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Ob •'•bonne: à Torre Pe/»ce, au Bureau d’Administration de l’EcAo (Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs. .i
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L'ABONNBMeNT SB >AVB D'AVANCB.'^^
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S'adresser; pour la Rédaction, é M; le Prof. Lotus Micol - Torre/V/Z/ce *—’pour
.^,1’AdnalatstratioB, au Bureau du Journal, jVinMigrumfitio 2 - TorrePellice'
■ v.^, Popr toutes les aBBOBccs s’-âdresser au ¡Bureau* dit journal, w. ;
, 'jsTous les chaugements d’adresse coûtent jW' canthnws,!sauf ceux du commencement de l’année, ■ J,
^rt; , ■ i- ..
. . .. Le nnméKo: It.O eantoM ’
Qiue toutes les choses vraies, honnêtes, juBtes, pures, aimables..., dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV,, 8)i
pouP la vie inierhure
NOTRE DETTE.
«Ne devez rien à personne, s,i ce
n’cisit die vous aimer les uns les
.autres ». Romains XIII, 8;
Le Christianisme est une religion d’hur
milité, mais aussi de dignité. L’idéal qu’il
prêche, c’est le détachement, mais non la
mendicité. L’apôtre Paul, pour ne parler
que de lui, a un sentiment très vif de dignité : lui qui, ayant le droit de se faire
maintenir par les Egltees auxqueiles il donnait toute son œuvre — et quelle œuvre ! — préférait vivre de son travail,
pour ne rien devoir à personne.
Sur les lèvres d’un tel homme, quelle
autorité a cette parole : « Ne devez rien
à personne.! ». N’ayez pas de dettes !
Les dettes lient. Pas seulement celles
d’argent. Naturellement aussi ceDes-là, et
meme surtout celles-là : qui paye un journal peut le faire parler cffltnme il Veut.
Mais il y a, aussi d’autres dettes qui pèsent. Ce n’est peutrêtre pas par hasard,
que cette exhortation de Saint-Paul vient
tout de suite _après le fameux passage sur
la soumiæion aux autorités, et qu’il en
forme en quelque sorte une conclusion.
« Pendez à tous cè qui leur ed; dû : rimpôt à qui vous devez l’impôt... l’honneur
à qui vous devez| l’honneur ». Payez vos
dettes civiles ; n’aÿez pas de dettes envers
César. Et en générall, ne devez rien à personne. Vous serez liibr/es.
Il y a des dettes morales qui pèsent,
même les plus sacrées, parfois.. Combien
d’hommes, par exemple, se sentent tenus
de penser comme leur mère, surtout en
religion, à cause de la dette'sacrée qu’ils
ont envers elle, et iis ne réussissent jamais à s’affranchir d’une tradition religieux qui leur pèse, simplement par respect pour cette dette de reconnaissance
qu’ils ont. C’est un beau sentiment, mais
il peut être parfois bien paralysant.
L’idéal, pour être vraiment indépendant, serait de n’avoir point de dettesi, pas
même morales. Sois ponctuel, paye tes dettes d’argent, tes dettes civiles, tes dettes
morales ; sois irréprochable, et tu seras libre, tu auras le droit d'être toif-même !
Mais il y a une dette dont on ne peut
pas se délivrer : la dette de l'amour fraternel : « ...si ce n’est de vous aimier les
uns les autres ». Aussi, Saint Paul qui nous
dit de ne pas avoir de dettes, ne nous dit
pas de ne pas avoir ceUe-là ; au contraire,
il reconnaît que nous avons cette dette,
que nous l’aurons toujours.
Cette dette est perpétûelle, elle se représente à nous chaque matin.
Je pense qu'il y aurait une force, pour
notre vie spirituelle, si chaque matin, en
nous réveillant, notre pensée pouvait être ;
«Aujourd'hui des occasions me seront offertes de payer cette dette. Dieu veuille
qu'elles ne soient point perdues ! »,,
Vivre avec le sentiment d’une dette à
payer, cela peut être incommodie pour
d’autres dettes : pas pour celle-là.
Voici mes créanciers. Pas besoin d'aller les chercher bien loin. Us se présenteront eux-mêmes. Voici les membres de ma
famile, qui ont le droit que j'accompliase
mon devoir envers eite avec un sourire ;
voici Inès collègues, collaborateurs, compagnons d'œuvre, dépendante, qui ont le
droit de trouver en moi non æulement
une fonction, mais un homme ;'Voici les
pi^sonnes .sdüffrantes que je connais, qui
ont droit à ma sympathie; voici les indifférents que je ne connais pas même,
mais qui, dès l’instant où ils^ paraîtront
devant moi, auront le droit de trouver en
moi un prochain ; et enfin, les amis lointains, qui ont droit à mes lettres et à mes
•prières. Tout «prochain» est un créancier ; il se présente à nous avec sa lettre
de crédit, petite ou grande. Payer : quel
bonheur !
Malheureusement, l’amour fraternel est
une dette perpétuelle encore pour une autre raison ; c’eist que nous ne payons jar
mais entièrement cette dette-là.
Pensez : combien d’occasions perdues,
p^ut-être chaque jour ! Combien de fois
nous sommés restés froids, fermés en présence d’une personne qui aurait salué comme une bénédiction un geste d'humanité ;
combien de fois nous avons pensé à notre
intérêt et avons fermé notre cœur à la
miteéricorde.
- D’aillieurs, si c’est vrai que • nous- devons aimer notre prochain « commje nousmêmes », qui n’est pas en dette ? Qui ne
reste perpétuellement en dette ? '
it¡ m ^
Je pense à la pétition du Notre Père :
« Pardonne-ncus nos offenses...» .Littéralement : ^ Remets-nous 'nos dettes, contme
notts lès avons remises à ‘nos déhiteurs ».
Ces dettes, dont Jésus veut que nous
deraandiéns chaque jours la remise, ne
sont-ellès pas avant tout ces dettes d’amour fraternel que nous n’avons pas payées ? Toute dette envers le prochain est
' une dette envers Dieu : notre dette envers Dieu se compose de toutes ces detteslà. Et quand le sentiment nous accable de
toutes les occasions perdues, de cette dette
qui s’accumule, énorme, de jour en jour,
d’année en année, quelle paix de pouvoir
prier ; « Remets-nous cette dette-là ! Cette
dette qu’il devrait être sii agréable de
payer en entier, et que notre méchante
nature ne réussit pas à payer !.,. ».
« 4:
Une dernière pensée. La dette de l'amour fraternel n’existe pas seulement pour
nous envers les autres ; elle est aussi une
dette des autres envers nous. Nous ne
sommes pas seulement débiteurs, mais
aussi créancier^
Cependant, à cet égard, s’il nous venait parfois la tentation d’être xm peu
trop exigeante, pensons que notre dette
dépasse largement notre crédit. Remettons-là, parce que la dette qui nous est
remise est grande.
Remettre les dettes d’amour fraternel
fait partie de notre dette d’amour fraternel. Que Dieu nous accorde de le faire
avec joie. Payer avec joie notre dette quotidienne, remettre avec joie 'nos crédits
non perçus. Dieu nous aime : c’est bien
assez ; et c’est même trop I
Giov. MÎegge.
£a fin de la gaerre.
Nos lecteurs — même ceux des hameanx
' les plus reculés — auront déjà appris
l’heureuse noumlle : h guerre est terminée.
Nous nous œsookms à la joie de toute
l’Italie et souhaitons du plue profond du
cœur qu’elle pui^ accomplir dans la paix
l’œuvre de ci'VÜisatùM qu’ elle entreprend.
Nous envoyons une pensée affectueuse à
«os soldats, nous réjouissant à la perspective d’un prochain retour ; une pensée
pleine de sympathie aux familles qui vi auront plus la joie de revoir leurs hien-aimés.
V Notre Patrie est devenue plus grande,
plus grandes aussi sont, nos-responsabilités : puissions-nous les sentir et en être
dignes. *
Le quatrième centenaire ■
de l’(( Institution chrétienne ».
En mars 1536, un petit livre, écrit en
latin, sortait des paresses de l’imprimerie
Flatter et Lasius, h Bâle. Il portait un titre assez long, commençant par ces mots :
Çhristia'nae religimis institutio... Il s'ornait, en guise de préface, d’une épître au
roi de France, François I®', et, il avait
, pour auteur un jeune humaniste français
de vingt-six ans : Jean Calvin.
. L’apparition de ce petit livre fut, et
reste, un des événements les plus considérables de rhistoire de la Réforme, Par
elle, un homme se révélait, un homme en
qui brìi ait l’une des intelligences les plus
lucides et les plus vigoureuses qui eussent
paru ici-bas, mais en quii s’affirmait aussi
une conscilencie d’un© fermeté et d'une
fierté souveraines, dominée par le seul
soud de la gloire de Dieu, une conscience
càpable de tenir tête aux provocations
dœ plus grands. En un mot : un chef.
Et ce petit livre apportait en même
temps, aux évangéliques de langue française, ime doctrine; définitive du prerbier
coup, une doctrine toute inspirée de la
Parole de Dieu et qui, par sa force, sa
cohésion et sa clarté, allait façonner d’innombrables génétrations , de chrétiens ■ en
plusieurs pays.
La préparation.
Pendant que Calvin poursuivait ses
études à Paris, à Bourges, à Poitiers, une
fermentation inte îectuielle intense régnait,
en France comme ailleurs, dans les universités et parmi les hommes instruits.
C’était la « Renaissance ». Une ardente
soif de vérité animait des esprits en grand
nombre et la religion aussi participait à
ce réveil : on ne se contentait plus des
pratiques et des enseignements de l’Eglise; on voulait connaître le christianisme de l’Evangüe et des apôtre ; on recourait au Nouveau Testament grec, savamment édité par Erasme, et Lefèvre
d’Etaples avait donné à la France une
traduction de la Bible en langue vulgaire,
ainsi que des doctes et profonds comm^taires sur les épîtres de Saint Paul. Un
puissant mouvement spirituel se dessinait dans certaines parties du clergé et
parmi les humanistes, et l’on appelait bibliens, ou évangéliques, ces? témoflns d'un
christianisme r%énéré par un retour aux
ajurces. Calvin était trop intelligent, et
surtout trop loyal, pour ne pas voir où
était la désirable vérité. On ne sait pas
quand eut lieu sa conversion, qu'il dit
lui-même avoir élté « prompte et sincère ».
Mais on sait" qu’en octobre 1533 ül rédigea le discours que le recteur de ITJniversité dè Pariei, Oop„ lut à la séance de
rentrée, ]© l®»' novembre, discours sensationnei où la «philosophie du Christ» et
le retour à l'Evangile étaient opposés aux
traditions fet aux coutumes de l’Eglise. H
fallut fuir... Cop gagna Bâle, mais Calvin
réussit à se cacher en France, notamment
à Angoulême où, dans le silence de la riche bibliothèque d'un ami, il travaillB
quelque temps. C'est là, dit rhistorien
Emile Doumergue, qu’il commença probablement de penser à son Institution et
d’en , rédiger peut-être læ premières j
ébaucha.
Le but. 4.
« Au ctanmencement que je m’appliquai
à écrire ce ' présent îivte,’dit Calvin, mon
■ , A, ■ i iT ••('i' ■ • ■
prop^ était seulement d'enseigner quelques rudiments par lesquels ceux qui; se
raient touchés de quelque bonne affection
de Dieu fussent instruits à iffaie ^piéte.
Et principalement voulais-je, par ce mien
labeur, servir à nos Français, desquels
j’en voyais pi'usiêure avoir faim et soif de
Jésus-Christ, et bien peu qui en eussent
reçu droilte connlaissancé ». '
n manquait, en effet, aux ‘évangéliques
de langue françaîsie, im exposé cohérent
de leurs croyances. Plüsdeürs avaient exprimé, sur plû^ d'un sujet, des idées fermes et géné^uses, au péril même de leur
vie. ÀiiUeurq il y avait des inquiétudes et
des aspirations!. La Réforme française existait, mais elle n’avait pas encore trouvé
une voix. Calinln songeait donc à toi donner cette voix, à écrire , pour elle un ma-,
nifeste clair et complet'de sa foi. Mais il
y songeait en toute humilité. H ne prétendait pas faire œuvre de docteur; il
voulait seulement enseigner « quelqUi^
rudiments », c’est-à-dire les choses essentielles et les plus utiles. Loin de nourrir
aucune ambition personnelle, il ne voyait
là qu’ün élémentaire devoir : « L’office de
ceux qui ont reçu plœ ample lumière de
Dieu que les autres», dit-il, n’est-il pas
« de subvenir aUx simples en cet endroit » _
et de ^les aider à saisir « ce que Dieu nous
a voulu enseighm* «n iX,'Parole ? ».
Ainsi dionc, c’est pour rendre servicev
c’est uniquement pour faire servir au
bien des autres et à l'honneur de Dieu
les lumières qu'il a reçues, que Calvin se
met à l'œuvre.
Un acte.
D’Angoulême, des pérégrinations diverses et le redoublement des persécutions le
conduisent à Bâle où il' arriVe dans les pre^
mières semaines de 1535, Là, dans un petit logement du faubourg Saint-Alban, 9i
poursuit son. labeur. Mais au même moment lui arrivent les nouvelles de la terrible persécution déchaînée en Prmioe à
la suite de l’affaire des «Placards», Puis
il apprend que François I®*; qui brûle les
hérétiques, mais qui a besoin, dans sa'
guerre contare Charles-Quint, de raUilaiic©;
des princes luthériens allemands, justifie
sa conduite* devant ceux-ci en disant que
ceux qu'il a feit condamner ne sont que
des séditieux dans le genre des anabaptistes qui avaient troublé la paix civile en
Allemagne.
Cette fois, c’en est trop, et le jeune humaniste qui n’avait d'autre désir que de
se vouer à ses chères et saintes études!,
obscur et retiré en quelque coin ignorée
caché et connu de peu de gens, — le jeune
humaniste ne peut plus s© taire, Eln se
taisant, fl se fût trouvé « lâche et déloyal >.
Il fallait clamer devant le monde, devant
les princes étrangers aussi bien que devant le roîi de France, ce que croyaient ces
« saints martyrs » qu’em accablait après
leur mort d'aussi odieuses calomnies. H
fallait qu’une innocence fût proclamée,
qu'un mensonge fût démasqué; il fallait aussi qu’ün véhément appel fut
adressé aü souverain, trompé peut-être par
d’indigrtes conseillers, et qui se laissait
aller à de telles violences. Calvin va donc ’
agir ; il va faire ce qu'il pourra, car s»
conscience le presse. Il va hâter la publication de ce livre qui est tout prêt dan.g
son esprit et dont le plan et les premiërs
chapitres sont là sur sa table, et il va
le dédier à François P® par cette' «Epîtbe au Roy» qui est le morceau de plus
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L’Echo des Vallées - Vé»édi; 15 Mai 193e-XIV
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vigoTireufife et de plus ilèoie êloqueuee qui
soit sorti de sa pium© et oùi' ü parte d'égal
à égal, lui!, jeune honune inc<»md,'mais
au nom de l’autoriité de la foi de la
vérité, au « Roy de France très chrétiea ».
Ainsi, r/mfitMiiow de la Réligim chrétienne, qui ne devait être d'abord, modestement, qu’un fidèle eisposê de te vérité évangélique, devient une eonfesnon de
foi, un plajdoyer, un témoignage. La publicati<Hi de ce livre fut im acte. Ceci joint '
à la vateur propre de rouvrag», en ejÿliique le retenttesement coneddérable et iix»>
médiat.
Calvin a publié au cours de sa carrière
de nmnbreuses éditions de VInstitution
chrétienne. H l’a traduite lui-même en
français, en 1541, et dans une langue si
belle que ce livre s’imposa d’emblée comme un des chefsd’œuvre de notre littérature. Mais surtout, remanié, développé,
enrichi sans cesse par son auteur, qm en
fit l'œuvre capitale de sa vie entière, ce
livre es* devenu une des sources d’in^îration religieuse les plus fécondes qui
soient. Il valait sans doute te peine (d’en
rappeler la naissance, d’autant plus qitfaujourd’hui, après quatre caits ans, le protestantisme revient à Calvin et à sa doctrine comme à sa source daire et tonjqpie.
(Semeur Vaudois). M. Grobéty.
r<"
Î’S
NOS FETES DE CHANT.
ECOLES DU DIMANCHE (Val Pélis).
Jeudi, 7 mai, à 10 heures, le temple
de La Tour se remplissait d’enfants accourus pour démontrer qu’ils ont de bonnes voix. La journée n’était pas des plus
agréables ; elle ressemblait du reste à
peu près à toutes les autres de ce printemps pluvieux et morne. Le public
n’était pas nombreux, mais bien disposé
à exprimer sa sympathie aux jeunes
chanteurs.
Le pasteur M. Jules Tron, préside la
fête et donne la bienvenue à toutes les
écoles du dimanche qui sont présentes
malgré la distance et malgré le mauvais
temps. Il lit ensuite quelques passages
de la Parole de Dieu et prononce une
prière. Puis le programme se déroule et
l’on entend un bon nombre de cantiques
— tant du recueil français que de. \’Innario — chantés par toutes nos écoles
ensemble ou séparément.
Nous avons pu entendre les différentes écoles de La Tour — Sainte-Marguerite, Via Uliva, les Appiots — celles de
Saint-Jean, Villar et Bobi.
Dans ce que nous pourrions appeler
les entr’actes, deux discours. D’abord
M. Geymet, pasteur à Rorà, demande aux
enfants s’ils sauraient expliquer pourquoi Dieu a donné aux hommes deux
façons de s’exprimer : la parole et le
chant... C’est évidemment, dit-il, un précieux don que celui du chant, un vrai
talent, qu’il faut faire valoir. Pour démontrer aux enfants l’importance et la
valeur du chant, il raconte un épisode
qui s’est passé, il y a plus de deux siècles, mais qui prouve que le chant peut
être un précieux moyen d’édification et
la cause de réveils inattendus. Il adresse
au jeune auditoire un chaud appel en faveur de l’Eglise, qui traverse des heures difficiles, et qui a besoin de toutes
les énergies pour surmonter ses difficultés.
L’autre orateur est le pasteur Deodato,
coadjuteur de M. Nisbet, à Angrogne. Il
Ut l’épisode d’Agar chassée par Abraham. Au désert elle s’éloigna de son enfant, «éleva la voix et pleura». Cependant, dit-il, « Dieu entendit la voix du
jeune garçon ». C’est cette dernière parole qu’il souligne, et il fait très efficacement sentir aux enfants que Dieu entend toujours leur voix, même quand ils
disent des mensonges ou des paroles dictées par la colère... Il faut donc bien employer sa voix : une façon de bien l’employer c’est de chanter à la gloire de
Dieu. Le chev. H. Long, membre de la
Commission du Chant Sacré, remercie la
paroisse de La Tour, pour son accueil
toujours 6! cordial, et les diffémites écoles du dimaiflChe qui, toutes, ont fait de
leur mieux. 11 les Jnvite | aller del’avant afin de contribuer toujours plus
à améliorer le chant dans nos . églises.
A la sortie, tous les enfants reçoivent
une brioche, don de la paroisse de
La Tour, f
Ms se retrouvent ensuite à l’Aula Magna pour Vider le sac des provisionsî
d'abord, puis pour jouer et s’ébattre en
dépit du mauvais tètnpS, qui a continué
pendant toute la journée. N’importe, malgré le ciel gris, les cœurs étaient gais’
et la bonne humeur enfantine a régné
Souveraine. Nous ne doutons pas que
tous soient rentrés chez eux emportant un
doux souvenir et sentant dans leur âme
le refrain des cantiques de la fête, refrain qui remontera à la surface bien
plus tard dans la vie.
LES CHORALES.
La fête des Sociétés Chorales (Va! Pélis) a eu lieu à La Tour, dimanche 7 mai.
Il pleuvait de nouveau ! Mais désormais
■qui s’étonne de la pluie et reste à la
maison parce qu’il fait mauvais temps?
A 15 heures, le temple est à peu près
comble de chanteurs et d’auditeurs. On
note un bon nombre de dames et demoiselles de la paroisse de Villesèche —
quelques-unes en coiffe — qui ont défié les averses et la distance.
Sont présentes les Chorales de La Tour,
Saint-Jean, Angrogne et Rorà, dirigées
respectivement par M.me Balma, M. Albarin, M.me Bertalot et M, le pasteur
Geymet.
M. Jules Tron, pasteur de La Tour,
préside, lit quelques passages bibliques
et exprime la joie de la paroisse pour
cette fête du chant sacré. Suit un riche
programme de chants : les uns sont enlevés par toutes les Chorales ensemble
sous la direction entendue de M. Héli
Long, les autres séparément par chaque
Chorale. Nous n’avons pas la compétence
musicale nécessaire pour donner des ju^
gements de détail, mais l’on ne peut
s’empêcher de remarquer un progrès
constant. Il y a évidemment une différence considérable entre les diverses
Chorales, mais il faut les apprécier en
rapport à leur milieu et à leurs efforts.
C'est ainsi que nous n’hésitons pas à
affirmer que quelques-unes ont donné des
résultats admirables, quoique inférieures
à d’autres plus privilégiées sous bien
des rapports.
M. le pasteur Henri Tron, de SaintGermain, membre de la Commission du
Chant Sacré, exprime son remerciement
à toutes les Chorales et à ceux qui les
ont si bien préparées. Ayant noté qu’une
Chorale avait chanté sans suivre sur
le cantique ou sur une feuille, il exprime
le désir que toutes veuillent bien imiter
cet exemple ; ce sera un moyen pour ne
pas perdre de vue la baguette du maître-chantre et pour chanter mieux encore.
Il invite tous à persévérer sur la bonne
voie, sur laquelle on s'est mis, et répète
que l’exécution artistement soignée et
fine de chœurs particuliers ne doit servir qu’à créer le goût musical, goût qui
devra ensuite servir à bien chanter nos
cantiques, plus beaux qu’on ne pense
généralement.
Le programme achevé, toutes les Chorales sont invitées par la Chorale de
La Tour à une conversation familière à
l’Aula Magna'. Autour de tables bien
garnies... il y avait même des fleurs et
du lierre... la conversation est animée,
sympathique, substantielle.
M. le pasteur Jules Tron et M. le
chev. Héli Long prennent la parole, l’un
pour saluer les Chorales, l’autre pour donner quelques conseils pratiques. M. Eugène Revel était présent, et on n’a pas
manqué de lui témoigner de la reconnaissance, puisque c’est à lui qu’on doit
la formation des Chorales aux Vallées.
Les Chorales de Saint-Jean et d’Angrogne égayèrent encore l’assemblée par
leurs chants. Quelques cantiques sont
enlevés par tous les présents.
Le succès de. la journée étak assuré
à force de chanter, on avait réussi h
chasser les nuages : quand ori'' sortit de
la salle, le soleil brillait ' dans un ciel
-d’azur, notre béau ciel italien, toujours
A-bleu comme chantent les poètes.
Le charit qui chasse les nuages : un
■’ 3 symbole et une réalité. "Voilà pourquoi
on doit continuer à chanter, à améliorer
/ le chant dans nos églises, afin qu’il
puisse chasser tous les rruages qui obscurcissent le ciel de notre vié.
,1
*«•
VAL PÉROUSE.
Elles ont risqué d’être «mouillées»...
comme souvent ! Mais « Fortüna audaces
juvat » ; et les nombreuses personnes
qui y ont accouru n’ont pas eu à s’en
repentir: ce qui — en nous encourageant — nous démontre que ces manifestations officielles de la vie de notre
District sont comprises par la plupart
des intéressés et toujours plus appréciées
par le public de nos Eglises. C’est avec une
véritable émotion que nous remercions
le Seigneur qui veut bien se servir de
ce-moyen, d’ajlleurs si sympathique, pour
l’édification des âmes : des petits comme
des grands.
CHORALES (dimanche 3 mai).
La parojsse du Pomaret les a accueillies, cette année ; et nous tenons à renouveler ici au pasteur, M. et M.me p.
Mathieu, ainsi qu’à ses collaborateurs et
collaboratrices, l’expression de toute notre reconnaissance pour la réception affectueuse dont nous avons été l’objet :
soit au temple, à la « Fête», soit après...
à la «deuxième partie», qui se déroula
avec l’entrain habituel autour de la traditionnelle tasse de thé.
Dans le temple, bondé d’auditeurs, prirent plâce dans les bancs réservés 130
chanteurs environ, formant trois Chorales ; Pomaret, Saint-Germain, PignerolSaint-Second ; des cantiques propos^és
par la Commission, trois avaient été
préalablement (et solennellement !) tirés
au sort, pour être exécutés à part, un
par chaque Chorale. Et c’est ain|(i que
les connaisseurs purent se rendre compte
de la préparation de chacune d’elles: préparation «sérieuse», affirma, dans son
discours final, le président de la Commission, M. le pasteur doct. Henri Tron.
Outre les dix cantiques de nos deux
recueils, français et italien, qui furent
ainsi chantés ensemble ou séparément,
nous entendîmes trois chœurs ; et ce fut
une vraie jouissance artistique. Successivement : Un nouveau jour, de Lanz
(Saint-Germain ; directeur M. l’instituteur
H. Jahier); L’étoile mystérieuse, de Plumhoff (Pignerol-Saint-Second ; directeur
M. J. Vicino); Le Gloria, de Silcher
(Pomaret ; directeur M. le chev. L.
Rostagno),
Quelques paroles de circonstance,
adressées par M. L. Marauda au commencement et M. Guido Mathieu à la
fin, complétèrent cette belle cérémonie.
ECOLES DU DIMANCHE (jeudi 7 mai).
C’est à Saint-Germain que nous nous
sommes rencontrés, comme d’habitude.
Et nous nous y sommes retrouvés avec
un «crescendo* dans le nombre des enfants, ce qui veut dire aussi dans l’enthousiasme : plus de 200 élèves de nos
écoles du dimanche ! Et trois paroisses
y étaient représentées : Saint-Germain,
qui chanta séparément les cantiques 115
français et 97 italien ; Pramol, qui chanta
le 48 italien et le 106 français ; PignerolSaint-Second, avec les N" 288 et 48
italiens.
Nous ne voulons pas nous prononcer
sur la finesse de l’exécution dans tous
les détails de ces cantiques ; ce qu’il y
a de sûr, c’est qu’ils ont été tous bien
chantés, et du fond du cœur. Et le public,
relativement nombreux, qui garnissait les
galeries et le fond du vaste temple, a
certainement joui en entendant encore
toutes ces fraîches voix enfantines chanter
les six cantiques d’ansemble proposés
par la Commission et (hrigés par l’instituteur local, M. Henri Jahier ; le tout a
été entrecoupé, comiiië d’habitude, paf
les allocutions des trois pasteurs. '
Comme''‘d’habltudOr'aussi, la dînett'é
s’effectua sur la place du Rosillard, suivie
des jeux immanquables, de la promenade
jusqu’à l’Asile des Vieillards, où l’on
chanta encore et où" une généreuse pensionnaire fit une distribution de caramels...
La Fête termina par la réception princièfe offerte par M. èt M.me' Tron
(quelles brioches formidables I). A eux
et à tous les Amis de Saiht-dermainÿ
encore un gros « merci » !
SS SS SS ìli S5S Sti SS SS SS 6S 5Í3 Sîi SÍÍ
#5% S» 98 SS SS 8ÎS S3 «8 8Î8 Sîî S8[
LMÉaiii laldni Parmiiato
Torre Pellice
SESSIONE JESTIVA DI ESAMI. '
I candidati a esami di ammissione alla
T‘ classe ginnasiale e il candidati privatisti a esami di ammissione o idoneità ad
altre classi dovranno presentare al Preside dell’Istituto non più tardi del 31
maggio, domanda in carta legale da L. 4,
corredata dei epguenti documenti :
1“ Atto di' nascita ;
2“ Certificato di rivaccinazione o di sofferto vaiolo ;
3° Attestato d’identità personale (costituito, per esiempio dalla tessera di una
organizzazione giovanile con fotografia) ;
4° Titolo di studio precedente (eccet-A
tuati i candidati alla ginnasiale).
Le relative tasse vanno pagate al Preside dell’Istituto, come da tabella affissa
nell’atrio, all’atto dell’ia:rizione.
Con ulteriore avviso verranno indicate
le date degli esami secondo il diario che
sarà pubblicato dal R. Provveditore agli
studi di' Torino.
•Il Preside riceve tutti i giorni feriali,
dalle ore 11 alle 12.
Torre Pellice, 15 maggio 1936-XIV.
Il Preside : Edo.ardo Longo.
CHRONIQUE VAÜD0ISE
LONDRES. Club Vaudois. Le dihianche
3 mai, un bon nombre de membres se sont
réunis pour la dernière fois, avant les vacances, dans la saUe gentiment prêtée par
l’église franiçaiae de Soho Squabe.
Après le thé, M. le pasteur Christel fit
une courte étude biblique anr 1’« Ecriture
Sainte », et M. Gnido Lageard donna ensuite une conférence sur la Bible, très intéressante et instructive, sur son origine
et les différents auteurs des Saints livres
à travei^g les siècles. Une autre petite loterie ajouta quelques «shillings» à la
collecte.
M.lle Gras, la caissière, informa les présents que, grâce aux dons volontaires et
lè produit des deux loteries, le Club de
Londres pouvait envoyer la sionime de £ 10
(un peu plius que lires 600) à la Caisse
Centrale, comme xm petit témoignage de
son affection pour l’Eglise Vaudoise, souhaitant de tout cœur que les difficultés
dans lesquelles elle se trouve soient bientôt dissipées.
Encore cette fois les deux enfants Bertin récitèrent des poésies italiennes, qui
furent très appréciées. Après un vote de
remercîment aux membres qui, pendant
l’année, ont travaillé à rendre le Qub intéressant et amusant, le pjeteur finit la
séance par la prière. A. H. Revel.
LYON, Dimanche, 26 avril, le groupe
« Pierre VaJdo » se réunifesait, pour te
deuxième fois> cette année. M.lle Bert, qui
présidait, rappela la merveilleuse œuvre
missionnaire des barbes ou colporteurs
vaudois. Puis M. Monnet, notre vicd'-président, récita, avec la ferveur d’un vrai
disciple de Pierre Valdo, «Le colportéur
vaudois », et fut vivement applaudi. Cette
récitation fut suivie par le beau chant
vaudois : « O mon pays, où la voix de nos
pères... ». Ensuite, nous eûmes le plaisir
d’entendre xm de nos enfants réciter « La
maison vaudoise», du poète Alexis Muston. Après cette récitation, tous nos en-
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Ii!Eôfeô desïiVaUéesiv^Vendredi' 15 Mai 1936-XlV’
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: fânts dwitèreut «La Cévende ». Pui^
il.lle Beft parla brièven)ent sur les trois
illustra bienfaiteurs > dés Vaildofe f Is
' <So(nïtie WaMburg-Truchsess, le pasteur Wil-.
' Kam E. Gilly et le général BeckwiÜi. La
fioble figure dlu général Beckwith fut ensuite dignement évoquée par la récitation
d'un de nos einfants. ' f.‘
, Notre réufiion ^ termina par un thé,.
K qui nous réunit autour d'une table grar
cieusement décorée die nombreuses; fleurs.
Avant de nous séparer,, nos voix 'et
nos cœurs s'unirent dans le chant d’un cantique et dans la prière.
MABSEL. Dimanche dernier, a été célé' brée la fête de la Mère. Au culte du matin, le‘mauvais temps n'a pas permis a'
beaucoup d’enfants de l'école du dimanche
d'être présents pour offrir à leurs mères
■ le traditionnel bouquet de fleurs. On a eu
tout de même un bon culte. Dans l'après*
midi, l'Union des Mères fut fêtée par
l'Union des Jeunes Gens. La fête a très
bien réussi.
★ Nous rappelons qu'à l'Ascension aura
lieu, Dieu voulant, le bazar annuel de
l’Eglise.
PIQNEBOL. Dans la nuit du 7 mai.
Dieu a rappelé a Lui, après ime courte
maladie, à l'âge de 38 ans, iLong Barthélemy, de i'Abbadiia, originaiire de ^nar
mol (Ribets).
Son départ a vivement affecté les nombreuses personnes qui l’ont connu : soit
dans l’église, dont il était un membre fi.dèle, soit à rétablissement de MM. les
frères Türc, dont il était le commis unir
verseUement aimé et estimé.
Que Dieu soutienne sa jeune veuve, M.me
Alice Travers et ses deux fillettes, ainsique tous les parents affligés — auxquels
nous renouvelons l’expression de notre affectueuse sympathie chrétienne.
★ Dimanche, 10 mai, notre Eglise a célébré solennellem^t, avec participation au
culte des Ecoles du diananche, le dimanche
de la Mère. Puissent les mères et les enfants y avoir puisé de nouvelles inspirations pour que nos foyiers deviennent toujours davantage des centres de vie chrétienne !
POMARET. Mardi, 28 avril, ont eu Heu
les obsèques de notre frère Rochon Jean,
décédé à Vivian, à l’âge de 7Ô ans ; et dimanche passé, avec le concours d’un très
grand nombre de parents et d’amis, celles de notre frère Rochon Théophile, détcédé au Pomaret, à l’âge de 74 ans.
Aux familles durement éprouvées par
ces départs, nous renouvelons notre profonde sympathie chrétienne.
★ Le culte de dimanche, 26 avril, a été
présidé par M. Alfrad Janavei. Nous le remercions vivement pour son bienfaisant
message. *
PBAMOL. Samedi, 25 avril, a été béni
le mariage de Sappé Erminio, des Ailiers,
avec Bmchard Delila, de la Ruà. Nos bons
vœux à ces nouveaux époux.
★ Dans ces dernières semainiœ, quatre
enfants ont été baptisés au cuite du ditmanche matin. Ce sont : Peyranei Livia
de Jean David et de Long Louise, des
Beux ; BofUchard Gino d'Emile et de Long
Lydie, des Bouchardons ; Peyronel Enzo
d’Eugàne et d’Eugénie, Tournims ;
Beux Or este d’Héli et de Peyronel Lina,
des Tournims. Nous avons demandé à Dieu
de bénir ces enfants et de les guider, jour
après jour, dans les sentiers de la vie
chrétienne.
★ Nous exprimons notre sympathie
chrétienne à la famille de notre sœur Boaê
0
nous Suzanne née Sappé, de Peumian, qui
a achevé sa carrière terrestre le 26 avril,
à l’âge de 77 ans, après ime longue
maladie.
★ La fête des Mères sera célébrée, D, v<i
dimanche 17 mai, et le culte du matin sera
consacré à cettë cérémonie. Qu’on se le
dise et qu’on ne manque pas d’y assister.
PBARUSTIN, Nos Notre sœur
Emilie Gay veuve Cardah, de Ciarvet,
mère de la Directrifce de l’Hôpital de
La Tour, est décédée dans cette Institution de bienfaisance le 6 courant. Elle
était âgée de 68 ans et sa-santé, depuis
quelques mois, était chancelante. Nos con
doléancles à sa fllè, à son filp et à tous les
parents. ,< ' '
Le 8, à Costalungia, décédait notre frère
Paul Gardid, à l’âge de-76 ans. D’un caractère paisible et doux, ïï avait été ré¿•ulier aux cultes jusqu'au commencement'
de cette année, quand une failblease toujours plus grande s’empara de son orgar
nisme usé par le travail.- A la veuve, au
fils, au frère, pasteur émérite Barthélemy
Gardiol, et à tous les parents, notre sympathie chrétienne.
★ Baptêmes. Le 21 avril, Albert et Ide
Paschetto, fils de Louis et dé Henriette
Revel ; Amüda Emma Gay, fiBe dé Jean
Frédéric et de Séraphine Brosia, des Gayot.
★ Nous remercions vivement le pasteur
émérite Barthélemy^ Soulier, qui présida
lé ctüte de Saint-Barthélemy, lé dimanche
K) courant.
★ La fête des Mères s’est déroulée dans
une atmosphère de cordialiité et de paix.
Nos jeunes filles et quelques enfants
avaient préparé à leurs mamans, ave^ des
récitations et unie bonne tasse^ thé, la
désormais traditionneïle après-midi du dimanche de la Mère.
★ Nous invitons les amis de notre pa
roiaae à monter, dimanche prochain, à StBarthélemy¡, pour le Bazar annuel Le culte
du matin, présidé par le pasteur Jules
Tron, de La Tour, donnera le ton à notre fête^ qui veut être la fête de la reconnaissance pour ce que Dieu nous
accorde. G. R.
BAINT-GIEBMAIN. Dimanche, 3 inai, a
été présenté; au baptême Remo Enrico Richard de Henri; Que les bénédictions du
Trfe-Haut descendent sur la famille et sur
le petit Remo.
A Nous sympathisons vivement avec
M. et M.me Barthélemy Bouchard, dans
leur douloureuse épreuve., Que le Dieu des
consolations étende son aüe sur ce foyer. '
VILLAR. Nos deuils. Deux membres de
notre famiÜe paroissiale ont étés dernièrement, rappelés par le Père. Notre sœur
Madeleine Caïrus, de Prafré, décédée d’une
manière subite le 17 avril, à l’âge de
74 ans. Et, sept jours plus tard, le 24 avril,
un autre cher ami, Jean Garda, de la Viigne du Teynaud. Notre frère était un mutilé de la grande guerre et avait, depuis,
passé par beaucoup d’épreuves. Il succomba à sa septième opération chirurgicale. Mais sur son lit de mort, ü rendait
grâce à Dieu dont il reconnaissait, dans
l’épreuve même, la main miséricordieuse.
La foule immense, quii participa aux obsèques, la présence des délégations des Associations de Mutilés de guerre, des exCombattantsi d|es « Bersaglieril », des Organisations Fascistes, les témoignages
d’estime et regret rendus par plusieurs
amis, ont dit à la fidèle compagne de notre frère la sympathie dont elle est entourée dans son deuil.
Nous avons reçu aussi avec le plus Vif
regret la nouvelle du départ d’un cher
ami de Milan ; M. Timothée Corlando qui,
depuis quelques années, passait parmi
nous ses vacances d’été. Tout en étant
membre et évangéliste de l’Eglise des Frères, il sentait et manifestait pratiquement
sa fraternité pour les chrétiens de toutes
les églises. Nous n’oublierons pas sa cordialité, sa largeur d’esprit et surtout sa
foi rayonnante..
Que Dieu soutienne les familles visitées
par cies deuüs.
★ Nouveaux foyers. Nous avons été appelé, dans l'espace de peu de jours, à célébrer le mariage de trois jeunes couples :
M. Pierre Puy feu Pierre, de Subíase, avec
M.lle Jeanne Pelenc de Jean-Pierre, de Sur
biasc, le 30 avril ; Paul Catalin d’Etienne,
du Bessé, avec, Emestme' Cordm de Guillaume, du Serre ; et Etienne MichelimSalomon de François-Etienne, de Buffa, avec
Lina Grand de David, de Foin Menu, le
2 mai.
Nous renouvebns à ces époux nos vœux
pour un bonheur fondé sur le rocher solide.
★ Activités Unionistes. Notre Union des
Mères n’oubliera pas de si tôt la bonne visite que lui ont faite, le 5 avrfl, les Mères
de l’Union de Prarustin qui, àccompagnées
par leur courageuse présidente M.me Rivoir, pasteur, ont escaladé leà montagnes
pour fiaterhiser avee teufs ¿ceuts
duVfflar.
Quinze, jours plus tard, nos Unions
des Mères et des Jeunes Filles étaient de
nouveau réunies,- au grand complet, pour
entourer de leur synipathie les catéchumènes rëèenlirient ieçueS' à l’Eglise. ' ’
★’’Nos six Unions de Jeunesse ont eu,
le 15 avril, sous la présidence' dé^ M. le
chev. lÎéli ]^ng, président de rAaSooiatîon
du Centre et membrç du Comité de
Groupe, leur réunion de clôture dé l'activité d’hiver, par une soirée à laquelle toiutes' nos Assoofa'iians étaient largement
représentées. ..
Après im vibrant messie du Président
et quelques témoijgnages fie jeunes; le
Pasteur exprima aux Présidents de nos
Unions, et surtout à M. Long, lia' reconnaissance du Consistoire pour l’activité
particulièrement intense, qui a été déplbÿéé en faveur de nôtre chère jèimesse,
quB nous désîlronsi, toujours plus unie et
toujours plus spirituelle. Nos soldats oht'
été présents par leurs chers messag,esi et
dans nos prières.
★ Vmtes. Nous exprimons à M. le doc
teur Heiiri Gardiol de La Tour, pour lia
très pratique càuSterie offerte à nos jeunes,
sur l'hygiène ruralci et à M, le prof, Gibtf
Gostabel de Lia Tour, et à notre cher régent M. le chev. Héli Long, qui ont présidé, dernièrement, le culte dominical,
nos sincères remerciements pour leurs
messages efficaces et pour leur bonne
collaboration. '
★ Nouvel ancien. Dans sa sêâricê dtf
3 mai, rassemblée; électorale de l'Eglise a
nommé à la charge d’ancien du Bessé, pour'
remplacer M. Joseph Puy, démissionnaire,’
É. David Garnier de David, des Meynets.*
"Îout en renouvelant à notre* cher ami
M, Puy l'expression de notre regret pour
sa décision, le Consistoire souhaite à‘
M. David Garnier une carrière bénie ad’
service de Diéui, pour le bien de l’Eglise.
j
m
COMUNE DI TORRE PELLICE.
ST&TO CIVILE dal 4 al 10 Maggio 1936-XIV.
Nascite N« 0
Decessi N® 2
Nous invitons la jeunesse vaudoise à
se rendre nombreuse a la Fontaine de la
Santé (près de Pian Prà) pour le traditionnel « Convegno », le jeudi de l'Asqension, à 10 h. 30. G. R.
PERSONALIA.
Samedi prochain, 16 mai, à 15 h. 30,
dans le temple de La Tour aura lieu le
mariage de M. Henri Gcymet, pasteur à
Rorà, avec M.lle Eugénie Cabella.
Nos miei'Ileurs vœux.
* * *
M. le docteur Henri Pons, agent de la
JSociété BibKtquei qui vient d’être remplacé par M. le pasteur Guido Miegge, ne
quitte pas Rome et fixe son domicile à
92,. Corso d’Italia.
Heureuse retraite !
« « «e
Le Corriere délia Sera, Milan, 9 mai, consacre un petit entrefilet aux noces d'or
de M. et M.me Vidossich.
Nous nous réjouissons avec eux, avec
leurs sept enfants — tous mariés — et
avec leurs petitsHenfants. Nous ne voulons
rien gâter du sympathique entrefilet et
nous le reproduisons en entier.
“NOZZE D’ORO,,
Nell tempio evangelico valdese dì Piazza
Missori prima, poii tra le pareti familiari,
in Via Foppa, 4, ieri hanno festeggiato le
loro « nozze d’oro » Giuseppe e Carolina
Vidossich, rispettiivamente di 75 e 73
anni : mezzo secolo di vita in comune, allietata dalla salute, dalla fortuna e, sopratutto, da una fiorente nidiata di figli, dalla
quale un’altra nidiata, ancor più fresca e
; coiilosó; è*<ferivatleii qi^élia di cfodiéi^hi-'
poti. Giuseppe Vidossich, miianesfe d’ete-'
zióiìé, venire s Milano diocìbttenne dsilia
nàliva''Udine. OfiéaÉioi, vdle fatsi una vità'
col laivoro, e ci riuscì : dapprinm coinitrfiésw, m%Bcrté ^adatàtoenfe la Stik còndizfìone' ecénohiié4 finé a tirveaitarè iiidtf«
striifle nel campo seHoó. Nel 1886 tìofidcÉsé
all’altare Caroiina Maronil da Corsdeo, é
alla fortuna economica s'aggiunse quella
dei,figlioli : nove in tutto, sette dei quali,
i quaittro maschi e tre fennnine, hannb‘
avuto ieri la gioia di stringersi affettuosaimaite intorno ai genitoril nella rie««'*
renaa fausta e augurale. Coi figli e coi nipotini, hanno festeggiato i due veterani
della vita Coniugale parenti e amici giunti
da ogni parte ; e doni e augurii sono stati
fatti ^ degna ooppia,, la quale, accettandoli, ha ihvitató'tutti i prétentì'a considerare come bene impareggiabile la unità
e la santità della famìglia.
n MTO GOBRMTI POSTILI
dèlia
Libreria Ed. Claudiana - TorrePellice (Torino)
é 'il.N. 2Í175S7
Faite et Nouvelles.
Ecosse. Le prof. Knrl Barth né’ reste
pas inactif. Il est chargé de donner des
cours dans les quatre Universités écossaîsesi, cours connus sous le nom de «Gifford Lectures», et qui sont confiés au3C
théologiens les plus distingués. Le' fait
que le choix tombe sur rm étranger est
déjà quelque peu exceptloénél si je né”
fais erreur.
* « *
REVDE DE LA PRESSE.
Le Bulletin de la Commission de THistoire des Eglises Wallonnes publie, dans
son dernier numéro, un article (le premier
de la livraison), qui nous intéresse de près,
et qui est intitulé : « Le Comité Vaudoîs »;
en Italie nous l’appelons «Le Comité
Wallon ».
L’article, d’environ 36 pages, retrace lœ
origines du peuple vaudois et passe ensuite en revue le travail accompli par les
églises des Pays-Bas en faveur de nos églises, par le moyen du Comité Wallon.
H s’agit d’une publication commémorative du 200® anniversaire de la fondation
du dit Comité, laquelle reproduit le discours prononcé à Middellbourg fe 24 juin
1935, à -l'ocoamon de la 120® Réunion des
Députa de® Eglises Wallonnes, par M. le
pasteur J.. Amal modérateur.
De notre côté, le prof^seur Jean JaBla,
peu de temps avant sa mort, nous avait
fourni, pour VEcho, un article commémo
Russte.. Pâques à Moscou. Le Service
œcuménique de presse communique que
lés fêtes de Pâquesi ont attiré, cette an-”'
née, une affluence considérable de population dans les églises de l’U. R. S. S. A Moscou, les 28 églises (sur les 454 qui eadstaient autrefois), étaient archicombles.
L’aifluence était si grande que les audi-z
teurs, pendant les servibes, éUdent massés non seulement dans les élises, mais
autour de ' ediesei C’est dans la cathé^'
drale de DrogomilOw, à Moscou, où le Mén^
tropolite Serge — remplaçant le patriarche — présidait le service, que l’on compta
le plus grand nombre de fidèles. Partout,
et même dans les magasins cooipêratifs de
l’Etat, on vendit, selon la tradijtion, les
pains et la Pasqua de Pâques. La jeuneesè
a participé en plus grand nombre aux services de Pâques, mais les militaires en
étaient absents. On a remarqué parmi les
mendiants im graind nombre de vieux prêtres, mais par contre, les prêtre en fonction portaient de meilleurs vêtements que
l'an dernier ; ceci a été constaté non seulement à Moscou, mais aussi dans les autres parties de l’ü. R. S. S.
N'esùqe pas là la preuve évidente que
la vie religieuse ne se laisse pas éteindre
au pays des Soviets, pialgré toutes les
persécutions !
' .1Í. •• ,
Í“ :
4
ratìf du 300* anaíviers^ire de’la, foxidatiao
dîu CWuté WallJoii
xV ^ ' ffc<’lÎiîîî^ ’ ; * -sjr il'VswJ. <'
JNous né pouvona nous empêcher d'ex
notre jvive gratitude au^Bidletm
nifì Ia. r'VtTTllYnQCh/^n /Ïa «VUievé^iitak Æ>w« ÜTWIJmam
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im' ts-.ri'? ’V'
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de la Q>nwisi^don de IfHistoire des £!gUaes
W^onnee ^ pour, ^ j,, important, 1, articlei
<{P^ né raanqaera,pas,d'intéresser se»Jei>
teins à notre hiatodre et, à potre cause.
Dnnn^crnri&qqnnnnEXnn
. ' < ■' ■ I. ,1.'■" ■ ' . . ".»M" ■•' '■ I l^■l .11' -. ■■■■.— .
sili*- *i
:U~
M M"i lei Tilugnil.;
'Si comunica al pubblico che dal 15
corr*iis’inizia' l'accettazione dei libretti
postali pervi la ..revisione annuale degli
interessi.
0*0'o. o o o 000 000 O O O'O o o
FERROVIE DELLO STATO
• I • . i • ' t
Riassunto delle Riduzioni Ferroviarie
del 50%: Bologna, fino al 23 Giugno;
Cagliari-Sassari, dal 25 Maggio al 30 Giugno; Caravaggio, dal I® Maggio ai 30
Giugno e dal 1° Agosto,al 30 Settembre;
Como, fino al 31 Maggio ; Firenze, dal
1® Aprile al 30’ Giugno e dal 16 Ottobre
al 15 Novembre ; Livorno, dal 1® Giugno
al 30 Settembre ; Milano, dal 28 Maggio
al 29 Giugno e dal I® Settembre al 24
Ottobre; Napoli, dal 1® Settembre al 15
Novembre ; Padova, dal 4 al 24 Giugno ;
Postumia, dal Maggio al 30 Settembre ;
Rodi, fincF al 31 Dicembre; Roma, fino
al 28 Ottobre; Venezia, in unione all’Esposizione triennale di Milano, dal 28
Maggio al 27 Settembre. ,
Per gli stranieri etf italiani residenti
all estero, viaggi per tutta la rete al 50 %
individuali e 70% contitive di almeno 8
persone.
^ j' i^r Ac<|im, Ao0tl, vinr, Mqoorl, Solrffpiri,
Olili M*dlolnall, Profaml, Coll*,
r iMPrANTI f^ER CANTINE '
par VIpI Spamantli par AiMiHa Gataoap
a Salta - Càtalopo gratta«
bellavÌta \(»-i VIA CARINI, t ;
gU P.I* PARINI 3
,.l ' U TIPOGRAFIA ALPINaTa?
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ANOROGNA -, Pastore : Roberto Niebet. ,
AKGROGNA (Serre) - Pastore: A. Deodato.'
BOBBIO PELLICE . Pastore Enrico Tron, Sj
LUSERNA S. GIOV. -Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELIO - Pastore : Alberto Ribet.
FERRERÒ - Pastore : Oreste PeyroneL
PINEROIO - Pastore : Luigi Marauda.
POMARETTO - Pastore : Guido Mathieu.
FRALI - Lami Ctósson, Cand. Min. ^ '
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rostan.
PRAROSTINO - Pastore : Guido Rivoir.
RICLARETTO - Cand. TeòL A. JanaveL
RODORETTO - Candì. Tad. A. Genie.
RORA’ * Pastore : Enrico Geymet. ,
S. GERìM. CHISONE - Pastore: Enrico Tron, J. '
TORRE PELLICE - Pastore': Giulio Tron.
TORRE PELLICE (Cbppleri) - Pastore : A.
. Fuhrmann.
VILLAR Pellice - Pastore : Roberto Jahier.
'il
ABBAZIA - < Chiesa di Cristo. Culto alle
ore 16 - Pastore : Valdo Vinay, da Fiume.
AOSTA - Chiesa ; 3, Rue Croix de Ville - Da
Ivrea.
BARI - Chiesa Valdese - Da Carato.
BERGAMO - Chiesa : Viale Vittorio Emaniueie, 4
- Pastore : Arnaldo Comba, Viale Roma, 6.
BIELLA •-* Chiesa : Piaaza Funicolare, Palazzo
del CouBorzio Agraria
BORDIGHERA - Chiesa: Piani di Vallecrosia
' Pastore : Davide Pons, Istituto Femminile
Valdese. ' •
BRESCIA - Chiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore :
-Enrico Meynler, Ivu ■
BRINDISI - Chiesa Valdese: Via Oongreguzìone - Da Taranto,
CALTANISSETTA - Chiesa: Via Malda. 15 Da Riesi.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 20 - Pa, store : Teodoro BaJma, ivi.
CERIGNOLA - Chiesa ¿Evangelica - Pastore:
¡a. Castiglione.
CHlETI - Chiesa Evangellea,
CO AZZE - Chiesa Evangelica - Da Ttorro Pelile©.
CX3M0 - Ghlesa: Via Rusconi. 9 - Pastore:
G. Mlegge : Via Luigi GuaneÙa. 14
TORATO - Chiesa Valdese : Corso Mazzini, 27 Pastora: A. Mlscia, ivi. >
FfiLONiCA PO - Chiesa Evangelica - Cand.
Ministemo £. Ayassot. ,
FIRENZE - Chiesa di Via de' , Senili, 5i Chiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore : Vlr
■.i* gllio Sommani * Coadiutore: Pastoire X,,,,Vlnay. ^ ;
FIUME - Chiesa ; Via Pascoli, 6. Culto alle
„ore 10 - Pastore : Valdo Vinay, presso sig.
Wiltsch, Via Bacdch, 5.
FORANO - Chiesa - Pastore : ' Paolo Coisson,
Forano Saibino (Rieti).
GENOVA - Chiesa: Via Assarétti - Pastore:
Emilio Corsani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa - Grotte (Agrigento) r Da*
C^tanissetta.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’ArmL
LIVORNO - Chiesa : Via Gs Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi, 18.
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa; Via Maddalena, 57,
isolato 147 - Pastore : Seiffredo Oolucci,
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILA.no - Chiesa : Piazza Missorl, 3 Pastore
emerito V. A. Oostabel, Via A. Da Olw.
sano, 23 - Goadintare: Cand. Tsd. V. SubUla.
NAPOLI - Chiesa - Pastore : Mariano Moreschini. Corso Vittorio EmAnùele, 42 (presso
Dott. Ricciuti).
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese - 405 WesC
41 Street - Culto principale : 4 P. M. — Pastore Pietro Griglio : 18 West - 123 Street
NIZZA - Chiesa : Rue Gioffredo^ 50 - Pastore :
Alberto Prochet, ivL
ORSARA DI PUJ3LIA - Chiesa VaJdese - Da
Oerignola.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Pastore: Alfonso Alessia
PALERMO Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :
Elio'Eynard. ivi.
PESOOLANCIANO - Chiesa Evangelica.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore : Davide
Pons, Istituto Femminile Vaidesa j
PIEDICAVALLO « Chiesa : Via Carlo Alberto. ' ■"
PISA - Chiesa : Via Derna. 15 - Pastore : F.
Pdyronel - Via Santa Maria, 85.
REGGIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marao:
Via Possddonia, 4 - Pastore : Enrico Pascal,
Via PosBldonla, Casa MedicL
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore: Umberto Bert
UIO MARINA - Chiesa Evangelica - Da Lirorso.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Norembré, 107 Fastóre ; Giovanni Borinet, Iti - ChieBa di
Biazza Gawar -.Pastore« Fació Repict Via
r Marianna Dtonigi, 57. ; '
Hanilare orteiooi e laglia alla LIBRERM EDITRIEE [LABDIARR - Torre Pellite (Toriflo)
Confo Corrente Postale N. 2/17557
SAMPIERDARENA - Chiesa : Via Giosuè Carducci, 16 - Pastore : Carlo Lupo, Vìa G. B.
Monti, 25-5.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangèlica - Anziano-Evangelista Scarinci
Giuseppe, ivL
SANREMO-- Chilesa: Via Roma, 8 - Pastore:
Ugo Janni, ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Domenico, 5
- Pastore : Eugenio ReveI, ivL
SUSA - Chiesa : Via Umberto I, 14 - Da Torre
Pellice.
TARANTO - Chiesa : Via Pupiuo, 16-20 (angcio
Via F. Di Palma) - Pastore : Gustavo Bertin, Corso Umberto, 76.
TORINO - Chiesa : Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore :
Alessandro Simeoni, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori : Pastore emerito Augusto Jahier e Cand. IteoL E. Micci, Ivi.
TRIEISTE - Chiesa : Via S. Mi Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa : Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore: Glov. Bertinatti, ivi
VERONA - Chiesa : Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia.
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore : Arturo Mingardi, Via Garibaldi 60.
Il evito principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
UFFlOIp DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Antonio Boatan, cassiere Pastore Guido Comba, segretaito del Moderatore - Via Quattro Novembre, 107 Roma (101) .
FACOLTA’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cessa,
4l2, Roma (126) - Professori : G. Rostagno,
Ernesto Comba, Davide Bosio.
LICEO-GINNASIO PAREGGIA-TO - Torre Pdlifie - Preside : Prof. E, Longo.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Prof. E. Comba, presidente ; Enrico Meynler, Giaranni Mlegge^ Mariano Moreschtni.
CONVITTO 'MASCHILE - Torre PorUce - Di-;
rettore : Pastore Davide Forneron.
ISTITUTO FEMMINILE ,VALDESE - VaU©orosia - Direttore : Pastore Davide Pons. '
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre PolliceDlifettrlca : Sig.nà Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (IsUtuto Gould)
Via Serragli, 51, Firenze - Direttore ;
Pastore V. Sommani.
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Ibrlno
- Via BerthoUet, 34 - Direttore : Gr. Uff.
Paolo Canobbio.
OSPEDALI VALDESI - a 'Torre Pellice - a
Pomaretto - a Torino, Via BerthcJlet, 36.
GASA DELLE DIACONESSE - Sede : Pomaretto (Tonno) - Direttore : Pastore Luigi
Marauda, Pinerolo.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLO
ALBERTO » - Luserha San Giovanni
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni
ASIIG PEI VECCHI - San Germano Chison©
- Direttore : B. Soulier, pastore emerito.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (Sicilia). '
COLONIE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uruguay,
COLONIA VALDENSE fl>ep..to de Colonia) .
Pastore : Ernesto Tron.
colonia COSMOPOLITA-ARTILLEROS (Departamento de Colonia) - Pastone : T<iTit.w
Beux —, Pastore emerito : Pietro Bsunaus.
TARARIRAS-RIACHUELO-SA'N PEDRO Y COLONIA (Dep.to de Colonia) - pastore : Daniel Breeze, Estacidn Tarariras.
OMBUES DE LAVALLE-COLONIA MlGUELETE (Dep.to de Colonia) * Pastore : Càrie
Negrin, Ombues de Lavali©.
ROSARIO-BARKER-COLLA-POLONIA (Pep.to
de Colonia) - Evangelista: Emilio Ganz,
Oolonia Vftldense.
S. SALVADOR - Pastore : Giovannnl Tumi Dalones (Soriano).
COLONIA NUEVA VIALDENSE (Dep.to d©
Rio Negro) - Pastore: da destinarsi
COLONIA NIN Y SILVA (Dep.to de Paysandù)
- Pastore : da destinarsi
Argentina.
f 'OLONlA IRIS (Pampa Central) - Pastore : Silvio long, Estaciòn Jacinto Arauz, F.C.S.
COLONIA BELORANO (Provinola de Santa
Fé) - Evangelista Carlo Alberto Griot,
; Estación WiRtermuth, P.C.C.A.
COLONIA EL SOMBRERITO CFnovincia de
Santa Fè) - Visitata’periodicaiuente.
SAN GUSTAVO (Provinola de Entre Rica) * VMtata periodicamdite.
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