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Soixante-neuvième année - Anno XII®
24 Novenrfwe 1933
N® 46
I
... —^ -- - 7, -
PRIX D'ABONNEMENT: Par an: Poor 6 moia
Italie et Colonies italiennes . . . . , . L. 10,- 6 —
Etranger . . .... . 24,- 12,Plusieurs abonnementaà la même adresse . . . i 22,-^
, On s'abonne: à Torre Pelliee, au Bureau d’Administration de VEcho (Via Wigram, 2) - Dans toutes les ÎParoisses, chez MM. les Pasteurs.
-joRçaÉ Pitiicp
■
MRAIPSANT CHAQOtE VÎ5NDRÈDI
- ' ,4^"
L'ABONNEMENT SE PAYf D'AVANCE.
S'adresser; pour la Rédaction, à M, leProfi Louis MieoL- TorrePelliee— pour
l’Administration, au Bureau du journal, Via Wigram, N.® 2 - Torre Pelliee.
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
Tous les changements d’adresses coûtent 50 centimes, sauf ceux du commen
cement de l’année.
l
Le numéro: SO centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimableÉ/.v/ dignes de louange, occupent vos pensées (PhiL 'IV, 8).
PDDt U fil lITtfilBDIB
Regard levé.
« Je lève mes yeux vers toi, qui
sièges dans les cieux... Nos yeux se
tournent vers l’Eternel notre Dieu,
jusqu’à ce qu’il ait pitié de nous !...
Notre âme en a assez... ».
(Psaume CXXIII, 1, 2, 4, â lire
en entier).
« Notre âme en a assez », telle est
l’énergique tradiuction que donne la Bible
annotée de cettie parole que nos versions
habituelles aifaiWissieint en la rendant soit
par : twxtre âme est « rassasiée» (Segomdi),
soit par : notre âme est « abreuvée » (version synodale) de la raillerie des heureux
?t d’d mépris des orgueilleux. Demandez à
un hébraïsant laquelle d^ trois traduce
f ions s’approche le plus du texte original.
Pour moi, je garde la pretoiière, car ele
1 épond admirablement à notre propos
•^aujourd’hui
« » a
Lequel dl’entre nous pourrait dire en
ioute franchisB qu’il (ne prononce pas, ou
n'a jamais prononcé, sinnm à han-te et inteligible voix, dlu moins dans le secret de
son cœur, la parole du psalmiste sous
cette forme simplifiée et plus personnelle:
« J’en ai assez ! ». [Assez die mes diiïicultes,
assez de ma misère, assez de ma besogne
toujours la même au point qu'ele en devient fastidieuse, assez de mes tracas financiers ou autres, a^z dé ces luttes
lui n’en finissent pas entre individus,
ntre classes, entre partis, entre nations ;
■;ssez de ces palabres interminables par
squelles les resiponsables veulent esquin- leurs responsablijtés au risque de 1. ”er à une guerre impie des hommes qui,
• ••nsultés individuelement, réclament tous
i i paix. Aissez de moi-même, assez de
la vie !
Quelques-Uns, hélas ! toujours plus nombreux — les statistiques en font foi —
vont jusque là. Et alors ils se dêharras.rent de ce fardeau trop lourd à porter
seul. Car « la ttistesse du monde — et le
découragement qui en découle fatalement
— produit la mort».
^ iü
Le psalmiste, lui, prononce aussi la parole de découragement : « J’en ai assez »,
caa‘ il a longtemps supporté la raillerie des
heureux — ou de ceux qui se prétendent
tels — et le mépris des orgueilleux. Mais
l’issue, pour hxî, (de cette lassitude est t(mt
autre. Il connaît ,im remède : l0ver les
yem, et il nous le pinopoee.
« Je lève mes yeux vers toi qui sièges
dans les cieux ». Hant que nous tenons les
yeux baissés, nqus voyons tous lés obstackjs qui obstruent la route, et nous buttons contre eux. Le coureur, pour atteindre le but, s'élance les yeux levés vers ce
but et non. baissés sur la ¡pjîBt©. Lever les
yeux vers l’invisible, quel merveilleux
moyen de ne pas nous heurter sans cesse
aux barrières que met constamment sur
notre route le visible. « Je lève mes yeux
vers les montagnes», dit un autre psaume de cette petite ooUectioii qu’on a appelée les psaumes des pèOerinages et qui,
bien souvent, nous donne le secret
marcher dans ce pèlerinage qu’est notre
vie terrestre. « D’où me viendra le secours ? ». Et la réponse ne se fait pas
attendre : « Le secours vient de l’Etemel
qui a fait les cieux et la terre ». En levant
les yeux vers les montagnes, le croyant
les a levés plus haut, vers adui qui, ayant
appelé toutes choses à la vie, dirige luimême cette vie, notre vie, à travers tous
les obstacles.'^
Et fei, l’expérience exprimée dans notre
psaume est la mêniie. « Nos yeux se tournent vers l’Eltéroel, jusqu’à ce qu'il ait
pitié de nous ». Cette pitié, cette compassion, cet amour miséricordieux pour ceux
qui s’attendent à Dieu, se fait sentir et
aplanit lia route la plus raboteuse et la
plus semée, di’obstacles pour ceux qui tournent résolument leur regard non vers la
terre où tout semble, comme avant la
création, pn vrai tohu-bdihu, mais vers
l’Elternel dont FEsprit continue à planer
sur ce tohu-bohu pour y mettre l’ordre
et l’harmoniia.
Mais cette présence qui nous remet à
droit fil, qui nous'emipêche de succomber
quand le fardeau de la vie nous accable
et nous pousse à idiréc «J’en ai assez»,
il faut que nous lia recherchions. « Nos
yeux se tournent vers l’Etemel». Il y a
là une attitude voulue, une présence cherchée. Nous définissions naguère (Semaine,
du 5 aioût), en nous appuyant sur les psaumes, la prière comme le cri spontané de
l’âme. Nous pourrions tout aussi bien la
définir, en,_Mus appuyant sur les mêmes,
psaumes, une contemplation : contemplar
tîon indirecte de Dieu dans la splendeur de' *^^
son œuvre, ou^ directe dans le silence du re^
cueillement. C’est même là Une règle de
la vie spirituelle que nous donne un psab
miste : « Le matin, je me tourne vers toi ;
et je regarde» (Psaume V, 4). Ah! si.
nous savions faire comme lui et consacrer
la première heure, ou tout au moins le
premier moment de la journée à ce regard jeté vers l’mvisible, au lieu de nous
jeter tout de suite à corps perdu dans
le visible, soit par la lecture du jourrnd
qui nous apporte l’écho quotidien de toutes
les catastrophes, de toutes les folies, de
toutes les turpitudes humaines, soit en
nous lançant sans aucune préparation spirituelle dans nos occupations habituelles
et dans la mêlée des horamës^ comme nous
serions forts contre toutes les lassitudes !
Jamais plus nous ne dir ions « J’en ai
assez », ou plutôt, sitôt que nous l’aurions
dit, — car les plus croyants ont leurs moments de lassituide où üs disent : « Mon
DieiUi mon Dieu, quand sera-ce que mes
yeux verront ta face ?» — nous nous nessaisirions. Car nous aurions réalisé, dans
notre tête à tête silencieux avec le Père^ ■
la double expérience faite par un autre
psalmiste et qui exprime admirablement
le double effet de la prière «contemplation » et de la prière « cri ». Quand on
tourne vers Lui les regards, on est rayon-,
nant de joie. Quand im malheureux wie,
l’Eternel enitiënd » (Psaume XXXIV, 6, 7).
(Semame Religieuse), L V.
—--------—:—
Sans la soujfrcmoe, l’homme n’aurait ja- ,
mais songé à l’immartaUté. Par la souf- '
france ü en acquiert le besoin, et brisemt les limites d’w.w présent qui ne compte
plus, projette s(m existenee véritable dans
les régions de l’infini.
^ ’ L'Abbê IManchon, dans
L’Appel de la Route.
Mort, ce n’est pas cesser d’être, c’est
cesser de paraître. GAÊiroN Frommel.
(Jkose admirable ! la rdigion chrétienm,
qui ne semble avoir cEobjet qm la féUcité
de l’autre me, fiât encore notre bonheur,
dans celle-ci. MoNTBSquiEü.
Nos PROBLÈMES.
L’armée passée rtous avions fait la tentative d’une rubrique som ce titre, mais
sans- r^ultats. Nous y _ revenons en pur
Uiant Varticle d’un jeune collaborateur
î* dbm j’espoir qm son exempie sera suivi.
r
Béd.
ui FRËQUENTATtON DES CULTES.
* Qu’on ne s'étonne point si nous avons
aujofQird’hui encore lai hardiesse d’écrire
quelques mots sur un des problèmes les
■plus impcfftemts de ipotire vie rdigieuse,
|dk»it on a certainement parlé dans maintes réunions et surtout â l’occasion des
^examens de quartier.
Mais c’est précisément parce que nous
^croyons que la fréquentation des cultes
fa une très grande importance, qu’ele peut
- être’ même quelquefois un Signe très élo.quent de la profondeur et de la réalité
d’une vie sfuritueile dans l’individu comme
-dans le sein d’une communauté, que nous
i^iésirans ajouter quelques simples réfle^^ons à ce que d'autres ont dit mieux
.’^e nous.
. Nous, ne nous adressons pas d’une manière spéciale aux membres de nos églises
Whl n’ayant ■^int oublié les promènes
Imites à.Lieu, fréquentent régulièremmt’
I ' et avec, joie les sainte aSsembléesL Non
plus à tous ceux qui désireraient ardemment s’unir à leurs frères dans un, même
acte d’adoratiion et de louange, mais qui
ne le peuvent à cause die la maladie, de
i'âge, de l’isolenieint, ou du travail trfe
souvient obligatoire le dimanche. Nous nous
adressons plutôt avec charité et bienveillance à ces personnes, trop nomibreuses,
hélas ! dans le sein de nos paroisses, qui,
le dimanche matin, ont toujours quelque
chose de très important et utile à faire,
pour se sentir en devoir de ne point se
rendre au culte
HC « H:
Nous ne croyons affirmer rien de nouveau lorsque nous disons que dans la, plupart des paroisses de nos Vallées k fréquentation des culte est bien loin d’être
satisfaisante ; les rappqrts à la Commission de District en donnent k preuve très
claire. Les Vaudois qui n’oubKeront jamais
de célébrer solennellement k fête du 17
février et die se rendre au culte dans les
grandes occasions, savent-ils que dans plusieurs églises de ne» chères Vallées k
nioyenne des présents au culte du dimanche matin est très souvient celle du 10 au
30 pour cent ? Et les autres, où sont-ils ?
Savent-ils qu’ils sont les membre d’une
église qui ne peut vivre et donner du fruit
qu’à k cdnditilan que ceux qui k composent soient avant tout des chrétiens vivants de k vie de l'esprit ? C'est ce qu’un
bon nombre de nos paroissiens œmblent
avoir réellement ouIbUé ; c'est aussi ce qui
- nous rend tristes en ces temps où il serait
grandement nécessaire que nos églises
fussent des corps vivants, dés flambeaux
allumés ; autrement elles ne sont pas dignes de l’héritage du passé.
Ne cherchons point d'excuses plus ou
moins légitimes, car il est inutie de vouloir fermier les yeux en face de ce qui
est réel et clai|r coinm© k lumière du jour.
Si nous avions 'ptos d'amour pour Dieu et
un sentiment plus profond de nos responsabilités envers Lui, tant de places vides
à l'église seraiCTit occupées, tant d’hon»mes et de femmes seraient là pour chanter
et prier. S’il eu est ainsi, c’est iiarce que
l’indiffiérence et l’amour du inonde exercent encore iunè influence sur nous, de
manière que certains temples, jadis remplis,-sont iàujoUrd'hui moitié vides. Tropi
de gens se privent, pour une raison ou
pour l’autre, du culte public, et k phi®
part d'entre eux ne le remplacent même
pas par un culte de famille ou par des
dévotioîis solitaires. Quel exemple et quelle
leçon certains parents donnent-ils ainsi à
leprs enfants ? Cek est regrettable, malte
cek est surtout inquiétant.
» a *
Nous savons qu'il y a eu dans le passé
des époques d’indifférence suivie par des
périodes de réveil ; mais, sans vouloir établir des cômpajraisons avec le passé, il est
certami que Fhelure actuelle demande de
nous tous plus de fidélité envers Dieu, plus
dTamour pour notre église L’influence que
k vie moderne a exercé même dans nos
campagnes a eu des conséquence parfois
doulôurei^ids sur k vie morale et spirituelle de notre peuple ; et si vous causiez
du culte public avec certaines personnes,
. vous entendriez des choses bien étranges.
Quelq'u’un vous dira qu’il aime l’éghse
dont il voUidrait.fTéquenter les cuites, mais
son vilkge et si éloigné, le sentiter si difficile ! Quelqu'un autre énumérera le différente occupations du dimanche matin ;
nettoyage de k maison, soin du bétaal,
marché, questions financière qui doivent
être réglée, amusements, sports, etc. D’autre diront que le sermons ne valent pas
grand’ chose, que même en n'alknt .pas
au culte ils ne sont pas plus méchants que
le tel qui y va. Plusieurs auei ne diront
rien, parce qu'ils n’ont rien à dire.
Nous ne voulons point juger le autre,
car cek ne dépend pas de nous ; mais est-il
possible que toute ce excuse soient légitime et sincèreS"? Peut-on vraiment ne
pas trouver ni le temps ni le moyen d’entendre le message de k Parole de Dieu,
qui est le seul, vrai message de salut ?
* a a
Fréquenter le culte, cek signifie avant
tout accomplir un acte de fidélité envers
Dieu, n a gardé notre église dans le passé.
Il k bénira dans Favenir à k condition
que nous soyons de « membre vivante »,
fidèles à Celui qui dirige le destinée ides
indivliduB et de peuples. Notre peuple
sera le «Peuple Vaudois», tant que
l’Eglise Vaudodse existera.
Fréquielniter le cultes, cek signifie rendiré un témoignage à Christ en face du
monde. Ceux qui nous observent comprendront que nous n’avons point honte d’être
des disciple du Christ et seront frappés
par k persévérance de notre foi.
Fréquenter le culte, cek signifie accomplir notre devoir envers notre âme.
Elle a beoin de nourriture spirituelle
comme le cori» a beoin de pain. Il faut
que nous sachions kieer tm moment le
affaire temestre pour penser à celle de
notre âme; le culte nous en donnent
Fopportunitê.
Ne culte seraient plus vivante et plus
bénis si tous y apportaient alveo leir pré-¡
sence lun esprit de joie, de prière, d’amour;
si tous y venaient non pour entendre k
parole d’un homme et k critiquer, mais
pour écouter k Parole de Dieu. Il faut
en venir là ; M. H. Dieterlen écrivait un
jour : «Le pasteur donne ^ proportían
de ce qu’il reçoit et le paroissien reçoit
2
en pi’ogîortion de ce qp.’il.^nn§._£!^, uai^
église s’érijdort ou meiurt, i^iaute laj^est
à ses meimibrels autant son inini^itrs.^,^
Et c’est une responsab^tê mjoutabk^iqu'à
tout prix un homime de^c<mscip.ce^ dq,
cœur ne doit ip(as aasfumer».
L’épître aux Hébneitx nous exhorte en
ces termieB : « N'abandonnons pias notre
assemblée»; et le Seigneur.,Jésus*«JhiWSiiï
dit : JK La où deux ou, trqis sopt ssseiîJJi'lés, m
en mon nom, je suis aiu milieu d’eux'».^* '*'
Pourquoi donc n’irions-notis pas su culte '<
de tout notre coeur, -poumous .rencontrÉg- ijavec le Maître ? Dans la maîsan de Dieu,
lorsqu© le Maître moius appelte, ü‘faut *que
nous puisBiiions réponidne : Présents !
E. Rostan. ^
Soïrriurojgritpntr
Ce qui noas rattache à. Loti.o'œt, cpiél?,,^,
que peu, sen origine protestante, et, beau-.,»,
coup, > à notre insu peut-être, son attachei;, :
' ment à l'Eu^iaJleriaii tj„
C’esit 'que l’Euskaiteriai, le; bon pays,Bas-rib.
que,- nous-diait ^pensier-au paysvbien-aimé r.de nos aîemi. ' -Là-b^ somme i.cliez nous».,.
vit « Un‘-p©uple;*tienace;^ -gardant».- .avec
l’énigme de sa <p(PQMenanoeir;ià. foi, les, tra- ü
dütions et la languie-des ancêtres »,-.
Ne V pourrait-on pas, à*, quelque chose
prèa, népéter-.die nqs Vallées, içe',que Fran- çois-Duhourcaiu -disait,du, pays, Basqvi^.,; ,
« Ce pays :^est,singulier pour avoir, mieijX;^
que pul ®ay?^’Cteoidi^tp,paf'
de préidestinatip'n iqui |ui est ¡propre .
semble, lui ¡mposer,.une < jnissiop», gardé-4^ i
fonds,,comimiun„d^ l’humauité, initiaie»,. ,
somi amoar»piour ,de permanent, „son aitta-,
chement -^à l’esprit-de, ses pères lointaius,
son désir d'une-foi pure et prjmitiy©?
Eh bien J oa goût dp primprdi^ de î’espérance.ndogma'fciliéo.^t atlachement apx
foyers;,'«^ tout-parle ~d’an tan, c’est un peu
lie fondSide notre âme et-c’est tout te fonds,. ,
de l’âme de, Loti..,
Ce goût nn?ét^é^^t qnasi-héréditained»
simple; (ne lui veoait-û-pas dp la vieille,,
souche hiuguiralot©r?,)>, ce goût, qui jc Je pré-,
destinait^ à? comprendre l'esprit.-basqu©
n’estee pas .un peu potre,goût, à nous et
œlui-là même,, qin nous, raPPWhe« de lui
et qui nous.aide à-te,.mievtx Gonaprendre ? ,
Approchonsrnoiue donc un ipstapt-encore
de son âme.( pour «n saisir J’écho te plus ,,
inachevé,, le pllus -inarticulé .peut-être ;
mais peutrêtre. aussi le plus , vrai.
Loti a; frémi'et parlé .bien .¡souvent de
ce qu’il appelle -« la grande poésie sombre
et douce de la BiMe et de l’Evangüe » ;
il a couru, te monde ; André Geiger dit
même qu’il « nous, a révéfé te monde.» ;
de saisir l’insaisissaWe et revenant
suite rêver et rêvepr dans sa mystérieuse i.»
maison ide Rochefort, «à la fois pagode,
mosquée, ceUuie et temple», mais en tous
cas pdeipe d’aspirations vers la foi de jadis,
vers les croyances ancestrales, vers la foi
prinritiv© de ses iteres huguenots et d©
ceux qui tefe avaient précédés.
L’a-t-il saisie cette foi ? On nous a dit
que non. Et c’est juste. C'est parfait.
Mais ra-t-ii du moins rêvée, désirée ?
Entendez-te lui-même qui parte dans Ramwntcho, te livre et te héros de sa prédilection : « ...Redire aveuglément les mêmes parqiçs de foi (de nos ancêtres) est
une suprême sagesse, une suprême force »,
« ...Il est sage 4© se soumettre, avec confiance quand même, aux formules vénérables et consacrées, derrière lesquelles se
cache^ peut-être tout ce que nous pouvons
entrevoir- de vérités inconnaissables ».
N’y a-t-il pas làt^ désir à lui de pouvoir en f,aire autant? Oh! l’eût-il pu!...
Mais .,V9yons Loti à son heur© dernière.
Les journaux d©i«hez nous ont fait leur
possible pour ne pas te dire, mais quelles
ont, été ses funérailles,?.i^
Loti avait tout prédisposé lui-même.
Lui-même avait écrit depuis longtemps
qu'il désirait dormir son dernier sommeil
«dans,la maison, des aïeules», Han,g Ja
bonne vieille maison huguenote.
Ses fxmérailles eurent lieu dans le petit
temptei d’Oléron, ce petit temple dcait il
appriéhendait, ,dès 1919, la fermeture,
lir^ dao)s- un^.d^ der-'
niens punéros„lte YE^,
Ce vteux ét modiQ^ tpmpte j^’cst rouvert pour lui et la .glorieuse dépouille de
<tmÂre,.frère J<uie8,^jfaîid,"(^ni(mdant de
vaisseau, membre de V Aai4^i0jf{mççfi^,
la^ Légion ^-d'honneur »,
comme a dit àu service religieux te pasteur rdsJ'îte, (5». est entrée transportée par
te bstea^^flfiortviaiiîe, qscorté-. de quatre
tbrpiHeurs.-‘ :/>,
^Et «près le*service à-4’église, dans «la'
maison des aïeutes. » un seul dtsicours a été
prononcé : celui du paSbeur,
Tout cela ne nous dit pas grand’ chose.
Tout oefla ne nous dit rien de bien assuré.
Mais a vraiment nous pensons que l’œuvre de Dieu peut s’accompilir et qu’elle
s’accomplit sc^ye^t c^s )e ¡^^nçe, si. nous
sommes assurés qu’/i n’éteindrü pas le lu<ndgwm qui fuTne encore, nous avons te
droit- d’aiipeter Loti « notre frère », notre
frère en la foi, comme l’a appelé son pasteur lui-même.
Mais loin de nous de pieUsèr .que sa foi
ait été agissante, active, acharnée au bon
combat que tqft
combattre. Silvio Pons.
Aiÿ^C- D% Cjb»
l( pngiaiiN’ictiH te-OiiliiHMtiHiffis.
Le -Çpmil^ ,^diu Groupe,.. |*iémont, des
UnionSff,Çhrétieinn,'^...,,de, ^*^ns a
pubhé ,te programme.,4’^tfojni ,4^ tJnions
ChréJtienr^S fteUt, .1933-34. N^
en donn|^us.,}iini ré?unj^„ pon seu
lemepitj,4^ ypions,pipétWî^,|P^ aussi
des nombreuses,, .persopni^ ^qui s';mtéressent .aa bien^ notre jeunesse la suivent, avec sympathie. Tout le programme
a comme but te progrès intellectuel, ippraà, spirituel, des Unions, Chrétiennes en
génial „et de teurs„.memibres^ en particulier, ,„leur préparation^ pour une action
chrétienne plus . vaste et plus, intense,, se
befâan:t>ur te, solide fondement.,de l’Evan-.
gile. Naturellement, chaque Uinion ne peut
pas adopter entièrement le programme,
qui serait trop yiaBte et complexe : cha- ,
cune .est vivement conseillée de te. suivre
dans son enseimble et d’en prendre la partie la plus adaptée à ; son caractè,re et à
ses possibilités.
L’étude et la méditation religieuse cons
}bfratim.l^ pim étroite avec VEglise^ Çel’ Icikîî doit être coi)sidérée par la jei^nesse'Ç;
■ t;, Uhioniste comme Je champ naturel de swi
activité,reJigieusB;.;, elle doit sentir, .(tens
l'Fghse ^au selrvice, de Dieu,>, comme aide
èordipite ©t, jdévcnuée au Pasteur dans l'ceuivie chrétienne. C’est ainsi qu’elle trou- V©ra,sqn ptedn épanouissement. A l’actireligieuse dqij; êftv.sjoutée.» up© aotir
vité d’assistance sociale,, dans rggiise pu
»àu d^rs, offrant sa collahoraition désintérossee - à te grande œuvre d’assistance
aux malheureux, qui se poursuit dans notre pays.
-^Le programme touche enfin aux cours
d tnstruction professionneüe (agriculture
alpine, petites industries d’artigianato)
que le Comité est en train d’organiser
’ .dans-fjç[uelque§ ceptres unionist^ .aux
^.ux Cçmvegpi d’Mver^^
âe pî;mtemps,,,d’été, aux exercice? de
sj^ts et de skys; au Camp d’été;,. ,
Itebopdaut,jet utile matériel, sÿ^ te Ctemité ,
offre,.¡aux Unions (apparel çipématogpaphiqu©, ¡projections lumipipuses, prodi«;'tionSí^d^fêInatiques, Jivres, ,eto.).,
• .jï'Jl ne;reste,.pl'us qu’à .souhaitep.^a .te jeuiKess©,..;Uiuiopiste ,un travail sérieux et utile, .
‘‘^ui;^iVi avec ,,une p).eine conscience du
‘ devaif,,.daus>te,but suprême 4© te gloire
de E^u .et, du bien des frères. À. J.
#TI jPI0{lR4FICI DELLA. PROVIEWA DI TORINO
a: Cl
Mese di Settembre :
Natl 1», Morti;,.., Auménto popol^iojie Capoluogo . 610 . 541 Resto ■;Provinda 546 490 TOTALE 1156 1031
69 56 125
; Mese, di Ottobre :
Nati . Morti '. Aumento popolazione Capoluogo . 600 . 595 5 ~ Resto Provincia 621 494 - 127 TOTALE 1221 1089 , 132
COMUNE PI TORRE PELLIÇEy,
MTO CMLE dal 13 al 19 NoYembre 1933-XIi
k,i
tituent évidemment le centre du program
me intérieur. Après avoir consacré .à Dieu
l’inauguraition de te nouvelle ..année d’activité ipar te' Semaine d© prière,, te Pi’®'
mière partie de chaque séance Lui est
consacrée par Yétude biblique. Comme
sujet général d’études bibliques, 1© Comité indique les Plaraboles de Jésus, suivant, l’ordre du volume du prof. H. Bosio
Le Parabole di
I.
Nascite N“ 0 — Decessi N® 1
il
CHBONIOUE VAUDOISEv
Crmto, excellent manuel,
simple et pratique, pour l’introduction et
la préparation des études mêmes.
Selon 1^ indiçatiops du programme, une^^^
séance par jnois devra être consacrée ,;à
une étude religieuse, une autre une ’ leur foyer et que Dieu leur a redemandée,
étude d’histoire vaudoise, une troisième
à une étude sociale. Comme sujet d’études
religiemes le Comité propose, pour te mois
de novembre, ,un très bon opuscule sur
■*# ;
Georges Williams, le fondateur des Unions
Chrétiennes, dont un généreux ami a of
t-Ui'.
fert aux Unions quelques centaines 4'«
xemipteires ; et pour tes mois, suivants,..;
• I ....
quatre chapitres du volume du regretté
prof, T- Lon.g3 : L’idea cristiana ç(i Dio,'
Comme manuel d’histoire vaudoise,
proposé, cette année, le nouveau volume
de T. Balma : Il martino (M un popolo:
I Valdesi, où notre glorieuse histoire est
résumée d'une faiçon vive et intéressante.
' r» JPV ; 7
Comme sujets d’étude sodale, sont indi- .
• • .Aîi'.n
qiués les trois chapitres de Topiuscuile tr^
connu 4ù prof- Guido JMaten : 1 nostri
V,:
maggiqii nemid. Bnfiin, pour .compléter
rédiucatipu initdilectuelte et spirit|iidp©,.de
te jeunesseï, le Comité organisera .des tqur^
de conférences sur l'Elvangélisation, tes
Misions, les Coïloni©s Vaudoiæs de l’Amèr
rique ) du S^uL ,
Oorame cemXre de l!action, .sœtérieurs. Je
BOBI. Demis. .Après de longs mois de
souffrance, Jeanm Pontet née Pontet s’est
éteinte, te 18 novembre, à l’âge de 42 aïis,
et sa mort laisse dans notre Paroisse une
impression de profonde tristesse. Comme
les vierges sages, elle avait sa lampe bien
garnie d’huite quand l’appel s’est fait entendre ; aussi a-'t-eiUe é'té au devant de la
mort avec te sérénité de ceux qui savent
en qui ils croient.
A son mari, à ses filles et à ses nombreux parents,' notre profonde sympathie.
Nous renouvelons égatement nos vives
couidoléances à notre frère Albert Charbonnier, de l’Absèê, et à sa compagne, pour
la perte de leur petite Anita, qui, pendant quelques jours, était venue égayer
CATANE.t L’église de Çatane vient de
perdre un ide ses plus anciens membres,
dans la personne de M. Jacques Fratschbl,
propriétaiie d’un grand magasin à Piazza
Duomo.
Le Popólo di Sicilia a parlé de lui en
termes élogieux.
Nous avons eu l’occasion de le connaître
et nous exprimons à sa famiUe notre sympathie chrétienne.
— Bons voeux ipour Emmaüs, transféré
de Riesi à Catan©. Nous l’attendons pour
donmer des nouvelles de ce champ de
travail'.
programme indique aux Unions la coUa-,
LATOUR. La Chorale Vaudoise de te
Paroisse! a eu, mercredi ipassé, son assemblée annuelle.
Une soiixButaine de membres étaient
présents ; le rapport, présenté par le Président, exposa, te bonne et réjouissante,
activité , de oette Chorale, qui nœi seulement « chanté d© beaux chœurs aux fêtes
traditiouneltes (Noël, fin d’année, 17 février, Pâques, Fête de Chant, Pentecôte),
mais un dimanche pair mois a chanté au
culte ^incipal u^ hymne nouveau, du
recueil français ou italiep,,. dans le but de
l’enseigner à rauiditoire ordinaire du temple. Cette utile activité, étroitement liée
à l’Eglise, sous rinfatiga||le direction de
Mme Balma, sera continuée et intensifiée
dans l’avenir.
Le pasteur, M. Jutes Tron, exprima à
(’assemblée te -c|iiliUde.,recoramiss^ de la
Paroisse. A. J,j
— Samedi prochain, 25 courant, à 20
heures, aura lieu, ^ à Vaida magna du
Collège, une réunion de te, jeunesse de la
Parote?^. Nous comptons sur la présence
dé tous nos jeunes.
—- Les «examens de quartier» auront
lieu, la semaine prochaine : dimanche soir,
26 courant, à Sainte-Marguerite ; mardi,
f*
28, aux Simounds ; .^rore^Lpiux
Copiers. ' ‘
LIVOU^^; Uincoio, ^ circulaire,
d’église, nous donne tine bonitie nouvelle,’'
L’Église Allemande Hollandaise et l’Egliise yaudoiise s©, sont, unies. L©s cultes
du dimanche,^^m,atin seront^ teniüs ^te
tivement dans te templ© àUemand-hollandais du quai Ugo BottLet dans , te temple
vaudois de Via Verdi, tapdiis que te qulte
d’évangélisation aura lieu tous les dimanches soir à Via Veridi.
En nous réjouissant de cette solution,
nous souhaitons aù pasteur, ÏM. A. Arias,
beaucoup de saitisfacttens dians son champ
de travail
LONDRES. Lundi, 13 novembre 1933.
Notre reühioii d’hier,, dimanche 12 no
T ■■'V.î
vembre, a reuni trieinite-et-une personnes,
'Tî*-'’.r.' • Ti- ";‘'î ' . ■
Nous lalvions le plaisir et le privilège
davoir jwmi nous pour la première fois
M-lle Renée Jiaîla, étudialntè missionnaire,
et te docteur Victor Pons, de Gênés, tous
deux., en séjour dans la métropole, pour
achever jte éjbudes- jA tous les deux nous
renouvelons ici une cordiale bienvenue.
Notiè chère,, présidente, M.me, SturgeMooce, s’était donné beaucoup de peine
pour , organiser, ;Cette réunion, qui s’est déroulée dans-une excellent© atmosphère de
bienveillance ¡réolproque. La principale lattraetion- était une causeite de M. le pasteur Christol sur le Lessouto, nom familier à tous ceux qu’intéressent les Missions. M. Christol connaît te Lessouto comme tout Vaudois connaît ses Vallées. Il y
est né, y a travaillé, pendant de longues
années pour te cause de Dieu. Son attachement ipoiur ce pays est fait de cette
multitude d’impressions d’enfance d’autant plus vives et. pénétrantes que la sensibilité est plus neuve, et de cet amour
qui croît en nous pour les choses et les
gens à qui nous nous donnons, et dans la
mesure ide ce don., En outre, M. Christol
est allé, te printemps dernier, passer quelques semaines idans ce Lessouto qu’il appelle « son pays » et où la Société des Missions de Paris l’avait délégué aux fêtes
du centenaire de la Million. Toutes ces
circonstances concouraient à donner à sa
causerie une précieuse qualité dont sont
en général dépourvues les conférences documentaires ou de simiple inforrrjation :
la qualité d’expérieUce, vécue, encore vivante et palpitante de souvenirs immédiats. Il .avait leu la géniale idée d’illustrer
son récit par des projections, en couleur.
Ainsi, en retraçant brièvement l’historique
de te Mission là-baS, il a su graver dans
notre esprit, par de frappants contrastes
entre te Lessoulto de son enfance et celui
d’aujourd’hui, te rapide et considérable développemient de ce protectorat anglais,
grâce à l’iniluence d© l’Evangile, prop^é
par des missionnaîires français, aidés un
temps par un Vaudois, M. Pons, et uli
Suisse; M. Weitzecker.
Nous remercions, encore une fois chalen riêusiâment M. Christol de nous avoir
instruits et en même temps intéressés à
une œuvre qui tient une si grande place
dans sa vie.
Divers rapports sur les activités du
groupe l’an dlernier ont ensuit© été lus
pour stiinuter notre z& ; après quoi, Mlle
Bertin nous a charmés piar te récitation
d’uip morceau de poésie : Le Rouge-Gorge.
Nous la remercions de son aimable,
œlteboration.
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La iprochsaiine réunion est fixée aü 7 j'tovieir 19^4, est aura liw, D. V., dans la sa^
<je l'Jfelise'¡française - 9, Soho, Squaire,
I. - coanime d’haJDÎtuide à 3,30 après-midi.
. Tous lies Vauidods qui sê trofuveront à
Xondres 6b jouir^là, ÿ serctot piairticulièreinient biiemvenus, car ce sera notre fête
Noël. Nou0 aiurons uin arbre de Noël.
Il y auTia dSisbributim, de ca
deaaix, ahaouini en ap]portera un de peu dé
valeur*'(six p^ce aiù pl&,i= L.‘ k i,5Ô
.environ) l'é<^ngieira'contre jm autre,
pêché àu. hasand de sa ^chance. G’est 'une
mine d'imprévus amiusaUts... ihais n’anticipons pasl Lucie A. HuàoN.
messine. N<^u& appreîicw^^que le pasteur Colucci sa trouve dians un hôpital de
Jiome où il a subi dpux, opérations. Ses
conditions sont satisfiadsantes.^^
Nous symj^thisons avec lui et avec sîT
famiille, et demaindons'à Dieu ¡dé lui don:i '
uer la sainté, afin qu’il puisse reprendre
j, ■ t ■■ i .’:t '-tn’ / -f-M
.son travail. , .,
PBALI. Malgré notre épais « brinas >>,
nous avons ideja eü ,ùin ton mètre de weige.^
I.ÜS jeunes époux Tron^Èrne§t Joseÿi
de Radoret, et Grül Césanne feu '
la Ville, se sont unis en mariage
Lre tcinnte, samedi 18 hovernibre. Î
. . ’ ■ ■ \ 7: ■* \ ,i V
/{ i.ix les aecomjpjagnentL
—■ Le ai!)''"'■'J.!:
tist< la petite i
de Genre Marie, des Orgèfies^
Avec les parents, nous contînubns à demander à Dieu de bénir cette’^fânt. '
i . . ' . • ;
PRAMOL. Samedi, 4 novembre, le pasteur du Perrïer, 3V£ Oreste Reyronel; a’"*'
béni l mariage de M. Sappé Edouard, des
Henc-p, avec M.lle Long des Ribets.
NoiPJ adressons éhcOré atix nouveaux
épourt nos souhaits les pïus'sincèijes.d'uné
vie Jt ngue et bénie pair Dieu.
— Notre frère Long Frèngois, dies Clots,
déc.; dé il y a quelques mois, a laissé, en
mo icànt, K somme de L. 500 aux ceaiyrès
de J’^liæ Vaudoise. La fiaimi,lle a divisé
la somme de la manière suivante : Hôpital
du Poroaret, L. 100 - Orphelinat de La
Tour, liOO - Institut dei Vallecrosia, ItX) Ini ù'tut GouJd, 100 - Eglise de Pramol, 100.
Notre frère a ainsi donné, même à la
fin. ic sa vie, un sigffie tangible de son
arne ^ envers l’église et les œuvres qu’elle
æulxnt .avçc tant d’efforts.
Sa iuemoire est en bénédiction au minons.
■de J
■Jeai
I •dalr>
TJ.
r> novembre a'été bapida Grill''âe^!lffiîlip^* et
lie ü
R0?;CE. La 11 novembre a eu lieu l'jnauguirai'im officielle de la 79® année amdémiqii: de notre^ Faculté de Théologie.
L’a'iZu magna était bondée et le tout
Rome protestanit y était représenté.
Lo, solonneHe cérémonie a été présidée
par le Mbdérateur ét le discours de circonstance prononcé par le doyen de la
Faculté même, M. le prof. G. Rostagno,
qui a traité ce sujet : EstS possible
déc l'ire une histoire de la Réformaticm en
lUdic ? ,
, Le prof. RosÉagno est en train de donjier une série de leçons publiques sur le
mouvement de Réforme dirigé à Naples
par Giovanni Valdès.
•— (Via IV Novembre), Le dimanche
19 novembre cette église a célébré
cinquantenaire de sa fondation par un
culte solennel.
L’églfee ide Piazza Cavour y a envoyé
Une délégation dans les personnes de
^^•,^^bel Ghigo et Giovanni ManteUi, anet a chargé le prof. David Bosio de
lui lapporter son message fraternel
Atu culte du matin, à Piazza' Cavour, le
pasteur Eosiio a retracé lete souvenirs hîstoi iques des débuts ide l’œuvre êvangêliffue à Rome.
. {Piazza Cavoitr). Le 12 novembre
a au lieu )u)ne importante assemblée
d’ég^' 'terminœ l’adoptiou d’un or. dre ^ jour invitant le Consistoire à
faire^ les démarches nécessaires en vue
de l’autonomie.
On a aussi procédé à l’êlectiont du nouveau Consistoire, qui résulte ainsi formé :
ancièns, major Ghigo chev. Abele ; rag. Giovanni Mantelli ; diacre, rag. Cantone chev.
Gennaro.
Un ^gne d’intense vie ^irituelle est
dbnné pi^ la fréqpentatìon toujours croissante'^Biels réunions 'de prière.^ ' ’
SAIN^T-RBRjHAni.J^udi, 9 courant, a
été célébré le mariage tìe MÌUe ima Long,
fille de M. Miùle, avec M. ìììar^ Bianconi,'"
njembre de l’Eglise Vaudofee de Romè: '
C'est ML te docteitir Uge JTitìiiu, on¿te' dé ’
î’épause, qui a présidé la sainte cérémonie.
Nous^ wuhaitons aux jeunes'* époux Tés*^ '
plus précieuses bénédictions célestes. - *'
II' • ■ r V . f'Itv.,; , i i . i
SAII^nJBAN. Cimetière des Jatta. Nous
désire«» rapp^er* aux' pèrecinnés a ' qui
cela tient à cœur, que la Commission portimée pour la aurvedl¡lan¿e'’dú dit cïrttetiêre^ '
attend que les contributions promises hii '
soient consignées au pjius tôt, afin de 'poiii,' voir faire Éaoe aux depenses. ' ' ' ' ■
Plusieurs ifamill^ sont, à '.^t égard, en
retard de quelquœ années.' '
Le Pastar de la Paroisse se charge
d’encaissêr lés contributions;
' - rfi il tfV“
TURIN. Ijie culte de dimanche 26 novembre, cteM le teonple de Corso Vittorio
Emanuele, será* tenu’en'franiçais,' par le
pasteur M. Auguáié Jahier.
— L’Union de la' Jeimessé, qui a,vait
traversé, dés' htements '’difléciles, ' reprend
son activité toto de'inieStours auspices;
i'.' '-f- .- .'j ''Tù'T,,' ...
on est passe du pessimisnie, a i optimasme,
— Une assemblée d'église a èù ' libii
mardi, 21 novembre;
" {Il Piœc^ Messaggero) .
PERSÇmfit^-. «,
Le 31 novembre M.Ue Mimi Bertinotti,
fille die notre collègue de Venise, s’est unie
on mariage avec M. ErsHio Costa, de Ci■viidale,Bons^vœux.
O O O .O QiG. ;0: O. O jQ O. O O O O Q O O
------^^—t—T——!-------------------^
Améliorations agricoles..
Nos vallées se ¡dépeuplent; plusie|urs
villages,' à la haute montagne surtout,
sont presque abandonnés. Plusieurs causes
expliquent ce dépeupleanent ; mais tout en
l’expliquât noüs le regrettons du plus
profond du cœur et nous voudrions aviser
aux moyiens de l’enriayelr.
N’y la-t-il rien à faire ? Tandis que le
Gouvernement construit de nouvelles routes, endigue les torrents, retoSse les flancs
des 'montagnes, est-;pe que privés se
préoccupent d’améliorer les produits de
leur sol en suivant dès méthodes de culture plus modernes', .plus scientifiques ?
On nous signiate que Tété dernier de
jeunes agricultjeurs bulgares se sont rendus au Danéfnarh pouf ûh stage de quelques mois, laftn de Se perfectionner dans
te travail agricole.
Cela fut rendu possible grâce à l'Alliance Universelle des Unions’ Chrétiennes
d© Jeunes GeUs.
Les résultats obtenus encouragent la
même organisation à répéter T^sai et l’invitation est adressée aux jeUnes geris des
differentes ladianoes nationales.
Le docteur A. Sibille - Piazza Indipendenza, 1 - Roma (121); l’avocat C. Gay 9, Via 'Magenta - Firenze, nous en ont
donné commuWÎeatjon, ôi cëùx qùi désiréraieht' dés' 'itehsèîgUèiiïents supplémentaires peuvent s’adresser à eux.
De jeunes Vlaudois pourraient bien profiter de l’occasion pour apprendre les meîl-"'^
teuras méthodies de culture agricole.
Htfat de la Tresse.
Dans Ricerche Religiose, revue dont il
est le directeur, te prof Dùonaîüti a inséré un entrefilet portant te titre : Aux
frères évang&iqvm italiem, et donnant
un rapide apelrçu du Camp^Congrès de la
Jeunesæ à Villar PeOMce. ’ î ^ ' - V
Tout en dissentaut sur quelques points
— la théologie du Barth, piaîr èxemple —
il s’est trouvé en parfaite harmonie spirituelle avec tes congressistes, et exprime
des sentiments de (profonde riecoimaïssance,
« Ho'partecipato, con cuore isperto e fi^
ducipso, al oampieggio delte Assiociassionî
dei Gioivani â Viiilar PéUice...
«'E jdel mio salire di . peregrino ohe,
afrattap^dam stia vlS:lm. òasà* è-*ktlén- ''
dato con la sua umile suppeltettite sulla
pjubbiiea via, aecc^ie docilmente ogni invito fraterno dì ospitalità e di fcóftforto,
sono sciato (^iosammte compensato.» ».
« Bl' ‘evangelici, dalle più umili
e adiuste oontadìne delle solinghe case alpigiianié ai più venerandi Pastori’'conve^
uutd wfe lontane chiese dlélla Diaspora'
Valde^ liffi' harito' dato' cofrtF
tonante di unà fede vigórosai,* pratìata
con al&fcérità semplice e vibrante; Qualr
ebe riiedità’ziònei un' rito domenicale" pairecchi.^Vecchi canti dellè’ValU, rimarranno '
in cuor mio inobliati». ^ ‘
Il croît à l’influence spirituelle de la
jeunesse unioniste. ’
« Queste Associazioni Cristiane dei Giovani... TpÔëferib costîtüirfe* te scòité' avah- '
zate di quel vasto movimento di nuova riforma’*cfe'dovrà, Un giorno''ó Tàltro^
quanoio che sia, far risorgere questo
osaariò"" arido e muto che è il campo '
delte. intorpidita ed esangue spiritualità
italiana». : V.
ummmm
T.JiSJ'
il
Faits et Npuyelje^,
_,.>r ri J- : i î
A propos ami> appel à l’unité chrétienne,
La liguée« Pqut^ le Ghristianisme » a fait
paraître, à l’occasion de la fête de te Réfor raa%i®î, un' appel invitant les' Eglises *
protestantes''à ne pas' accentuer' tes dîVi-'
sior^'^fiftesionnelles et à tendre de toutes“’
leurs îbfoœ a l’unité, seule condition de
forcq-en faCe de la campagUe des San®- ■
DiieuiîiA! céj propos, il ne sera pas inutilé'
de rappeilef que'C’est aux Eglises protes- '
a raUte te chrétienité anglicane, orthodoxe,
vieille-catholique, ' luthérienne ■ et' réformée.
Si l’Eglise catboïique fomiafltite 'â'refusé de
s'y joindre,' tes 'EglisieB protestantes-tne
sauraient"iàî être ^rendues responsables.
Le stol fepfoohe qù’bn 'pU'iSSéJ 'donc ¿faire
à la ligué « Poûr 'te Chiriètiànâ^ne » ést de
s'être trompée d’adresse dans^'SÔn ap,pel.
•r (S. p.;p;). ï
Deifique. ' Pas de t'oùbda. Le Synode
, dé l’Eglise’missicàinflire belge' a été ’saisi
d’une propositiani tefidanf à organiser une
tom'l->,>la nationale pouf améliorer- la situai ;;jn financière' de cette Egliâé. 'Après
exan -n, le Conseil Synodal a décidé de
ne ](-is dohner suite- à cette proposition.
Juge-.- nt contraire à l’enseignement (chrétten et à te morale de rechercher des ressour. es en évefllant l’esprit de lucre par
Tapp at d’un gain basé Sur le hasard, il
se sentirait coupaible de recourir à une
pratique qui pût être en scandale II préfère .attendre le salut financier de l’Eglise
de Dieu tout d’abord, puis du sentiment
de responsabilité des membres de l’EgUse
et de la solidarité protestante. " «
* (S. p. P.).
« » •
Tessin. Les protestants du Tessin ont
célébré, dimanche 19 noviembre, à Beflinzona, le cinquaïitenaàre de te « Diaspora »
dans le Tessin. ‘ '
Hy .avait au programme : un service
solennel à l’église, à '14 heures, avec Allocutions du professeuir Eberhard Vischer,
président du Comité central des protestants disséminés, à Bâte, et du Pasteur
die l’endroit ; te soir, à TBôtel Métropole,
une soirée où ToUi feprésèntà un épisode
drolatique du temps de la Réformation,
sui-vi d’un concert et d’allocutions- dès
in-vités. ’
A Toccasibn de ce jubilé on fait paraître une brochure de 110 pages, bien
illustrées, renfermant des croquis sur’le
protestantisme dans le Tessin.
La période des origines va de 1846 à
1883, moment où le Comité des protestants disséminés de Bâte eïivoya un pasteur à Bellinzona. Depuis, d^ aUnexes ou
églises furent créées à Biasca, Lulno,
Airolo, Locamo, Lugano.
(Informations tirées de te
Semaine vigíense).
• » *
Pologne. Un momment à Fauste Socin.
UlnguÂrer d*u 21 octobre, organe de TUnitarîsrrie (anglais, nous appteud qu'un monument vient d’être élevé à FaUste Socin,
en Pologne. Ce réfugié it&Men avait institué dans tout le pays des Eglises, des
Synaies, des Collègeis unitaires. Avec Cas-^
teflion, il est l’un des initiateurs les plus
marquants, au, sein de la Réforme, dè cette
tieindance large qui s'est continuée dans
Timitarisme anglo-saxon et te protestanr
tisme libéral de l’Bufope continentaite.
^ «J C • ÍW /
Le monuwnt en question porte Tinscriiptionlsiiïéâiité‘':ld -b »»i .»¿¿»'ILI
(Eu latin): «A la mémoire de Fauste
Soedn, d’Italte^-né4 «f - SfehAé ifev’ 5 décembre 1539,jqaort à Lustevdto le 3 mars )/ ■
1604,.m'feconna36saniee de Boa'bft>eur pourtil):;
la libéfté, te raisaii èt'tei^'toléraBce erf
ligion, ses ctoiktiàtfeüfé eh Bhrôpè;''èfe' .•‘f.
Angleterre ét* ènvAjhériquè . ont étevé.;^^^ --p
mionumentlà&( •<Bn iitaîieB)!>M«l Celui qui /sème la ve^ récôîbe ter<gtehte. Et’une Mû
juste gtoirè‘ triotaphè*diè te thort»'.7- V' 'N:
(D’a(pfêé1te)i'oj/éf Protëétant).
' rVi'i r
***
’X'ifi'lf
(rv.-;'
GuïteNiE. L’Armée du Sahit a réalisé sa
grande entreprise et ouviert uni foyer poür
tes bagnards; la «Maison du Forçat», à
Saint-LaUrent-duhMu*qni (Guyane). Elte
compT^id hd (poputeSie, un ate
lier et'un asile de nuit fl ¡s’agît de v«iir
en aide aux forçats'dihêfés, ivfetiriies «Îe
TodieUX isÿstèrne du doublagie,“ qui tes don-"
traint à (rester,, dans la colonie après leur
témips de peine.-tB-i'" - ' ii. " ¡s-.r ^
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capitano, Mcmdovì 'Piazza '(2,50) : . Bertinat
Mariet BOlMo PeUlce ' (2)' - Boiinous Perdi-'
nandfc, Toirino (^5). - Mala,a L-uigi, Luserna San Giovanni (2) - Gysel-Peyronà, Hofden, Zurich ^"(1) Jaüine Célestin, BàUduA-slif-mer''(1) - ’
Hinldey Ry^diC, Sitfféy,;‘Màih6‘;(i) - Peyronel
Hèli,Ì San Secondo (2) -‘Gay Matilde, VUlaC'-.drf
PeUice (2) - Ténente-cólonoiéUo. Grül iLulgt '’'t
Acqui (1;0) - Schreiber Amliandq Pinerdlo ((5)
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PINEROLO “-‘PaJstore Luigi Marauda.
POMARETTO 'v Pastore Guido'Comba. I
PRALI -. Cand. TeoL Lamy Coisson. rtoi; f.'.
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rostau.
PRAROSTINO - Pastore : Guido Rivoir.
RICLARETÌX3 - Pastore : Guido 'MaJthieu.
RODORETTO - Pastore : Giovanni Tron.
RORA’ - Cand. TeoL Arturo Roetagno.
S. GERM. CHISONE - Pastore : Enrico Tron, J.
torre PELLICE - PastOTe ; Giulio Tron.
■VILLAR .PELLICE r Pastore : Roberto Jahier.
‘kjj'jU'
■ : 'Ò'
Pastore i: k
ABBAZIA - «Chiesa di Cristo?».'Culto' alle
ore 16- ‘Pastore: ITaldo Vinay, da Piume.
AOSTA - Chiesa; 3, Rue Cróix de Ville - Pastore : Giovanni Miegge. i . .
BARL «, Chiesa - Pastore: G. Moggia, Piazza •
Garibaldi, 63. '
BIELLA - Chiesa ì Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario - Evangelista Diodato Rosati, Gasa Fiorina, Via Mirabello.,
BORDIGHERA - Chiesa : Piani di Vallecrosia^
- Pastore ; Davide Pons.
BORRELLO - Chiesa Evangelica.
BRES^A - Chiesa ; Via dei MiUe, 4 - Pastore :
Arnaldo Gamba, ivi. ..
BRINDISI - Chiesa: Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Pastore i Antonio Miscìa*
CALTANISSETTA - Chiesa: Via'Maida,! 15 Pastore : C. Bonaria, ivi.
CASALE MONFERRATO - Chiesa: Via Filippo Mellana, 3,.-„ •
OASTELVENERE - Chiesa Evangelica.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 22 - Pastore ; Teodoro Balma, ivi.
CERIGNOLA - Pastore: Alfonso 'Alessio, Via
G. Tortora, 13.
CHIETI 7 Chiesa Evangelica.
- Chi^a EvangeUca - Da Torre Penice.
9 "Pastore:
Binaido Malan,
CORATO - Chiesa Valdese: Via Garibaldi Pastore : Giuseppe Castiglione.
COURMAYEUR - Chiesa Evangelica - Da Aosta.
CUNEO - Chiesa : Via Alba,' 47.
FELONICA PO »• Chiesa 'Evangelica
Enrico Geymet, ,,, , i
FIRENZE - Chiesa di Vià''de’ Serragli, 51 Pastore : V. Sommani, ivi.^ki. Chiesa di Via
Manzoni, 13 .£ Pastore ; E., Meynier, ivi.
FIUME - Chiesa: Via Pascoli, 6. Culto aUò
ore'-10 -■) Pastore : Valdo Vinay, Via Air
ghebe», 10. .
FORANO - Chiesa Evangelica - Pastore : Paolo
Oolsson.
GENOVA -j Chiesa: Via iVssarotti - Pastore :
EmUio Coreani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa Evangelica - Da Caltanissetta.
IVREA - ChiesaV .Corso Botta, 5 - Pastore;
Arturo Vinay, Casa Rayero, Piazza d’Armi.
LA MADDALENA’--‘Chiesà EvangeUca. - »
LIVORNO - Chiesa : Via G. Verdi, 3 - Pastore ;
Attilio Arias, ivL ...
LUOCA - Chiesa.' Via Galli’Tassi,' 18.
LUGANO - Pastore : Giovanni Grilli, Vialé
Franscini, 11. ,
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : .Via Maddalena,-112 - Pastore: Seiffredo Oolucci, Via Risorgimento
isol. 122.
MILANO - Chiesa di S; Giovanni in Conca ;
Piazza Missori, 3 - Pastore : Luigi Rostagno, Via Stradivari, 1 - Coadiutore: Cand.
TeoL Tullio Vinay: — Chiesa di Via Edmondo De Amicis, 4 - Pastore : Francesco
Peyronel, Piazzale Libia, 5.
NAPOLI - Clüesá - Pastore t Mariano Moreschini, Cotso Vittorio Emanuele, 42.,
NEW-York - Prima Chiesa Valdese - Pastore •
Pietro Griglio, 18 'West - 123 rd Street.
NIZZA - Chièsa : Rue. Gioffrèdo, 50 - Pastore •
Alberto Prochet, ivi. .
ORSARA DI PIJGLIA - Pastore : Alberto Ribet.
PACHINO - Chiesa'"' Evangelica.
PALERMO - Chiesa; Via Spezio, 41 - Pastore •
Elio Eynard, ivi. - v
PESCO LANCIANO - Chiesa Evahgeliea - Evangelista C. A.. Arnotilet.; ‘
PIANI DI- VALLECROSFA -¿Pa^tot'O-, Davide
Pons, Istituto Femminile Valdese.
PIEDI cavallo - Chiesa: Via Carlo "Alberto.
PISA - Chiesa : Via Detna," 15 —Pastore : Alberto Fuhrmàhri, Via Derna,"l7.
REGGIO CALABRIAii- Chiesa: Piazza San
Marco, 4 - Pastore: Enrico Pascal, Casa
di Nava, Via Demetrio Tripepl, 149.
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RIESI ; Chiesa Evangelica - Pastóre Ùmberte Beri. •. '-i i.
■ RIO MARINA - Chiesa Evangelica » Evange
■ lista dott. Amato BUloiir. ‘
ROMA - CJuesa di Via Quattro Novembre, ,107
* - Pastófé : Giovanni Bonnet; fvL '-^ Chiesa
VI di Piazza Cavour (Culto alle ore 17.30) -i
Pastore : Paolo Bosio, Via Marianna Dio,-l nlgi, 57. ■ . • '■
SAMPIÉRDARENA - Chiesa : Via Giosuè Car. 5 .ducei, IG - ;Pa§tore : Gaplo Lupo. . , ,
SAN fitACOMO’DEGLI' SCHIAVONI - Chiesa
TI Evangelica'!> Anziano-Evangelista Scarincivti.]
. Giuseppe, ivi. . :
SANREMO '- Chiesa: Via Roma, sk Pastore:^'
Ugo Janni, ivi. - -»i HN- ‘h;!
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Domenico,'5-T.. - Pastore: Eugenio Revel, ivi.
SIRACUSA - Chiesa : Via Ca'TOiir (Culto il Mar' tedi alle ore 18). 4
SUSA - Ciai^a : Via Umberto. I, 14 - Anziano’ Evaiigel|sta Pietro VarveUi, ivi.
TARANTO Chiesa - Pastore: Gustavo Ber-.-(.
■■ ■- tin. Corso Umterto, 76.
TQRINO - Chiesa: Corso; Vittorio Emanuele II ‘
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore :
U Alessandro Simeoni, Vìa Pio Quinto, 15 —
Coadiutori : Pastore emerito Augusto Jahier e Cànd. Ted. AchUle Deodato, ivi.
IRIESTE - Chiesa: Via S.,M. Maggiore - Pastore : G. del Pesco, Piazza deUa Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa : Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Giov. Bertinatti, ivi.
VERONA - Cliiesa i Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Pastore : Arnaldo Comba, da
Brescia.
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore : Arturo Mingardi, Via Garibaldi, 60.
Il culto principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 11 circa della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Pastore. V. Alberto Costabel,
moderatore - Pastore Antonio Rostan, segretario-cassiere - Via Quattro Novembre,
107, Roma (jOl).
FACOLTÀ’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cossa,
42, Roma (126) - Professori : (?. Bostagno,
Ernesto Comba, Davide Bosio.
ifi LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Fellìce - Preside : Prof. D. Jahier.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Ernesto Comba, presidente ; Davide Bosio,
Enrico Meynier, Antonio Rostan, Profes;:à: sore Edoardo Longo.
convitto' MASCHILE - Tbrrè PeUice - Di. rettore : Pastore Davide Forneron,.
istituto FEMMINILE VALDESE - VaUecro.3ia - Direttóre'';' Pastore Dattde Pons..
ORFANOTRQFIO PEMMINTXiE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.ria Adele Arias.
ORPANOTROFIO MASCHILE (Istituto Gould)- Via Serragli, 51, Firenze - Direttore;:
Pastore V. Sommani.
OSPEDALI VALDESI - a Torre PeUice - aPomai’etto - a Torinp,-Via Bepthollet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede,: Pomaretto (Torino) -‘ Direttóre V'Pastóre Luigi
Marauda, Pinerolo.
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ASILO PEI VECCHI - Luserna San GiovanniASILO PEI VECCHI - San Germano Chisone.,
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COLONIA VALDENSE (Dep.to de Colonia) —
Rastore Ernesto Tron.- ' ' -.........
COLONIA COSMO! OLITA-ARTILLEROS (Departamento de- Colonia) - Pastore EnricoBeux — Pastore emerito Pietro Bounous.
TARARIRAS-RIACHUELO SAN PEDRO (Departamento de Colonia) - Evangelista Emilio Gan-z.
OMBUES DE LAVALLE-COLONIA MIGUELETE (Dep.to de Colonia) - Pastore CarloNegrin, Ombues de Lavalle.
COLONIA DEL SACRAMENTO (Dep.to de Colonia) - Evangelista Diego Nimmo.
ROSARIO (Dep.to de Colonia) - Evangelista
Giovanni Pietro Gönnet.
SAN SAL'V'ADOR (Dep.to de Soriane).
COLONIA NUEVA VALDENSE' (Dep.to deRio Negro) - Visitée pérlodiquement.
COLONIA NIN Y SILVA (Dep.to de Paysandù)
- Visitée pérìodiquemeut.
Argentina.
COLONIA IRIS (Pampa Central) - Pastore Sil■vdo Long, Estación Jacinto Arauz, F. C. S.
COLONIA BELGRANO (Provincia de Santa
Fé) - Evangelista Eraldo Lageard, Esta01011’'Wildermuth. F. C. C. A.
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