1
8
, V
MIX J3'A0ONNBMCNT I
lULie d Colonies lUliennes ■ .
Etfirgei' Í ^ V - ■ - *
Ptufliearft ahoniteinciits à la metne adresse .
Oà s'ib«iincì & Tom PtUktt au Bureau d’AdnÌnlBtratSon de l’£!cdo (Via Wlgram, 2}
• Dans toutes les Pafolsses, chez MhS. les Pasteurs.
L'ABONNeaceNT BB PAVE D'AVANT,
S'adresser; pour la Bidaetleo, à M. lePrnf, LomMioH,.- TomPeSkè-^ pour
l’AdniliilstrmtlaK, au Bimaa ^/oiirital, Via Wigrain, N* 2 ^ Torre Pitlke.
Pour toutes les ainiMi»a s’adresser au Bureau du joumat.
Tous les diaugements d’adrcsie coâtertt fo «tnatlaiu, sauf ceux du conutcu*
ceuieut de Puînée.
Le Diimisot BO eentlmee
Que toutes Iba chôaes vraies, honnête^ 3UBtes^ pures, iaiiAbIee>.., dignes de lonaaige^ i^conpopt voê pensées (Philipp. IV, 8) ,
î ^ ATTENTION.
■' Four siwplifier U thivaü et êïtüè^ des
ffitar\h reifrettàbles <m prie les lecteurs, et
le.ÿ omiê: cíe nos. œuvres, líííííreffseT’ imperti^neUement tout ce qui fegahie VAdnd^ira.i’iafî à Ik.:bo des Vallées - 2, ■ Via
Ifigraoi - Torre PtïIJice,
I, il'fîcrrorc/ arec lü. Co'firrfmsitM des. IntMjíttíoíís JioiipîiiiZîèï'es VmdiÂêCs, on pne
d|enfOi/ç!r ieêr_ dofti ijcutr fHffirmies
Bîii'res £ï iiï 'iîiéme odreHna, oii Vun des
1 lembres de la éite Commisi;mi est àtargé
te hs retirer - y en a - -diaque sejiaiijs, Çeid düTvt ijiit d'éviter une (loiilie puhlicíttioñ, d’abord; 'par^ni fee done
ieetís ipar le LHrecteur du- journal) et
tnsuiîe, dans la liste des tíí#ére?iícíí œu■i res.
«t 1^] «t
Tout ce epii -re^refe kl réda-ction - artdes, oorresrondaïicca, CQramuni'ca tiens,
e C::, doi-t être adrtmé ü M. le pr<jf, Lonis
^ icd - Tori-e Pellice.
"Nous raprprelmis à nos oîmiï.6!efl corresP f^dants que leurs écnfs doivent pamen 'ii, à la rétlafjiion tliins là journée du
ïi 3^1, m tard ; les reiardataires nous
Cl ment smv^t de graves embarras, sans
P iiier des eoquálles rpn’rm n’a pas le fewps.
df jciirrîgcr. . ..,„.,1,
Z MA¿^ AAAAAAAAAAAAAA
Que l’espoir ru/us.prête stm aile!
;JVoiis ne marchons pas vers la rrnti.
D'une demeure pater-nelU
Là'Maut c’est la clarté qu-i hdt.
Jules Vinard.
Li6 feui cciuvie sous ki (ïiixiTe, et de temps
éi temps des coups le vent déeouvreiiD
p£ ■ ■ci, par là, Jo brasier qui pomma;, demi iti, pip>v<ïiiuer i'inoeiidTie que tout le
nu 'ide appréheffide, La nouveiSlfi année
CO unenoe sems des aiufepices q™ ne sont
pa très^ rasBurantB et bcftHaonip cte perada b«a sont hantées pstr de teiTifiantes vt
SW fl, teffles qiae les ancictis prophéties les
onl décrites dans leurs livres, Faut-il s'en
étetner,, si les liommeg Hont capables des
pir s iniquitée et iTsstent in^sibleÊ à tout
ap] ei de bi cqnsciénce chrétienne) ■?
ï ûo Biiropo en feu, le massacre inseniisè
de nilliers d’hommes, la destruction de vjilee întiétm dice sauffranroes inouïes, la fin
de; ïotrrs ciiviiliaation, la nnort du christianîs TÊ,« qu’impiorie ? ' '
t't’importo ? !*3mlilen.t dire beaucoup de
g)Gi k avec une légèreté qui friae la folia
I ous nié póuvtHiB nous nelàesr à einc, et
ma ïré las nuages qtli asaombrigæîït l’Burop s e4 ca commeticï^ent d’année, noiufl
wi ctoiS (Bspéiw que l’Europe e)t noti^ cJvili ation^ éviteront là catastrophe qui les
me ace,
; îunpjoi e^pénons-noua 7
( est qiœ, màfgré touit, Poub avcttîs. encor confSanje© dans fc« 'kontmes, dam lefl
lio! mes du moins qm prcjflesBént la foi
chï tienne. Oh ! ils sont bien colériques, ils
■*'e iportènt facilement, laS TesBOrta do Tîntêt 't kBÎfrait parfds dévier dfci drcàt che:V mi , îuaîsi ciufilfeî en sont les eonséquetii'í'oeí ^ Les ¡sonséquenjces ! Voilà ■ matière à
iéhir, quand il ^agit de la destinée de
0ÍLS ehtièreâ, de tonit un cooitineiits de
1 i^ËhsÉtkxn, du ehriistiaPisme...
is ne croyons pas qtto oaojt qui gou-vT::
S
venneut lee peuphig puissent, par une impardonnable légèreté, répéter l'afïreuso.
tragédie de la grande guerre.
Non, noui; ne màrchxms pas vers la nuit,
car icii hiomities, an fauta de- liumière;, veuteu-t Da lumière.
Mais notre espoir est surtout fondé ®ur
une ibiiioction qui n'est pas humaines il
y a-quelqu’un qui règne, quelqu’un qui
vraiment le Roi des rods. C'est Lui qiii décide, c'est Lui qui a fixé la destinÉe des peupiee. lors, nous ne noua préocoupons
plus dies petits ou grisiids inddâtfts jour-'
naiiers ; noua ne faieons pk® ¡es propMfe.s pcfljr établir ce que l'avenir nctas réserve... ,•
« D''U7ie detnmre paUrndle
c'esi la darté qui luit ».
Cefcle clarté luqt dane. m« ténèbres, malgré nos ténèbiss ; eUe nduej indique le chemin, ejfie iiïHis imssure, elle nous proroet
que quoi qu 'il arrive, tou b bleui pufe- .
qui0 c’est Diau quii fe veüt- ’
Mon frère, ma sreitr,, je sais que ton ■ hte
rizcçi, GommB le.mien, u’eet'pag très dairren CO miüiïuent ; ne l’abandonne pak.
àui vaines déstespériHUcea qui taitravemt
ton activité ot rüdciït ton front ; plutôt ce-'
père, ' tràvàjîle:, cnris.,.
Ne Bouifi^ pas de ce qui ne t’arriveia.
peut-être jamais ; avance le hmg' du clièi^’
Inin a,vtec oouragé st avœ foi. Il y a bien
un voüe db nuagics, mais, au-dessus, îe soleü continue à briller : plus la nuit est
noire, plus l’alurore est proche.
La Püit du péché est bi«i noire, mais la
délivrance peut Être proche ; Ses peuples
dur le boïid de l’abîme entendront peutêtre mieux l'appel de la conscience chré■ tïetme-,
Espère !
Foi et Science.
U n'y a pas longtenps, pluefeiurs journaux protestants pubitènent qu’un célébra
ûeftïonome avait démoli l’hypothèee ^ lâ
plttralÈité des niondles habités, et quieïqpresvms d'ientne eux fii^t cemprendro leur
satisfaetiGin de voir tomber une hypothèifâ
capable de troubldr tes éEprits.
Je ne tmis pas d'accord avec le dit astrouotiia Que UiOusi ne netrouvietis pas aiïr
d’autres mondes ies conditfcns ^sentiéHes
à & vie aïiimaHe tdle qu'cillc est sur notre
planète, c’iest-à-diré la présence de l’osygéne lat de l’eau, cela ik; imis autorise nullement à conclure qu'ü n'y a pas de vie posribib. D’auitant moinq si ncua swnrues croyants.
Ca n’est pas là 'Un paradoxie, comme
j’espère le démontrer.
Que aavonu-nou^, en efTpet, qui sommesiious pour mettre d^ limites à la puissance
de Ddeîu7 Car Diem dans son pouvoèr infini, peut avoir créé d'infiniea poaaibiUtéâ,
de vie, mcmio aiu point de vue libystque,
difféiiefiies de cdlea que nous oanîiiEüæ»iis.
Et dë croire que lluxnme, ou màeUK le
corps humiam soit ie chef'd’iEUvre du Crête
■ teur, n'est-ce pas de l’orguefl ? Et un édipeement de ridée de DiciU ?
Apalès uine conférence sur les nêbufet^s,
one brave ckme demanda à l’astronotnè
américa,hi Nturis Kusaei : « Si Wtre lácnde
est ri peu de chose dajis roniVers^ poUvuna-noua cixare <|uo Dieu æ aouciie de
nous?
Et l'afiTOttioma, qui est comme batkicoup
de ses ûcilèguies, un cisoyant, lui répondit :
a Cela dêp^d, iMadajne. de la. grandieur
que voue alttriliuess à Diett dans votre eroyance ».
■■ Ce u’,iait paB mon. úutenftíon, de dÎBCuter
des hypfliÜlfees acîeutiliquas dans lesqueb
les il y a beaucoup de fantaisie, d'une
part, et dJe l’autre, beaucoup de l'inguérissable orgueil avec lequel savants
et même dés hommes d'EgUae, ont de tout
temps prétendu refaire i^eibn kàirs îdéea
l'Œuvre Dtfvi'ne,
Mais je pettjae que s’on tenir à l'idfe,
trè^ réïfâimiue parmi les chrétiens, d’un
Dieu à rusage exclusif, aii serviese péiir
ainri dire, de l’Huimanité est une conception roeequiné de Sa Toute Puiseance.
Je sais bien que, maÜieure'usement,. aujourd'hui une tefife idée peut déjà passer
pour large. Car, tapdjs que les oonnaissancca srienrtnliquee de Thpujanité atteigîient des vérités toujou'rs plus grasnibsesr nous continuona à concevoir Dieu
d'une façon puérfle, non seulement, mais
des hüíiLmetík élevés ehrétieitmeniieint, et tout
àtîtne que vulgaires, eh rcvieainelnit au Dieu
national [ Nous rebroussons chemin et
nous niïus acheminons tout doucettoentveíra
le fétiche du village des Papouasiens et
' des Ntam-niaiks 1
C'est une p^tne, répoŒ^, à la quætdon
que la dame posait à Î'aqtronome, C'eBt
un faux-fuyant que la parease intellectuelle que ntiUB mettens dans ncitre vie
religieuae, nous indicjuie. Çette même qüestkm, qui peut devenir aingdfesante pour
nos âmes, chacim de nous se la pose à
chaque înatant,
Personne ne regarde pkis aujoud'hui au
ciel étoiEé conninie à une voûte richement
décorée jetée aux la terre. L’écdifcr en,
cla^, le labouilBur qui lit un journal^ la
ménagère qui couBuËtfe süm ahnanack ont
maintes occasions de jeter un regard sur
la perspective sans fin das mondes. S’fla
rêHéc:h;te.serit, le vertige les prend jet Ha
question æ pose.
Il in'y a qu’uii moym d'en soirtin C'est
die ntettre notre Foi & k hautetur dea ccœiquêtes de la Science, plus haut encones.
Le ehrétí^ dbit msttre l’idée de Dieu
aiu-dessua dq tout Si sa vsrioin du Utonde
physdque s’élargit, d’autant plus Ja, visicei
de Dieu doit grandir en lui. D faut qu'il
comtjinenne ckiremíeaiti que Dliêu est véritablémont Infini et Sterciol, ainsi qju'ü l'a
appris au catéchisme, D faut qu'il essaye
de comprendre que Dieu pas en
travé par les limitations dfe temps et d'espace qui pèsent sur toutes nos aetiens.
n faut qu’il bannisse toute trace d'anthroptK
mqrphismie de l'idée qu’ü a db Dieu, et
qu'il s’empare du sons profond de cette
sinuple Parole ; Dieu est Esprit.
C’est (^fidfe, cela parait surtout difficîkï. Mais Dieai penst au^ nous donner
la capacité de eompnandre par intii|jtion
CfC que de grands savants trouvent ri im
oompr^ienriblb r Jésus l'a. affirmé.
Denses cociibîlai l'esprilt humain, bie»
que rwîserrê dans un corps chétif et sujet
à tant de limitatiims,' est cuiiabki d’embraesar et de figurer. Et ators vouq ne douterez poèit que l’Esprst Infini puisse veiller sur le mouvement des nébuleuses en
même tecnpa que sur la vie d’iUn moiirurau J
Déjà le FsaJiïdste au courasit des enfantinca cünn:iiîiteh';es cstrcTHWijiqU)^ du
temps, s'écriait : L® deftix racontent îa
gloire de Dieu! A'îhri ddsWûa.iM>ü3 tpuand,
dans les mcomiparabteff nuits d'hivfâr des
Vialléee, nous oontemplona lès' müsuiep d'étoiles qüii étjnicefbtiit partnii les p5cs nrigeux; iiotne cannaiaaarbce die ïimmmrité
qu'irikn peuipHient ns noius effra^Tera pasi,^
car iDûius possédons la. dducé ai^uranjce que
le Sauveur pous a donnée : Oe Dieiu si
grand qui régit ces mondes immenses est
tiotne Pêro, ‘
O Toi, Siipréiùe Artiate,; qui en bsuI échauge
De toii.'tes les merveffles cosiiitqiieB île Ton Ou
EVTBgO
2\'o nous dBflMLndcs qu'un.mot vu nom:
Mon Pêr& (E. PraimiTtff}..
Dome, 30 décemhre 1935-XlV.
M, EYNJina
Jtctonr & la Vie sinpie.
Une heureuse découverte, résultat des
cootingenoffl : ou peut vivre beaucoup plu®
simplement, dépenser beaucoup inmtxs, ae
passer d'une quantité dé choses Par patriotisme les gens savent s’imposer des
sacrifices dont ils se croyaient incapables,
et loin de se plaindre. Us trouvent, qu’au
fond, une plus grand© simplicité vie contribue au bonheur,, à k pais,' à.k tranquîlîité, et même à k santé I
Contenue en de raisonnàbles 'limites, la
simplicité est un bien qu'on ne saurait
apprécier à sa juste valeur, Aujoufiâ’hui
on noua l'ecommnnde Idfépaifejner ; ifiort
bien, niais nous voudrions que ce qui est
néceisaaire en œ moment devînt une norme
de vie, un principe à suivre toujours.
La simplîci'bé naturelle aujourd’hui par
devoir patriotique devrait l’être encore
demain par un devoir supérieur d'ordre
moral,
H n'est peut-être pas trop hasardé de
penser que plusieurs des maux qui affligent l'humanité d'aiqouiniluii ont leur
source dans k recherche rifrénée de k
richesse et do ce qu'on appelle^ certes
très improprement, le bîeQ-êt[& Oui, très
improprement, puisque, malgré une recherche spasmoiiiqûç, on n'arrive qu’à tout
compliquer, avec le résultat que pr^uo
tout le monde vit dans un état de fièvréi
de neurasthénie, de foüa
On n'éntend parfer que de crise, d'aflfairea, de lianqueroutefi, et k respmisabilité
en est avec temps que nous traveisons. C'est
vite dit, mais qui lest-ce qui a créé ces
teTitps ? ■
Tout un système de vie, de rapporta,
dont nous fiommes íióíís lea reaponsalileg.
Il est do toute urgence d’examiner à
nouveau ce qui i>eut donner à notre vie
id-bas sa raison d'être, et d’étudi^ ke
moyens d'une existence moins matérialiste
et conséquemment moins orageuse.
J’ai la profonde conviction que la rimpHcité devra jouer un rôle important dans
k création d’un genre de vie supportable r
moins de besoins matériels à satisfaire,, ét
moins d'argent pour se les .procurer.
Mais... n'est-ce pas limiter }a vio et la
rendre morne ? N’est-ce pas la refouler
arrière au lieu de la faire avancer ?
Nullement. E suffira de vivre un peu
plus inteusément de k vie de l'esprit ; et
l'esprit, grâce'A Dieu, n'a pas besoin de
grands palais, ni de précieux trésors pour
se dc^Tbiqjer et atteindre bien haut.
Notre civilisation qne civilisation
2
V't
L’Echo des Vallée» - Vendredi 10 Janvier 1936-XIV
Stérialiste, malgré xm© eeïtaine éliQU^te
voudrait faire croire le contraire. Nos
fpjtvaijx, ne® luttes, nos troubla ne visent
Îwis à un épanouissement de l’esprît, mais
au confort de la matière, eft celleei nous
tyrannise, nous abrutit.
Puissions-nous retrouver, et pour longtemps, une simplicité qui éloigne de nos
vies la fièvre de l’arrivisme, de la richesse,
des jouissances mondaines, une simplicité
capable de mettre en parfaite harmonie la
matière et l’esprit et d’éliminer une quantité des maux dont nous souffrons.
LINA BONNET.
Elle a achevé sa grande journée labo^
rieuse, le matin du dernier jour de l’an.
A la. même date, il y a xme année, fatiguée et déjà malade, elle avait remis en
d’autres mains et à un aptre cœur la direction de son cher «Foyer» auquel elle
avait donné toutes les meilleures années
de sa vie. Ce « Foyer » qui a été sa forme
d apostolat. Combien de jeunes fiilles italiennes et étrangères prononcent aujourd’hui le nom de Lina Bonnet avec respect
et affection ! Ponrrait-on seulemjent les
compter ?, Et ipourraitron dire convenaIdement son « service » consacré en faveur
de toutes celles qui s’adressaient à Elle ^
Sa tâche n'a jamais eu de limites, comme
ses forces pour le bien.
Soutenue par une santé à toute épreuve,
elle ne connaissait aucun ménagement
quand il s’agissait d’une jeune fille qui
venait se réfugier dans la maison hospitalière.
Pour combien d’entre elles, elle a été
la seule et véritable mère.
Son repos, ici-bas, n'a pas été long. Affaiblie par son grand labeur, elle a surtout
souffert de l'immobilité forcée dæ derniers
mo^
Quand ehe comprit que sa vie avait
Uni avec son travail, elle a accepté, et
cela a été le dernier don de soi. Son soir
approchant, eîle s’est encore plus entièrement donnée à Dieu avec lequel elle
avait pourtant toujours marché.
Quel vide autour de nous ! Mais quel
privil^e d’avoir côtoyé une semblable existence 1 Quel regret ! mais quels souvenirs !
Comment, dans notre labeur journalier,
ne pas nous inspirer à ton humilité, à
ta vie débordante de zèle, à cet oubli
total de toi-même ?
Tu n’ea pas morte, chère Amie, tu es
vivante au milieu de nous ! L. G.
lcr évaniiéliiii tilié an A. 0.
» « *
Tous les journaux ont parlé de la mort
tragique du sous-lieutenant aviateur TITO
M1NήT^ tombé aux mains des ennemis
et barbarement déx^pité.
Ce jeune officiel; était membre de notre flglise de R^gio Calabria ; toute sa
famille est évangélique et dimanche dernier a eu lieu dans le temple de R^gio
lœe c^trémoni/B oomménx>rative présidée
par le pasteur M. H. Pascal avec le concours de M. S. Colucci, surintendant.
Nous exprimons à la f eunille Minniti, qui
a déjà perdu un autre fils pendant la
grande Jguerne, notfe sympathie émue,
d’autant plus profonde et sincère étant
donné les oirconstances tragiques de cette
mort.
Noqs recevons en dernière heure un
compte-fetidu de la cérémonie commémoçativç, mais nous devons le remettre au
numéro de la semaine prochaine.
La chose la plus subhmie, et qui domw
à cette vie sa ph® grande valeur, est la
force d’un homme qui se sent plus fort
que tcaït ce qui tood à i'éoraaer. Je ne
puis aauez louier l’hoaurie qui ne se laisse
pas entraîner par les passrùms, nj submerger par les caliunités d'une existence
difficiV Gustave Freytag.
DONS REQUS
Pro Collegio Valdese : Big.a Enrica. Gamma, Milano, in memoria della Sig.ra Jahier-Danti L. 50,
SAIUT-OBRUAlir. Asì'ie des Vieülards.
Avec la plus vive reconnaissance nous
accusons réoeption des offrandes 'qui
nous sont parvenues du l.er octobre au 31
décembre 1935. Mesdames et Messieurs :
Cardon Marie, L. 5 - Balmas-Cardon Médine, 5 - Costa François, Taranto, 10 Traversa Maria, Id, 5-- Diana Nicola, Bari,
5 - Duchène Baptiste, St-Germain, 10 Leali Roberto, Milan, 100 - Richard-Bounous. Suisse, 50 - Franco-Costabel Alice,
Nice, 119,00 - Giaccone Giulio, en Souvenir
de ison parrain Rosabrusin Jean, 20 Unions chrétiieinnes de Videsèchq, 30 Cardon Elisabeth, 10 - Eglise de St-Gerrpsin, f50 - BouBSOUS-CuJlino Lydie, Naples,
50 - Rostan Edouard, St-Germain, 5 - GayPascal Eisa, Milan, 50 - N. N. St-Germain
10 - Commune de St-Germain, 100 - Poët
Alexandre, Notaire, Traverse, 75 - Musso
Louis et Céline, Id,, en souvenir du cher
papa et beau-père, 100 - Gelato Albertine,
Peirier^ 20. - Peyrot Lydie, Id, 20 - Sœurs
ROvel et Clotilde et nièce lida, Id, 30
Alessio-Eynard Méry, La Tour, 25 - Montagne Alice, Monte Carlo, 75 - Elise et
Etiianne Stallè, Id, 25.- Cbev. Rivoiro Emanuel et Famille, Turiiii 150 - FamiUes
Beux et Rpuflox®, en souvenir' de Sœur
Susanne Bieux, 20.
Fleurs à la, chère mémoire de Madame
DemM-Jahier Joséphine. Outre les sommes
considérables qui qnt déjà é# publiées sur
«L’Echo» il y a 15 jours,, nous avons ep
le plaisir d’enrHegistrer encore les dons sui vants : Reliu de la Fapulle le jour après,
l’enstevelissementj L. 350 -, Reçu de M.l|e
Origlia E.rneata, Turin, 25 - Reçu de la
part des Neveux de la Défunte. 100, réparties comme suit ; Edvi et Lamy Jahier,
20 - Barthelemi Jahier, 10 - Emüe Jahisr,
5 - Alexandrine Jahier;, Veuve Balmas, 7
Ehsa Griot, 10 - Catherine Bert, 10
Clémentine Jahier* 19 - Mélanie Jahier, 19.
Grâçe à UU certain nombre d’Amis dopt
la bonté ©t la générosité en faveur de
VAsile sont désormais traditionnelles, les
quatre-vingts personnes qu’tt abrite viennent de passer de très belles fêtes de Noël
et Nouvel An. On peut dire sans rien exagérer Qu'ii n'y avait qxiç des personnes
parfaitement heureuses à l’Asile pendant
ces solennités. Les généreux bienfaiteurs
seront aussi heureux de savoir qu’il en a
été ainsi* et au risque de froisser leur
modestie nous nous permettons de les nommer en leur disant encore de tout notre
cœur : Alerei. Ce sont : M. et M.me
Widemann,, M- et M.me Ing. G. Vinçon,
M. le Oocteur Cardon, M. Bounous (Hôtel
de FOurs). Mesdames PeUegrini-Noërbel
(Turin), Leidheuser-Gardidl, Long A. (Boulangerie), Duchène (Id), Rodet (Pignerol),
Berutti mène du «Podestà» de Pignerol,
Musao-Jahier ; M.Uee Geniçoud, Aleyer, Jervis, Ohly. A tous ces chers Amis (es Viellanda envoient leurs meilleurs vœux de
bonne année. B. S.
★ La' fête de Noël pour les enfants a
été célébrée le dimanche 29 dans l’après
piidi Un, nombreux publie est venu applaudi,r les petits acteurs qpi ont développé UU
riche programme de poésies, dialogues, et
chants.
SAINT-JBAN. Au culte de Noël notre
Chorale a exécuté un beau chœtir de circonstance sous la vaillante direction de M.
G. Albarin. La fête des enfants a eu lieu
le 26 décembre. Un bon programme avait
tìé préparé. Un merci cordial à tous ceux
qid ont travaillé à la bonne réussite de
la fête et tout partiexdièrement à M. Adolphe Coïsson, instituteur, et à M.me V.
Peyrot-Goss.
★ Le dernier joxir de l’an xxn long cor»
tège de parents et d’amis accompagiiait au
champ du repos la dépouille mortelle de
notre vénéré frère Jean Daniel'Jx^, qui
fxjt aucton du quartier du Fond de SaintJean et Bubiane, et qui s’est paisiblement
éteint aux Bertots, à l’âge de 79 ans.
Le 3 janvier a eu lieu l’ensevelissement
d’Anita Combe veuve Costahel, décédée aux
Alaghits, à l’âge de 32 ans.
Le 6 courant nous avons confié à la
terre les restes moi^tels d’Anne Rivoire
veuve Rivoire, décédée aux Prassuits.
A toutes ces familles éprouvées par le
deuü notre profonde sympathie chrétienne.
★ Asile des Vieillards. Nous accusons
réception avec gratitude des dons sxiivant:
M. B. Gardiol, past. em. L. 25 - M.me J.
Peyrot Zücher, 50 - M. Louis Ferrerò, 100
- Vén. Comité Wallon, 100 - M. Robert
Buffa, « en souvenir de sa chère femme »,
100 - M.me M. Rosine et Henri Bufîa-Rivoir, « en souvenir de leur chère bdllesœur », 100 - Ferrxjccio Rivoir, « en souvenir de sa chère tante Lina », 100.
VILLE8ÈCHE. Nous avons reçu de la
part de la famille Tron Albert, de VjUesèche Sxm-, 50l lires pour l’achat de cantiques pour l’Eglise, dont nous avions un
si grand besoin. Merci.
★ Mardi, 3l décembre,, un long cortège
de parents et d’amis accompagnait à sa
dernière demeure la dépouille mortelle de
notre sœur Margmrite Talmon vexive Peyran, décédée aux Brières, dans sa 98.me
année.
A la famille en deuil nous exprimons
notre sympathie chrétienne.
L’appel du Maître a aussi été adressé
à notre frère Emile Ferrier qui vient de
noxis quitter,, après une longue maladie
supportée avec , foi et résignation chrétiennes.
Iæs obsèques ont eu lieu à l’Hôpital Vaudois de La Toxm, mardi 7 janvier.
Nous exprin»ns la reconnaissance de
la famille paroissiale à M. le Pasteur A.
Fuhrmann, aux pœurs de l’Hôpital, l’Union Chrétienne de Jeunes Filles de La
Toxir et à toütes les personnes qui ont
visité notre frère pendant son séjoür à
Tupin. Que le Seigneur veuiUe répandre ses
conwlatiops sur la famile déjà si durement
éprouvée p^r la mort du père M. Paxil
Ferrier.
M Cbrins
Le qGonvegno» d’hiver.
Plus d’une centaines d'Unionistes, représentant la plupart des Unions du Val
Pélis et cette de Pignerol, se réxmirent
lundi passé au Col de la Vachère pour Lî
traffitionnol « Convegno » d^hiver. Grâce ^u
temps magnifique et au joyexix enthousiasme de la jeunesse présente, le programme se déroula avec le meilleur
sxiccès. Le matin, à peu près cinquante
jeunes gens démontrèrent leur vaillante
endurance dans un concoxirs de sky, sur un
parcours de 12 Km., dans lequel surtout
les Unionistes d’Angrogn© et de Saint-Jean
se distinguèrent par leur habilité et leur
force.
Dans l’après-midi, le culte se tint en plein
soleil, sur la nedge, en face du magnifique
spectacle des Alpes. La pensée centrale soumise à l’attention religieuse de la jeunesse présente fxxt ceU© de la valeur du
sacrifice du Christ pour chacun de nous ;
et un chaud appel fut adressé pour une
coiÿBécration toujours plus complète au
service du Maître. Après quoi, M. Attilio
Jalla, qui présidait la réunion, soxdigna
encoreien quekixies mots le caractère dxx
« Cônvegno » et distribua les prix aux
meilleurs skyeurs.
Jxisqu’au soir le vaste champ de neige
de la Vachère, étincelant de soleil, résonna
encore des acclamations joyeuses et d«s
chants de la jeunesse unioniste, heureuse
de cette belle journée de solidarité fraterneUe.
COMUNE DI TORRE FELLICE.
STATO CIVILE ÎSl 30 Dlc. 1935 aj l'Oenn. t936 XIÏ.
ioncDilii il \i feiaio.
* Lm Società di studi valdesi è solita di
pubblicare, nella ricorrenza del 17 febbraio, due opuscoli commemoratiivi delil’Emancipazione dei Valdesi da parte
magnanimo Re Carlo Alberto. Ma'quest’ap,no la Società Studentesca « Bdlziglia », di
pieno accordo con essa, sta preparando pqr
la circostanza un' volumetto ad memoria^
del prof. Giovanni JaUa, raccogliendo ih
esso i più notevoli articoli dell’illustre sto»
rico valdese, principale autore dei nostri
opuscoli per tanti anni. Non ritenian^
opportuno di moltiplicare pubbiicazioni
consimili, in tempo di crisi ; epperò be||
volentieri cediamo il posto alla « Balziglia ^
laccomandando ai signori Pastori di rivolgere quest’anno le loro solite prenotàf
zioni del 17 Febbraio atta Tipografia AJpir^
S. A., a Torre Pellice, per offrire quel voi
lumetto, a prezzo ridottissimo, alle famigl»
dette loro Chiese desiderose di istruirsi ^
edificarsi, ricordando il rimpianto Autor^
Il prossimo Bollettino nostro di Pasqx:^
sarà consacrato alla memoria del nosti|(|
socio e membro della Direzione prof. GW
vanni Jalla. Il Presidente. ; |
Davide Jahier |
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lumi sono al prezzo di una lira ciascundt
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sK $ ^
Nascite N« 1
Decessi N" 1
Le» Conversions -■ Etude de psychdtgie
réligietuse - (De M. Subilia, à Saint-Lé{i^
Vaud).
Je me fais . xm plaisir de résumer |
idées du pasteur Sxibilia.
La conversion c’est la crise par laqx
un individu s’arrachant au péché, au do
à ce qxii' assombrit l’âme et fait ol
au bonheur, sp tourne résolument vc
bien. Ele est un changement profondids
sentiments, des désirs et des pensées, Ir le
crise morale. 5
Il faut étudier la Conversion au i^ii it
de vue physiologique, psychologiquiq ït
moral. William James distingue de ix
grands types psychologiques de conÿ rsions : les optimistes et les piessimidt îs.
CSertes que l’optimisme jouie xm gh wi
rôle dans la vie ; on a même basé là-des us
le système des guérisons dit la science ch
tienne ; il a xine grande influence suï la
santé, il faut ajouter que ce systi ne
traite le péché comme une illusion. '
Le pessimisme peut nous conduira à
Dieu si noxis sentons profondément rufcre
état de.mislèrie morale. Tolstoï, par exemlle,
sent qu’il a besoin de Diietu et il te trouf© ;
dans ,1a solitude ,il s’écrie : Connaître I ieuet vivre c’est la même chose. Dieu cest
la vie.
Eln étudiant la prédominance de Dite
ou telle facxxltê dans la conversion, r >us
distinguais quatre catégories d'iûdivi< us.
Chez les uns c’est la volonté qui pr domine, chez les autres la raison, chez d autres di^ , besoins moraxix, chez d’au ri»
individus les bmiins du cœur, les se itimentaux.
Pour Frommel la crise salutaire, la < inversion dépend de la conacienoe mea: deD’abord xMx profond sentimient du pêhé,
QBUÎte te recouTB à pieu révélé en Ch irt
eaxiiciflé, la paix trouvé© dans te Piiw Oh*
Monsîelur SabiMa expique te niécaB|i|niie
psychologique de la conversion de la jlar
çon suivante. Nous avons en nous le sbbconscient, c’oat-à-diïie que nous avons en
nous des déadra des sentimsixte, des s*u*
veniiæi oubüés (pi à un certain moment se
réveillent et rempoteat à la surface j de
la et peuvent noue cxBidan-e
¿4
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L!Xcho< d«s Vallées - Vendweidi IO J^anvier-lOSO^XlV
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4t une déterminati<wi pour le bien, tes conversionp. subite se tronjvi^PQiçt e^ez
liommes de tempérament plus nerveux,
ipipressionnables, les conversbns lentes
çhez les individus plus calmes. Il y a cependant une préparation dans le subqonseient...
Le rôlle de l’hommie consiste-à laisser
libre cours à l'action divine, à l'impiliorer,
à la suivre.
Il y a disposition, intérieure, subconsciente et ensuite la puissante action de
Dieu. La conscience est la voix de Dieu
en nousi.
Dans la conversion de Saint-Augustin il
y a eu lutte, d’abond, .ensuite il entendit
cette voix qui Itui disait : Prends et lis. En
ce moment il se convertit
La Bible fait souvient ¡appel à la repentance et à la conversion : dans Esaïe LV,
b-7, nous lisons : Que le méchant abanr
donne sa voie, l’homme d'iniquité ses pen•sées et qu’il retourne à l’Eteimel' qui aura
pitié de lui. La conversion c’iest l'action
de se tourner vers un but,, vers quelqu’un.
Esaïe XXXI,. 6 s’exprime ainsi : Devenez
à Celui dont on s’est profondément détourné, enfants d’Israël.
La prédication de Jean Baptiste pe résume ainsi : « Repmtez-voias et ÇToyez à
la Bonne Nouvelle» (Marc I, 15).
A la Pentecôte la prédication se résume
en oes mots : « Repentez-vous et vous coUî-,
vcrtissez, afin que vos péchés, soient effacés...
Dans la ocmversian il y a deux faces,
l'une tournée vers le passé et l'alutre positive : le retour au bien et le secours. Par
la foi nous saisissons la vie éternelle et
les biens promis. Il faut que les faits de la
Rédemption passent de l’intelligence dans
le cœur.
Bien qiu’il y ait une nuance dans les
conversions, toutes dépendent de la Croix,
de la vie divine de l’Eçprilt. Dans le Nouveau Testament nous voyons que la convergion est le fruit, de I3, prédiç#,iQn «l,e
Id Croix.
La convenrfbn dépend de l'action divine
en nous, c’est le germe de la vie nouvélte
et: nous. Jésus est la vie et .il donne la, vie.
Jésug. dit à Nicodème : Si. un homme ne
naît de nouveau, ® ne peut entrer dans
le royaume de Dieu. Ce qui est né de la
chair est chair,, ce qui est né de l’Esprit est
esprit...
Il n’y a qu’une chose que Dieui ne peut,
pas faire, e’eet de convertir un individu
malgré lui
L’expérience chrétienne générale nous
permtet de constater que sous! la. variété
des sentiments et des crcçrances, il y a
unité, un© source oommune à toutes les
manifestations de la vie intérieure. La
science nous conduit au seuil du monde de
la grâce où l’homme est .introduit par la
foi seule, par un abandon filial en Dieu.
Dang te chapitre IV M. SubiiSa prouve
que la religion est un fait expêrimmtal,
une comjinuinion réelje, profonde et personnelle avec Dieu. La foi unit l’âme au
Christ comme une éimuse à son époux.
Christ et l'âme deviennent un seul corps...
Par la ccniveirsiiion nous sommieB introduits dans la religion vivante où l’on saisit
l'absolu.
M. Subfia qn vrai psychologue établit
oette diffétrenoe entre le psychologue savant et le psjrcholpgue chrétiep : le savant
étudie du dehors les faits de la conscience
religieuse ; le psychologue chrétien étudie
les faits au-dtedans, tels qu’il, les a expéri*
mentés.
N’ouhlionsi pas (ÿuie la religion leSt un
fait d'expérience personnelle. La religion
o’iest ce qui nous permet de vivre pMnemient notre vie au service de nos seimMables, de réaliser la vie telle que Dieu la
vçut intépiieur^nent et spcMtejnent.
G, BfiKr, EVaiigdista.
M. Bert continue, examinant les conversions d'une confession religieuse à l’autre, mais ce que noi^ piüjldons de son
compte-rendu est suffisant (Red.).
le patriote chrétien.
Je suis un patriote.
En m'exprimant ainsi je veux dire
que je me sens uni) à mon pays comme sj
j’étais enraciné daps ma terre natale.
Il me serait impossible de caifâer inti^
memieot aiyeç ma mère ou d’adtesOr ma
prièra à mon . Père céleste dans une autre
languie que la mienne, même si j'en connaissais plusileurs autres.
J’aime passdonnémmt te peuple de mon
pays. J’ai appris à connaître ses exploits
glorieux, ses souffrance,, ses joies et ses
exploits glorieux, ses souffrances, ses joies
et ses douleurs ; je suis ému par les épreuves qu’il traiverse, par ses effortsi et ses
aspirations. Mon ardent désir est que mon
peuple soit heureux, soit libre, soit respecté par tous ; bien plfis, qu’il soit aimé et
adndré par les autres peuples.
Je suis fier quand j’apprends que l’un
de mieiEi concitoyens a fait quelque chose
de bealu et de grand ; et je suis désolé et
hxunilié si je constate que certains dtentre
eux se conduisent maL
Il m’arrive de rencontrer dans les
grandes villes des étrangers qui pa,rlent
des lang.ues' que j,e np comprends pas. C’est
qu’en dehors de ma patrie, il existe d’autres
patries ; Idurs habitants les aliment certainement avec autant de passion que j'âime
la mdenine.
Ces êtrangeirs s’adressent à Dieu dans
leur langue matierndlte. Dieu tes comprendil ?^ns doute, puisque Jésus nous a appris
J que Diqu est le Père de tous te hommes.
Il se trouve donc que tou|s te peuples forment comme une grande nation divisée
en teaucoup de familea ; chacune a ses
intérêts propres, son histoire, sa langue
différentes, voire même des couleurs d’épiderme différentes. Mais tous sont les enfants
du même Père céleste et, par ooniséquent,
tons frètrielsi te uns des aîutreist
Il parait qu’ü existe des peuples qui ne
s’aiment pas les uns te autres. Il y a eu
pendant presque cinq années, de 1914 à
1918, une guerre épouvantable entre toi®
les peuples du monde ; au cours de laqu^te
les soldatsi des natnons ennemies s’égorgadient mut’uellement. Pljusieursi millions de
jeunies hommes ont été tués, des mlllians
d’être humiains, des hommes, des enfants,
des mères, des vdllards ont été estropiés
ou sont morts de faim et de maladies épidémiques.
Mon Dieu ! préserve-noMs d’un semblable
malheur !
Je sens qu’il ne suffit pas d’implorer
le Père céleste, si nous ne faisons rien de
notre côté pour Lui obéir. APssi je veux,
pour ma part, aAner tout te ipondiq, miêtne
ceux qu’on dit nos ennemis, parce que
Jésus nous l’a ordonné j je veux agir envers eux avec bonté afin qu’ils aimept,
aussi ma patrie ©t ne soient plus nos ennemis.
J’apprendrai une ou deux langues étrangères et j’irai, si je le puis, dans te pays
étrangers pour voir ccBument vivent te
autres peuples.
Je suis patriotique.
Je suis chrétien*
J’aime mon peuple.
J^aime, mon Dieu, et ie yeux obéir à Jégus,
J© sais que la peine ou la souffrance d’^pi
raiambre de la faipiite fiflt du mai à
toute la famille... Et je crois que te souffrances ou te malheurs d’une nation font
soufifrir aussi te autres natiWBi Puisqçue
nous sommes tous aoMdairies, je sens que
nous devons nous esntr’aider et nous sietcourir, car toutes Jes notions «mt 3l0 même
droit diviin au bonheur, à la liberté.
Je tiravaîOèï'^i <^0 mon mieux à cet
idéal afin qu’en moi et autour de moi fleu.*rissent, avec l’amour pour la patrie,, te
respect des autres patrte, famour entrq
les peuplesi, l’uniion et la paix
« Notre Père qui es Oux cieux que ton
régne vjenn© ! », F, Zîlka,
pnçfessmr à Prague.
(Semeur Vaudoia)
DE L’EDUCATION HUGUENOTt,
Dès que la langue des enfants est déliée,
et qu’ils peuvent un peu prononcer, leur
mère lefuiri apprend à prier Dieu avec
un profond respect, dont elle leur donne
elle-même l’exemple. Elle s’efforce de leur
inspirer Famour pour Dieu, da le leur montrer aimable,Elle leur raconte les merveilles que Dieu a fait e faveur de ses
serviteurs et te histoirés bibliques, pour
leur souiteiter des. bénédictions semblaMes.
H ne siuffit pas de donner aux enfanta
des connaissances religieusies. Il faut encore
teuT appredre à pratiquer, et tout d’abord,
è aimer la vertu, à haïr et à fuir le vice.
Dès l’âge de cinq ans, on deivra leur faire
pratiquer te commandiemefnts de Dieu, et
la vertui, pour leur en donner l’habitude.
A dix ans,, on joindra des règles et de?
maximes à cette pratique. Un bon éducateur doit se proposer d’apprendre chaquq
mois à un jeune enfant à aimer une vertu
et à hafr un vice. C’eet ce que l’on appelle
4ç gouvemer te passions des enfanta »,,
Oette tâche est principatement dévolue à
la mère., car elle commencera en même
temps que la vie personnelle de l’enfant.
On recommande donc aux mères de traiter leurs enfants avec douceur, et de ne
les gronder ou châtier, dans leur première
enfance que pour la, d^béissance et le
mensonge. Encore fautrU. qifiq «0 soit avec
modération, à propos et avec sagesse, et
jamaib dans Son premaier mipuvemi^t ou
dans le leur.
(Les protestants d’autrefois, p. 24-32).
P. DE Feugb.
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LE DOIGT DE DIEU.
Pendant la guerre de sept ans, Fenner
mi se trouvant dans le yoisjinage, un régiment de hussards avait reçu l’ordre
strict d’avancer, sous peine de mort, en
gardant 1© silence et en ordre parfait.
Mais il y avait im hussard dont le cheval
sortait continueltement du rang pour
brouter dans te taillis. Ses camarades lui
rappelèrent en vain l’ordre reçu. Si bien
que le cofonel, le voyant hors du rang, lui
cria :
— Ohé l’homme? que fajs-tu là? Tu
seras pendu au prochain arbre que nous
rencontrerons !
Le hussard eut beau se lamenter et demander grâce, ce fut ©n vain. Eqrsqup
l’on atteigiiit le ppochadn arbres te chapelain lui dit :
— Homme, dans quelques instants tu
te trouveras devant te tribunal de Dieu.
Rends honneur à Dieu; asrtu peutrêtrç
sur la conscience une faute cachée ?
L’homme regarda avec terreur l’arbre
près duquel il était, et joignant les mains
s’écria :
— Oh grand Dieu, aanhien juste est
ta condamnation ! Ici-même, il y a un an,
j’ai assassiné un homme, et je Fai enterré
au pied de cet arbre?
On creusa à 'la place indiquée et l'on
trouva te restes de l’hcanme assasainê
La sentenoB fut aussitôt exécutée.
{De VcMevumd). N. H. Ga^abi.
BMO FEninil llliSE Bl ntlECIOSIII.
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Firòna^ 25 - Luisa Pons-Earrer, Ìopq
PèEice,, 10 - Abele Gliigo, Roma, 50 - Elena
PoHs, Id., 100 - Emanùàe e Adde Pons,
Firenzi®, 50' - Ester Goss, Torre PeMice, 100
- CoUettato dalla Signorina Mda Cougn a
Torre PeHdce ; Paschetto Michele, 10 ; Pasquet 'lAùiilcare., 5 ; Paschetto C. Albina, 5 ’
Luigi Jouve, 5 ; Bianca Eynard, 5 ; hfariq
Jouve, 5 ; Cesare e Maria Paschetto, lÒ ;
Ferruccio PeUenc, 5 : Ih-of. Alda Peilenc,
5 - Breda Renato, Roma, Ì0 - Toùm Ma-!
ria, San Giovanni, 5 - Paolina e. Albertq
Rivoir, Torino, 5 Federico Marauda, Luserna S. Giovanni, 10 - T. E. Marauda, Id.,^
b - G- A. Bahnas, Torino, 5 - Alda Cougn,.
Torre PeUioe, 5 - L. Tahnon, li, 60: - Mad-'
(f alena Bonnet, Torino, ricordando il cugino Luigi Bonnet, 15 - Giuseppina Pizzàrdi, Valtecrosia, 50 - Giulio e Laura )^qn
^tta, in memoria di Valentina Comba,^
Torino, 100 - Chiesa di Riclarétto, 25
Lnioni Femminili di Ridarettio, 30 - Dott.
Ggo Tijli, Roma, 50 - Roberto ed Mena
Ipiem, Vajlecrosia, 100 - Caterina Goisson,
Id., 10 - Jan Van Gilse Van der Pals, Sienx,^
50 - Chiesa di Luserna San Giovanni, 50 -’
Alice Franco Costabel, Id., « in memoria
dei suoi cari scomparsi », 79,75 - Una Camicia Nera dell’Africh Orientale (C. N.
Caruso Paolo) « in memoria della* sua cara,
mamma Giuseppina Cantore», 15-Guido,
Rivoir, Prarostino, 28 - Matt. XXV, 35, ViJr
lecrosia, 20 - Mr Berg, <^in memoria dgll’Ing. G. Maes »! Bergamo, 200 - Cbiesaijij
Livorno,, 100 - Sig.ne Novarese e Grotti,
Vajlecrosia, 150 - Emma ll^tler, Roma,
% in memoria deUa sua amata sorella Mi;Lna », 20 - Ing. Eugenio Trincherà, Óstuiii,
150 - N. N..' Roma. 25 - Maddalena Larco,
La Maddalena. 25 - 1 bimbi Domenico e
Guido ColuGci. Messina. « alte loro, snueUine.
di VaJlecTOSia ». 50 Fred W Cliarke, Roma,
20 Ohvetti Revel Lrasa Iviea BOO^-Hena
Girardet. Roma. 400 - Emma JaJlasi. NSBI^Ìv
M - Guglielmo Jalln,, Prestane, 20 - Cesare
ed Elisa &ccaggi, Vallecrosia, 150 - Elisa
Saocaggi, Id., « in deUa sqa cara
mamm§,»> 100 - Paspal Maria, Comp, 5Q Eda Revel, San Germemo Chisone,, 30 Giu^pina Primo Eostagno, Torino,, EOO Lolite Tòrinó, lÓi) -!GÌus^pììui
ed Em. Astesano Osculati, S. Remo, 500 Marianna Scopa, San Giatxmro degli Schiavqni 20 Generale Ettwe Petr^ Cicognara, Bergamo. 20 - Lega Femminile,
Como. 650 - Chiesa dei Fratelli, Genova,
50 - Clotilde Girardet.' Roma, 100 - Marescaauo RR. CC. Ermanno JaJla, Cirenaica
(A. 0.), 50 - Cogitato 0( f orre da^
Sìg.na EìÀi Eynard : Lina Tamietti, 50 Angelo Farina, 30 - Alessandro Pasquet, 10
Augusto Coisson, missionario, lO - GrazieUa Peyronel, 3 - Maria Fieger, 2 - A3banelE-Benech, 2 - Linetta Monastier,
Luserna ^n Giovanni, 5 - Acla e Cariuccio
Geymonat, Bofibio PeUioe, « in rnemoria dèi
loro caro babbo », 40 - M. M. Pons Ved.va
Koiella, RapaUo, 50 - Ing, Rodolfo e Maria
Fanton, Milano, 100 - A. Gitomirski, Vallecrosia, 50 - Meta GaUian-Bauer, Genova,
50 - Comitato Comuni O. N. B., Valtecrosia, 50 - Famiglia Tourn, Alessandria
d’Egitto « in memoria di Bartolomeo
Tourn »., 100 - M.me Prassuit, Bordighera,
5 - E3sa Karl, Fiume, 20 - Cléanthe ed
Emanude Rivoiro, ’Torino, 200, - SoreUe
Negretti, Como, 100 - Giuseppe Ceseri.
Firenze, 30 - Giulio Comba « in memoria
deUa cara consorte», 250 - Eugenia Sooci,
Roma, 300 - E. L., Roma, 50 - Albertina
Feyrot, Roma, 30 - I bamtttui della Scuola
Domenicale di Pescolanciano « rinunciando
aUa festa di Natale », 25 - CoUettato dalla
Sig.ra DeRuepprech, Verona, 400-Chiesa
di Verona, 146,05 - Roberto Cavagnaro,
Milano, 60 - Società Linotype, Milano,, 50 Giacomo Scibinieo (Natale) 10, - Famiglia
Diem (Natale), 50 - Andrea Cristadoro, «
Taranto, 50 - Diana Nicola, Bari, 5,20 Long V!- Marey, Roma, 25 - Comm. Silvio
Cesari, Bergamo, 15 - Per Natale, L. e D.
Pons, VaUecroeia, 30 - Lidia e Giuba Gay,
Id, 10 - N. N., Bordighera, 15 - Enrico
Billour e famiglia, Valtecrosia (Natale) 25.
AVVISO
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che nell’entrante settimana avranno
inizio i regolari cprsi :
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L*Eoho des ; Vallées -: Ven^iiedi 10 Janvier 1936-XIV
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Jone Corion - La leggenda del biancospino . »
S. Longo - Luce....................................»
E. Fasanari-Celli - 11 mio nido . »
E. Lecomte - Paola, ossia la Piccola Valdese . »
N. Donini-Buffa - La terra e l'aratro . »
Cartelli Biblici con disegni colorati, d’Autore- cm. 32x 4C^ a testi vari
Gesù benedice i fanciulli - Quadro biblico - Riproduzione fotografica - cm. 35x45
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Càìrtóliiie illustrate con versetto biblico, da L. 0,100,15 - 0,20 0,30
Magliaie BiiiiDazioDi e laglia alla LlBIEBiA EBIìBItE [LIDDIflIlf- Tane Peline (ToiIbo)
VALLI VALDESI.
ANGR06NA - Pastore: Boberto Nisbet.
ANGR03NA (Serre) - Pastore : A. Deodato.
BOBBIO PELLICE - Pastore : Enrico Tron, S.
LUSERN A S. GIOV. - Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELLO - Pastore: Alberto Ribet
FERRERÒ - Pastore : Oreste PeyroneL
PINEROLO - Pastóre : Luigi Marauda.
POMARETTO - Pastore : Guido Mathieii.
FRALI - Cand. TeoL Lamy Ccnsson.
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rqstan.
PRÀROSTING - Pastore : Guido Rlvoir.
RICLARETTO - Canri. TeoL A. JanaveL
RODOREITO - Candu TeoL A. Genre.
ROBA’ - Pastore : Enrico Geymet.
S. GERM. CHISONE - Pastore : Enrico Tron, J.
TORRE PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
TORRE PELLICE (Ooppierì) - Pastore : A.
Fuhrmann.
VILLAR PELLICE - Pastore : Roberto Jahler.
ABBAZIA - < Chiesa di Cristo». Culto alle
ore 16 - Pastore: Valdo Vinay, da Fiume.
AOSTA - Caiiesa : 3, Rue Croix de Ville - Da
Ivrea.
BARI - Chiesa Valdese - Da Corato.
BERGAMO - Chiesa : Viale Vittorio EmaniUeie,4
- Pastore: Arnaldo Comba, Viale Ptoma, 6.
BIELLA - Chiesa: Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario.
BORDIGHEEA - Chiesa : Kahi 'di Vallecrosla
' Pastore : Davide Pons, Istituto Femminile
Valdese.
BRESCIA - Chièsa : Via dei Miile, 4 - Pastore ;
Enrico Meynier, ivu
BRINDISI - Chiesa Valdese : Via Gongregazione - Da Taranto.
CALTANISSETTA - Chiesa: Via Malda. 15 Da Riesi. " '
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Balma, ivi.
CERDGNOLA - Chiesa Evangelica - Pastore :
/Gr. Casti^ione.
CHIETI - Chiesa Evangelica.
OOAZZE - Chiesa Evangelica - Da Torre Pelllce.
DOMO - Chiesa : Via Rusconi, 9 - Pastore :
"■ G. Miegge : Via Luigi, Guanello, 14
CORATO - Chiesa Valdese : Corso Mazzini, 27 Pastore : A. Miscia, ivi.
PELONICA PO - Chiesa Evangelica - Cand.
Ministero E. Ayassot.
FIRENZE - Cliiesa di Via de’ Serragli, 51 Chiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore : Virgilio Sommani - Coadiutore : Pastore T.
VInay.
FIUME - Chiesa : Via Pascoli, 6. Culto alle
ore 10 - Pastore : Valdo Vinay, presso sig,
Willsch, Via Bacclch, 5.
FORANO - Chiesa - Pastore : Paolo CcAsson,
Forano Sabino (Rieti).
GENOVA - Chiesa: Via Assarotti*- Pastore:
Emilio Coreani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa - Grotte (Agrigento) - Da
Caltanissetta.
rVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 .. Pastore :
Arturo Vinay, Casa Ravero^ Piazza d'Armi.
LIVORNO - Chiesa : Via G. Verdi, 3 - Pastore ;
Attilio Arias, ivL
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi, 18.
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa: Via Maddalena, 57«
isolato 147 - Pastore : SeifFredo Colucci,
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILANO -> Chiesa di S. /GUovanni in Conca:
Piazza Mlssori, 3 - Chiesa di Via Edmondo De Amàcis, 4 - Pastore emeartto
V. A, Oostahel, Via A. Da Giussano, 23 Coadiutore: Oand. Tedi. V. SubiUa.
NAPOLI - Chiesa - Pastore : Mariano Mo«reschini, Ctarso Vittorio Emanuele, 42 (pr^so
Dott. Ricciuti).
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese - 406 West,
41 Street - Culto priUcipÉde : 4 P. M. — Pastore Pietro Griglio : 18 West - 123 Street,
NIZZA - Chiesa :. Rue Gioffredov 50, -, Pastore :
Alberto Phochét, ivL ' "
ORSARA DI' PUpLIA - Chiesa Vaidese^- Da
Cerignola.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Pastore: Alfonso Alessio.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :;
Elio Eynard, ivL
PESCOLANCIANO - Chiesa Evangèlica.
PIANI DI VALLECROSIA - PastoreV Davide
Pons, Istituto Femminile Valdése.
PIEDICAVALLO - Chiesa : Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa:'Via Derna, 15 - Pastore: F.
Pelyronel - Vìa Santa Maria, 85.
REGGIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marco :
Via Possidonia, 4 - Pastore : Enrico PascaL
Via Possidonia, Casa Medici.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore: Um
RIO MARINA - Chiesa Evangelica - Da Livomo.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107 -’
Pastore : Giovanni Bonnet^ ivi - Chiesa di
Piazza Cavour - Pastore : Paolo Bosio, Via
Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARENA - Chiesa : Via Giostrè Carducci, 16 - Pastore : Carlo Lupo, Via G, B.'
Monti, 25-5.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangelica - Anziano-Evangelista Soaiinci
Giuseppe, IvL
SANREMO - ChicBa ; Via Roma, 8 - Pastore :Ugo Janni, ivi,
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Domenico, 5
- Pastore : Eugenio Revel, ivi
SUSA - Chiesa : Via UmbeiHtì I, 14 - Da Torre
Pellice.
TARAN'TO - Chiesa : Via Pupino, 16-20 (angolo
Via F, Di Palma) - Pastore -: Gustavo Bertin, Gorgo Umberto, 76.
TORINO - Chiesa : Coreo Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe 'Tcanmiaso) - Pastore :
Alessandro Simeoni, Via Pio. Quinto, 15 Coadiutori : Pastore emerito Augusto Ja- <
hier e Cand. TeoL E. Mied, M.
TRIESTE - Chiesa-: Via S. ML. Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa ; Palazzo Cayagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Gìov. Bertihatti, ivi.
VERONA - Chiesa; Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia. ;
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore : Arturo Mingardi, Via Garibaldi, 60.
Il mito principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
Le seguenti « Stazioni » sono periodicamente
visitate da Pastori che vi presiedono i culti.
Agüé, Agrigento, Alassio, Andorno, Asciano.
'Bagnoli, Bagnolo, Bareelona P. G., Barga,
Belmonte del Sannio, Bibiana, BiogUo, Borana,
BDrjdi^èrti, Biargoiib, BorreiUo, Briclierasiov
Buccari, Bussolena
Caierano, Calca, Calci, Caltagirone, Caito,
Campiglione, Camipobasso, Cándelo, Carema,
Carunchio, Casalanguida, Castagliolio, Castel
(M Giudice, Castel di Sangro, Castelnuovo,
Castelveneire, Catanzaro, Caviglia, Cecina di
Livorno, Cercala, Cerro al ‘Volturno, ChàtUlon,
Chiasso, Chiavaz za. Ghia verano, Chiomonte, Comiso, Coesato, Courgnè, Courmayeur.
Donnaz, Drusacco.
Enna.
Falerna, Fenile, Poggia, Forni di Sotto, Pragneto l’Abate, Pruscaldo.
Gela, Guaglione, iSinosa, Graglia, Grottaglie,
Gravere, Grosseto, Guastalla, Guglionesi.
Irai>eria.
La Maddalena, La Salle, Latiano, LenteUa,
L^oranp, Loranze, Licata, Lusino.
Marina di Pisa, Massa, Carrara, Matrice,
MUazzo, ’Monpanteiro, Montalcino, Monteferrante. Motta d’!Affermo.
Niscemi.
Orbetello, Ortona a Mare, Ospedaletti, Ostumi.
Palmoii, Patti, Pavignano, Pavone, Pegli,
Perosa Argentina, Perosa Oanavese, Piazza Armerina, Pietramarazzi, Pietra Perzia, PUaviTl,
Pinasca, Piombino, Pisino, Pizzone, Pont Canavese» Fontedera, Pont SL Martin, Porte,
Portofèrraio, Prà, Pratoferro.
Ragusa, Ravello, Rlalmosso, Rivardo Ligure,
RocalmUto, Roòchenère, Rojipolo.
Salle, Salto, San Cataldo, San Fedele di Intelviv Santa Lucia di Qulstello, San Marco,
Santa Maria di Licodla, San Secondo di Pinetolo, Savona, Scoiti, Sermlde, Serra di Palco,
Sestri Ponente!, SiràcuBa' Spezia, Sussak. '
, Tavagnasco, Termoll, Torrazza Piemonte,
Tramonti di Sopra, Trani, Trausella, Traversella.
Vagliumlna, Ventimiglta, Viareggio, Vlerln,
VlUar Perosa, VUlacanale, ‘Villa Santa Maria.^
Zara, ZumagUa. <
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Antonio Roatdn, cassiere Pastore Guido Cpmfia, segretario del Modèritobe - Via Quattro Novembre, 107 Roma (101).
FACOLTA’ DI Reologia - via Pietro Coesa,
4l2, Roma |l26) - Professori : G. Rostagno.
Ernesto Cc^iba, Davide Bosio.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preide : Prof. E. Bongo.
COMMISSIONj: DELLE PUBBLICAZIONI Prof. E. dpmba, presidente ; Enrico Meynier, Giovanni Miegge, Mariano Moreschi ni.
CONVITTO maschile - Torre Pellice - Direttore : Patere Davide Forneron.
ISTITUII FEMMINILE VALDESE - VaUecrosia - Direttore : Pastore Davide Pons.
ORPANOTROPl^O FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.na Adele Arias.
ORFANOTROlto MASCHILE (Istituto Gould>
- Via Ser agli, 51, Firenze - Direttore :
Pastore V. Sommani.
ISTITUTO AR'I tGIANELLI VALDEiSI - Tòrino
- Vìa Bert lollet, 34 - Direttore: Gr. Uff.
Paolo Cane >bio.
OSPEDALI V. .LDESI - a Torre PeUlce - aPomaretto a Torino, Via BerthoUet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede : Pomaretto (Tori io) - Direttore : Pastore Luigi
Marauda, ] inerolo.
RIFUGIO PEI INCURABILI «RE CARLO
ALBERTO - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VI CCHI - Luserna San Giovanni.
ASIIX) PEI V. ICCHI - San Germano Oii.sone
- Direttoi i : È. Soulier, pastore emerito.
ASILO PEI VI CCHI - Vittoria (Sicilia).
COtONlE VALDESI
nell'4merica del sud.
Uragaay.
COLONIA VAI DENSE (Dep.to de Colonia) Pastore : EÌnesto Tron.
COLONIA COS lOPOLITA-ARTILLEROS (Departamento de Colonia) - Pafitóre : Enrico
Beux — Pi store emerito : Pietro Bouhous.
TARARIRAS-RIICHUELO-SAN PEDRO Y COLONIA (De ).to de Colonia) - Pastore : Daniel Breeze Estación Tarariras.
OMBUES DE UAVALLE-COLONIA MIGUELETE (Dep to de Colonia) - Pastore : Carlo
Negrin, Om mes de Lavalle.
ROSARIO-BARI ER-COLLA-POLONIA (Pep.to
de Colonia) - Evangelista : Emilio Ganz,
Colonia Vailense.
S„ SALVADOR |- Pastoi’e : Gtovannni 'Tron Ddcreis (Sefiano).
COLONIA NUivA WALDENSB (Dep.to de
Rio N egro) L Pastore ; da destlnarsL
COLONIA NINr SILVA (Dep.,to,die Paysandù)
- Pastore : la destinarsL
Argentina.
COLONIA IRISJPàmpa Central) - Pastore : SÜ-,
vio Long, atoción Jacinto Arauz, P.dS.
COLONIA EÌElfeRANO (Provincia de Santa
Fé) * Evifegelista Carlo .Alberto Griot,
Estación Wikiermuth, P.C. C. A.
COLONIA; EL teOMBRERITO ‘ P’róvincia de
Santa Pè) -|VLsitata periodicamente.
SAN GUSTÁVcI (Provincia de Ëntre Rios) Visitata pe^odicaraente.
