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Soixanttì-treizièrae année
24 Septembre |p7-XV
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PARAISSANT CHAQTÍE VENDREDI
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PRIX D-ABONNBMBNTr Par ^..r a mai«
Italie et Colonies italiennes ...... L. 10,— 6,—
Etranger .....................................» 24.— 12,—
Plusieurs abonnements à la même adresse . • 22.
Ob • abonne : à Tone Pellict, au Bureau d’Administrauon de l’EcAo (Via Wigram, 21
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
jProf.. Luigi Micol ■
TORRE PELLICE
L'ABOKNBMBNT H PAve D'AVMUCe. %
S'a tresser pour l’AsbnlniatrattoB, au Bartau du fwrnal, Via Wigtam, N° 2Torre PeUice, ' ■
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
< Tous les changements d'adresse coûtent fo ccotimca, sauf ceux du commencement de l’année.
Lû oninéio: 25 oentimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables.,., di^es de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
jT méditer
Expérience chrétienne.
Je me suis souvent demandée, comment
il se pouvait que des âmes amenées à l'a
connaissance de lâ Vérité, à la communion avec Dieu, des âmes qui, après avoir
goûté, pour un laps de temps plus ou
moins long aux célestes douceurs, retombent dans l’incrédulité et dans le péché.
Hélas, Satan, l’imposteur par excidlence,
cherche continuellement et par tous les
moyens de nous faire tomber. C’est pour
cela que notre Seigneur nous dit « de tenir ferme notre sal'ut pour que personne
ne ravisse notre couronne » (Apoc. III, 11).
Je viens de passer moi-même par cette
expériençe et j’ai réalisé pleinement ce
qui .suit ;
Dans l’Evangile selon Saint-Jean, chapitre 111, verset 3, Jésus dit à Nicodème
« qu’il put naître de nouveau pour voir
le Royaume de Dieu ». Ici lé Seigneur
parle de voir ; immédiatement après II
parlera d’entrer dans le Royaume’.
En effet, notre mentalité naturelle ne
peut ni comprendre {voir) ni assimiler
tes choses spirituelles si ce n’est sous l’influence du Saint-Esprit. Par Lui nous
sommes admis dans la connaissance de
l’amour et de la puissance de Dieu ; par
Lui nous croyons à toute Sa 'Parolé et à
toutes Ses promesses ; c’est Lui qui nous
guide le long de l’étroit chemin de la Vie,
et contrôle chaque pensée ou action !
Mais qu’un doute sacrilège, soufflé par
le malin ou par ses innombrabltes créatures, morde notre cœur ; qu’une pensée ou
action mauvaise devant la Très Saint, nous
fasse échoir, et.l’Esprit de Christ, contristé, se retire.
G’efst alors que lés yeux qui voyaient si
clair s’obscurcissent, et qu'insensiblement
on devient des enfants de ténèbres, oubliant ce que l’on avait reçu et niant ce
que l'on avait connu. Quelle tragique,
épouvantable situation : abandonné par
Dieu à notre folie, ingratitude et confusion.
Frères et sœurs en Christ,' je voudrais
vous mettre en garde. Si vous sentez refroidir votre foi, ralentir votre piété ; si
vous avez accueilli de dangereuses théories philosophiques (voyez Epître aux Coiossiens, chapitre II, verset 8), qui ont sapé
la base de vos saines croyances, sachez
que .vous êtes en danger, que l’Esprit
Saint s'est retiré de vous, vous laissant
sans force contre l’etrinemi et abandonné
à. vous-mêmes.
Et alors, empressez-vous de crier à l’Eternel. car II est fidèle et compatissant ;
II vous reviendra apportant Son pardon.
Sa paix et la foi candide de l’enfant ainsi
qu’il chérit. A. C.
Lorsqu’au mois de septembre 1932 on
me confia, la direction de i’Echo des Vallées. je pris avec mm-même l’engagement
de rester à la tâche pendant cinq ans.
J ai ( t( fidèle à la promesse faîte à moimeme et j'ai tenu jusqu’au bout. Depuis
quelques mois j’ai donné ma
et demandé d’être déchargé de la, direction
a partir dti^ 1®’’ octobre,. Ce numéro est
donc le dernier qui paraît sous ma resfponsabÛité.
En me séparant du journal, je tiens encore à remercier mes collaborateurs et mes
correspondants, ainsi que les lecteurs qui
m’ont témoigné quelque reconnaissance et
un peu de sympathie.
Un gros merci aux collègues — pasteurs
et professeurs — qui m’ont remplacé pendant l’été.
Louis Micot..
Soirées Synodales.
Andition de chants religienx italiens.
Mardi 7 septembre.
Ce fut sans doute la réunion la plus
nombreuse. L'entrée des choristes est saluée par de longs a^iplaudissements ; après
la prière d’invocation de M. G. Del Pesco,
on entre tout de suite « in médias res ».
Le pasteur M. Ugo Janni annonce les titres des chants et te pasteur M. Mariano
Moreschini lit les paroles. Le programme
comprend deux parties, chacune de sept
chants, tous magistralement exécutés sous
l’impeccable direction du pasteur M. Eugène Uevd. Nous transcrivons toutes les
indfcations du programme, en nous permettant quelques simples remarques, d’im
caractère très personnel. N. 1 : « Laudate
Dominum » (nous n’aimons pas du tout
les titres en latin, pour des raisons qu’il
est aisé de comprendre) - musique d’un
inconnu du XVI® siècle ; N. 2 : « In vetta
al Golgota» (musique de P. L'. da Paîestrina, 1524 ; paroles de Ed. Taglialatela). Ces deux premiers nous ont beaucoup plu : on peut les accepter comme
chants protestants (le titre die « Canti religiosi italiani » donné au recueil nous'
semble trop générique). Le N. 3 («Sanctus», musique de G. G. Carissimi, 1605),
nous a un peu moins satisfaits. Les paroles du N. 4 (« Pane Nostro », de M. Moreschini ; musique de Benedetto Marcello,
1636) , quoiqu’elles soient hautement poétiques, nous semblent appartenir à un domaine qui est à côté de celui religieux.
Nous n’avons rien à remarquer à propos
du N. 5 (« Nunc dimittis » : parofe de
B. Taglialatela ; musique de F. Rossi,
1645) ; la melodie du N. 6 (« Pace » r paroles de M. Moreschini ; musique de Niccolò Piccinni, 1728), nous a semblé quelque peu monotone, et celle du N. 7, « Na
taie », peut-être pas assez joyeuse pour
la circonstance (paroles de M. Moreschini ;
musique de Felice Blangini, 1781).
A la fin de la première partie du programme, le doct. Janni dit que onze des
quatorze chants de ce soir ont déjà été
publiés. La seconde série est déjà presque
prête, et l’orateur se recommande à son
public pour te bon débit de la future édition. Il ajoute que tes chants exécutés jusqu’à ce moment sont tirés de mélodies
d’auteurs classiques italiens ; aussi pour
ce qui est des musiciens allemands, etc.,
on a tiré des chants religieux die morceaux
composés dans d’autres buts. M. Jlanrti
a auæi quelques traits polémiques dans
Son discours ; il nomme pigmei ceux qui
ne partagent pas son opinion sur tes
chants protestants extraits de musiques
catholiques. Il insiste sur la nécessité qu'a
la mélodie de colorer te sens des paroles,
et termine en souhaitant une bonne carrière poétique à M. Moreschini. De longs
applaudissements saluent la fin du discours Janni. La parole est ensuite à
M. Moreschini, qui proclame que le
christianisme est né en chantant, que
Jésus èhantaiit, que la Réforme est
née en chantant, que les Vaudois ont
toujours chanté. Il trouve qu'une nouvelle période s’annonce pour l’Eglise, vu
ce besoin de nouveaux chants, et qu’ü
faut retourner à la forme poétique sim
pfe et naïve du XIII® siècle, de k lauda,
dés -Fioretti de Saint-François.
M. Moreschini est aussi bien applaudi,
el fesécution die k deuxième partie du
programme commence par «Giorno di
luce » (N. 8, paroles d'Ines Ferreri-Piacpntini). La musique, de Carte Pedron,
njalgré son incontestable valeur artistique, nous a semblé plus appropriée à une
cltónson ou à une romance qu’à un chant
religieux. Mieux pour le N. 9 (« Cristo liberatore», parûtes de L. Clerico; musique de Giuseppe Moschetti); bien pour
le N. 10 (« Comunione dei santi in Cristo »,
paroles de I. Ferreri-Piacentini ; musique
d’Edmondo De Vecchi), quoiqu’il soit
peut-être un peu trop vocalisé par-ci
par-là. Le N. 11 («Scendi in me», paroI les de I. Ferreri-Piacentini ; musique de
I IVferio Tarenghi), nous a semblé un des
mèiUeurs : il tient bien *du type du choral protestant. Nous avons aimé te N. 12
(« E’ risorto », paroles de F. Taglialatela ;
tpusique de Carte Pedron), et encore plus
te N. 13 « Presso k cuna », paroles de E.
Tagliaktela; musique de Giuseppe Moschetti), grâce surtout à son exécution
vraiment admirable. Enfin (N. 14) le « Te
Deum laudamus» d’Edmondo De Vecchi
(paroles d’Aldo di Lea), est IVinique qui
reproduit fidètement l’Hymne arabrosien.
La soirée est close par k prière du vénérable pasteur émérite M. Arthur Muston.
Le nombreux puWic a manifesté son
admiration et sa satisfaction aux braves
choristes par ses applaudissements répétés quatorze fois. Ils ont dû soutenir une
rude fatigue pour étudier ces quatorze
morceaux difficiles. L’Eglise Vaudoise se
distinguerait bien plus dans te chant si
tous tes pasteurs pouvaient vanter k même compétence que M. Eugène Revel.
Ces chants, pour lesquels te doct, Janni
se donne une peine si noble et si appréciée, à cause de Heur difficulté ne pourront
jamais rempkcer les vieux cari tiques ni
prendre place à côté d’eux ; ils pourront
être préparés par tes chorales en certaines occasions soIènneUes, et teur exécution plus soignée les fera goûter encore
davantage. Cek est d’ailleurs déjà arrivé.
Les Vaudois et tous les protestants d’Italie sont reconnaissants au doct. Janni et
à ses collaborateurs pour cette œuvre si
importante et si digne d’attention et de
soutien.
RéQDiOD d’ËvangélisaüoD.
Mercredi 8 septembre.
Le public n’était pas aussi nombreux
qu à la soirée de chant ; un trop grand
nombre de membres du Synode, kïques
et pasteurs brillaient par leur absence. Ils
ont perdu une soirée du plüs haut intérêt.
Après l'invocation et te chant du cantique 235, te chev, Albert Prochet, pasteur
à Nice, qui préside, lit quelques versets
dans 1 Corinthiens IX, 15, et élève à Dieu
une prière, après quoi il présente lès pasteurs MM. Antonio Miscia et Vaido Vinay,
qui parferont après hii. M. Prochet s© réjouit de se voir entouré de jeunes, qui
sont k promesse de l’avenir. Il rappelle
son séjour à Palerme, dans son jeune âge,
comme aide de M. Arthur Muston, et te
beau temps qu’il a passé en ®cile. Il dit
qu’il faut savoir trouver k manière de
toucher les âmes, et à ce sujet il raconte
quelques épisodes siciliens, avec beaucoup
d’humour, que le public apprécie liautemen£. M. Prochet rappelle qu’après k Sicile il' a été à Rome, et puis dix-huit ans
à Turin. Ces différences de.latitudes lui
font dire que tes systèmes d’évangélisation
ne peuvent être les mêmes, par exemple
en Sicile et à Turin. A Nice, M. Prcchet
a eu des moments de grand découragement ; il prockme solennellement sa haine
pour l'indifférence.
C'est ensuite M. Antonio Miscia qui a
k parole. B! travaille pour l'Evangile en
PouiUie; Iterateur fait une véritable leçon de géographie à propos de Corato,
gros centre agricole, et de Bari, grande
ville complètement renouvelée. A Corato
îl y a une église nombreuse, mais pauvre ; ele possède cependant un beau local dans une rue centrale, et M. Miscia
raconte quelques épisodes qui démontrent
l’ardeur évangélisatrice de ses ouailles.
— A Bari on respire une atmosphère spirituelle et fratemèlle, et l’orateur cite
les faits pour illustrer te zèle de ses membres d’église. On a, à Bari, le même idéal
qu’aux Vallées Vaudoises.,
M. Prochet remercie M. Miscia au nom
des auditeims, et donne la parole au pasteur de Fiume, M. Vaido Vinay, Les origines de k communauté protestante de
Fiume remontent à environ soixante-dix
ains ; il s’agit, aujourd’hui, d'dn groupe
d’environ trois cents âmes; de différentes
nationalités. Ce cosmopolitisme rend plus
difficile l’œuvre; il n’y a pas d'internationalisme, mais plutôt du supermationalisme. Souvent des catholiques assisrtent
au culfte par curiofeité, puis s’intéressent
et se convertisserib. On soigne beaucoup
l’instruction biblique. M. Vinay porte un
éloge spécial aux femmes de l’église de
Fiume, qu’il appelle de vraies diaconesses
volontaires. Il conclut en disant que k
communauté des disciples doit se transformer en une communauté de témoina
Tous les orateurs sont chaleureusement
applaudis,' et le modérateur, prof. E.
Comba, clôt k belle réunion par une prière
appropriée à k circonstance.
Séance de la a Pra del Torno ».
Vttndredl 10 saptembr«.
Le vendredi soir te public se réduit, car
beaucoup des membres du Synode partait dans l'aprè^-midi. C'est dommage;
pourquoi réléguer k séance synodale de
k «Pra del Torno» au vendredi, tandis que te jeudi soir était libre ? (Il y a
eu une séance extraordinaire du Synode,
qui n’était pas du programme).
Le président du Synode, prof. David BoÚO, ouvre la réunion par k prière ; après
te chant du cantique 211, il lit quelques
versets dans Jean X,. et adresse un court
message aux présents. Par le Christ on
passe des ténèbres de l|a superstition à k
lumière de l’Evangile; celje lumière est
donnée par le service chrétien. Après un
autre cantique, te « pradeltomese » Eoêert
Mrüan lit te rapport du Bureau de k Société sur l’activité de Iknnée 1936-1937.
Les réunions présidées par les membres
ont eu teur rythme normal L’beuvre de
la « Pra del Tomo » se déroute au mileu
des étudiants ; bien des pasteurs ont senti
leur vocation dans ce milieu. Les sections
de Catane, Florence et Rome ont validement collaboré. Le bilan de Feixercice
-
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rag.
L’Echò des VaHêes^^-V
di""24 Septembre 1937-XV
f, ^ Af ,A ^ ^ '■* t,
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'îî».-’'-'"^ ., '.Vt--- ' v„,,-?' ■-■. .%i|'
s’éllève au chiffre de-L. 34X9,50.
pasteurs MM. Gustave Benino doct'Oreste
Peyronel, Ermarmo Ri^tan,^ prof; ’Gioì».
.^, Miegge prennent la parole pour dìe courtes allocutions, et portent leur ^ìoge à Fao
tivité de ’’oes, jeunes étudiants., r ;. ^
Ensuite fe candidat en théologie M. Alfred Janavel, ancien président dé la « i¥a
del Torno», adresse un'fervent message,*'*
_ en prenant *pour.feacte l'a devise de la Société : « Que ton Eègne viennte ». Il dit
que la mission ’du chrétien n’ealb pas'seulement celte d'évangéliser dans les pays
éloignés : nous devons tout, d'abord être
des missionnaires envers nous-mêmes, et
ensuite envers ceux qui nous entourent ;
tous, pasteurs et laïques. La de^e de
la «Pra del Tomo» ne doit pas occuper
seulement l’épqque pendant laquelle on
appartient à la Société, mais toute la vie.
—■ Après la belile méditation dé M. Janeivel, la note missionnaire vraim^t pratique ^t dminée par M. Robert Caisson,
qui revient du Zambèze. Il raconte d'intéressantes anecdotes sur la mentalité des
indigènes, qui s'affectionnent beaucoup
aux missionnaires. L'orateur rappelle les
temps désormais éléignés de François Coillard : il cite des épisodes- qui démontrent
la vitalité de l'église indigène, et rappeUe
que les Vallées Vaudmses ont commencé
à s’intéresser aux missions dès 1828. Il
termine en souhaitant que de nouvelles
vocations missionnaires se déclarent.
C'est ensuite M. le capitaine Giov, Bertinatti, notre aümmiier en A. O. I., qui
s’adresse à l’assemblée. Comme ancien
membre de la Pra del Torno », il salüe
les jeun^ et rappelSe que Georges Appia lavait poussé à aller en Afrique comme missionnaire. Dl y est alé maintenant,
sous ime espèce différente. L’orateur rappeüfe le devoir missionnaire de l’Eglise
Vaudoise ; il parlé de la foi personnelle
des indigènes et porte les salutations du
pasteur indigène d’Addis-Abeba. Les membres de la ^ Pra del Torno » doivent maintem’r leur foi intacte ; le règne de Dieu
viendra. Comme tous ses prédécesseurs,
M. Bertinatti est longuement applaudi, et
le prof. Bosio remercie tous lés orateurs.
Le cantique des missions (N. 239) et la
prière du pasteur M. Henri Tron, junior,
terminent la soirée. A Tissue, une collecté
est faite en faveur des missions.
^ ^
Ces trois réunions, de type totalément
différent l’une de l'autre, ont laissé la
plus belle impression sur le public qui les
^ ^suivies, et nous répétons ps.r lig'nos
ta reconnaissance qui est due aux orga“
nisateurs de la part de ceux qui ont pu
en tirer profit pour leur instruction et
leur édification. emm. t.
CHRONIQÜE VAimOISE
TOUR, Dans la matinée de samedi
dernier, M. Paad Jourdan s'est uni en
mariage avec M.Me EMa Eymrd, Nous demandons à Diéu de bénir ce notuvteau
foyer.
★ Dans Faprès-midi de ce même jour,
le Pasteur célébrait le mariage de M. Aldo
Hugon et de M lle Aline Jmrckm. De
nombreux amis et connaissances étaient
venus au templé pour assister à la cérémonie et pôur prendre part à la joie des
nouveaux mariés. Une quarantaine d’invités se réunirent ensuite à la Pension
Dante, pour une récéption, au cours de
laqueBé les meilleurs veeux de bonheur
furent renouvelés à l'adrftsse des époux.
★ L'Asile d'enfance s’ouvrira te l«*" octofcre prochain.
★ Une épreuve particulièrement pénible vient de îrapper la famille Rivoire
(cordonnier), desi Bouissar par la mort du
fils Chorles, Rien ne laissait prévoir ce
deuil, qui vint soudainement, dimanch©
apnèsHmidi Nous denmndons à Dieu de
vouloir soutenir dans leur grand chagrin
la jeune femme et ses deux enfiints, ainsi
que te père et la mère et toute la famille. Il est «nsolant de croire que Dieu
est te père des orphelina, te omseiller des
veuves et te soutien de tous ceux qui se
confient en Lui.
• ■ LdUDRES. jL'Eglise Suisse de Londres^
a perdu son pasteur, M. René Hoffmann^
de Visme, rappelé à Dieu le Ç sesp^teiftbre.^
C'est un hommage ému que je rends àfj
sa mémoire, car je me rappelle son amar'^
bilité, et sa grande âme. Ê,
Une famille vaudoise de Londres nous^
écrit son profond regret pour cette perte ; P
car M,- Hoffmann de Viame était un*'^^grand ami des Vaudois et notre délégué &
était toujours te bienvenu dans l'Eglise
de Endell Street. Notre correspondante ^
parte du bien qu’il a fait aux yaudoisf^
de Londires, qui trouvaient dans son Eglise ¿y
une maison de Dieu et en lui te bon pas-^
teur, les enfants te guide d’un bon père. T
M.me Hoffmann de Visme est morte l
depuis quelques années et on a publiéf,d'eUte des lettres bienfaisantes, traduites
aussi en italien.
Nous exprimons aux enfants de M. Hoff-1.
m^lnn de Visme, notre profonde sympathie. ■ '
RORÀ. Il est temps d'interrompre notre long sflfence pour donner de nos nouvelles à nos amis et leur dire que nous
avons passé un exceBent été et que notre
programme d’été a obtenu les bons résultats que nous avions espérés.
Les villégiateurs ont été, cette année,
beaucoup plus nombreux que par te passé.
I^rmi eux nous avons eu la joie de compter une trentaine de familles évangéliques : la plupart vaudoises, quelques-unes
baptistes. Nous leur avions adressé une
Circulaire, pour leur offrir notre communion fraternelle et pour tes inviter à
s’unir à nos activités estivales : plusieurs
répondirent avec empressement et nous
donnèrent pendant tout leur séjour à "
Rorà l'exempte le plus édifiant de leur
piété et de teur zèle.
Au premier rang parmi ces dernières,
nous devons rappeler quelques famülés
pastorates et missionnaires, dont les chefs
acceptèrent gentiment de présider des
cultes et dont tes membres s'efforcèrent
de mille manières différentes de se rendre utiles et de faire quelque chose pouf
la paroisse. Nous désirons remercier sincèrement à cet endroit M. R. Nisbet, A
Muston, R. Coïsson, D. Colucci, S. Colucci,
A. Genre, L Rostagno, qui, depuis le
mois de juin, ont présidé des cultes qù
des réunions au Centre et en ptein aif.
Grâce à leur aide et à celui d’un jeune
homme de la paroisse, nous avons pü
avoir aussi une petite série de réunions
à Pian Prà et à la Costa qui, sans
avoir un trop grand nombre de participants, se sont toutefois démontrées assëz
utilès. f
Pendant toute la saison d’été a aussi
fonctionné régulièrement un cours dte
l’école du dimanche pour tes enfants des
viBégiateurs et pour les Rorengs qrà
n’étaient pas à la montagne. Sa fréqueûtation a marqué sur les années précédentes un progrès satisfaisant et le petit
groupe, formé par des enfants provenant
d’Ivrée, de Mantoue, de Turinj de Rome,
de la Sicile et de trois ou quatre paroi^
ses différentes des Vallées, offrait l'aspect
le plus sympathique. f
La jeunesse die Péglise, très prise pâr
ses travaux d'été, a tout de même pu of;
frir aux amis venus de loin’ deux bonnes soirées récréatives. . ç.
Comme par le passé, te Bazar qui a eu
lieu le 15 et le 22 adût, a donné du travail à tout le monde et imposé des sacrir
fices à maintes boursea H nous est iinpossible de mentionner tous ceux qui nottii
ont tant aidés et qui mériteraient qu^Mi
tes remercie publiquement. Nous nous limiterons seulément à leur dire que le
fruit de leurs efforts a dépassé considiérahlément celui des années précédientes
et a été bien au-delà d© ce que nous aurions osé espérer.
L’activité la plus caractiéristique et la
plus béru'e de la saison a été sans doute
celte du « culte de famille », célébré tous
tes soirs dans une petite salle, au rez-dechaussée du presbytère, depuis te 8 juillet jusqu’au 31 août. Tous Ites voisins, soit
Rorengs que vflîégiateurs, se groupaient,
à 21 heur^ précises, autour d’un petit
harmonium, pour chanter à pleine vmx
~. quelques cantiques, lire la Parole de Dieu
et prier ensemble. Tour à, tour, on dca>
• nait • là'bienvenue aux nouveaux , arrivés
et on disait adieu à ceux qui partaient ;
‘•'il se formait ainsi des liens spirituels
et des rapports d'une amitié fraternelle
. qui maintiendra longtemps en communion
■ des frères disséminlés dams tes régions les
plus éloignées de notre patrie.
Voilà pourquoi nous bénissons Dieu
pour l’été magnifique qu’il nous a donné
et nous reprenons notre marche regardant à l’avenir avec plus d’entrain et plus
d'espoir que jamais.
SAINT-GERMAIN. Dorénavant, le culte
principal aura lieu à 10 h. 30. Dimanche
prochain, nous aurons la joie de connaître et d’entendre le pasteur Luigi Eosta^
gno, qui présidera le culte.
★ Dons reçus avec reconnaissance :
M. et M.me Pelletier, Marseille, pour notre église, L. 100 - Feu David Balmas,
pour notre église, 500; pour l’Asile des
Vieillards, 500 ; pour l’Asile des’ Enfants,
5oa
★ Deux mariages ont été célébrés, la.
semaine dernière : Jules Martinat avec
Rita Martinat, et Henri Bouchard avec
Louise Grill, Nous souhaitons à ces époux
que, par l’aide de Dieu, dans leurs nouveaux foyers, la piété, l’harmonie et là
joie régnent toujours!
★ Nous avons remis au Caissier de l'a
Table L. 3.000 {trois miUe lires) pour
l’appel S. O. S. Eméritatûm. Tous ceux
qui ont donné ou collaboré pour la réussite du Bazar seront heureux d’apprendre quelle a été la délibération du Consistoire quant à l’emploi des recettes.
Il y a des églises plus petites et plus
pauvres que la nôtre, qui ont répondu
plds généreusement que nous à l’appel
S. O. S. ! Les paroissiens qui possèdent
quelque chose au soleil ou dans leurs livrets d’épargne où à la banque peuvent
envoyér leur offrande dans ce but à la
Table ou à leur Pasteur avant te 31 décembre.
★ Nous remercions vivement M. le pasteur Paul Bosio de la journée qu'il a accepté de consacrer à la jeunesse de notre
paroissq. Son sermon au culte du matin a
obligé la nombreuse assistance de réfléchir aux problèmes les plus graves de la
vie intérieure et d a préparé lès âmes
à la célébration de la Sainte-Cène.
L’après-midi, les jeunes les plus actifs
et dévoués de notre église (près de 80
personnes) se sont réunis dans là Sale
des Activités. Le but de la réunion était
d’entendre les résultats d’une enquête que
te Pasteur avait lancée ce printemps, sur
la Moralité de ta Jeunesse, «A quête dangers la jeunesse est-elle particulièrement
exposée ? De quels moyens et de quelles
tentations le Malin se sert-il pour nuire
à l’âme et nous rendre malheureux ? Comment peut-on résister aux ruses de Satan et élever te niveau moral,' de la jeunesse ? ».
Soit dans les réponses écrites soit pendant la réunion, notre jeunesse a donné
la preuve d’être fournie de beaucoup de
sérieux et de bon sens. Ce dont nous nous
réjouissons et remercions Dieu !
M. Paul Bosio a insisté tout particulièrement sur le troisième point et a montré quête sont tes moyens pour vaincre
tes mauvais penchants de notre nature et
résister à Satan. Les exemples de Saül et
David ©t du « vacie » du Lazará se sont
gravés dans notre esprit.
Après une courte all'ocution et la prière
dites par M. te pasteur Rostan, chef de
groupe, nous nous sommes séparés de notre hôte M. Bosio, non sans hii avoir té^
moigné notre reconnaissance par une forte
poignée de main et notre ardeur chrétienne par te chant de F« Inno alla Fede ».
L’homme de bien juge justement de
toutes, choses, et dans chacune he vrai hd
apparaît. Aristote.
* * *
Ühomme moyen, par instmet, croit
que tout ce qui brûle est or, et il a souvent beaucoup à souffrir avamt d'apprendre 6» vérité.
Ir
Q..Î V.
.Quoique en retard, nous désirons donner ici un bref aperçu des travaux du
Vil® Camp-Gongrès de Pomaret.
Les paraboles du Royaume de Dieu ont
formé l’objet d’une étude profonde^ te
jeudi matin. MM. les pasteurs dioct. A.
Ricca et H. Geymet ont introduit la discussion ; l'un a analysé, d'une façon intéressante et complète, le concept du
Royaume de Dieu, comme te bien suprême de l’homme, et en a esquissé l’histoire ;
l’autre a fait ressortir la valeur et la puissance révolutionnaire de ce bien suprême. La discussion qui a suivi, a démontré
que notre public était à même de comprendre la gravité des problèmes que différents intertecuteurs (MM'. J. Miegge,
V. Vinay, A. Ribet, P. Bosio entre autres), posaient tour à tour. •
^ ÿ ^
La jeunesse et la vie : un sujet bnùlant, que MM. A. Comha et T. Vinay ont
présenté à 150 jeunes gens, réunis sous
les sapins de Prali ; làissant de côté la
théorie (qui du reste formait quand même la base solidfe de la discussion), on a
eu égard surtout à l'action. Quelles sont
les différentes voies que la jeunesse veut
parcourir ? Et quelle est la responsabilité
de l’Eglise, à l'égard de cette jeunesse ?
Des demandes franches, qui exigeaient
des réponses loyales ; la confession d'erreurs passées, la promesse d'une consécration plus profonde à l’appel' du Maître.
L’Eglise a-tr-elte sa jeunesse, une légion
d’âmes d’élite, de témoins ? Où la jeunesse croyante pourrait-elle puiser des
énergies nécessaires pour le grand combat, si ce n’est dans l’Eglise, son milieu
naturel ? Des paroles ont été prononcées,
graves, car elles évoquaient le trouble et
fangoisse de toute une nouvelle poussée
d’esprits à la recherche de quelque chose
de solide, d’un roc. Des paroles graves,
car elles nous ont fait sentir, encore une,
fois, combien nous sommes peu de chose,
si Dieu ne nous a pas sanctifiés.
^ Ü:
A côté de ces deux sujets, il nous faut
rappeler l’étudié de M. M. Moreschini, qui
a expliqué comment il a découvert un
homme, et quél homme : 1 homme ! M. R.
Nisbet, de son côté, a analysé une des activités les plus intimes de cet homme i
ses lectures. Il a parlé franchement ; avec
un sourire innocent il a soulevé bien des
problèmes, qui ont pu être discutés sérieusement.
* ÎÎ îl!
La tradition des « bons cultes » a été
respectée, aussi cette année ; celui d'ouverture par M. G. Bertin, à Pofnaret ;
ceux d’appel par MM. O. Peyronel, A.
Fuhrmann, T. Vinay, à Saint-Germain ;
par MM. H. Bert et E. Rostan, au Perrier ; ceux du Camp, par MM. A. Riliet,
C. Gay, S. Colucci.
^ ^ ^
>N « «
Quelques mots sur le Congrès : nous
laisserons de côté la partie... bureaucratique, et nous dirons simplement que te
Pr^ident du Comité National' a lu le rapport, qui a été applaudi Les chefs de
groupe ont présenté, eux aussi, leurs rapports, avec les ombres et la lumière ; une
impression de travail et de fidélité s’en
è
La rencontre du dimanche, à Bobi, a
été imposante : le matin, dans te temple,
un culte et un appel de vivante spirituar
Hté de la part de M. te pasteur L. Marauda L’après-midi, différents messages : le pasteur M. A. Ricca évoque les
faits les plus saillants de Fhistoire de sa
paroisse ; MM. H. Tron, junior, pasteur, -H. Geymet, P. Bosio, exhortent la jeunesse vaudoise a une fidélité toujours
plus grande. M. le rév. Anthony, parte
de son œuvre et de son ministère à NewYork ; M. Cyprien Tourn et M. Giuliani
partent de leurs expériences religieuses.
Le soir, à La Tour, une réunion intime
de quelques centaines de jeunes gens, auxquels MM. E. Rostan et P. Bosio rappel- '
tent avec force le message évangélique.
3
-ÜÿÎiu
%
/ , k’' . ^ ^
It*Echo dea Vallées » Vendriedi^.Septembre 193J"3^Y
dégageait : un s^ <s)timiBme sans fai^se
pudeur et sans orgueil', que M. E/Rostan exprima fotrt justement lorsqu'il observait quellte arme puissante de transformation spirituelle pourrait devenir no>tre jeunesse vaudoise, pour le Christ et
pour rEgHse.
* Ht Hi
Dans un ordre du jour, le Congrès a
manifesté son désir de voir des rapports
toujours plus intimes s’établir entre la
jeuneæe et son Eglise.
Le Comité a été éJ'u comme suit :
MM. P. Bosio, président ; rag. A. Giocoh,
secrétaire ; A. Comba, caissier ; E. Rostan, T. Vinay, S. Colucci, conseiUérs, De
nombreux messages ont été Ids : très applaudi celui du Modérateur. MM. Pas^chetto, U Vergnano, M. Falchi apportèrent les fraternels messages de la jeunesse baptiste, wesleyenne et des A. C.
D. G ; tous ont été chaleureusement applaudis.
^ Hi sf:
Pour terminer : le culte avec la célA
bration de la Sainte-Cène au Pomaret,
prœédé par une réunion de prière : quelques instants de réelle communion.
» H« *
Et maintenant il nous faudrait remercier... tous : M. A. Janavel, pour sa causerie a Galmount, en marche vers Rodoret, et rhospitalité aimabte de M). A.
Genre et collaborateurs; M. Lamy Coïsson et l’accueil « restaurateur » de Pralî ;
M. O. Peyronel et la bienvenue du Perrier ; M. A. Ricca pour la sérénité de
Bobi : M. H. Geymet et Falerte «Campista»;
et enfin Pomaret, sa jeunesse, son Pasteur
et sa compagne : nous ne pouvons que remercier M. et M.me Mathieu : c’est peu,
mais ça vient du cœur. x.
Nods voíds [ola píos... laiil !
Les belles réunions du XV août et... suivantes, dont on a dit tant de bien, doivent avoir d’excellents résultats dans la
suite. En effet, un jour, au SKJrtir de
l’église, un pasteur distingué, A. R., reçut d’un de ses paroissiens ce compliment
mérité :
— Quel bon sermon vous nous avez
fait, monsieur le pasteur !
— Nous verrons cela cette semaine, répondit douceanent R.
La réponse est notable et bonne à méditer, Un discours, surtout un sermon,
vaut selon ses suites, non selon Fimpression produite au moment même sur l’auditeur. Les meilleurs sermons ne sont pas,
tant s’en faut ! ceux qu’on goûte Ite plus.
La pierre de touche d’un sermon est dans
ses effets pratiques. Vous admirez, vous
ête-'î charmé, vous êtes ravi ? Bien ; maintenant qu’allez-vous faire ? Lorsque je te
saurai, je vous dirai si le sermon mérite
vos éloges.
Ce que je dis du sermon, je l’applique
aux réunions appelées de consécration,
J entends de toutes parts célébrer ces réunions. Oh! qu’eâés sont belles et douces
et Donnes ! s’écrient au retour la plûpart
de.s assistants.
Je le crois sans peine.
On annonce que tel jour, en tel heu, où
une chrétienne hospitalité est offerte, des
chrétiens se réuniront pour s'humilier ensemble de leurs péchés et s’fexhorber à
croire aux promesses de Dieu. Vous voyez
accourir de toutes parts des gens sérieux,
pieux, ardemment désireux de mieux vivre. Confondus avec eux, en pltis grand
noimbre qu’eux, peut-être, arrivent ceux
qu’amènent tes convenances religieuses
de leur position, ou l'attrait innocent de
la nouveauté, ou te goût d'élîcat des émotions religieuses, ou toult simpltement lia...
curiosité. Les uns naturelement, tes autres artificiellement, sont bientôt montés à
un diapason à peu près identique. Les
réunions protongées, tes discours, tes
chants répétés ne tardent pas d’entraîner
tous tes cœurs dans im même cîourant
d’émotions sérieuses et joyeuses tour à
tour. On n’a jamais été à pareille fêle.
.q
On est ému, transporté. C’est compke un
Thabor, où ü’dn voudrait bâtfi: des tentes
et demeurer. Oh! les bonnes réunions!
répètent à Fenvi ceux qui s’y sont trouvés.
J’y voudrais leur répondre à l’oreille :
Nous verrons cela dans quelques semaines,
nous verrons cela dans quelques mois
Qu’en restera-t-dl après l'émotion disd-'
pée, tes souvenirs fanés, tes causes d’entralnement disparues ? Que laisseront subsister des impressions reçues, l'influence
du milieu, la sollicitation de l’habitude, les
retours offensifs de la vieille nature ?
Je voudrais que les consacrés ne prissent la parole publiquement pour te dire,
que six mois après tes réunions. L. P.
X_A'VV
mimo FMMiiE ïim m huecbosm
Dons reçus du avril au 15 aqût 1937,
Mesdames et Messieurs :
Anna Engel, Bergamo’, « in memoria
di Eugenio Engel », L. 50 - Scuola domaniicale di Massello, 5 - Andrea Crisfcadoro, Taranto, 50 - Società di Cucito
Chiesa Valdese di Livorno, 100 - Adriana
D’Oria-Tron, Livorno, 50 - N. Massemaeckers-Klett, Taormina, 50 - Unione
Cristiana delle Giovani, San Remo, 100
- Gomm. Vittorio Bereittìa, Roma, «in
memoria della Sig.ra Anna Morgban »
(3" vers.), 300 - Avv. Stefano Peiyrot,
Torre Pellice, 25 - Coniugi Coi'sson-Mathieu, Id., 10 - Clotilde Girardertj, Roma,
lOO - G. e G., Masoni di Piombino, 25 Carrozzi Cesare, 20 - « .In memoria di
G. D. Buffa », le figlie, 100 - Immovilli,
coniugi’, Reggio Emilia, 25 - Sig,ne Gaydou, Aia, 30 - Comm. Vittorio Baratta,
Roma, « in memoria della Sig.ra Anna
Morghem » (4° vers.), 250 - Mr. Pinkham. Cattolica, 10 - Scuola Domenicale
Valdese di Torino, 175 - Società di Cucito di Firenze (Via Serragli), 100 Società di Cucito di Bergamo, 400.
Cdilettato dalla Signorina Edina Rostain, Torino : Pellegrini-Noerbel Margherita, L. 50 - Jon Scotta Mariuccia,
10 - De Fernex Jeanne, 20 - Unione
delle Giovani, 50 - Aline Ricca, 5 - Clotilde Gay, 25 - Risultato festa bambini
organizzata a Torino dalla Sig.na Rostain, 170 - Unione (Sezione Cadétta), 5.
Colletta « detta Madre ». Chiese di :
Piediicavallo, L. 20 - Vittoria, 15 - Firenze (Via Serragli), 60 - Bergamo, 100
- Brescia, 75 - Roma (Via Quattro Novembre), 131 - Paltermo, 40 - Riesti, 26
- Genova, 60.
Miss Sibbald e Marrocchi, Vallecrosia, L. 100 - Sig.ne Novarese e Grotti,
60 - Chiesa di Sampiardariena (2'“ versamento), 29,30 - Scuola Domeoiicale,
Bergamo, 10 - Coniugi Giaccaglia, Torino, 25 - Unioni Cristiane Femminili
di Villaseeca, 40 - Unione Femminile
Valdese di Massello, 25 - Emma BiniVannuccini, Siena, 50 - « In memoria di
Mary Ellinor Stuparich », Piume : Alberto Stuparich, 50 ; Luisa Csermély
Stuparich, 50 - Gomunità di Fiume e
Abbazia, 500,05 - Scuola Domenicale e
Catecumieni, Genova, 90 - Chiesa di Aosta, 50 - Chiesa di Pramollo, 50 - Scuola
Domenicale di Como, 120 - Adolfo e Lidia Comba. Angrogna, 30 - Chiesa di
Napoli, 50 - Chiesa di Trieste, 200 Chiesa di Como, 50 - Chiesa di Pisa, 50
- Chiesa di Milano, 600 - Chiesa di Roma (Piazza Cavour), 700 - Famiglia La
Fata, Palermo, 12,50 - N. N., Roma,
10 - Andreine e Bianchina Micheli, Palermo, 25 - Chiesa di Firenze (Via Manzoni), 100 - R, Diem, Valtecrosia, 100
- Scuola Domenicale, di San Riemo, 70 Famiglia Setti, Genova, 25 - Salvatore
Impalà, Catania, 8 - Chiesa di Pomaretto, 25 - Elisa Lantaret, Id., 10 - « In
memoria della Sig.ra M. Ribet » : i figli : Margherita Giampiccoli, Emilia Ribet, Edina a Erneeto Comba, Bianca
Ribet-Souter, 3000.
Arturo ed Enrico P^al, Torino, « in
memoria della mamma », L. 500 - Chiesa
di San Germano Chiaone, 100 - Scuola
Domenicale di San Germano Chisone, 50
-^Chiesa di Pachinoi, 30 - Vittoria An
geUnii, Genova, 10 - Chiesa di Taranto,
100 ; Chiesa di Roma (Via Quattro No;-..,;
Tembre), 1500 - Comm. Vitftoirio Be-'
«etta, Roma, jx in memoria della Sig.ra
Anna Morghen » (5’’ vers.), 300 - N. N,f
Oteggio CorteUo (Novara), 200 r Ottavia Jalla, Aden, 100 - Pierre Michelin.
Marsiglia, 50 - -'Emilio Bernardilni,desneva, 10. - ,
La Direction de l’Institut remercie
chaleureusement les donateurs;
Lm% Livres.
■
Paul Gout ; Le Miroir des Dames Chrétiennes, tome U (pages féminines die
'I? la. Réforme française). — Editions
' ' « Je Sers », Paris - Editions « Labor »,
Genève. — 1 volume, in-12“, 302 pages, avec 8 portraits hors texte,
frs. suisses 3,70.
Précédé d’un tome I consacré au moyenâge, et donnant d'amirables extraits des
œuvres des grandes chrétiennes d’avant
Réforme, celui-ci fera connaître les
beaux caractères, les âmes pures’ les
grands cœurs qui sont la famille spirituelle dont se réclament lès croyants d’aujourd'hui. Ce nq sont pas de simples portraits, mais un recueil puisé aux lettres,
ràémoires, testaments ou autobiographies
(tes Huguenotes illustres Jeanne d’All^t. Renée de France, Louise de Coli^y ou d’humhl’es Cévenoles qui, gardtenflbs et protectrices du foyer, furent pour
là plupart des héroïnes qui s’ignorèrent.
A les approcher ici on s’en veut de n’avoir
pas découvert plut tôt leur incomparable
valeur.
Aubaine rare, due à l’obligeance de
M. Samuel Viaudl, fils de Pierre Loti, cet
ouvrage contient des tettres inédites de...
Judith Renaudin !
Il semble ici que, pareilles aux morts de
.Wagram dans la scène clâlèbre de l’Aiglon,
ces ombres du passé reprènnent vie tout
à coup et vous interpellent par votre nom !
F.
.H H: .i:
Emîle BSüifNER : Les Groupes, les Eglises et l’Eglise de Jésus-Christ. — Un
fascicule de la collection « opuscules »,
paru aux Editions «Labor», Genève.
50 pages, îh-S», fr. suisse 1,50.
Le but que se propose le professeur E.
Brunner est de «chercher à faire comprendre te Mouvement des Groupes à ceux
qui ont coutume de considérer les choses
du poinit de vue de Fï^lise ». Cette étude,
riche d’expériences perstMineUes et dq clair
savoir, entraînante, tonique, loyale, est de
nature à dissiper plus d’un maWlendu ;
elle montre comment les «groupes d’Oxford » aident les communautés chrétiennes à accomplir, dans 1e monde contemporain, leur mission conquérante, travaillant, non pas à côté d’elles, mais en collaboration avec elles, pour FEgKse de JésusChrist. J.-E. S.
Ht « H*
Thécîdore Monod ; Méharées - Eatplomtions au vrai Sahara. — Editions « Je
Sers», Paris - Editions «Labor», Genève. — 1 volume, in-12», 302 pages,
avec 23 planches, nombreuses illustrations let une carte, fns. suisses 3,70.
Cheval, chevauchées ; Méhari, MéhaFées.
Titre inattendu, qui s’applique aux eptpterations qu’un naturaliste, docteur èssciences, attaché au Museum de Paris a
poursuivies à travers le vrai Saihara. On
trouvera dans ces pages palpitantes de vie
des aperçus sur l’histoire (tes régions parcourues, sur leur flore, lefur faime, leur
formation géobgique, mais, plus encore,
des paraUèl^ sur l'existence au désert, qui
aident à mieux comprende la vie des patriarche et celte de tous le nomadieR Le
tout mete d incidents de route, graves ou
oocaisse, narflés dans un style alerte et
tr^ personnel.
Comme, par surcroît. Fauteur est non
seuleni’fflit un homme de forte culture spirituelte, mails un artiste consommé dont
le crayon et l'objectif rehaussent encore
les récits, on ne peut lâcher ces pages une
fois qu’on lès a commencées ; d’emblée te
voyageiur devient l'ami qu’on ne quitte
qu'à regret.
Livre salubre, énergique et vrai qui
nous entrmne, élargit notre horizon et
nous dilaite l’âme. K.
«■ » *
Martin Luther : Traité du Serf arbitre,
traduit, présenté et annoté par Denis
de Rougemont. — 350 pages (V® volume de la coDectioïi : « Textes de la
Réforme»). — Editions «Je Sers»,
Paris«- Editions « Labor », Le Grandi
Lancy, Genève. Prix : fra suisses 5.
Ce volume, comme lés"quatre premiers
d© la colection (xmsacrée aux œuvres de
Jean Calvin, doit'être accueiüî avec' la‘
plus grandie reconnaissance par tous ceux
qui s'intéressent à la pensée chrétienne.
Plus encore que-Calvin, Luther, te vrai
Luther, est ignoré et méconnu par lès
enfants de la Réforme françaisqi. dèst
pourquoi ïi faut saluer avec joie Feiffort
(ïui vient d'être accompl pour faire ooiv
naître, dans nôtre langue, te pensée lüthérienne. On lira avec soin Fintroduction
de M. Denis de Rougemont, qui est une
nécessaire et excellente initiation à cette
œuvre capitale du Réformateur.
Le Traité du Serf arbitre (« de servo
arbitrio») est une réponse à la Diatribe
d’Erasme sur te lïbre arbitre. 'C'est ce
qui vaut sans doute au style ce ton direct, convaincu, vif, ferme et même violent d’une polémique .dont Fenjeu est te
salut des âmes, chose qui permet au lecteur, à certaines pages, une lecture facile
et saisissante. Mais au (X)urs de sa ré^
ponse, Luther expose toutes tes affirmations centrales de ïa Réforme, toujours
basées sur les textes de FEcriture Sainte.
Il faut alors ral'entir l’allure et se faire
élève studieux du Réformateur.
Ces pages du vieux débat entre les partisans du ISbre arbitre et ceux qui, à
l’Mote de la Bible et de la Réforme, le
nient, sont tout à fait actueltes. Car chaque chrétien doit résoudre à son tour lie
problème de savoir si Dieu est tout ou
s’il est lui-même aussi pour quelque chose
dans son salut. Luther est un puissant
maître pour nous conduire à la connaissance du Maître Tout-Puissant, révélé dans
la Bible en Jésus-Christ. V.
» « »
De l’électkm éternelle de Dieu, grand
in-16°, 320 pages. — Editions « Labor »,, le Grand Lancy, Genève. ■—■
Prix : frs. suisses 4,40.
Cet intéressant volume, qui contienifc les
travaux présentés au Congrès calviniste
de Genève (juin 1936), témoigne avec âoquence du renouveau de l’influence exercée par le chef de la Réforme française.
La doctrine de la prédestination, ctef de
voûte de son système théologique, peut
æ'mibter une constructioii hardie mais périmée. Les conférenciers, qui Font étudiée
à Genève, ont su montrer comment et
pourquoi elfe conserve son actualîfié., Les
intéressants exposés dje MM. Peter Barth,
Pierre Maury, Auguste Lecerf, Jean Cadier, Max Domiiiicé, etc., prouvent que
la réception théoli^ique n’est pas un simple essai de restaurer te passé, mais un
effort pour en intégrer la vivante sub^
tance dans des formules nouvelltes. Un !|ivre à lire par tous ceux qui suivent Févœ
lution de la pensée religiéuse.
J.-H. R.
» « •
La famille RIVOIKE rememe toutes les
personnes qui lui témoignèrent de la sympathie à l’occasion du départ de son bienaimé
Charles.
Torre Pèîllce i(Bjuïssa), 22 septembre 1937-XV.
• :t:
't
Rainer Maria Rlke : Au fil de la vie
(traduit de Fahèmand par H. ¡Zylberberg et Ls. Desportes. — 1 volume,
in-16°, de 255 pages. — Editions « Je
Sers », Paris - Editions « Labor », Ge<nève. — Prix : frs. suisses 3,70.
Ces (jontes et Fecits, dont quelques-uns
sont de courts tableautins presque sans
action, ont été écrits par le pitet© dans
sa jeunesse : l'a préface nous dit que « c’est
lui que l’on retrouve dans ce douloureux
pèterinage au pays de Fenfance », en cette
ville de Prague déchirée entre dès influences tchèques et germaniques.
Il plane dans tout ce volume une atmosphère étrange, morbide un peu. Les
personnages de la mère et de son fils apparaissent souvent, beaucoup d’autres aussi
surgis d'on ne sait où, nébuleux, mystérieux, insaisissables, ironiques ou tragiques aussi. Le lecteur de chez nous sera
souvent surpris par te fin abrupte ou inattendue de tel r&it, dlfconcerté par Fimpression de rêve qui vous enveloppe die
la première à la (îernière page, mais il „
en goûtera cependant te charme slave, le
styte poétique et sytubjolique, ])es jolies notations, fines et tendres ou les réflexions
profondes. H. K.
4
-i’
■
'Í-
L’Ectío des Vallées - Vendi^di 24 Septembre 1937-XV
Avant ile dlmanèhe
Ili ligieiigti, in pteitaiti fiDiwiM
« Pour posséder une Bible et pour la
lire à notre guise, nous avons enduilé trar
casseries, cachots, exil ou martyre. Que
faites-vous de la vôtre ?
« Pour^ écouter le prêche de nos prédicants traqués comme bêtes fauves, nous
avons marché de longues heures, nuitamment, par monts et vaux, guettés nous
aussi, souvent suipris, toujours sur le
qui-vive. Nos assemblées secrètes, tenues
en cavernes obscures ou dans clairières
des forêts, furent souvent troublées par
la fusillade et dispersées aux quatre vents
du cieL Vous avez liberté dé pensée, liberté de conscience, liberté d'assemblée.
Nos prières et nos souffrances vous les
ont acquises. Nous avons porté des chaînes pour que vous n’en portiez pas. Que
fadtes-vous de ^ ces liberté ?
« Que faites-vous de vos dimanches ?
Beaucoup d’entre vous dorment, douillettement enfouis dans leur lit, à l’heure où
les cloches les appellent à rendre louange
et gloire à Dieu et à protester devant les
hommes de leur attachement à sa cause.
On en voit d’autre incapables de se présenter à l’heure fixée pour le service divin. D’autres encore n’ont pas la force
d’échanger leurs vêtements de la semaine
contre des habits plus dignes de la journée vouée à Dieu. D’aucxuis, effrayés
d’une petite marche, d’une averse de
pluie ou d’une couche de glace sur le sol,
prennent prétexte du chaud ou du froid
pour se tenir loin des .saintes assemblées.
D’autres, enfin, trœ nombreux, se divertissent, s’amusent, délaissent l’Eglise du
Christ pour leurs plaisirs et leurs agréments.
« Et vous vous déclarez nos héritiers et
nos successeurs ! Ah ! si vous aviez hérité
notre énergie et notre zèle, l’Eglisie d’aujourd’hui inquiéterait le monde, et vous
chanteriez avec plus de flamme les psaumes et les hymnes qui jtxnt alimenté notre foi et nourri notre vaillance ». Fax.
{Feuille d’Avis de Lausanne).
à Paris.
Nous confirmons les conditions et lé programme du voyage, selon les données publiées dans le dernier numéro. Les inscriptions peuvent être faites jusqu’au 28 courant, au plus tard. Prière est faite de
verser, le 28 courant au plus tard, toute
b somme demandée pour le voyage.
A. J.
tsKsesss^
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7,02
7,26
8,07
7,15
7,19
7,33
7,45
7,58
8,24
10,10
10,14
10,25
10,43
11,03
11,40
12,39
12,43
12,58
13.19
13,41
14.20
17,11
17,15
17,24
17,42
18,04
18,38
18,25
18,29
18,46
19,08
19,32
20,04
19,47
19,51
20,05
20,26
20,53
21,30
3
21,05
21,09
21,21
21,40
22,02
22,39
Torino p.
Airasca >
Pinerolo
Bricherasio >
Luserna S. G. •
Torre Pellice a.
4
0,25
1,03
1,22
2
5,10
5,51
6,14
6,31
6,42
6,45
6,40
7,22
7,46
8,04
8,15
8,18
8,08
8,39
8,55
9,08
9,18
9,21
11,48
11,22
12,41
12,57
13,08
13,11
13,29
14,11
14,32
14,50
15,01
15,04
17,25
18,03
18,19
18,40
18,51
18,54
18,36
19,14
19,31
19,05
19,31
19,44
20,02
20,13
20,16
20,15
20,52
21,08
(i) Feriale — (2) Dal 1° Luglio al 31 Ottobre — (3) Festivo — {‘^) Al Lunedì,
ORARIO FERROVIA ELETTRICA PINEROLO-PEROSA ARGEM INA
Pinerolo p. 6,45 7,52 9,05 10,35 12,50 14,40 16,45 18,28
Ponte Lemina (fac.) » 6,53 7,59 9,12 10,42 12,57 14,47 16,53 18,35
Abbadia * 6,56 8,02 9,15 10,45 13,— 14,50 16,54 18,38
Riaglietto-Fiugera(/jc)» 7,- 8,05 9,18 10,48 13,03 14,54 17,- 18,41
S. Martino » 7,03 8,08 9,22 10,51 13,08 14,57 17,02 18,44
Porte » 7,06 8,11 9,25 10,54 13,11 15,- 17,05 18,47
Malanaggìo (fac.) » — 8,16 9,29 10,57 13,16 15,04 17,08 —
S. Germano » 7,14 8,19 9,32 11,- 13,19 15,07 17,11 18,54
Villar Perosa • 7,24 8,26 9,39 11,07 13,26 15,15 17,18 19,01
Dubbione > 7,32 8,33 9,46 11,14 13,33 15,23 17,25 19,08
Pinasca > 7,35 8,36 9,49 11,17 13,36 15,26 17,28 19,11
S. Sebastiano » — — — 11,24 13,39 15,34 17,33 —
Perosa Argentina a. 7,45 8,45 9,55 11,30 13,45 15,40 17,36 19,19
Perosa Argentina p. 6,32 7,55 9,05 4 10,02 12,03 14,- 16,25 18,S. Sebastiano > 6,35 7,57 — — — 14,04 16,28
Pinasca • 6,40 8,03 9,11 10,07 12,09 14,10 16,33 18,10
Dubbione > 6,43 8,06 9,14 10,10 12,22 14,13 16,36 18,13
Villar Perosa » 6,49 8,13 9,24 10,20 12,32 14,20 16,50 18,20
S. Germano » 6,59 8,20 9,31 10,27 12,39 14,27 16,58 18,28
Malanaggìo (fac.) > 7,02 8,23 9,34 10,30 12,42 14,45 17,01 —
Porte » 7,06 8,27 9,37 10,39 12,46 14,48 17,05 18,35
S. Martino » 7,09 8,30 9,40 10,42 12,49 14,51 17,08 18,38
Riaglietto-Fiugerar/oc>» 7,12 8,33 9,43 10,45 12,52 14,54 17,11 18,41
Abbadia > 7,15 8,36 9,46 10,48 12,55 14,57 17,15 18,44
Ponte Lemina (fac.) » 7,18 8,39 9,49 10,51 12,58 15,- 17,18 18,46
Pinerolo a. 7,24 8,45 9,55 10,57 13,05 15,05 17,25 18,52
2
19,48
19,55
19,59
20,01
20,04
20,07
20,10
20,13
20,19
20,25
20,28
20,33
20,36
3
21,15
21,22
21,25
21,28
21,31
21,34
21,37
21,40
21,47
21,50
21,58
22,02
22,05
5
19,26
19,28
19,34
19,37
19,44
19,51
19,54
19,57
20,
20,03
20,06
20,09
20,16
6
20,40
20,43
20,48
20,51
20,58
21,05
21,08
21,11
21,14
21,17
21,20
21,23
21,30
(0 Daini Luglio al 5 Settembre (2) Festivo tino al 10 Luglio e dal 6 Settembre in poi. '•
(3) Festivo daini Luglio al 5 Sett (4) Dal 10 Luglio al Sett. (5) Festivo fino ai 10 Luglio e dal 6 Sett. in poi
(6) Festivo daini Luglio al 5 Settembre.
ORARIO AUTOMOBILE TORBE-BOBBIO PELLICE
Torre P. p. 8,30 15,15 19,05 BobbioP.p. 6,30 11,50 16,20 17,35
S. Margh. » 8,35 15,20 19,10 ViaFourca » 6,35 11,55 16,25 17,40
Chabriols > 8,42 15,27 19,17 VillarP. . 6,41 12,01 16,31 17,46
Villar P. . 8,49 15,34 19,24 Chabriols > 6,48 12,08 16,38 17,53
ViaFourca » 8,55 15,39 19,29 S. Margh. » 6,56 12,15 16,45 18,Bobbio P. a. 9,- 15,45 19,35 Torre P. a. 7,- 12,20 16,50 18,05
(1) Al Venerdì e Festivo — (2) Feriale — (3) Festivo.
ORARIO AWTOHOBILE P1R08A-PBRRBBO-FRALT
Perosa Argentina
Pomaretto
Chiotti-Riclaretto
Trossieri-Faefto
Perrero
Chiabrano-Maniglia
Pomeifrè
Crosetto-Gardiola
Rodoretto
Praly (Villa)
Praly (Ghigo)
P- 9- 13,55 19,30 Praly (Ghigo) P- 3 5- 10,35 16,25
» 9,08 14,03 19,38 Praly (Villa) » 5,05 10,39 16,30
» 9,23 14,18 19,53 Rodoretto » 5,14 10,47 16,39
» 9,27 14,22 19,57 Crosetto-Gardiola » 5,23 10,55 16,48
a. 9,30 14,25 20,- Pomeifrè > 5,38 11,07 17,01
p- 9,35 14,30 20,05 Chiabrano-Maniglia » 5,40 11,11 17,05
» 9,43 14,38 20,14 a. 5,50 11,20 17,15
» 9,47 14,42 20,19 r6rr6ro p. 5,50 11,25 17,20
9,59 14,54 20,32 Trossieri-Faetto » 5,53 11,28 17,23
» 10,07 15,04 20,41 Chiotti-Riclaretto » 5,57 11,32 17,27
» 10,16 15,11 20,50 Pomaretto » 6,12 11,47 17,42
a. 10,20 15,15 20,55 Perosa Argentina a. 6,20 11,55 17,50
¡(1) Fra Ferrerò e Praly daU’lI Luglio al 5 Settembre —(2) Prosegue per Praly soltanto nei giorni precedenti
I festivi e festivi dal 10 Luglio al 5 Settembre — (3) Proviene da Praly nei giorni festivi e susseguenti I festivi,
daini Luglio al 6 Settembre. — Il servizio fra Ptrrtro e Praly si effettua dai 27 Giugno al 28 Settembre.
ORARIO AUTOMOBILI SAN SECONDO - PINEROLO
S. Secondo
Bivio strada S. Martino
Miradolo
Ponte Lemina
Pinerolo (P. Cavour)
Pinerolo (Staz. Ferr.)
Pinerolo (P. Cavour)
Ponte Lemina
Miradolo
San Secondo
P- f 6,- 7,20 2 9- 14,- 18,- 3 21,» 6,03 7,23 9,03 14,03 18,03 21,03
» 6,06 7,26 9,06 14,06 18,06 21,06
9 6,09 7,29 9,09 14,09 18,09 21,09
11 6,12 7,32 9,12 14,12 18,12 21,12
a. 6,15 1 7,35 9,15 2 14,15 18,15 21,15 3
P- 6,30 7,50 li- 14,25 18,25 21,30
» 6,33 7,53 li,03 14,26 18,28 21,33
» 6,36 7,56 11,06 14,31 18,31 21,36
» 6,39 7,59 11,09 14,34 18,34 21,39
1 » 6,41 8,02 11,12 14,37 18,37 21,42
a. 6,45 8,05 11,15 14,40 18,40 21,45
(1) Al Lunedi — (2) Al Sabato — (3) Alla Domenica.
4.
>4
1