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Soixante-quatorzième année
18 Février 1938-XVI
N“ 7
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ifelX D'ABONNEMENT f
Dalie et Colonies italiennes . . . .
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Plusieurs abonnements à la même adresse .
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PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
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Un an
L. 12,» 25,
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Six mois'’
7,— rf.-,
15,
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On s'abonne: à Torre PelUce, au Burè^u d’Âdmlnistration de l’EcAoiVia Wlgram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, cbéz MM. les Pasteurs.
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V,
L'ABONNENŒNT SE PÂÎE p'AVÀNCE.; .f;,
S’adresser pour la Rédaction, au Do^.^ALEEÇT RiCCA, pstiXtoi r~BûtbioPellke
(Torino) — pour l’Administration, au Èurêatf du Journal, Via Wigram, N” 2 ^
Torn Ptiikt. ■ '.„. r"
Pour toutes les annoncies s’adresser àu'Büre^ dü joiirhal.«
Tous les changements d’adresse coûteiiît " LIliÉ, sauf c%ux du ¡commencement de l’année. ¿îr
O Le tuxméro : 30 oeutimes o «
Que tontes les choses Vralés, honnit^, juatlai, pures, aimables.l^ dignes de louyange, oiroupent vos pelülièii (KbiÜpti. ÎV;, ^). >
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BUflique
|<»sq»Ïp»lB osBdai«,*.
■t.
Td s’agit d’un seul^iîiôt. Mais ce mot à
une grande importance. C'est yEvangife
de Marc qui, seul des quatre Evangites,
te rapporte. Après que Jésus-Christ fut
descendu de l|a Croix, Joseph d’Ariimathôe se rendit auprès de Pilate pour lui
demander te corps de Jésus.
Joseph d’Arimathée ;d’un côté, Pilate
de il’autre, quele diflPéréBée entre ces
deux hommes ! Pourquoi te nom de Pilate est-ii marqué d’un sceau de réprobation universeiie, tandis que celui de Joseph sera toujours rappelé avec sympathie, avec vénération? Ah! Voici: c’est
que Joseph osa, ¡et Pilate n’osa pas.
C’était cependlànt bien faefe, pour Pilate, d’oser. Il n’avait qu’à dire un mot,
un non catégoriqujel, et c’en était fait
du complot ourdi par les principaux du
peuple contre .Jésus. Mais ée non il n’osa
te {)ronocer.
Joseph, lui, osa. Il ne laissera pas se
consemmer jusqu’au bout l’effroyable
crime qui vient d’être commis. Jésus est
mort,, c’est vrai, semble^t-il'' se dire, mais
son corps, peux-tu permettre qu’il' subisse
le SC.T+. réservé aux maMaiteurs, aux: suppliciés ? Mais comment l’empêcher ? Tout
d’abord en alant le réclamer à Pilate et,
ensuite, en lui donnant asilé dans tén
pro'pre tombeau.
Mais y penses-tu, lui crie une voix intérieure ? En faisant cela, tu condamnes
tes collègues du Sanhédrin qui ont tous
prortoncé l'a condamnation, tu te déclares
ouvertement disciple de Jésus, du crucifié, et aters c’en est fait de ta position,
de ton avenir. Mais il fait taire toutes
ces voix, et ü donne suite à son projet.
Et te voilà devant Pilate. Aux premiers
mots que Joseph prononce pour expliquer
.sa démarche, te rouge doit certainement
être monté au visage du gouverneur. Tu
es un lâche, a dû lui crier sa conscience,
et cet homme qui est là devant toi est
un brave. L’audience est courte. La demande de Joseph est accordée et, grâce
à ce vaillant entre tes vailp'ants, ' le corps
de Jésus ne será pas jeté dans la vallée
de Hinnom (Géhenne), mais (iéposé dans
tel sépulcre neuf de Joseph, et ÎEgldse em
tière, à travers tes âges, sera reconnaissante à cet homme de ce qu’il' a osé.
★ .
★ ★
D’une manière ■généralé on peut dire
que l'humanité doit beaucoup à ceux qui
ont osé. Quand il n'y en a pas eu, te
justice a été souvent foulée aux pieds.
Les abus les plus criants se sont donné
libre cours. Des institutions abominabtes,
telles que l’esdiavage des noirs, 1a tfaite
des blanches, pour ne parter que de celteslà, ont passé pour légitimes pendant trop
longtemps. (Mais lorsqu’un homme tel
que Robert Peel, qu’une femme, télé que
Joséphine Butter ont enfin él'evé te voix
d'une protestation énergique, tes abus ont
disparu.
Il y a quelque quarante ans, un procès qui a eu un retentissement mondiali,
aboutissait à te condamnation, et à te déportation dans rite du Diable d’un vail^
tent officier de li’armée française, accusé
d’avoir trahi l’armée et sa nation. Et cet
homme était innocent. Son æul tort, si
fort il y a, était d’être juif. Des hommes haut-placés, parmi lesquels quelques
protestants d’élite, convaincus de son innocence, ont osé protester envers et contré 'tous. Le procès a été révisé^ l’innocence de Dreyfus reconnue, et il a pu,
après cinq ans de souffrances et die prL
vations inouïes, rejoindre sa patrie et sa
famille.
Et Henri Arnaud ! En voilà un parmi
lès nôtres, qui a osé confire toute espérance ! N’était-ce pas, en effet, une entreprise témérairie' qui© ceilé dte reconduire dans 1e pays natal’ un peuple proscrit, une poignée de quelques centaines
d’homimeS, tout ce qui restait du peuple
vaudois décimé par la persécution, et autres fléaux semblabtes ? Et Arnaud, aidé
de ses vailtents compagnons, a osé tout
entreprendre. Honneur à eux.
I De ces oseùrs-là, il en faut aujourd’hui
plus que jamais. Si, par te garde de Dieu
t -J^fre peuple jouit de toutes lès libertés
' -¿Ivüès et-religieuses auxquelles il a dr<rft,"
j îl' est encore esclave de maîtres cruete,
coalisés pour te perdre, et c’est contre
eux qu'il faut oser se lever. C’est la légèreté, l’indifférence en fait dè croyaftee,
c'est te, course effrénée vers te dissipatioii,
l'abandon des mœurs simptes et austères de jadis, c’i^t l’impureté sous toutes
ses formes.
^ C’est ici, que les jeunes surtout, doi•vent s’opposer de toutes leuis forces à
ce qui flétrit te génération actuellè, mais
pour oser il faut l’Esprit de Celtii qui
a été te grand Oseur. C’est cet Eteprit qui
fera de nos jeunes une armée comme celle
des 300 de Gédéon., vainqueurs des Ma,dianites. RG.
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ir vùc'las«
.l^s 'Vâaucl'€»«s«:
c
Le roi Charles-Albert a eu une biai
mauvaise presse au temps du libéralisme
triomphant, même pour ce qui a trait au
peuple vaudois. On ne pouvait lui par^
donner ce qui avait paru,- en 1821, te trahison d’un mouvement libérât Aussi tout
ce que Charlas-Al;bert faisait, dans |un'
sens qui ne fût pas réactionnaire, l'attribuait-on à l’action quq les libéraux
exerçaient sur lui. La Constitution venait de là ; l’Emancipation dies Vaudois venait de là ; au dire des libéraux tout était
dû à leur influence, rien à la libre volonté du souverain. HaUreiuaeimont que
1e temps ©t tes études plus approfondies de l’histoire se chargent de dévoiler
la vérité des faits aussi bien que celte
des idées.
En lisant te texte même des verbaux
qui ont précédé te décision de l’Emancipation des Vaudois, il apparaît bien clairement que si le roi ne l'avait pas voulu,
cet «ACTE DE JUSTICE», comme rappellent avec un sens de haute loyauté
deux des plus illustres historiens de l’Italie contemporaine, M. F. Salafa et M. N.
Rodolico, n’eût pas été pcssible.
Quoi qu’il en soit, il est bien vrai aussi,
et, cel'a est tout naturel, que des influences diverses et profondes ont dû êfrej
exercées sur l’esprit du prince, avant même son avènement au trône, te disposant déjà tout favorablement à l’égard
des idées de liberté religieuse. Je ne signalerai que celle de Lamennais et je ne
m'arrêterai ici qu’à celte du comte Waldburg-Truchsess, ministre de te Légation
de Prusse auprès du Roi de Sardaigne.
La parution toute récente, aux Editions Le Mcamier de Florence, des « Let~
tere di Curia Alberto a Fiederico Truchaess», recueillies par MM. Sal'ata et Rodollico, quoiqu’elles né' citent qu’une
dixaine de fois les Vaudois à travers plus
de cent cinquante pages qui lès composent, suffisent pour nous démontrer d’une
part que nous sommes immensément redevablès au comte Frédéric-Louis Truchsess de WaJdburg de l’estime et des attentions que Charles-Albert a ©ues pour
tes Vaudois, et d'autré part qp,e bien
avant et bien en dehors d^ pressions libéraJes, Charles-Albert appréciait tes Vau
dois et voulait qu’ils fussent « traités absolument sur te même pied dès (sic/)
aute'es sujets», comme il l’écrivait te 30
décembre 1831. En outre, ces Lettres re
' vêtent pour nous ùnê^' häute'^impóíton^^
révélatrice à l'égard du mémoire que
CharlesrAlbert lui-même a écrit sur les
Vaudms et qui jusqu’à ce jour C0t non
seulement resté inédit mais dont on ignorait même la tendanc©. Cto ne saurait
plus te supposer défavorable aux Vaudois puisque Charte,s-Albert, en l’envoyant
lire au cemte Truchsess, le lui présentait en lui disiant que «quelque- (sic!)
soit votre opinion vous lirez au moins, je
m’en flatte drnis mon cæwr ». Aurait-iü
voulu faire lire dans son cœur, par son
conseiller et son ami Truchsess, quelque
cheee de défavorable à ceux-là mêmes
que Truchsess lui recommandait sans
cess® ? Ce serait absurde- de le penser.
D'ailleurs n’est-il pas mieux que nous
i mettions lies teicîteurs de l’Echo devant,
lies citations mêmes des lettre de Chartes-Albert, textuellement reproduites dans
leur français, tout en renvoyant à l'ouvrage entier ceux qui voudront mi|eux
pénétrer dans l'âme du monarque qui
nous a émancipés et dans ceUè de J’illustre protecteur des Vaudois qjui bien
des fois doit nous avoir directement et
indirectement signalés à lui,?.,.
*
* *
Le 13 septembre 1823, Chartes-Albert
écrivait à Truchsess, de Raconis ;
A.^'/e m’occupe hecLtumip maintemnt
d'une histoire des Vaudois que j’écris;
ce qid m’a mis à même de consulter une
foule de vieux auteurs. Dans peu de
jours je parcourerai (sic!) l&urs vallées
en allant voir les ancimnes ruines du fort
de Mirahouqm» (sic!).
A-t-il jamais été à Mirabouc, peut-être
incognito ? On. ne le sait pas. Ses lettres
mentionnent son passage dans te vallée
de Suse, ses chasses à Crissolè et sa joie
d'avoir ainsi connu quelques nouvelles lècâiités de «¡son pays».
En tout cas, te 13 octobre 1829, ayant
déjà envoyé au comte Truchsess sa wotice sur tes Vaudois, il lui écrivait : « E%
vous envoyant nm notice sur les Vauh,
dois, je n'ai qu’un seul et màque but,
celui de vous prouver à quel peint se
porte la confimoe ÿlimkêe que j’ai pour
'' Dows, et tà quel point je^' VoUs aime ; car
sans cela je rfauraîs jamais osé vous enr
voyter/un travail d’une télé nuédiocrité,
et traitant surtout d’une^. telle matière ;
en ne mpttant donc point de déUoatesse
à vous Venvoyer j'y" crois vous donUer
la plus prarnde preuve^, comhèm je suis
convaincu de votre aff^tùm, et c(mbîen,
je le répète, je vous cdme<. QueÎgue soit
vats'é opinion vous au rmms, f\e
m’en flatte dans mon, cœur »,
Ije 14 mai 1830, Charles-Albert écriv^ait
à Truchsess : '
« J'ai porté votre portrait à Ramms,
chaque jour en le regardant û me parmi
sentir augm<mter en moi, si ça peut être
encore possible,. le désir de me mériter
votre estime, votre affection, de vous rendra heureux de toutes mes actions; ce
qui forme le but de ma vie entière »,
m Paroles d’un© extrême affection envers
te comte Truchse^, et Charlfes-Aibêrt á
parsemé toutes ses lettres jusqu’au fendemaiñ même de la mort du comte son
ami', d’expreasiions id’attaqhemle'nt analogues. Qu’aurait pu faire Chartes-AlibeH
pour «rendre heureux de toutes ses. ae
tions» le comte protecteur des Vaudois,
aidant ? En outre, en lisant ces mbits,
ne vous semble-t-il pas impossible que te
défense faite aux étrangers de participer
au synode de 1838 visât particulièrement
te comte Truchsess comme on s’est plu
à le répéter ? Notez que te synode sfe
place précisément entre te visite que les
fiils du Roi Chartes-Albert ont faite aux
Vallées et dont il' reste un souvenir dans
l'inscription en marbre placée sur, le presbytère du Perrier, si- je ne m’abuse, et
te prése'ñtation d'un mémoire de Truchsess au Roi se rapportiant certainement
aux. Vaudois.
A l'occasion du premier, Charles-Albert,
écrivait, te 6 août 1836 : a
«Mes enfants sont revenus enchantés
et extrêmement touchés de la manière dont üs furent reçus par les Vaudois;
leur modérateur fit à 'merveille en les
engageant fi se présenter, et en pensakt
qu’ü était impossible que les avis qui.
leur furent donnés secrètement, pussent \
parvenir d’aucune personne qui connût
mes senti'mmts à leur égard, car quoique
d’une religmn différente Üs occupent
dans 'mon cœur unp plaoe égale d mes
autres sujets».
Et, à propos du mémoire présenté par
Truchsess, il écrivait, le .8 août 1839 :
«/’ai lu la copie du mémoire que vous
m’avez communiqué : je ne négligerai
aucune occasion en mon pouvoir de faire
du bien aux Vaudois, 'vous >,pomm .en
être assuré». »
D’ailleurs n'est-ce pas à propos de Vaudois et, entre autres, fort probablement
aussi de ce ménage dont parte Î’Hiftoire
dès VaufiiMs de J. Jalte à la page 228, que
Chartes-Albert écrivait au comte dans sa
lettre du 6 août, cité© i»-lus haut ; t Tai
chargé h Comîë de J. d’envoyer lîn
sauf conduit au nommé Subîglia pour
qu’û puisse venir terminer 'ses affaires
avec ses sœurs ; et si puis ü désirera de
se fixer dam le Pays, on lui donnera un
oon.gê absolu.
...Aucune perceptorerie un peu bonne ne
se trouvant vacante en ce moment, pour
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L’Echo des Vallées
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Vendredi 18 Février 1938-XVI
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PRO EMERITAZIÖNE. v
’ Commissioni Finanziaria
suite de ^ son, fai 'dit^ qu’on hd '.;^
dcnne pour le tm',tr^'iié-'/
hit de seU et tabacs qui vient 'im d&oe^ ìì
mr vacant ;■ qu'on Lui changera ptäs krs-"
qu'il y aura une peroeptorerie disponible'».
Mais passons tà quelque chose de plus
m
Bûr et de plus général fait ’ par Charles-Albert en faveur des Vaudois encore
à cette même époque. ’ g;
Les marchands'Vandois de oette épo
■>p* ' , ■
que avaient la très louable habitude de
fermer leurs boutiques à rheur© de leurs
cultes. Des catholiques s’en plaignirent et
voulurent les obliger à les tenir ouver-,
tes. Vcici ce qu'en écrit te Roi CharlfesAlhert :
« Ayant appris par le Comte d!e... qu'on
s’est plaint à lui de ce qu’une personne
dans tés vallées avait &evé- la prétenticm
que des Vaudois ouvrissent leurs boutiques pendant le temps de leur prôtie ;
fcd excessivement iMmé oette p/étm->
tiôn et fai donné les ordres lés plus formds pour que cette personne soit réprimandée et pour que les Vmtdoîs ne soient
inquiétés d’aucune manière,, et qu’on ne
letur donne aucune raison de se plaindre ».
C’est dans te même sens que, quelques
années auparavant, te 30 décembre 1831,
Charles-Albert écrivait au comte Truch:
...«.J’ai donné moi-même à Nota, l’intendant de Pignerol des instructions à
leur égard (à l’égard des Vaudéis) pour
cpie non seulemmt ils ne soient pas vexés;
mais qu’ils soient traités absolument sur
le même pied des autres sujets» (sic!).
El! c’est dans oette même léfcïre qu’il
disait au comte r « Je n’ai encore rien
fait qui soye éclatant pour les habitants
des Vallées» et il ne lui voilait pas son
désir de lé faire. Nous pouvons donc eondui’e que, si des forces adverses ne
rivaient empêché, Charles-Albert aurait
certainement, par l'impulBion même de
son propre cœur, fait depuis tors te geste
« jéciaiant »- qu’il ne bu fut donné de réaliser que te 17 février 1848, moins de quatre ans après la mort de scai grand ami
et notre haut protecteur, te comte Frédéric Truchsess de Walburg.
Siuvio Pons.
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(■»«»nd«
its.
Nous avons, encore reçu quelques correspondames concernant la discussion sur
les séances synodales.
Les deux points de mie ont été suffisamment éclairés par les articles déjà parus dans nos colonnes; par conséquent,
nous considérons la discussion close. Nos
aimables correspondants voudront bien
nous pcrmettré de ne pas insérer leurs
articles relatifs à ce sujet. Réd.
SOCIETÀ DI STUDI VALDESI.
La Società ha ricevuto con gratitudine
i seguenti « Fiori » per il premio Davide
Jahier :
Jm memoria del comm. C. A. Tron
e Signora L. 500,—
Prof. Silvio Polis » 20,—
Cav. Enrico Tron, Vallombrosa » 50,—
Jteur«'
Vy '.-S' -(rreM,tw««isimft lista).
Signore e Signori ;
A. - u. 50,*—
, Tullio Vinay, Firenze ' » 100,- ^
Giulio FaJzoni, Id, » 10,Elisa Sala, M. . » 50,—
N. N. ^ » 20000,r-
Altegra prof. S. e Signora, r
, 5, Messina » 50rChilcsi prof. Àlkna, Id. » 25,—
Chiesa di Messina, collètta Al-
bero di Natale •- » lOO,—
Colucci Mimmo e Duccio, Mes-
sina, dai toro risparmi*- » 50,—
Donato Grill Anna, Id. » 10,Drago Beltrandi Alba, 5d. » 30,—
Grill Paolo e Giacomina, Id. » .2,0,Napoli Vincenzo, Id. » 20,—.
N. N., Id. » 5,—
N. N. » 10,—
Santoro Salvatore e Lilla, Mes-
sina (2® vers.) » 50,—
Ausonia Maten, in memoria » 100,—
Tommaso Jervis, Milano
(2® versamento) » 100,—
A. C. B., Milano » 200,—
PRO COLLEGIO.
{Trentunmima lista).
Ausonia Malan, in memoria L. 100,—
Gersoni Giara (2® vers.) » 100,—
Coisson Roberto (id.) » 100,—
Lydia Kramer, Montreux » 75,—
L. Naso, Carunchio » 25,Hanno inoltre versato quote dei bro im
pegni prò Coleg-io i signori : Grill Emanuele (L 200 a saldo impegno); Gruppo
G. V., Torino (L. 200 pel 1937-38); Monti 1
Long Emilia (L 200 a saldo impegno); |
Rostain Giuseppe (L. 200 pel 1937-38);
Jng. Cougn Gustavo (L 500 pel 1937-38).
Errata-Comge. Nella ventinovesima lista pregasi léggère Alice Storti Revel in
memoria del prof. G. Ribet, invece di G.
Revel, ...
Mon devoir, ce i 7 février 1938.
Le devoir de chaque Vaudois, dans un
jour comme celui-ci, consacré aux souvenirs du passé, est de s'inscrire comme
membre de la « Société d’Etudes Vaudoises» qui se propose, comme il a été clairement expliqué dans un article paru te.
semaine dernière, de rechercher et de
répandre ensuite, par te moyen de ses
publications, tes souvenirs et tes faitls héroïques de nos pères.
Que chacun donc démontre son esprit
vaudois et son attachement à te terre qui
Ite vu naître en secondant de toute# ses
forces et de tous ses moyens lie noble but
de la Société, et en s’inscrivant dans l’une
ou dans l’autre de ses différentes catégories de membres. Ceux-ci ont droit à
deux Bulletins par an, d’environ cent
pages chacun, à lia brochure dêsorraaSis
traditionnelle du XVII février et à d’autres publications éventueülès de 1a Société.
On peut devenir membres «benemeriti»
et « vitiaiizi » en payant, une fois pour
toutes, respectivement 500 et 150 lires ;
on devient membre ordinàire en payant
annueltement une cotisation de 8 Diaconesses a eu le plaisir de plaider te
en plus, 5 lires d’inscription la première r'^ î:.' cause dul'diaconiat féminin dans una réu
, annee.
Prière''de 's'adiriesBer,,'poi<(r s’inscrire,
au Président de te Société, M. te prof. Arturo Pascal - Via Nizza, 125, Torino - ou
*au prof, Th. Pons, Torre Pelláce, en se
servant de son compte de Chèques Postaux N.. 2-9034. " . '■
£( conrricr de la diacoitesse
Il est remarquàbte que l'’iunique fois où
le Nouveau Testament parte explicitemenJt de diaconesses c’est dans te cas de
Phébé, que Saint Paul' appelle «servante
de l’église de Cenchrées » (Rom. XVI, 1).
En dehors de ce peissage, on a vu une
allusion à l’état de diaconesse dans ün
passage consacré au diaconat, où Saint
Paul ajoute ; « Que lés^ femmes soient gra' ves, point médisantes, sobres, fidêlles en
tGules choses » (1 Tim. III, 11),
Nous ne pourrions toutefois affirmer
que dans tes livres du Nouveau Testament le diaconat féminin apparaisse
comme une fonction ecclésiastique rigidement établie.
Et cela ne doit pas nous surprendre.
La préoccupation des apôtres n’a pas été
de créer de nouvelles organisations, mais
d’être, des hérauts de Oelhi qui se sert
des organisàtions, mais qui peut aussi en
faire à moins.
Si nous ne pouvons pas affirmer d'une
manière précise l’existence de l’ordre des
diaconesses dans tes Eglises apostoliques,
nous pouvons toutefois y admirer des femmes qui avaient Tesprit et l’activité des
diaconesses.
Déjà, au temps de Jésus, Saint Luc
nous parte de ,« quelques femmes, qui
avaient été délivrées des esprits malins
ou guéries de leurs maladies, Marie, appejlée Madeleine,, de laquelle étaient sortis sept démons, Jeanne, femme de Chuzas, intendant' d’Hérode, Suzanne et plusieurs autres, qui l’assistaient de leurs
biens» (Luc VIIiI, 2-3).
A ces femmes d’élite, vraies diaconesses avant te création de la charge, nous
devons ajouter le nom de toutes celés qui,
de mille manières, ont aidé leur Sauveur,
depuis ' Marthe et Marie, le recevant à
leur foyer de Béthanie, jusqu’à ces femmes qui, « méprisant l’ignominie », se rendaient au isépulfcre 1e premier jour de la
semaine pour rendre Ifes derniers honneurs au corps du Supplicié.
Comme on te voit, le diaconat, qui plus
tard se rendra concret dans la fonction
■ ecclésiastique, exactement définie, est né
d’un sentiment de -reconnaissance et
d’amour. Les premières « diaconesses » au
service de Christ sont des femmes qui
ont été délivrées de leur péché, et qui
désormais veutent démontrer leur reconnaissance à teur Sauveur par une vie de
service et d’amour.
★
★ •*
Quelques changements sont en voie
d’exécution dans lés postes où nos sœurs
travaillent. Nous espérons en donner un
cempte rendu dans notre prochain « courrier »,
I^e Directeur de te Maison Vaudoise des
nion tenue à Bobi, au commencement du
mois passé.
- " i if*
. . %
Dons reçus pour la Maison Vaudoise
des Diaconesses,. ¡M.mes et M.rs : Vera
Aguet, Rome, pqur Tinistallation de îa
Maison Mère? L lOOO - Dodt, Ugo TilM,
Id., 50 - N. N., Florence, 50 - Doct. Jules
Comba, Turin, 50 - J. C. Van Gilise Van
der Pals, Sienne, 50 - A. E. Dreher, Mat
nate, 50 - Tron Clotilde veuve Gay, Turin, 50 - N. et M. Fanton, Trévise, 50 Fuhrmann Albert, Zurich, 50 - De Planta
Alix, Turin, 50. (A suivre).
Les dotas sont reçus avec reconnaissance
par le Directeur, piasteur Robert Nisbet,
Angrogne (compte de Chèques Postaux
N. 2-19254).
nsDïülle! Al! la Sidélé Biaui.
ESPAGNE. Notre représentant, Sñr
Arau,jo, est toujours à son poste à Ma^
drid. Quoique autorisé ét instamment
pressé de laisser 1a ville, ou du moins de
se réfugier dans quélque Ambassade
étrangère, il a refusé de le fairé: « Je
resterai à la Librairie », a-t-il écrit,
« et, dans la pire des hypothèses, ce sera
mon,demier refuge... Mais Dieu peut me
^protéger en tout temps et en tout lieu».
Eu 1937, malgré d’indescriptibles difficultés, 36.000 exemplaires de l’Ecriture
ont été Vendus en Espagne. Quelques colporteurs circulient encore sur le territoire
du Gouvernement de ValeÎlce ; un colporteur vend dans la zone occupée par les
Nationaux.
A Madrid, direcitieiur et employés vi-.
vent désormais dans te sous-sol de la librairie. Malgré l'hiver très froid, ils n'ont
pas eu de chauffage, et même ont eu fort
peu de nourriture. On leur a fait parvenir, ainsi qu’aux colporteurs, quelques paquets de comestibles. La Librairie a été
frappée par un obus, qui, providentiellement, n’a pas éclaté.
Par une léttre de Sñr Araujo, du 17
janvier, nous apprenons que des avis ont
été imprimés par les journaux de Madrid, annonçant que la Librairie biblique
vend toujours,
CHINE, De Schangaï, te directeur de te
Société Biblique nous fait savoir que. malgré la guerre, il a pu continuer à envoyer ses Bibles dans presque toute te
Chine. Pendant le bombardement de 1a
ville, au mois d’octobre dernier, le ciel
coloré de rouge par tes incendies dominait de sies lueurs tragiques le tr.a.vaiî
persévérant qui se poursuivait dans la
ciré disputée. Des obus éclatèrent près
de 1a Librairie, mais sans l'a frapper. La
femme du directeur, absente au début de
te guerre, a tenu à revenir à ses risques
et périls auprès de son mari.
A cause de l’incertitude qui règne actuellement dans une grande partie de la
Chine, le projet d’union entre les differentes Scciétés Bibliques a dû, pour le
moment, être renvoyé à plus tard.
JAPON. De bonnes nouvelles partout !
La vente est en augmentation, et arrive
au demi-million d’exemplaires par an. Un
seul colporteur, dans la ville d’Osaka, a
vendu, dans une année, 31.000 livres.
Les Livres.
1 Valdesi ItaUcmi, par le prof, Giovanni
Rostaqno. '
Cet. opuacute, publié par te Société d’Etudes Vaudoises pour le 17i. février 1938,
est instructif et émouvant à l'a fois. Notre
éminent prédicateur et historien, M- te
professeur Rostagno, y retrace, de main
de maître, les luttes séculaires des Vaudois. 11 donne ensuite un exposé siommaire de leur foi, <;out indiqué pour ceux
de nos compatriotes qui tes connaissent
peu ou mal'.
L'opuscute du prof. Rostagno doit se
trouver dans chaque famille vaudoise.
Demandez-ie à votre Pasteur.
★
★ ★
Pensieri e Ricordj, par Fmda Maurtn
Un volume de 424 pages ; prix : U 15
— S. T. G. B. Marsano, Genova.
L’auteur, te compagne du pasteur vaydois M. J. D. Maurin, réunit dans ce livre une longue série de ¡souvenirs et de
réflexions qu’on lit avec intérêt et non
sans profit, ù?
*
. ★ ★ . ■ ."UÆ-•
Revus Mismonmire, éditée par te Fédé*
ration Romande des Sociétés Mii
sionnaires.
L’administrateur nous informe que la
« Revue Missionnaire » se fait un plai- ‘j
sir d'accorder aux lecteurs de VEcko des
Vallées les mêmes conditions que celles
fait^ aux protestants de France, &qiit
frs. franç. 10 par an (frs. 7,50 pour pasteurs, évangélistes et missionnaires). —
S’adresser à M. Louis Spiro, pasteur Saint-Jean Chambre p. Vemoux (Ardèche) - Chèques postaux, Lyon 526-66.
Voici le sommaire du numéro' de janvier 1938 : « Conférence internationale
des Missions », « Deux cents ans après »,
tKôpitaux Missionnaires>>, «Misères et
souffrances africaines», «La Mission nor’«ëgienne à Madagascar ».
V. iitigweiBfHii.---:.:.i!„i................. i n■píb
'* Errata-Corrige. L’articte « La Senünelite
Vaudoise », paru dans le N. 5-6 de VEcho,
doit être signé non Emile H. Tron, mais
EMILE TRON.
liKtltntiiu militata Mollai.
REFUGE ROI CHARLES-ALBERT.
Gay Charles, Saint-Jean, L. 3 - Revel
Samuel, Id., 5 - Perazzi Valeriano, M-, 10
- M.mes Prochet, Id., 5 - Fratelj Vaciago,
Id., KX) - Helga Steman, Haderslev, 10 Cav. Dionigi Cefesolè, La Tour, 10 - Doct.
Tomlinson, England, 100 - Rev. Fritz Patrick, Id., 100 - Dora Fontaina Roux, Milan 50 - Long Marguerite, La Pérouse, 50
- Ing, Guido Decker et M.me, Turin, 50
- Marie Charbonnier, Vilter, 11-0. Micholin-Satomon, Id., 20 - Davit David feu
Joseph, Id., 5 - E. et R. Jahier, Id., 25
- Adèlina ^ii, Rome, 40 - Les dames de
couture, par MJlè Clara Fabris, Naples,
50. - Miss Marion Phiîys, Edimburg, 25
- Mi® Philps Brae, Jersey, 50 - BertinRevel Lydie, Saint-Jean, 4 - M.mes Pe-
3
L’Echo des Vallées - Vendredi 18 Février 1938-XVI
Æ ir
'.^ 3.
BRESIL. ÌJ& longi du íitíuve des Amazones la vente continus à avoir son type
pittoresque de traivaii de pionniers. Les
dieux miUions d’hommes habitant Ibs rivages du grand Ifleuve ne connaissent
guère l’usage de l’argent, qui sert surtout dans lies circonstances exceptionnelles.
Presque toutes les ventes se font par
échanges. On donne pour des livrea ; des
, œufs, des poulets, des peaux de serpents
(et des serpents vivants!), des noix, des
canards, des singes et des perroquets. Le
travail de la Société Biblique est accompîà par lie moyen d’im© flotofflfe de batteaux,
dont deux sont à moteur et le reste à
r.ïmes. ' ^
EMPIRE ITALIEN. Ljs Minisitlère die
l’Afrique Italieinne a autorisé M. Manfredi Ronchi, pasteur de l’Eglise Baptiste
de Rome, à se rendre à AddilsHA.'beba,!
pour y devenir le directeur de notre « librairie i»ur les Saintes EcritïUæls » de
cette ville. Cette librairie a été rattachée
à celle de Rome, «qui vend, depuis de longues années sur lia Place de Venise:
M. Ronchi partira prochainement pour
àe dédier à sa noble tâche. Nous l’accompagnons de nos vœux, ,et le recommandons affectueusement à la pensée chrétienne de tous ceux iqui ont à cœur notre œuvre de diffusion de l’Ecriture. Son
adresse sera : Sig. Manfredi Ronchi - Lif>reria Sacre Scritture delà S. B. B, e F.
- Casella Postale 75 - Addis-A^beba
(Etiopia). Güino R. Mieoge.
llDliiiis Mieiiis Yauimises
Nous rappelons à tous les UnionistteB le
Convegno » des Unions Chrétiennes
l'audoises, qui aura lieu dans la Salle Ab
barin de Saint-Jean, dimanche prochain,
20 courant, à 15 heures, pour prendre une
décision très importante se rapportant à
l’organisation unioniste^ vaudoise. Que
personne ne manque ! A. J,
I <( Convegno d de la F, 6. V.
Diniantche, 6 mars, à 14 h. 30, la jeunesse vaudoise se réunira, D. v., dans le
temple de,s Clos pour le deuxième « Con\egno|» d’hiver." L’.argument' qui y sera
traité est « La solidarité chrétienne » dans
.■«'S différentes manifestations. Le sujet
introduit brièvement par quelques orateurs sera suivi d’une discusiaion.
CHRONIQUE VAUDOISE
ANGROGNE. 1.« 14 .courant est décédé, au Martel, Antoine Martirmt feu Jacob, J] était le doyen de notre .paroisse,
étant né le 7 novembre 1846. Nous exprb
nions notre profonde sympathie à lia fanulte en deuil.
★ La célébration de l’émancipation
religieuse aura lieu dimanche, 20 courant., au chef-lieu. Deux cortèges partiront, à 9 h. 45, du chef-lieu et du Serre,
pour se rencontrer à mi-chemin et se
rendre^ au temple,, où aura Meu lé culte.
Apr^ le cu|b0, le dîlner traditionnel
aura lieu à la pension Bertin, du Vemet,
où on est prié de s’inscrire tout de suite.
Prix ;■ 6 lires, sans vin.
Nous prions les paroissiennes de bien
vouloir iparticiper au culte eu. costume
vaudois. R_
BOBI. Le 5 février est décédée, à Turin, Maddeine Grand, du Courtilet.
La 10 février, nous avons accompagné
au cimetière l'a dépouille raortellie d’Arma
lAvia Geymonat d’Elienne, de la Vile.
Aux affligés, l’expression de’ notre vive
sympathie.
★ Le dimanche 20 février, à 20 h. 30,
aura lieu, à la Sale Unioniste, une SOIREE préparée par notre jeunesse. Tout
le .public y est cordialiement invité. R.
LATOUR. La soirée du 17 février, organisée par notre Union Chrétienne des
Jeunes Gens, aura lieu, comme toutes lés
années, à ITAiia Magna, jeudi 17 courant,
à 21 heures.
La pièce qui y sera jouée est ; « GU
In-dncibüi», de J. Tron. C’est un dramè
vaudois, qui certainement, laissera dans le
cœur de tous une profonde émotion. Pendant les entr'actes, notre Société Choralé
chantera des chœurs , de circonstance.
Nous ne doutons nullement que tout bon
Vaudois voudra assister à éette Soirée,
qui rappelera 1^ souffrances de nos pères, et qui a une part si importante dans
la célébration de notre fête de Témancipation.
Les billets, au prix de L. 4 lies places numérotées et L. 3 lés premières places, sont
en vente à la « Bottega delà Carta »•, à
la « Libreria Hugon » et à Ventrée de
l’agape fraternel© du «>17 », au Convitto,
à 18 heures, et à l'Aula Magna même.
La soirée sera répétée samedi, 19 courant, à 20 h. 30.
MARSEILLE. Une épidémie de fièvre
aphteuse qui sévissait alors dans la région et n’avait pas épargné le bétail des
amis qui nous offrent toujours une si
large hospitalité, ne nous ay^t pas permis d’organiser, l’été dernier, notre traditionnel rassemblement d'août destiné à
commémorer la « Glorieuse Rentrée », ce
n'est qu'avec lie retour de Tautomné, plus
eixactement lé dimanche 24’*octobre, que
nos rencontres ont commencé.
Cette ' première réunion, à l'aqueilé aSsisltaient • une soixantaine de personnes, a
été im culte, que M. lé pasteur Emile
Paradon avait bien voulu accepter de pré- •
sider.
Depuis cette date, notre Ibcal est ouvert, chaque dimanche, pour un culte, une
conférence ou simple causerie, ou alternant avec ces différentes formes d’activités, des réunions de caractère téut à
fait familier.
trai, Tld., 25 - Pasteur Bari Gardiol, Id.,
50 - Géom. comm. E. Ayassot, Id.,25-RiIjet Elisa, Id., 10 - Ribet Severina, Tri., 10Elisa Vicino, Pinerolo, 20 - Veuve Geymonat et fils, La Tour, 100 - Pascal'Giov.
Pietro, Fontane, 10 - Eglise Vaudoise,
Coazze, 70 - Pastre Auguste, La Pérouse,
25 - Sœurs M. et P. Geymonat, NewYork, /O - Michelin Salomœi J. Pierre, i
Vitar, 5 - Charbonnier J. et A., La Tour, |
20 - (Jardon Elisabetta et Luigia, Saint- i
Germain, 10 - Teresa Genicoud, Id., 25 - ;
M,lle Edvige Frache, La Tour, 10 - Angelo Peranzone, Saint-Jean, 15.
«In menvorioM,'»: I
A la mémoire d’Aldo Geymonat, I
Villar, fes parents L, 25,—
HOPITAUX.
Voici brièvement rappelées lés réunions
comportant un programme :
Le 7 .novembre ; causerie, pleine d’humour, de notre ami, M. Henri Peyran,
sur l'a marche de notre Union.
Le 21 novembre : quelques réflexions
sur les Synodes en igénéral' et, en particulier, sur celui de septembre dernier, par
lé Président,
Le 5 décembre : culte présidé par M. le
pasteur Perrot-Magnus, qui, quoique souffrant, n'a pas voulu manquer à la promesse qu’il nous avait faite d’être au milieu de nous ce jourdà et nous a donné
une excellente prédication en, prenant
pour texte la guérison de l’aveuglé-né.
Le 19 décembre ; très intéressant© et
instructive conférence de M. Camile Miroglio sur «L’Education de nos enfants».
Sans méconnaître ila valeur des méthodes
d’éducation moderne, le brillant conférencier met en reUef ce qu’il' y aurait
cependant Meu de retenir des anciennes
et, pour cel'a, nous présente' une ancienne
famille huguenote, la famille Francœur,
dont 1© nom seul eist tout un programme.
R nous montre quel' soin lés parents apportaient alors à l’éducation de leurs enfants, dès leur âge le plûs tendre jusqu'à
l’achèvement de teum études et quel était
-à cette époque le respect des enfants pour
îéurs parents.
Enfin, le 2 janvier, nous avons eu no
Uora i'ontana-RouXi, Mii'an, L. IdO Bernard Giacomo, Pomaret, 10 - Gaydou
Teofilo, Masselé, 5 - Pascal Pietro Enrico,
Fontane, 5 - Tron Daniel et Giovanna,
Pomaret, 10 - N. N., Id., 10 - Veuve (Geymonat et fils, La Tour, 100 - Pons Adêlé
Beyé, Perrero, 10 - Peyrot Lydie, Id., 20
- PaæaJl Giov. Pietro, Fontaines, 10 Transaction entre deux paroissiens de
l’Envers Pinache, 50 - Ida BesSone Tron,
PigneroT, 50 - Pastre Auguste, La. Pérouse, 30 - Long Marguerite, jd,, 200 Richard Ftippo ,etl famiîe, de Nôrfolk
(Virginie), pour lé lit des Vaudois des
Etats-Unis à FHôpital du Pomaret, 277
- Adeline Selli, Rome, 20 - Charbonnier
J. et A., La Tour, 20 - Teresa Genicoud,
Saint-Germain,, 50 - Pamillé Jala Moré,
La Tour, 50.
tre^ Arbre de Noël, toujours si impatiemnuent attendu par, notre petit monde.
L’expérience des années' préoéderiîels, nous r.
ayant démontré que notre locail était vraiment trop exigu pour cette manifestation, nous l’avons organisée; cette année,
dans la sale de culte de .la Madeleine,
aimablement mise à notre disposition
par M. lie pasteur ViolMer. Quoique spacieuse, cette dernière n’était pais trop
grande pour recevoir la soixantaine d'enfants et les quelque deux oents personnes qui avaient répondu à notre invitation.
- Au cours dé cette manifestation, très
réussie, nous avons eu lé plaisir d’entendre, à part divers chants et çhoéurs,
M. le pasteur Violllier, dans une histoire
de balayeur au halâi magique, et M. CamiJilé Miroglio, qui nous fit assister à un
Arbre de Noël en pleine forêt, “histoires
qxii ont vivement intéressé, non seulement
lés petits, mais aussi les grands. (Gomme
twijours, les héros de l’a fête ont tenu à
apporter leur concours à sa réuissite par
des récitations et des chants divers, ce
dont ife ont été récompensés par les nombreux cadeaux que Papa Noël avait généreusement offeifs.
De même que les années précédentes,
cette journée ¿'est terminée par une
agape fraternieSlé dans notre llocal,, qui
groupait une cinquantaine de convives. Au
nomibre de ces derniers figurait M. Emmanuel Micol, de Masseli, que nous avons
été très heureux de voir parmi nous et
qui .nous a fort intéressés en nous faisant
le récit de sa. campagne en Ethiopie.
★ SYMPATHIE. Depuis notre dernière chronique, ptoieurs de nos amis
ait été da.ris l© deuil. Ce sont : M.me
Barthélemy Richard, qui a eu le chagrin
de perdre ison mari,, quelques jours à
peine après la naissance de leur filS.
M. et M.me Jean Balime, qui ont vu partir leur gendre, M. lé capitaine BertinMaghit, à la suite d’une délicate opération. Enfin, nous avons dû, il y a quidques semaines, accompagner à sa dernière demeure terrestre un de nos anciens sociétaires, M. Pierre Pontet, originaire de Bohi.
A toutes les familes en deuil, nous renouvelions l’expression de notre sympaliiie
chrétienne.
PERRIER-MANEILLE. Mardi, 8 courant, nous avons eu l’agréable visite du
nùssiannaire M. R. (Goïssan. Il a fait çasser devant nos yeux de magnifiques vues
eit nous a retracé la vie du missionnaire
indSigène: Nous % ' reiuercilon|8' de çœnir
pour cette bonne visite !
★ Dimanche, 13 courant, nous avons
accompagné au champ du repos la dé^
pouiile morteillé de Cath&rme Pùët, du
Cléutès, âgée de 74 ans. Ele a beaucoup
souffert lés derniers jours de sa vie.
mais sa foi l’a soutenue.
PRAMOL. Encoire une de nos jchièrés
doyennes qui vient de nous quitter : nœ
tre sœur veuve Alexandrme Ribet, des
Bouchards, que Dieu a rappelée à Lui,
le 15 j anvier, à T âge de 91 ans. Croyante
humble et fidèle, eUé sut élever sa nombreuse famillé dans la crainte de Dieu.
Le long cortège de parents et d'amis, qui
accompagna sa dépouille mortelé au
champ du repos, démontra combien ellé
était aimée tet estimée. «Quand lé soir
fut venu, Jésus leur dit: »Passons à Vautre bord».
A ses enfants, petits-enfants et arrièrepetits-enfants, l’expression de notre ¡sympathie chrétienne.
★ Le candidat Paul Marauda, qui
remplace temporairement te Pasteur, se
joint à la paroisse tout entière pour souhaiter à M. Rostan une bonne tournée
en Ecosse et un heureux retour parmi
eux, rassurant en même temps que leurs
prières suivent dans te. mission qui
lui a été confiée. p. va.
SAINT-JEAN. Mercredi, 9 courant, ü a'
plu à Dieu de rappeler à Lui M. te'colonel L. Rivoire, à l'âge de 87 ans. Fidèle
serviteur ,de sa patrie, il avait conservé
oette conceiption austère du devoir qu’il
faut accomplir sans murmurer, et qui lui
avait fait saluer avec joie la consécration de son filé au service du Maitrei Et
c’est cette foi humble et vivante que nèius
désirons souligner ici}: sçn activité d’awci^, son intérêt pour l’action chrétienne
qui se manifestait dans notre paroisse,
devenue sa paroisse.
Les obsèques ont eu lieu vendredi,
11 courant, présidées par M. le pasteur
J. Tron, de La-Tour, lequel a rappelé à
son cciliêgue, « qui a tant de fois consolé
ceux qui sont dans l'a douteur », tes paroléis de vie, de la consolation . éterneiie.
M. lé pasteur P. Chauvie a terminé ïa
cérémonie en implorant les .bénédictions
du Dieu d’amour sur tous tes affligés.
Un nombreux cortège accompagnait en- suite te dépouille mortelle de notre vénéré frère jusqu’au champ du repos,,à
Saint-Laurent, où M. K Nisbet, par dés
paroles émues, exprima tou'te lia sympathie de sa paroisse à te famille éprouvée.
Ici encore nous désirons renouveler à
notre paisteur, M. L. Rivoire, à sa sœur
et à tous tes paraits, Texpression de cétte
solidarité chrétienne qu’ils ont pu sentir
dans lé recueillement affectueux qui a
voulu les entourer dans ces 'jours
d’épreuves. * . a?.
»/•
Madame Anaïs Marauda Mae AbchiNAED, ses enfants et petits-enfants avec
leurs famines, ont U dmdewr de vous
faire part du. deuil qui les fmppe en la
personne de
JACQUES PIERRE MARAUDA
pasteur émérite
que Dieu a rappelé à Lui, à l’âge de
85 ans, le 15 février 1938.
« Le soir étant venu, Jésus
dit : Passons à l’autre rive ».
Marc TV, 35.
« Celui qui croit... est passé
de te mort à te Vie ».
«J’ai cru; c’est pourquoi
j’ai parlé »,
Jean V, 24;
2 Cor. IV. 13.
Les enfants et les parents, reconnaissants, remercient toutes les personnes qui
leur donnèrent tant de témoignages de
sympathie à l'occasion du départ pour la
Patrie céleste de leur hien-aimé
LAURENT RIVOIRE
Ueutenant-colonel à ia retraitei.
D’une façon particulière M. le docteur
S. Jean, MM. les pasteurs J. Tron, P. Chauvie et R. Nisbet, MM, les membres du
Consistoire, Ferruccio Rivoir et les personnes "qui acoompagnèrdnt la dépouiMe
mortelle jusqu'au champ du repos.
Saint-Jean (te Cure), 1e 15 février 1938.
La vedova e i figli dd compianito
GIACOMO RICCA
ringraziano in particolare i pastori signori Rivoira e Gardiol, le famiglie Marauda-Bonnet-Baltoias, Béuech, Caffarel,
Gay e vicÌ7ii, e tutti qudli che, con la
loro preseìiza, scritti e fiorì vollero partecipare al loro grande dolore.
Luserna S. Giovanni, 16 febbraio 1938.
« In memoriam » :
20,
Mathilde Pons, Saint-Jean, en
souvenir de sa mère L.
Rostaing Cesare et' filés, Tu'rin, « in memoriam » » 30,—
Les amis du régent Rostagno;
Pomaret, à sa mémoire » 45,—
Canal Or^te et fills, Perrieri Maneile, à te mémoire de
' .sa fille Eisa » 50,—
Canal Eliàtra et fils, Id., à te
mémoire de Canal' Filiberto » 50,—
Tron Giovanna, Brancato de
Perosa, à ta mémoire de son
mari » 50,—
Genre David et Marie, Poma- ,
ret, à te mémoire de G, L.
Rotea^o » 20,—
Tron Giov., Pérouse, à te mê^ ,
moire de son père » 50,—
Rostan Edmond, Pinache, à te
mémoire de son fils Chartes L. 100,Rostlan Etda, Id., à te mémoire
de son frère Chartes » 100,
Rostan AMo, Id., à la; mémoire
dé son frère Chartes » liK),
Bertatet Rostan Inès, à te mémoire de,son frère Chartes » 100,En souvenir du prof. Paul Gay,
sa sœur Mathilde Gay, La
Tour - » 10,
Familte Bleynat, La Tour, à te
mémoire de Marguerite Pastre Cardon , .
EmiMo Jourdan, Saint-Gerniain,
à la mémoire de sa sœur
Lina » 25,
ORPHEL1NAT.
Diano Nicola, Bari, L. 5 - Colonel liajv
tinat (pouf l^oel), 94 - Dora Fontana
4
Vendredi 18 Fêvneï 1938-XVI
-mw
( lÿ
■- -ï A
J, - "
iste; Wtilsn, 50 f Veuvei Ctel&bn’t
Tom“, * Piacaï ' Giov. Hetró, FoiiÆlt tàtrÎE«, 20 - EÌgìise Vaudoiisfe, Cbaez», 80
j'?/ '■i- - âpferàiliza istJytalà Grü, Ponaaret, à focéîiMOin dn'baptême de Ciartidia', 25 - GriB
Càrîb,;Id.,5 50 - Pastre Augusto, LaiPê" r6iiSë;^30 *■ lAg, Guidò D^kjer et Madàiiîe, Ttuin:. 50 - Owdon Ilêr, Btohfe eè
Jmny, 14t lòto, 100 --Oudry Paul, Id,
. (ttàvail gràtiâ), 99 ï- Marta Cicognffiifa,
Bbigatt», 20 - Eglise' Vaudoise, Vfll^
(i«mr Noël), IQO**'Sœurs M. et P. GSÔÿmonat, New-York, 70 « Veuve Géfeàtìiiii6
r Affiaud, ViMai'i 10 - E. èt R. Jahier, Id4 25
Ôèrge, SÀfeit-Jean, 100 - Greisio Giuseppe Üm 37 - Adeline Selli, Rotoe, 60 Chaibònnier J. et A., La Tour, 20 - Godïrtd Otementiufe, Prarustin, 10 - Roistan
ÎTâiiôeaco, Ribba^ PraRi 10 - Comunie di
AaiifTÒghà, per 1937, 50.
fin memoriam-»:
Gddino Mélanie, «ip L. 1,50
Biwib et Luciana MatHléu à - ^
la mémoire de ilèto chère
gr^d'mère . » 25,—
Cávi^zañi Erica et Riccafdo,
La Tour, « in mèmoriatti » » 10Ó,—
Btoéro é Cardon, Id., « ui mè>inbriam » ^ ^ ^ ÏOO,—
ÎSurs a là mêmbîre du petit
SiiMq GardioJ, fes parents,^
. . Là Tour ^ ' » 50,f—
Tton Giovanna, Brancato Perossj à lia mémoire de son
mari »^50,—
îferharida et Robert Mathieu,
à la mémoire de leurs chers
V grpd-parents Louise Mathieu Vihay et Joseph Vi. dosçi^ . » 100,j^
La Chorale dû ï*omairét, à la
inémoire du régent L. Ros: Jhl^hd (ñS^u ide to cbilroiihe) » 30,^
Sous-ireûtehaht Ribet Aldo, Pbmaret, à là mémoire de son
grand-père » 50,—
Voiat Luigi, La Pérouse, à la
mémoire d’ESsa Troh » 2Ó,—
A la mémoire du prof, Paclo
Gay, sà soeur Mathilde Gaÿ,
La Tbto » 10,^
Famife Bfeyiiát, Là Tour, à to
mémoire de Marguerite Pastre Cardon » 25,—
Emilio Jourdan, Saint-Germain,
à la mémoire de sa sœur
Lina 7 1 » 25,—
Ada et iCai'hiccio Geymonat, , ,
, Bobi,, en avenir de leur >
cher papàr ■ » 4O,—
At^ des remenciements sincères.
Le Président :
Avocat Stefano Peybot,
COM0MË pi roàiiTÈ ratucE.
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-'ANGROGNa - Paàtore: Roberto Nisbet.
ANGR03NA (Serre) - Pastore : A. Deòdato.
BOBBIO PELLICE - Pastore : Alberto Ricca.
LCSERN A S. GIOV, - Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELLO - Pastore : Alberto Ribet.
FERRERÒ - Pastore : Oreste Peyronel.
PINEROLO - Pastore : Luigi Marauda.
FOMARETTO - Pastore : Guido Mathieu.
PRALI - Pastore: Lamy Ctoùsson.
PRAMOLLO - Pastore: Ermanno Rostan.
PRAROSTINO - Cand. TéoL Edoardo Alme.
RICLARETTO - Cand. Teol. A. JanaveL
RODORETTO - Cand. Teol. A. Génre.
RORA’ ' Pastore : Enrico Geymét.
S. GERMANO CHISONE - Pastore: Guatavo
Bertln.
TORRE PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
VILLAR PELLìCE - Pastore : Roberto Jahier.
ABBA2ÍIA - « Chiesa di Cristo ». Culto alle
ore 16 - Pastore : Valdo Vlnay, da Fiume.
AOSTA - Chiesa: 11, Via Croix de Ville •
Pastore em. Augusto Jahier (da Torino).
BARI - Chiesa Valdese - Da Carato.
BERGAMO - Chiesa ; Viale Vittorio Emanuelè, 4
- Pastore: Arnaldo Comba, Viale Vittorio
Emanuele, 59.
BIELLA - Chiesa : Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario,
. BORDIGHERA - Chiesa : Piani di Vallecrosia
' Pastore ; Davide Pons, Istituto Femminile
Valdese.
BRESCIA - Chiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore :
Enrico Meynier, ivL '
BRINDISI - Chiesa Valdese : Via Congregazione “ Da Taranto.
CALTANISSETTA - Chiesa : Via Maida, 19 Da Palermo.
CARUNCIUO - Chiesa Valdese - Cand, Teol.
Liborio Naso, ivi.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Balma, ivi.
CERSGNOLA - Chiesa Evangelica - Pastore:
Enrico Pascal, Viale R^na Margli, 17.
OOA2ZE - Clilesa Evangelica - Da Trarre FelUce.
DOMO 1 Chiesa : Via Rusconi, 9 - Pastore :
Carlo Lupo.
OORATO - Chiesa Valdese : Con» Mazzini, 27 Pastore} A. MMcia, Ivi.
FELONICA PO - Chiesa Evangelica - Cand.
Ted. Enrico Corsanl.
J'IRENZE - Chiesa di Via de' Serragli, 51 □ilMa di Via Manzoni, 13 • Pastore : Vlr- ■ Stmunani - Coadiutore : Pastcre T.
ma/.
FIUME - Chiesa : Via Pascoli, 6. Culto alle
ore 10 - pastore : Valdo Vinay, presso sig.
Wafech, Via Bacclch, 5.
FORANO - Chiesa - Pastore : Alfonso Alessio,
Forano Sabino (Riett).
GENOVA - Chiesa : Via Assarottl - Pastore :
Emilio Coreani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa - Grotte (Agrigento) - Da
Palermo.
IVREA - Cliiesa : Corso Botta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’Armi.
LIVORNO - CTiiesa : Via G. Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa ; Via GaUi Tassi, 18.
MANTOVA - Cliiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa: Via Maddalena, 39 isolato 147 - Pastore : Selliredo Col ucci,
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILANO - Cliiesa : Piazza Missorl, 3 - Pastore : Enrico Tron, Via Euripide, 9.
NAPOLI - Chiesa : Via Cimbri, 8 - Pastore :
Mariano Moreschini, ivi.
NEW-YORK - Prima Cliiesa Valdese -405 Weat,
I 41 Street - Culto principale : 3.30 p. — Pastore Pleti’o Griglio - 21 West - ^ th Street.
NIZZA - Chiesa: Rue Gioffredo, 50 - Pastore:
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA DI PUGLIA - a)iesa Valdese - Da
Cerigncla.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Cand Teol.
E. Mieoi.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :
V. Subilla, ivi.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore : Davide
Pons, Istituto Femminile Valdese.
PIAZZA ARMERINA - Chiesa Valdese - Da
Catania.
PIEDICAVALLO - Chiesa : Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa : Via Derna, 15 - Pastore : F.
Peyronel - Via Santa Maria, 85.
REGGIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marco :
Via Possidonia, 4 - Da Messina
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore : Umberto BerL
HIO MARINA - Chiesa Evangelica - Da Livorno.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novemizre, 107 Pastore Giovanni Bonnet, ivi - Chiesa di
Piazza Cavour - Pastore Paolo Boslo^ Via
Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARENA - Chiesa : Via Giosuè Carducici, 16 - Cand. Teol. P. V. Panasela. ..
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangelica * Anziano-Evangelista Sotrlncl
Giuseppe, ivi.
SANREMO - OhlHsa : Via Roma, 8 - Pastore :
Ugo Janni, M.
SCHIAVI DABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa VaMese : Via S. Domenico, 5i
SUSA - Chiesa : Via Umbeoto I, 14 - Da Torre
P«Ule(k
TARANTO - Chiesa ; Vìa Pupino, 16-20 (angolo
Via F. D. Palma) - Pastore : G. Castiglione,
Via F. D. Palma, 144.
TORINO - Chiesa : Ctorsò Vittorio Emanuele li
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore ;
Alessandro Slmeoni, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori : Pastori Elio Eynard e Emilio
Ravazzini.
TRIESTE - Chiesa : Via S, M. Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa : Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Ernesto Ayassot, IviVERONA - Chiesa : Vìa Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia,
VITTORiA - Cliiesa Evangelica - Pastore ; Arturo Mingardi, Via Garibaldi, 60.
LUGANO - Chiesa Evangelica - Pastore: Guido
Rivoir, Via Franscini, 11.
ZURIGO - Chiesa Italiana: Waldenserwerk Pastore : Alberto Pulirmnnn, Idastrasse, 21.
H culto principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
UFFICIO DI PHESIUENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Guido Comba, cassiere C and. Teol. Paolo Marauda, segretario del
Moderatore - Via Quattro Novembre, 107
- Roma (101).
FACOLTA’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cóssa,
42 - Roma (126) - Professori : Ernesto
Comba, Davide Bosio, Giovanni Miegge,
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preside : Prof. Adolfo Trdn.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Prof. Davide Bosio, presidente ; Virgilio
Sommani, Giovanni Miegge, Mariano MoreSchÌ7lit
LIBRERIA EDITRICE CLAUDIANA - Tbrre
Pellice - Direttore : Pastore Paolo Cbìsson.
CONVITTO MASCHILE - Torre Pellice - Direttore ; Pastore Davide Ponieron.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - Vallecrosia - Direttore : Pastore Davide Pont.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.na Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto Gould)
- Via Serragli, 51, Firenze - Direttore :
Pastore V. Sammani.
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Thrlno
- Via Behthollet* 34 - Direttore : Gr. Uff.
Paolo Oanobbio,
OSPEDALI VALDESI - a Torre Pellice - a
Pomaretto - a Torino, Via BerthoUet. 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sedè; Tcare
Pellice (Torino) - Direttore : Pastore Jfoherto Nisbet, Angrogna.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLO
ALBERTO » - Luserna San QlovannL
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Germano Chitone
,,,, Direttore : B. Nouiicr, pastore emeritaÀSjiLO P.EI VECCHI - Vittoria (Sicilia).
CÒLQMlig VALDESI
nell'Amenica del sud.
■ " Urngnay;
COLONIA VALDENSE (Dcp.to Colonia) - Pastore: Ernesto Tron.
COLONIA COSMOPOLITA :(Dep.to Colonia ; . Via Rosario) - Pastore > Enrico Beni.
AGRUPACION := ROSARIO-BARKER-COLLAPOLONIA (Dep.to Colonia) - Attesa dalle
; ■- Chiese di Colonia Vaidense e di Coemopo’lta..
TARARIRAS E ANNESSI (Dep.to Colonia) , Pastore : Daniel Breeze.
OMBUES DE LAVARLE (Dep.to Colonia) , Pastore : Carlo Negrln.
COLONIA MIGUELETE (Dep.to Colonia) - P;v
> store : Carlo Negrin, da OmMés.
SAN-SALVADOR (Depio SoHano); - Pastore :
Giovanni Tron (residenza: Dolores). —
Coadiuto» : Evangelista Emilio E., Ganz
(rdsidenza : Cañada de Nieto, Dolores).
NUEVA VALDENSE (Dep.to Rio-Negro) Evangelista Emilio E. Ganz, da Cañada
de Nieto).
NIN y SILVA (Dep.to Paysandfl) - Evange»ìista. Emilio E. Ganz, da Cañada de Nieto.
Árgéiltina.
COLONIA BELGRANO (Prov. Santa Fé - Estación Wildermjith jF. C. ,C.,A.) r Evange, lista Carlo Alberto 'Grlòt,
COLONICA IRIS (Pampa Central) - Pastore:
Silvio Lo-ng, Est. Jacinto Aráuz, F. 0. S.
COLÒNIA SAN GUSTAVO (Prov. Entre Ríos
- La Pà'z) - Visitata periodicamente.
COLONIA EL SOMBRERITO (Próv. Sania Fé
- Est, Paul Groussac F. C. S. F.) - Visitata
perioàlcamentér.
CALCHAQUI '(Prov. Santa Fé, F, C. S. F.)
- Visitata periodicamente.
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