponenti
per la quasi totalità dei fedeli che vi parteciparono.
II giorno del .Venerdì Santo dieci giovani chiesero di ratificare il loro battesimo con la pubblica confessione della loro fede.
E.SSÌ sono: Grill Anita, Grill Elda, Grill Pierina, Garro Francesco, Genre Valdo, Grill Elio,
Peyrot Gino, Peyrot Renato. Rostan Ettore e Rostan Silvio.
Il Signore li aiuti ad esserGli fedeli fino alla
morte,
— E’ stata presentata al Santo Battesimo la
piccola Richard Mirella di Emilio e di Peyrot Alma, di Villa.
Il Signore la circondi e la guidi con la Sua grazia.
»ili«
Sono stati confermati ed hanno fatto la loro
prima comunione i seguenti quarantasei catecumeni : Armand Hugon Davide, Armand Pilon Roberto, Ayassot Renato, Avondet Renato, Bellion
Renato, Bouvier Rinaldo, Giordan Attilio, Gisletti
Giovanni, Maggiore Giovanni, Malan Rinaldo, Maian Guido, Rivoir Giorgio, Rivoira Renato, Simond
Valdo, Angiolillo Franca, Balmas Vanda, Cesan
Michelina, Comba Ines, Cougn Ines, Eynard Aima, Eynard Lilly, Gardiol Edda, Gherardi Pia,
Gottero Jenny, Hugon Germana, Jourdan Alda,
Jourdan Edit, Malan Irene, Malan Serena, Micol
Adriana, Monnet Renata, Oddino Anna. Pasqualetti Giuliana, Paschetto Carla, Paschetto Fernanda, Pasquet Franca, Pasque! Vera, Pontet Nella,
Ribotta Alina, Ricca Ilda, Rivoira Lidia, Roland
Nella, Rostan Ida, Rostan Liliana, Stàllé Maria,
Taglierò Vera.
L’Unione Giovanile Valdese ha festeggiato
nella sua seduta alla vigilia di Pasqua i nuovi
membri^ di chiesa che saranno apprezzate energie
per ogni forma dell’azione cristiana. Anche TU.C.
D.G. ha invitato ad una riuscitissima riunione ad
esse dedi^ta le catecumene, che hanno potuto
sentire di quanta affettuosa simpatia sono stato
circondate in un momento di capitale importanza
per la loro vita religiosa, qual’è il giorno della
loro confermazione.
Invitata dalle tre Associazioni Giovanili del
Centro : F.U.V., U.C.D.G. e A.C.D.G. in fraterna armonia e cooperazione, la numerosa gioventù
della parrocchia riempiva l’Aula .Magna del Collegio sabato sera, dove fu svolto un nutrito programma adatto alla circostanza. Non esitiamo a
dire che ottima fu la serata e che, per lo .spirito
che vi regnò, lasciò una gradita impressione.
— Battesimi : Ricca Mirella di Carlo ; Eynard
Renato di Carlo; Paglieri Nicola di Oscar; Gönnet Anna e Carlo Alberto di Giacomo; Roland
Renato di Remiglio; Taglierò Paola di Roberto.
Il Buon Pastore benedica questi teneri agnelli
della sua greggia.
Matrimoni : Bertalot Aldo di Luigi e Fornero
Maddalena di Antonio ; Poöt Emilio di Pietro (Chahriol) e Eynard Maria fu Giov. Stefano (Tagliarettoc) ; Ce.san Guido fu Michele (Condré) e Ben
Irene fu Davide (viale Dante) ; Cocorda Arturo fu
Umberto (Coppieri Villa) e Rostan Maria fu Augusto (Ravadera). Il Signore benedica questi nuovi focolari.
Sepolture : signorina Alice Peyrot fu Arturo,
SI anni ; signor Attilio Mourglia fu Giovanni, 50
anni; signor Albino Morel di Enrico, 27 anni.
Iddio spanda la sua consolazione nei cuori afflitti.
/ CULTI E LA RADIO
L’orario del culto evangelico, trasmesso da Radio Firenze, è stato modificato, e si può ascoltare
alle ore 18.20.
PRO VALLI
COMUNICATO
Cercansi d’urgenza alcune giovanette valdesi disposte a recarsi in Svizzera come allieve infermiere. Debbono aver compiuti i 20 anni e parlare
francese. Retribuzione immediata ottima. Diploma alla fine del corso. Informazioni presso 11 Presidente Pro Valli. Il Pastore di Rorà.
Z °°°" ^ASeRITÓ RteCA
Autorizzizione N. P 356 dcU'A.P.B.
ITfNo'f ii’O Arti GìTafiche - TiOHRe PbixicF“
Dopo la dipartenza di
OIOVANNI COISSON
la famiglia Coìsson, delle Braere di Angrogna.
con tutti i suoi congiunti, commossa e riconoscente, ringrazia vivamente per le dimostrazioni di
affetto e simpatia ricevute, in questa mesta circostanza. Ed in particolare il doti. Antonio Paltrinietri e Suor Vera Vinçon, per la loro affettuosa
assistenza,
Angrogna, 1» maggio t946.