1
Soìxante-dixième année - Anno XII".
29 Join 1934
N® 26
S
8
Spett
PRIX D'ABONM£MENT: Parlant Ponr 6 mois
Italie et Colonies italiennes...................L. 10,— 6^_
Etranger . . . . . . . . , . » 24,— 12,—
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On s'abonne: à TorrePellice, au Bureau d’Administration de VEcho(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez AlM.>Jes Pasteurs.
HAQÜB VENDREDI
UVI\^tiiit5ÌÌ
L'ABONNEMENT SE D'AVANCE.
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Tous les changements d’adresses coûtent ifo centimes, sauf ceux du comméncement de l’année.
Le numéro: SO centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..,^, .d^es de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
8
U
3
POÜR M ?IE IN'fifilElIfiB
/
« Notre Père, qui es lux {¡îeus ».
Mattmeu fl, 9.
La légendie riaconte qu’aviaw la vioatue
pi«r:
de Jésus on trouva une,
dejux mots : Dieu est... ,iA «
Juifs ajoutèrent ; Loi ; les G
les Eomains : Force ; Jésus
^ :ü nt
Père :! je contemple la,
est, mdi ddute, le Créa
charme des forêts et d'
océajis et des étoiles,
glantes et les atrocités
gravée de
dû esi », lies
; Beauté ;
Père.^
vow
lire dont Dieu
r. A côté du
prairies, des
les luttes sanouîes (les ani
maux s’entre-tuent et f entre-dévorent) ;
voici d’effroyables cayalysmes (avalanches, inondations, trempemients. de terre);
voici, en un mot, la saffrance et la mort
qui me ,déconcertent/ Aveugle, sourde,
muette, la nature m’atire et me repousse,
m’enchante et me.toipniente, mais no' me
révèle, aucunement 1/ paternité de Dieu.
« La nature injterngée . impartialeinent
reste un sphinx. Saipuissance et son immensité éveitUenit l^djoration, sa beauté
nous ravit ; son iaiherience nous décon
certe, sa cruauté silncieluse nous accable
•ou nous révolte ».
Père ! j’interroge Ihistodre: et il me semble de découvrir và marche progressive
de Phumanité, un/ ohientation générale
. vers le Dieu... ; .uais soutdain tout retourne à la barbaie, tout s’effondre dans
une guerre moni»le.
Un dhservateuf superficijel peut voir
dans rhistoire de principes de justice et
d’amour... ; maisiue de guerres criminelles, que d’injuices révoltante, quielle
impunité du crbe, quel raffinemenit et
quel triomplie. dl’iniquité, qqei de larmes,
que de sang ! Q .voir, dans tout cela, la
trace die Dieu ^ surtout de> la paternité
de Dieu ?
Père ! j’écoutp voix dé ma conscience ;
héllas ! (ele ne prie que de la justice de
Diéu. Elite réye le Dieu du Sinaï qui
«punit l’iniqite des pères sur les enfants, qui nov condamne inexorablement
parce que Wgresseurs de la loi morale et qu'ffaut apaiser par l’offraude
des fruits terre, par des sacrifices
sanglante ».
«t siMie
5t n’était ni aveugle (il
dues de la nature), ni
ait tes gémisBemente de
insensible (il eût connu les
dé la conscience si te péché
l’eût effleife). C’est Lui, le Christ, qui
révèle Dm te Père. « Notre Père^ qui es
Père ! te
voyait tes
sourd (il
l’histoire), j
déchiremeï
J».
jh Dieu, te Père, notre vie in^
; coltective a un sens et uln but.
ni .une farce Ai une énigme;
ni te produit |dlu hasard
de la fatalité. Issus du Père;
nous vifs sous la protection du Père et
marchoœverS la maison du Père. Fatigués deudstence qui se déroule dans une
moneto/ successddn ide joies et de douleurs, .1^ piar la fatigue et accablés par
le déUiiéUB aspirerions au néant, si Dieu
n’étai^ «notre Père». Partagés entre
te bteft 1® mal, nous cesserions de lutter
et no/ nous abandonnerions au courant
4.
de toutes les passions si te Père' n’étajt
pas là.
Malgré tout, nous combattons et espérons même contre espérance, parce que
nous en avions la conviction inébranlable :
où que nous soyons, qui que nous soyons,
nous pourrons toujours dire comme Itenfant prodigue : « Je me lèverai, j’irai vers
mou Père ! ». AiB. R.
Les roueries de Satan.
C’en est une de ses roueries de persuader les hommes qu’il n’eXiSte paB.
Le mial dans te monde on ne peut pas
te nier ; mais, sans recourir à une ajcfion
diabolique, on est à même de l’expliquer,
nous dit-on, par une faiblesse connatur
refile des créatures humaines, par une
maladie épidémique, voire même par une
appréciation gradueOJte ou un contraste
apparent entre cé qu’on appelle mal et
bien.
L’existence ijersonneUe de Satan est
clairement ensteâgnfe idans les Sainte-Ecritures et nous nous dispensons d’indiquer,
ici, les très nombreux passages qui s’y
réfèrent.
Pour ceux, même, qui ne reconnaissent
pas 1 autoriité dé la Révélation, il y a moyen
die S’en persuader, pour peu qfu^ils veuillent et sachent analyser tes pensées et te
sentiments qui s’agitent en eux, et découvrir les mobitesi dé feurs actions.
Qui est-ce qui n’a pas été surpris, à
certains moments, de "trauver en son esprit des pensées qui le traversaient conrme des éclairs, dont rien- ne justifiait la
presencie, car efies n’étaient ni te fruit de
ses préoccupations, ni de sa conduite habituefie ? C étaient des pensées troublantes qu on n aurait jamais voulu avoir,
qu’on aurait eu honte de révéler à qui
que ce soit.
Et qui a provoqué cette lutte intérieure
entre tes protestations de la conscience et
te suggestions malignes qui voudraient
nous pousser à commettre itte actions que
nous sommes les premiers à reconUaitre
comme mauvaises et condamniables ?
Qui est-il donc ce second personnage en
notre moi qui insinue, discute, persuade
eL hélas! trop souvent l’emporte sur notre éducation, sur nos principes, sur notre
volonté, si ce n’est l’adversaire, notre vieil
et grand ennemi, qui prend place en nous
et Sfeld dans te conseil de notre vie ? Ses
ruses sont si subtiles, qu’au mom^t même
où il nous pousse sur la pente glissante
de la faute, il nous persuade que nous
sommes, quiand même, nos maîtres, seigneurs de nos déstinéesi, et que loin de
céder a une tentation diaholiquie, nous ne
faisons que suivre la loi naturelle, de nos
instjnçts, que nous dönner une juste .ssr
tisfaction à des nécessités physiques op i
psychiques qui sont en nous et contre lesquelles fl serait folie de vouloir réagir !
Des raisons plapsiblee, des -excuses valables pour.tout ce qui concerne nos déteminations, voilà ce dont Satan nous
fournit copieusement.
Pour fllusbrer cette thèse s’ouvre die»
vaut nous un champ illimité dè démonstralfaons, ^fournies par la conduite de chaque homme, soit dimis sa vie privé© qu'en
celle sociale:
Nous nous .restieîndraDS, aujourd'h.'ui,
à ce qui regard© la conduite de personnes
qui professent te christianisme évangélique
etripius spécialement à ce qui touche leur
libéralité, dont nous nous sommes occupés
dans dieux articles précédents :
. Le Pasteur de X a prêché. Un vir
hfiant sermon de charité, comme c'est la
iutume d© l’appeler ; l’impression a été
tende, teflement que le frère N. N., r©‘assez dur à la détente, ©n a été
éfeilanlé ; sa main s’est insensiblement glissée vers son portefeuille, mais à ce montent une idiée traveiise son esprit, soufflée fl ne se rend pas très bien compte
d'teù : « Vas-tu faire le généreux eU' prermfre ligne, tandis que tant d’autres n©
font pas leur devoir ? en te rignalant de
1^ .sorte ttu vas encourager la chicheté d©
tous ces avares ; tu a,uras toujours Je
temps de faire ta palrt, quafud ils auront
flkit la leur». La maini est retombée du
Efirtefeuflle au goussset, où il tient te
gte sous et ce sont ceux-ci, qui pour le
quart d’heure, donneront la mesure de sa
hhé^iité.
f- Dans sa tournée, te diacre coflecteur
arrivé chez la sœur ***, qui fiaccueil©
un sourire des plus engag^ints ; elle
^uite d’un© mine recueilie toutes te
^‘nées qu’fl lui fournit sur Tétât du bilan
I l’Eglise et sur Turgient besoin de cornsr 'Un .Jourid (déficit ; pieinement persuase dit que cette cause mériter
toute sa sympathie, iïïte s’est levée pour
aller, au tireur chercher son offrande, qui
sera généreuse... ; mais -voilà que chemin
faisant il lui traverse Tesprit qu’on va
rabaisser le traitement de son mari, qu’elte
n’a pas encore pourvu tous ses enfants
de vêtements nieuffs pour la saison, qu’fl'
lui faudra renouveler quélques pièces de
son mobilier, qu’elo-même devrait, pour
ne pas braver la mode, refoumir sa garder
robe; en résumé, effle se dit que, dans
réchefle des devoirs, ceux en-vers ^ fa:mifie doivent passer avant tout; Dieu
voit bien dans son cœur qu’elte ne veut
point être ni eltíche Ai Roiste. Si Dieu
a dit : « Pendant qu© nous avons l’occasion
pratiquons le bien envera' tous et surtout
en-vers tes fr&es en la foi » (Galates VI,
10), c’est encore Lui qui nous dit, par la
plume du même Apô-tre : « Si quelqu’un
n’a pas soin des siens et principalement
de ceux de sa.lfaïniEei fl a renié la foi et
fl est pire qu’,un infidèle» (1 Tim. V, 8).
üle ne s’arrête pas à considérer la portée
©t l’étendue: dans son, application pratique,
de cet : « avoir soiU» ; il faut s’y conformer de toute manière, et cela' suffit pour
la faire retourner avec une petite monnaie dans la' main et Tfllusoire forarule sur
te lèvres : « C est -tout ce dont, je puis
disposer » !
N’est-ce pas le père du mensonge (Jean
VIII, 44) qui lui a fait changer de résolution et qui lui a suggéré une aussi plate
que dou-teuse excuse ?
M. 1© Pasteur s'e^ uendu en personne
pour retirer une souaraription annuelle
chez son iparoissiien Y., riche rentier, qui
à lui seul pourrait mettre à flot le budget
paroissial. R n’a pas eu le temips de s’informer de sa santé qu© l’autre s'écrie :
<«Ça va mal, de mal «i pire: sous tous
''les rapports!». — «iMaiSi repreînd le visiteur, vous avez bonne mine et semblez
‘ fort gafllard' ! ». — « Les apparences trom
d
i pent, M. le Pasteur, et voyez, c'est tout
'IK'
comme pour mes ressources : on me croit
riche, parce que avant la guerre je Vêtais
pas trop mal ; mais depuis tout a quintuplé, comme dépense, et tout dirninue, comme entrée, vu la crise financière. On est
éora^ d’impôts de toute sorte, on est -taxé
pour une foule d’œuvres du .Régime, enfin,
croyez-le, c’est avec regret, mais je dois
réduire le chiffre' de l’année dernière».
■—,« Vraimelnit ?, reprend te Pasteur, vous
m’avez dit les mêmes choses: Tain dernier,
lorsque je vous avais engagé à augmenter
votre don, comme l’ont fait phisfeurs rnernf
bres d’éghse: moins bien partagés qu©
vous. J’ose espérer que vous n’ailtez pas
donner ;un exemple, qui pourrait être fort
nuisible à nos nrngres ressources». —
Après avoir hésité un moment, Y. dit, à
octotre cœur : « Pour cette année je fais
un effort et ÿe souscris comme avant; mais
qu’il soit bien entendu qu’on ne -viendra
plus me demander d'augmentation ».
Le Pasteuir sort en soupirant, et se dit
une fois de plus : « Comme Je diable est
roué! il suggère à ses -victimes une menace de idiminution pour s’exempter d’accroître quelque peu leur libéralité envers
i’Eîgilise. Il n’y a pas à dire : la première
économie on veut Ja faire sur la cause
du Bon Dieu!».
— Dans la saJl© de réunion d’un groupe
de jeunes gens chrétiens, des deux sexes,
il y a discuBsion sur la libéralité chrétienne Doit-ele être pou^jé© jusqu'au sa«
crifice ? Que doit-on entendre par c© mot
si usé et abusé ? S’agit-il de s© pri-ver
même du nécessaire'ou simplement du superflu ? Î3t q-ui décidera ce qui est -vraiment tel, si ce n’est chaque individu, dans
son cas particulier ?
Un des sociétaires s’en appelte à l’eni.
seifenement de l’apôtre Paul, qui écrit à
Timothée : « Si donc nous avons la nourriture et tel vêtement, cela nous suffit»
(1"'® épStr© VI, 8).
«Très bien, réplique un autre: il y a
manière et manière de se nourrir et de
se vêtir, luxueusement ou modestement ;
tel dépense beaucoup pour sa tabte: tel
autre pour ses toileittes, de sorte qu'il
leur reste peu ou rjen du tout pour la
bienfaisance ».
« IMais, ajoute un troisième, le pir© c’est
que pour la plupart nourriture et vêtement n© suffisent pas ; la'jeunesse surtout
prétend des amusements coûteux, caresse
des plaisirs que Ton qualifie d’inoffensîfs,
maÎB qui' ne te sont pas pour la bourse ;
aussi, quand on les a satisfaits, elle est
vide au moment où il faudrait faire la
part du Séiigneur ».
« Mais, enfin, s’écrie une hardie et fraîche recrue, on n’est jeun© qu’une fois dans
la vie et en général ce n’est pas Tâge des
gros gains ; te peu dont on dispose ne peut
être rogné pour des contributions d’église
qui regardent les parents, te gens plus
mû'ra; laissez passer la jeunes et puis
on avisera plus tard à ce qu’on peut faire ».
Du fond de la saille s’éleve une voix
humble mais ferme, c’est celle d’un jeune
ouvrier : « Mies amis, dit-il, tous les hommes, et nous les jeunes plus facilement
encore, faute d’expérience, laissent empoisonoier leur entendement par un enuppii,
qualifié de « Menteur » par , Jiésus, qui,
avec une -habileté consommée, les persuade
que la bonne chère est iAdispensable au
maintien de leurs forces ; que les habits
a la dernière mode (si extravagante: saugrenue et coûteuse soit-elie), sont tme né^
1
2
fit:'
L’Echo des Vallées *- Vendredi 29 Juin 1934-XII
ceasité sodiaJe pour ne pas ae singiii1ari]HAr
et pour faire sa route daps tes miiliftiiT
qu’ils doivent fréquenter ; que se montrier
indulgents à dief petits plaiairs annHins^
même s’ils nous tyrannisent tant soit peu,
c’est peccadlffle qu’on i>eut nous pardonner. Lorsque ce pMtre de Satan agit, on
désapprend ce qu’est « siaorifier » pour Celui' qui s’est sacrifié pour nous, on ne saïunait renoncer à qrioi que ce soit ; l’égoSsme
a suffoqué l’amour ! ».
Coiitre les roueries de Sa,tan il n’y a
qu’une voie pour s’y soustraire, et c’est
de redonner à Jésus-Christ la place prédominante dans notre vie. Sa voix fera
taire celle die l’adversaire, son exempte) dissipera tes hallucinations trompeuses de Satan, son esprit nous inspirera les sacrifices de te, charité ; car nous nous demanr
derons, fois par fois : « Qu© forait Jésus
dans le cas présent, s’il devait répondre
à notre place à l’appel qui vient d^être
déposé sur notre conscience ? ».
Puissions-noius aivoir souvient, pour notre propre compte, te vision de la victoire
dont Jésus fit l’expérionce, pour œ qui te
regardait, aux jours de sa diair : « Le
prince de ce monde' ne peut rien sur moi »
(Jean XIV, 30). Ao Mn.
£($ Groupes d’Oxford.
Gerœtvhia, te' revue fondée par M. Mussolini, publie, dans son numéro de mai,
sous te rubrique : « Chroniques de la periy
àée rdigieuse un long iirtiicle sur tes
Groupes d’Oxford.
L’artMe, signé « Fermi », est dû à
une personnalité bien connue de l’Eglise
Romaine.
L’auteur rappelle d’avoir consacré une
étude, l’année passée, à un autre mouvement d’Qxford, avec Pusey, Keble, Newman, qui aboutit à uni rapprochement de
quelques membres reprfeentatifs de l’Eglse Anglcane à Rome.
A la distance d’un siècle, voilà un autre
mouvement, qui, commencé il y a vingt
ans environ, s’impose à l’attention du
monde.
L’idée remonte à ÎM. Buichman, un pasteur luthérien établi en Amérique, d’où
te mouvement est passé en Angleterre et
plus précisément à Oxford, qui lui fournit quelques centaine d’adeptes entre
professeurs et étudiants.
Cambridge et d’autres centres universitaires ont donné aussi leur contingent.
Le prof. Grensted, de rUiniversité, affirme que te première expédition de sept
étudiants, dans l’Afrique du Sud, suscita
un intérêt national, et obtint des résultats durables.
Et il ajoute que les mêmes résultats ont
été obtenus l’année passée, tant au Canada qu’aux Etats-Unis, avec un réveil spirituel dans lœ églises et dans le inonde
des affaire.
Il ne s’agissait pas de créer de nouvelles
sectes et de nouvelles sociétés; on visait
tout simplement à réanimer ce qui existait déjà. L’impression fut énorme et le
premier Ministre du Canada déclara publiquement : « J’ai te ferme conviction que
la mission que vous accomp,lissez avec tant
d'ardeur est la seule iqui puisse sauver te
monde ».
Quel est te but que poursuivent ces jeunes gens ?
Tout d’abord de revivre personnellement
un christianisme pur et intégral, à l’empreinte évangélique...
Leur morale se réduit à quatre principes : honnêteté absolue, pureté, pas d’égoïsme, l’amour du prochain.
Que leurs intentions soient sincères, on
en a des preu44s dans les faits suivants :
les adversaires ne les ont point encore
accusés d’hypocrisie ; tes adeptes ont réellement changé de vie ; les biens extorqués
ont été rendùs ; dans les familles des adeptes régnent te fidélité et la paix ; te tromperie et De mensonge sont bannis des affaires ; dans te vie de société point de luxe
ni gaspilteige d’argent; te tempérance, te
travail, le respect de la femme, sont des
règles qu’on ne discute pas.
C’est aimsd que les Groupes et leurs
membres comptent r^dre un t&noignage
eflScace de la religioa qu’ils professent. '
Les jeunes brife'ades se dispersent toutes
1^ années par te monde : en Europe ellee
ont visité, en dehors des Iles Britanniqu'es, la France, l’Espagne, te Hollande,
FAUemagne, te Suisse... Elles ont parfois
rencontré une curiosité malsaine, des critiques sévères, des hostilités plus ou moins
voüéœ...
L’auteUr explique ensuite le procédé dœ
réunions, ou dans des locaux de culte ou
dans des maisons privées. On commence
par un moment de recueillement, , qui a
une grande importance pour préparer
l’esprit...
Suit ce que l’auteur appelle erronément
conifesdon publiqm, mais qui n’est que te
témoign,age de la puissance de l’œuvre du
salut qui transforme te vie.
Les adversaires n’ont pas manqué de
relever quelques dangers : possibilité d’exagérer laj confiance d’être guidés par Dieu,
par le moyen d’une lumière intérieure, de
ghsser vers le sectarisme. Suivent des
appréciations de journaux et d’hommes
représentatifs.
Le rév. James Reid écrivait dans le Everdng News, du 10 octobre 1933 : « Ma première impression fut peu bifenveiltente. Il
y avait beaucoup de choses qui ne m’allaient pas... Mais, malgré ciela, un fait
s’imposait : dœ existences étaient transformées. On renouvelait l’expérience authentique de la conversion. Dieu redevenait une réalité, après avoir été un nom.
Et tout cela par un moyen, inconnu à nos
églises : par te' témoignage personaiiel. Des
personnes de toutes conditions mettaient
à nu leur conscience.« Quelles transformations !
« Les inconvénients sont inévitables. Mais
que nous dit ce mouvement ? C’est un
mouvement évangélique, qui pour beaucoup transforme l’action de Dieu en un
fait vivant...
« Leur méthode est très simple ; la transformation db te rie révèle l’action de Dieu.
Pas n’est besoin de syllogismes. Pour trouver Dieu on doit être absolument honnête
avec soi-même et considérer sa propre rie
à la pure lumière des vérités chrétienmiéei
Qette méthode est décisive... On ne peut
bien vOTe que si Ton marche sur te voie de
Dieu. C’est le principe fondamental dé la
rieligion et tes Groupes s’y tiennent hSien
ancrés ».
Le Times du 3 novembre publiait trois
lettres des évêques de ¡Manchester, Oxford,
Rochester, qui reconnaissent loyalement
le réveil produit par les Groupes.
L’auteur cite aussi La Luce du 27 décembre 1933.
Pour donner une idée du sérieux de la
chose, qu’il suffise de diriei qu’une réunion
fut présidée par le Lord Mayor de Londres.
De nombreux catholiques sont devenus
adhérents, car on n’y fait pas question de
rites et de dogmes : le but des Groupes
est de raviver la vie chrétienne.
Le Saint-Siège n’a pas donné son avis
sur ce mouvement...
La presse catholique sérieuse a traité
la question avec sérénité et avec sympalthie.
« Nous, catholiques, pouvons déplorer
qu’une si vigoureuse initiative, dan« l'intérêt ide Tidéal chrétien, soit entreprise
hors du bercail de notre église; mais il
est important de l’avoir créée... Nous pouvons aller à sa rencontre non seufement
sans crainte, mais avec une sincère complaisance, car elle accomplit, à sa manière,
une œuvre merveilleuse».
« « «
Voilà l’article librement traduit et résumé dê Oerarchia sur les Groupes
d’Oxford.
L’esprit idans lequel il est rédigé dénote
dans Tauteuir une personnalité supérieure.
Il est en outre bien documenté.
« Nos grands quotidiens ne leur (aux
Groupes) ont cansacré que qitelques abusions sommaires et distraites».
C’est ainsi que commençait M. Fermi :
ceux qui lisent Gerarchia seront bîén
mieux renseignés sur un mouvemenit dont
tout le monde entend parler.
***
Le livre : For Sinners ordy {Pcm les
péchmrs seulement), qui est l’expression
des Groupes, paraîtra bientôt en langue
italienne.
Monsieur CHARLES-ALBERT TRON, Patteur émérite
né le 9 Septembre 1850 — décédé le 18 Jun 1934
Nos lecteurs qui ont connu M. C. A. TRON — et iissont nombreux —
seront heureux de trouver ici une de ses dernières phototraphies, qui Tèïïr
rappellera au souvenir ce serviteur tout consacré à son mhistère spirituel et
social, avant d’être appelé à glorifier Dieu dans une longue hïirmité et par de
grandes souffrances qui lui étaient réservées pour les dernièes semaines de
sa vie terrestre, mais qu’il supporta vaillamment grâce à sa fci vivante et à
la communion intense avec son Sauveur. Cette fidélité jusqu’aibout est certes
une consolation pour M.me Tron Golay Perréaz dans la grandeipreuve qu’elle
traverse à cause de la perte douloureuse qu’elle vient d’éprouv&en la personne
de son bien-aimé mari. T
M. C. A. Tron rappelait fréquemment ces deux affirmatioâs dé l’Apôtre:
« Christ est ma vie et la mort m’est un gain ». «J’estime qu’il ’y a point de
proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à^énir».
Djr.
Madame TRON remercie toutes les personnes qui ont bien vouhml témoigner
leur sympathie. |
F. G. V.
Convegno de Massel.
Dimanche, 24 juin, Massel éta,it le rendez-vous d’un bon nombre de jeunes gens
et de jeunes filles, qui s’intéressent aux
choses sérieuses.
Le matin, culte de circonstance, dans le
temple bondé. Le pasteur de la paroisse,
doct. Albert Ricca, dans un discours vibrant, trace le tableau du soldat de JésusChrist, en montrant ce qu’il ne doit pas
être. Quand il idescenjd de te chaire, te pasteur dei Pramol, ÍM. H. Rostan, le remplace
pour nous .décrire les vertus piceitives qui
doivent caractériser le soldat de JésusChrist.
La nombreuse assemblée, formée de jeunesse surtout, a, suivi les ideux orateurs
avec la plus grande attention.
L’après-midi, réunion en plein ait, à
l’Envers, sous tes grands mélèzes.
La réunion est présidée par 1© chef de
groupe, M. Jean Tron, de Rodoret, qui
lit quelques passages bibliques et invite
M. Henri Tron, de Saint-Germain, à élever à Dieu un© prière. La parole est ensuit© à Ml Guido Mlafthieu, de ViUesèche,
qui parte de l’important sujet de te conversion. C’est une étude profonde et fouülée qui nous fait examiner la conversion
sious tous ses aspects et où la partie théorique se fond avec celte pratique.
'Suit une discusión, mais Tassistance ne
parte pas beaucoup, et nous ne saurions
te regreibter, car il est un domaine de
T âme qu’on n’aime pas à étaler devant te
public.
Le prof. Gino Costabdl traite un sujet
pratique en parlant du travail. Le discours est suivi d’un aimable entretien et
Ton discute quelques points particuliers,
entre autres, si le travail est une malédiction ou ime bénédiction.
M. Henri Tron, de Saint-Germain, profite de l’occasion pour saluer affectueuse
LE COLLÈCL
Année après année, un déit considérable grève sur le bilan die nre Institut
d’instruction secondaire. Le puic vaudois
et surtout ceux qui ont accomp leurs études à La Tour, sont priés dee pas oublier 1© Collège dans 1a réptitîon de
leurs dons.
Une collecte est ouvert© : te (mmàggì^n
nommée par la Table lance sc appel à
tous les amis de l’instruction.
Adresser : Commissione « Pr Colfecio
Valdese» - Torre Bellice.
D<ms reçus:
Coniugi Boldrini-Gay, Torino L. 50,_____
Ctemm. ing. ¡Massimo Peltegrinî »1000,'_
Sigg. Fernando Pellegrini, Emanuele Rivoiro e sig.ra Cléan
the Rivoiro » OOO,__
Prof. Arnaldo Malan, Torino » 500,'___
Prof. Slürio Pons, Firenze, piàa
Carteflla dei Prestito Naziiœ
nate ai 5 %, valore nominale » 00,—
ment le chef de grupe, M. Jean Tron,
qui, répondant à Tape! de la TaUé, se
prépare à traverser Tcéan pour aller exercer son ministère pami les Vaudois du
Sud Amérique.
M. Jean Tron réméré et dit que c’est
avec le plus grand régit qu’il laisse une
œuvre qui lui était partiulièrement chère:
l’œuvre parmi te jeunee qu’il a beaucoup aimée et pour teqrie il a beaucoup
travaillé. Il demande qim le suive dans
son nouveau champ de tivail, par la sympathie et par te prière
Après te chiant d’un antique, la jeunesse s’éloigne, pour .alieiau Petit Passet,
où une jeune fille infirmieera égayée par
une aimable visite.
® ^
La belle réunion terme par ,im thé
bien garni, offierti.par TUén de ¡Massel,
dans la salle du Reynaud.
Une averse a causé unpeiu d’inquiétude, mais averse et inqutude ont été
passagères : la journée a éthoinne à tous
les points de vue.
3
L’Echo des Vallées - Vendredi 29 Juin 1934-XII
CHRONIQUE VAUDOISE
MTI DEMOGRAFICI DELLA PROVINCIA DI TORINO.
Nati . . Morti . . Mese di Aprile : Capoiuogo Resto Provincia . 632 647 . 672 539 TOTALE 1279 1211
Diminuzione popoiazione 40 aumento 108 aumento 68
Nati . . Morti . . Diminuzione popolazione Mese di Maggio : Capoluogo Resto Provincia . 639 633 . 649 483 TOTALE 1272 1132
10 aumento 150 aumento 140
COMUNE DI TORRE PELLICE. STATO CIVILE dal 18 al 24 Giugno 1934-XII
Nascite N® 3 — Decessi No 4
PONS REÇUS
Fiori in mernoria del veneranido pastore
emerito dott. comm. Carlo Alberto Tron,
Qéanthe e Emanuele Rivoiro, a favore
della Chiesa di Massello (riparazioni al
tempio), L. 100.
Per TAsilo dei Vecchi di S. Germaho,
fiori alla shnta memoria del comm. C. A.
Tron : le pendonianti del Villino « Fède »
(^g.re Nina Roedel, Giuseppina ved. Jahier, J. Coujrtial, Marta e Stasia Stekeil,
Riva, coniugi Camera, sig.ne Frida Haienni,
Selli, Clementina Jouvemal, sig. Gherber),
L. 110 - Susetta Volle, Bobbio Pellice, 15.
^
LA TOUR. Nous avons eu deux nouveaux départs pour le voyage qui n’a pas
de retour, dieux jeunes personnes que Dieu
a rappelées idie ce monde, alors qu’elles auraient désiré continuer à remplir leur
tâche qui ne leur semWait pas encore terminée. Lei Seigneur en a jugé autrement
et nous le prions qu’il donne à ceux qui
lœ pleurenit la force d’accepter avec confiance et soumission sa volonté, qui peut
lêtre mystérieuse mais que nous savons
bonne. M.me Mangtimite Meymt née Ribotta, ides Servières, âgée de 22 ans, qui
est décédée peu après avoir donné la vie
à son enfant, que nous idemandons à Dieu
-de vouloir garder pour qu'il soit un rayon
de soleil dans la (nuit du deuil où sont plon:gés l’époux et les parenta — M.ie Anka
Messina, file de feu le paSteur Messina,
qu’une maladie que la science n’a pas pu
vaincre a fait succomber, malgré tous les
soins dont eie a été constamment entourée, à l’âge de 23 ans. Que Dieu console
la maman, la sœur et les parents dans
leur grande épreuve.
La cliaire du temple neuf sera occupée, dimanche matin 1er juilet, à 10 h. 30,
par M. Alfred Janavel, candidat en
théologie.
— Dimanche prochain, l®r juillet, à 16 h.,
â IfAula Magna^ les enfants de l’Asile d'enfance donneront leur saggio habituel de
fin d’année scolaire. Tous ceux qui s’intéressent à notre Asile, les amis et bienfaiteurs, y sont cordialemienb invités.
— Les garçons admis à la cure des bains
à Borgio-Verezzi partiront le 5 juillet prochain ide la gare de Lnserne Saint.-Jean,
où-ils doivent se trouver à 5 h. 15 du matin. Qu ils n’oublient pas de porter avec
eux le certificat du Docteur déclarant qu’ils
ont eu la âmAxième injection — au moins
— du vaccin antidiphtérique.
— Après uhe bonne activité de plusieurs
mois, YÜnion des Mères s’est accordé un
plaisir bien légitime et des plus bienfaisants : une course en car à Sestriêres.
A 7 heures diu matin du dimanche 17
juin, une quarantaine de mamans se trouvaient réunies devant le monument Arnaud, et bientôt occupèrent toutes les pla'ces disponibles du car. Elles avaient eu la
bonne idée de demander à M. Jean Jalla
de les accompagner. C’est lui qui leur tint
le culte, à Sestriêres, et qui' rendit la
course des plus instructives iiar les faits
historiques, qui eurent pour théâtre la
vallée du Pragela, et qu’il' sait raconter de la façon intéreæante que nous lui
connaissons.
Ajoutez la beauté de la vallée, diflférenlte de la (nôtre, un jour radieux, la campagne à ce moment couverte d’une rùiie
flore en pleine floraison, et puis, grâce à
Dieu, pas le moindine accident, ni incident,
et vous comprendrez toute la joie de nos
mamans pour la belle journée passée dans
la pluB parfaite harmonie et dans une
vallée que plusieurs d’entre elles n’avaient
pas encore vue.
A M.me Ida Jala, présidente de l'Union,
qui avait si bien organisé la course, toute
la recoimafeanice des mères. j. t.
— Un retenir d’Amérique. M. le candidat Alfred Janavel, de la Ravadera, après
ses trois ans de théologie à Rome, vient
d’achevea* une année académique complémenitaire au grand Union Theological Seminctry, de Nev-York, et d’y subir victorieusement les examens généraux de la
Faculté (en anglais) et d’obtenir le grade
de 'Bachdor of Divînity.
Nos cordiales félicitations !
M. Janavel vient de rentrer au pays.
— Le Collège. - Elèves admis à la JF®
Gymnase : Armand-Bosc Ruth, Baret Guido,
Carrera Bianca, Gambetto Renato, Diem
Roberto, Loffredo Pîetrantonioi Majanot
Enrico, Negrin Renato, Peyrot Roberto,
Rostagno Guido, Sammarco Ldio, Sita
Gino, Tron Speranza.
Mèves admis à la Lycée : Beb Loris,
Bouchard Gustavo, Di Francesco Béatrice^
Gaydou Rosina, Kolbe Enrico, Mensi Giuseppe, MiCol Fernanda'.
MASSEL. Nous avons reçu, de la part
de M'.me Gay-Tron, la somme de L. 100
pour les réparations au temple, en souvenir de M. C. A. Tron.
Vifs remercîments. R.
PERRIER—MANEILLE. Le petit Pons
Elmo, fils d’Albert et de la tant regrettée
maîtreœe Marie Pons, a été rapi^lé par
te Seigneur à l’âge de trois ans.
« Laissez venir à moi les petits enfants »,
dit Jésus. Que ces paroles puisi^t élever
te regard de ceux qui sont affligés et les
consder.
SAINT-GERMAIN. Mardi, 19 juin, quarante-six dames let demoiselles de la Société de couture de Saint-Germain laissaiient de côté, pour un jour, les soucis
et les soins du ménage, et, sous la coniduîte
de leur Pasteur et de la chère M.me Tron,
toujours aimable et vaillante, se rendaient
au Côl de Sestriêres pour y respirer l'air
pur des hajuteurs, et faire une large moite*
son' (tes beles fleurs de notre flore alpine
qui sont une vraie fête pour Ites yeux.
Magnifique couronnement des activité
d’hiver de la: Société, chaque année l'excursion est vivement désirée, et attendue
impatiemment par chacime de ces dames.
A 4 heures, après un- copieux thé, aimablement offert et largement garni, les
nuages s’amoncelaient et la pluie commençait à tomiber, empêchant M. Tron de clore
par te culte et la prière cette belte journée de délaJasement.
Nous reprenions vivement nos places, et
te chemin dn retour, heureuses de nous
être retrempées, ne ifûfcee que pour un
jour, dans cette pure atmosphère de !a
montagne, (pu a toujours le plus grand
charme, et te plus vif attrait pour les femmes vaudoises.
VILLESÈCHE. Samedi dernier, da|ns le
temple des Clos, a été célébré le mariage
de [M. Artero Humbert, de la paroisse du
Perrier, avec ÎM.fle Genre-Bert Giga, de
notre paroisse.
Que Dieu bénisse leur union et qu’il
leur accorde une vie heureuse, à TVfaraMjlte.,
où ils se sont établis.
Affrettarsi ad aegnistare le nltime copie
Eva Lecomte
£a fiancit d( Cocam
— Comédie champêtre en deux actes —
L. 9
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REVUE DE LA PRESSE.
Cher Directewr,
¡¿Dans ÌSi Revue de la Presse du dernier
numero de l’Echo des VaUées, vous avez
mention dé la publication commraicée
par L’Interprète, de New-York, d’uin extrait de la série : « Pour la vérité ».
^Cela pourrait intéresser vos lecteurs de
savoir que qui se donne la peine de rèsami^ oes articles est te prof. Alfredo Taglialatela, D. D., lequel, quoicpie séparé de
par l’océan, suit avec un vif et constant intérêt tout ce (jui se fait en Italie
pour le triomphe de la vérité et l’établisSQhaent du Règne de Christ.
AetHUE MüSTOtN.
» * «
^ L’Osservatore Romano - Città del Vatiomo - consacre'un long article à l’Echo
des Vediées, dans son numéro du 19 juin,
^ ne peut lui pardonner d’avoir exprimé
aa complateance pour la participation de
la Société Biblique à la « Festa del Libro ».
lulititloDS losiiitaliÈies Vauiloiiis.
Dons reçus pendant le mots de juin 1934.
REPDGE,
Adeline H. Parise, New-York, en souvenir
de sa chère mèrei, M.me Lydie PariBe, L. 200 Nv fet P. Peyrot, Saint-Jea,n, 10 - Bertalot Antoine, régent émérite, Angrogne, 5 - Bonjour,
podestat, et M.me, Id., 10 - Bourde PëLLx, en.
souvenir de sa mère, M.me Bourde-Malanv Id.,
200 - Chaime Madeleine, Jouves, Id., 10 - Chauifte (Pierre, pasteur émérite, Id., 25 - Fête des
Mères et des Jeunes FUles, Id., 11,55 - Malan
louis, ancien, Id., 5 - Rivoira Pierre feu Laurent, Rivolrea, Id., 5 - Schindler-lGaydou aolildei, de Rome, M., 10 - Société de couture des
Dames , de l’Eglise Vaudoise de Gênes, 150 Alessio-Eynard Méry, La Tour, 50 - Consistoire
Vaudoîs, Poanaret, 40 - MJiLe Elise Lantaret,
lÿ., 20 - S. Voile, Bobi, 16 - Geymonat Paul feu
&uf, Id., 5 - Davit Etieune feu Etienne, Id.,
ip - Barolin Madeleine, Id., 2 - Negriu J. EUfeu Elisée, Idi., 10 - N. N., Id. 5 - Eglise
de Bobi, 20.
HOPITAUX.
I La famille du feu pasteur émérite Henri
cai, Turin, en souvenir, L. 2000 - N. et P.
’eyrot, Saint-Jean, 10 - Bonjour, podestat, et
M.me, Angrogne, 10 - Buffa Daniel, ancien,
Id., 5 - ChauviE' MMeleine, Jouves, Id., 10 Uiauvie Pierre, pasteur émérite, Id., 25 - Malan Louis, ancien, Id., 5 - Rivedrà Pierre feu
Laurenii Rivoires, Id., 5 - Rivoire Elisabeth,
Stringate, Id., 10 - Gaydou-Schin(ÌLer OotUde,
de Rome, Id., 10 - Antoine Ventrone, étudiant,
La Tour, 100 - Pasehetto Victor, Prarustin, 20
- Consistoire Vaudois, Pomaret, 40 - Ribet Susanne, Id., 5 - M. P'. G., Villar, en souvenir
de « Barba N. E. L., vaudois de l’ancienne roche », 10 - S. Voile, Bobi, 10 - Navache Paul,
Id., 10 L Gras Etienne- feu David, Id., 5 - N. N.,
Id., 25 - Charbonnier David, Absès, Id, 10 Eglise de Bobi, 15.
ORPHELINAT.
« Rosabeiia », La Tour, L. 100 - Diaconie Vaudoise, Turin, 300 - N. et P., Peÿrot, Saint-Jean,
10 - « Il mio primo guadagno », Turin, 50 Ciéantlie et Emanuele Rivoiro, Id., fleurs en
souvenir du regretté pasteur Henri Pascal, 100
- M.lle M. IG., Villar, fleurs en souvenir de
M.me Giulia Gay-IVAgostino, 10 - Eglise de
Catane, « dimanche de la Mère », 100 - Bertalot Antoine, régent émérite, Angrogne, 5 - Bonjour, podestat, et M.im©, Id., 10 - Buffa Daniel,
ancien, Id., 5 - Chauvie Madeleine, Jouves, Id.,
10 - Chauvie Pierre, p-asteur émérite, Id,, 25
- Ecole du dimanche du Oacet, Id., 5 - Ep souvenir de Lenuccia Bonnet, les parents, Ciabot,
Ici., 20 - Gaydou-S(chlndler Clotilde, de Rome,
Id., 10 - Paroisise, Id., 20 - Malan Louis, ancien, id., 5 - Rivoira Pierre feu Laurent, Rivoires, Id., 5 - Rivoire Elisabeth, Stringate,
Id., 10 - Union des Jeunes Filles et Mères, Id.,
15 - Sibona Anastasie, La Tour, 10 - N. Ni, Id.,
20 - Prof. Gino Monti, Saint-Jean, en souvenir du prof. J, Pierre Monastier, 50 - Eugénie
Gabella, Turin, 20 - Consistoire Vaudois, Pomaret (collecte), 50 - M.me Elisa Lantaret, Id.,
20 r- s. Voile, Bobi, 10 - Re Plaul, Id., 2 - Pontet,
frères. Ferrières, Idt, 3 - N. N., Idi, 25 - Ada
Marie Geymonat, Idi, 15 - Bgliiæ, Id., 20 Union des Mères, La Tour, 25 - OoUecté par
M.me Rivaz parmi les Vaudois de Marseille,
100 - Collecte du «dimanche de la Mère»,
Saint-Jean, 123.
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Matière à réflexion.
C’était ma coutume, dans ma jeunesse,
dit un célèbre auteur persami, de me lever
la nuit pour prier et lire le Coran.
Une nuit, mon père, qui était un honune
de vertu pnatiqtue, me surprit dans cette
occupation. Et je lui dis :
— O mon père, tu vois tes autres enfants ^veloppés dTun sommeil îrrêligieiux,
pendant que, moi seul, j© vedle pour kuer
Dieu !
— Fils de moni âme, répondit-il, je préférerais t’avoir trouvé enveloppé d’un
sommeil irréligieux, qu’éveilé pour critiquer tes frères ! {La Bonne Revue).
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Lydie, S. Secondo - Gardlol Marianna^ Prarostino - Pons Giovanni, Rodoretto - Roman Emanuele, Bricheraeio - Grand-Catalin Anna, Bobbio Penice - Caidon Emilio, S. Martimq Abbadia Alpina - Jean Robeîrt, New-York - Bounous Héji, PramoUo - Long Ernest feu Daniel,
Id., 1933 - Long Henri feu Jacques, Id. Boano Booco, Abbadia Alpina - Ing. J. van
Glffen, Amboina, Indes Néerlandaises (15) Tron Enrico, Villaseoca Superiore, Perrero damier J. Pierre, CWonia S. Gustavo (5) Subilia Bartolomeo, Abbadia Alpina, 2» semestre 1934 e 1“ semestre 1935 - Bertinat G. Giacomo, Bobbio Pellice - Geymonat M., BamseyviUte Ont-Canada, 2« semestre 1934 e 1® semestre 1935 - Long Eli Giovanni, Pinerolo Davit Lupati Enrico, Torino (5) - Grass Margherita, Torre Pellice (2) - Peyronel Adolfo,
Riclaretto - Fiamiglia Lecureui, Melano - Gaydou Marianna, Pomaretto - Beux Daniele, Pramoilo - Castagna Luigi, S. Germano C3iisone
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ore 10 - Pastore : Valdo Vinay, Via An. . gheben, 10. .¡, »,
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COLONIA . EL SOMBRERETO (Provincia deSanta Fé) - Visitata periodicamente.
SAN GUSTAVO (iProvipcia de Entre Rie») ''
Visitata periodicamente).
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