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GIACOMO ,•.
SETTIMANALE DELLA
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SOURCES AMERBS
(Lire: Exode 15: 22 - 25)
f,“'* l'' v •
CHIESA VALDESE
T
II y a quelques années deux Vaudois en Egypte iisUaient, sur le littoral asiatique de la Mer Rouge, les.
stmrces connues som le nom de Ayouia Mousa, c’est-à-ditie Fuit de
Moïse, qui selon une trauiition lomle, correspondraient au lieu où Moïse reruül douces les eaux amères.
TJcs deux voyageurs, après avoir
traversé à dos d’âne le désert deShur,
qui vit la multitiuie des Israélites altérés par la soif, s’arrêtèrent quelques instants dans l’oasis à lu luxuricmte végétation de pcdtûiers, de tamaris et d'acacias, où des bédouins,
qui cultivent autour de leür demeure des légumes et des fruits, échangèrent avec eux des produits du sol
(:oiitre*des allumettes, très préciem-,
ses pour les hab tants du,désert.
Ilans l’oaisis jaillissent avec abondance des sources, dont quelques unes sont amères et sont, au dire dje«
Arabes, les plus mauvaises du. distric.
C’est peut-être ce qui explique la
localisation de Mar a en ce lieu. Mais
d’après des sœimits qid pnt étudié à
fond la question, c’eàt plus au sud
que l’on doit rechercher ces sources
et plus précisément à -Harwara. où se
trouve un bassin contenant des eaux
fort- mtièresr ■ ---------
Quoiqu’il en soit sur la ioCtilisa
tion exacte des lieux, les deux voyageurs ne purent s’empêcher d’évoquer ensemble les scènes de détresse
qui s’étaient déroulées en cés lieux
environ quarante siècles auparavant,
busqué les Israélites, dévorés par la
soif, éprauvèr/mt la plu^ grande dé(cpiimi, ne pouvant boire les eaux
qu'ds avaient jinaiement ajresrçues,
car ces eaux étaient amères!
U y a encore aujowrd’ hui, je dirais même surtout aujourd’hui, beaucoup de sources amères dtms ce
mi.iide causant aux hommes toutes
sortes de déceptions et de dégoutté
Que de fjtds, dans le désert de la
vie, même le chrétien n’ai-t-il pas éprouvé la détresse .d’Israël au déserti
Eiélivré peut-être de l’esclavage du
péché, comme Israël de l’esclavage
d'Egypte, l’homme p0ise pouvoir étancher la soif de bonheur qui le dévore dans les biens du monde ou dans
les affections du coeu ; et lorqu’il
croit avoir trouvé une eau qui pou ra le désaltérer, U s’aperçoit, hélas!,
que cette eau ressemble aux eaux de
Mura! cette eau est amère; elle a une
saveur tpop terrestre; elle est ineapahle de satisfaire les besoiips supérinirs de l’âme!
Les biens de lot terre sont une source de. déception ;ils ne peuvent donner Iq paix intérieusre, la tranquillité durable, la securité véritable'.
Ce qui émd amères certaines sources c’est le salpêtre qfd est dans les
couches profondes du sol, comme
c’est le cas dans la ÿone sablonneuse
de Wady-El-Amara, près de Ayomi
Moufta. Ce qui rena amères les so^^rces auxquelles tard d’âmes croyent
pouvoir se désaltérer, c’est le salpêtre du péché et des infirm/ifés morair
les à cause desquelles on s’attache
trop facilement à des biens dont, là
saveur deviendra de plus en plus <*■
mère; on odblie que le bottheusr de
un homme ne dépend pas de ce qu^U
possède» (Luc. 12 ; 15), que «le riche
se flétrira m milieu âè- ses entreprises» (Jaïqtiie s 1: 11), que id’avair&ie
est une idolâtrie» (Col. 3: 5), et que
Ja jouissance des biens, loin de Dieu
ii "!àt,sans Dieu, peut çonduire à toute
•
sorte de désappointement. N’àyant
pojp,t en eux ce qpi est nécéssaire
pour satisfaire la soif d’infini qui est
dam l’âme, ces biens sont une source saumâtre, une Mura db/is le désert. , •
^CET
'ÇQ ■ '
Le chrétien
bméme la sourux de s’être
d’avoir renmais, hélas! à
res, y aura-t-U quelqu’un qui, comme Moise, pourra; transformer tant
a amertume en dmwmr?
C est ce que nous vercons daUâ une prochaine médiLtaitiioii.
David Pons
Et qoe dironsmmts dies affections
de là vie? Il semble que oes eaux devraient nous désaltérer cxtmplètement et nous donner le bonheur; qu’y
a4-ïl de plus beuu que die se sentir
eni^u'rés d’iaffeidtions douces et pures, de jouir des joies de lai fanvilte,
d’être l’objét de l’amour dans ses manifestations les plus élevées? Reoonnamsons-le franchement, il y a dans
ces affections une source réelle de
bonheur, même si cette joie peut être
parfois troublée par Iq> pensée que
nous serons un jour séparés des personnes que nous airrions. Mais ces
eaux peuvent-elles nous débitéeer
complètement? JS’y a-t-il pas quelque
chose d’amer même dans cette, source, qui ne peut certes satisfaire levi
de immense qui est au fond du coeur
humain, ¿e besoin d’ïnfikiê que rien
ciie fini ne ¡feiit satisfaire? l\oni. toutes les joiés de la vie, plœtsirs. hemneiirs, richesses, affections. Loin de
D',^ ^ sans Dieu ne peuvent donner
à la créature hunumie le bonheur
parfait; la sqif n’est jamats apaisee;
les puissants besoins de l arno ne
sont point assouvis!' Il y faut pour
cela d’autres joies que celles terrestres,' d’autres richesses qtfie l’or et
l’argent, une antre gloire que celte
du monde, un autre amour quei celui
des mortels! Toutes les sources auxquelles l’homme croit pouvoir puisef
son bonheur, en dehors de Dieu,
sont des Maras dans le désert, des
siuirces amères!
ce d’Israël au dési
cherche parfois en
ce du bonheur; h
converti, U se réj
contré son Sauveu
mesure quil avanc^idans la voie tracée par VEvangilef il fait une expérience décevante; M rencontre dans
les profondeurs de'mon être caché, où
il pensait trouver àdu< rufraîcchisiement, U rencontre pcs eaux amères,'
le flot de mauvais!^istincts, de pensées impures,, de wsdons, et désirs
déréglés, en un u. tendance
héréditaire au< moMqui faisait dite à
CoiigtUH lizinalc itÉ FlL
Proli,. 13rl4 agosto 1948
ï’apoÀre Faul:
irouve en. moi
cette loi : quand gfe. veux faire le
bien, le mal est Attaché
(Rom. 7: 21). Et 1
sent du coeur, rcrx ùes amères par le
salpêtre: diu péché
iestent au (îbhors
couragement, de ti
a mo l »
eaux qui jaillis
II Congresso iNaiaionalQ dlella FUV
avrà luogo a Prah i gioimi 13-14 agosto di quest estate. 1 Congresaisti
potranno ailiune mediiante camion
da Pomareitto alle ore 16.30 del giorno 13, da Peirosa. La mattina del giorno l3 sarà ahctie predisposto un
servizio dj trasporto per tutti quelli
che vorranno intervenire al Congresso. Férchè i delegati ricevano i fogli
preparatori devono inviare a) Segretario Ceueraie il loro mandato.
TULUO VLNAY.
iglinel ,se mani>us-formo de déitesse, voire mê
me de pessini'sine.
COIflUNICATI
Le salpêtre qui
sourdes de lu vie
ludie, la) pauvreté,
trahison des amis,
sêcution du mondei
re tout ce qu’il
coupes de la diù
amère les
encore la ma’¡infidélité ou la
haine,et la perui pourra redii^anier dans les
ùr et du dégoût
Domenica 8 agosto, alle ore 15,30,
avrà luogo nei tempio di Torre Feltice la consacravkme delle diaconesse
buor V eglia ijoscio e Suor Lue-etta
Tenger.
que doivent 6oürle des millions et des
millions de créatures humatines aujourd’hui, par les temps difficiles et
calamiteux que nous traversons?
Qui pourra redire l’amertume des
coeurs qqi saignent sous le coup de
l’injustice, de la méchanceté, de l’épreuve et tes peines qui aigrissent
les esprits et tourmentent les âmes?
Et qtte dirons-nous des sources amères du deuil, de la’crainte de la mort
et du jugement à 'venir?
Mais ce n’est pas seulement hors
de lui, c’est encore en lui que le pèlerin terrestre pÿut faire l’expérien
En présence de tant d’âmes ab. euvées par le fiel de^ déceptions, de la\
douleur, de la misère et de la mort,
en. présence de tant de sources'amè
Le tradizionali riunioni del 15 agosto avranno lupgo a SibAUD e alia BALZIGLI A, I culti del mattino
avemmo inizio alle ore 10 precise.
Si prega di voler portare LAnnmio
distiano. I primi arrivaii sono invitati a occupare" subito i posti vicino
al palco degli QratBorti, e si raccomanda vivametite a chi rimane alla,
periferia dell’assemblea di conservare religioso silenzio. La colletta
che verrà fatta a favore dell’opera di
evangelizzazione è raccomandata in
modo, spedale. Fer il pomeriggio è
previsto un interessante programma
di discorsi, canti e giochi,,parokeiarmente dedicato alla gioventù.
L’ASPETTO GIURIDICO DEL MATRIMONIO MISTO
NORME PWECONCORDATARIE
Prima dell Comoordato rtiiiiico matrimetiio valido di fitonte all’autorità giudiziiairia ed ammiiuiiistraitaiiva era ili matrimonio civile : dii si sposava in chiesa
(sia cattoliica che protestante) doveva
successivamente comparire - od era precedentemente comparso - davewitì all’ufficiale di stato civile per oelebiare nelle forme civili il matrimonio giià con
tratto - o dà centrarsi - in chiesa. Se gli
sposi non si presentavano airufficiale
di stato civile per la legge non risultavano sposati ad ogni effetto. In generale nei mataimoni preconcodàtari si celebrava prima ili rito ciglile poi - se gli
sposi erano credenti - oi si recavi in
chiesa per la edìebrazione col rito religioso. Col Concordato la chiesa cattolica si preoccupò di elimiinare quest o
inconveniente del doppio rito che da
un lato favoriva - per pigrizia - la celebrazione soltanto civile e dall’àltrQ lat'^
favoriva motivi giurlsdizionalistid, vale
. a dire di autorità indliscussa e sovrana
dello Statò in materia matrimoniale (ed
anche nella materia più vasta delle questioni ecclesiastiche) dtefraudando, il matrlmoniio di 'tutto il significato teologico-giuridico che la dottrina romani gli
annette.
I PATTI iLATERlANBNSI.
LM 1 febbraio 1929 turemo fièmati i
Patti Lat^anensi comprendenti un Trat
talo (per regolare là ’’Questione Romana); uria convenzione finanBaaria (per
risarcire la Chiesa dei dànni patrinnoniali
da essa ¡subiti in occasione dell’espropriazione dei beni ecclesiastici effettuata
dallo Stalo ItaJiiano nel 1870) ed . un
Concordato (per regolare i rappòrti Stato — Chaesa). f Patti iLateranensi stipulati tra la Santa Sede e la iMonarchia
fascista .sano iirterdipendientii fra di loro
Taglione pei cui la nuova Costituzione
Italiana per non riàprire la ’’Questione
Romana” denuÉiziando il Concordato
(e per calcoli di convenienza |x«litica
che trovarono schierati li due partiti confessionali italiani (la ¡Democrazia Cristiana ed il Partito Comunista Italiano)
inserì nel suo corpo integralmente i Patti
Lateranensi senza osare neppure rivederne la forma per paura di comprometterne
la sostanza. Così una norma della nostra
Costiituzione Riéputíbliteana tiinivia alle
norme lateranensi che contengono, nel
Trattato, il riconoscimento da parte diella
Santa Sede del ReSgno d’Itàilia sotto la
Monarchia sabaudà. Il Concordato del
1929 è perciò oggi ancora la regolamentazione vigente di tutta la materia ma'trimoniale e lo sarà fino a quando durerà la nostra attuale Costituzione, Nessun
provvedimento del potete esecutivo può
cambiarne il tenore e la portata perchè
non si tratta di itobne di diritto pubblico
o privato modilicdU!^, con uiì cambiamento di governo lesena^ sociali
sti al governo al posto dei democristiani)
ma si tratta di norme ormaii costituzio>naili mod'ihcahili soltanto con un camhiamento della forma costituzionalle deir
lo òitato ¡(per esempio xepubhlaca di nuovo tipo cine permetta e anzi esiga ll’ahro-,
gazione dell attuale Costituzione e la sostituisca con un'
mente il matriimonio civilmente gjà valf-ji
do peirchè.celebrato dail’uiffioiale di' stato civile
Sia ben chiaro però che il matoimonio
religioso regolato dal Concordàito non
è lil sólo matrimonio valido: sussistè
sempre il matrimonio civile che tinzi' per
lo Stato è in premiinenza su quello religioso dato che, come abbiamo visto,
quello religioso per essere valido per lo
Stato deve essere trascritto ¡(a cura del
parroco e ddH’ufficiale dèlio stato civile)
e dal momento della trasorizione gode
degli effetti cavili cioè produce le stesse
conseguenze di quello celebrato davanti all’ufficialè di stato civile.
Il matrimonio celtebrato davanti: ad
un pastore o -ad un ministro dì culto acattolico in genere è considèràto nè più nè,
meno come un matrimonio puramiente
cì-ville.ill ministro di culto acattolico ha
veste di ufficiale di stàio ciwle.
Il prete invece non è considerato ufficiale di stato civile ma il matrimonio .
celebrato da lùi. produce gli stessi effetti civili che produce il! matrimonio civiille. Un protestante che- voglia sposare
una cattolica (o viceversa) può perciò
per celebrare validiamente il suo matri:monio o sposarsi -in Mùnioipio o davanti
al pastore o davanti al iprete, A noi interessa però sapere la reazione e l’àttèg^
gi-amento dèlia Chiesa Cattolica- di fronte ad ognuna di queste tre fmme onde
essere’ edotti dèlie responsabilità che un
protestante si assume a seconda che, nèl
conttarie mattimorilo con una'parte cat-”'
tolica, scelga ¡una o l’altra delle forine
di celèbrazione a sua dioposizione.
iMATRlMONIIO IN MUN'ICIPIO
-Se lil matrimonio è -celi^Brato in municipio avremo, per jla chiesa cattolica,
un matrimonio validb ma non legittimo
perchè, per essa matrimonio valido e
legittimo si ha solo quando il matrimonio
sia celèbóato in chiesa cattolica, li matrimonio civile è vallliido perchè gli sposi
sono battèzzati cristiani (anche se non
cattolicamente) perciò ha. i caratteri
dell’ufu-tà ed indissolubilkà e la autorità ecclesiastica non lo può più sciogliere : comunque ¡la competenza giudiziaria è in questo caso civile e non ecclesiastica trattandosi dì matrimonio civile.
11 matrimonio non è però legittimo per
la Chiesa cattolica perchè è colpito dalr
i’impedimento della mixta religio e come tale n-on produce i -bona matrimonii.
1 ’’bona matrimonili” sono i beni spirituali derivanti dal carattere sacramentale che la dottrina romana riconosce al
matrimonio e consistono nella « hdies))
o fedeltà, nella ’’proles” o figliolanza
educata cat-toUcameiite e nei ’’sacrai
mentum’’ o indissolubilità del vincolo
e -comunanza di vita. 1 ’’bona matrimo
nii” sono il segpo sensibile dèlia grazia,
mezzo di sanitoificazione e dii salvezza
NORME GQNGORDATAiRlE
L'art. 34 del Concordiato stahilrice : la
ceieDrazione lelagrosa del anatomonio in
eterna.
ciiu-esa cattolica produce etietti oi-vil-i
oat momento -dèlia trascrizione " ; vale a
aire : quando ri prete na peleòrato i-i matriimonio religtoso èd. Ina mandato adii ufr
iiciaie di siato civade d'alto do- matrimonio e questo vaene trasmesso nea registri
aeiio ,:>taito Civdite fa legge do riconosce
vai-idio tanto quanto dii ma:tnmotuo celebrato esclusivamente davanti adll'umciale di stato cavile, inoltre un’al-tià norma
dispone che la competenza in tema di
nullità di matrimoni celeòrat-i teligiosamente spetta ai tribunaiLi ecclesiastici.
La duesa cattolica da questa regolar
mentaztone ricava due vautaggii : 1 ) il
matrimonio viene celebrato secondo od
rito canonido e perciò è perfetto cioè valido e legittimo. 2 ) á viene incontro alla
eventuale poca volontà degli sposa che
— prima — occotrevà fossero veramente convinti dieMa loro fede per recarsi
ancora in chiesa a ceSldonare religiosa
MATRIMONIO IN
CHIESA PROTESTlANiTE
à ì
-1/
Il matrimonio celebrato davanti ad un
ministro di culto acattolico è equiparato
dallo -Stato e della Chiesa Romana a
quello civile perciò per la Chiesa cattolica si tr-atterà sempre d’un matrimonio
illègiittitmo e quindii privo dèi poteri sacramentali per cui la patte cattolica che
vi aderisce è passibile di gravi pene economiche che possono andare hno alla
scomunica. Per lo Stato è invece natttralmente valido dato che il codice contempla solo come impedimenti al matrimonio l’inifeiroillà di mente ed M precedente .vincolo civilmente valido d’uno
degli sposi ; gli ailtri impedimenti, come
per esempio la ndxia religio, ess^ido puramente impedimenti oanemia sono come '
ta<li inefficaci ad inv-alidaire od illegittimare per lo Stato lil matrimonio civile e
celebrato davanti ad un miniatro di culto
acattolico.
I .
1
2
i.Vi ». ? * ^
Ï i*-_
- - IL MATRiMONIOœSIDETTO
iDIETÌI^ AUL’ALï^AiRE»
^ Un matmimonio muto per essere okre^ .' cliè volidk» anche leig^ttiimo per la chiesa
catitodicai, oioè che sahragiuardi iili~ bene
' ‘"spirrtuale del coiùuige cai^lioo, de>ve
easeire celebrato davanti all prete previa
dispensa deM’autorità eoolesiastàca ^cat*
tolica dall’impedimento mxtae religioms: La’ chiesai cattolica vieta severisai'
mámente il raaittimonio tra persone dii fei*de diversa e dichiara che il matrimonie
misto è vietaitp dalla stessa legge divina
se sussista il periicolo di perversione del
coniuge cattoliico {cioè che la parte cattoliiica si sposi solo civilmente o in chiesa
protestante) o della prole {cioè che i
bambini non ^vengano battezzati o ricevano un’educazione religiosa non conici'.i me alla dottrina della chiesa cattolica).
Però in certi casi rautoiità ecclesiastica
può permettere che la parte cattolica sposi un acattolico, oioè può concedere la dispensa dall’impedimento mix'
tae reiigioms. La dispensa è infatti con
cessa <}uando urgono càuse giuste, cioè
si speri che Ila parte protestante si con'verta al cattolicesimo ; o quando urgono
cause gravi, cioè oi sia pericolo di matTiir
monio puramente civiile se non si concede la dispensa e ci sia scarsezza di cattolici nella regione, iMa le cause giuste e
gravi non bastano dneora per concedere
- 1
la dispensa, ««m sodo sioàainto le caqdbr- Itic^ ì, ooonj^ non possono, ,,
zionT oggettive dchtesle ed occocw jche H nHttimonio.|initohcaiit^^ pio
' a queste condiiziimii oggettive si aggiun»- sentami ad tai laiiiiiko dà culto acattoga ima importantissima condizione sog-,« anche solo per benedire la loro
t^va ; occorre cioè che k parte acatto- w»«»« e 1« paste CaWakta «è obbligata
Uca fìrmi le cosidette acautioms)), Lecautiones sono rmpegni scrittii che là parr
te protestante deve aisaumerai al momenk) della celebrazione del' mattiraonio che
avvide alla presenza del parroco ma
non in chiesa bensì nel' piredbiterio o in
a curare ptwtentotol^nlte..,^ oonversiione
aelil’acattolico» {cartone 1(162). Inluie it
dhe 1 vescovi ed.
^àsdèuamente sul'
locali annessa alla dhiesa {ecco perchè
si dice . con espressione inesatta, matrimonio dìetko l’altare) e senza le pubbliy’ caziìoni di matrimonio neH’albo paitocchiàle per evitale pubblicità ed in deroga alle disposizioni di legge che prescri'
.vono, per i matrimoni religiosi, la pub^
biacazione doppia sia in Municipio che
in parrocchia. Oli impegni che ia parte
protestante si assume fumando le cautiottes sono i seguenti! : 1) il coniuge acattolico si obbliga di rimuovere il pericolo di perversione del coniti cattolico
cioè in parole pavere promette dii non
fare opefa di proselitismo nei suoi confronti. 2) entrambi 'i coniugii (si noti
r«entnaimbi)) : non solo ila parte cattolica)
si obbligano a battezzare ed! educare solo, ^cattolicainente tutta la prole. 3) il
coniuge acattolico dà la certezza mora-,
le che tak obbligazioni saranno adempiute. ’
canone .106 ni.'3
i preti devono vimatzaimom masti
nivgi ’aidempiànor t
zionii assuntle,
'-'E
ati aibnchè i colímente le ot>bkgia
ed a -cfajtaài&caizigiiie' ’che la pancia coti*
Uonet nulla’ ha a che fare con la pannila italiana cauzione perchè non si ^ta di denaro o di impegni finanziari ma
di irlpegni giividici-moralii d’indole pon
pàtriinoniale, .
Quindi in caso
la celebrazione dhe permetta ai conioigi
' coscienza* sia nel’ossei van
C«fltcjuNÌ(
COiMCLUfilONtlii
£’ evadente d^
matrimoniò ' misto
‘cattoi'iica non è
ma comporta om]
SI può piu venir
sione potrò trattiaii!^
guenze non solo
tigioso ma d’ord
vanti dalla fiiima^.
trimonio misto cel
WS
detto cine in
ilètirato in. cituesa
tompdice tormalità
gravi aa quaai no.ni
in altra occatutte ‘e œnseoogmatico ÏC■civdle derieaatimes. 11 mao davanta ai par
„MANIÌESmZlONl GIVIU. ' ’ .’T _
i.:,, Dóaneniiìa. prossima Ko Agosto-,
■' ■■ .-, " ; ' ■ gurorà 'in Torre Pe'Hice.fe Mostra delpapro^:^^^
di mateimoino m^to r Suzione vaHi^na. La Mostra è diisposta in^^due Infici neUa Scuola (¡'Avviamento
, . . (iastriirt« sopp esposte le lavoraziani tee*’V'’
za delle rispettive praticne religiose sia sdii fMaoiiiattura Mazzonis, Manifiattura Orn-',^ ■-•■j
neWeducazioote^igi^ delk pr<^^ è il „lière, Uvori feminmid', magMeoe,'’ ‘J
Qtotrimonio civile ^ il inatrimotuo in Artìg'Bnata femmind'e, ecc.), prò-^^7. '
cluesa protestante. La chiesa prot^tante iuziojie do-ciaria, ceramiche d'piinte,, libre-, B ' i,
” na e • cartoflena, lavoiraz.iQine di bkicLelJte,v\
Funzionerà ^ bar con pasticceria. Nette '
Scuola Mauriziana Maschile sono esposte 1si.ì
produzioni deM’agricoltura, delte piante or-f
nairoentali, dell’apicoltura, «tei legno, dd
cuoio, del metallo, ecc. Funzionerà un i S
di degustazione. Nel complesso sarà un’e-.i^jS
4>osiz5oiie assai interesante dd quanto ha sS; *
puito fare it lavoro deffle popoiaziond valli.
giane.
loco costituisce perdiò dia parte dei coniuge protestante un -veto e .proprio alio
da aboura non solo s^ latto ini buona tede
(cioè con l’intento di-osservare lealmente le cautiones il ovvio) ma ancqe
se (atto con la risalite' mentali e di non
adempiere poi àfcbessivamente gli
impegna assunti. .Si^ notato pe: inciso
PIETRO CHAU
mfatta non avendo una codificazione in
materia matrimoniale e non consideran- ;
do il malziimonio come un sacramento
non esigerà da parte dea coniugi nessuna
firma di qiualsivoglia cc cautio » lasciando alla loro coscienza di accettare come
una grazia la Parola di Dio ; «se un
uomo ha una moglie non credente ed ella è contenta di abitare con lui non la
lasci perchè il marito credente santifica
la moglie non credente e ila donna che
ma un marito non credente s’egli con>sente d’abiitare con lei non lo lasci perchè la moglie 'credente santifica <il marito non QT-edent©)). Alla luce diell’ifc.vangtìlo li problema del matrimonio misto è non un problema da regolamentazione canonica ma un autentico' problema di fede.
Roberto Jouvenal
. Poco meno di 90 aulii or sono - il
27 dicembre 1858 - nasoeva nella remota borgata montana del Serre di,
Angiognah PIETRO CHAUVIE. .
Alcuni vecchi ricordano ancora la
oarattenstica fìgura di suo patErc
Bartoloraeoi, .auteotico rappresentan
te di quegli antichi Valdesi, die sapevano edtacare la propria lamiglia
nel rispetto di quei valori tradizionali, che hanriT» diato uni’inconiondibile fisionomiia alle popoplazioni ri
queste vallate. Bartolomeo Chauvie
era ocmosciuto per il suo amore per i
libri; agricoltore riuscito a farsi una
certa istrtizioiie, ambiva (are studiare j> jKopri figli. 'Due dii essi dove- vano diventare maestri; Pietro, il
più giovane, venne avviato al Collegio di Torre Pellice. Ma non, crai cosa da poco: ogni mattina il giovanetto partiva da casa- per scendere a valle; circa un’ora e mezza di cammino, e più ancora la sera per risalire
in famiglia. In estate, messi du parte
i libri, aiutava i genitori nei campi'.
La via del ministero cristiano sì
presentò a luì. conte il naturale proseguimento dei suoi studi; fece quindi tre anni alla Facoltà di Teologhi di
Firenze, poi dlue in iseozia e uno an-’
ixnra a Ginevra. Nel 1887 ritorna in
Italia, ed è consacralo ai S. Ministero al Sinodo iniziatosi con un culto
presieduto dal forte predicatore Enrico Meilleu
23,4U verso le 4 del mattino. « Ho
cosi risparmiato - scrive aU’Animiiiistrazione - 1,50 dà camera, e- aria fresca dii prima qualità».
Dovunque dei gruppi numerosi di
(estranei» partecipano alle riuaiom,
na spesso, troppo spesso, si rLnno\;i
Ifesp^er.enza simjboileggiaitìa nelil’aniica parabola : «(Quegli eh© ha ricevuto la semenza in luoghi rocciosi, è
colui che ode la Parola e subito la
riceve con allegrezza, però non ha
dia e sopratutto' ^ Pachino. In quest’ultinta località >:l.’opera presenta
un rallegrante svdiippo. Nell’aprile
1901 cgb può ricefere 27 caitccumeui.
bollo i tempi diedla polemica non sempre seiena da una-^arte e «ialraltia
1.11»'si può camirtpaxe sopra delle
uova - diceva Lute^ .- senasa romperne qualcuna?), e le straoe di Pachino SI canta una canizone:
1 poveri parrinasrti 6on tuiU sconsufate, - E’ venuto^^’evangelisla che
d ee la veritate. 0:..
Nel 1902 Cliaisàie ritorna nel
lalorji a farsi sentile. Ln-a volta es»u
dice al Pastore che soiiie si. ma dui
va «pian pianino vergo casa». Una esper CI1/..1 simile iaià ,.ci 1913, qu«ndo si r.trova nuovamente iiii Val d’A'osta. Si traila di un vecchio fratello,
pieno di aociacchi. E' tanto sensibile al freddo, e la sua principale occupazione è quella di alimentare la
atula.. «Alla m a ultima vis-ttg - rac-txmiava mia. volta il (Chauvie - ebbi
1110 insieme, cerne sempre, un . breve
’ %-■
# ■ W* ■
■ jíR'.Saí-'»
Nor(3, a Biella, confa solita vasta
- ■
diaspora, olle comprende Pìedtcavailo dal bel teu^^o, che oggi runane ocione un monumento delio zeloi cvangelistìco e delia fedle delia passata generazione: Da Croce Mosso
giunge una volta una delegazione
Il Comitato di evangelizzazione lo
inandla per alcuni mesi a Napoli e a
Livorno, poi a La Salle, dove si dà
con entusiasmo giovanile all’opera
evangelistica in tutta la Valle di Aosta. I tempi volgono favorevoli, e
molte anime si aprono all’influenza
dell’Evangelo. Gli avviene di rivolgers. a folle di centinaia dii uditoli,
ma non trascura ì contatiti personali.
A Morgex evangelizza un vecchio cieco il quale gli domanda se nella vita
avvenire ci si potrà vedere. « Il suo
volto si illuminò tutto nell’udire che
anche i ciechi godranno nell’al dì là
d’ujna vista infinitamente migliore
dei migliori oodhji di questo mondo».
radice in sè, ma è di corta dorata».
Quante volte molti altri evangelizzatori hanno fatto la mediesima esperienza, e hanno potuto sottoscrivere
al med(‘SÌmo giudizio di Chauvie ;
« Sono persone spregiudàcate e che
simpatizzano con noi, ma manca loro un reale bisogno religioso che le
spinga a dire: Che dobbiamo fare
per essere salvali? ».
Pietro Chauvie non potrà mai fea>
mansi « InngiO nella stessa località,
li Coonitato di evangelizzazione tosto
lo chiama a Venezia, dia cui irradia
per portare in lontane località il
messaggio dell’Evangelo. Non gli
-mancano le avventare. Da Venezia a
^dìne sono 136 chilometri, ohe si
percorrono in cinque ore di treno, in
vagoni non riscaldati anche in pieno
inverno. Poi da' Udine si parte alle 7
del mattino per ferrovia fino a Spilinbergo, dove si giunge alle 10. All’una si riparte in carrozza per Tramonti, dove si giunge alle 7 dì sera.
Una volta attraversa un torrente portato sulle Tobnste spalle di un. giova»,
notto, per cui sì vanta di avere ormai
sperimentato ogni sorta di mezzi di
locomozione. Un’altra volt» la neve
cade così abbondante ,che il suo treno gicatge at Udine, anziché alle ore
Nel dicembre 1895 una giovaine di
Torre Pellice, Adelina Eynard, vie
ne a condividere le fatiche del sir
apostolato, e la casa di Vénezia è presto allietata dàlia nascita di una bambina. Ma la prova segue tosto la benedizione: il raggio di sole si spcgne, e non sì può descrivere lo strazio dei genitori. Però anche la prova non è senza benedizione. «La nostra casa sembra vuota e il nostro ouo^
re soffre, soffre .Ma nella nostra
grande afflizione ringraziamo il Signore che nella suoi mi'sericordiia si
fa conoscere, come un Padre amoroso».
Gli anni seguenti lo vedono in continuo movimento. Nell’inverno 1898
sostituisco il Pastore di S. Germano,
poi ritorna a Rievere, ma di quii va a
Vittoria durante un mese di estate;
poi ecoolo nuovamente a Venezia,
dove «tutto cammina al solito e colla
solita iiachetai vcneùana». Nell’aprile 1899 il (jomitato lo rimainda a Revere, che però non è che la base di
operazioni a largo raggio: Ciodisotto,
«campo molto favorevole all’Evangelo », Borgofranco, Ostiglìa, Nui^olato, (^uingentole, S. Giacomo, e altri paesi ancora.
perchè egli vada ad aouunz‘axe X i'--vangelo a quella popolazione. Danno tutto preparato: appene giungerà alfa stazione è previsto che la tiituda municipale si metta alla lest,i dei
corteo per accouqiaguare in piazza i>
Pastore evangelìop'l Questi tia coinp-ieao che si tratta eh sentimenti su-,
pruituUo ant clericali. ((Li persuado
a fare il meno chiasso possibile». ©
poi SI reca sul posto, dov© in -in cortile, aununzià PEvangelo a circa 3UU
persone attentei if rispettose.
‘ L’anno seguen^ vieii© inviato nel- ,
i’u^estre parrocchia di Frali. Qm la
popolazione è quasi esclusivamente
Valdese, però il| Pastor© sente sempre bruciar© l’ahticia fiamma evangelistica, e apprófittaudo del passaggio di una compàgnia di alp-ni, annunzia una convenza su «Giovanni
Calvino riformatóre». 11 tempietto d»
Frali SI riempie (ii soldati, e gii ufiiciali interrogano.!poi a lungo il Pastore.
Non passa molto tempo ctie Cliauvie (lev© lasciare» Frali per recarsi a
Verona e Breeci^. Ma eli qu. iiauiio
oisuguo di fui jiter iDeile missiuiu in
iscozia. E’ appena giunto v. Glasgow
(die una tieimeaaà notizia io raggiunge : sua moglie-e tmorente. Ulitorna lu
netta, a icmpo per raecogr-crne 1 estremo saluto e la preziosa eredità:
la ligli'oletta Elena. Ancora una missione ru Inghilterra, poi altro trasferimento a Rio' Marina, e altre missioni m Gr^u>Bìtotagna.
Nel 1911 lo ttovìaimo ad Alessan*
di'-a, con la solita vasta" diaspora,
eh© comprencb anche Pìetramarazzi.
11 Comitato dii evangelizzazione decide di modernizzarsi e di offrire al
suo ààpeudbnte mi> mezzo piu rapidio
di eomunioazioito. 11 Chauvie viene
quindi autorizzato, con molte cautele, a comprare... una bicicletta, ma
il Presidente gli precisa eh© (da bicicletta resterà- di proprietà diel Comilato ed jEtUa ne gvrà l’uso per la nia
culto, e dopo la prijghiera lo sentii
dire, come parlaudio a se stesso :
Questo è meglio del fornello caldo» !
Neìl'invcmo àcl 1919 viene di nuovo invieto alle Valli, a Maisscllo, ma
l’anno seguente, per la terza volta, h
di nuovo adi Aosta. E' qui (die gli capita, nel 1923, l’incidente di Nus, di
cui anche l’Eco delle Valli si occupò. ;Iii odio a una diecisione dei vescovo di Aosta, che aveva imposto
alla jiopolazione un parroco non gradilo, la Giunta Comunale aveva de
c so di far passar© tutto il paese ai
F.'otestantesiino. (Juanite volte gli evangeliz'zatori sono rimasti perplessi
davanti a dell© situazioni analoghe!
Il Chauvie riteneva che fosse doveroso rettificar© delle false impostajfio-ii meramente anticlericali, ma
che non si potesse mai respingere
l'invito a predicare l’Evangelo. Ma
eravamo nel 1923; la reazione clericale cominciava a farsi sentile in atto loco, e il movimento di Nus non
ebbe altro seguito clic alcmii articoli sui quotidiani (Je Milano e ella
Valle ¿(’Aosta.
Nel 1924 il Chauvie è nuovamente
nelle Valli, a Pramollo, dove, nei
1928 Io raggiunge l’emeritimoiie.
Ma, dotato di una oostituzione fis ca
eccezionale, offre ancora un aimo- di
lavoro al Villar, poi due anni nella
natia Angrogna, e qui, malgradb i
suoi 72 anni non esita a faro ripetutamente il giro estivo delle baite alpestri, dall’Infernet a Suiran e la
Sella, per scendler©, dopo un pernottamento in (pialche fienile, a Pradeb
tomo.
Dal 1930 egli non dirige più un,a
chiesa, ma per 18 anni ancora, fin
quasi alla fine, egli continuerà a sostitu-re 1 colleglli nelle predicazioni
domenicali, e sopratutto a visitare i
vecchi e gli ammalati.
A Bobbio, assistito dall’affetto della figlia e dii due iiipotinii, il 20 luglio, egli udivmfinalmente hi paiola
: «B
Lauto attesa
del servitore».
ene sla, buono © f©
Cosi è partito questo servitore di
Dio, lasciando in noi -1 rimpianto di
vedere rimpicciolita quella schiera,
troppo piccola, dii Pastori ineriti,
che ' hanno ancora tanto da dir© alle
generazioni più giovani. >
Pietro Chauvie apparteneva a
quella categoria di montanari Valdesi, i quali, non immemori delle
grandi tradròioni dtel loro, popolo,
sono scesi dalle loro alpestri parrocchie, con un solo, grande ideale.
Nell’autunzio 'dello stesso anno
l’appello «passa da poi e soccorrici»
gli giunge da Siracusa, dbve si stabiliaoe, jjec oooupaziai anche di Flori
spora di .^^essaiiMria». Amebe qui i ' Possa il mantello'd^ profeti e dbgli
frutti non mancano. C^è, per esetn- apostoli essere raccolto dki giovani;
pio, unar ;poveite oOkUb di 75 anni, poseano i nostri cuori accendersi del
sorda e cieca fi eoo van altri malan- loro ideale e del ]o|:o zelo,
ni. Gridaid» voc© si riesce ' ^Roberto Nisbet
L’inaugurazion^ avrà luogo H 1.0 agosto
alle ore 10,30 in piazza dolila libertà, col
oevimeato deUe Autorità e un concerto deli
Banda c'ttad'ina. Seguirà te visita alle due ’
Sezioni de-ila Mostra. Nel pomeriggio, alle
ore 16, nel Teatro Trento, il Sindaco d
Tino, dott. Coggiola, pronunzierà il discorso 'fM:
inaugurale. Seguirà un vivace spettacolo di' '¡¿7:
canzoni e di danze' del vecchio Piemonte, '
Valligiiane
diet a
.svo’to dalle G‘'acomette e
Famiglia Turineisa.
LA MOSTRA CENTENARIA VALDESE. '
La Mostra Centenaria deiWa stona e delte
V ta del .Popolo Và.dtee sta attivamente preparandosii nei íocaij della Casa Uniicnista e
del Coiegio Valdese.
Nel prossimo numero ne daremo 1 pariMM»-.
Jari. Essa fin d’ora risulta interessantissima.- ■
Lina-ugurazsone avrà luogo nel pomeriggio dola domieoica. 8 Agosto, con un discorso iraugurale, coni fololoristìci, e nella serata,
■ una 'grande fia'iKoliata con imanifestaziom giovan'lli. Il progiramma <x«mpl©to sara 'pubblicato nel prossimo numero.
ZXìrezione: Via dei Mille, 1 - Pinerolo
Telefono 409
Amministrazione: Via Carlo Alberto
1 bis - Torre Pellice
Dir, Resv- Ermanno Rosian
ARTI GRAFICHE "L'ALPINA,,
Torre Pelliee
Dopo una lunga esistenza interamente dedicata al servizio del Signore, c entralo
nella pace della vita eterna
PIBIRO CHAUVIE
Pastore Valdese
Ne danno il doloroso annunzio la figlia
Elena ved. Geymonat col dileth nipotini
Ada e Cariacelo c i parenti tutti. — Ringraziano puanti hanno dimostrato loro simpatia in (¡uesta dolorosa circostanza. In modo pedale il Pastore A. Ricca, i sigg. Pastori che hanno cosi affettuosamente ricordato l'opera svolta dal loro Diletto, il Dott.
Fonio, e i ■vicini di casa.
Bobbio Pellice, 21 liu'gjuo 1948.
«Beati i morti che da ora innanzi
muoiiono nel Signore'... essendo che.
si riposano dalle toro fatiche : poiché
ile loro opere li seguono».
(Ap. 14 : 13).
HENRI FERDINAND PEYRONEL da
Trussan iRiclarettojet sa fiHe IDA LEGER
avec sa famille, et tous les Parents font part
à leurs amis et connaissances du décès de
leur bten-aimée Epouse et Mère
PASCAL
ALINE PEYRONEL ved.
/
Le service funèbre a eu lieu à Vtllesèche
le 20 juillet 1948.
Dieu n’est pas Dieu des morts, mais
des Vivatiits. (Luc. 2^: 38)
Ceux (}Uii auront été intelligent brilleront comme la splendieur du Ciel.
(Dan. 12: 3).
oimm-iiiio-ioii
II dr. DANIELE nOCHAT
visita a TORRE PELLICE
tutti i venerdì dalle
10 alle 12 presso il
dr. Gardiol Tel. 77
a TORINO gli altri giorni
L» gli
dalle 14,30 olle 16,30,
presso l'ospedale vaivia Beilhollel 36
dose-