1
i'oourant avec la Poste
£5? D'AHONNKMKNTPAB an
î^ger ... » 6
Aalriche-Hongri«,
^iRique, .Brésil^ Danejina)*k,
jWpte, Hollande y Suède,
®J*iS80, etc., si on prend un
^^^nnement postal Fr. 3
Ai?î «’abonne î ,
fî? bureau d'Adniinisiraillon;
ChQ¡
I* Mm. lee Pasteure ; et à
Alpina à Torre Pellico.
r^ODnomenl. pari du 1, Janvier
et ao paye d'avance.'
Année XXII. N. 41.
8 Octobre 1896,
Numéros séparés demandés avant
le tirage, 10 aentimes chaeua
Ànnonceê: 20 centimes par ligne
pour une seule fois — 16 centimes de'^ à 5 fois et 10 conUrnes peur 6 fols cl au dessus
CO
i$'adrésser pour la Bédactlbn el
pour r IdmiDlstiratioB à. U.
Jean Jalla,,prof.,Tofri iPelHce.
Tout cbapgement d'adrepse|co£ile
lie
15 cenlimep, saut ceuf du com• meûcement. de l’année. ?M
■■ ■
fA J^^Uiouereï lémoms. Act, 1,8,
E(JHO DK8 VALLKË8 VAUÜOISES
Paraissant chaque Jeudi
Suivant Ik vérité ave« la eharit¿ Eph. IV, 16. Que ton r^gne vionoe. Nàiiita. VI, 10
.V A ni m n I r « t
l^Oüveiies (ju Zambèze — Evangélisation
Un VautÎois
— Chi’onitiue VatidoisQ prisotmier en Abyssinie''— Un 'Vau^
tlois qui contribué à enrichir les scieni.tces;— Bibliogiupliie ^ Au sujet des
-Vaudois, à prppos des Arméniens —
Ouvrages reçus — Revue Politique
Avis.
■Uk'i
JJl
NOUVELLES DU ZAMBÈZE
Ifi ■' . - ■ i': . i
Après lit! long et ipénible inlei>
, l'aile île . silence, le 30 Septembre,
l'm poste îtppoi'tuU: des nouvelles du
î ^^tnbéze, allant ju.squ’an 30 Juîîï.
î «-Iles uie sotd pas , brillantes, aussi
1 hOs frèrée se recbmmandentdlsiaux.
Í Pi’ièros de tous ceux qui s’intéres: aux progrès de l’Evangile. Il
*feQible, qu’un air délétère se soit
*’®pandu sur le pays, car tous les
l^i^ionnaires: ont été longuemeiiit
Pï'is par la fièviu, L'état de M. Davit
même causé de graves inquiétudes;
: ^^pendant, en dernier lieu, il était
Ponvaleacent Le roi s’est de noulaissé enlrainer par l'amour
l’argent; U compte eir gagner
'beaucoup par la,vente du caoulcbouc
Mu’il érige enbiMonopole, Le paga^iSBie relève partout la tête, même
; la .capitale dl y a des défections
parmi les catécimménes, .mais elles
sont euL.partie I compeoséee ppr.Ja
joyeuse .persévérance,,djaulres, ,d’a\i,tant plus précieuse iqidil s’agit d’un
peuple léger ;;et fai4Xtt U était (¡uessüon de placer; Mt.- Davit à, ¡Seslieke,
laissée déserte par la mort île , M.
Goy. Nous .donntxus ici queb|ue.seAt
traitsïdi’une bUre,de-Mp- Ûavji^i du
20 Mai; sur sou minislére iiliiiéiaut.
I « ... Au lieu- d’être à la porte d’un
grand village, comme les autres slar
tions, celle de HéfouJa.est au milieu
d’une,iiuéeido: petits Villages, dont
les plus rapprocliés sont à lj2h.ide
marche. Il y en a d’aulres, et ce ne
sont pas les, plus éloign&s, pour le.squels l’aUeo et te retour me prer»lient toute une UemLijournée. Pour
visiter les plus éloignés, ¡je|,me vois
obligé d’attendre d’avoir une rnoiif
ture. ; ■ ......... :-t
L'école est déserte, ,et. la: fièvre
m’empêche de rayonner autant nue
je le voudrais ' pour ( rappeler! aux
parents leur,,|devoir ' à> cet égard.
Partout, dans nos tournées, lorsque
je, dernande:;à quelqu’un s’il: aime
les, choses de Î3ieu, il me répond
sans héBiler : « Qui; je les aime beaucoup ,». ¡Encouragé) par celte' réjionse,
je les( invite à venir, au culte leiDimanehe. Ils me répondent qu’ilsif
Viendront, Mais,, pour :1a ¡plupart,
2
— 322
ces fieux réponses affirmalives signifient: « Nous approuvons tout ce
que tu nous dis, pour que tu t’en
ailles et que tu nous laisses en paix »,
Cependant, si la plupart du temps
on perd sa semence le long flu
chemin ou qu’on la jette dans des
endroits pierreux ou parmi les épines, il arrive parfois que l’on trouve
aussi du bon terrain. Du reste, notre
Seigneur nous a bien enseigné que
ce n’est qu’une partie sur quatre de
la semence qui tombe dans un terrain où elle puisse germer et croître. Voici qui donnera une idée du
résultat le plus fréquent de nos conversations avec ces gens; Un jour,
en revenant d’une tournée dans| les
villages du marais qui s’étend à mes
pieds, j’aperçois au pied d’un arbre
un des nombreux petits chefs revêtus d’un pouvoir dérisoire. Je le
salue, puis je me dirige vers lui.
Ici,-se fût-où déjà salué dix fois, la
seüle salutation valable est celle que
Fon fait accroupis l'un à côté de
l'autre. Quand je fus accroupi près
(le lui et que je l’eus salué une
seconde lois, il rne dit; «J’ai le dos
cassé». Quoiqu’ils aient dans leur
langue les expressions: maladie,
blessure, être malade etc., les indigènes emploient toujours des byperl)oles. En venant me demander
de la médecine, ils rne disent: «Je
suis tué dans tel ou' tel endroit ».
Mon chef avait une' simple petite
douleur au dos. Je lui parlai de
Celui qui peut nous rendre joyeux
même dans la souffrance.« MaLs il
m’écoulait avec dédain et moquerie
et je dus m’en aller avec cette seule
réponse'de sa part ! «Avec tout cela
ton Dieu me laisse le dos cassé »,
Une autre fois, je' ine rendis avec
Pauluse dans le village le plus éloigné que j’aie pu visiter jusqu’ici.
Nous trouvons la cour du chef remplie de monde.. Cela serriblait fait
pour nous réjouir. Mais lorsque je
leur ¡eus expliqué le but de ma' viisiteiils ne m'écdntèrent plus qu’en
ricanant, et en un moment tout le
village était assemblé à la por
pour rireià nos dépens et nous
garder comme des bêtes cuiieiise^
Aussi fûmes-nous bientôt obligés
partir en répélant ces paroles; «
jetez pas vos perles devant les pQpf|
cèanx. »
Un chef que je visitais dans
maladie, et qui ne veut pas sàvoi
de nos médecines, eut le toupet d
me demander quelque ' chose ,
payer le .sorcier qui le soignait! !
il y a cependant, quelques r#
contres etlcourageahtes. Ainsi cefi®
d’un vieillard qiii approuva avec un
air de contentement tout ce que j®
lui dis et qui depuis lors fréquentf
régulièrement les cultes. Au reste,
la Parole de Dieu n’est jamais saii®
effet, et il y aura sans doute u®
jour quelque fruit de mes tournées,
dont pliirieurs me coûtent pne àt'
laque de fièvre.
l.e Samedi 9 Avril je partis àveC
Willie pour une tournée à Libonda,
gros village où nous devrions avoii'
une station si les hommes ne rnàrtj’-j
quaient |tas. L’eau s’étant déjà rétif'
rée en- plusieurs endroils, le voyag®
fui' rendu plus! fatigaiiU jiàVéf
nous devions parfois marcher daof
l’eau et tirer le canot, qui rasait 1®:
fond. Gepeiidanl nou.s fûmes* asse^'
vite au village de Namacala qui'ic®*|
aux 2|B de la route entre Loatile e**!
Libonda. Depuis là on apercevaif
déjà U» arbre irameuBe qui se Iroiiv^
au milieu même de Libonda. À
macala, tout le village vint noUq
saluer, ét le chef nous fit appôrlri’|
un gros plat de maïs.* * Ayant liât*®*
d’ai'river à Libonda, nous leûp do»"nâmés rendez-vous au Lundi 'pouf
avoir un otille à' notre ii'etour.i ‘ •■îi
Mais déjà la fièvre m’avait ‘ attai'
qué et, en arrivant à Libonda, !®
ne pus que m’étendre sûr une natt®>
la tête à J’ombre et le corps' au soleil, pour fairê cesser les frissonfNous ne lardâmes; pas^à,,recevoir'
des visites, entr’autres celle ¡¡¡Î?
sousMfhef qui nous fournit généreu^
seraejit nourriture et bois, mar ^
-i
3
- 323
^ distance de la forât. Tl y avait
""^si là le frère de’ Noliatiga, venu
p/'essément de la capitale pour
™üner un peu d’impulsion aux gens
®Í6Í, I Le sous chef, à peine il eut
^PHipris que nou.S désirions avoir
’’Ps cultes, s’était empressé d’en*
jjûyer des canots pour inviter les'
W)itaiïls dés' villages envirotinànts.
soir, pendant que je gémissais,
l^^illie' eut le premier culte avec 35
Wtsonnes, et le Dimanche matin
fl' autre avec plus de 80 personnes,
|üt(e nos'gens. Croyant être plus
wt't (|ue je n’étais et désirant que
course ne lût [)as vaine, je tins
"’avoir le culte principal pour lo•l'iîé! 145 Lthondiens se pressaient
|ous le grand arbre. Je leur parlai
*|2 heure. Mais cela m'épuisa tellefant quCj quand le ' culte *fu't (ini,
i®ùs toutes les peines du monde à
^^ire les 100 pas qui nous séparaient
i|[P notre logement. Impossible d’ali'Pf au 3” culte, terni par Willie
[®v^ec 104 auditeurs. Il en tint encore
feux autres le soir et le Lundi
î'iiatin,* et les deux furent bien fréPtientés, ■
Le Lundi nous ne parlîrae.s qu’astard à can.se'du vent qui rendait la' navigation' périlleuse. Pour
?Vpir plus d’eau nous passâmes par
^ftouramoa, village presqu'aussi gros
Jliie 'Èibonda, à Ifi li. de canot; À
^ tombée *de la nuit nous étions à
^ptnacala où on nous attendait dejáis ï iongtéin ps. J” avais * beauceupi
*eun'ert pendant le trajet. Ce fut de
*ieiiveau Willie qui se chargea du
N te dû soir eji de celui du matin,
réut le village était présent.
Le Mardi, après 4 heures dp ca*^91, nous rejoignîme.s Loalile où je
pjjs i(|ue trie mettre au lit et
laisser soigner pendant une se^
*éaitié par mes'hôtes ». 1 i
IV A & G Ê LI s A TIO N
^'Noüs résumons d’après te Libero
Medente de Naples ’quelques don-^
nées sur l'origine de l'œuvre évangélique à Revere, et sur l’inauguration du temple qui a eu lieu le 17
Septembre courant,
A 45 Kilom. environ à l’Est de
Mantoue, se trouve, en faced’Ostiglia,
le gros village de Revei-e qui compte
3000 habitants environ. Les premiers
qui uppoi'térent aux bons patriotes
do ce pays la lumière de ta Parole
de Dieu furent les colporteurs, qui
, sont les pionniers de notre œuvre,
lies pasteurs vaudois de Mantoue
vinrent ensuite y donner des conférences et par la grâce du Seigneur
la semence de la vérité ne tomba
pas en Ierre, Quatre ans plus tard
M' le pasteur B. Celli put établir
des services réguliers dans un local
toujours bien bondé d’auditeurs, et
tous les autres pasteurs qui allèrent
à Re vere furent frappés des bonnes
'dispositions de cette population si
CGui toise et si pleine de respect
pour la liberté, * .
En peu de temps deux curés de
Revere se convertirent à l’Evangile.
Ce sont M' Grisanti qui est actuellement pa.«teur à Memphis (Etats;
Unis) et M' Barana aujourd’hui colporteur en bicyclette daris> la province de Mantoue.i !i
Il est superHu de dire que le
clergé romain fit une opposition obsr
' tinée et vigoureuse à la propagande
évangélique, mais les habitants de
Revere firent tanti et ai bien que
le Comité d’Evangélisation de notre
église se décida enfin à l’acquisition
d’un grand corps de maisons qui
occupe tout un côté de la rue principale qui va du grand pont air
palais municipal. Une de ces maisons
en face du fleuve est occupées! par
l’Ecole Supérieure de jeunes filles
déjà connue de nos lecteurs et dirigée par M"" Celli. L’autre, située
en face de f’hôtel de ville, a été
démolie pour faire place au joli
temple construit récemment.
L'inauguration de ce temple fut
une vérilâble fétey non seulement
pour les membres de l’église, mais
4
- 324 —
aussi^pouf' niie bonne partie de la¡
populaliori; Les ipasteurs vaüdoia. de
Milan, Brescia, Vérone, ManLoue,
Revere, et même celui de Naples
<pii s’en retournait du Synode, - é
taieni présents. Bon nombre de Irères
et' de sœurs de Vérone, et de Mantoue s’unirent à ceux de Revere
pour les nombreuses réunions du
47 Septembre, qui ; restera mémorable pendant longtempsi . : : ‘
Î^e, temple fut ouvert à 3 li. En
quelques minutes il fui comble et
le corlége des pasteurs, .entra, ayant
à sa tête M' Paul Longo, chef du
district Lombard-Vénilieu, qui lit
un. discours approprié à la .ciroonstance. Il insista sur îe .fait que le
temple chrétien doit être « une maî^
son de •prière» , lyaüilude de la
foule fut'admirable, les chants hai*monieux et entraînanlsel l’impression
produite .solennelle.
A 6 b, et;M' Celli réunirent
chez eux les pasleur.s-^ |>résenl.s el
les membres jdu. Conseil d’Egtise
de Reve lie aveeM” le cliev. ingénieur’
Liborio Coppola qui a latit fait pour
lai construction de ce temple,: ■ l; -.ï*
Le soir à 8< b. ; la foulé l ut plus
grande encore. Un > grand nombre
de personnes ne put entrer' et occupa les abords, du temple pondant
qué M'' le l).; T. Oay de. ,Naples
parlait peudautqilns d une hem e sur
« l’im portance de la u eligion .», l/altentiou fui l'espectueuse et .HOuleiiutV
mais, la foule ne sut! s’empêcher
d’applaudir. . :
l 10 h. eut lieu uue agape fraternelle ¡à laquelle prirenl paib.-les
membref? de: l’église et plusieurs
adhérents. Quelque.s pasteurs don-,
nèreni pendant les jours suivants
de.s. conférences qui altirèienl encore mn grand nombi.e d’anditeur.s.
Que Dieu bénisise son; œuvre à Revere, et que ses servitëursi.y soient
les i n str U m e n ts de, no m b r eu ses con versions!, E. B..'
i t I • —,
Foi et patriotisme, montrant, tqu’é,!*
Italie ce ne sont que les évangéliqu.^:
qui peuvent unir la foi (et la vih#
foi) à, l’amour de la patrie,., M
public était nombreux, si l’on pens^'
à tous les moyens de dislracliptt
qui étaient en jeu, à l'occasion de
la fêle nalforiale. »u ;
l(’lusliLul Evangélique,;, qui a
bien fonctionné l'an ,(îernier, se roui;
vi'ira agrandi le 5 (Jclobre, Tari(ltf
que jusqu’ici il, ne coinplait que le®;
3 classes élémentaires, il aura •‘lét
rénavant aussi la 3® et la 4®. Les
trois premières sont mixtes; les deux
dernières sont réservées aux jeune.Sf
filles; mais on ppurray selon lééCt*'’''
coslance.s, y accepler aussi des jettl'
nés garçons. .■ .ur,,
Florence. Nous avons, reçu le;
rapport de la Mission Médicale PPÎ
a son centre à Bm’go Stella, à Flot
rence. Il s’y est fait 104 opérnüP^'
chii.urgiques çoplre 75 .de raup®^
précédcnle. Outre les opérations
les .soins médicaux, lips malad#
nécessiieuxreçoivent des vêlements lu
et à tous est .offerte l’occasion,, difi
connaître l’Evangile qui leur est aPtiioricé dans, île local même, et daji®
l’église; vaudoi.se. En ;4 inpis,. P®
colporteur a, vendu. daii.S|le, iocalrlî ;
à ses abords 1397 Bibleaiet porliofl^<|
Le bilan de, l’œuvre .est dp 3713,ift’li
desquels il reste en caisse i,46 -1%
pour commencer le nouvel exerciP
Messine. Le soir du 20;Seplembre»
M.Í eBulîa tint une conférence surj
CHRONIQUE VAUDOlSI
' ' ' ; Í.. • .11, > ) i I '
PIGNEROL. —■ Nous exlmyi»*
les données suivantes du rapport df
celte Eglise sur l'année 1895-96, qé
nous est parvenu ; < W
II: y a 287 communiants, desq.uell'
50 seulement sont électeurs. ÜP^
nouvelle Union Ghrélieune s’est foh'
dée, à S, Second. —* —i'
Les , écoles orit été fréquentées .f
Pignerôl par une frenlaine d’élévc®
et à la Gioielta (Brtcliéras) par 23*
Grâce en partie ài des donatePi'®
étrangers à la paroisse, des restaP'i
5
— 32B
^^lions urgentes ont pu être faites
Î'J)i temple; on y it aussi, placé une,
•ftscripüon en souvenir (les memIttes regrettés de la famille Long,
^ont la générosité est bien connue,,
'i-H y a eu 9 baptêmes, 3 mariagesi
•il 8. morts, dont 6 communiants et'
çaléchiimène. , .
La vie d’église n’accuse point de
CQiiversioji bien décidée. Cependant
« plusieurs sont plus préoccupés que.
par le.passé de leurs intérêts spirl
Jüels, et la prédication a produit des
ifnpressions profondes qui, nous
l’espérons, préparent une vraie conversion », ■ i
Eu terminant, la relation formule
quelques désirs, trois desquels noussemblent applicables à quelconque
de nos églises: . >
Sauf le cas de,nécessité absolue;
que chacun occupe sa place au culte,
à l'heure fixée, et qu’il y i reste .jusqu’à la ifm, ., I: ! ,1 .1!
Que chacun s’engage, devant Dieu,
à se réconcilier avec son prochain,
sacrifiant les rancunes ou les intérêts;
mesquins: qui les, divisent,i ou soumettanl leurs dijïéreuds au Conseil
d’église.''... 1. . ... ,1 .. iM .1
Cessons de nuire ,à ila cause |,de,
l’Evangile et de scandaliser le monde)
avec la prolanation ouverte, souvent
même elîrontée, du jour du, Seigneur.
I Le bilan financier monte à francs
3942,47, avec nu lésidu en cais,se
de 345,37. La conb’ibuUoo ,,pour
l’Evangélisation ,a été de ftv 248,20,,
celle pour les Missions de174,30.
I.e Conseil,est aidé* dans la tâcfie
ingrate des collectes,, par 2 colleçteurs et 7 colleclrlces du Solda Epan^,
Sielieo qui ont recueilli en tout'
Ir. 246,05. —^—— , , _
Les pasteurs des ¡Vallées,; réunis ,à
S. ; Germaia le 5 c-, recounaissant
que l’Ecote Latine du Pomaréa be-!
soin d’un troisième professeur pour
que sa marclie soit normaie,, ont
décidé, d’y placer dés celte année,
en voie provisoirê, M. Jean Ribet,j
docteur ésTjettres, actuellement past
leur à Rodoret.î . ,
UN SOLDAT VAUOPIS
prisonnier eii Abysàinie. i
' , i ’ ; - ' * ) ^ ' 1. • J ‘ ' 5 * f ' ' J • - . '
il,çs journaux politiques ont pufilié
le ,nom de la plus gran(îe,partie,dos
militaires, italieijs prisoùn|‘ers'.de
Ménéfik. Nous u’y trou vous . q^ú’ún,
Vaudoisi'jie soldat .jlacques, ,Roman'
de.Prarustm. i
‘ -I • , t..i; )iw>' Ml'.' !)' - "> ■
;Utii :Vihudofs' qiii'C<»nArlbu^- >
A' ENRICHIR tES< SCIENCES NATURELiESil
Le Bqllellinq dei^Musei dd Zoología ed Anglomia cgtnpargta., délia
H Vnivefsüà dî^^'orino, en irendant
compte , de,s espèces rares iJ7n,sectès
et de reptiles, f’ecueUÎids,.par ’M,'|
Lpiiis, Îalla, inissionn'aire au Zàm-^
béze, annoncé que six 4e "ces espêces.tSoqt entièrement pouvélleé pour
la science et qu^elle’s porteront,, par,
conséqueuf, ïq ppm 4u,,dpn£|ieur;| ' ",
D^àuires espèces noiivèlles ^y^leyd,
étéi trouvées, il y a. ,trois aus^ / ¿u"
Musée (Îé, Paris, parpii les , colleclioiis (fu’y , avait env(>ÿées SÍ. Jalla.^
MW—IW—PWW—i——^1——
BIBLIO G R A P'H IE '
: , .‘I -/vn ■' i
Snlietln N” 43. tdenla i Société,>
d’íítsíoíré V<tMd(JÎ’ae.' V
' Ce buliétin ' ne 'contîeni' que trois'
articles coiiberfiaht ' excliisivemeiit'
rilistoiré' vaudois'ë. * '
Le pré’mfer, traduit’de l’allëirl’and
par ‘ f^L ’ H,' Méillèy * est ‘ dd à' la plumé'
de M.,’ il(. ;At“hard,y qui’ pous fourfiit
leu dêtads lés pÎüs ifiíéi'ésqáú'ljí siVf
la Coldnié vaüdôise dè'^ôY'ù'Eotzh'ausen/ petit village ,dü’ |a'n(lgt à^iàf '(')
dé' Hésse-Hpmb'd4rg. ’ C’est, un petit
siiñatúalré' (je‘ í'históirepélîtiàdé. ,1e- ’
lígiéíise et, éeijriortliqoè de: lé^éóloiiie
fóndéej ' l'a |fi n^ du ' I f" .yiéçîél
Nous' y tj'puvons dè'p'i'éciéüîi féhselgnémeUtii' sur les’ npttis dès' Îdhda'
leurs dé' là 'petite ' é’oHiHàüpauléy s^
son rféyeloppèm'èULéépnd^
P'f Le' ilahdgraváat i b í été 'amexéJà la
Prusse an 1866. - . Mh- Pl ■ 'a:;.
6
m
sies‘ V*f|^^ô»^i''£N’ec' IéS'Îàrj%iaŸeà -dif
Hesse «tot le«*( église» due^voisinage,
sm‘.son gouveniei;rief!t oui fut<i!aBbi;n''diïtoiiiàrtiy'ioti'», id^coWtrÔle be.
èicoijrs aux àmis I
;• LL - lii. iAî f„ .iî i
gèW ' 'ptfu f 'feu I j V enii* ' ‘k' 'ses’ frais ‘ “ ’ 'né
voulant pas saorifier la fânefue' ïVan-’
çàîsê eF s iïPTd ü f■“ sôn“Trîffépè ri^a'lîCe'
eccié«iÉiHik|iue>>aN< jt’iKiisAant iuxs bi Utédeus:) tau« aux« iiéCoii'né»; tpi.ilieur'
faisaient,les olfres, les plus^ '
gùbsps- Éaié la lutté tfô' nobyàit durer éfe rll ell'éiii é)i 1' |, ^ 'dtep fi i s <juè'l-'
q lié s a ti uééé, ta pét i té ' égl I se vàudoi sè
à bf)ydf.béfe'^àrTëg^ lüthéi’Îééné
et“^le,‘ftànçâ1ii^’ a ’‘dÎàpaéii ‘’de'é édéleJ;,
Lÿ'Vie i'éligièiVsé ïi’ÿ’'iï rieft pèHlu/
au dire Ùe iî. 'Aidiéild, ffiiP'Îérinitië
sén’éVjfïcfe' feW'‘évoquant‘les ’« 'Vieilleé'
tMiiiliBiis * ët €^n éihBha'nt « tes enfants *!â"iië',jiliié'ai8 'b'uliliër ulifétaieiil '
ièy'‘|)éf'és'»''''i ' '»tuiMi
‘‘‘If.ie'sécoriiï’iirl'iclë ttonceéné ir'
défeniués càiiitk
leWs'amefk'àWèk â’aidrefoié ht
jàurâ'îim »7 Xë“îiorn dé lliütétîr, M."
Eu^èiii |4tÿiéMd; jfiç (Crest (ÎDi|)rpej^
est avanlageusenaejit connu parmi
nous, grâce à ses nombreux écrits
quii'ont paéu -îdabS lés/builletiliiiîile
noire société. La i|0£Mji’,&lÂté des Yat»^
même de leurs enne(n|s les piu.s^
Î?Y'’S.'/P.
nejis .i^égi.élydue^,, l^oi^sue^ et Canfù,^ :
SP ,¥:ne,p.t pas apcùfér „¥;,f'
citéi entre autres,'deux de ces’ ac-'
!cusaleurs; Gabriel Martin. «'ObscuF
abbé ilaupbinoiS' du X¥Ji* siècle »p
et Jules Gbevalier aétuellemenl prof,
d’bistoire dans un sérnirfaire franéâis)
Le dertùèé surtout est réfuté ' par
M. ArUainl par une argumentation
des plus logiques et des documents
irréfragables. r • ■ c t
M. Me pVof. P. nUkifre, dont -le'
nom a paru dans pre.sque tous 'tes
bulletins dé*“la Société d'Histoiret
Vaùdoise, et dont te collaborationadlive eLintelligeiité est si jtislemanP
appréciée, a inséré dans le derrtiei'
, butlelin le commencement de là ^ ,
I partie de *sa Storia dei Stffnori di
Lusèrna. d Ictnpi modemL'>;Pei'4’
sonne ne t^faltendrâ à ce’que'jé'ré'
fsume ici ces 75 pages hérissées': dé'
datés, bourrées de noms propres, et
urttné rictvessé de (locumellts ét de
citations enrayante! Je constateiai,^'
en passant, que les patieffteé Te-*'
cherchée'que M.: Rivoire a làïtés
'dans les arcbives des Comtes dé
¡Léseroe, de la Gommunè de-'Lû'
serne, 'à la bibliothèque'de Pignerol,’f
aux Arèhiyes d’Ëtàt ét atlleurs’dans
île but de nous donner une histoire',
■chhiptète et ïidèle ' des 'Comtes de
¡laisérhe, ont été couronnées d'é'
;SlibeéS; 'i-r-'-i.i. .,j -. i,,'^
'Lëé'.lyuaire lô.n^ chapitres que*^
nous dv'Girs 'sous desoyeu'x détaillent
plutôt Ibistéire de' la familie 'déé'
¡«'Mahfi^di'idi Lusernal», 0oe largé ,
la çelébratiQn, de, leur cb ét, ce
qui plu'é é.â','“îs'pi'étcHdént' s.é fof'HÎér
suri lés (iéclaratiens iinême8„de quelques martyrs vaudois. Mi Arnaud
piàcejÿ est;'ipotirtatit< faite à leurs'
l'appbi'ls' avèc les Vaùdois, ‘avec lé»
soüyeraius cdnlelnporaibs de la mai- .
sofcVlé'Savoie^ avec les seigheurs':
du vblsihàgé,'Surtout les Rigliori'et’
lés Roréngo des dlll'érentes branchés,''
et avec les persécuteuts des 'Vàùdoispi
. Iteritaléwn- Béisoür, la Trinité et CésIroeari Ofi y trouve' même' des clhnI nées foit intéressantes' sur» ce qué'
ij’appellerai la législation locale de
d’époquei<' ■ ■
"A'"côté de plusieurs! noms dé»
personnes 'né sfèlevant pas au- des-^'
suS'ide' la médiocrité que M*. Ri
voire a sauvés de l’oubli, on est-
7
327 —
heureux de lencaul'rer fceluj de
^rlo Manfredi qui méi’üle une
•ïieniioii parliculiére. Contemporain
'Î’Æmmanunl 1*1 li li berJi I lui -reete
fiiièlç datds bcijiine, et dans la ,n9ai;iVâisfe fòrlùne et se laisse déiîbuïlÎèr
de ses lid's -par les ITrançais, pour
''Vouloir garder la foi à sort î-souveifain légiilime. Diploraate et guerrier,
d'est envoÿé en ambassadè auprès
de Charles Quint, du Pape et
d'àuires souverains; il est nonatné
successivement'gouverneur de .Nei<
ceil, de Cuneo et! de Mondrivi,ti el
Se distingue surlont, ainsi que! sa
vaillaiitei éportsè,' Béatrice de;Savoi«i
au : siègéi de Cuneo. ìli dut ami des
^audois i antant que.ile ¡lui permet•ait sa double rqualiléide .Seigneur
et de calholkpue; ' et Sàolre auteur
tend ,.hommage à ,sa..Jû.yaJU.té et à
Son honnêleté qui ne démordirent
jamais:'*^ '•*' *
■''dü , , ,, ^ (•.! i > ' , m'S'). jiüU.
w.,,1 Il -1 -l'i III lì I .....I
AU SUJET DES VAUDOIS
à propos des Arméniens.
Le Conseil‘fêdéiràl ktiisée*" Va être
appelé à se prononcer sur une péli tiori populaire'léndaiit à pioVbq'uer
tiiie iiilèrventibn efficace dés peui)1eé
cnrêliens eti faveur dés'Arm^Wierta
.iPaucùns bbjectéiit *{iué, '*par '' c'élté
action dîpibmatîquë, là Siilsii^ sbrtiréitdéiion lôie dé puissance béuire’.
A ce sujet, ta Gnzeîtii 'de~twamnne Idu’ 24i Septembre rupppllë
avec ibeauconp d’àUjtPpos,u<par la
plume de AL H. -Vap Àluÿden, unq iniei ven lion suisse en fa vuur des Vaud ois
auprès des ducs de Savoie 'qui;; eux
aqssi^ ^voblaient faire |>asser ' leurs
sujets’évangéliquê? pobir 4és i'a’etieux,
Le s Can tons pro testati la affirmeu I.
hatiiement riimoeetiee’ des" Vaudois
dait.s line lettré dë t665jquq M.' yàn
Müyjieu jiiite P} ieoçlensô.
I • " I T--, ■ I—. I ...
Ou vrag^e’s reçus*
. Lieto messa^ioû.qper
Rappòrti ; sulle i guàrigioni i del signbir
iVignes, à/Vialas,i2ftdent. Borna, Tip.
Popplace,, ivia Vicenza, 1801}. ;, ..^ '
Cet opuscule a:;d’abofd.élé,iifflpriimé en, qllemandj, et en .inoins ‘île, 3
mois plus dci!25,000 exempiairiesien
ont été' lue, Jje. (buti ideüîces, .«sécds
n’est pas d’attirer des vlsiteurS' i à
Vialds, ■ mais.aü cantltaire sid’iinvÈter
les malades à s’adroRseridireçtflmeut
au, Tou t, pu issant, > lài ■ t’exempi ei ; de
AI.‘ Vignes.',}'v: in-> •>,»
.î.iPiEkTUo PftETE. Il ivero pristinnesi;mo- éattoliGo' apostolipo;, cent. 40».!
‘“'biifilles* 'tîij- iiÿliîliiv
ScBPAPt' F. La ' p^rsolià > di Orioto.
Sd parfaitëo hürtiibnité ' coiasUrénêe
commé une prebve ide ¡sa iliviHilé,
avec I un l'écuéthideitéfribi^nèfges inb*
partiaux^sUr le i caroolére ; de'bJésws.
Traduit de la 12® éd. anglaisenoBi'
f."Romano,'’l84Iji. 'Briii'i» îjQOi i'.!
i ! ■, A." b' ► 0.' * CBttsii.1 * La vortï ■ »i >
3®*libro<di* letèura jmompiteto séoondb
gli ullrmi O'prbgratwmi' igoveruatiyiv
174 p.'Prix;!0,50',»■li.iî •■•'i
J. Rocuat. L’Alcoalfettiq ossla nii
nemiebJdeüa séeifetk Traité/ &dent<
,1 i(! I /' fil ,.riîio;/,(îrvi ',,1 .(1 dtoiii
i, li'AMICOiDIi CASA .U
’’Cèl, almatiàcli',‘l'qiiTféH; sérà'' én
18'J^ à'sà 44®' àbtfêéViibhUde 'Voir sa
l'*V'èdftibii,''dè*'SS'OOÎÎ''‘copiés, pcftif
1897**éiiù'iééë'étiti0î'ètirtertt dd 1 Sèp'
téiiibré àu'l 'Oétbbi'é.*
'' Lé 'prix* “dé”bét 'àltirana<iH'’à'été
rédi'ilt, ■befte aftfiee 'dè i25‘ délitiiËièà
■t*
.AéLi/i
Ü40.
,! ipiiti 'l'ti,;', 'si
¡itU,CV;IIC.'1*(lUil'q>U«m, ■'•d
■fqi ‘tftltus !'/( St ii v.’t r»i '(Ills 'Clll-:
•'-A .;l<îtiiC.>l,q .-.lu'.•miOff.»« '.'«b ,
Le?i minlslèreHa geçu »et fait publier une liste de sous-officierepcai
pordnTX” et" arddn1s"''|u™i^^
AbyssiniO.‘ÎS1é*tfbinftiWd#peu près
un bniHier dë‘mombp»io’est-à d4i>ol la
moïliïé enobiOH' du, riom^)^iiôla4> ijé
géhénàj iVùltos esbspaîrti spoi«', Q’Ai
byssuüe scumine pléiiipotaftliaind dii
gbuveriieîneut u pour U tiégocten! un
traité des paix Avec le Négits. sKM
8
328 ~
apsëure que' Ménélik iet Makonneft
désirent la paix et que leurs pré'
tentions ne seront pas excessives.
Le 'Miiijslère, au dire de 'iplusieurs
inurnartx, serait'à peu près sûr de
là prochaine‘ liItération de tous les
prisonniers, i
’ Le prince’Victor ’Emmanuel est
arrivò à Geltignei et a reçu un ac*
CUeiLeritliou.siasté: de la’population.
Le contrat nuptial sera stipulé ’à
Rompi* au palais de la! (ionsiilla,
jeudis courant, entre’ les ministres
Visconti - y enosla ,et Costa d’un
côté^ èt le président {in' Conseil des
minâslresiiet le wÛBi&tre de la, justice
du: Moriitenegro de. d’autre* ¡ On travaille fiévreusement à parer l’Eglise
des Sauta iMaria idegli Angeli, où
aura dieu la cérémonie religieuse du
'inqriage.i;.;:;:. .i- :i. Pun.;- f
L’empereur ,de |liies)e, après: i uà
séjoui* de deujt (Semaines au château
dé(Ralmoràlÿ|reçoit .maintenant lés
appiaudieaqmeuts f entliçusiastes de :
ses alliés les Irançaisii 1*6* .président
de la Républjqpe lest plié le recevoir
à, Cherbourg, gp le Gzar;a;débarqué
lundi 5. La rencontre des deux chefs
d’élat a jèté^ d^fe ! plus ) côrdiales, et
)a, ÎpplÇ: éporme, quii ,qe pressait sur
les .pas de» J’Etripeveur, ,spit lé long
du voyage,, ,soitH»pi;tou4 à, sop arrivée P; Rarfe, ,u,pe fois de
plus combien le, peqple françàjjs tient
à) iraràiMé(*,eii'(.à ¡l’alliapce ,5tvë,ç. le
pnissprit, ernph'e..,Ppies6 cëtté emifié
avoir pour résultat nori seulement
la prospi^ité. des deux peuples mais
le maintien de, la paix entre toutes
le.s puililfipde» tle^l’ËdiSope*'£)n assure que le Czm;,, p’est animé que
de sentimenls pacifiques. Nous faisons des vœux npeup i qu’ii 'erv soit
toujours auisijr- i. ; i! -.mi i-i!.!
i „ |fi5r,r>i»ilifc-nC:qrirlç©.
ui Dans lei secondi-article A ilU;,Vier:
Se Gmèpen(Num. 40) - à
la seconde coiomie; auidiéu. de don
de tolisez Sans: la nature;
a» lieu'dritto'»«irittiîc eLpar d’é*
inde, iliseZ la nature,’ par l'étude;
au lieu de debardement de rétiolu\.
lions, lisez débordement de tévé'lations.
COLLÈGE ET ÉCOLE SUPÉRIEURE-,
( fies examens d’adrnis.sion auront
lieu Jeudi le 8 cour., à 8 h. du malinLes examens à refaire auront lieu
du 9 au 15 en commençant à 8 h. ëu
matin. î > ’
La fête des promotions se tiendra
Samedi, le 17, à 9 h. du matin,
dans la Salle du Synode. '
En vue des promotions, les élèves
du Collège et de l’Ecole Supérieure
sont convoqués pour le 16 à 2 h.
de l’aprés-midi, au Pensionnat,¡pour
un exerciceide chant. î- '
H. Meilcç, directeur-’
TEMPLE DÜ CIABaS i
Dimanche, 11 Oct., à 3 h., culte
avec prédicalion. Sujet:/d?/er de «<*
personne. , i î i
AYJS IIPOIVMT
X,la veille d’envoyer les billeli
verts, nous priplns^ nps, iipmbreu,^
ahoiinés qui n’ont pas éncoré soldf
léùr al)pnnemeht,!’de vouloir le faii’?
sans nous obliger à recourir à cet
expédieril, qui n’est pas sans frais-i
Rapports dh-ects èlitre le Producteur et leiGonsoinmatear. > - 'r
'’Uà'dés “inelHè'urs Horlogers de Besançon
et afiai- -chrétien' offre directement à nos
lecteurs des montres de tous modèles, ,
soit «iéto?, spit argent ou or, à cJef ou.®
remontoir,, à,dès prix réels de hon marelie,
et' àveè tontes garanties possibles, sUr
factures.! Nous ednscilloas à ceux de nos
lecteurs- qui : auraient quelques achats a
pffectHer dç ne les faire qu’après avoir .demandé et consulté ie Calalogiie détaillé qu®
leur enverra /‘raaco Mai-c EJIIEEÏ fabti'
eant d’Horiogerie, -à BESANÇON (Doubs)
France.
-Uü:
J,. P. Malan, Gérant
ÌìéLiHi i uni i>,rn:.i.ih- I
Torre PelUceM- Imprimerie Alpina-