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30 Janvier 1014
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Prix d’tbosnement ptr tu;
Vallées Vaudoites . • Fr. 2,60 — Italie . . . . Fr. 3,00
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•’*bonne: à Torre Peilice au bureau d’administration et à
I Imprimerie Alpine; dans toutes les paroisses,chez MM.les
Pasteurs.
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‘ 'et pdnïl’4ikii(ttràtfel^è M.‘J.Coîrt^^ Tórre Ptliiee.
tTdut phaageoMntidlMdrfsse codto. l^ o^^times, sk^ eeux du
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimâbles.^^ jig^çÿ
-, àoa abopmptlgnilt dt» ta.kosasae Ap 16 «eat.
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SOMMAIRE:
Un homme de foi — Eduquons notre jeunesse — Chronique vaudoise — Nouvelles et faits divers — Bibliographie
— Nouvelles politiques — Pro Scuola
Normale.
UN HOMME DE FOI.
La presse s’est longuement occupée du
général Picquart, qui est décédé tout dernièrement à la suite d’une chute de cheval et qui a bien mérité de son pays, en
prenant fait et cause pour Dreyfus contre les attaques insensées et sauvages des
nationalistes français. A peu près en même temps, la mort frappait Francis de
Pressensé, le fils du célèbre pasteur et sénateur. Francis de Pressensé, qui reçut
une éducation des plus soignées et qui fut
élevé dans la crainte de Dieu, se trouvant
plus tard en contact avec le monde, en
qualité de correspondant, lors delà guerre
de 1870, perdit cette foi qui était si vivante chez son père, et déjà il se tournait
veya le Romanisme, lorsque survint le
fait Dreyfus, qui allume en lui une sainte"
indignation, et il fait tous ses efforts
pour défendre le droit de l’opprimé.
Nous admirons ces deux hommes dans
la lutte contre les ténèbres de l’injustice,
et unis encore, dans une mort bien précipitée.
Mais il est un autre nom qui mérite
d’être connu, surtout ces jours-ci; nous
voulons vous parler du colonel Labrador,
un Espagnol pur sang. Cet homme de foi,
occupant une position très en vue, d’une
fidélité admirable dans l’accomplissement de sa tâche, aimé par ses supérieurs
et ses soldats, appartenant à l’artillerie
de marine, fut en avril 1913 désigné pour
présider un conseil de guerre. Suivant
une ancienne coutume, il fut convoqué à
la messe du Saint-Esprit qui précède en
pareils cas 1 entrée en séance. Ce phénomène n’est pas spécial à l’Espagne; l’Angleterre fait exactement la même chose,
mais au lieu d’aller à la messe, le Juge se
rend au prêche. Le colonel Labrador, appartenant à l’Eglise presbytérienne de
San Fernando, en conséquence, bon protestant, répondit que ses convictions religieuses ne lui permettaient pas de prendre part à cette cérémonie catholique.
Or si, depuis quelques années, cette excuse est admise quand elle est formulée
dans l’armée de terre, elle ne l’est point
encore dans la marine. Malgré les pressions de ses supérieurs, l’invitation à céder de la part de plusieurs amis qui voulaient éviter à leur ami une punition disciplinaire, le colonel Labrador tint bon
et, accusé de refus d’obéissance, il fut
jeté en prison. — L’Alliance Evangélique
de Londres, des personnages influents intervinrent pour faire mettre en liberté
1 homme de foi, et déjà le ministère libéavait proposé l’abrogation, dé la loi
-ïOli i — ■ ») i-> r -n;ua fOO X aau:*' u->c
d® IpfipngA opÇWiBnit J9^ /F,
absurde quand il dut céder sa place à un
ministère conservateur qui ne fit plus
rien. Le 19 décembre dernier, la coUr martiale composée de sépt généraux et de
deux colonels, se réunit à San Fernando
pour juger l’inculpé. On accourut de tous
côtés pour écouter les plaintes des accusateurs et la défense des avocats. Le'mi-'
nistère public ou procureur du roi, tout
en rendant hommage au colonel Labrador, homme exemplaire et esclave du devoir, en se basant sur Un article du codé-,
demanda six ans de prison. La cour, quelques jours après, à l’unanimité moins Une
voix,' réduisit la peine à six mois, et le
préfet maritime de Gadix ratifia la sentence. Les Eglises protestantes, en pré-'
sence d’une telle énormité, en appelèrent au Souverain, qui, parfaitemént au
courant du fait, connaissant ce qu’est lé
protestantisme puisque la Reine appartenait à cette religion, n’a pas hésité à accueillir la demande de ses sujets ét à ^a^eié le colonel Labrador. Le roi a fait
Son devoir, mais le ministere doit se hêtér dé faire disparaître cetté loi qui est
une honte pour l’Espagne, un défi à la
liberté de conscience et au
Nous avons encore ici une des conséquences de l’union’de l’Eglise avec l’Etat, et
cette sentence sera un bon argument
pour préparer d’abord et réclamer ensuite la séparation. En attendant, honneur à l’homme de foi. G. A. Tron.
ÊOUOUONS NOTRE JEUNESSE.
L’affaîssement moral est la note dominante de notre temps. Par manque de foi,
notre ânie ne vibre pas aux appels du
monde moral et spirituel. On veut arriver
à son but par la coercition et la pression
extérieure. Les hommes se tournent vers
1 Etat pour avoir du secours; ils veulent
obtenir Ce qu’ils désirent par la pression
constante ét ennuyeuse ou bien encore
par la irtenàce. Gette tendance est celle
du désespoir, c’est le renoncement à la
suprématie de l’esprit, plus encore, à la
religion chrétienne même. Les personnes
aux tendances anarchistes n’en sont pas
troublées le moins du monde, mais elles
pourraient 1 être si elles en considéraient
le résultat final. Or le résultat final ne peut
être que le chaos et ensuite le règne de
l’épée. Gar lorsque l’ordre social n’a pas
ses racines dans des qualités môrales,
mais se soutient uniquement par la force
extérieure, il doit avoir recours, en dernière instance, à l’épée. Geux qui voudraient tout abattre pour le triomphe de
leur cause, devraient considérer avant
tout le prix de leur victoire.
Et comment se fait-il, qu’après avoir
éduqué et saturé de christianisme notre
jeunesse, nous en soyons arrivés à ce
point? La cause nous croÿons la voir dans
une éducation imparfaite. Si l’esprit de
l'adhJte uè répond pas à rappel du Très
■ It~ i ,'Jn» ; . •■fu'j vîbiij'ioll an >'!
Hatttjt S’ii ne vibre' pàS <ak 'Contàct‘'dii
Hïnndê'Jpîrittféï, tout én'étah-t Iput
ét t6jft^5r^ur^.qùânt pu^ ava^ mar
térie^^ çelàjVçut ^e que,la culturpiintérieuçe de po,tfe jeunêssea' été; fautive. Les
sentiments sç sont tout (^mplèmênt ntrophiêsj^Muté d’èxeidêé. f^dps àVdriS êuTtivé Î^Iénigehca ét^ hpu^^ négligé
là .i-IU-jli .1. ÎIJidJ.Jé — , ‘ ,f
sensible s!est formée dans 1 des
moule» préparés pan le hfesa’éd etMl’êgoÎSme. ‘ blâiïïdns njotfë' ‘èht'6t^râgé‘'àfa
lieu' ie‘,Hoüs blamér’’nous-nîêmés.' ’ fious
yaliU oL‘ ■ nu -m u '■■Jo'-i ‘î:!a
'’°W^ih9V!?:Pi^feÇtionpef i®, wy.Çi
des ij^oses- qui nops en,vi]E(onnent, au’dieu
d’écoütep l’Esprit •qnStràvailleiaii'dedanà
de iïo^M'Êt nôilà-s'aVons’ tréé bîén tfùè’lé
quand njqps,,}^ nqondp aPFitaeEiIj'é
chaos p^SMeHUîip/estiqwe l’image de J’ai
narclde itetéridare; JüssmhnVEdtimiion Éi
f’A(>n^rfë^,*-*Trôchèl%appeife 'diik‘ parèrits
et auk éducateurs,’ ’q*ue li>rêü”m greffé ni
inôct|fe:^IÏ'lÎéàeZopp*éIWte i^osé*'du de
®®ti,te'.r®sultat jde, J’anarchie des esprits,
tandis q-ue..la' paixi:«t'le ^progrès nroiral
Sont obtenus pàFl’âmé Vivant'en d^ tè
lations notmales aVèt’^FEteiiièï?^ Il affir
„ J > ni/ HUiapÎi — O .«ÍHU.í.i
m ^ ^ T' 'V*« A,« 1,^ «'......A* ér ..
■_ "■‘■ii’ Si niA siuja.pr-. — <-• ..íHu.í.i
me en^ije^ ^qt re^p^fiqnç|e.,lg ipstine
amplement,,^,.quq ce- 'qpe i’ojv.a négligé
dans l’éducafi'on'>et le déivelôppemeàt dé
la Jéunessè/he pourra plÜS-étfè râftràpé;
qU41 y a dé ñóbíeís’áéhÁe's dâhs ï^âmé'^^
sont tues pour jtç^jpurs. Pour, bien éduquer la. jeunesse, jil,veut iqji-’H y ait.¡Une
coïlaboration eoiitinnëHe entre la màisôA
ét r’écbié,';etdüé'tbus se Senteilt sôûs lé
regard et en communion avec Diè'ül Nous
li^avoris, jifsèi^’ijci,’pâs assez’compris î’eaîgjrt et aussi noe nioyeps^et ¡noss méthodes
^’éducation ont,été trèsiimparfaits. .Religieusement, nous.*n!avonS pas idohaU assez -d’iniportâHefr' àux 'moyénS’hürhaifts'.
NdUs avbns cru"(|a’à uné céfitáfne'péríó^e
fa, grâce , de Dieu aurait ,ren^p, ,t,optes
choses pures..Maiè rexpérienee nous montre que Dieu travaille avec et par le moyen des ïnstrumeirts que nous'-ÿvons.
L’instinct qui a péri il né lé recréé plus’,
l’intelligence ruinée il rie la restauré'plus;
iiA..Ç9hnaissançe que/lousippurrions ,aii^*
n est pas donnée*-Lé soleil de justipe.pfimt
briller* mais ses i rayons.-arrivent faussés,
qh.liques, jusqu’à nofç.^4mç. >_ j,, .
ijAa point dp ype. jde, .rédpç.atio^n,^ pops
ayons donné trop d’ipijportance à l’inteliigence., Nous.ayops pour but de faire, de
nos jeunes gens'ou des gentillhpmmes ac|complis ou des hommes d’affaires càpabjes. Gela est bon,'Non pas chercher à
faire avant tout'de nos j.eunes gens, des
hommes ïons, 'ayant toutes leurs Jacult^
èyalement développées et sous le contrôle de
l’amour et de la jpstice ? Pourarriyer à cp
but, il nous faut beaucoup de patience^
d’endurance, Üé fol ét d’airiou'ETbut cela
tíódís pbUvô&s'ièédiéméht nwà
vïvoirs ‘{iòhtìhùelTement en communion
Sí'fabú's ’vnúfóiiá'árrivér à ce but, nous
ne"éòhiìnéhéòWs jainâis trop tôt l’éducatiori'dë^àoV 'éri^arits. 'Ne confions surtout
jâ'friàis ïrijalèmélft ^éducation de nos enfâht^’^à'^dé^'hérso'nries étrangères pour
bhrtfaés’et'iÎioriicîencîèuses qu’elles soient,
Qrie Tés'haféiilis èhèrchent plutôt à être les
'coîlâBbfàtéury 'îiiŸatigabÎes des régents,
âés’fribnlteürâ fe'tMès pasteurs. C’est dans
¿ëttè 'ééifëlfbraiiôn continuelle, sous le
lë^ sfecéùrs dê Dieu, que
ribiÿs*'aeV(iiis^élief6h'éf là sôùfce de notre
sEéëirü'éüuiMelffs!''*' : ^
-iislpraikistiiiptè^fmÿiermi.
-inmiib «.i «i®.»BVBEntALOT.
■'= ...-
tflRONieüB WUOmSE
......nèiinHü,« iiDî . .........
\ 1 M Florence, à sa
P<^PPlos, décédé
ipbe^
I.. Jll. JU
jNpps ayops ep Ip privilège'd’pntendre, ^ jipîapçbe "M.. E., .Griam
piccoli, président du Coniité d’évangélisatipn. M. Giammccoli a parlé, le matin.
i_ÿià à Via de’
SWifagii dpypntmp bgl auditoire, qui a
abbndaniftient* jqui, de sa prédication...
'1 NbéiJ'potré Eglise de Vià
dé^^er'ràgii P p,^(^tè la.ririuyelle liturgie,
approuvée par le Synode.
<;3ib#:»ayriei?inu^eale de cptte liturgie a
séparés, pour chaW? i feuillets sont distri
f;fimple, aux auditeurs,
^9 WlWfbÎemps.-gqe les Bibles et les cank1 a siiiieqia F* i r
à, très,vite appris ces
iïlJisifi§Jps»,ïqgi sppt d’un grand
effet, soit au point de vue de la solennité
## 9pi^9xj?9it>ai\i point de vue de la pariéfÎP^fiqFri^ftSiiabriiiteprs au culte, soit au
PPihf dg jVUie/dp^rédification.iEt ceux qui
PJiJte-ainsi légèrement mo^i6è|09iipiyijse,rai],{lre. compte de l’utilité
rie cette liturgie.
.»«■■Jiiâiia-avons^eu le plaisir d’entendre,
^ Théologie, M. Bianquis,
,Maison des Missions de
PariS(.iM...iBiânqqis; houS;a du trayah qpe ,p^;|qi^aison.poursuit.dans les
ri’aRtiyité.où.^elle a, envoyé
ses missionnaires. II. .nous a décrit les
çommpimiernents parfais difficiles de l’œuvrqau, Ees,^^xtp,^au Zambèze et à Madagasçaf,)|âi?afit-PPPrf pn terminant, à nor
tre sympathie et à notre coilaboration.
smon personnelle et matérielle, du moins
spiniiiëlièi â*lèf*grande œuvré qué Jésus,
le Sà'àyèiir'àe *tout le monde, veut que
sèâ tìis*è{j)lés 'éntféprennent.
— Et puisque nous avons nommé noEà(hilté,‘il n’ést pas inutile peut-être
^üé'iÂ)âS'én<Si3fôftà Quelques mots, GrâW
2
J générosité d’une amie des Vai^ois,
irandes améli(M^nspi|rétépi^o^iles dans notre b^mon! j^ueliepi^t,
lp^|uartier des ^É^nt^^ic^tMnt
me |t occupé par douze jeunes gens, étuŒa ts de la Faculté ou de l’Ecole « MaWii krnPeïstlot* JLe^ cours sont donnés
(»1 ^ deux salles adaptées à cet usage, en
a^t adant que les travaux de réparation
^ [oti'ë®Â[u^ IViagna soient terminés.
G. C.
LA TOUR. Joudi passé la Société des
femmes, des Coppiers, s’occupant des
Missions et de l’Evangélisation, a été visitée par les deux pasteurs de la Tour,
MM. Tron et Forneron, qui adressèrent
des paroles encourageantes à ces nombreuses soeurs, travaillant pour l’avancement du règne de Dieu.
, — Lundi soir a eu lieu la soirée annuelle offerte à la Jeunesse par M. et Mme
Tron. Inutile de dire qu’on s’y est fait du
bien et qu’on a joui de tout ce qu’on a
entendu et goûté. M.lles Italia Malan et
Ethel Jalla, avec leur énergie bien connue, avaient préparé deux représentations
auxquelles prirent part plusieurs jeunes
lilles, et très bien réussies aussi, ainsi que
les jeux et les amusements. Nous remercions tous ceux qui se prêtèrent pour le
succès de la fête. — A 11 heures, pour
une cause inconnue, la communication
du gaz ayant été interceptée, il a fallu se
séparer un peu plus tôt que d’habitude.
— Les réunions mensuelles de la Jeu
nesse, qui avaient lieu le premier dimanche du mois, auront lieu le dernier dimanche de chaque mois, à dater de février
prochain. * *•
— La Commission nommée par le Consistoire pour s’occuper de la fête du 17
février est composée de MM. Jean Romaho, Jean Travers, Alex. Vinay, Etfénifé"Bynard et Alexandre Riviüüff instituteur. L’agape fraternelle sera présidée par M. le pasteur David Peyrot.
Nous avons reçu, pour les incendiés
de Rodoret, frs. 5 de la part du petit Max
rhéophile Griot — Danne David, 2 —
Jacques Balme, 1,50 — Jean Eynard,
0,50 —- Henri Stallé, 0,50 — David Rivoir, docteur, 5 — Madeleine Perrou, 2
“ Pastre Philippe, 1 — Poët Susanne, 1
M. et M.me David Albarin, 5.
Mardi à 10 heures eurent lieu les
obsèques de Jean Jacques Armand-Hugon
des Hugons, décédé à l’âge de 85 ans. Notre frère a joui de ses connaissances jusqu’au terme de sa course. — Nous exprimons toute notre sympathie à la famille
et d’une manière spéciale à notre collègue
M. Armand-Hugon, pasteur de Colonia
Vaidense.
Mardi aussi on accompagna au
champ du repos les dépouilles mortelles
de Albert Cougn, des Servières, jeune
homme emporté à la fleur de l’âge, laissant père et; mère, ainsi qu’une jeune
veuve et un enfant, que nous recommandons à l’amour de Dieu.
MESSINE. C’est avec un vrai plaisir
que nous pouvons annoncer la bonne nouvelle de la nomination de M. Pufcio comme syndic de la ville de Messine. M. Pulcio est bien connu par les Vaudois, étant
le gendre de M. Arthur de Fernex. Nous
félicitons M. Pulcio d’avoir accepté cette
charge honorifique, mais très importante.
Les habitants de Messine auront en lui
un syndic intègre et actif.
PARIS. Madame Georges Appia et M.
le pasteur Louis Appia, cetteannée encore,
veulent réunir chez eux les Vaudois résidents à Paris, à l’occasion du 17 février.
La réunion aura lieu le dimanche 15
févrieri à 8 h. y, du soir, 2, Rue Pierre
Nicole, et tous les Vaudois y sont cordia'|i|nent ihyités.g'| T M '
ilMessitós lesSisteurs ^s Vallées sônfc
^és ïi’^royejPeS noms et adresses
^JÉirs ^ülssiens émigrés dans cette ville’
à Madame G. Appia, qui désire grouper
davantage les Vaudois éparpillés dS3s$
l’immense métropole.
Nous sommes reconnaissants à la fa:
mille de M. G. Appia de son intérêt constant pour notre peuple.
POMARET. — Souscription en faveur
des sinistrés du Champ du Clôt (Rodoret)
(l.re liste). — Quartier de Pomaret {centre).
M. et M.me Lageard, miss., frs. 50 — Enfants Lageard, id., 10 — Ph. Peyrot, inst.
3 — Sylvie Lageard, inst., 3 — M. et M.me
Forneron, prof., 5 — Daniel Ricca, prof,
et famille, 6 — Chev. D. Peyronel, 10 —^
Albert Balme, 1,25 — Bleynat Jean de
Aug., 1 — Bertaiot Louis et famille, 3 —
Pons Henriette veuve, née Grill, 1 — Bertalot P. feu J., 0,50 — Bernard Madeleine, 1 — Veuve Henriette Vinay, 1,50
— Tron Barth. feu Ph., 1 — Baret Albert
1 —Baret Emile, 1,50 — Martinat Jacq.
5 —-Baret Jacq. (Girp), 1 et deux chemises — Favat Louise neé Tron, 1 — Rostan Jean et famille, un paquet de linge
— Pons Henri, 1 — Grill Pierre feu Ph.,
1 — Tron J. J. feu J., 0,90 — Grill Pierre,
3 — Genre et Bernard, 1 — Griset Jacq.,
I, 25 — Mathieu J. Henri, secrétaire, 3 —^
Férrier P. feu P., 0,50 — Ribet Marguerite veuve Pastre, 1 — Forneron Marguerite née Pons, 1 — Grill Henri, 1 —r
Jean Ribet feu J. P., 1 — Rostan Marg.
née Poët, 2 frs. et un paquet de linge —
Long J. P. de J. P., 2 — Menusan Paul, 1
— Coucourde Emma neé Poët, 0,60 —
Lageard Jean et famille, 1 — Rostan
Jeanne, née Pons, 1 —r César et Anne Pastre, 1 fr. et deux chemises — Peyrot J.
feu J., 2 — Durussel et famille, 1,50 —
Ribet J. Et. feU J. Thomas, 1,50 —• Ribet Marianne veuve Constantin, deux
chemises — B. Léger, pasteur et famille,
40 — Jahier Marie, 1 fr. et trois draps
de lit — Total frs. 177.
— Quartier de Pérouse: Tron Emm., 5
—Poët Adolphe, 2 — Grill Henri (Fort),
3 — Frey Rodolphe, 1 — Meynier Mimé
Nancy, 5 — Chambon J. P., 2 — Maurin
Albert, 1 — Rostan Noël, 2 — Bertet
Jacques, 5 — Bertet Lydie née Pascal, 2
— Bonnette Augusto, 1 — Rostan Edmond, 5 — Rostan Alice et Adèle, 3 —
Barth. Bertalmio, 1 — Rostan Maurice,
5 —-N. N., 1,50 — Pons, négociant en
fer, 1 — G. B., 1 — Griot Marianne, 0,50
— Bounons Louis, 1,50 — Avocat Gay
et famille, 10 — Vinçon Henri, 1 — Bertoch veuve née Bounous, 0,50 — Plavan
J. Jacques, 3 — J. J. Grill, 5 — Charles
Grill, 3 — Auguste Pastre, 2 — Jean Bertaiot, 2 — Emile Hotz, 4 —■ Conrad Peter,
4 — L. Rolfo, 1 — J. Balmas, photogr., 1
— Total frs. 85.
— Quartier Clôt des Boulards: M.lle M.
Perrou, frs: 5 — J. Ant. Balme, régent, 2
— Ribet H. de Thomas, 1 — Ribet Thomas feu Paul, 0,75 — Rostagno Jean, 1
— Grill Henri feu Jacq., 2 — Ribet Jacq.
feu Daniel, 2 — Balme Alexandre, 2 —
Bleynat Henri, 1 — Rostan François feu
Et., 40 — Bleynat Jules feu Thomas, 1
— Peyrot Ph. feu Jacq., 3 — Marchetti
Frédéric, 0,50 — Grill J. Thomas feu J.
J., 2 — Long Henri, 1 — Ribet Frédéric,
1— Ribet J. Thomas feu Th., 1 — Ribet
Ant., 2 — Micol Adolphe, 1 — Grill Rodolphe, 1 — Pons Jean feu Matth., 1 —•
Ribet Jean, 2 — Ribet Marc, 0,75 —
Grill Jacq, feu Et,, 1 — Ribet Thomas,
ancien, 2,50 — Total frs. 37,90.
Total première liste, frs. 299,90.
• SAINT-GERMAIN. Nous avons reçu
pour l’Asile des Vieillards les sommes suivantes; M. J. D. Jourdan, frs. 5 — M. J.
Etienne Berger (Lavalle), 10 — M. Paul
Bonjour (Id.), 18 — M. Jacques Bosio, de
la Tour, 50 — M.lle Caroline Hugon (Id.),
10 — M.rs Bluett (Id.), 20 — Chev. P.
Fontanaroux, 20. — Un merci bien cordial à tous ces chers amis. — La mort
vient de frapper un de nos vieillards, Jean
Pons,dc la Balsille,décédé à l’âge de73ans.
•— La collecte du dimanche 18 courant
a été destinée au soulagement des famil*
les du Champ du Clôt (Rodoret), éprouvées par Tincendie. Avec les dons parvenus depuis au Consistoire •— et au
nombre desquels nous mentionnons frs.
10 donnés pat l’Union des jeunes ffîles et
frs. 10 par la Société des mères de famille
i— la collecte a atteint, à l’heure actuelle,
la somme de frs. 115. Quelques familles
ont envoyé des paquets de linge et de vê; tements.
-s SAINT-JEAN. Nous avons été bien
privilégiés dans notre célébration du dimanche des Missions,
w M. le missionnaire Albert Lageard
était des nôtres et nous a donné toute sa
journée, en entretenant notre public d’abord à l’Ecole du dimanche, au culte
principal ensuite, et dans une réunion de
l’après-midi.
C’est peu dire qu’il nous a parlé d’une
façon très intéressante sur l’œuvre du
Zambèze.
Sa parole sereine, confiante, inspirée
d’un amour si fervent pour les pauvres
païens de l’Afrique, nous a gagnés, touchés, et nous avons senti mieux que janqais que ces païens sont nos frères, que
nous nous devons à eux, et aussi bien
avons-nous senti vibrer en nos cœurs une
sympathie nouvelle et un sentiment de
reconnaissance profonde pour nos chers
missionnaires qui accomplissent pour
nous et avec tant de dévouement cette
œuvre de fraternité chrétienne.
Que Dieu bénisse notre cher frère et
sa famille, qu’il l’accompagne de sa force
et de son amour dans son vaste et lointain champ de travail de Nalolo I
La collecte pour les Missions a donné
frs. 59. J. B.
— Collecte pour les incendiés de Rodorel. Ajouter à la liste de St-Jean: Marie
Malan (Mourcious), frs. 0,45 et Louise
Pavarin (Vignes), 2 et corriger le total,
erroné du dernier numéro, c’est à dire
frs. 414,65 avec les deux contributions
ci-jointes.
TURIN. M. Arthur de Fernex, le chef
de la banque John de Fernex C“, vient
d’être rappelé par le Maître à l’âge de 73
ans. M. de Fernex était une des colonnes
de notre Eglise de Turin et savait profiter des moyens qui étaient à sa disposition pour enrichir son âme. MM. les pasteurs Albert Prochet, D. Peyrot et Giampiccoli ont pris une part active à la célébration du culte, soit à la chapelle soit
au champ du repos.
— Nous recevons en cet instant le rapport sur la maison de relèvement Villino
Fede, de Turin. Cette œuvre continue à
prospérer. Si les résultats, dit le rapport,
de notre travail pendant l’année écoulée
ne sont pas brillants, nous pouvons dire
cependant avec reconnaissance qu’elle
ne s’est pas passée sans laisser quelques
traces sur chacunes des jeunes filles qui
ont passé par cette maison. Devant le
mal qui nous paraît toujours plus immense, grande est la complexité des cas
des filles tombées, ou en danger qu’il faut
traiter chacune de façon particulière.
Nous sommes en petit nombre pour un
si grand centre et nous ne voulons perdre
aucune des forces que nous possédons en
dons irréfléchis et acceptations inconsidérées; aussi lorsque des demandes d’admission se présentent à nous, c’est toujours à celle qui démontre un vrai désir
de se relever que nous donnons la préférence. Si ce désir est sincère elle nous le
prouvera bien vite par son empressement
à se soumettre aux règles de la maison.
Les travaux de ménage, de blanchissage,
de repassage, coûture et autres petites
industries occupent tour à tour nos filles.
En face de la démoralisation actuelle
et le flot envahissant du mal, si quelquèsuns nous disent: vous faites un travail iF
liisoire,* 1è| nature eti ses instincts né Se
changent pas; d’autres sentent, conime
nous, que si notre buif est la régénération
par la foi au Sauveur, et notre puissance,
le travail, la prière et l’amour du Christ,
le temps que nous_ consacrons à nos Chères filles ne saurait être perdu. Cette Oeuvre,^ certes, mérite toute la sympithie
chrétienne. *
VALDESE, M. le pasteur Emile E.
Tron et son êpô'use sont heureusement
arrives, le 10 décembre à Valdese, ofi ils
ont été reçus à la gare par une foulé de
monde qui lés attendait^ pras ouverts,
le Consitoire leur ayant même préparé un
dîner. . J
Le soir de leur arrivée, la jeunesse, mbniteurs et monitrices en tête, se rendirent
devant la Cure et leur improvisèrent une
« serenata » en chantant plusieurs cantiques français et anglais.
L’impression de rarrivée d’un conducteur, après une si longue attente, a été
excellente. Plusieurs personnes, qui n’allaient plus au culte, étaient présentes îe
15 décembre.
Notre vif souhait et notre prière à Dieu
c’est que nçs amis. Madame et M.r Tron
soient heureux dans leur nouvelle Eglise
et que la petite congrégation, qui est toujours chère à nos cœurs,, ait un renouveau
de zèle et de prospérité. , Ph.
VALLECROSIA. Le rapport sur l’Asile de Vaï/ecrosia vient de paraître, en
langue anglaise. Nous sommes heureux
de pouvoir dire que la lecture de ce rap-i
port laisse une excellente iinpression.Dieuj
a visiblement béni cette œuvre. On a formé un Comité consultatif à Bordighera,
qui a été d’une grande utilité, et on a
construit ,un presbytère pour le pasteur
à Vallecrosia même, de telle sorte que la
surveillajiicé jSUE la marche;,générale .est
de beaucoup facilitée. Les écoles sont florissantes;, les élèves qui se sont présentées
pour le proscioglimento ou pour la maturité ont toutes été promues. Il y a actuellement à 1 Asile 45 jeunes filles. — On a
aussi une< assez forte somme pour réparer
l’immeuble et renouveler l’ameublement.
Le directeur, M. Billour^ se,; sent encouragé dans son œuvre et nous lui souhaitons de l’être toujours davantage.
VILLESÈCHE. — Visite d’Eglise. —
La Commission Exécutive, dans la personne de son président M. le pasteur H.
Garrou, a procédé à la visite ordinaire de
cette Eglise pendant les jours de vendredi, samedi et dimanche derniers. —Huit réunions d’appel à la conversion et
à la consécration au service du Maître,
toutes très bien fréquentées, ont été tenues dans les différents quartiers de la
Paroisse, avec le concours très, apprécié
de MM. les pasteurs B. Léger, Ph. Grill,
F. Peyronel et B. Soulier. — Dimanche
25 c., une vraie foule se pressait dans le
temple pour entendre la parole claire,
chaude et pratique de M. Garrou qui,
après s être déjà adressé aux 130 enfants
de 1 Ecole du dimanche, nous donna une
excellente prédication sur les célèbres paroles de Josué: « Pour moi et ma maison
nous servirons l’Eternel ». — A la suite
de ce discours qui avait bien préparé les
cœurs, un entretien des plus sérieux eut
lieu sur la marche de notre Eglise. On remercia Dieu pour ce qu’Il y a encore de
bon parmi nous, on mit à nu le mal, et
on prit la résolution de servir toujours
plus fidèlement le Seigneur. — En remerciant ici encore M. le président de la
Commission Exécutive pour le zèle avec
lequel il s’est acquitté de son mandat,
ainsi que les pasteurs nommés plus haut
pour leur précieuse coopérationj — tout
3
les membres vivants de l’Eglise de Villesèche font monter au ciel cette prière:
« Que Dieu veuille faire germer dans les
coeurs la semence de la vie éternelle qui
a été si abondamment et si fidèlement
répandue ! ». X.
VILLAR. —. Collecte de l’Eglise de
Villar Pellice pour les sinistrés de Rodoret. — Quartier du Teynaud: Allio Et., ancien, frs. 1 —Ayassot Marie (Meli), 0,50 —
Bertinat J. P., 1 — Bouïsse Etienne, diacre, 1,50 — Bouïsse Joseph, 1 — Bouïsse
Marie, 1 — Charbonnier Et., 0,50 — Daimas Cath. (Meli), 1 — Dalmas-Berton D.,
1 — Dalmas Jacq. feu Th., 1 —■ Dalmas
Marianne, 1,50 — Dalmas Th, feu Th.,
0,50 — Davit-Dalmas Annette, 0,50
Davit Madeleine, 0,20 — Gaydou Marie,
veuve, 2 — Geymet David, 0,50 —■ Gras
Antoine, 2 — Marauda Susette, 1 — Salomon-Maghit Henriette, 2 — BillourGeymonat Jenny, 1 — Janavel Et. (Barneoud), 1 — Total frs. 21,70.
— Quartier du Ciarmis: Ayassot Henriette, frs. 1 — Arnaud, frères, 2 — Bonnet Marie, veuve, 1 — Fontana Catherine, 0,50 — Frache Marie, mère, 0,50 —■
Frache Marie, fille, 1 — Geymet Daniel
(Violins), 1 — Geymet David, 1 — Geymonat Henri, 2 — Geymonat Esther, 1
— Geymonat Judith et Jacq., 1 — Geymonat Susette, 0,50 — Janavel Caroline,
1 — Janavel Etienne feu Et., 1 — Janavel-Janavel Marie, 1 — Maghit Louis,
ancien, 2 — Salomon-Janavel Madeleine,
1 — Total frs. 18,50.
— Quartier de Ville-Sablon: Allio Anna,
frs. 0,50 — Baridon J. P., 0,50 — Berton
Et., assesseur, 0,85 — Combe Alexis,
0,50 — Dalmas Henri et Marguerite, 0,50
— Forneron Ch-Albert, notaire, 2 —
Geymonat-Talmon Madeleine, 0,50 —■
Gaydou Henri, famille, 0,50 — Giraudin
Susette (Place), 2 — Hugon Charles, ancien, 0,20 — Mondon Annette, 2 — Mondon-Marin Madeleine, 0,50 —■ R. A., 1 —
Rivoire Elise, 0,30 — Rivoire Et. (Sablon), 1 — Rivoire Jean (Fornel), 1 —
Rivoire Jeanne (Id.), 1 — Salomon Marguerite (Prafri), 0,50 — Talmoii Jean, 1
— Total frs. i 16,35.
Quartier du Sarei: Allio Guillaume,
frs. 1,20 — Allia J. D., ancien, 1 — Allio
J. D. (Place), 1,50 — Beux Ferdinand,
0,50 — Bonnet Pauline, institutrice, 2
Buffa Aline (pour les enfants sinistrés),
O, 50 — Galletto Clara, 1 — Gonnet-Ber( ton Jeanne, 0,40 — Gonnet-Talmon Mad.
1 —■ Gönnet-Wilhelm Louise, 1 — Jahier
Aug., pasteur, 5 — Jalla Aug., 4 — Lamperti Marguerite, 0,50 — Michelin David
(Peui), 1 —• Michelin-Volât Jean, 1 —•
Michelin Judith (Peui), 2 — Talmon Marianne, 1 —. Tron Henri, instituteur, 2 —
Ecole de M.lle P. Bonnet, 2 — Total
frs. 28,60.
— Quartier des Garins: Baridon Daniel
de Paul, frs. 1 — Baridon Paul feu J., 1
— Barolin J. Et., ancien, 1 — Barolin
P. , assesseur, 1,50 — Catalin Joseph, 1
— Gönnet Joseph, diacre, 1 — Lantaret
Judith, 0,60 — Planchon Susanne (Cassarots), 1 — Rambaud Jean, 1,50 — Vigne David, 0,20 — Vigne Et., 2 — Vigne
Josué, 1 — Vigne Susanne, 0,30 — Vigne
Paul, 1 — Monnet Jean Rodolphe, 2 —
Planchon Jean, 0,80 — Total frs. 16,90.
— Quartier de PiantàrSubiasc: Baridon Madeleine (Chiaus), frs. 1 — Baridon
J. D. (Id.), 1 — Fostel J. P., 0,50 — Giraudin Et., 5 — Meyron Clarisse, veuve,
N. N., 0,50 — Pontet Susanne,
1 — Salomon Paul, ancien, 1 — Total
frs. 10,75.
— Quartier de ïEnvers: Bertin Jeanne,
frs. 1 — Favat veuve Madeleine, 2 — Favat-Charbonnier Marie, 1 — Giraudin
Fr., ancien, 2 — Grand Marguerite veuve
Giraudin, 1 — M. S. P., 1,60 — Salomon
Salomon, 1 — Total frs. 9,60,
—• Quartier du Bessé: Geymonat David, famille, frs. 3 —■ Geymonat Paul, 1
—• Total frs. 4.
•— Quartier de la Boudeina: A. M., frs.
0,50 ■ Albarea David feu Sigismond,
1,70 — Albarea Jean feu Jean, 0,50 —
Albarea David feu Daniel, 1 — Barolin
Barth., 1 Brezzi Jean D., 1 — Courdin
Et. (Uchoires), 1,50 — C. J., 1 — C. M.,
0,40 — Garnier Joseph, 1 — Nicolet-Caïrus Resine, 0,50 — Nicolet-Gaydou Annette» 0,50 — Total frs. 10,60i
— Quartier de Ja Combe: Dalm|s Daniel, jfils, frs.sl — Fontana |)avid,'Ó,6Ó —
Frache J. P., ancien, 1 — Frâché'ÎP. de
J. P., 0,50 Geymet Pierre, 0;50 — Jahier Elisée, 1 — Pontet Anne, veuve, Q,|0
^ Total frs; a^O.. l ^ :« .s>,l
Bonjour J. Jacques, syndic, fss. 3 ~
Bouissa Jean, assesseur, 2 — Bertinat
Louise de J. P. (Teynaud), 1 — CougnDavit Anna (Chiaus), 0.50 — Janavel
Jean (Ciarmis), 2 — INicolet Michel (Teynaud), 1 — Piene Jean Pierre (Subiasc),
1 — Union Chrétienne de jeunes filles, 5
— Consistoire, 10. — Total 1rs. 25,50.
Total général frs. 167,60.
— Dons en nature {vêtement^et iitTg€)i
Allio Anna (Place) -— Allio Célesti3:ip)^rd.|
— Bertinat Mad., veuve Salômîi!ï (B«4ïa9
— Bonnet-Kicca Marie (Saret) — Barqlin
J. Et. (Cassarots) —■ Dalmas Louise jet
Marguerite (Teynaud) — Davit Ddlipfes
Joseph (Id.) — Favat-Charbonnier Susanne (Buffa) — Favat Henriette,(Id.)
—■ Fontana Catherine (Ciarmis) — Geymet-Roux David (Id.) — Geymonat-Tnlmon Madeleine (Ville) — Geymonat H.
(Ciarmis) — Geymonat Judith et Jacq.
(Id.) —• Geymonat-Albarea Susette (Id.)
— Gönnet-Wilhelm Louise (Saret) .j—
Lamperti Marguerite (Place) — llpngGonnet Madeleine (Id.) —■ Long-Peyrot
Elise (Teynaud) —■ Salomon Margilérite
(Prafrì) — N. N. (Combe). i
Allio-Salomon Marie (Saret) — Boniïet
Arnaud Marie (Ciarmis) — Bertinat VedVe
Salomon (Buffa) — Gaydou Marie (Bàrneoud) — Geymet-Roux David (Ciatmis)
— Geymonat Henri (Id.) — Jalla Auguste (Saret) — N. N. (Combe) —■ Salomon-Grand Catherine (Saret). 'i ;
Cloi
Pour les sinistrés du Champ du
Consistoire de Turin, frs. 100. |
Prof. J. Rostagno, Fiorence, frsj SK*.
Perrier (3.me liste), frs. 37,50; Pietro
Tron (S.M.), 1 — César Genre (Grangçttf),
• J. D. Bounousi 1
1—Aug. Bertalot, 1
— Pierre Rostagno, 5 — Em. Pons, SecK,
3 — François Ferrier feu Barth., 2 t-H.
Ferrier de J. J., 1,50 — Abraham Ribct,
5 — Henri Martmat, 2 — Henriette Poiis,
1 — François Fiscal, 1 — Micol Jeari, Îi—
Menusan Jacques de Jacq., 1 — Jeâu
Ferrier (Poumarat), t — François Ferner feu Ant., 2 — Jean Poët (Roche), 1
— François Poët, 0,50 — Matthieu Poèt,
1 — Jean Poët, 0,50 — Pierre Poët,' 1 “—
J;
Henriette Barrar veuve Poët,'0,50
Bertalmio, 1 — Henri Roitaii, B*50
François Poët (Cloutis), 1 — Ja'cques
Poët, ancien, 1.
Sig. Vela, farmacista (Ferrerò), 10 —
Ferrerò Bonnet (Torino), 10 —^ig.rff‘;e
sig.ne Bonnet, 6 — Doct. Maria Ruga, %
RECTIFICATION.
A notre grand regret nous avons oublié d’inscrire, dans le dërnieîsRapport
du Refuge, un don de frs. 50 de M. Bérard
Dumaret. Cette somme sera comptabilisée
et publiée dans le Rapport dç 1914. .' ‘■|L
J. Ribet.
Nouvelles et faits divets.
EN ÇHINE. Qui ne s’est pas réjoui en
apprenant les bonnes nouvelles qui vé^
naient de la Chine, soit au point de Vue'^'
religieux soit au point de vue politique?.
— On aurait dit qu’une ère non.yelle de
liberté et de gloire allait ressusciter cé
peuple qui, dans l’antiquité, a jnué.un sF.
grand rôle au point de vue de la eivilisation. Malheureusement les dernièrest
nouvelles paraissent démentir les prU-^j
mières, car si nous devons croire ce qus publie le Carrière délia Sera, nous sommes à la veille d’une réaction et d’un nouveau despotisme. Yuan-Schi-Kai pa4|t |
avoir été grisé par le pouvoir et vise à re4
prendre la couronne, et pour faciliter la
chose, après une discussion, püMque eh-?
tre théologiens sur Vopportunité de rétablir le culte de Confucius comme culte officiel, voyant que la discussion théologi-'
que pouvait conduire à des .malentendus
et divisions, a crânement ordonné T a.qy^
ration officielle de Confucius, se transfor
soi que s’il en est ainsi, les anciens rites
vont être de nouveau exhumés et que le.
e| de toutes leii lÛieètis'iqù^^ *âv aitâe
cordées en>t91iL,^, Espiéfons eBJCOJÇfbqm
iffy ait de l’exagération, car ce recul se-*
“J y, l^ivoment'Véternelle question des îles et
* l'^des froiitiCTes de l’Albanie.
Oiui Ea skua^ièmenALBANIE ne cesse
‘ d'être embrouillée. Le prince de Wied n’a
BIBLIOGRAPHIE.
C
Zìi i
I Paris, Librairie Fisbacher —>f Rrtxi
|frs. 3,5flU. ______ .................
ïCe volume de 464 pages est le produit
d'oÂ,
théologiens e et
Iq^rande qnesiitv^,jt|e (awrdgtà^ C’est une|
vpjitable etìcyilèpàdM. 4SuFil¿».iquestiom
• "-“‘‘‘■-Leg ptrissauees ont adhéré à .une
nouvelle note de la Grande-Bretagne les
invitant và une démarche collective au
rlit iatal,À,i;qu^fég^Sôj,jajjgï)R^^raf ¿y yp§fi,jBnçorp |^is.possession de son royau
oae oq fplusieurs gouyernements impro
visés continuent à se partager le pays. Il
eïsft'vrai que le gouvernement provisoire
pfésidé f aç j^i^aï'l Eemal pacha a donné
f si| démission et que Essad pacha qui gou‘verhe^à Durazzo promet de l’imiter. Mais
un nouveau concurrent surgit dans la
j)êrsDniie de^ ïzzet pacha, ex-ministre de
~èa= gum'e-è-Goustantinople, et qui semble
ie^pdidat officiel du gouvernement
ja^es M'
n
pîfisqueiqi^ les,^Stçnms.^pM
rèvvteJ]|^|i^J^|p|||i
fêrents, des matérialistes, des Scoé
bargiens, dîss ¡Âprites, deslâ'üosophes,??
ïden-fî
des Catholiqqqs, des Protestants ^ de la.
Sçience.’^Ëm’irefrtim'liâi âwns laü
ruânièrq dç,yoix c|e. |’auteur. M. yallqtonij
admét miipilMià'iij^lgeiaeâlUMid^famnQ
Pürgatoir<i,ayant^q;^Ugepïept,iinal. —<
Ayant, la seconde venue de. Christ, il y
a|0-â lë règffé de ÎiÉHe éftflh lâ’ré-U'
sui’rection générale et le-jugement der-u
nier. L’auteur ne parle, pas des peine^)
étérnelles et incline vers le conditionna^j
liàme. Rœusctse pcéparer/à lS.vie»'dies.iblèn-r|
h|ureuXi il faut.s’-y ..préparpf et vivre eaf
conséquence. Nous le répétons, ce livret
plusieurs.
L’ordre du jo4r po
vaux de la-Jihatobre
d’être publi&\ Après
préli minières < qiîi Ine
beaucoup3lëTemp4 n
des discussions -sqr
guerre dgiLybie,. Une
putés ;S(#it déjà ii^scri
ce sujid’autres <s’aj
ment, içt Ja Ghainbre “
sieurs jbürs’Sutoué d
a certâininjëht uiie
— Lé séiîSteur |i(
savant illüstfe èt;chi|
réputation, vjent de
l’âge de SI 4insif r
4-i^Turin c’ê
ciafistè hon
les pr|
[es dél
lelquesl
[emand.e|;ont.. pas
des grande JK;
juaran^M’i^ÿe
;s poujl^^ïiu' lÛl'
^utercSft cefïaineéfff’'oTëéuR.çe,,.pïü
riffe. (Test justement en sa faveur que
S*éf| |dl^fè|te pébarquemen^^ des conspi-'‘teiirs arretés à Vallona. Il est albanais
il a déclaré qu’il n’hésiterait pas à acçèptêrié trÔhe offert par ses compatriotes
^ .£_L.
ÇRO SCUOLA NORMALE.
1 27» Xdsta di Sottoscrisrioni.
sette
[ande itnp^tWt^
rir d’une érysipèlelinf
44’âhs."' ’"''’'"^''^ I '
I Ottav ^
irgie
iourir
«qui vient de mou:tieuse„â Lige de
Dans, l’élecmon'^^nlRcfuép
é%u
6.me
College de Milan, c’est lê^ïèvôlûtio n n áir¿
M. AmÜçare Cipriani qui a été élu par
10,855 vpix gontro^l^8 dÀnnées au cam
^ did^liliéraB M.-Enea Pr^si. L’électiort
'nd^a pas lgali^,^*.|’ÿu né jouissant pas
, de ^oii^ Ea proclamation a
màniiestatiq^s aux cours
a^iKelles upe qiamfftainè de persottïips
ont ÿté arrhes,; > 3 V*"'”
' -^Les emploÿjés dés tràmwayi’’4é la
viltóde ;ÎMila®i se)\s^nt misien grèv* une
' iois||e plus, il s’hissait de^rotester'con- “ffe mes^e ms^pîinaiée prisécontre
lllègue, et les, meneurs&rdinaires ont
é de ropeasioq pour renouveler leur
arité. Qn a rhême vôté une grève
licale ppurjei^blter tes boui^eois 1
L’ « Associ^ion catholique ItaÜeiirépare jine.jaÿtsttion^ontrédé jproloi annoncé la précédenie oWiIre du mariage-ôrvil au mariége relir'
Là presse cléSSèile (ffseute la quest des réiinionl’^t défà eu lifeii dans
ors villes d’I^pl pour orgsftiiser la
. y CiiiESA.pi yERONA, 0 mczzo sig. SUvu,
(¿»‘‘"Oolàzione), L. 25.
doMitAT'ó Di Torino: Sig. Enrico Pasèal;' pastoie. Li 20 — Sig. Turin Alfredo,
: 5p — Sig. e sig.ra capitano Lanfranco, 10
: ,Sig.aia Offivero Francesca, 5 — Un ex
àjlievà,-a mezzo del sig. Giampiccoli, 15
jf Totale L. IQO,
Roma : Sig. Medie Carlo,
L. 7^—Sig. Introna Nicolò, 25 ^ Totale
Gi^esa dì Chieti, u mezzo siy. BertU
nat^ paBófi0L^2D.■: i .
C|hiesa di Catania, a mezzo sig. Fasulà, p0^: Sig. prof. Longo Teodoro,.
L. . y, ; , V; ‘ '.r; -;.. ■.‘ ■
“Chiese dFiCàìrP e Aì-essandiRia, u
tzo sig. M Mulatti'pastore:^ Sig. MiroTpurn Arturo, 5,1$
Sig.^-M^ifen, 1^5^ A.^
1,30 y—, Sif^l^shren'a:si,TO,37 Sig. Vezzosi,:^^ —Sig. p sig.ra Edoardo Richmis?'^i89aè-iSÌg-ra Ambrosini, 5,18 —Sig, Zal^'jBirahim,, 1,30.— Sig, Guargena
Gidvatfoi, t,30J— N. N., 37,03 Totale
L. bm- ,1 t
CHreà'É'prBiella E Piedigavallo, d
mezzo sig. G, Tron, pastore, L. 26,30.
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¡Les çheJad’u
l)mi|ierce)‘Îà MUjkà.
iralcusafto^ 3î^frai^es coiftiaisés
IlesTouridtureSMdés d^ôts de vivres
JrarméeK^es^3|uêtife minutieuses
ont^té jentregrises^^ns &us les luagasins|ide dépôt^ po^^j)rév|nir la réÿélifj
'Sde frau^ semiWablei
tior
tre
|M. (Venize^os, mî^stref de GRÈCE se
'ifeàiJerlîlK II rçu# probablement une
piÄrevui avec le P^e dfWied,
signé jlérAlbAnie.^ '*
• Clot Altoerto (Bridgeport),. 5,26 — Sig.
Garmelp Pavnne-(Id.), 5,26 — Sig. Tari
iOrius^pe (Id;), -5s®6 T-rr- Sig. Schibeci Gio^vanni (Id.),- 5,26 -rr Sig. Tron Giòvanni
^(Id,), 5,26 — N. ,N. ,B., -100 Totale
L. 324,30.
Totale 27» Lista L. 649,63
Liste precedenti , » , 173^333,10
TOTALE GENERALE L. 173.982,73
/ Ab. psiyés et non quittancés,
1913: Avoûdet,'Moneti (manque 1914) François fioanous, id. (id. id.).
1914: Pagetto, ,St. .Ymcent - A. Ventureilo, Oliva - Jean Mondon, La Tour - Prof.
Toum, Id. - Lav, Vàldatà, Arénzano - A.
Genre, Bovile - D. Vigliehno, Riclaretto D/ Codino, Inverso Porte - P. Tron, Rocheplate. - H.'Grill (Ville) St-Germain - A.
Decker, Gênes - L. Marauda, Pignerol (reçu
le tout, plus 0,20 à votre avoir, merci) J. Pasquet, Campana - D. Rostan, St. Second - V.ve Reynaud; PignerOl - D'Adda,
St. Germain - Alb. Durand, Id. - B. Reyel,
Còme -,Aug. Long, Turin - P. Bonjour, Lavalîe - H. Martinat, Valdese - D. Tron, Id.
,i^B^giiaho (9 ex.) * J. Tron-Gessler
MfcbÎ,' Chamilao - F. Poët, Rosario B. Peÿrchi, Pomaret (merci, salut, affect.) V. Vallobona, Gênes A. Balmas, Venise Æi. Côürty,» Seloncourt.
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frodneiout annua 10,000.000 di bottls^o.
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Vtcchio, pelato Faust
Eccoti Margherita
Che, bella a s6 t'invita
Ce’suoi capelli d'or.
Oo l’acqua di Chinina'
Migone, sono I vanti)
Usane, e in pochi istanti
Avrai di shioma onorL.
cACOUA GHININA-MIGONE preparata con sistema speciale e con materie di
primissima qualità, possiede le migliori virtù terapeutiche, lo quali soltanto sono un possente e tenace rigeneratore
del sistema capillare. Essa è un liquido rinthescante e limpido ed interamente composto di sostanze vegetali.
Non cambia il colore dei capelli e ne impedisce la caduta prematura. Essa ha dato risultati immediati e soddir
sfacentissimi anche quando la caduta giornaliera del capelli era fortissima.
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Dapoaito generala da MIQON& à C. ■ Milano, Via Orefici (Pusaggto Centrale, 3).
TOURB ?SU,IC£ - Iu(PRIM&m£ ALPINA