1
^^'jj^pte-couranl avec la Posl
'-’’ AHONNiiMENTPAK AN
&"«-■ ; : ; ’ï- ^
Antrichti-IIoni^rie,
,, ^l?iC(Ui!, íii'iíyil^ iJaíicrncii k,
^Kypie, llofîarnÎL^.
’ 1''''■ <ih'>nni:/nnn.t
Wlni, r.lco,,-,/
l’i- :;
Au'bif•
Gíh¡2 'i’AdininisUalion;
î’imn PiiHteurs; m à
à Torro PoUioe.
pai'f du i. Jauvii^r
ac payo (i avani'o
Année XXXII. N. J3.
Nuusérua sciparda demandée aval t
le liraK«f 10 continies chacuE.
i Snni/fict's: ¿0 oentimes par ligtia
I pour une seule fois — 15 ceu
I (imos de 2 à 5 fois et 10 eeri
I diut'S pour d fois et au ilesaviî'
1s,5fJie.sser pour la Rédactlo» (U
pour r Admi»i!4tr»tioi] à M,
Jean Jatia, pr<jf.,T’prrt‘ Piiilicn.
! Tf.ul chanfioment d’adresse coûte
1 15 eoniimoi-', saui lunix du coin
I UMMicenienl <ie ranniio.
«...EKH VA
Paraissant chaque Jeudi
'X
“Un, otiKi iiiiiKjiuH. *cL, I, 8. Siiivaat lii vérili) avec la charitu, K|ili- IV, lii. Ülio luii ikkiio vimimj. VI, i<i
^ (> lu lia a 1 r «8 :
'.ioiii'iiiHi lie l’Kloniel — (lorro.';ii<)iii!iim:i; j
■-7- i'iiioiiiqiic VhiiiIdííi', — Kvauiu'lisaUiiii — Niiii vellos (le l’aris - - l-lii Ar- I
niéiiie — Hibliojii'Hjiliit) — Divers — ;
I'llorinsil.tiins — Smiseripl.iuii — Ho'bélé il’ijlálil.c piililif|iio Avis.
in
loimidc
JsesI, ici îii jonidée que rKlcniel
laite; égayons nous ci nous réjouis^otis eu elle (l'.s. '118 v.‘24). (iomme
'i-*Us (ievi'ious nous réjouir, nous
iK’éiiens, de co que rEletnei nous
' donné cciie jouniée, dans laquelle
n l'ils, le liieu-aiiné du Père naquit,
*\"lji'iij niunt'ul, ressiisciia iiour nous
aire (laraître au grand jour devanl
Péi'e, purs, [larfails, sans Ladies.
*^“1* aliendani que nous soyons les
l ossesseurs de ees promesses, nous
iiiiiainies iqipelés à vivre ici-lias saiii^(JUunil dans la paix et la loi, ]iéni
.1' glaces en J. G. Poiiniuoi
“ a-iil encore si peu de reconnaisparmi nous envers le Seid'eur de ce ipi’ll. a pourvu au salut
' i^'iiel de notre àme?
rri' sommes appelés par le i\sal■ i^.te à nous égîiyer et à. nous ré■1 1^11’; cette réjouissance existe-t-dle?
I iélas! que voit-on ?... Quoique les lieux
lie culte soient idus ou moins liicii
l'ri'iqiieiité.q sauf quelijnes exceptions,
les dirétieirs parlent non pias de paix,
de joie, de honlicur, ni d’assurance,
mais nniqueineiil de ce que l’œil de
la chair aperçoit; du lemp.s, des récolles, du commerce, d’achats, de ventes, (le [lolitique et autres choses secondaii es, s’occupant rie tout, exeeiité
de la. chose nécessaire.
Que de personnes qui se
de s’honorer du nom de
qui ne regardent pas
teiileut
dois et
(iilélilé
de nos [léres, à leur
couVauà la
dévouement, à leurs saci'ilice.s,à leurs
soull'rauces pour la cause de Ghrist.
Eux liPiuicuiip moins privilégiés,
que nous sous tous les rapports,
leurs regards atlachés à la croix,
considéraient toutes les autres choses comme des balayures, mais
possédaient la j.ierle de grand jirix. —
Soyons leurs iiuitaleiir.s, au lieu de
[lasser le jour du Seigneur, (jour
ijui a été mis à part [lour que nous
travaillions[)lus|)articuliérerneut pour
notre âme) en promena,des inutiles,
(¡ueliinelbis iiiiisihles, avec des eniiemi.s (le lalîihle; à visiter le.s pro[iriété.s, acheler, vendre, l'aire des
commissions qui mirai(Uit pu être
faites le jour pi'écédent ou être renvoyées au laiiidi, faire une excursion
2
IS
(le (¡liasse; el, ni(îrne.,. ¡lassei' ces
lieuiessi [H'éi'ieuses au caliari^î, [;'aspillec l’argeiil, ]ienlre le leinps, su
ruiner le moral et surloul. èire un
appui pour tes incrédules et les mondains (iéclarés. (pu sont tonjours prêts
à blâmer el a eakuunier les piu’sonues
i|ui désirent croire à la ¡larole de
Dieu, i|ui s’el'foi’cent de sortir de leur
état de péché et de vivi'e d’une vie
nouvelle. —• Ali! (l'éi'cs vaudois, si
vous désirez être réellement chrétiens, croyez à la [larolede Dieu ipii
sauve, et (|ue nos actions de ^uàces
montent cliaipie jour devant son tr(rue,
parce (|ull nous a donné celte journée dans la personne de son Fils, et
etisuilc veillons de peur (|ue celle
aulre "raiide journée du Seigneur
vietme, lerrilde jiour ceux i|ui n’auront pas Iravaillé pour leur salut,
e! nous trouve endormis.
Nous n’avotis [las de temps à pordi'e.
()u’au commeucemeut de celte année chacun choisisse ipii il veut servir,
ou le Seigneur un le monde. Choisissons le Seigneur; nous pourrons alors
nous égayer constamment et in.iiis
réjuiiir de la journée ijue rj^iteruel a
faite. C.
CORRESPONDANCE
•liuivlür I8'J7
Cher M. le bircclear,
i.a poste m’a apporle, il y a |ieu
lie jours, une eiivelo|i[)e ipie j’attendais avec impatience. Dés l’ahord
j’ai reconnu l’éci'iture aux ti'aits
liardis et l'ermes, aussi est-ce avec
cm |iressemeut ipie je hrise le cachet.
La missive se compose (.le plusieurs j'euillets de ce |(upier léger
(d soyeux ([ue l’oii emploie dans les
longs voyage.s. C’est pour ainsi dire
un journal. 11 porte (;omme première date 10 Octobre; Océan, long,
0,0ô ; lai. d9’ Sud. — Me {(ermettezvüus de vous faire part des (|ueiipies
iioüveiles (|u’il reiilerrne? Merci d’avance! Elles ne mampieront pas
d’inléresser bon nombre des lecteurs
(le voire peüle feuille, (|ui est b*
lH)i'te-voi,'< a|.i|irécié de tout ce i[Oi '
c()((cerne les Vaudois.
Vous |)ensez liieu ipu; ce u’csl
le ptuié'gyriipu! de pm'soiim! (|ue je
veux Iracer ici. Alun .S(¡ul désir est !,
de dir(>, |Ku' ces lignes, aux ait(is
dis[)ersésdu marin «pii en est l olijí.'l,
(|uclip.ie ctiuse de lui. Si ce Icnmigiiage de syinjialhie et d’alToclion
lui jiarvieut sur (]ueli¡ue rive lointai((e, (jui nous dit i¡u’il ne contribue ;
pas, tout modeste (¡u’il veut être, |
à alTcrmir le jeune olllcier dans sa '
résolution de mériter toujours, au
milieu (les dangers et des L(.uit:(tious |
(]ui reulüuia.ittl, le titre de Vhuidtiis i
(!i celui, itdiiiimejiL plus gl(.)ricux,
(le chrétien? '
Nous sommes un ¡ictit pcu[>lc.
Nons nous comiaissons pi’espue tous.
Pas assez, je crois. Ne peii.sez-vous .
pas, M. le iMrecLeur, i[ue nous devrions umis aimer, nous mulenir
davaiilage et suivre avec un intérêt
jdus vivant ceux d’entre nos IVères
(|ue les nécessités de la vie et leur
[irol'essiüu éloignent de nous ? Pouripmi ue pas nous réjouir de leurs
succès et les en télicitcr ! — Le
vieil iulage : l’unïoa [ail la force,
n’est |ias suranné. La solidarité est,
idns (|ue jamais, nn levier puissant.
Le voyageur se porte liieti. 11 est
capitaine'au long cours; il n’a (|iie
vingt-et-un ans ct’(;’est bien déhulei'
(pie de faire, comme [iremiéro navigalion de sou stage matiUnie, le
tour du monde! Arrivé en Nüvein!.!ie
en Australie, à Melliounie, le vuilier
anglais si.u' lenuel il se trouve doit
hieiil()t reiireudre le large pour renIrer eu Europe par le Paciib|ue.
La mer, la grande Tueuse et lü
grande Créatrii;e, comme l’appelle
Atichelel, a exercé de tous temfis un
aurait inésisliide sur les âmes ardentes (|ui, sans souci du |>éril, ne
rêvent (]ue voyages, avetdiin's et
contrées iiicoiiuues. Qui n’a [las vu
la mer ne peut se hdre une idée
de la majesté du spectacle (¡u’elle
oit're, soit (jue, calme comme un
3
1.9
t'niroir, elle rellèle l’azar des deux,
rjue, tiforidaiil el; ii'ritép, elle
■"^ernlile délier, par le [dissernent iiidui (le ses values meiiaçaiilcs, le
•lociuM' audacieux.
Malg'i'é ses dangers exceplioiinols
Plies sont rares les carriéros aux'laelles ou s’iUlaclio davanl.iige (|u’à
Polie du iriarin. Qui a lu les
pages PDlliousiasles de Julien Vd'aud,
Ifi rnai'in, l’écrivain el académicipf)
Ijien connu qui signe Piei're l.oli,
souvienl en .quels li.'mics émus
il dé[)eiul cel.l.P vie i[ui l’ail du tia\’d‘e où l’on s’esl. crnliarqué une
Seconde |)alrio, de son éqvnpago
Hiie nouvelle iamille doni, ot) parlage les joies et les anxiol.és ! La
der I Oiieile page grandiose el pal)>ilaule de ce livre inépuisaùle, la
NaI.ui'e, le f>lns élo(]ueid, cornrnen•aire (pte Dieu ail donné aux lioinfnes, rie sa révélalion ’
n L’élail hieti ma voeaiion, s’écrie
dans la lell.re rju’il m’adresse, M.
Piu-lo'Miistoi). Jamais je ne rrigietlerai
mon choix. G’esL une làclu! dilficile
qui m’incombera, donI, la l•es|)Ousahililé (tarl'ois esl, écrasante, mais, avec
l’aide (le Dieu, je ne l'aillii'ai [>as à
mon devoir. Je n’y épargnerai pas
ma peine »...
-Et; c’est le souvenir des siens, du
rracher d’où il a élé tiré, dif.-il, rpii
'•<.Mdfilmera ¡)uissammenl à le faire
marcher das celle voie.
A])rès avoir' 'fréi|neuLéjî les cours
duLollègede la Tour, ftl. Miislou
'J lait le l.ri(.înnium réglenrenlaii'e
1 -Ecole iNavale de Palerme. Ajonloti.s (ju’il en esl sorti apr'és des
'•Indes (|ni li.ii ont valu l’eslime el
le snlisfacl-ioti de ses profcssem's.
Je m’arrête, li en <'sl lemps, n’eslt'ft pas? Mais les parents et les con»aissances de M. Muston voudront
lùen finir avec moi en lui soulrailanl une Ircureuse réussite dans
la carrière rpi’il a emlrras.sée ci iiu
l'evoir [las Irop lointain avec .son ;
vénérahio père doirl. le cœur et les j
prières le suivent sur' les gi'andes
aeiix. Li'oyez, M. le Direcleiir, ;mx
sculirnenis alïéclueux rjue nourrit
¡roui' vous
L’Ami du. Marin.
CHIiONlQÜIÎ VAUDOISJ']
Val S. Martín. — Ea nouvelle du
jour c’est la nomination de M. Micol
pasteur comme chevalier' de la conromre d’ilalie. ¡roitr' recoimaîlr'e les
services qu’il a l'eirdus à riusiruction
du peuple et pottr des œuvres de
pltilaitütropia <pi’il a accomplis. Ce
(pli. cerles (oi.ir'ttera à í’hntrtteur de
rroti'c Eglisi', (jiii pértèlre toujours
[)!irs avmit rlaiis l’estime du rnottde,
et de iros Pasteurs qitt se voient
loujonrs plirs élevés en honrreur.
lirrau rroirlr'aste, avec les tem[ts
passés, où ch('z trous les [tasleurs
étaierrt les phts en Iruüe à la per^éeulion. L’on me dit ([iie M. Micol
ne veut pas aertepter de hamji;ic.t
pour l'élicil.er sa norniitaüon vu les
letnjrs durs rpie iraver.serrt les’ gens
de la círrufiagne ert ced.te armée rpii
esl. ritrrr d.es moins Irorrttes à torts
égards jtoiir les [troduits .agricoles.
A Cela est: vrai malheureusement
prrur lui et potu' d’antres ! mais ce
reins mortlre un des beaux côlé.s
du c.ararrière du tiéo~clrevaiier.
U. P.
— M. Emile Trott, (triginaire de
Salso, carrdidat eit théologie, vieirt
de lei'rniiiei' ses éludes r.le Lel.tres,
eommeircées à h’Ioi'enee et poursuivies à l'avie, en olrterrant le titre
de Doct.eur és i.oUi'es- Il a sftulenu
litro thèse sur la Nobla Lepezon.
ÉCHOS DE L’ÉVANGÉLISATION
] A Kalia Evangélica, à laqmdie
nous empruritons bon nombre de
nouvelles ([u’on va lire, a réduit son
prix à 3 fr. ]tar an, sans diminuer
son f()rmat. Nous ne cotinaissons donc
pas de joui'iial religieux italien (¡ni
oiTre autant d’ai'licles variés, et de si
aliondantes informai ions, et (¡ni soit
4
20
en même temfjs comme l'Ilalia Evanffelica, par son ¡uix modi([iie, à
la portée des iietites ])Oaises. Aussi
MOUS u’iiésitons pas à la rocommatider à nos lecteurs. Pour s’y a¡»ojuier il suflit, d’envoyer une carloliuQ vaglia à .VI.'' Ed.'Jalia 51 Via
dei Seri'agli ■ Eii'enze.
Pea arhre.s de Noël |*arloiit! ('.’est
nue ''Oaie fiu'td, depuis Tuîin jus<|u eu Sicile, aussi uciiis ne |)Ouvon,s
tous les décrire, ni euti'er dans les
détails pour ohacnu d’eux. Du reste
ils .se ress6nd)[eut eu Irien des choses,
ils sont f)atlouL l'tisjdeudissaids de
lumière, et de cadeaux, et entourés
de nomljccus enfants (pd l'écilenl,
i[ui chantent et qui ,s(; réjouissent. ’’
A San Pier d'Arena It;' loc:d ne
[tent c,üïd.enir rpie la moitié de.s i>ersounes accourues |)our la fête qui
«fit ilonnée aux 60 euCants de celte
ecole. Miss Miller et ses amies ord:
travaillé des mois pour préparer des
articles de vèlernenls [)ourles eufauts
pauvres de San l’ier d’Areua, Mdle
Ijvdie Rostan I;» maîh'esso d'école a
mérite aus.si la l'econnaissance en
enseignant à ses élèves laid, de chants,
de dialogues et de récitations.
M.'' J. D. ¡’iij'iii remercie les Utdous des jeunes gens et des jouiies
liltea, Mis.s Miller et Mdle Roshm, et
il reste liumidemeut dans l’omiire
avec sa digue conpmgne, eux ipd
ont été l’àmo de lout ce cpii s’est
(ait [lour la réussite de la, l'ètc.
lia fête a. au.ssi réussi à Pietram a razzi, grâce au zèle de M." 1). Rosati. Elle a été oriveiie par la mai'ciie
royale, l’on y a euleudu des diidogues
composés pour ia circonstance ipii
ord élé fort apjdamlis, et de nom
lu-eux ctiauls, entre autres: fi/onV», a
Pio. I.e brave D." l'aoJo Venturi de
ioLuuïiiu iizzi, fjiii il SOS (Ic'/rés
a i Université de Turin, a fail'^un
hon discours et le syndic, M.’’ le
chevalier major P. Gallina, a exprimé
sa satisfaction après avoir pendant
■> heures honoi'é de sa [irésence la
laille fêle qui a eu du retentissement
dans le pays.
_ Les écoles ilu Dimanclie de Corno et
Chiam) ont eu en.semhie leni' têlel
a laipielle oui pris part 38 entants,|
MM ^ hoM nonibre catlioliqnés rO'■
mains, qui ont ex|)rimé ensuite leni’
salísíaction et l('iii' recnunaissaiice'
Tous les enfants s’eu .sont allés contents avec leurs cadeaux et les paiivre.s ont eu leur part. Qu’ils disent
merci a leur paslenj,', iVl.’’F. Rostan,
et aux (lersonnes ipd Toni aidé.
^ Passons a iiio Marina où M.*'Em.
Itivoir a pu [ireparer un bel arlire
pour les 200 entants ipii sont veiiirs
saliriler sons ses branches bien eliargées. M.me Rivuir a été aussi en
ceci une aide piécieuse à son mari
en eiiseigiiani, enir’autres cho.ses, un
lieaii cliœiir à deux voix qui a fait
MU bien bel effet. Peur filletle de 3
lins a été tort a¡)[)laiidie en récitant
un tout petit bout de p<,)ésie. Le.s
moniti'iix's ont eu elles aussi leurs
cadeaux et la tète a eu uii succès
dont nous nous réjouissons.
^ l.a Gazzella di Messina et II Pensiero di Messina, nous apportent des
dehulslonangenrssnrla fête domiée à
Noél, (ête «qui n’anrait ¡las pu être pins
belle», remarque rnn de oe.s journaux. I,e lenijile était orné de' tes
tons, de (Irapeanx et de Heurs, ci
nu iniblic choisi et tiondireux jouit
jnsfpia la (in de cotte Indie fêle dont
le succès fut assuré [lar M." et M me
lîuKa. (.,es journanx constatent ipie
les nombreux enfanls ipn frénpieiitant les écoles vaudoises y approiiMciit à emiudre Dieu, à aimei- le
pcncliiui! et à coimaîire les principaux (ails de l’histnii'e sainte.
U ÎMlolerance religieuse s’est mouti'ée
d une lapoii inouïe à Chiavari à l’occasion de renterrement de l’enfant
( O notre b ére M r Romano. Pas d’acte
d hostilité, non, mais pa.s la moindre
curiosité non plus pour voii- ou eiitemlre ce que lout le.s évangéliques,
peine une 15.ne de personnes qui
s unissent an convoi funèbre, et ¡.»as
lin cocher ipii veuille, moyennani
Imance, céder .sa voiture [loiir le
transport du petit cadavre. Notre vive
5
— 21
syinpatliie el nos ptiéi'es sont nssiii'áes à noire ¡1ère qui esl appelé à
travailler dans un lorrain si aride
«ràee à riidluenee du iiarti hostile à
rFA-anp'ile.
A Lucea la môme intolérance
exei'cée eonti'e un malade évaiipfeliijue, soipné dans l’hôpilal de celte
ville. Biei'i ipie M."- Lissolo visile ce
vieux malade ‘2 on H fois par jour,
nu moine capucin ti'ouva le temps
et le coii!‘a”e de dire an vieux
inlirine i[ue «les diables vieilliront
le porter en enfer s’il Tie retourne
pas à l’église de Uorne». Mais noire
frère rosie ferme, appuyé snrtdirisf,
s<in Ifoclior el. son Sauveur.
Kncoro de l’iulolérunce à liieiii où
le chanoine tralahrô recommande à
SOS auditeurs de ne pas envoyer leurs
enfants aux écoles vaudoises. Mais
ce fid : Voc mlahronis clmnanli.^ in
deserlo, puisque nos ecolos coni|)teiii an delà de nOn élèves, malgré
la guerre qui leur est laite. M ' .)acqiies niiiïe du Pradulnur (Angi'ogiie)
i|ui enseigne dans les l^jcoles Vbuidoises de Riosi recueille le leinoigiiage suivant qu’un liocteur en niédeciae rend aux l'amillos qui onvoyeut
leurs eiifanis s’instruire eln'/, nous.
« Je puis dire, aflirrne oe médecin,
» que l’ordre td la nuualilé l'oguent
»dans tonies les lamilles i;vmige» liques que j’ai visilèes ».
Une nombreuse réunioii an ]U’0litdes [lauvres Arinéniens persocules
a été tenue à l'nrni. MM. Madoni,
U. Appia et W. K. I.andéis y ont
puis la [larole, et la colleotc a proilnit
1-. 45 30. lie in ni. tl. ¡.ombroso élait
parmi les auditeurs.
Pe chanoine Sqnanzanti vient <le
mourir à Ferrare, et il a laissé tonies
ses ricliesses.. devinez à qui?... à
Notre Dame des Grâcesl... Il a des
Jianenl.s pauvres i|ui ont réclamé en
vain leur paii. d’Iiéritage.
Mais i]uelqties dittic.nllés ont surgi:
Ou se (le.rnande: l.”» qui signera
le reçu à la place de la Madone,
s'il exisle dans le ciel, où la Vierge
Marie doit hahiler, un bureau rie
l>oste où cet argent puisse être touché
et enfin 3.") si les valeurs ilaliennes
ont cours dans iiays d’outre tombe.
F. I>.
Nouvelles de Paris.
Dimanche 10 e., une lêle intime,
et particulièrement touchante, a eu
lien à l'Oratoire du Gros-Gaillou.
Les amis et paroissiens de M. Appia
s’y élaieiil donné rendez-vous |)Oui'
célébrer sou 70® annivarsaire.
M, M. Kulin, laids,, Goillard, Daigner et S. Berger lui ont successivement ex|)rirné leurs senlirnents
de cordiale Iraternité et de. vive
reconnaissance pour sou activité lienie. Deux eiilaiits ont lu des cornjilinients fort bien tournés, lijiilin,,
au nom de ses amis présents et
absents, M. Tli. Berger a remi.s au
iiérns de la lete le premier volume,
(pic suivra hieutùt le second, du
magiiiiiqne ouvrage La vie de Jésus,
illustrée ]iar le peintre Tissol.
A notre lonr, nous envoyons à M.
Apjiia, qui est resté cher a tout
cœur vaudois, l’exiiression de notre
alleciiou respectueuse. Nous remercions Dif'u (i’avoir iortiiié sa saule,
si éSiraidée il y aun an, et nous lui
demandons de le conserve)' encore
longb'rnps à sa famille, a rKgliso
de l’aris et à la nôtre.
(d’aprè.s le Témoif/nat/e)
EN ARMIaNIIÀ
Extrait du «Cri île l’Arménie » lil». lîridel,
Khaionss. 306 des |irincipaiix du
dislrict me remirent à mon départ
la pétition suivante, écrit le 1).'' Dillon en Janvier ■1896:
« Nous vous assurons que la boucherie de Sassmiu n’est qu’une goutle
dans l’océan de sang ar'méiiien versé
peu à pieu ed, silencieusement par
lont l’em|iii'o depuis la dernière
guerre russo-turque. Animée après
année, mois après mois, jour après
Jour, des hommes, des femmes, des
eufanls itmocenls ont été (usillés,
6
poignardés, l.iiés à coups de gourdins
dans leurs maisons, dans leurs
cliamps, lorlurés d’um- Hiçon dialio¡iijiio dans des |)risons itii’ecles ou
aliainlonnés en exil pour périr sous
le soleil lu i'ilanl, d’Arabie. Feinlant, le
(rours de celle longue el, horrible
(ragé^lie, nulle voix coruj)al,issanle
ne s’éleva, nulle main ne s’élendil
[)om' nous secourir.
Ilel élal, de choses dure encore,
mais nous somme di'jà à la dernière
|.iériorle el le peii|de arménien esl à
l’agonie, ha svmp;U,hie eurojtéenne
e.si.-elle deslinée à Di'endre la forme
d'une cr'oix sur nos lombes?»
BIBLIOGRAPHIE
Les emiemis de la jenuesse, élu
des morales el sociales b® édilion.
Aberlen, Vals-Ies-I3ains, 1807.
Un livre écril pour les jeunes
gens, mais (pii peut être lu avec
profil |>ar des personnes de loul âge.
r.e n’esi pas l’oeuvre d’uu seul
auteur, mais de foule une ¡dialange
de vaillants éciivains, qui marchetd.
ensemble à l’aUaijue des ennemis
de kl jeAinesae.
Ces ennemis son! gi'OU|iés en bois
catégories : les m,auvaiit esprila, les
passions jnvénicides el les renénals
el iraitres.
A|u‘ès une belle poésie de M.
Edouard iVlonnd adi'essée à la jeunef^se, M. C. Wagner ouvre le l'eu
conti'e les manrais eitpi'ils on s’al(aquani à Vesprü de privilège. Avec
la finesse d’analyse et la clarté
(ju’on lui coiinaîl, il montre que cel
es[)rit se trouve dans toutes les
classes de la société, car il y a
jiartout des gens qui cherchent à
se soustraire à la loi commune et
rejettent sur d’autres le fardeau
qu’ils devi’aient porter. M. Ch. Gide
comlial l'esprü d'indépendance, et
M. II. Nick l’esprit moutonnier.
Evergèle clôt cette première [»artie
par une peinture vivanle de ce curieux produit de notre époque (pi’il
appelle le jeune dÂletlanie. Doué
d’une inîelligence merveilleuse, ce
jeune homme de vingt ans vous
charme cl vous étonne autant jiar
réteudue ile scs connaissances <|ue
par la souplesse el, la grâce de son
es|)rit. Il [laraît avoir lout lu, tout
étudié. Ouelle journée féconde ne
devons nous pas al tendre d’un tel
matin! Hélas! non. N’atlendez rien
de lui : il ne sera jamais ca[)aiile
d’exercer une activilé léconde cl.
bicnfaisanle. Aucun lion fruit ne
peut naîire de ces fleurs séduisanics,
parc.e que la piaule qui les a produites n’a point de racines. Ueligton,
morale, dtivoir, vertu, amour... ce
sont là des préjugés qui ne sauraient
hantci' un esprit suiiérieur comme
le sien. Il est tout-à-tait déniaisé
à l’égard de tout ('cla. 8a merveilleuse cultme intellecluelle lui servira à se procurer toutes les jouissances do res[)rit, mais il ne permettra pas (pie la sérénilé de sa
vie soit trouldée [tar aucune préoccupation dont robjet soit élranger à
sa personne. C’est un cliarmanl
ieune homme, mais il ne sera jamais qu’un inutile et un égorsle,
sans virilité el condamné à une
jierpotuelle stôi'iiüé morale.
Dans la seconde partie, passions
jnvénicides, M. Raoul Allier décrit
avec élofpience les terribles ravages
de la passion du jeu; M. WHItred
Monod attaipie avec une vigueur
juvénile l'nkooUsme, cet auti’e ennemi ipii fait des victimes de jour
en jour plus nombreuses; et M. I,.
(.lomte s’élève avec force conire ce
miséi’able sojihisrne : « Il fa.iii que
jeunesse se passer, [lar le(|ue! on
excuse le vice dur/, les jeunes gens,
on l’encourage même, comme si
c’était un fruit naturel de leur âge.
Le troisième groupe d’ennemis —
renégats et IraUres — esl constitué
par les sans foyer, les sans patrie
et les sans Dieu. Peut-êtr'e ponrrait-on rç|)rocher à l’auleur du second cliapiti'e de n’avoir pas une
conception du ¡lalriolisme aussi éle-
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23
véc (m’on ilésirei'iût la Ifouver dans
iiii livin cumme cchii-ci. Il iis veni,
^^«pendanl {)as dn chauvinisme, qu’il
•M'[ielle « la cai icutui e i^Tirnaçanlo
<lii |)ali'iüli.sme chiélicn». Il cruil.
d'ie l’amf)ui' de lu patrie conduit à
iuinonr de rimmanilé. lu; inid est
'lue CB (¡uo nous appelons le pa
It'iolisme est si rarement exempt
'le préjugés et de chauvinisme!
(lotdre laid d’ennemis ipii la me■lacent de tous laVé.s les auteurs ne
d'iient ipi’un moyen de salut [Huir
la jeunesse ; s’atlacher tuidenient a
lesjii'iL de l’Evangile et (xmdiatlre
■aius son diajieau. (l’est la pensée
ipii r'essüi't de tout rotivrage.
Un lion livre, plein de vérilé,
liien ]iensé el hien écril, que nous
l'ecummandons vivement à tous les
jeunes gens (]ui ont ipielipie culture
■ iitellec.luelle.
N T,
A. (luiiJ.OT. PdiilimrH el prêdicaleurs de ¿'Knli.se i/eiievoise. (lenève,
Eggimann 1806.
llapide esipiisse di; la vie redigieuse
genevoise depuis la Uéformation
jusi|u’it aujoin'd'hui. ijuoiqne la nahire de cet ouvrage, juiblié à propos
de la récente Ex|)üsiUoude Genève,
^11 exclue les détails, les données
■ uléressantes n’y manquent pas.
Naturellement, l’auteur n’a pas la
lii'étention d’êti'e complet; il a dû
lîiire un choix, et s’imposer dc.s limites,
H nous semble ce|iend:ud, (¡u’â
de maint d’enlie ceux qu’il a
■'iqipelés, si ce n’est avanl, il aurait
l'u Caire une place à l’orientaliste
-'Sidoine l-égei', proCasseiir de l’A■■adémie, .à son lils, [irédicaleur, dont
idcsieur.s volurne.s de sermons ont
Cité pul>!iés, et à .son pelil-iils, Michel,
pasteur lui au.s.si.
M. Guillot a aussi étendu sî;s re'dierciies rlans le champ scieiitiliqi.ie
dans leijuel plusieurs de ces eccléi^i_asli(pjes ,se sont signalés. Un chapdre est dédié au l'ôle hisloi'iipie
du fameux Consistoire ([ui a eu une
si gi'arnle impuiianc;; dans ridsluire
de la vaillante pelile lépuliliqne de
Gencvi!. Notons encoi'e hs tdiapiire
sur les œuvre.'! calleclives: Iraduciions
de la Ihhle, lilurgies, recueils de
caidlipms etc.
Ee v(.duirie e.st enrichi de ‘2i poi'traits, [larmi lescjucls les lecteurs
vauiluis serui’t heureux dt; trmivou'
ceux de Calvin, de lîê/.e, des Turrettiiii, de Césai' Malau, lîuugeiier,
Causscii, Segoiid, Oilramare, Claislel,
Merle irAubigiié etc.
DIVERS.
I.a Slarnpa racoutt; le fait suivant;
Un ouvrier ihdieu, éliddi à O.sogua
('l’essiii), élait resté sourd et muet
il y a 5 aii.s, à la suite d’une maladie grave. Il y a quelques jours
il risqua li’èti'e foulé aux pieds par
un cheval tuneux. La trayeur lui
lit pousser uii cri et, de|uii.s ce
mumeiil, il a iécu(iéré la ¡tarole et
I roii'ie. C’est riiistüire du fils du
! Ci'csus.
INFORMATIONS.
En 1806 la, l’rélLire de la l’éi’ouse
a [U'onoiicé 27 seideuces, Eeue.slrelies
28, la Tour 13, l'richérus '12, le
l’eirier 1.
Vauduis a|i[)elés à faire partie du
jury à la ci,)ur d’assises de Turin
du 26 Janvier au 0 l^'évrier : M. M.
Av. Poët el Henri Monnel, de l'iguenul ; J. J. Peyronel, ex-syndic,
do Iticlarel.
Torre-Ânnnnziala. Eahi'ique d’armes. Eüurnilure (le chai hon de chàtaiguer pour 4060 Ir. 1 Eévrier.
0QI1S pur ics puyres Arnieiiieiis
Report Fr. 1180,'<5
La Tour: Aug. Jaluoi', past.. 3,■■15 — K.
li. 2 — Fr. IMaiaii, UageCs 3 — Union
Clireiionno ilo riiriversO — Pierre I’ollenc
2 — L. L. 20,75 — M.lles Meille 5.
liglise de Rora -10,00 — •). P. Revel, Pigiierol 3.
Tolal 1205,05
8
24
Sociélé Mise d'üité Piipt
-->c ..
iruîtnhros d(! I:i S(!clioii <!(.! la
T(nir sonl. cnnvofjués (ai si'auica |)uur
Liunl) "25 JïmviLir, à liuiL ll(‘lll■(-!s du
suir, dans ia grande sallii du ('<ull(3ge.
l/o(’(lio du jour est le suivant:
1. “ I^doclimi du nouveau liui'eaii.
2. “ Queslion de la Mcndu'ilé (rap
poft de la (à)muiissiuii).
d."' Jury de (aineilialioii.
4.'’ InsiUulîou de eiaîdll.
Le Hureua.
Suisse. — IjU pélilloii (iii laveui'
(les Arméniens a déjà recueilli
lldOOO s'fgimlures dans Uj caiiloii
lie Vaiid et 45 000 dans celui de
Nouchalel. 1ms comilés iki sc'cour.s
lie {ienèvG, Lausanne et Neuc.liàlel
oui; reipi juscju'ici 120 000 Crânes.
Italie. — A. S. llemo, M, jauni,
pasteurs dos Lallioli(|ues lOdormés,
a tenu devant une asseiuldée iiomhreuse, une conférence sur rArménie.
En terminant il a projioso un ordre
(lu jour, ([ui a été approuvé [lar tous
les présents, pour souhaiter que le
gouverneint italien einidoie toute
son inlluence pour faire cesser au
plus tôt les liorreurs qu’autorise la
inollesee de la diplomatie européenne.
AVIS
Mercredi [U'ocliaiii 27 courant, dans
la grande licole de S.le Marguerite
4i'4>iiiV‘(r<‘'n4‘e [kiiitliqiie
sur l’élut actuel des Vaudois en Allemagne. Les membres de.s Unions
chrétieimes et ceux (p.ii s’y inléressent sont spéicialemeiit invilés.
Abomiemeiits payés ;
Pour 1896 ; MM. aric. Hertalot, l’rariisl.iii; Pfiyrel;, Aitrirfie; Alex. Genre. Villeséelie; Herton, l'Ignerol; Haiier, Gtîne.s; Billoiu', BenJighora; Oliambüii, B. ConcoiirJe :
Iv I'i:jaehe.
Pour 1897; î,a Tour, M.me li. Malaii,
Applots; ane. Rostan. — Angroyne, M.
Bonnot past.; M.IKis K. (U !.. BiiiineL, lAintaiie; tlnion.s l’rai! ntoiir, Gaeor-Ri voi !■;!,
Serre; Oïlin, Seri’c; liiilVe, Brass ni (.; Malan,
.Serri'malan; Vlalaii, lloiiins. — Haru'i, iMieoi Reynaiiil; Bli. Uirauii, Gii'f- l'ims,'l'rtin,
lirone la (niiiiln'; 'i’i'oii l'nn.s, Salse. — /’crrù.r. Km. Bons, l'ellegriii, .M.me M. l’eyl'ot. — l‘i)jiiarr, Peyroi,, insl.; Halnie, Croiisas; Gay, Bérimse. — Enoiu.'i-¡‘iliache,
lierl.ct, .M.mes Sas. [.asearil, Riliet. Serro.
— .S', Germai.n. Louis Viiieim. — Prainul,
Soulier Lncia. Prarusthi; Gay pasl.,
ane. Bci'Uilot, Costaliel Bnlî'e, — .S'. Second,
Vicino, Micol-Gay, (io<iiiio aux Beriianh.
— ¡‘ignei-ol, Bonn-, BerUm, Goiiino, Kostan. — Turin, .Alti. Gay, Moynier, Kava.1:,,
l’eyi'ot pa.st., W. Duiikor, .fouveiial. Pim;, Gay jiast. — Coazzr, Konicroii. -Veni.se, H.evel, Gliauvio, Deelrer. — Pacloiie,
Gal.üllaiii. — Milan, (.U’anjer, lin. Crist. —
¡’arme, Rolam!. .— .S. Hemo, Beax. —
Hordighera, 'l'ron. — ('ornigliano, Klvoire. — (iénea, Pons, IJauor, Turino, l'a.sieiir, liliine. — Livourne, Bortalot. —
Plorcnce, liosio, Monnet, U.ovol. — Sienne,
Lone, — Naplex, .ioiirdan, Dyer. — Sicile,
ItOiStan Catane, l’i'ovitero, Îtancliotti. . Bureaux Boste.s (îenève, Lai.isanm>. — Grise!;, Nice; Bniivior, Lyon; l’eyrot,, Bmileaiix ; Bons-Karrer , Gorizia; Uivoire,
Kayis. — Grandu-Hretagne, Mai'lrenzie,
Worsi'olil, .lolinstono, Armiiil, l''oril. Ballonet Beeliell, Ridiiall. — Ribetti, Bil.L.sImrH’lr,
Beux, Ogden. — Guigou, Oitiiiucs de Lavalle 4 copie.«; Tciiilai-ot, U. Argeatimi.
Pour 1898: Tiu'iii - Declior,'Turin; lUi.staii, Catane.
A *Y* ^
i/on recl.Kirclie un Portier pour
le. Tenijile de Pigticrol.
Pour iniVii'matioiis s’adresser au
Pastelli' Pasetd,
---- k— ............................... “
Rapports iliia'cts «ulro le Producteur et le Loiisomiuateur.
Un de.s n)eiileiir.s liorlogers do Besançon
et ami elirétien oirre directement à ii(i.s
lecteurs des iiioiilrrw de tous uiodéle.s,
soit mêlai, soi t argenl ou or, à clef ou à
remontoir, à des ¡u'ix niels de l)im iiiarclié,
et avec loiites gjiriuities p<rssibles, sur
l'aetiiros. Nous eonseiüoiis à ceux de nos
leei.eiirs qui aui'aient quelques aoliat.s à
eireetüor de tre les faire ipTaprès avoir deiiiaiidé et consulte le Caîalogtie détaillé que
leur' en venni franco Muri! KIIIÎIIY f'abi'ieiuit d'Hoi'logerie, à BltSANÇO.N (l)oulis)
Kranee.
J. P. iVIalan, Gérant
Torre Pedice — Imprimerie Alpina