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GommissiODe Finanziaria
CdfméMe.,, ‘ ,
Il n’y a pas die ¡plus grands comédiens
que les homimes...
Regaxdeïî-les : chez eux, dans la ruei, en
société... Partout, vous verrez quie lia majorité d’entre eux passent lewr temps à
jouer la comédie ; iüs tiennent un rôle ; et
d faïut avouer que, dans la plupairt des cas,
ils le tiennent avec assez d’habileté... On
.seaiit qu’ils c'nt du métier,
« Tous usent de tromperies », disait déjà
te prophète...
Comédie...
Ils ]a jouent devant eux-mêmes...
Quand ils s’examinent, ils ne se voient
jamais tels qu’ils sont... Itevant eux, il y'a
toujours un acteur... un acteur dont le maquillage est bien fait, et dont les habits
sont bien tailés...
Comédie...
fis la jouent aussi devant les autres...
IjC rideau n'est pas encore levé que déjà
ils sont dans leur rôle... Et tout leur est
utile pour camper le persctriinage que les
spectateurs attendent...
Et voilà pourquoi ceux qui regardent
croient avoir devant eux un héros, alors
qu’en réalité il n’y a qu’un homme aussi
miséràble que les autres homines.u.
Comédie... ,
Ils la jouent enfin devant. Dieu...
Entrant en scène, ils font le geste qui
leur semble devoir convenir ; ils prennent
la voix qui leur paraît être de rigueur...
Et puis, dans la coulisse, ils ont insisté
auprès des machinistes pour que les décors soient bien placés, pour que les jeux
de lumière soulignent, comme il convient,
chacune de leurs attitudes...
Mais « on ne se moque pas de Dieu »...
Comédie...
Et c’est pourquoi il y a toujours un moment où le rideau se baisse, où la foule
se retire, où les lumières s’éteignent, où
le comédien rentre dams le rang...
Alors c’est affreux, parce qu'il n'y a plus
ni fard, ni costume, ni feux de rampe...
C’est affreux, parce q[ue, brusquement,
l’acteur se montre et se voit tel qu’il est...
Et il ne peut que pleurer sur lui-même...
Comédie...
Ne la joue pas ! toi qui lis ces lignes...
Mais pour ton salut, pour le bonheur des
tiens, pour la gloire de ton Dieu, vis dans
le réel... (Semeur Vcmdois),
Nous rappelons la quatrième Convention
des Unions Chrétiennes Vaudoises pour
études religieuses, qui aura lieu le dixMnche 21 février, à 14 h. 30, à la Maison
Unioniste de Torre Pellice.
Tous les Unionistes (jeunes gens et jeur
nés filles) y sont cordialement invités.
Nous annonçons aux membres de nos
Unions et à la jeunesse vaudoise en général, qu’un « Convegm » aura lieu, D. y.,
au Pemer, dimanche 28 février, à 14 heures. Le sujet qui y sera étudié est le sui*
vant : La dncérifé dans la vie chrétienne.
Il sera présenté sous un aspect biblique et
pratique par MM. les pasteurs G, Bertin
et G. Mathieu.
Que les jeunes ne manquent pas à cette
réunion, d(mt le but est d’attirer leur attention sur un côté extrêmement important de la religion et de la vie chrétienne.
E, Rdstan.
PRO EMER1TAZIONE.
(Dodicesima. Lista).
Signore e Signori :
P. C., per parte di A. E. G.,
Firenze L. 500,—
Angelo Favellini, Id. (*) » 100,—
Enrico Matteucci, Id. (*) » 100,—
In memoria del comm. C. A.
Tron e sig..ra Florida TronGoky , » 2.000,—
Mario Corsani, Napoli » 50,—
Italia Borzelli, Id. » 30,—
Maria Guicciardi, Venezia (*) » 1.000,—
E. C. » 100,—
I lettori di « Timotheus », a
mezzo M. Pos, Olanda » 650,—
Avv. Stefano Peyrot, Torre
Pellice (*) ' » 2.000,—
Amandina e Elena Vigliehno,
Riclaretto » 100,--
Dott. Ermanno e Bianca Decker, Torino (*) » 1.000,—
G. E Mathieu,, Pomaretto, in
memoria del figlio Samuele » 100,—
Serata Unione Cristiana d.
Giovani, Torino » 352,—
Ricca Guido e famiglia, Id. (*) » 500,—
. Fprner0in,,,Allb.rte,,J4..:,
Jon-Scotta Mariuccia, Id. (*) » 100,—
Davide Forneron, Torre Pellice » 300,—
Gabella Antonio e Adele, Torino (*) » 1.000,—
Enrico Forneron, Milano » 700,—
Federico Gardiol e famiglia, Id. » 250,—
PRO COLLEGIO.
(Dodicesima Lista).
In memoria del commi. C. A.
Tron e sig.ra Fterida TroniGolay L,
Italia Borze’li, Napoli »
Maria Guicciardi, Venezia (*) »
Aw. Stefano Peyrot, Torre
Pellice (*) »
Bott. Ermanno e Bianca Decker, Torino (*) »
Giacomo Massel e figlia Ida,
Faetto (*) »
G. E. Mathieu, Pomaretto, in
memoria del figlio cap. Samuele »
Forneron Alberto, Torino »
Davide Forneron, Torre Pellioe »
Enrico Tron, Torino, in memoria del prof. Davide Jahier »
Enrico Forneron, Milano »
Federico Gardiol e fam., M. »
Juan Bertin, Santa-Fè »
2.000,
30,
300,
2.000,
500,
200,
100,
25,
200,
300,
300,
150,
50,
NB. Le offerte contrassegnate con asterisco (*) sono in titoli di Stato.
•Ce 12 février, au palais
T^oifal de ffaples, esi né le
prince Victor "Emmanuel,
fils de S. }{, le Prince
de Piémont.
Ses Vaudois participent
â la joie de la J/taison
Tlfitfale et formulent les
meilleurs vœux pour le
Petit prince.
(Suite - Voir mméro préçMent).
; « Je vous ai déjà raconté ma campagne
dte 1848 : il me reste celle de 1849. Entré
en 1844 à i’Hôtel Féder à Turin,' j'ai dû
en 1848 partir pour la Lombardie. Je suis
resté trois mois dans la forteresse ^ Pesddera, d’où j’ai écrit à mon maître les
détails de la guerre. M. Féder porta ma
lettre à dix-huit avocats que je servais à
la table d’hôte ; ceux-ci, curieux, ont lu la
lettre disant : « Cette lettre est aimple,
clest vrai, mais nous prêtons plus de foi à
celle-ci qu’à tous les Bulletins ».
,'rf.« De retour de la Lombardie (car ce que
les troupes sardes ont gagné dans cinq
mois nous l’avons perdu dans cinq jours, à
cause de la trahison du Roi de Rome...) nous
passâmes, les classes de 1816 à 1820, da.ns
iSj, réserve... Les soldats de Gênes, furieux
Plutôt contre les officiers que contre le
teaâtre, ayant presque toutes les forteres^ de cette dernière viUp dans,leurs mains,
se déclarèrent indépendants. Par conséquent une Brigade et toute la résesrve ont
dû aller contre Gênes. Les troupes de ligne ont bien vite ravi toutes te forteresse occupées pour les civils de . cette Pro-
f « Moi, j’étais dans la, deuxième Comipaj gnie : nous avons été d’abord' habiter à
l’Est de Gênes, à un village nommé Saint’ Julien, dont le fort était encore à pren' dre : cette citadelle étaat occupée par seize
hommes. Nous, nous étions commandés par
le Général Lamarmora, qui était Major à
Peschiera, lorsque le duc de Gênes, (frère
de Victor Emmanué') a pris cette forteresse aux Autrichiens, en 1848. Le Général était à Gênes.
« Voici comment le fort de St-Julien a
été pris. Un sergent et un soldat des
« Bersaglieri » étant rentrés trop tard
pour se rendre à» l’appel du soir, comme
c’était en temps de guerre, ils avaient été
déclarés déserteurs. Ces deux hommes
avaient essayé de prendre le fort de StJulien. Ayant trouvé un paysan qui se retirait, ils. lui dirent : Il faut que vous veniez avec nous. Si nous pouvons réussir à
notre entreprise, je vous donne cinq
francs. En arrivant près du fort, le sergent dit à l’homme : « Quand la sentinelle
criera ; Qui va là ?, vous direz dans votre
langue ; Nous venons pour relever la
garde du fort ; descendez les ponts ».
, Ainsi a-L,il fait. Quand ,1e pont fut des•f COTdu, le sergent donna te cinq francs att
paysan et lui dit : « Sauvez-vous ! ». ...Ensuite te deux militaires se portent aux
armes et disent : « Vous êtes prisonniers
de guerre ; mais puisque vous n’avez pas
fait de résistance, sauvez-vous avant que
la Compagnie arrive ».
î « Les prisonniers, qui avaient plus de
vin dans la tête que dans les jambes, se
. retirèrent sans dire mot. « Le fort est ga^gné », dit le sergent, et le pont fut relevé
Le lendemain, nous recevions l’ordre d’en«-trer dans le fort.
« Les habitants de cette riche ville ont
appris alors qu’il faut se soumettre au
®Roi, qui ne jporie^ pas l'épée en vain.
«Là, nom?'avons appris que cette ville
j'avait envoyé plusieurs caisses de linge aux
'soldats, en 1848 ; et nous, nous n'avions
.,rien reçu : cela avait été exploité on ne
sait par qui. C’est pour cela que c© peu
pie n’était pas content des cfficieia piémontais : puisque te jourtiaux illusta;éB
d’alors faisaient figurer te soldat» avec
des têtes de lions et les officiers avec des
têtes d'ânes : surtout parce que le Général Ramorino avait trahi à Novara.
« A Novara, le Général en chef de l’armée sarde, avait ordonné à Ramorino de
faire la garde au pont de Payie et de pte
oer le plus fort de sa troupe sur la gauche.
Celui-ci a obéi en partie : mais il â été
rm traître i car il a, dit-on, caché toute sa
troupe sur la droite, dans les bois ! ! ! Les
Autrichiens... voyant 1e pont libre, entrèrent librement dans la LameUina et battirent Charte-Albert à Mortara ; ce fut là
la triste bataille de Novara.
«La Général Ramorino... a cherché en-*
suite à d^rter chez te Autrichiens, en
passant par le Lac lifcijetitr. Mais le irtechant fait une œuvre qui le'trompe. En
arrivant à Arona, il allait tout bonnement
s’embarquer sur le bateau à vapeur pour .
Canobbîo et Magadin, près du Canton Ticino. Or, justement sur cettte petite place,
sur le port, se trouvaient un sergent et .
un soldat : ce dernier connaissait Eamorino, qui alliait s’embarquer en-habit de
bourgeois. Le, sergent dit alors au soldat :
« Ce n’eet pas le moment, pour un haut
militaire, de se trouver isolé de ,sa ^i;i- .
gade ©t en train de s'embarquer'pour l’Etranger. Arrêtons-le »i - I
«Le Général feignit d'abord d’être un
voyageur ordinaire : puis, se voyant saisi
par de robustes bras, il dit : « Je suis le
Général Ramorino; je suis envoyé par le
Roi Charles-Albert pour faire une décou-verte sur le Lac Majeur ; laissez-moi passer; sans cela je vous ferai passer au
Conseil de Guerre ». Inutile. Le fugitif
fut cottidiuit là près, à VAlbergo del Gallo.
Le sergent envoya annoncer au Major l’arrestation qu'il venait de faine. « Bien, dit
le commandant, je va^ le voir. lifeis voilà,
ajouta-.t-il, un cavalier qui arrive de Novara, à la grande vitesse : je dois l'attendre ». Le dragon à cheval remet une
lettre au Major. En voici le contenu : « Ordine d’arresto del Generale Ramorino - Signé : Cado Alberto ».
« Bravo, dit le Major au soldat ; vous
êtes de bons chasseurs : vous n’avez pas
laissé échapper le merle».
« Le Général dut passer au Conseil de
Guerre et fut, plus tard, fusillé à Turin ».
« !|i *
C’est ainsi que se terminent les souvenirs de campagne de J. P. Baridon, qui,
quoique écrits à presque un demi-siècle
de distance, sont remarquablement frais et
riches en détails pittoresques qui peignent
assez fidèlement cette période si impor
■»î
tante de la première guerre pour l’unité
.de notre Patrie : avec son impréparation
politique et militaire, ses victoires et ses
revers, son manque de direction stratégique et de discipline, et surtout l’abandon
inattendu des troupes des autres Etats
italiens qui, en pleine campagne, laissèrent
seule contre l'ennemi l’armée piéraontaise,
qui dut fléchir, malgré prodiges de
bravoure.
Et seulement dix ans plus tard, les soldats du Piémont, bien organisés et disdr^
plinés, aunxnt sur l’ennemi d’hier une
grande victoire, que seule l'attitude du
chef des troupes alliées empêchera d’être
complète et définitive. T. P.
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i 19 Février 1937-XV
CHRONIQUE VAÜDOISE.
LA TOUR. La soirée préparée par
ITJ. G. V. pour le «XVII », sera répétée
saïnedi, 20 courant, à 20 h.' 30^ à l’Aula
Magna, avec le même pn^amme.
'V
PBARÜSTIN. Deux enfants ont été rap'■ pelés par le Seigneur :
A^riam, Süsstruvk, décédée à FoUgno, à
27 mois seulement, et ensevelie à SaintBarthélemy, le dimanche 7 février. '
Quelques joura après, le 10, nous reprenions le chemin du cimetière pour y
déposer la dépouille mortelle de Dino
GardM, àes Alliauds, un petit qui n’avait
que 4 mois.
Aux párente de ces deux chers petite,
en larmes, nous présentons notre sympathie fraternelle.
Et nous présentons aussi nos condoléances aux parente du capitaine des Carabiniers Oscar Godino qui^ jeune encore, a
été emporté par une pneumonie, à Pordénone. G. R.
ROSARIO TALA (Sud-Amérique). Voici
quelques informations regardant l’année
agricole.
L’hiver dernier ayant été fort pluvieux,
la récolte du maïs, qui se fait habituellement au mois de mai ou juin, a eu lieu
au mois de juillet ou d’août.
Le labourage a été difficile à cause des
v'ents, qui ont ensuite séché et durci le
terrain, avec le résultat qu’on a semé à
peine un peu plus de la moitié seulement
de la quantité usuelle de blé et de lin.
IjCs sauterelles se mirent encore de la
partie, et vo’ant du nord ellès détruisirent
bien des champs de blé et de lin. La perspective de la moisson était donc rien mcins
qu’encourageante, mais le temps s’étant
amé’ioré, on eut une bonne récolte en
rapport à l’étendue qui avait pu être
semée.
Autre avantage, c’est que le gouvernement a Obligé les grands négociante de céréales à payer un prix raisonnable et rémuhératif. Après six mauvaises récoltes,
nous avons donc une récolte moyenne pour
les uns et bonne pour les autres, ce dont
nous devons rendre grâces à Dieu.
Les sauterelles ayant envahi presque
toute la colonie et y ayant déposé leurs
œufs, le gouvernement de la province nous
a pourvu des machines lance-flammes, du
.combustible et de l’argent pour en assurer
le plein fonctionnement : cela a permis de
détruire les premières nuées de sauteuses
dans la mesure de 80 %.
Mais dès que les sauteuses deviennent
voleuses, il est plus difficile de les détruire
et c’est ainsi que bien des champs de maïs
doux ont été dévorés,
★ La communauté de Rosario Tala, d’il
y a environ cinquante ans, avait construit
un petit temple à une lieue et demie de
la ville, au centre de la colonie ; plus tard
il fallut en construire un autre plus grand.
La colonie s’étendant plutôt vers le sud,
on a cru bon d’en bâtir un troisième à la
«estación» de Echagüe, à 18 kilomètres
plus au sud.
Dans la ville où se trouve le pasteur,
il y avait seulement une salle, mais les fidèles désiraient un temple, que les mauvaises moissons ne permettaient pas de
construire. Aujourd'hui, gp-âce à une offre
d’emprunt, le Consistoire a décidé de mettre main à l'œuvre : c’est le 29 novembre
dernier, qu’a été placée la première pierre.
Nous espérons voir la bâtisse terminée
sous peu et payer la dette que nous avons
contractée. Que l’Eternel dirige les événements et prépare les cœurs pour que bien
des gens accourent à ce temple pour y
adorer Dieu en esprit et vérité.
Tîtèophit.e W. Rostan.
SAINT.JEAN. U soirée du « XVII »
sera répétée ce samedi, 20 courant, à
20 h. 30.
SAINT-OERHAIN. Nous avons invoqué
la protection du Seigneur sur les enfante :
Renza PmmMno d’Eugène et Nella Bertalot, de Ville ; Silvio Bouchard de Henri et
Pauline Jâhier, des Chenevières ; Fiorangela Rostcm de Jean et Hda Ccnstantin, de
la Sagna.
★ Le 16 janvier, Attüio Charrier et
Caterina Comba ont célébré leur mariage
î*
dans,notre temple. Au nouveau, ménage
protestant, nous souhaitons le vrai bonheur
★ « Memento mori », nous "disent nos ;
frères et nos sœurs qui noué ont quittés,
tout réc’emment, pour le grand voyage
vers la Cité cé’este : le 30 janvier, Elisa- ,.
hetta Balmas^ veuve Revd, née en 1842,
la doyenne de la parôisse; le 1°'’ février,-*'J
Annibale Gernumet de Jean et Mary Bleynat, jeune homme de 22 ans, membre^de l’Union et de la Chorale ; le 6 février,
Emile Gillles de Henri et Madeleine Comba,
âgé de 49 ans, des Balmas ; le 7 février,
Joséphine Jahier veuve Long, âgée de
81 ans.
Toute la paroisse a pris part à la douleur des familles dans le deuil. Que l’espérance et la certitude de la vie céleste rendant moins amère l’épreuve et orientent
nos vies vers les biens étemels !
YfLLESÈOHB, Le 28 janvier, a eu lieu
l’ensevelissement de notre sœur Marianne
Genre veuve Genre-Bert, décédée à Bouvil,
à T âge de 81 ans.
★ Dimanche, 7 février, a été présentée
au Saint-Baptême la petite Odette Ghigou de George et d’Henriette Poët.
. ~k Une réunion de jeunesse a eu lieu,
le soir du 4 février, dans l’école des Clos.
L’Union du Pomaret et du Perrier v
étaient aussi bien représentées. Après
que M. Rostan, chef du Groupe, eut
adressé quelques exhortations aux Unionistes, M. Paul Bosio donna une très intéressante causerie sur les « souvenirs d’un
soldat chrétien ». Par des exemples pratiques, M. Bosio présenta quelques-uns des '
graves problèmes qui, dans certaines circonstances particulières, peuvent tou menter une conscience chrétienne, en soulignant cependant le fait que, partout et en
toute occasion, un chrétien peut et doit
servir fidèlement le Maître. Les paroles de
M. Bosio laissèrent^une profonde impression. Après quelques jeux de société, l’on *
se sépara un peu à regret. '
VITTOBIA. M. Mingardi, pasteur à Vit- ,
toria et directeur de l’Asile des Vieillards
de cette ville, nous prie de publier qu’il a
reçu pour l’Asile même : de M.lle Mary
Pos, L. 200 ; des sœurs Klett, 50.
Le don de M.lle PoSj hollandaise, est le
produit de la publication d’articles sur l’Eglise Vaudoise.
Un don analogue a été fait à nos autres
Institutions de bienfaisance. .
CORRESPONDANCE.
Monsieur le Directeur,
Permettaz-moi de vous signaler un article intitu’é « A Israël des Alpes », qui a
été publié, le 27 décembre 1936, dans le
grand journal brésilien O Estado de
S. Pauto. L’auteur, M. Antonio Piccarolo,
qui a été mon camarade à l’Université de
Turin voilà bientôt un demi-siècle et que^
je n’aj plus revu depuis lors, a réussi à
me l'envoyer, il y a quelques jours, et je
l’ai lu avec le plus vif intérêt, quoique
j’ignore les nuances de la langue portugaise. Il y retrace l’histoire des Vaudois
depuis leur origine jusqu’à nos,jours: les
persécutions qu’ils ont endurées pendant
tant de siècles jusqu’à leur émancipation
et à la fondation de leurs colonies, parmi
lesquelles il met à la place d'honUeur cel-’
les de l’Uruguay, d’où est venu, diteil, « o
general Malan d’Angrogne ».
L’article de M. Piccaro’o est trop long
pour être inséré dans notre journal, et
c’est dommage : car, après DeAmicis, dont
il rapporte un passage, je crois qu’il est impossible de trouver un écrivain qui se soit
occupé de nous avec une si profonde ssympathie. Pierre Rivoire. .
Milan, le 11 février 1937-XV.
Les Livres
Tfixtes de Marx, Engels, Lénine, mr la religion. Documente ra^mblés par Jac. QUES Menton NEX. — « La Cause » - Carrièr^-eous-Poissy (S.-et-O.). — Prix :
2 francs.
La Y* Mnace natioiiale des
“Amies de la Jeaie Fille,, .
v’r ' (Retardée). i,'
Tous les cinq ans, l’Union italienne des
Amies’ de la Jeune FiUe, qui fait partie
'de la grande Fédéfation ^Internationale,
dont le siège fât à Neuchâtel, (en Suisse),
tient son assemblée générale,' pour donner" un compte-rendu de son travail, pour
approfondir des sujets d’intérêt générai,
et pour nommer le i Bureau national pour
'’es cinq années suivantes. Cette fois la
Coinférence eut lieu à Rome, les 14, 15 et
16 janvier, danë les locaux de l’U. C. J. F.,
Via Balbo (aimablement mis à la disposi
tion du Comité organisateur), et c’est
grâce aux soins de ce Comité que les réunions furent du plus grand intérêt pour
tous les participants.
La présidente nationale, M.lle Noerbel,
ouvrit la Conférence par une simple allocution, inspirée au texte du Psaume CXIX,
V. 33, qui dit : « Enseigne-moi, Eternel, la
voie de tes st.atute, pour que je la retienne jusqu’à la fin».. Après la nominar
tion des diverses Commissions, ime des secrétaires nationales, M.Ue Horber, donna
lecture du rapport sur le travail fait pendiant ces cinq dernières années, travail remarquable lorsqu’on se rend compte des
difficultés dés moments actuels.
L’après-midi, M. le modérateur, prof. ErComba, tint le discours d’inauguration de la Conférence, devant un public
nombreux de membres de l’Union et d'invités ; il exhorta les présents, par sa parole persuasive et vibrante, « à ne jamais
se lasser de faire le bien ». Après lui, ce
fut M.me A. Pons-Bounous, qui donna la
bienvenue ,aux présente de la part du Comité organisateur, entre autres à la présidente internationale, M.He Kurz, venue expressément de Neuchâtel pour parler de
l’Œuvre dans son activité internationale,
et resserrer de plus en plus les liens qui
unissent les diverses Unions nationales entre elles.
Les matinées étaient réservées aux travaux d’administration, tandis que l’aprèsmidi du 15 janvier plusieurs travaux furent présentés, dont l’importance marque
certainement une époque dans la développement de l’Union Itafienne. D’abord le
travail de M.me Ami’da Pons-Bounous, sur
« la jeune fille dans les professions libéra‘ les », duquel il ressort comment la jeune
fille qui.se met à l’étude ne le fait pas comme simple « sport »,. mais par amour pour
rétude en elle-même, ce qui fait qu’efie
réussit généralement avec un plein succès. A cet ouvrage suivit une étude du Bureau national sur « la valorisation du travail ménager, considéré comme emp’oi »,
Cette étude, faite par M.me Mazzocchi et
présentée par elle, eut l’approbation générale, et donnera certainement lieu à un
nouvel élan pour le développement du travail ménager, pas assez considéré, faute,
d’une juste préparation. Aussi la dernière
relation faite par M.me Perico-Baldini, de
Bergamo, se rapportait précisément à l’enseignement ménager du point de vue professionnel ». Espérons que tous ces efforts
aboutissent, avec le temps, à rehausser et
élever la classe des travailleuses de maison, qui sont aussi utiles que nécessaire!
■ pour la bonne marche de nos ménages.
Une suiierbe course à Ostia clôtura ces
journées et donna l’occasion à ces dames
de se rapprocher les unes des autres, pour
.échanger leurs pensées et leurs impressions en vue d’un travail toujours plus intense et toujours mieux fait.
Fiori in memoria del prof. Davide Jahier,
per la Società di Studi Valdesi.
(3“ Lista).
Sig. Davide Hugon, Torre Pollice L.
Sig. Italo Hugon, Id. »
Sig. Carlo Alberto Costabel, Pinerolo »
Sig. Arturo Vinay, Ivrea »
Sigma Alma Rivoir, Torre Pellice »
Prof. Gustavo Vinay, Carmagnola »
Sig. Enrico Bajme, Pinerolo »
Missionario Bartolomeo Pascal,
Tunisia »
Sig. Adolfo Comba, Torre Pellice »
Prof. Ermanno Vinay, Carmagnola »
50,—
30,—
50,
25,
30,—
25,
10,
50,—
10,
25,
Fleurs en souvenir de Madame Louise Mathieu-Vinay ;
La famille Mathieu :
pour l’Eglise L. 200,—
pour rUnion. des Mères » 100,—
pour la Soc. Missions Copiers » 100,—
La Société de Missions des Copiers a donné
pour les Missions L. 55 et non pas 25,
comme par erreur il a été publié dans
le dernier numéro.
Du^Sud'Amérique.
soi-même » (Rom.
«Nul ne vit pour
XIV, 7). Cette déclaration de Î’apôtre me
pousse à vous écrire, quand je pourrais
déjà me reposer;,et je demande à Dieu
qu’il dirige'ma plume, car je sens ma responsabilité... 1. ‘
Les nouvelles de nos différentes colonies,
pour ce qui est du miatériel, sont bonnes.
Les rlécoltes se font dans de bonnes conditidns, et donnent d’exceUente résultats,
à cause du prix des denrées, plus élevé
que tes autres années. Par contrè> il y a
peu de fruit, surtout des pêches. Trois
mois de pluies continuelles en hive?-, ont
empêché la floraison. Les vignobles sont
magnifiques, il y a beaucoup de raisiri, et
aussi des poires, des prunes et des coings.
Mais ta pêche est le principal et meilleur
article pour te marché.
L’église de Belgrano est en train de bâtir ùn nouveau temple, qu’on espère inaugurer à l’occasion de la Conférence, les
premiers jours de mars. Rosario Tala bâtit aussi un temple central dans la ville
même de ce nom. Espérons que dans ces
lieux de cuite, comme dans les autres
aussi, on y rende le culte en esprit et en
vérité.
Le cher ami Elio Maggi-Pasquet et sa
femme vont s’établir à S. Gustavo, d’accord
avec les colons, pour s’occuper de l'œuvre religieuse. Ils auront ainsi un ouvrier
stable, qui pourra aussi visiter quelquefois le Sombrerito. Ils pourront aussi aider à l’école, qui est dirigée par M.lle Adélaïde Barolin, diplômée de l’Etat, et donner une plus large envergure à cet établissement. Même les estamperos en profiteront. San-Gustavo est un champ magnifique pour un ouvrier zélé, humble et
rempli de l’amour des âmes.
Grâces à Dieu, nous jouissons de la pajx
et d,e la tranquillité. Nous avons la plus
grande liberté. Nous le devons aux athées
et aux incrédules. Ce sont eux qui ont séparé l’église de l’Etat et ont déclaré libres'
toutes les croyances.
Le président des Etats-Unis, Roosevelt,
a visité Buenos-Aires et MontJéviideo. A
Buencs-Aires, à l’inauguration du Congrès
de la Paix, il n’a pas caché sa foi évangélique. Nous l’avons entendu quand il disait que sans Dieu et son secours, il ne
peut y avoir de paix véritable. Auœi le
gouvernement s’est bien gardé de faitre
dire des messes et l’inviter. Buenos-Aires
n’est pas Montevideo et l'église romaine y
a une haute prépondérance. Elle a ténté
de faire fermer la principale église méthodiste, mais les libéraux ne l’ont pas
permis. A Baliia Blanca, un laïque a été
emprisonné durant huit jours, pour avoir
prêché sur une p’ace publique.
Pendant que nous dormons, Rome travaille, même au milieu de nous. A La Paz
cm a élevé une belle église. Et il y en a
qui clochent. Quand nous lisons les témoiginages poignants de nos martyrs, comment pourrions-nous n’être pas dignes
d’eux ! Que'le puissance de l’Esprit de
Dieu s’est manifesté par leur moyen, et
dans le camp opposé quelle férocité saitanique ! Et Dieu est amour. Et quel
amopr ! Car II a rendu capables de souffrir des âmes qui étaient comme nous, la
faiblesse même. De souffrir, dïs-je, et
d’endurer des souffrances atroces et dans
des circonstances terribles qui rendaient
leurs souffrances plus cruelles encore ! Elles ét,aient jetées dans des cachots profonds, humides, ténébreux comme des
tombeaux, dans la boue et la vermine... et
ces âmes se mouraient et souvent personne
n’en sut rien. Mais le jour vient qù ils ressusciteront glorieux et leur joie sera parfaite et éternelle. Et nous ne pouvons par
trop insister sur la méchanceté des pen
sécuteurs, car Paul aussi était un des leurs
et tous nous sommes issus d’un même
Père, tous nous descendons d’une mêm-e
souche. L’amour de Dieu a embrassé toute
rhumanité... car il passe bien au-dessus
de toutes nos fautes et de nos plus noires
iniquités. Tous, au contraire... une fois
sauvés, nous courons le danger de faire
dépéndre notre amour pour les âmes de
leur degré d’apparence de bonté naturelle.
.<1
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L’Echo des Valléeg - Vençlredi;|9 Février 1937-XV
i,; La marée avance partout et il se pour-^
rait que ilans un avefnir,“ même pas si êtoif g-né, jnous devions souffrir pour Christ,
i coimne cela arrive déjà dans .plusieurs
, ' ■ »'"i
pays. Ce sont des signes des temps quinous disent que la venue du Seigneur est,
proche, « Quand vous verrez toutes ces cho^
ses, dit Jésus, Ibvîïz la tête, car votre dét-;'
livrance est proche».
I ★ NOS DEPARTS : Joséphine Soidier,
; . de Saint-Germain, de 52 ans, à Colonàa
Valdense ; Elisa Pom veuve- Jourdan, de
TEnvera-Pinache, de 75 ans, à Co’onia Val-,
dense ; PhiHppe Favat, de 55 ans, de Bobi,
à Artilleros ; Jacques Çlot, de 74 ans, de
Villesèche, à Colon ia Valdense ; J. Jacques
BarMon, de 78 ans, du Villar, à Carmelo ;
. Etienne Salomm, de 79 ans, de Bobi, à
San-Carios C. (Santa Fé); Daniel Barldon,
de 71 ans, de Bobi, à Cosmopolita,.
Salutations affectueuses à tous,
i-. ( ; : L. Jourdan,
La vraie manière.
Dans ce village de campagne, ill y avait
une communauté protestante assez importante. mais pauvre. Elle arrivait péniblement à assurer le traitement de son pasteur. Quant à l’église, elle se trouvait
dans un état plutôt lamentable, menaçant
ruine si l’on n’y remédiait dans un proche
a\enir. Devant ces difficultés pécuniaires,
certains parlaient de fermer l’église et de
renvoyer le pasteur. Comme il fallait apf)orter une solution, la congrégation fut
réunie. Parmi les membres se trouvait le
meunier de l’endroit, qui s’offrit pour résoudre le problème au mieux.
« Je puis vous aider à cet égard, leur
dit-il. Si vous acceptez de vous ein remettre à moi, sans savoir quel est mon plan
et cela jusqu’à la fin de l’année où je vous
dirai comment je m’y suis pris, je crois
que je pourrai payer le traitement du
pasteur, faire réparer l’église et remettre
les finances de la paroisse en état ».
Comme il n’y avait aucune autre pro■ position, tous les membres' de la communauté acceptèrent celle du meunier. Peu
de temps après, le pasteur reçut son traitenrent et quelques semaines plus tard
l’église fut réparée et repeinte. Bref, tout
reprit un air de prospérité auquel on
n’était plus guère habitué. Et bien des
gens se demandaient comment le meunier
avait pu parvenir à cela*
A la fin de l’année, le meunier révéla
son secret.
-.< .'\gissant d’après le consentement de
, \ous tous, .leur dit-il,, j’ai pris vui dixième
il U blé que vous m’avez apporté .pour moudre et avec le produit de sa vente j’ai assuré la marche financière de la paroisse ».
Personne dans la communauté ne s’était
aperçu de cette dîme qui permettait de
faire vivre l’Eglise, et l’histoire p^s dit
qu’il fut difficile de trouver des excuses
pour ne pas recommencer le même procédé l’année suivante.
Au fond, ce qui rend la dîme pour l'Eglise si dure à beaucoup, c’est peut-être
tout simplement le fait de savoir qu'on la
paye. {Le Témoignage
D’après le Lutherian Herald).
Fails et Nouvelles.
Afrique. L’Eglise chrétiemOe en Abys~
sirne. Le journal New Times and Ethiopia
Netvs donne, sur ce sujet, quelques renseignements intéressante.
Il y a, dans tout le pays, une quantité
de petites Eglises chrétiennes. Ghaoune
possède son propre saint. Entre chaque
vi'Uage, on trouve un amas de pierres, qui
indique l’endroit où le voyageur peut
apercevoir, pour la première fois, l’église
du village, et à son tour, arrivé à cet endroit, le voyageur doit ajouter une pierre
à l’amas. L'église, dont le toit est surmonté d’une croix, est facilement repérée,
construite comme elle l’est, sur un emplacement un peu élevé, dans un bosquet
sacré. Tous les habitante du village sont
sous la protectibn spéciale du saint de
Téglise. Non seulement chaqpe église et
chaque vilU^, mais véritablement chaque
faniille et chaque individu possède son
s.aint ou, sa sainte.*
Des couvents sont disséminés également
dans tout le pays. Us sont généiraleinent
situés sur des monts; l'expresasion, « Debro » est à la (fois la traduction du mot
«montagne» et celle du teime «monastère ». Le monastèire de Lebanos: l’un
des pltis réputés ; 600 moines y vivent ein
commun.
Beaucoup de choses sont saofiées et magiques en AbysKinie : les lacs, les sources,
les torrents, auxquels on attribue un pouvoir de guérison, les arbres, auxquels pn
présente des offrandes. Sur les chemins
rocailleux, le voyageur rencontre! fréquemment des pèlerins en robe jalune sa^
fran ; les enfante mêmes font des pèlerinages et dès vœfux.
Abuna Salcma, ou Père de la Paix, est
le père de l’Eglise d’Abyssinie; il n’est
pas Abyssin par naissance, mais il a été
nommé par le patriarche copte du Caire.
Uabuna actuel appartient à l’ordre de
Saint-Antoine ; une ombrelle recouverte
d’or est placée au-dessus de sa tête ; seuls
l’empereur .et Vabuna jouissent d’un semblable honneur.
Les services religieux, en Abyssinie,
commencent à 4 heures du matin et duirent environ trois heures. Les fidèles embrassent les linteaux de l’église. Il n© disent pas qu'ils se rendent à l’église, mais
qu’ils vont « embrasser » Péglisei.
I^’Eglise d’Abyssinie voit dans le Christ
une S5Tithèse du divin et dte l’humain.
La plupart des Abyssins ne savent rien
du calendrier abyssin, ai compliqué, et
s’orientent uniquement par le retour périodique des jours de fêtes fixes, s’abandonnant eux-mêmes au paganistme de l’ancienne Eglise .abyssine. (S. Œ. P. L).
4: :H ^
Allemagne. 1700 postes pastoraux non
occupés. L'Eglise évangélique de l’Uinion
prussienne comprend, d’après ses dernières statistiques officielles : 8709 paroisses,
dont 5371 possèdent un pasteur ; 7300 pasteurs et 550 pasteurs auxiliaires ou suffragants exercent le ministère pastoral.
Un grand nom.bre de postes pastoraux
sont actuellement sans pasteur. Alors
qu’en 1934, sur un total de 7280 postes
pastoraux, 1496 (20 %) étaient inoccupés, ce chiffre est monté, en 1935, à 1700
(23 %),. Le nombre des étudiants en
théolc^ie n’,a pas varié, ce qui laisfse entrevoir la pp*sihiiité d’enrayer Taugmentation du nombre des postes pastoraux
inoccupés, bien qiufil ne faille pas compter. à l’heure actuelle, pouvoir doter de
pasteurs toutes les paroisses sans conduc-”
teur spirituel. (S. Œ. P. L).
★ L’Association nationale socialiste des
iïistitut^eurs vient de recevoir^, de- son
président, l’avis suivant : Il n’est pals permis à un membre de la dite association
de se rattacher en même tem.ps à une
association confessionnelle.
Par contraiste relevons que, l’Armée, du
Salut, fêtant à Berlin son cinquantenaire
d'activité, s’est "vue félicitée p3,r M. Kerrl,
chef du service des cultes du Re-ich.
(Christl. Welt, janvier 1937).
ï'iiAxci;. Distmction. Sur la proposition
d,e M. le pasteur Emeric de Kulifan, le
Régent de Hongrie a conféré à M. le doyen
Doumergue, la crofx de Commandeur du
Mérite hongrois de deuxième classe, en
date du 9 janvier 1937.
Nos félicitations au vénéré historien,
qui a fêté récemment son 92« anniversaire.’
(Semaine Religieuse).
* * *
Erasme et les Missions. A l’occasion du
l'écent 400' anniversaire de la mort d’Erasme, on a remarqué qu’il fut le premier,
à la fin du XV' siècle, è intervenir en faveur de la cause missionnaire^ Voici comment Erasiïie s’exprima à ce sujet :
« Vous dites : nous ne comprenons pas
les languies étrangères. Comment ? Les
rois trouvent des interprètes pour leurs
messages et le Roi des rois n’en trouvelait point ! Vous êtes en souci pour votre
entretien. Ne savez-vous pais que SaintPau] a, gagné le sien d© ses propres mains ?
Vous dites îi’avoir pas à votre disposition
des forces miraculeuses comme en avaient
les apôtres. Mais les plus grands miraoles
qui agissent sont une vie sainte, une patience héroïque, un amour inébranlable et
la ferme espérance d’une victoire finale
par la douceur qui gagne le païen le plus
sauvage. Vous êtes effrayés des dangers,
mais les princes de ce mcftide trouvent des
soldats par milliers, qui sacrifient leur vie,
et le Prince de la vie devrait attendre en
vain ! ».
Xi 4: 4:
iS.p.p^.
Le mtionalisme de Gandhi. Gandhi a
inauguré, à Bénarès, ville sainte des Hindmis, un temple fort original. On n’y voit
1 image d aucune divinité, mais une grande
plaque de marbre où figure en relief la
carte de l’Inde. Ce temple, construit à
grands frais est destiné aux Hindous,
'M'
^uddhistes, ’ Mahoimlétans et adhérents
d'autlres religions. D’après les paroles de
Gan^, il doit servir de plate-forme poxir
toutes les religions, castes et croyances
et p4«mouvoir‘ dans le pays l’amoür, la
paix, l’unité, n doit surtout servir à tous
ceux qui veulent adorer la « Mère Inde »,
Gani^i paraît vouloir créer une lel^on
poptwaire nationaliste. * (S. p. p.).
s^utitiilini iDmtilKtR Min».
- -l-' ' REFUGE. " ■ ! -
ir'
Pons Joseph, Torre Pellice, L. 5 - M.me
F. Wurst-Jain, Merges, 44,50 - M.Ue Adeline ^Hi, Rome, 40 - A. L. C., Torre Pellice, 15 e Luigia Barus ved. Crumière, Villar PÆee, 25 - Comm. F. Margaría, Torre
Pelltee, 25 - Maria Gaudin, Prarustin, 5 Auguste Pastre, La ÎPérouse, 25.
HOPITAUX.
Bernard Giacomo, Pomaret, L. 10 - Pastre Cesare, Amiens, 20 - Luigia Barus
ved. Crumière, Vifiar Pellice, 25 - Genre
David, Pomaret, 10 - Bertalot Margherita
ved.« Long,' La Pérouse, 30 - Giovanni
Laetsch, Id., 60 - Benza Enrico, Fontane,
50 - 'Amandi e, Elena Viglielmo, Vilasecca,
25 è Comm. F. Margaría e Signora, Torre
Pellice, 25 - Pastre Auguste, La Pérouse,
25 -, Tron Emanuele et Giovanna, Id., 20
- Adeline Selli, Rome, 20.
ORPHEUNAT.
I^uìgia Barus ved. Crumière, Villar Pellice.'L: 25 - Conim, F. Marg-aria e Signora,
Torre Pellice, 25 - Pons Joseph, Id., 5 MéQf Pierucci-Bondicchi, Borgo a BuggianQ, 300 - Volat Luigia, Perosa Argentina,' 20 - Bertalot Margherita ved. Long,
LI. 50 - Emilio e Giovanna Tron, Id. 20 Augusto Pastre, Id., 25 - Clementina Codino, Prarostino, 10 - SigA Berge, Luserna
’ S. Gtevanni, 50 - A. L. C., Torre Pellice, 35
I - FornerOn Elisa, Prarustin, 10 - Simondet
Giuba, Id., 1,50 - Rivoiro Cesarina, Id., 2
’ - Porcero Alessio, Id., 1 - Elisa Gaudin, 10
* ■
- Eglise de Saint-Germain (collecte de
Noël), 50 - N. N. (avec souhaits pour
1^37*), 50 - Adeline Selli, Rome, 60 - Far^a Angelo, Torre Pelbce, 50 - Bianchi
Giovanni, Id., 9,60 Charbonnier Esther,
li, 20.
«•IN MEMQRIAM»
i \
¡Ida e Arturo Peyrot, Genova, de M.me
A. Burgo (pour le Refuge), L. 100 - Famille Fontana=Roux, Milan, de M.me Caroline Fontana-Roux-Buffoli (pour l’Hôpital
du Pomaret - 4' don), 2.000 Rostaing Cesare e figlie, Torino, de leur bien-aimée
(pour Hôpitaux), 30 - Beny-Balmas Alice,
Sestrières, de Justet Amaba (pour Hôpitaux),' 25 - M. et M.me Etienne Long,
Torre Pelbce, de leur mère (pour Hôpitaux), 50 - Famiglie MoUea e Ceresole,
Torre Pellice, de Lodovico MoUea (pour
l'Orphelinat), lOO - Renata, Fernando, Gustavo, Luserna S. Giovanni, de leur cher
grandt-père Giulio Giacobino, 75.
Nous remercions sincèrement toutes les
personnes qui s’intéressent d’une manière
si tangible à 'nos Institutions de Bienfaisance. '
Ptmr l’Administration
des Institutions Hospitalières Vmdoises :
Le président : Aw. Stefano Peyrot.
mnim me hlobe bi iiLiEmii
Dons reçus du 1er décembre 1&S6
au 31 jaiwiei' 1937.
Livia Ricci, Trieste, L. 20 - Caruso Paolo,
Carunchio, « In memoria della sua cara
mamma Giuseppina Cantore », 15 - Carlo
ed Emma Corradini, Firenze, 20 - Leali Roberto, Guidizzolo, 20 - Maresciallo RR. CC.
Ermanno Jalla, Etiopia, « In memoria del
suo caro padre», 100 - Negretti Ambrogio, Como, 100 - Adele ed Elisa Cignoni,
Livorno, « in memoriam », 30 - Giuseppe
Ceseri, Firenze, 20 - Maria Pascal, Como,
50 - Generale Ettore Petrab-Cicognara,
Bergamo, 20 - Parrocchia di Torre Pelbce,
150 - Parrocchia di Praly, 50 - Parrocclùa
di Rodoretto, 25 - Cesare Carrozzi, Novara,
25 - Edoardo Baret-Domma, Roma, in occasione matrimonio, 30 - Eugenia Sccci, Id.,
300 - Maddalena Larco, La Maddalena, 25 '
- Coniugi limmovibib, Reggio EltniUa, 25
- Chiesa dei Frateilli, Torino, 30 - Ilda Revel, ,S. Germanq Chjsone, 30 - Diama Nicola, Bari, 1 - A.da e Cailuccio Geymonat,
Bobbio Pe^ce, « In. ricordo del loro caro
padre », 40 - Elena Girardet, Roma, 400
- Giuseppina, ed' Emiba Oseulati-Astesano,
Sdh Remo, 500 - Norina Frizzoni^teìner,
Bergamo, « In memoria della cara zia Giulia Frizzoni », 100 - Andrea Cristadofo, Taranto, 20 - Roberto Cavagnaro, Milano, 60
- Società Linotype Italiana, Id., 50 - Teresa Carapacchio, Forano Sabina, 20 - Ing.
Eugenio Trincherà, Ostimi, 150 R. è M.
Fanton, Milano, 100 - Dott. Roberto Stei- '
ner, Bergamo, 200 - Bonnet Maddalaia, Torino, 10 - A mezzo signora Marta FioriniDe Ruepprecht, Verona, 51 - Lega Femminile, Como, 50 - Antonietta Cianci, exalunna, Roma, 10 - Cav. Fernai*do Pellegrini, Torino, 1.000 - Ebsa e Cesare Saccaggi, Bórdighera, 100 - Enrico BiUour e
famiglia, VaUecrosia, 50 - Società di 'Cucito, Brescia, 150 - Edith Tron, Bórdighera,
30 - Generale Enrico e Ida Heinzelmann,
Roma, 15 - Maria Pontomo, Catania, 10 Società di Cucito, Napoli, 50 - Emma Leidheuser-Gardiol, Nervi (Genova), 50 Giuseppe Vidossich, Milano, 100 -HloUétta
di Natale, Chiesa di Livorno, 100 - Praf.
E. W. Long-Marey, Roma, 25 - Aw. Rodolfo Giordano, Livorno, 50-1 bimbi Alberto e Renato Cabella, Torino, 20 - G. B.
Sola, Savona, 30 - Faolucci Augusto, Forano Sabina, 10 - Elena Bigando, ex-alunna,
Catania (2° versamento), 20 - Parrocchia
di San Germano Chisone (dalla colletta 'di
Natale), 50 - Lega Femminile, Milano, 100
- Enrico Bazizel, Pisa, 20 - Mfchelin Retano e famigba, Bórdighera, 50 - Chiesa
di Lentella, 9 - Chiesa di Carqnchìo, 6 - Famiglia Zanna di, Schiavi, 15 - L, N-, PteW>
.. lanciano, 10 - Vincenzina Trobia, Vittoria,
« In memoria déH'amata sorella», 10 -^ Antonio Peta, Montecilfone, 15 - N. N., Versoix, 100 - Revel Roberto, Luserna S. Giovanni, 400 - Margherita Tron-Revri, Id.,
’ 100 - Emma Mettìer, Roma, 30 - Minna
Crepbm, Bergamo, 20 - Lisa e Davide Pons,
VaUecrosia, 100.
La Direction de l'Institut remercie chaleureusement donateurs. , .
La famille EYNARD-POET, profondément émue des témoignages dé sympathie
et d’affection reçus à l’occasion du départ
de cette terre de leur chère
111111 EVim lit NEl
remercie toutes les personnes qui ont prêté
leur assistance dans ce triste moment, en
particulier Monsieur le pasteur Jul^ Tron
et Monsieur Gay, Sœur Mélanie Cardon,
Sœur Eva Gay, Messiekrs le docteur Quattrini et professeur Pi,nardi, pour leurs
soins dévoués, Monsieur le professeur Mario Falchi et Monsieur Bertalot, pour leurs
paroles de profonde sympathie chrétienne,
prononcées au servies funèbre, ainsi que
tous les nombreux amis qui voulurent l’assister pendant les derniers jours de sa
maladie.
Torre Pellice, 10 février 1937-XV;
Les familles MALAN et MOREL remerdent vivement tous œux qui, dé quelque
façon, leur ont témoigné de la sympathie
à l’occasion du départ de leur petit
UlflBERTO.
Rorà, 12 février 1937-XV.
Les familles G A Y, GAYDOU <et JALLA,
profondément émues pour kn grande démoUstreCtion de sj/mpathie donnée û leur
cher père
remercinvt’ vivement tous ceux qui, de
près et de loin, en quelque manière et
avec leur présence, leur furent, de large
confort dans la donhurense droomtemoe.
Remercient, d’une façon particulière, le
docteur H. Gardiol, Sceur Marguerite et
Messieurs les pasteurs Rivoira et Gardiol.
Luserne Saint-Jean, 13 février 1937-XV.
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; 1937 : ■•'BounousBartìxàiemy, vCainn^
(16) r Veuv^ Peyrond, Jeanne. Id, (16) V'ï/ ï*raixioIIo :„^Jahier Bartdonaieo, Beux - lÜ^ bet Jean., feu Henri, Bouchard - Lpottg
- Henri feu Daniel, Charnpbarbier - Long
-X ¡Frédéric fen Jean, Hibet -‘ Jahier Louis,
ï . Tournims - Bouchard Charies-Albert, Ruà
* Bertajot SuzaiOine, AUiers - Sappé Bda,
Plencs - Sappé Héli, Id. - Sappé Henri
feu Jacques, Id. •- Bounous Mario, Peu. nuan - Jabiefr Giulio, Ruà - Plavan Nancy,
Ruà - Long Alexis, Pléncs - Long Henri,
Peumian - Sappé Alessio, Bouchardon ' - '
Beux Héli, Tournims - Lode Bertolé, To» rtoq - Beiifealot Ilda, Gran, Algérie (1)
Çocito Çféanthe, Firenze (2) - Giaanpaglia Sfergherita, Treviso - Sommani Anna,
Firenze - Tpum Eîmilia, Roma - Praly :
ïean, Guigou - Qot Henri, Id. Giiigou'Jean Daniel, Id. - Richard Francis, Jourdan - Peyrot Armand, Malzat Grill Etienne feu Etienne, Id. ^ Veuve Rostan Suzanne, Ponuoiers - Rostan Henrii Id,
- Rœdan Jean Etienne, Id, - Pascal Oreste,
Orgues - Messa Angefo, Milano (5) - Obialero, Teresa, Torino - Elynard Stefano,
Tœre Pellice - Kolbe Clara, Id. (5) - Ribet
Jean, Manœque, Basses-Alpes (1) - Borati Eugenia, Hurley, U. S, A. (1) ^ Vigneimo Beniamino, Roma (2) -^Viglielmo
Aipandina, Riclaretto (2> - Venturini Panlitaa, Id. (2) Bounous Catherine, Serre
Marco, Id. - PesTot Suzanne, Trossieri, Per^
rero - Bounous Catherine, Albarea, Riclarétto, 19351 et 1936 - Weitzeeker Luisa,
Torre Pellice - Barbero Annetta, Torino, et
1936 - Genre Davide, Ppmaretto - Gerire
ÉmanueJe, Pentane, Redoretto - Bruno Modesto, Torino - Pons Giovanni, Genova Tobler-Corradjni, Firenze - Lantaret EL’sa,
Pomaretto (5) - Garrou Alba, Napoli Qi^bon Miciiesle, Inverso P.lnasca, 1936
(2) ;- Grill Margherita, Masælli, Pomaretto, 1936 Ribet Luigi, , Inverso PinaSfea - Bertalmio Maria, Clot, Id. - Rochon
Adelaide, Longû^nf^ Id. - Dott. Quattrini
Alfredo, Torre Pellice (5) - Borione Susanna, Torino, et 1936 - Gunetti-Paschetto
Unra, Pinerdo - Pons Darius, Inverso Pinasca (2) - Antonelli Agibert, Marseille Frache Adbertine, Luserna, S. Giovanni (2)
- Durand Fiorina, Id. (2) - Ma'aln-Long
Marta, Id, (2) - Baihnas Giulia, Torino (2)
- Peyrot-Albarin Emilia, Torre l^dlice (10)
- Prache Henri, Id. (2) - Annette Ge^onat, Bobbio Pellice - Davit Daniele, Id. Hoqdon David, Id, - Ro^an Berta, Napoli
- Rossi G, B., VaUebonar per Ventimiglia
1 Angrogna ; Chiavia Fihrminio - Bertalot
Anita et Esther - Coisson Olga - Gaydou
Eh >• Nishet Roberto - Bertalot Celestina
- Plavan Lidia - Chauvie Eli, Pradeltomo
- Constantin Luisa - Bonnet Pietro - Deodato Rosa, Torino - Henri Rivoire, NewYork, 1« semestre 1937 et 1936 (1) - Jules Viglielmo, Ulster Park, 2’ semestre
1934 et année 1935 (1) - Alexandre Peyronel, New-York (13) - Marie Sappé, Id,
(13) - Juliette Ghigo, Valdese, N. C. (13)
- Aline M. Tron, Id. (13) - Fréd Peyronel. Id., semestre 1937 et 1936 Û) Laurent Rivoire, Id. (13) - Henri Ghigo,
New-York (13) - Philippe Garrou, Id. (13)
- Pasteur Pierre Griglio, Id. (13) - Henrj
Grin, Chicago, 111. (13) - Henriette Villante, New-Ro-belle (13) - Blanc Bertinat,
i^èye, 1935-1936 (2) - MumenthaJer Giovanni, Catania (2) - Giampiccoli Adolfo,
iHlano (10) - Benech Rosine veuve Pavarin, Lusema S. Giovanni (2) - Soulier Ilda,
Torino - Covarei Luisa, Mogadiscio (5) Polizzi Pia, Aosta - Rostan Francisco, E^t
Tarariras - Benech Emile, Genève - Graziella FVÔholro, Soharano, Madagascar Graziella Jalla, Mabunln Mongri, 1®^ semestre 1937 - JaHa Adolphe, Id. trimestre 1937 - Malanot Emilio, Vi'Iaro’ e'ta
(2) - Cardon Suzanne née Rostan, Praro
stino - Aitilia GrilkBcnjour, Pinerolo Fornerone Livio, Prarostino - Gay Emanuele, Id. (0,50) - Paschetto Luigia, S. Secondo di Pinerolo (2) - Paschetto Margherite, Id. - Rivoir Guido, pastore, Prarostino - Forneron Francesco, Id. - Mathieu
Jean Henri, Pomarettto (21 - Serre Enriro, ViUar Perosa (2) - Dott. Itelo Mathieu, Pra Catinat - Davit Fulvio. Germag^no (5) - Maresciallo maegiore Eli Lc<"'g,
Pinerolo, et 1936 (6) - Pfister-Gaqr An te,
Zurigo, (6) “ Menusan M., New-York (1)
- BertaJot Teresa, Angrogna - Multare
Fanny, New-York 2« semestre 1934 et
1935 - Thiele Henriette, Id. (13) - Grill
François, M. ' (18) - Henri A. Jahier, Id.
(13) - J. D. Pascal, Valdese, N, C, (13)
- Stale Margherita, Lnærna S. Gicr^anni
(2) - Ricca Seiina, Pinerolo (5) - Pons
Giorno Enrico, Id. •- Long Marta, Id. (2)
- Costebello Alberto, Id. (2) - Marauda
Giacomo, Id. (2) - Rivoire Ma^-ia, Id. Griot-Griset, Id. (2) - Cardini M-ry, Lombarda, S. Secondo di Pinero’o ("5)
A favore degli ‘ iscritti aU'Assoeiazf____,
Nazionale Mutilati ed Invalidi di Guerra,^'^
è state consentita la riduzione del 50 % ,
per un certo numero di viaggi, da-effet- '
tuarsi fino al 31 dicèmbre del corrente;
anno. * . '' ' * 4,
COMUNE DI TORRE PELLIÇE.
Stato ClYile daH’8 al 14 Febbraio 1937-XY."T
Nascite N« 1 — Decessi N“ 1
TERRAINS EN VENTE ' f
Dans le centre de La Tour: une
son de onze pièces ; une autre maisèh
de quatre chambres et cave. — Prarustîir
(Allamanda) : une maisonette avec une
journée et demie de terrain. — Rorä
(Ciò Bruera) : Châlet rustique avec petile
étendue de terrain et cave de pierfe^
aménagé pour le séjour d’été.^ ' ;
Pour informations s’adresser a M.r
Baud — Administration du journal —
avec un timbre poste pour la réponse.
TARIFFA INSERZIONI
Avvisi Commerciali, L. O.A4I la linea •
Mortuari, Comunicati, Ringraziamenti, L. I
la linea - Avvisi economici, L. 0,ti5
parola per una volta - L. 0,90 per due'
- L. 0,1 per tre. - Minimo L. •.
TaMa tovaraativa la piti,
Paeaméata anticipate. ^
Vendons! d’occasione libri di storia,
filosofia, scienze, arte, religioni, roman^
e riviste, ecc. — Rivolgersi al giornalf;
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On achète: chiffons, paperasses, livrffi":
usés, et tout débris en métal, à bon prix.
— Gottero Giovanni - Viale Dante,% .
— Torre Pellice. • J t
— ---T—--------------i—......... '
Ravadera: Vendesi vjlla 17 ambiéiïlî,'
termosifone, bagni, vasto frutteto.“
Rivolgersi giornale.
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MILANO. Chez M.me INES GROSSI FaSULO veuve de M. le pasteur Prof. G.
FasULO de l’Eglise Vaudoise, pension
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