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Italie et Colonies italiennes . * ;“** * , .
Etranger . . : . . V. •
Plusieurs abonneinents à la infime adresse
Par «Bt
L. 10,. 24,. 22.
Paar S mate
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12,- ;
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On s'abonnes à TorrePtlUce, au Bureau d’Administration de l'EcAo(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
Prof.
31 C'j> 'b
fcíró ‘,'0
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pouf
. S’adresser: pour la Béiÿpetlon, à Mi tei^rofe Micol- JorrzPeWce»^
r^4mlnlstrati«n, au Bantm da Journalt y!^ Wi^-ram^ N» 2 • Terre Pellice.^
^ ^ Pour toutes les arinoncca s’adresser au Bureau du journal. /
Tous les changements d’adresse coûtent fo eentlmes* spuf -ceux du cominei^
cernent de l’année, i ^
<y Le Bomlüp: 25 ssntimM
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Que toutes las choses vraies, honnêtes, justes, pitres, aimables..., dignes de loftjajpige, occupent vos pensées (iPhiHpp. I/, 8)
Notre
14 )nai.
AVIS..
prochain numéro paraîtra le
J^our la vie inférieure
RECONCILIATION.
(Suite et fin).
On n’a rien trouvé de mieux.
L’amour n’a rien de sentimental ; il
est la vérité du cœur. L’amour ne jette
pas le manteau d’illusoires conciliations
sur les conflits des thèses ou des situations inconciliables ; il est la force de
la vérité. L^amour ne dit pas oui à l’erreur ou au péché, et pas davantage il
ne se tient à leur égard dans la neutralité ; l’amour combat. Il souffre, il
meurt, il descend aux enfers du mensonge et de la haine, mais c’est pour
les pourchasser et pour les vaincre.
Etes-vous sûr que l’amour ne mène
pas certaines formes de la lutte de classes ? Je sais des militants syndicalistes
et socialistes, qui, repoussant d’avance
toute haine et toute viojencei, fermement résolus à ne rien abdiquer de la
vérité qui les anime 'quand bien même
on voudrait leur faire accroire que l’intérêt du parti ou de la classe exige
quelque concession, armés de pied en
cap de 'leur foi de chrétiens ou d’un
amour du prochain où il n’est pas interdit de trouver comme un rayon de
l’amour de Dieu, se sont engagés dans
la lutte sainte contre l’immoralité du
régime capitaliste et son impiété. « Pour
le salut même de leur âme, diisentuls
— et n’ont-ils pas mille fois raison ? —
les uns doivent être empêchés d’exploiter leurs frères, et ainsi aidés à respecter en eux cet homme pour qui
Christ est mort, les autres aidés à conquérir les conditions matérielles et la
dignité morale d’une vie conforme à la
justice, et ainsi détournés de haït en
d’autres hommes le frère pour qui également Christ est mort »...
C’est à l’amour que doit être confié le soin de combattre l’athéisme. Bien
silr, il faut le combattre. Et sans trêves, ni repos. Puisqu'il est la mort,
comme Dieu est la vie. Mais qui
dira sans erreur l'athéisme des âmes
ou des institutions ? Qui jugera sans
propre justice? Qui condamnera sans
blasphème ? Qui combattra sans manquer la vérité ? Et qui donc, en
triomphant, servira vraiment le Royaume de Dieu ? L’amour seul, pour qui
l’athéisme n’est pas un crime mai» une
perdition. Sans-iDieu, tu es mon frèl^
car je le suis aussi, ou le deviens, quand
languit ma prière et s’éteint ma charité, quand je te^ jette ce nom comme
une injure et prends de grands airs indignés pour te reprocher une impiété
qui ^ en moi, quand je néglige ou même réprouve une justice que de toute
ton âme tu cherches à incarner et qui
est peut-être obscurément celle du
Royaume de mon Dieu. Je comliattrai
donc mon athéisme pratique. Et le tien
cédera qui est surtout de théorie.
Tant de causes saintes requièrent
cette énergie de l’amourl O mes âîhis,
si nous aimions, croyez-wus que continuerait la systématique alcooilisation de
nos pays, et que durerait pqur;'notre
honte devant les hommes et notre condamnation devant Dieu, l’abominable
règlementation d’un trafic où sont exploitées la chair et l^âme de celle qu’un
poète saluait de l’invocation pathétique :
« Toi qui sur le néant en sais plus que
les morts », et qui est aussi notre sœur
pour qui Christ est mort.
Si nous aimions... ! « Celui qui aime
son frère demeure dans la lumière, et
aucune occasion de chute n’est en lui ».
Ni pour lui-même, ni pour les autres.
Bien des haines seraient balayées, bien
des violences apaisées, bien des injustices guéries, au prix d’un peu d’amour.
Vous dites que ce n’est pas si facile ?
Aimez donc davantage. Il y a des résistances ? Aimez plus encora On .peut
le dire, sans crainte d’erreur mais non
sans déchirement d’humiliation ; les
hommes ne se feraient pas tuer les armes à la main si l’amour n’avait pas
déserté les combats de la vérité et de
la justice. La volonté de Dieu est une
loi imprescriptible ; inscrite dans Tordre de la création, il faut qu’elle soit
servie selon les moyens corrompus et
mortels de Thomme pécheur si elle ne
Test pas par tes armes salutaires de
Thomme que la grâce de Dieu a racheté.
Et d’abord par Tamour, cette énergie de
la grâce. Mon Dieu, mon Dieu, quand
donc commencerons-nous d’aimer ?
Aimer seul console. Aimer panse les
plaies. Aimer rend la vie. Quiconque
aime voit son prochain plus lésé par le
mal qu’il fait qu’il ne Test soi-même
par le mal qu’on lui fait. Il en souffre,
pour l’autre. Il port,e plus que l’autre,
le fardeau de son iniquité. Ce faisant,
il Ten décharge. Il le libère. Il le rétablit dans la justice. L’essence dé
l'amour, n’est-ce pas l’expiation ? 0 mes
amis, nous tous qui reprochons à nos.
frères qui ceci, qui cela, nous qui souhaitons la disparition de telles erreurs
ou même de tels crimes pour que soient
rendues possibles les indispensables réconciliations, laissons-nous instruire par
la charité de Jésus-Christ !
Jésus-Christ sur la croix, Jésus, en
agonie, criant : « Mon Dieu, pourquoi
m'as-tu abandonné ? ». Le saint séparé
de Dieu. Par quoi donc, si ce n’est par
le péché. Et puisqu’il est sans péché, il
faut bien que ce soit le nôtre. Le tien,
le mien. Aujourd’hui, quand nous haïssons. Mais Jésus entre dans la victoire.
Le Seigneur est ressuscité. « Tout est
accompli ». L’expiation a levé Tintierdit.
Le péché est détruit par Tamour. Aujourd'hui, quand l’amour de Christ nous
presse !
C’est ici le secret de la réconciliation,
nationale ou internationale, entre les
hommes et de Dieu avec ? omme Tl n’y
en a point d’autre. « A ceci nous avons
connu Tamour, c’est qu’il a donné sa
vie pour nous ; nous aussi, i s devons
donner notre vie pour nos '"■'è ^s... aimant non en paroles et avec la langue,
mais en action et en v^riLé» (IL
H. R sm
(1) 1 .Tran III, 16 et 18.
U Fin it II loit.
fjes édifices qui surgirent, à travers, les
âges, sur la coillme du Fort de La Tour,
ont été' témoins, et causes aussi, dé tous
les grands événements de l’histoire vaudoise. En effet, la position domine la
plaine de La Tour et de Saint-Jean, les
coteaux d’Angrogne, et ferme cette vallée là-même où elle va s'élargir. Et tant
qü© l’invention et le perfectionnement des
artileries n'eurent pas bouleversé toute
la tactique de guerre du moyen âge, premièrement le château, puis le château fortifié, et enfin la forteresse qui s’élevèrent
sut ' la colline conservèrent une grande,
importance.
Depuis les premiers siècles de notre histoire, et avant encore, une branche des
comtes de LuSferne, seigneurs de la vallée,
vint s'établir dans le château médiéval
sut; te Fort. C'était principalement les Rorengo, et les Vaudois étaient leurs vassaux. Le bourg de La Tour qui était au
bas; près de TAngrogne, était ceint de
miirailies ; et il prit justement le-nom de
la tour, « la plus puissante et apparente
dC tout le pays, qui servoit de donjon à
soin chasteau ». , .
'*’Lês seigneurs de La Tour ne furent
.presque jam'ais des persécuteurs des Vaudois, parce qü’ils avaient en eux dès travailleurs et des soldats fidèles. Mais un
- peu à la fois ceux-ci réussirent à s’émanciper et à s’affranchir : la chute des seigneurs et la complète liberté des Vaudois
furent provoquées par les Français, qui occupèrent les Vallées de 1536 à 1559. Les
envahisseurs avaient chasSé les feudataires et détruit tous leurs châteaux. Ceci
arriva en 1549 ; le château de La Tour
• fut démoli comme les autres de la Vallée ;
on donna te feu à la bâtisse et la tour
croula en ruinant tes murailles qui Tentouraient.
Ces ruines ne demeurèrent abandonnées
que peu de temps. Onze ans après, à la
fin de 1560, commençait la persécution du
comte de la Trinité. Déjà te 27 octobre
1560, Emmanuel-Philibert écrivait au
comte : « Ad ogni modO vogliamo costruire
quel forte». En effet te fort de La Tour
servait au duc de Savoie non seulemecnt
pour dominer les Vaudois, mais avait
aussi une importance stratégique vis-à-vis
de la vallée de Pérouse et de Pignerol,
que les Français dominaient encore.
Les ruines du château furent r^taurées et fortifiées et le comie de la Trinité
y plaça une garnison de cent hommes.
Les gouverneurs qui se succédèrent au
commandement du château fortifié furent
tous hostiles aux Vaudois et leurs soldats
ne se lassaient jamais de les tourmenter.
- En 1566 le conunandement de la garnison fut donné à Sébastien Gratioli de
Castrocaro, bien connu d’ans notre histoire à cause des continueltes tracasseries
qu’il procura à ses sujets. Il était protégé
par la düchesse Marguerite de France, à
laquelle il avait promis de ne pas tourmenter les Vaudois, mais il était en réa^
lité une créature des jésuites. Non con-'
tent de dominer le bas de la vallée, il fit
construire en 1572 le fort de Mirabouc,
qui ne servit jamais à défendre la frontière, mais fut plutôt source de troubles
et de douleurs pour les habitants de Bobi.
Il ne fut détruit qu'en 1792.
Quand la dqphesse vint à mourir, les
ennuis commencèrent >aussi pour Castrocar. Les comtes de Luserne,: qui habitaient
da»a ce bourg.^ne voulurent soufl^ir plus
longtemps cet homme qui infirmait leur
autta-ité dans la Vallée. Une conjuration
fut faite, et le 13 juin 1582, Castrocar fut
surpris dans ison lit, saisi, emmené dans
une prison de Turin, où il finit ses jours
en 1597. Après dix-sept ans de dure domination, tes Vaudois oommencêrent à respirer, et te gouverneur Comazzolo, qui
commanda te Fort jusqu'à sa deuxième destruction les laissa tranquilles.
En 1592-93 une nouvelle guerre entre
la France et te Piémont détermina l’invasion française de Lesdiguières. Les
forts de La Tour et de Mirabouc se rendirent aux ennemis, qui y placèrent leurs
soldats. Celui de La Tour allait êtrq nouvellement fortifié et bien solidement ; mais
L^iguières y lenvôya des architectes rair
litaires, et ceüx-ci voyant que la position
était dominée par Tartillerie, ordcnirèrent
la démolition complète de la fortification.
Plus de cinquante ans s’écoulèrent
alors ; puis ces ruines eurent un triste
réveil : à Taube du 24 avril 1655, une sinistre hieur se levait d’elles. C'était le signal des Pâques Piémontaises. Pendant
les .hostilités qui suivirent, une petite fortification, le Fortín' de la Munition, ^ét^t
construite sur la dernière prominence de
la colline auprès de TAngrogne. La question du Fort fut discutée pendant lies négociations qui aboutirent aux Patentes de
Pignerol (18 août 1655).
En effet, sur Templiacement de Tançien
château les soldats du duc jetaient en
toute hâte les fondements d’une solide citadelle, qui aurait été très préjudiciable
aux Vaudois. Les députés des Vallées, appuyés par tes ambassadeurs Suisses, de'mandèrent la destruction de cette forteresse. Ils furent toujours éludés et trompés. On ne leur faisait que des promesses verbales ; et avec eux aussi fut
trompé M. Servient, ambassadeur de
France, qui était médiateur du traité,
parce que le but de Charles Emmanud. Il
de Savoie était de construire une forteresse à La Tour, non seulement pour
surveiller les Vaudois, mais surtout pour
ave i • une place forte liour contrebalancer
la domination française dans Tautre vallée. Ili y réussit : en effët quand tes patentes de Pignerol furent signées (dans
les articles on ne faisait' pas niention: du
fort, mais tes VaUdois et les Suisses
avaient reçu assurance qu’ü aurait été
démoli) le duc y fit ajouter un article,
dans Tespaee qui sépare le texte des signatures, par lequel il était maître de
faire ce .qu’il voulait pour la construction
du fort. Les protestations des Vaudois et
des ambassadeurs suisses n’aboutirent à
rien. Le fortin de la Munition fut détruit,
mais plus haut, sur la colline, les murailles s’élevaient toujours plus menaçantes et
redoutables ; tes travaux furent tellement
poussés que la citadelle put loger une garnison avant Thiver et le printemps après
(1656) eUe était solidement bâtie.
C'était le Fort de Smnte-Marie.
Le plan de cette citadeïle nous est conservé au Musée Vaudois ; c’était un fort
construit en toute règle, de forme pentagonale. Les murailtes qui sont actuellement sur. te sommet du Port suivent en
partie le tracé de l'ancienne forteresse.
Une garnison de cent trente hommes y
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L’Echo des Vallées ->|'Vendredi 30 Avril 1937-XV
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fut logée; ces soldat^ avec leurs tgracasseries, inettaient à l'épreuve les 'Vaudois
des alentoura En-1665 le conHUaudement
du Fort de Sainte*Marie < fut confié au
cora/te de Ba^nd ; ses soldats n’eurent
plus de modération, avec un tel chef : et
les habitants de La Tour furent forcés
d'abandonner leurs demeures et'de sé re-'
■ tirer sur les hauteurs. Lë comté de Bi^ol
ftnit sa vie sur l’échafaud, convaincu de"
120 crimes, dit Léger, à Tunn, en place
Château, après Avoir fait amende honô, rable autour de l'échafaud,' nu-pieds, et
un cierge à la main.
Lors de la plus grande persécution contre nos pères, en 1686-1690, le gouverneur du Fort était le major VércelU.
-C’est lui qui envoya dire aux Vaudois,
fuyards de la BalsiUe, que le duc Amédêe II avait changé de politique et leur
offrait son alliance contre les Français.
Quelque temps après, ceux-ci s’emparèrent des Forts de La Tour, de Mirabouc
et de Luseme ; et plusieurs fois les Vaudois, maintenant devenus défenseurs de
celui qui les avait persécutés, donnèrent
des assauts à la Citad^ de La Tour.
Enfin, au mois- d’août 1690, le français
Peuquières abandonnait ce poste en. le dé^
truisant par le feu, parce qu'il ne voulait pas laisser aux ennemis une fortification t^ menaçante pour les frontières
françaises,
Ainsi finit l’histoire du Fort de La Tour ;
nous ne pouvons pas, ici, en dire de plus
et raconter les peti'ts faits particuliers
qui s’y rattachent Mais cette course à
travers les âges, peut suffire pour donner une idée du rôle qu’ont joiié dans notre histoire les fortifications qui dominaient La Tour. Auguste A. Hugon.
Commissione Finan^iariii
I seguenti Signore e Signori sottoscrittóri di impegni triermdi prò Collegio di
'Torre Pellice (le cui offerte sono state a
suo tempo pubblicate, per intero, a cura
de] Comitato Amici del Collegio), hanno a
tutt'oggi versate le quote 1936 :
Aguet Vera, Avondetto Federico, Ayassot Epaminonda, Berlin Stefano, Bou^
nous Ferdinando, Bounous Leopoldo, Bimschettini Hilda, Coisson Augusto (missionario), Comba Adolfo, Comba Giulio, Concistoro di Torre Pellice, Cortellezzi Corinna, Costabel Aldo, Costabel Gino, CottaMorandini Linette, Decker Bruno, Decker
Carolina, Decker Emilio, Decker Guido,
Durand Alberto, Eynard Cario, Eynard
Emilio, Frizzoni Ugo e Norina, Fuhrmann
Aldo, Cardio! Emflio, Gay ATturo, Gay
Carlo, Gay-Tron Clotilde, Geymonat Oscar
ed Ernesto, Giampiccoli Margherita, Gras
Stefano, Grill Emanuele, Grill Luigi,
Gruppo G. V,, Torino, Introna Silvio, Jahier Carlo, Jahier Eli e Signora, Jahier
Gmo, Jahier Giorgina, Jahier Mario, Jahier Letizia ed Augusto, Jalla Attilio,
Jalla Davide ed Ines, Jon Scotta Giulio,
Lantaret Emilia, Long Margherita, Long
Marey Willy, Lupo Carlo e Lüy, Malan
Arnaldo, Malan Guido, Malan Noélie, Margaria Fe<terico, Martinat Giulio, Marullo
Beedt^ Anna, Massel Giovanni Pietro, Mathieu Geraldo, Maurin Giovanni Daniele,
Messemaeckers van der Graft n. Klett,
Micol Luigi, Monney Chiaria Clara, Monti
Long Emilia, Murri Elisa, Ostorero Emilio, Paltrinieiù Antonio e Fernanda, Pasquet Alessandro, Pasquet Amilcare, Pasquet Emilio, Pastre Augusto, Pellegrini
Fernando, Pera'zzi Valeriano, Peyrot Arturo, Peyrot Enrico, Peyrot Zürcher
Fanny, Peyrot Stefano, Poèt Lidia, Pons
Davide, Pons Paolo, Pons Silvio, Pons Teofilo, Pons Vittorio e Carlo, Quattrini Alfredo, Revel Roberto, Ribet Guido, Ricca
Alberto, Rivoira Lorenzo, Rivoire Daniele,
Rivoire Long Fanny, Rivoiro Emanude,
Robeit M chele. Rocchi Stanislao, Roland
Caib, Rollier Erico, RoUier Guido, RoUier
Mario Alberto, Roller Rodolfo, Rosati
Adele, Rost^no Primo Giuseppina, Rostagno Vittorio, Rostain Giuseppe, Rostan
Francesco (Nizza), Rostan Giovanni, Sch&none Federico, Selli Adelina, Servettaz
»
,
Sofia, Toum Gustavo, Tkmi Adolfo, Tron. .
Enrico, Tron Giorgio,, Turin JaKa Anita, ^
Turin Margherita, Turin Roberto, Unione^^
dele Giovani, Torino (M. Turin), UnionSy '
delle'Giovani, W- (C. pay), Vinay Er-i,,i_
marmo, Zavaritt Giovanni.
- # #
Hanno versato,-oltre alla quota per il’
1936, anche la quota 1937, i Signori e ¡h
Signore;.
Aguet Vera, Avondetto Federico, Ey-"T
nard Einilio, Gardiol Emilio, Gay Arturo, ;,;s,
Gay Tron Clotilde, Grill Emàinuelie, Jahier ^
Gino, Jahier Giorgina, Jahier Mario, Maì^!/
lan Guido, Madian Noélie, Mairtinait Giulio;
Masse! Giovanni Pietro, Mathteu Geraldoi'"
Paltrinieri Antonio e Fernanda, Pasqueii
Amilcare, Pastre Augusto, Peyrot‘Enrico;
Pons Vittorio e Carlo, Revel Roberto, Tui
rin Jalla Anita,- Turin Margherita.
SÜ * * |.
Hanno versato, oltre, alle quote 1936 e
1937, anche la quota 1938, i Signori e Si- "
gnore : ,
Aguet Vera, Avondetto Federico, Gardiól Emilio, Gay Tron Clotilde, Jahier
Gino, Jahier Giorgina, Jahier Mario, Malan Guido, Malan Noélie, Martinat Giulio,
Massel Giovanni Pietro, Mathieu Geraldo,
Peyrot Enrico, Pons Vittorio e Carlo, Reve! Roberto, Turin JaUa Anita, Turin Margherita. ..
sf! * !i:
Hanno inoltre versato una quota dei
loro impegni Pro Fondo,Collegio i Signori
e Signore :
Abate Domenico, Arnoulet Giuseppina,
-, Bastia Caterina,,.Bellion Bartolomeo, Be-,
1 nèch il^iUo, Bert Lina, ^ Bèrtin ' Luigi,'
Beux Antonio, Bionnet Clementina, Bonnet
Sidrae, Bounous Francesco, Bristehettini
Maria, Buffa Enrico (2 quote), Costabel
.Maria (metà dell'impegno), Cougn Gu, stavo, Fiertz Guglielmo, Gay Davide, GL
. rardon Margherita, JaUa Amato, Klett
' Flora, Long Amilda,. Long Eugenio, Malan
. Fanny, Malan Pietro, Malanot Gustavo,
Messina Clementina, Meynier EHiaa (tutto
*. l’impegno), Muraenthaler Giovanni (tntto
l’impegno). Pascal Arturo, Pascdl At;guGto (tutto Timpano), Pascal Enrico, Pastre Enrico, Peranzoni Angelo, Peyrot Ar, turo (tutto rrimpegno), Peyrot Paolina
(tutto rimpegno), Pons KoeMa Ina, Portigliotti Susanna (tutto l’impegnq). Ricca
, Guido, Storti Alice, Tedeschi Michele, Teruzzi Celina, Varese Carlo (tutto l’impegno) , Vola Carlo.
SOCIETÀ DI STUDI VALDESI.
Hanno finora fatto pervenire la loro annua offerta alla Società di Studi Valdesi,
che ringrazia della diligenza, le Chiese
seguenti :
Chiesa di Torino L. 175,__
» » Prarostino » 30,—
» » Livorno » 25,—
» » Brescia » 40,—
» » Trieste » 40,—
» » Bergamo » 50,—
» » Prali » 25,—
» » Angrogna » 20,—
CHRONIQUE VAUDOISE
ANQROGMB. L’Assemblée d’Egl’Se, con-l
voquée dimanche dernier pour l’élection de j
plusieurs membres du Consistoire, a con-j
firmé dans leurs charges M. Henri Buffa,|
pour le. quartier du Pradutour ; M. i
Edouard Monnet, pour le quartier de Bonnenuit ; M. Barthélemy Chiavia, pour le '
quartier des Odins-Bertots ; et M. Jean
Long, pK)ur le quartier du Martel. En outre, M. Güido CoïsBon a été élu ancien du “
quartier du chef-lieu. R. N.
BOBI. Le 17 avril, nous avons célébré
le mariage de Framçois Rostagnoi (Rostans) et d’Anna Fàvatier (Aghit). Ne«
meilleurs souhaits.
★ Le 25 avrü, la chaire a été occupée
par le pasteur M. Pierre Chauvie, que
nous remercions vivement.
Ce même jour, septante jeunes gens de
Bobi, accompagnés par le Pasteur, et en
compagnie de cent-trente Villarencs guidés par M. Jahier, faisaient une excursion à Barma d’Aut, aux pieds du CourHiour, dans le pittoresque et caractéristique vallon de Subiasc, refuge des Invincib’es en 1686. À 11 heures, culte sur
rochers de Banna d’Aut. MM. Jahier,
Ricqa, Salomon, Pascal, adressèrent des
messages à une magnifique assemblée de
jeunes gens. L’après-midi, au cours d’une
réunion, message de M. Dahnas; ensuite
M. Jahier rappdle d’une manière fort in■téressante les faits héroïques dës Invincibjes. Les chants ont égayé le retour.
Belle journée pour notre jeunesse et utile
aussi, nous l’espérons. R.
ItA TOÜR.Diéu a mis fin aux maux qm
travaillaient l’existence de M. Daniel Dwrond ; son départ a été une délivrance,
qu'il souhaitait dès qu’il se rendit compte *
qpi’il n’y avait plus d'espoir de guérison
pour lui. Il avait 77 ans.
— Le 22 courant, Dieu a rappelé à Lui
M.Ue Oahy Rivoir, à l’âge de 27 ans,
après de longues souffrances. C'est avec
un sentiment de soulagement que Fon
pense que notre jeune sœur jouît dès .
maintenant du repos céleste.
Que Dieu console les famillés visitées
par le deuil.
'k LE COLLEGE. Lundi après-midi,
dans l’Aula du Collège, a eu lieu une audition musicale réservée aux élèves, à leurs
parents et à quelques invités.
Le proviæur du Collège, M. le prof. A.
Tron, relève l’importance et la valeur de
la musique.
Les artistes n’ont plus besoin d’être présentés, puisqu’ils sont bien connus chez
nous : M.lle Ade Theiler, piano, M. Franz
Terraneo, -riolon,
programme du Händel, du VitaJi.
du Bach, du Bossi, du De FaUa, du Chopin, du Listz, du Paganini, du Rossellini.
Les artistes furent vivement applaudis
par le public, et des bouquets de fleurs
furent offerts à M.Ue Theiler.
Quant à M. Terraneo, il mérite toute
notre rdcpnnaissance, pusqu’il e|st venu
*
expressément de Côme et a renoncé à un
concert.
★ Le Comité « Pro Torre Pdiiee » vient
de publier une très jolie feuille-guide de
propagande touristique, œuvre artistique
du prof, Paolo Paschetto, illustrant par
de nombreuses reproductions photographiques Torre Pellice et sa vallée. La couverture, en riches couleurs, présente, sur
te fond des Alpes neigeuses, une jolie bergère en costume vaudois ; le texte illustre, par de nombreuses vues, les endroits
les plus beaux et caractéristiques de la
vallée. Ceux qui voudraient collaborer à
l'activité touristique du Comité, peuvent
demander cette feuille à YUffvAo Twristico
ou à son président, le prof. A. Jalla.
HAS8BL. Le Bazar traditionnel aura
lieu le jour de l’Ascension. Tout le monde
y est cordialement invité,
PHRRIBR-HANEILLE. La visite du Modérateur a eu lieu jeudi, 22 courant. Un
temps magnifique a permis au prof. Comba
de prendre doublement contact avec notre
paroisse, soit en æ rendant dans quelques
villages, soit en présidant lies deux réunions à Maneille et au Perrier. A Maneille,
où la réunion est fixée à 18 heures, on
voit tout à coup le inonde abandonner
les champs, et après quelques instants se
rendre à l’église, où on écoute avec une
grande attention le message fraternel du
Modérateur. ^
A 20 h. 30, dans le temple du Perrier,
malgré les distances, toutes 1^ familles
y sont largement représentées; il y a
même un groupe de l’Eglise des Clos. Là
aussi, le Modérateur adresse un vibrant
message, qui œt écouté dans im silence
religieux.
La visite du Chef de notre Administration a fait beaucoup,de plaisir et beaucoup de bien à notre paroisse, et nous tenons encore à le remercier de tout notre
cœur. ^
★ Pendant quie% Modérateur visitait
notre paroisse, une tragiquè nouvelle se
répandit tout à coup. Notre frère Jean
Ffrnero, de 46-ans, demeuraut aux. Grangettes, ayant eu, ces derniers jours,
certitude qu’il n’aurait pu recouvrer la
vue perdue à la suite d’un accident dians
les mines de talc, au Malzas, le mois
d’octobre dernier, en proie au plus noir
désespoir, a mis fin à sa vie,, d’une manière tragique.
M. le Modérateur voulut apporter luimême sa parole de consolation à la veuve
et à la fille de 11 ans, plongées dans ce
terrible deuil.
L’enterrement qui a eu lieu samedi, a
démontré l'estime qu’on avait pour cet
ouvrier et la sympathie dont on entoure
la famiUe.
La Direction de la Société Taloo e Qraate Val Chisone était représentée par son
président, le chev. Arthur Prever, et
M. Bauducco.
k Samedi, 24 courant, nous avons uni
en mariage, dans le temple de Maneille,
Humbert Garrou, de Prali, avec Aleaxmdrm<e Long, du Faureng. Aux heureux
époux, nous exprimons encore nos meilleurs vœux pour le nouveau foyer qu’ils
ont fondé sous le regard du Seigneur.
★ Dimanche, 25 courant, les cultes ont
été tenus par l’étudiant Jean PejTot, membre de la Société Missionnaire « Pra del
Tomo », et l’école du dimanche par l'étudiant Al'do Trezzi.
Les collectes, qui ont donné un bon résultat, ont été destinées aux Missions.
POMARET. Ces derniers temps, nous
avOTis eu la joie d'avoir quelques agréables visites. D’abord c'est M.me Margue-'
rite Coïsson-Nisbet, missionnaire, qui, le
dimanche 18 avril, a visité notre Union
des Mères du Pomaret en donnant de très
intéressantes nouvelles sur le champ des
Missions du Zambèze ; le ¡soir dü même ,
dimanche c’est M. le chev. Mi Long, prés’dent de la Commission du Chant Sacré,
qui s’est adressé aux membres de notre
Société Chorale et aux amis du chant ;
et enfin le mercredi, 21 avrik c’est notre modérateur, M. le prof. Ernest Comba,
qui nous a honorés de sa visite. Le Consistoire a été heureux de lui donner, dans
l’après-miidi, la bienvenue dans une ,séance
intime et le soir, dans le temple, une nom-*
breuse assemblée a écouté avec recueillement l'excellent message et les très intéressantes nouvelles qu’il nous a apportés.
L’Eglise entière garde de ces visites un
bon souvenir et exprime sa profonde gratitude aux visiteurs.
★ Des raisons particulières nous obligent, cette année, à célébrer la fête de
la Mère le premier dimanche de mai : dimanche prochain, donc. Des messages particuliers en rapport à la signification de
cette fête seront délivrés à l’école du dimanche, au culte et à la réunion des Mères, qui aura lieu dans l'Ecole Latine à
14 h. 30 de l’après-midi, et à laquelle les
Mères sent cordialement invitées.
PRARUSTIN. M. le Modérateur a visité
notre paroisse, le mardi 20 courant. Il a
pu d’cntreteniir avec le Consistoire sur
l’état spirituel et moral de la congrégation, visiter quelques bâtisses, et le soir
diriger son message, un appel à une plus
grande consécration, à une bonne Assemblée réunie dans la Salle de St-Barthélemy.
Nous remercions le Modérateur pour sa
visite bienfaisante et nous demandons à
Dieu de la bénir pour le bien de notre
paroisse.
k Nous remercions la famiUe du pasteur Romano pour le don qu’dle a envoyé
au Consistoire pour les pauvres de Rocheplatte, sa commune d’origine, et nous
unissons nos condoSêances à celles de toute
l'Eglise.
k yn nouveau deuil vient de frapper
la famiU© Gardiol, de la Luganera : Philippe, à la suite d’un accident et après
plusieurs semaines de souffrances à l’Hô-
3
L*Echo des MéeS ^ Veiiifeedí 30 Avril 1937-XV
pital de Pignerol, vient de nous quitter
_ ^n répondant à l'appel i du Maître. Aux
1 rères,, notre synxpathie friaJtemfelle. '
★ Le culte de dimanche prochîùn, sera
présidé par le pasteur D. Revel, de Saint■Jean.-^, , ^
★ Les" cultes commenceront, dès le'mois
de mai, à 10 heures du matin. G; R.
BODOBBT. Dimanche/ dernier, 25 courant, nous avons eu le plaisir d’avoir
parmi nous M. Renzo Rivoira, secrétaire
de la Commission die District, vàiu pour
la visite d’Eglise. C’est avec uii vif plaisir. que la paroisse entière de Roddret le
revoyait, puisqu’il a été, pendant vingtsix mois, sbn conducteur. '
Le matin, à llêcole du dimanche, et puis
au cuite, un bon nombre de fidèles écoulaiient son message. ‘
Après le culte, l’Assemblée d’EglAse
s’entretenait sur le problème suivant :
la sanctification du dimanche. Quelques
membres d’Eglise prenaient la pardè sur
ce sujet ; après quoi, M. Rivoira terminait en exhortant tous à démontrer un attachement toujours plus grand et une
consécration toujours plus complète à
Dieu et à son Eglise.
Nous avons encore eu la joie d’entendre M. Rivoira raprès-midi et le soir, dans
une réunion au Champ du Clôt.
Nous tenons a lui renouveler nos vifs
remerciements pour sa visite et ses messages édifiants.
ROME. Via TV Novembre. Devant une
vraie foule qui remplissait notre temple
paré de fleurs, a eu lieu, samedi dernier,
24 avril, la célébration du mariage de
M. Enrico Bonnet, docteur en lois, et M.le
Adelina Mesdna.
Présidée par M. le professeur G. Rostagno, qui a trouvé dès l’abord 1© chemin
des cœurs et élevé les âmes par sa chaude
éloquence et ses exhortations inspirées, la
cérémonie a été solennelle et touchante
dans sa simplicité. Le Pasteur die l’Eglise
et père dé l’époux a fait l’échange des
alliances et invoqué la bénédiction divine
sur les époux agenouillés. Et de la fort
belle musique pour orgue et violoncelle,
magistralement exécutée par les professeurs MM. F. Molfetta et Marco Peyrot,
a ajouté encore à la beauté de la cérémonie. Une fête intime, à laquelle ont largement participé nos deux Eglises Vau<loises de Rome avec bien d’autres amis,
et dont l’atmosphère de sympathie ïratcrnellc et’ de chaude cordialité a fait une
\ raie fête de famille.
71LLAB. Vidte du Modérateur. Le dimanche 18 avril a été pour notre église
une Bonne et belle journée, aussi désironsnous dire notre reconnaissance à M. le modérateur prof. E. Comba, que nous avons
été si heureux d’avoir au milieu de nous poiu- toute la'journée et qui, après avoir
visité nos écoles dominicales du Centre et
fait connaisssance de notre nombreux Consistoire, a présidé, le matin, au temple, ét
le soir, dans l’école de la Piantà, des cultes riches en bénédictions pour les belles
assemblées qui y ont assisté. Au culte du
matin, la Chorale, au grand complet, a
exécuté, sous la direction compétente de
M. le chev. Long, un beau chœur de Engel. Ces messages et les chaudes paroles
d’encouragement de notre Modérateur restent dans nos cœurs, et nous pouvons l’assurer qu’aussi notre intercession pour lui,
dans la tâche immense qui lui est confiée,
Sera toujours plus fervente.
* Activités de Jeunesse. Dans l’après^ ,
midi de cette même journée, M. le Modérateur a pu assister à la joyeuse rencontre de notre Union Cadette, présidée par
M.lles J. Barolin et N. Blanc, avec la vaillante section sœur de La Tour, qui, accompagnée par sa dirigeante, M.lle A. Mathieu, était en visite chez nous.
* Le chroniqueur de Rorà a déjà parlé
de notre rencontre de jeunesse dans cette
église sœur, l’après-midi du 11 avril. Il ne
nous reste qu’à exprimer encore une fois
notre gratitude à M.me et M. Geymet et
à la jeunesse rôrenga pour leur accueil si
fraternel et généreux.
* Ce dernier dimanche, 25 courant, une
belle et bruyante équipe de plus de 200
jeunes Bubiarels et Vülarencs, sous la conduite de leurs pasteura ont vécu une journée inoubliable dans le sauvage et historique vajilm de Subiaisc, qu’fl^s ont’ remonté jusqu’aux rochers glorieux de Bar^
ma d'Aut, sur le^uels les deux Pasteurs,
avec le concours de quelqu^^ jeun^ témoins, présidèrent le culte du matih, et
une bonne Teunion encore l’après-midi,
après quoi la nombreuse escouade, eh ordre et discipline irréprochaldé, traverse
en, longue fil© indiênn© la pente rapide de
l’Envers de la Combe, pour rejoindre la
Sarsenà et descendre à Sibaud, où se conclut le pèlerinage évocateur, par le 'dbant
du « Serment ». On ne se sépara tïependant qu’au pont de Subíase, où nos frères
« Bubiarels » voulurent nous accompagner
en masse, et où on chanta encore un de
nos beaux cantiques de réveil. ’
Que Dieu bénisse pour nos églises cette
bonne journée de fraternité et qu’il rende
durables et pratiques les saintes i^îrations que'nous avons reçues daps Îè Vallon sacré des « Invincibles »! j.
VniLESÈOHE, Mardi, 20 avrüi, nous
avons accompagné au champ du repos la
dépouille mortelle d'Amaridine Peyronel,
du Peyronéou. La pauvre fille avait disparu de la maison et ce ne fut qu’après
trois jours d’angoissantes recherches qu’on
a pu retrouver son corps. A la mère et au
frère, si durement éprouvés, nous redisons toute notre profonde sympathie
chilétienne.
★ Samedi, 24 avril, nous avons célébré
le mariage d’Etienne Philippe Baud, de
Prali, avec Esther Peyronel, 3e Riclaret.
Nos meilleurs souhaits accompagnent les
époux, qui ont été s’établir à Pmii.
★ Le Bazar de la paroisse, qui a eu lieu
dimanche dernier, a liéussi an-delà de toutes _prévisions. Très agréable a été la visite d’un bon nombre de paroisssiens du
Fermer et du Pomaret. A tous ceux qui
ont contribué à la réussite du Bazar, nous
exprimons la reconnaissance de la paroisse.
Noœ exprimons notre profonde sympathie à M. Eric RoEier, à .ses enfants et
aux parente, pour la mort soudaine de
M.me’ Marie RolUer néie Vigne, survenue
à lailán, le 22 courant.
* % •
Notre cher ami, M. le lieutenant-colonel
Jides Martinat, aprfe son brilant service
en A. O. I., a été assigné au commandement de la 3' Division Alpine « Juüa »,
comme chef d’état major de la dite Division et a fixé sa résidence à Udine.
11 envoie ses meilleurs souhaite et ses
salutations à VEcho et à la chère famille
de ses lecteurs.
Merci beaucoup et félicitations.
*
Le major David Jalla est rentré en Italie après avoir brillamment accompli son
devoir en A. O. I.
Nous nous réjouissons avec lui et avec
les siens.
PÈLERINAGES PROTESTANTS
Pèlerinage Yaudois en France.
Nous pouvons donner quelques détails
sur le IV® Pèlerinage Vaudois, qui se découlera en France l’été prochain. Le départ en est fixé pour le matin du mardi
27 juillet. Un wagon spécial direct portera les i^erins, sans changement, de
Torre PeUice à Nîmes, par Cuneo, Nice,
MarseiUe, avec un arrêt de trois heures
et demi à Nice, où on aura l’occasion de
r^contner, au temple, les frères de l’Eglise Vaudoise. A Nîmes les pèlerins seront reçus par le vénéré pasteur doyen
de la grande église protestante, M. J. Cadix, dont le Pèlerinage de 1935 a bien apprlécié le sentiment fraternellement dévoué.
Le mercredi matin, 28 juilet, liberté et
repos. Pour les ■volontaires, une tournée
sera organisée à 9 heures, pour visiter le
Temple Protestant, monimient sacré de
l'héroïque histoire huguenote, les magnifiques monuments romains, dont Nîmes
est célèbre (les Arènes, la Maison Carrée,
le Temple de Diane, le Nymphée, la Tourmague, etc.), et les grands souvenire des
persécutions'huguenotes et de la guerre
f des Oamîsards. A 14 h. 30, départ en au-;.,tocar pourrie Musée du Désert, au cœur
des Cévennes (visitant en passiuit l’ancien
temple cévenol d’Anduze). Au Musée, qui
dans ses driférentes saJl^ rappelle d'une
•façon extrêfnement ^isissante la résistance des huguenots pour leur foi, et la
guerre des Camisards, les pèlerins vauj d(^ consigneront solenneRemeint une inscription en’ marbre, œuvre de M. Vincent 'Mourra, rappdant la première visite des Vaudois au Musée, en 1935. Un
autre important document historique sera
aussi consigné. Pour l’occasion, une grande
’ réunion séra organisée avec la population protestante de l’endhoit. Vers le soir,
' les autocars, traversant une région, très
intéressante, porteront les pèlerins à
; ! Montpellier, où ils seront reçus par les
,, protestants de l’endroit.
Le matin du 29 juillet, visite aux monuments d© Montpellier, et surtout à ceux
qui se rapportent à l’histoire protestante
de cette ville, qui fut aux siècles XVT® et
■ XVIB un des centres les plus importante
des- huguenots, rempart de leur défense
contre les persécuteurs ; siège, à présent,
d’une Faculté Protestante dfe Théologie à
la célèbre Université. Les pèterSnis auront à cette occasion un guide de premier
ordre, M. Louis Perrier, professeur de
théobgie protestante à l’Université, qui
Veut donner aux Vaudois ce témoignage
de fraternité. A 14 heures, départ- en
train pour Béziers, parcourant une région très belle, au bord de la mer, longeant les deux anciennes viltes de Sète
et de Agde. A Béziers, les .pèlerins seront reçus par les protestants de cette
.^feomhre,u|se Eglise et par leur pasiteur
ÎM. P. C. ToureiEe, bien cjunnu comme secrétaire général de l’Aliance UniverseEe
pour l’Amitié Internationale par les Eglises, que nous avons connu à Prarustin, il
y a quelques années, comme président
d’un Camp et d’une Convention de jeunesse. Visite des monuments très remarquables de cette ancienne viEe, qui a été
témoin des massacres de la terrible croisade contre les Albigeois en 1206, et plus
tard, des longues luttes dès huguenots
pour là "défense de leur foi. Le soir, réception fratemeEe offerte par la jeunesse
protestante de l’endroit.
Le 30 juillet, départ, à 9 h. 30, pour
Carcassonne, à travers la magnifique vallée de l’Aude, longeant l’ancienne ville
gauloise et romaine de Narbonne. Carcassonne est l’exemplaire le plus frappaait
d’une viUe rrtédiévale : eEe est constituée
réellement de deux viEes, la viEe basse,
construite par Ixiuis IX es 1247 ; et la
Cité, très ancienne, posée sur une colline,
extraordinairement bien conservée, avec
une double ceinture de muradEes, cinquant&ideux tours, un magnifique château,
un amphithéâtre, une merveiEeuse basiEque, témoins du terrible siège de 1206,
qui s’est conclu par le massacre des Albigeois et la résistance des huguenots.
A Carcassonne c’est un grand ami qui
recevra les voyageurs vaudois : le pasteur
M. Léon Marchand, le chef très connu et
aimé du pèlerinage français aux VàEées,
en 1935. M. Marchand guidera les pèlerins
dans la visite des monuments des deux
Carcassonne^: ensuite dans de commodes
autocars les conduira, à travers les forêts,
les cols et les vaEons süencieux de la Montagne Noire, jusqu’à Castres, Et c’est à
Castres, que les pèlerins vaudois seront
accueiEis et entourés par la chaude affection non seulement des paroissiens de
‘ M. Marchand, mais surtout des pèlerins
français de 1935, qui retrouveront leurs
amis des Vallées et répéteront avec eux
les beaux chants de la fraternité chrétienne, chantés alors avec la jeunesse vaudoise, de Bobi à la BalsiEe. C'est l’admi-'
rable expérience de ces pèlerinages .protestants : qui, donnant le moyen de .prendre connaissance, dans d’intéressantes régions lointaines, de ces merveilleux sanctuaires élevés en pleine nature par la foi
héroïque des pères, et inspirant par là
une conscience plus profonde de la présence de Dieu dans ces liens sacrés, établissent en même temi)s, entre frères de
diflpérentes patries:, de nations létrangères, des Mens de cordiale solidarité et de
forte affection que rien ne pourra briser.
Pour le 31 juiEet, M. Marchand a préparé une lotxcursion en autocar, à travers
la beEe région boisée du Sidobre et des
Monts de Lacaune, extrêmement intéressante .soit pour la beauté de la nature,
soit pour les grands souvenirs de la résis
tance des protestants pendit deux limga
si^fe ,dè luttes et de peiisécutîona Les
pèlerins visiteront plusieurs endtoits remarquables ; ils seront attendus et reçus
aux temples de nombreuses paroisses protestantes de ces. montagnes, à,. Vahre, à
Ferrières, à Brassac, à Lacaune, à Viaine,
à Roquiecourbe ; ils retrouveront là im
pep, dans la nature et dans les habitants,
■deuis paroisse des^VaEêes... Et 1© ^r, à
Castrés, une réception fraternelle sera la
digne conclusion dé la glorieuse journée.
Le 1«' août’ dimanche, culte soÎeimri au
temple de Castres, présidé par un pasteur
vaudois et un pasteur français. Dans
l’aprês-midi, grande réunion en plein air,
avec la foule, des protestants de l’Albigeois, près des ruines historiques de Hautpoul, où les pèlerins seront conduite en
autocar, et guidés par M. Gaston Tournier, iEustre magistrat et président du
Musée du Désert.. Ils poursuivront par le
même moyen jusqu’à l'ancienne viEe de
Mazamet, où ils seront reçüs et entouii&i
par la nombreuse paroisse prote^nte de
l’endroit, qui leur offrira, le soir, une réception fraternelle d’adieu.
De Mazamet, le lendemain, le départ.
En wagon direct, les pèlerins, passant rar
pidement par Montpellier, Nîmes, Marseille, arriveront à Cannes, où, pendant
l’après-midi et la soirée, ils jouiront de la
merveilleuse tranquillité de la Côte d’Azur et se retrouveront avec le groupe d© Vaudois résidant en cet endroit Le lendemain matin, un autocar les portera te
long de la magnifique Riviera française,
jusqu’à Nice, d'où le train les reconduira
en quelques heures aux Variées.
Le programme complet du pèlerinage
sera prêt dans une quinzaine de jours. Le
prix complet pour les huit jours (voyage,
transporte, pensions, etc.) sera d’à peu
près L. 325. En attendant, que les anciens et les nouveaux pèlerins se préparent ! - . . A, J.
“ConYegno,, dt rftsctnsiM.
, Le « Cosnvegno » Unioniste de l’Ascension aura lieu, cette année, sur le magnifique Col de la Sea (ait. m. 1275), à
heure et demi de Torre Pellice. Le culte
est fix!é pour 10 h. 30 (porter 1© Recueil
français), A 14 h. 30, réunion unioniste et
chants. Toute la jeunesse vaudoise y est
cordialement invitée. Le rendez-vous à
Torre Pellice, pour le départ, est fixé à
8 heures, devant le temple. A. J.
M. Ekic Rollier, m. et M.me Mario Roi^
UER et Ißurs enfants, M. et M.me Guido
Rollier, M. Charîes Rollier, M. et M.me
Rodolfo Rollier et leurs enfants, M.me
Marie Soüuer, de Stoutenburg, ainsi que
tous les membres de la famiUe, ont la domleur d'imnoncer le décès de
Marie Rollier née vigne
leur bien-aimée femme, mère, belle-mère,
grand’mère, belletsœur, tante, rdèoe et cessine, que Dieu a rappelée subitement d
Lui, dans sa 57® année.
«Toutefois, que ma volonté
ne se fasse pas mais la
tien né ».
Saint-Luc XXII, 42.
Le service funèbre a eu lieu le
24 avril 1937, à 15 h. 30, au Temple Vtmdois de Piazza Missori, à MUan, doit le
corps a été transporté provisoirement au
Cimitero Monumentede, dam l'attente de'
V ensevelissement, qui aura lieu à une date
plus éloignée, au Cimetière de Torre
Pellice.
Milan - Via C. Poerio, 37
le 23 avril, 1937.
Le famiglie DURAND-BULZONI ringraziano di cuore U Dottore, le Suqrei e
tutto U personale ddl'Ospedale Valdese,
per le premurose cure prodigate al loro
caro padre, nonché il commissario prefettizio, cav. Ettore Merh.
Torre PeUibe, il 27 aprUe 1937-XV.
4
s ' ^ % 4 Í H
iiiil'At l8illl>EniiH|Ìl% Mil
îî^C'est te Comité du 12 Avril-qui ’à arxièté déduitivomeiit les comptes de l’exer*
fsic© 1836-37. Le budget des dépenses préyufiô i9a montait à 4.310;000 francs, et celtes efïectuiéea ont été de 4.308.843,20..Les
amis de notre œuvre, ixMir. faire face à
^tcM.^de dépeintes, noiis ayant ^envoyé
1^.somme de 4,^82.^4 francs, c'est dire
que l'exercice se^terminé'presqiie sans dép
ficit, ce dont nous sommes reconnaissants
à 0iéu d’abord et à tous ceux qui, d'une
ni^ière ou d'une autre, ont contribué à
permettre ce résultât. Dans les temps difficfles ' qite "traversé le monde, noua sentons combien le privilège est grand, dé
pouvoir terminer une anriée dans des conditions semblables, et combien notre conÎTAnce et notre adoration aussi en doivent
être stimulées. .
Et maintenant, c’est i en face dû budget
du nouvel exercice 1937-38 que nous
avons à nous pliacerj Nous avons encore
l>esbi(n, "dans l'année qui ccanniénicei, jcÎe
l’appui persévérant et même augmenté de
tous tes amis de notre œuvre, auxquels
devront bien s'ajouter ceux qui ne la connaissent pas encore, ou qui comprennent
mél son importance.
(Extrait de U Ami des Mission« d'avriD
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ed accetta le relative commissioni
Denunzie di successione
fatte con criterio razionale
Battna Zoccaro
Vìa S. Francesco da Paola, 46
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Oeomelri QARDIOL
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Uffici recapito: Pineroio - Via Trieste, 5 —
S. Germano Chisone - Via Gorge, 12.
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