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igoi^ante’-douzième année
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PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
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- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
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S’adresser: pour la Rédaction, à M. IeI%of. Loüis Micol - TorrePellice — pour
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cement de l’année.
Le numéro: itO centiinei
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Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimable^.., dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
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AVIS.
Comme noms l’avons annoncé déjà, à
la suite de la délibération de là TaW^e, nous
sujyprinwns le premier numéro de chaque
mois.
Notre prochain numéro paraîtra donc
le 13 mars.
^ ^ Hf
pm M ni iKTPRinTiRi;
Les perce-neige.
Nous saisissons cette occasion pour remercier tous ceux qui ont déjà versé le
montant de leur abonnement pour 1936 et
d’une manière spéciale ceux qui ont ajouté
un ( on supplémentaire.
•Les retardataires sont instamment priés
de se mettre en règle.
« Dieu dit : Que la terre produise des végétaux, des herbes
portant de la sentence, des arbres
fruitiers donnant sur la terre,
selon leur espèce, des fruits avec
leur semence. Et il en fut ainsi...
Et Dieu vit que cela était bien ».
Genèse l, 11-12.
Dieu vit que cela était bien ! Tout sort
parfait de l’esprit et de îa main de Dieu":
plus nous étudions la nature avec ses admirabies beautés et ses insondables mystères, plus nous réalisons la grandeur, la
puisiaaPte ét la bonté de Dieu. Tant les
grandes que les petites choses portent
l’empreinte d’un artiste incomparable
devant lequel on ne peut que s’incliner.
J’oteervais, un de ces jours, les premiers
perce-neige de mon petit jardin : le terrain était recouvert de feuilles pourries,
et sous cette apparence de mort, je n'aurais jamais pensé, qu’il se cachât un signé de vie quelconque. Tout à coup, voilà
que quelques-unes des feuilles mortes
semblent se soulever, puis on commence
à apercevoir quelque chose de vert, puis
de b’Ianc. Du règne de la mort se dégage
la vie, au moment voulu par Dieu : c’est un
sçjectacle simple et grandiose en même
temps, qui vous saisit, vous émeut, vous
rend pensifs.,
Les perce-neige qui lèvent nous donnent
une leçon de confiance et d’espérance :
ert un monde désaxé et plein de» pourriture
morale, lia Cause première qui pourvoit
à conserver le germe de la vie æus la terre
gelée et à la faire ensuite apparaître au
grand soteill, conserve dans notre espèce —
dans qüedques-uns de ses représentants
du moins ~ le souffle de la vie de l’Esprit,
et cette vie se manifestera à son heure.
Quand ? Noi:s n’en savons rien, mais cette
heute nous l’appelons de nos vœux les plus
ardents.
Les perce-nedge revenant à la vie nous
font encore penser à la résurrection de
, ceux qui nous ont précédés dans le tombeau : si les plantes conservent leur vie
sous k froide terre et réparai,seeftt auii
premiers rayons du soleil printanier, peuton supposer que les créatures humaines,
que les enfants de Dieu, ne puissent sur^gir de leurs tombeaux ? Pleurs du printemps, dégagez-vous de tout ce qui vous
recouvre, sortez au grand soleil et nous
admirerons vos belles couleurs et jouirons de votre parfum, tout en pensant que
,^vous êtes les gentilles messagères d*une
vie qui se renouvelle sans cesse, qui est
donc éternelle.
J’ai remarqué encore que les perce-neige sortent de la terre avec des fleurs aux
pétales blancs, d’Une blancheur égale à
celle des lis. Ces f curettes ' sont pourtant
là si près de la terre noire et sale ; ©lies
viennent de se dégager des feuilles mortes et pourries, mais à peine ont-elles
pu s’étaler en plein air que toute crasse
a disparu. C’est merveilleux.
lœ chrétien devrait leur,, ressembler :
tout en étant de la terre, tout en ajyant
des ccntiacta avec un monde où règne
l’impureté, il devrait offrir le spectacle
de la crndeur et de la pureté. C’est difficile, sans cloute, mais le naturel du chrétien est semblable à celui des perce-neige :
il doit être et se montrer sans souillure,
quoique issu d’un mqnde où la souillure
est la règle.
, Les perce-neige ne sont pourtant pas
d’une beauté éclatante, mais on les aime,
car ce sont les premières feurs, après ks
frimas, lès premières à défier les dernières
rigueurs de l’hiyer et les surprises fâcheuses du capricieux printemps. Oui on les
note, on les admire, on les aime, parce
qu’ils sont les messagers de 1a beiSe saison
qui va venir.
Cliretiens, comme on nous aimerait si
les premiers nous osions nous .montrer
revetus de droiture, de candeur morale,
du sàjLntete INous ne le f aisons pas, maL
heureusement mai^ nous trahissons notre naturel qui est conforme a la volonté
de Dieu. i :
Lecteur, entretiens-toi un instant avec
tes perce-neige, et peut-être en re;evrastu d’autres leçons.
I! oe pai
La Colonie des Vaudois de Paris est
restée longtemps muette dans les colonnes
de l’Echo. Pourtant — en dépit des pessimistes qui pensent qu’elle ne bat que
d’une aile et pour peu sonneraient sur eie
le Glas — elle existe.
Qui l’aurait vue hier — une ICO” environ
— se serrant affectueusement autour du
pasteur- qui depuis longtemps lui offre,
comme foyer, sa claire sale paroissiale
ou applaudissant les quatre coiffes, se retrouvant avec joie, à l’occasion découvrant, ébahie, des cousins presqu’oubliés ;
qui l’aurait vue répondant généreusement
aux appels variés faits à sa bourse, n’eût
point trouvé que tout cela fût le fait d’une
moribonde. Et qui eût contemplé le joli
bouquet de tout petits, écarquillant leur
yeux ravis devant les gracieuses prc^uctions (de Meurs quasi-contemporaines de
St-Marcel, veirues les égayer, qui eût, vu
une descendante de Vaudois de 4 ans faire
ses débuts de « récitante » sur l’estrade,
aurait pensé : quand les aînés seront rentrés au pays ou partis pour le grand
rendez-vous, ill y aura encore ici pour les
remplacer des jeunes, habitués dès le berceau à venir au chef « XVII ».
Oui notre Colonie vit et veut vivre :
que chacun l’y aide ici et, comme nous
le demandons plus loin, aux Vallées.
Au court culte familier qui ouvre la
fête, M. Appia noiis place devant notre
idéal le merveileux hymne à l’amour
(I Cor. XUI) et le passage I Pierre II,
21-25. Appel vibrant, bien de Saison ici :
« Pour quelques uns laisser ce qui appartient à l'enfance, afin d’adopter ce qui est
de l'hofnme fait, c’est laisser l'Evangile,
l’Eg'’iise, la Parole de Dieu, les principes
chrétiens, tout ce que l’on a reçu dès l'enfa,nce daiis la famille chrétienne ; c’est
adopter un point de vue tout différent,
seul pensent-ils, digne de l'adiüte : « L’important c'est l^'argent, la réussite, la politique, les affaires, la fortune... laissons
aux « enfants » les scrupules, la foi, le
souci d’une vie en accord avec lies principes du Christ ».•
Nous voulons penser que votre présence
ici ^prouve que tel n’est pas votj-e cas.
Et pourtant ce « garde à vous » reste nécessaire et utile pour chacun»...
Avant le thè ¡lecture est donnée de Fappel de l’Echo pour 1a, Semaine de Renoncement. C’est entre l’Eglise et l’Orphelinat de la Tour que se partageront (après
prélèvement d’une petite offfandè pour
lia Société d’Histoire Vaudoise, selon la
demande du Synode), tes 400 fr. de la
Collecte.
On a pensé aussi aux soldats vaudois en
Afrique pour lesquels furent préparées
de petites cocardes triedores et dans
une boîte, discrètement munie d’une fente, furent encore glissés plus de 80
francs. Envoyés par la voie la plus S)ûre
f et la plus rapide ils témoigneront, par
‘ ¡quelque récorifoft matériel et moral, aux
soldats vaudois qui souffrent au loin, des
"è^iséés; de ss^pathie de leurs frèrès
et sœurs de Paris.
Un numéro absolument imprévu du programme fut le charmant petit discours
de la chère « angrognine » M.me Papin,
notre infatigable trésorière, grand chef
de îaliméntatiion etc., pan lequeil, au nom
des Vaudois elle félicite le père de famille
de la Colbnie de sa récente nomination à
la Légion d’Honneur et lui présente le
bel ouvrage de Circonstance: l'Encyclopédie
biblique de Westphal. Ils voulurent même
associer la famille du décoré à ce touchant
geste de reconnaissance. (3,ue les donateurs
absents, trouvent ic^ les vifs remerciements exprimés aux présents.
Scénettes et récitations se succèdent,
moins nombreuses cette année, vu k réduction des entrées en France. Mais tes
petites Cadettes de St-Marcel y suppléent
par de ravissantes rondes costumées et
notre ? (dévouée I chef de chœBr florentine,
M.Ti-3 Piva, a su réunir bien des voix et
fait exécuter dè jolis chants.'
La bellle figure de notre historien disparu, Jean JaUa, et sa visite à notre groupe en mars, sont évoqués avec douleur et
reconnaissance et la publication commémorative étant chaudement annoncée, bon
nombre s’inscrivent.
Eq i’alsence de la coutumière brochure
du XVII un petit choix de livres et opuscules est en vente, notamment le volume
du pasteur Louis Appia, que la presse
protestante recommande chaleureusement
et que nous profitons de l’occasion pour
signaler aux Vallées. (1)
La présence d’un docteur, descendant
des Vaudois émigrés en Provence en 1451
et venu aux Vallées en 1935, rappelfe les
beaux Pèliermages Français et Vaudois
de l'été dernier.
Un message est lu de oordiate confraternité de l'a Coloni© de Genève à la Co
îonie de,Paris
Un message est signé pour notre exprésident, regretté et non remplacé, M.r
Ciolni, retourné à Florence.
(1) Témoin de Sa Résurrection — Contribution
à une étude équilibrée de l’évènement du jour
de Pâques. — Edition * Je sers » - Paris -12 frs.
L’agape improvisée, désormais traditionnelle, garde plus de 20 convives et
la soirée s’achève dans une joyeuse atr
mosphère d’amitié ; entretiens, récitations
et chants.
Plusieurs nouveaux venus à la fête î
une vaudoise de Marseilte de passage à
Paris achète à l’église le Christianisme au
XX" siècle, ou M. Appia fait annuellement
annoncer la fête et elle accourut avec une
compagne italienne ! Mais voici plus curieux : les( repetitions pour le XVII sont
tardives, car' nos jeunes servantes arrivent
des quatre coins de Paris ; l’autre soir
entre 11 h. et minuit on rentre au logis,
sous l’égide de 2 membres du (üomité. La
nuit est glacée et l’on décide de boire
chaiid en route. En avalant debout te café
fumant, on parle piémontais. Dans lia rue
le garçon qui l’a servi, rejoint tes clients.
Il a entendu prononcer : « Pinerolo » et
son cœur a battu. C’est un Vaudois à Paris depuis 15 an®! et ignorant iexistence
de la Colonie ,! Il est là hier tout heureux
et reviendra. Mais fincident nous permet
de demander une fois de pltis avec une insistence renouvelée, que les Pasteurs veuillent bien parler de notre groupement aux
familles et nousi signaler tes arrivants.
La Colònie désire les préserver ^de Fisoleinent. mauvais conseiller, leur être uri
îàyéT aimî . et "chrétien: dans ce grand Paris ,
qui l’est si peu. ' ' Ç; A; ' "“
lo Bars II la Taliia tlaoi ligaa,. le Jaaaiel
Dimanche 16 février, tes étudianfs du
Lycée Vaudois, guidés par leur prof. M.
G. Vinay, ont voulu,, par un acte aymb:lique, commémorer la fête de l’Emancipation et l’héroïsme de leurs ancêtres.
C’est ainsi que, malgré te brouillard et
la neige qui couvrait les chemins, ils se
sont dirigés vers le Bars de la TaiUola, ce
lieu si riche en souvenirs, pour y allumer
un feu de joie, comme symbole de la foi
ardente qui doit enflammer tout bon Vaudois.
Arrivés au Bars, une courte, solennelle
cérémonie a rempli nos cœurs d’émotion ;
d’abord ime prière prononcée par un étudiant, ensuite pendant que nous chantions
de tout notre cœur le Serment de Sibaoud, une couronne de laurier nouée par
un ruban tricolbre, a été jetée dans te
Bars, en signe d’admiration et de reconnaissance envers ces héros de la foi. Un
immense «falò» éfait allturé tmuife,
tandis que de nombreux feux d’artifice
perçaient le voile épais du brouillard. A
l’heure du départ le prof, et les lycéens,
au cri de Janavel : « A la broua » dévalèrent dans la neige et la brume, pour
rentrer à La Tour, juste à temps peur
être à l’Aula Magna où le prof. Vinay
devait faire son éloquente conférence sur
« Les origines du peuple Vaudois ». Une
chorale improvisée d’étudiants, chante le'
Serment de Sibaoud; avec force et enthousiasme. .
Après la conférence, les mêmes étudiants se groupèrent de nouveau autour de
leur professeur qui tes conduisit aux « Vigne » de JanaveL Comme au Bars, une
cérémonie courte et solonneUe fait revivre le souvenir de ce vaillant capitaine.
Nous remercions chateureusement notre
cher prof. Vinay de nous avoir fait revivre avec tant d’intensité le souvenir
glorieux de nos ancêtresi.
• Un Lycéen.
2
SETTPANA^ -RINPZHk^i- ^!S^.?^®’‘^;.“?*‘ M =^2:
Sà“,-'«• ■ ■' r^KlAOA'ïll TW^ïIo.TIA'•To TrA*w(!Qi'wAri4-/^ "T . . "t AÌYftrt'-ii^r'^^T'^' T\-' ■’■Y"''' ■• ' ''■'A"‘*1 ■ riV ■ ' ■ ' ■v /'■ ii'''^' ‘ ■ '"■•■ ''-f'’
'#■' >? De liwü'Dÿa ■(J^re Uti»*’ ,k’!, i,
Chiesa_^-jdi,iVaHecroeia i »e\,>500,—|.1 ^acda >,;' -A r
r'^-.•’?V-:„.«,. . .r^KTAca /llr .'\7riia A XT/^ttawiÌKi^io^'»^' -•^ '«1 -Wv- s >«. ■wJ.m'' -!.ìr. ' —
sy%i, ■ ^
Chiesa" 1^ . ' Via 4 Novembirc^:^'^;^*'.
'■'Boma.'S' vereairento ■" 800,
Chiesa di Piazza Cavour, Roma, * < ■ ^ &
y'A*-,'1® versamento \>“ >> 8158,—^
Matilde Buongiovanni
,S. Giuseppe V, ;
^ Annetta Ctìètabel, imperia .v*« » , ^ 50,—
Anita Pilotte Costalpel, Imperia » •, 25,—
'r ' ' Prcf, Dr. Arni. Hooto e Signora, Civitavecchia » 50,—
Una Signora Luterana » ¿y, 50,-^
Umberto Piva, Perugia » 50,—
Lo Blundo Maria Catona, Cai- “
tanissetta » 10,-—
V<
}ri
BberhanJ'Edmondo, yare^
Capobianco Francesco, Fragneto .l'Ahate ^ >
Marenna" Pacifico, Faicchió '»
Gallo Maria Luisa, Alíñese - ' »
Coniugi Leali ,Rofcierto Gùiidiz-,
zdo ^ »
M. J. Gaydou, La Haye »
‘Signora Hujeteede, La Haiye,
Fr. fr. 50 ' - ' »
Devecchi-Ferrari, Arogno, Fr.
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R. Audisio Bertinat, Lausanne »
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CHRONIQUE VAUDOISE
ANOROQNE. Samedi passé dans le Temple du chef dieu a été célébré le mariage de
Calisson Gîiido de Jean et de Bertalot
Ester de Jean. Aux deux fidèles unionigtes
de notre Union des Jourdan nous exprimons nos vœux chaleureux de bonheur.
R. N.
FLORENCE. L'église vaudoise de Florence a, cette année encore, célébré avec
enthousiasme la date glorieuse de son émancipation.
Dès le matin, au culte ordinaire, les
deux congrégatioipg se sont placées dans
une atmosphère de pieuse attente et, malgré le temps peu favorable, les bénédictions de Dieu sont descendues sur ses
enfants humiliée et confiants.
Le soir, les deux congrégations se réunirent de nouveau dans la chapelle de Via
dei Serragli, qui fut bientôt bondée, pour
entendre de la bouche du pasteur Sommani im discours inspiré sur la vie de
Josué Janavel, en parüculier sur les considérations que l'orateur a su tirer de la
lettre que le vieux héros avait adressée
à ses frères qui allaient entreprendre la
« Gloriqu^e Rentrée ». .Entr'aUtres chants,
la « Chorale » a exécuté le « Rimpat^o »
et un nouveau chœur préparé par Mr.
Sommani lui-même sur les paroles de Néhémie IX, 5-6. Et tous ont chanté, debout,
le « Serm^t de Sibaeud », renouvelant encore une fois la promesse de fidélité au
Dieu de nos pères. phg.
LA TOÜR. La comrrfémoration du XVII
février a laissé un bienfaisant souvenir,
lœ matin du XVII, la partie vaudoise de
notre petite ville présentait te joyeux
aspect des jours de fête. Le long cortège
des enfants de nos écoles, venant de SainteMarguerite, où ils s'étaient réunis, faisait
son entrée dans le Temple, où un public
nombreux, malgré le temps inclément,
attendait. Après l'aillocution du pasteur
M. Fuhrmann qui présidait, un intéressant
programme de poésies et de chants de nos
enfants, que nos maîtresses d'écoles ont
vraiment bien préparés, s'est déroulé durant une heure. Nous savons que le volume en souvenir du Prof. Jean JaHa, qui
a été distribué en raiam d'un exemplaire
par familie, a fait plaisir et beaucoup de
bien...
La commémoration pour 1)esi greindes
personnes a été faite : par un culte de circonstance le dimanche 16 au service du
matin au Temple, où le pasteur M. Jules
Tron attira l'attention du public sur te
rôle du peuple et de l'église vaudoise au
moment actuel — et par une conférence
de M. Gustave Vinay, professeur à notre
Collège, te dimanche soir, à l'Aula Magna,
où il parla devant im public fort nombreux et attentif, sur les origines du peuple vaudois.
Tout s'est passé exactement c'omme tes
autres années — y compris les nombreux
« feux de joie » que la jeunesse a allumés
sur les collines environnantes — rien n'a
été supprimé des manifestations extérieures <îue tes yeux aiment h voir, rien
n’a^ été négligé pour que surtout Tâme
■ vaudoise reçoive de saines et durabtes impressions ; seulement l'agape traditionndle
a esté supprimé. Vu tes moments gravai
par lesquels passe notre égHsé à laquelle
■ ■
nous devons donner 1e plus possible, en
pensant à nos soldats qiii sont exposés en
Afrique à tant de dangers, par sympathie à une vingtaine de familles'qui sont
sans cespe en souci et souvent dans l'angoisse au sujet de leurs bien-aimés nous
avons reniWicé cette année au dîner. Et
nous savons que cette décision a été approuvée’ et louée par la grande masse* de
nos paroissiens.
★ Nous avons eu ces quatre dernières
semaines plusieurs départs pour le grand
voyage :
M.me Lydie Tron veuve Rostan, de l’Armaria, M. Staile Barthélemy, des Gujchards,
M. Jean Daniel Jaüa, des Rouncs, M.me
Fenoglio Margherita veuve Taglierò (Via
Alessandro Manzoni),, M.me Isabelle B'eher Amoulet-, femme de Tex-directeur de
la ! fabrique, M.He Ricca Marianne, de
Rounc Bonjour.
Nous exprimons à toutes les familles
en deuil notre profonde sympathie.
LYON. Dimanche 16 février, te groupe
vaudois Pierre Vajdo se réunissait pour
fêter la date inoubliable et chère à tout
Vaudois, le XVII février. M.Ile Bert qui ‘
présidait nous fit part, avant tout, d'un î
mqsqage fraternel |de nos toompatriotes
vaudois de Genève. Puis eJle attira notre
attention sur les beaux yersets du Psaume
XLVI et denaanda à Dieu de bénir tout
spécialement cette réunion de vaudois célébrant pour la première fois, à Lyon,
l’Edit d'Emancipation du XVU février
1848. Ensuite, M.Be Bert rappela les événements qui précédèrent et préparèrent
cet Edit, les droits importants qu’il accordait aux Vaudois et ses conséquences
bénies pour te peuple Vaudois et son œuvre d’Evangélisation en Italie.
Le message de M.Ue Bert fut suivi par
la récitation d'un de nos enfants qui exprima en vers la joie qu’éprouvèrent tes
Vaudois en 1848 à la nouvelle de leur délivrance, et leur reconnaissance envers te
roi Charles-Albert. Après cette récitation, •
trois membres de notre groupe jouèrent
une pièce vaudoise qui fut vivement ap- ‘
plaudie. Ensuite, une jéune Vaudoise, habillée en costume, donna à chacun des
Vaudois et de leurs amis présents, une petite décoration, c’est-à-dire, une étoile
bleue qui sera désormais l’emblème de notre groupe. .
Puis, après avoir chanté tous ensemble
un de nos beaux chants vaudois, mous
eûmes te plaisir d’écouter ia récitation,
par un de nos‘enfants vajidois, d'une poésie qui évoqua te Wveaiir des plus fameux épisodes de notre histoire vaudoise
et célébra la beauté de nos chères montagnes, de ces fiers remparts, refuge de nos
aïeux., persécuta. . -î
M
Nos voix et nos cœurs de Vaudois s'unirent, ensuite, dans le chant du cantique
de Luther, puissante expression de foi , et
de confiance en Dieu, notïe forteresse et
notite libérateur.
Notre fête se termina par un cordial
message ami, M. Payne, lecteur à- ’
f Université de Lyon, qui exhorta tes Vaudois présents à se rendre dignes de l'histoire glorieuse de leurs ancêtres par une
vie toujours plus consacrée au service de ,
Dieu.
NLASSEL. Qupique te temps ne }'^t pas
'favorisée, là*^fête du XyU février"'a été
^^célébrée avec enthousiasme. Les cultes du
1 dimanche 16, ' nous ont rappelé que ¿’est à
. L Dieu que doivent avant tout monter nos
'actiona de grâce: ils ont été ainsi uñe
^ digne préparation de la fête du* lendeinain. Les nombreux feux de joie, la fête
i pour les enfants, les récitations, la traI ditionnelte soirée, tout à très bien réussi.
★ Notre paroisse a été nouvellement
frappée par le deuil. Le 11 février un
^,,long cortège accompagnait au champ du
i recios ]'3, dépouille mortelte de Susatnne
ï Tron, de la Bateilte, une des doyennes de
la paroisse. '
Le 18 février, la mort tronquait, d’une
façon tragique, la jeune vie d’Humbert
Tron, un de nos catéchumènes. Depuis un
mois soulement il avait été admis comme
ouvrier aux mines de taie des Fontaines.
Mardi matin sur son travail il a été victime d’un grave accident : il a été lancé
sur .es rochers par le câble du funiculaire en mouvement, où il à été reoeuilli
cadavre. lœs funérailles, qui eurent lieu
te 20 courant, dans, l’après-midi, ont été
; imposantes. Les écoles, les organisations
de te. jeunesse, les ouvriers des mines et
, une vraie foute d’amis et de connaissances y prirent part, voulant ainsi témoigner. à* la familie affligée leur profonde
sympathie. La famille Tron nous a chargés
d'exprimer sa profonde reconnaissance à
toutes les personnes qui l’entourèrent de
leur affection pendant tes heures tragiques
qu’elle eut à traverser. Que Dieu, dans son
infinie bonté, veuille soulager la douleur
de nos chers affligés et leur fair sentir
sa divine présence.
PERRIER-MANËILLE. L’assemblée d’église du 26 janvier a réélu les anciens du
Crouset, Bessé, Grangettes, Perrier, Fauleng, Baisse et Laurens dans les personnes de Bounous Louis, Pons Pierre, Pcèt
Jules, Ghigo Alexandre, Chev-if. Pascal
et Pons Louis.
★ XVII février; Malgré la neige qui
tombait à gros flocons au moment du départ du cortège se dirigeant à Maneilte, notre fête a été célébrée avec le plus grand
enthousiasme ; tes enfants de tous íes
quartiers;, même de Crouset, étaient pré.sents. Après la partie religieuse c’est le
tour des enfanta;; les •récitationis, peu
nombreuses mais bien préparées, sont
écoutées avec Ireaucoup. d’intérêt. La nombreuse chorale, dirigée par M. A Pascal,
chante trois cantiques _ de nos recueils et
deux choeurs.
A midi plus de soixante convives se réunissent à l’auberge Micol pour le traditionnel « dîner », après lequel on chante
avec entrain nos chansons vaudoises.
POMARET. Le XVIT février a été célébré dans notre Paroisse avec l'enthousiasme habituel. Malgré le mauvais temps,
dès le matin le programme s'est déroulé
d’une /façon :^très satisfaisante. Le cort^e, le culte au temple, tes récitations et
les chante des enfants et de la chorale,
l’agape fraternelle et la Soirée, tout a
laissé une profonde impression dans l’âme
de ceux qui y ont participé. Nous sommes très obligés à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, ont contribué à la
bonnne réussite de la fête, ainsi qu'aux
nombreuses Autorités qui ont pris part
à notre joie. A cette occasion un télégramme de souhaite pour la Patrie a été
envoyé à S. M. le Roî qui a bien voulu
faire répondre ; « S. M. ringmzixi per la
gradita patriotUca manifestazione. MatUtM ».
★ Samedi dernier, entourés d’un nombre conisidlrab(!|e de parents et d'amis,
ae sont unis en mariage M. Ribet Henri,
de Pierre et de Balmas Suzanne, de la
Paroisse de Saint-Germain, avec M.Ue
Balmas Olga, de Vincent et de Balmas Joséphine (Pomaret). Que Dieu bénisse ce
nouveau foyer.
★ La réunion de dimanche soir, l.er
mars, au centrOj sera présidée, D. v., par
te docteur A. Ribet, pasteur à MasseJ.
PRAHOL. Notre frère Bertalot Henri,
' des AUiers, est décédé te 19 février, à l'âge
de 64 ans. Il a connu pendant ces derniers
mois, la voie de l'épreuve, parfois bien
V'** ' ^ H » «is.
r% > ^ ‘ ^ ^
pénible ; mais il y a marché dans un esprit,,
patience et d’amour. ‘ Maintenant que
' s^s luttes «ont terminées ici-bas, que Dieu
..■J, i-, te; ., ■ I. ■■ ' A,
veuille accorder à la famille en deuil, la
puissance de sa consolation et * de son se- ,
cours. *
★ Notre fête vaudoise a été célébrée, sur
ces hauteurs avec beaucoup d’enthousiasme et de joie. Une, nombreuse assemblée a'écouté, dimânché matin, au culte, la
comm^moratipn religieuse du XVII février-et le chant du Serment de Sibaoud.
Et tandis que le soir de nombreuf et beaux
feux’de joie éclairaient le vallon et tes
blaniches cimes, on entendait ça et là s’élever au ciel l’écho de nos chants, qui vou. laient dire à Dieu notre reconnaissance
et notre fidélité. Ensuite le lundi matin,
au milieu de gros flocons de neige, les enfante ont défi|lé jusqu’au Temple, où ils
ont magnifiquement fait entendre et apprécier leur bonnes voix, par des récitations et des chante. La chorale aiussx à
chanté et, après la commémoration hi.storique, une quarantaine de convives se
sont réunis pour l’agape traditionnelle. Le
soir, une bonne, intime réunion, a clôturé
la fête, qui a laissé dans le cœur de tous
un précieux souvenir. Que le tlamlieau de
la foi resplendisse dans nos cœur.s avec
la même clarté et la même puissance que tes
« falos » qui ont annoncé la fête de notre
liberté.
PRARUSTIN. Nous avons dû reprendre
deux fois te cliemin du cimetière pour
y accompagner les restes mortels de deux
membres de notre Paroisse.
Paul Brosia, décédé a'ux Gayots à l’âge
de 81 ans, le 28 janvier, et Catherine Avondet née Bouchard aux Buffes, à l’âge
de 55 ans. Nous demandons à Dieu de
bénir dans leur épreuve les affligés.
★ Dans la SaJle de la jeunesse, bien remplie, M. le pasteur Bertinatti nous a parlé
de l’œuvre d’évangélisation que notre Eglise poursuit avec persévérance malgré
les difficultés. Nous le remercions pour sa
bonne visite. Ellb nous a fait du bien, et
la preuve en est donnée par l’accueil avec
lequel on l’a reçu dans les paroisses des
Vallées qu’il a pu visiter
★ La journée du XVII s’est déroulée
comme d’habitude.
Nous avons beauceup pensé aux absents,
et surtout aux membres de la famille paroissiale qui sont militaires on Afrique.
Le culte a réuni bon nombre de frères et
d’enfants, mais la neige est venue déranger tes plus éloignés. La Chorale avait
préparé deux chœurs et les enfants eurent leurs brioches, oranges et caramels ;
le soir, belle «soirée Vaudoise», organisée par notre jeunesse. G. R.
RODORBT. Célébration du XVU février. Malgré la neige,'un bon nombre d’enfants, formait te traditionnel cortège, et
à 10 heures le Temple était rempli de
monde, venu de tous les villages de la
paroisse pour célébrer ensemble notre
belle fête.
Après une courte allocution de circonstance, le conducteur de la paroisse donne
la parole aux enfante, qui Avaient préparé
tout un beau programmé* de récitations,
complété par les chants de la chorale.
Une àgaj^e fraternelle réunissait ensuite un bon nombre de personnes aux
Fontaines ; et la fête se terminait par te
chant des beaiux hymnes vaudois. Un sincère remerciement à toutes les personnes
qui ont contribué à la bonne réussite de
la fête.
★ Samedi 22 courant a été célébré te
mariage de Meytre Antoinette, des Fontaines, fidèle unioniste et caissière de notre Union, avec Tron Albert, de Ville de
Rodoret." Nous invoquons les bénédictions
divine sur les jeunes époux.
ROBA. Nous avons eu récemment te
plaisir d’entendre dans notre temple deux
bons messages de la part du prof. Mario
Falchi et du pasteur Jean Bertinatti. Nous
leur en exprimons encore notre reconnaissance. ' ,
La fête du' XVII février, s’est dérotilée
d’une maniéré satisfaisante : grâce à
une soirée organisée par notre jeunesse.'
et à laqueUe participa un public nom
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L’Echo.d^ Vallées !^;^^din8di'28'Vévn&r ,l9BgrÍ¿3[V^ ^
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breux ; et grâce à üià^ cérémonie dans le
temple que la neige qui tombait à gros ’
flocons ne réussit pas à compromettre. ‘
Detix’ réunions missionnaire^'* lie^^ di-^'
,manche soir 'dans lé Temple ^ réunirent;^
aussi de nombreuses assemblées, ♦t*’"
^ Nous recevons de temps à autre de ¡bonnes nouvelles de nos 12 soldats en A. O.
a.uxquels notre jeunesse adresse chaque
semaine douze lettres. '
SAINT-GERMAIN. Le' 17 février a été
■célébré d'uné façon intimement vaudoise :
fête des enfants, dîner auquel participèrent un bon nombre de femmes en
coiffe blanche, une visite à l’Asile des
vieillards, une soirée pour tous. Le dimanche, même les employés ont pu jouir de
se retrouver en famille.
Le beau drame Albori di Libertà a
été vraiment goûté par le public qui a
applaudi de tout cœur les acteurs et les
actrices.
★ Au Lussié est décédé notre frère
Henri Sovlier. Les funérailles ont eu lieu
le 9. Nous sympathisons vivement avec la
famiUe.
★ Les étudiantsi Bosio et Bouchard, '
membres de la Pra del Torno, ont présidé une réimion dans notre Temple. Merci
■du bon message.
SAINT-JEAN. La fête du 17 février,
à été célébrée, malgré lie mauvais
temps, avec la joie et l’enthousiasme
habituels. Au Temple, après l’allbcution du Pasteur, les enfants de nos
écoles nous offi-ent un beau programme de
récitations et de chants vaillamment guidés par leurs institutrices et instituteurs
auxquels nous exprimons notre profonde
reconnaissance.
Ensuite, la Salle Albarin acceuüle
les quatre-vingt-dix con-vives, qui se
réunissent pour l’agape traditionnelle.
A la fin du dîner, après la lecture des dépêches à S. M. le Roi et au Chef du Gouvernement, on écoute les paroles de MM.
le géom. chev. E. Ayassot podestat, R.
Rivoire et B. Gardiol, pasteurs, et G. Ccs■tabel professeur. Nous n’oublions pas nos
chers soldats qui se trouvent en A. O. et
M. F. Caffarel prépare pour eux une . carte cfui sera signée par bon nombre de parents. Et voici pour terminer le chant de
qudquels choeurs vaudoiS. Un raerci bien
cordial aux membres de la commission MM.
F. Marauda, P. Malan, D. PeUenc et Ad.
Coïsson pour leur travail si apprécié et
aux « coiffes » qui ont bien voulu ‘faire
le service. '
Le soir tandis que les « faiOs » brillent
sur les collines, un nombreux public se rend
à la Salle Albarin pour assister à la soirée
organisée par l’Union avec la collaboration
de la Chorale. Un programme varié avait
été soigneusement préparé par les acteuf's
auxquels nous adressons nos meilleures
félicitations.
SüD-AMÉRIQÜË. Le Mensajero VaMense nous apporte la joyeuse nouvelle que
nos frères continuent à consolider l’œuvre
de notre Eglise dans la région du Rio de
la Plata, En 1930, l’élise Méthodiste s’étant retirée de la ville dei Dolores, notre
Eglise resta seule pour y prêcher l’Evangile et bientât en fit le centre de ik vaste
paroisse du département de Soriano. Elle
était entourée de bonnes cobnies vaudoise : Cañada de Nieto, Concordia, Magallanes ét dans le « pueblo » s’établissaient un nombre toujours croissant de
Vaudois.
En 1931, on acheta une maison pour le
Pasteur qui résidait auparavant à Cañada de Nieto, à 25 kibmètres de distancé,
et l’œuvre put s’établir solidemtent. Grâce
au généreux don de la famille HiÜ (Uruguayens d’origine anglaise) qui donna en
outre te terrain nécessaire pour la bâtisse, ®bn construisit un Temple qui fût
inauguré dernièrement et qui ne laisse aü*
cun déficit. ' .
Nos félicitations^ à la paroisse dé Dolores et à son conducteur, te pastetir Jean
Tron, et nos meilleurs vœux pour l’œuvre
magnifique que notre Eglise est appelée
à faire dans le département. G. R.
VALDESE N. C. ' Deux nouveaux deuils
ont frappé dernièrement la Colonie et l’Eglise de Valdese, par le départ de Mes-dames Césanne Meytre et Louise Sarrazi,
filles de feu M. .Jean Jacques Léger, bien
connujau Val Saint-Martin, uü. ii-avait
servi comme « maîtreMîhantre » à Féglise
'de 'Villesèche. , ... y
f M.me Frédéric Meytre^ est.- décédée,
après plusieurs mois de maladie,“à l'âge
de 68 ans, le 29 décembre dernier ; tandis
que sa sœur, M.me Victor Sarrazii déjà,
gravement malade de pneumonie et pieu- <
résie, n'a pu supporter le coup fataS «de ■:
son, départ et s’est éteinte huit jours
' après, à l’âge de 60 ans, le 5 janvier suivant. ‘ . ,
L’une et l’autre, nées à ViHesèche, faisaient partie du premier groupe de fbn- dateurs de la Colonie vaudoise l de Vat.
dese; l’une et l’autre ont quitté cette , vie> ,
sans enfants, plongeant dans le ¡deuil leur
mari, ainsi que deux^ autres sœurs : M.meS
César Peyronel et Alexandre Vinay, et
deux frères : MM. Adolphe Léger, de Con- ;.
neëy Springs, et Humbert Léger. é
Les deux services funèbres ont été ^ré*
sidés par te pasteur M. James H. Caligan
aidé par M. le prof. Jean Pons.
★ Mardi matin, 4 février, les familtes
Bounous, Pascal et Gaydou reçurent, la
douloureuse nouvelle du départ d'ici-bas
de leur sœur, M.me Jeanne Labastie^'
cédée à Cambridge, près de Boston, à l'âge
de 53 ans,ï À la suite d’une délicate opération. • -;•)
M.me Labastie avait quitté les VaEées
en 1902 avec toute sa famille pour rejoindre tes coreligionnaires de la Caroline.
En 1912 elle s’unit en mariage avec M.
Labasfcie ' (Id’pîrigine vaudoise ? huguenote?) ; et dès lors, vécut à Boston, Mass,
et à New-York.
Elle laisse dans te deuil' son rhari et
deux enfants : Jeannette et Albert ; trois
sœurs : M.me Madeleine Labastie de Boston, M.me Marie Pascal, M.me Miriam
■ Gaydou et trois 'frères MM. Daniel BoiU'-'
nous Sén., Jacques et Philippe Bounous,
tous établis à Valdese. L'épreuve rapproche même ceux qui sont éloignés. Nous
aussi ^mpathisons de cœur a’vec tous
ceux qui pleurent,, mais non sans espérance.
VILLESÈCHE. Le XVII février a été,
cette année encore, célébré avec enthousiasme dans notre paroisse.
Dès la veille, tes traditionnels feux dé
joie s’aHumèrént nombreux sur les pentes
de nos montagnes, chaque village ayant
le sien. '
Lundi matin, l’ancien Temple de ‘Villesèche était bondé ; malgré le mauvais
temps on- était accouru des villages les
plus éloignés. Après une aflocutbn du
pasteur, les enfants déroulèrent im progr^me très varié de récitations et de
chants.
A midi, environ soixante-dix convives
prirent part à l’agape fraternelle organisée
par te Consistoire qui, tenant compte des
difficultés actueEes, a su. réduire sensiblement lès dépenses, sans nous priver
de la joie de nous retrouver ensemble.
★ Vendredi, un long cortège accompagnait au Champ du repos la dépouille
morteEe de notre sœur, Marie Lageard
veuve Bounom, décédée à l’âge de 79 ans,
après quelques jours de maladie. Nous exprimons nos condoléances à la famille en
deuü,^
★ Dimanche passé, a été présentée au
Saint-Baptême la petite Peyronel Alma
Henriette d’Emile.
★ Dimanche prochain, le cuEe sera présidé, D. V., par un étudiant membre de la
«Pra del Torno».
Le Cmyegno mensuel des Unions Cîhrétiennes Vaudoises aura lieu te dimanche
l®"" mars à 15 h. à Torre PeHice (Ecole de
Sainte-Marguerite). Le sujet qui sur
la proposition de plusieurs unionistes a
été choisi comme centre de la conversation, est le suivant : « Le jeune imioniste
dans ses rapports avec l’Eglise ». D’autres
sujets intéressants et actuels seront aussi
traités. Les Unionistes des Valées qui
pourront participer à cette réunion y sont
cordialement invités.
GÎaDiii!! imisieln! Mit
" ■■ *» '■ ;•■ ■■'fi.-- ■ ■-*'•'*,•7 '
( Le vohime publié à la mémoire du
vénéré prof. Jean Jalla, Qlanuraa «tHislolrji Vaudols«, est complètement épuisé. (
Considérant qu’après l’épuisement, on a
dû répondre négativement à de nombreux
ses demandes, le Comité a décidé d’ouvrir
une nouvelle souscription du livre, au prix,
de Lires 3,50 le voiume $ assurant la publication d’une nouvelle édition, si la souscription arrivé à 1000 exemplaires. Ceux qui
désirent souscrire, sont priés de le communiquer au plus tôt à l’uh des membres
du Comité: MM, Théophile Pons, prof,;«
Attilio Jalla, profi ; Osvaldo ICoïsson, président de la Balziglia, ou à la Typographie
Alpine S. A. à Torre Pellice, indiquant
exactement le nombre des exemplaires
désirés. Le' volume sera mis en vente au
prix de Lires 5,—.
O O O O O O 0,0 O O O O 0‘ O O O O O
Fails et Nouvelles.
Angleterre. La Conférence universelle
pour le christianisme pratique (2® Stockholm) est fixée au 12 juilet 1937 et durera jusqu'au 26 judlltet Eie aura lieu à
Oxford. Les Eglises du monde entier (Rome
exceptée) y seront représentées par-300
délégués,, ,1e Gojnseil œcuménique en désirera 1ÓQ, choisis parmi dçs laïques et
des spécialistes.
John Rockefellèr a fait savoir que la
grosse contribution qu'il a versée jusqu'à
présent à l’une des principales Eglises américaines serait dorénavant versée en faveur
du travail international des Eglises afin
d’encourager tes EgEses qui mettent au
premier rang de leurs préoccupations îunité chrétienne, l’amour pour Dieu réalisé
dans la vie de la chrétienté.
(Evangile et Liberté).
" Espagne. Une cérémonie,^ reliigteuse a
eu lieu récemment à Madrid dans te temple
du Rédempteur, pour célébrer te centième
anniversaire de l’arrivée dans la pénin-^
sute ibérique c’iest-à-dire d’abord au Portugal, de Georges Borrow, qui, envoyé par
la Société bibîSque britannique et étrangère' tradtiisît la Bible dans les diverses
lapgues de LEspagne et ouvrit un magasin biblique à Madrid.
(Journal Réügieuxi).
Dans le protestantisme e^agnoi. A Madrid on vient d’ouvrir une faculté de théologie protestante à laiquelte s’intéressent
toutes les Eglises protestantes travaillant
en Espagne. S. P. P.
* * S:
France. Dans une récente rencontre
de protestants altemanda et français à
Tre3^, le pasteur Lauga, de Paris, a caractérisé comme suit te protestantisme en
France. Il est une minorité, mais il est
conscient de sa responsabilité. Sa puissance
d’action s’augmentera si la réunion projetée des trois Eglises réformées se réalise, et si celles-ci proclament leur foi dans
une confession. Le renouveau théologique
apparait dans l’accueil que le néo-callvinisme et le christianisme social trouvent
auprès des pasteurs et de la jeunesse théologique. Le lîbéralssrbe théolOgique n’est'
presque plus qu'un souvenir. La tiédeur
spirituelle d’autrefois a dispatu. Partout
nous voyons les signes d’un téveill profond, La vie intérieure est cultivée, les
sacrements sont mieux compris^ la réalité
de l’Eglise et te prix de la liturgie sont
mieux appréciés. Les protestants peuvent
envisager l’avenir avec confi^lnce. (D’après
le Schweiz, evang. Pressedienst).
• « •
Suède. Souvenirs de Nathan Sôderblom.
I A l’occasion du 70' anniversaire de la naissance de l’archevêque luthérien N. Sôderblom, te «Christlicher Volksfreund» évoque
I quelques souvenirs de ce grand homme
i d’Eglise de notre temps. Les suivants nous
; intér^sent tout particulièrement. Il s’a! git du temps où N. Söderbtem était étudiant à Upsal ; « H venait d’être nommé
président de l’U. C. J. G. Il remplit ce
poste avec un complet désintéressement
et un grand plaisir. «Onde Behnstrëm»
un vieux cordonnier,, qui était im peu le
! pasteur de ses jeunes amis, et Sôderblom
■ étaient tout particulièrement liés. «Naj than tu as bien parlé, fl y a là quelque
' chose à apprendre pour moi ». Co genre
î de louanges procurait beaucoup de joie
au jeune étudiant ; mais on pouvait aussi
entendre: «Non, mon cher Nathan, cè
n'est pas là la pen^ de Dieu, ce sont tes
propres réftescions. Eltes: ne servent plus
à grand’dhose quand viennentîtes difflcultée », Le cordonnier vécut bien de$
années ¡eneore. Soderbtem déveûu arché-vêque et célèbre rendit régulièrement visite, malgré ses occupations, à son vieil
ami, habitant Svartbacken, dans la banlieue d’Upsal, au cours de sa dernière maladie. Entre eux, ils s’adressaient toujours la parole : « Toi, Nathan » — « Toi,
(Xidb Behnsteromi »,
(Seròipe d’Inforymtion des U.C.J.G.).
!i¡ * m
iLe ministère ^ du journalisme chrétien
d’après'l'arwten’ iiiuÿXiBnot devenu Christ
et France. « Le journalisme tel que. nous
te concevons, dans tes modestes Imites
où nous devons l’exercer, nous apparaît
comme un véritable ministère, non moins
sacré et non moins redoutable que 1e ministère pastoral. Ah ! s’il était possible qu^un
jour quelqu’im passant en revue tous nos
lecteurs tes interrogeât et dît à l’un
« Qui t'a ramené de ton égarement » ?...
— à ïautre : '« Qui t’a affermi dans le droit
chemin»? — à un autre encore: «Qui
a chassé de ton esprit cette mauvaise
pensée »? — à l'alffligé : « Qui, dans ce
jour de deuil, t’a consolé »? — au malade :
« Qui, dans cette heure de souffrance, t’a
fortifié »? — au pauvre : « Qui t’a rendu
patient »? — au riche : « Qui t’a rendu
charitable » ?... te vœu le plus ardent de
notre cœur serait que chacun, comptant
notre humble publication au nombre des
instruments employés par Christ dans
l’œuvre de son salut, pût répondre : « Par
la grâce de Dieu, Le Huguenot » t Dieu
ne se sert-il pas des choses faibles pour confondre l'es fortes et de ceEes qui ne sont
point pour confondre ceEes qui sont»?...
« * *
L’Eglise et l’Etat en Engieterre. En
1927, le Parlement anglais à repoussé la
proposition de l’Eglise tendant à 1^ révision du Prayer Book (liturgie). La-dessua les évêques avaient de leur chef autorisé d’urgence et à titre provisoire les remaniements indispensables. Voici maintenant qu’une commission désignée par
les archevêques établit sur une base toute
nouvelle les rapport de l’Eglise et de l’Etat. Elle exige une plus grande autonomie
de LEglisie en màhière de doctrine et de
culte. La législation ecclésiastiqùë ne doit
plus dépendre du parlement,‘‘ mate du roi,
pour autant qu’il s’agit de modifications
de l’ordre spirituel. Une séparatioii de l’Eglise et de l’Etat ne leur paraît par contre
pas désirabte, U'
Cette tentative d’évincer le parlement
n’est pas sans susciter une assez vive
opposition. S. P. P.
AUX CORRESPONDANTS.
J. M. Reçu bon article. Au prochain numéro.
D. R. - Marseille. Noœ avons reçu le cliché, mais le compte-rendu est arrivé
trop tard pour ce numéro.
Les Livres
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sur lia foi - Quatrième centenaire de
la Réforme (1536-1936),
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genevois flu Jubilé de la Réforme 1936 et
de la Société Calviniste de France.
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des Editions calviniennes - 11, Rue de
Beaumont - Genêva
Une émission Radio sur « Les Vandois d'Italie» en Hollande.
On nous écrit de la Haye que le 15
courant, Mademoisele Mary Pos a prononcé par radio un discours sur tes Vaudois
d'Itaîie.
Après avoir donné quelques nouvelles
générales l’Eglise Vaudoise, M.Iite Pos
a .parlé de la situatbn actuelle des Vaudods
en Italie, et a eu des paroles d’admiration
pour la politique religieuse du Duce, dont
elle est une grande admiratrica
Nos Amis de Hollande se sont réjouis
de cette nouvelle opportunité, qui a permis de faire connaître à un nombre toujours plus grand de leurs concitoyens, l’Eglise Protestante la plus ancienne du monde, à laquefle depuis des siècles ils s’intéressent et à laquelle S, M. la Reine des
Pays-Bas a donné plus d’une preuve d'estime et d’intérêt. David Pons.
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BIELLA - Clilesa : Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario.
BORDIGHERA - Cliiesa : Plani di Vallecrosia
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Valdese.
BRESCIA - Oiiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore :
Enrico Meynier, fvL
BRINDISI - CSiiesa Valdese : Via Congregazione - Da Taranto.
ciLTANISSETTA - Oiiesa : Via Maida, 15 Da Riesi.
CATANIA - Oiiesa ; Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Balma, ivi.
CERliGNOLA - Qiiesa Evangelica - Pastore :
fi3t. Castiglione.
CHIETI - tSiiraa Evangelica.
COAZZE - Clhiesa Evangelica - Da Torre Pellice.
COMO - CJiiera : 'Via Rusconi, 9 - Pastore ;
G. Miegge : Via Luigi GuancUa, 14
■(X)RATO - Chiesa Valdese : Corso Mazzini, 27 Pastore : A. Miscia, ivi.
PffiLONiCA PO - CSiìesa Evangelica - Cand.
Ministero E. Ayassot.
FIRENZE - Clilésa di Via de’ Sèrragll, 51 Chiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore : Virgilio Sommani - Coadiutore : Pastore T.
Vinay.
FIUME - Chiesa : Via PascoU, 6. Culto alle
ore 10 - Pastore : Valdo '^inay, presso sig.
Wiltsch, Via Baccich, 5.
FORANO - Qiiesa - Pastore : Paolo Coisson,
Forano Sabino (Rieti).
GENOVA - Chiesa : Via Assarotti - Pastore :
Emilio CorsanI, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa - Girotte (Ag'rigento) - Da
Caltanissetta.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’Arml.
LIVORNO - Chiesa ; Via G. Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivL
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi. 18.
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : Via Maddalena, 57,
isolato 147 - Pastore : Seiffredo Col ucci.
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILANO - Chiesa : Piazza Missori, 3 Pastore
omorito V. A. Costabel, Via A. Da Giu®sano, 23 - Coadiutore : Cand. TeoL V. Su
billa.
NAPOLI - Chiesa - Pastore : Mariano Moréschlni, Corso Vittorio Emanuele, 42 (presso
Dott. Ricciuti).
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese-405 West,
41 Street - Culto principale : 4 P. M. — Pastore Pietro Griglio : 18 West - 123 Street.
NIZZA - Chiesa : Rue Gioffredo, 50 - Pastore :
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA DI PUplLlA - Chiesa Valdese - Da
Oerignola.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Pastore : Alfonso Alessio.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :
Elio Eynard, ivi.
PESCOLANCIANO - Chiesa Evangelica.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore : Davide
Pons, Istituto Femminile Valdese.
PIEDICAVALLO ■» Cliiesa : Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa : Via Derna, 15 - Pastore : P.
P^rOnel - Via Santa Maria, 85.
REGGIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marco ;
Via Possldonia, 4 - Pastóre : Enrico Pascal,
Via Possidonia, Casa MedicL ’
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore : Umberto Bert.
RIO MARINA - Chiesa Evangelica - Da Livornó.
Roma - chiesa di Via Quattro Novembre, 107 Pastore : Giovanni Bonnet, ivi - Chiesa dì
Piazza Cavour - Pastore : Bado Bosiq, Via
Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARENA - Chiesa': Vìa Giòsuè Carducci, 16 - Pastore: Carlo Lupo, Via G. B.
Monti, 25-5.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangelica - Anziano-Evangelista Scarinci
Giuseppe, ivi.
SANREMO - Chiesa; Via Roma, 8— Pastore:
Ugo Janni, ivL
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Cliiesa Valdese: Via S. Domenico, 5
- Pastore : Eugenio Revel, ivi.
SUSA - Chiesa : Via Umberto I, 14 - Da Torre
PelUce.
TARANTO - Chiesa ; Via iPupino, 16-20 (angolo
Via P. Di Palma) - Pastore : Gustavo Bertin, Corso Umberto, 76.
TORINO - Chiesa : Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore :
Alessandro Simeoni, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori ; Pastore emerito Augusto Jahier e Cand. 'feol. E. Micol, ivi.
TRIESTE - Chiesa: Via.S, M. Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa : Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Giov. Bertinatti, ivi.
VERONA - Qiiasa ; Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia,
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore': Arturo Mingardl, Via Garibaldi, 60.
Il culto principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE ' Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Antonio Bostan, cassiere Pastore Guido Comba, segretario del Moderatore - Via Quattro Novembre, 107 Roma (101).
PACOLTA’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cosso,
42, Roma (126) - Professori : G. Rostagno,
Ernesto Comba, Davide Bosio.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre PelUce - Preside : Prof. E. Bongo.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZlONI Prof. É. Comba, presidente ; Enrico Meynier, Giovanni Miegge, Mariano Moreschini.
CONVITTO MASCHILE - Torre Pellice - Direttóre; Pastore Davide Forneron,
ISTITtlTO FEMMINILE VALDESE - Vallecroaia - Direttore : Pastore Davide Pons.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.na Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto Gould)
, - Via Serragli, 51, Firenze - Direttore
Pastore V. Sommani.
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Torino
- Via BerthoUet, 34 - Direttore : Gr. Uff.
Paolo Canobbio.
OSPEDALI VALDESI - a Torre PeUice - a
Pomriretto - a Torino, Via BerthoUet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede : Pomal’etto (Torino) - Direttore : Pastore Luigi
Marauda, Pinerolo.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLOALBERTO » - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Gei ma no Chisone- Direttore : B. Soulier, iDostore emerito.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (SicUia).
COLONIE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uragaay.
COLONIA VALDENSE (Dep.to de Colonia) Pastore : Ernesto Tron.
COLONIA COSMOPOLITA-ARTILLEROS (Departamento de Colonia) - Pastore : Enrico
Beux — Pastore emerito : Pietro Bounous.’
TARARÍRAS-RIACHUELO-SAN PEDRO Y COLONIA (Dep.to de Colonia) - Pastore : Daniel Breeze, EstaciCn Tarariras.
OMBUES DE LAVALLE-COLONIA MIGUELETE (Dep.to de Colonia) - Pastore : Carlo
Negrin, Orabues de La valle.
ROSARIQ-BARKER-COLLA-POIX)NIA (Dep.to
de Colonia) - Evangelista ; Emilio Ganz,
Colonia 'Vaidense.
S, SALVADOR - Pastore : Giovannni Tron Dolores (Soriano).
colonia NUEVA VALDENSE (Def.to de
Rio Negro) - Pastore : da destinarsi.
COLONIA NIN Y SILVA (Dep.to de Paysandù>
- Pastore : da destinarsL
*
Argentina,
COLONIA IRIS (Pampa Central) - Pastore : Silvio Long, Estación Jacinto Arauz, P, C. S.
COLONIA BELGRANO (Provincia de Santa
Fé) - Evangelista Carlo Alberto Griot,
Estación Wildermuth, P.C.C.A.
COLONIA EL SOMBRERITO (Provincia de
Santa Fé) - Visitata periodicamente.
, SAN GUSTAVO (Provincia ito Entre Rioe) Visitata periodicamente.