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Soixante-cinquième année - Anno VII*.
12 Avril 1929
N» 15
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DE$ VALLEES
PASAJSSÄNT CHAQUE VENDREDI
PRIX D'ABONNEMENT:
Italie (y compris les Vallées et Colonies) .
Etranger (y compris les deux Amériqnes)
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(Via Arnaud, 31); dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
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S’adresser; pour la Rédaction, au Directeur M. Jîab Coïsson, professeur.
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N* 31 - Torre Pellice.
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Tout changement d’adresse coûte 50 centimes, sauf ceux du commencement
de l’année.
Le Homèro: centimes
Que tontes les choses vraies, honnêtes, justes, purai, aimablea.. dignes de louanges, occupait vos pensées (Phil. IV, 8)>
Inspiration de ia Bibie.
Non seulement la Bible a été inspirée,
mais elle l’est encore.
Non seulement le Saint-Esprit a rempli
les hommes qui l’ont écrite, mais il agit
aujourd’hui encore dans les Ecritures ; et
le souffle de l’Esprit qui les inspira s’y fait
sentir jusqu’à cette heure.
Quand une âme qui a soif de Dieu lit ces
paroles : Vous tous qui êtes altérés, venez
aux eaux; achetez sans argent et sans
prix du vin et du lait, et quand le cœur
oppressé et la conscience chargée rencontrent cette invitation : Venez à moi, vous
tous gui êtes travaillés et chargés, et Je
vous soulagerai, ces paroles sont comme
répétées par le Saint-Esprit ; il sembje que
l’encre dont elles sont écrites n’ait pas eu
Je temps de sécher ; c’est comme si la
chaude haleine de l’amour divin vivifiait
l’âme, comme si la miséricorde qui a dicté
ces promesses les apphquait à l’heure même au pécheur repentant.
Le Saint-Esprit fait de l’Ecriture une
parole vivante.
Ici son souffle se fait sentir comme dans
aucun autre livre. Par lui, ce qui est écrit
devient esprit de vie ; l’homme vit peu*
l’Ecriture, parce qu’a cette heure encore
elle sort de la bouche de Dieu.
Quiconque en a fait l’expérience, ne
saurait douter de sa divine origine, car
pour ce qui le concerne, et dans la mesure qui lui est propre, il a reçu ces paroles de Dieu aussi directement qu’Bsaïe,
David, Saint-Paul et Saint-Jean. Non seulement il peut dire : Il est écrit, mais il
sait que c’est une parole vivante, la voix
même du Seigneur.
En obéissant à ses précepte, il sait qu’il
agit conformément à la volonté de son Père
Céleste ; en s’appuyant sur les promesses
et les assurances de l’Ecriture, il sait qu’il
se confie en son Dieu et en son Rédempteur ; et qu’à l’heure du départ de cette
terre, son âme s’attache aux consolations
et à la vive espérance que lui offre la Parole Sainte, car c’est la voix de son Sauveur qui lui dit : Ne crains rien, c’est moi.
X.
A la mémoire de Félix Mf.
U Echo des Vallées tient à rappeler à
ses lecteurs que c’est aujourd’hui (12
avril) le premier centième anniversaire
de la mort de Tapôtre des Hautes-Alpes,
des Eglises du Queyras et de Freissinières
pour lesquelles il fut, comme chacun sait,
un nouvel Oberlin. Or, les Vaudois des
Vallées lui gardent un souvenir particulièrement reconnaissant pour avoir été,
lors de sa visite bienfaisante, en 1825, le
promoteur de ce réveü religieux qui, malgré l’étroitesse excessive des principaux
partisans du mouvement, eut le plus heureux effet, en tant que, remarque judicieusement Ernesto Comba dans sa Storia
dei Valdesi, « ü fut une protestation laïque
contre certaines insuffisances ecclésiastiques de l’époque, et fut la réaction de l’esprit de foi contre le rationalisme et le
formalisme dominants ».
Que sont les saints en comparaison du
Christ ? Rien de plus que les petites gouttes de la rœée des nuits sur la tête de
l’épouse et dans les boucles de sa chevelure.
Luther.
UEUX COMMUNS
«QUI PAYE SES DETTES.-S’ENRICHIT ».
Que faut-il, entendre par là ? Les mauvais payeurs — et ce qu’il y en a ! — tous
ceux qui se dessaisissent à regret d’une
somme d’argent, grosse ou petite, ne leur
appartenant plus, puisqu’ils la doivent, estiment que c’est tout le contraire : « Qui
paye ses dettes s’appauvrit, étant donné
que mon pauvre argent passe de ma
bourse dans celle de mon créancier inexorable ! ». A la réflexion, ils conviendront
cependant qu’on n’est pas véritablement
riche lorsqu’on a des dettes qu’on ne paye
pas ; que ce que nous devons n’est pas
à nous ou n’est plus à nous ; qu’on a beau
ajourner le payement d’une dette, il fau- .
dra bien s’exécuter un jour ou l’autre, et
qu’abrs autant vaut-il se débarrasser aussitôt d’un gros souci... lorsque c’est un
souci.
Il fut un temiœ — et nous n’avons pas
à remonter bien loin dans l’histoire — où
une foule ^de petits propriétaires de nos
campagnes étaient chargés de dettes ; les
vieux vous les léguaient (triste héritage),, ’
et vous les transmettiez, parfois revues et
augmentées, à vos enfants. Il y avait les
« dettes de fàmîlie » comme on a lés dettes
d’Etait, ïlont on se dit que ceux qui viennent
"’'‘après nous les payeront... peut-être. Et l’on
traînait ces boulets, d'une génération à
l’autre ! L’origine probable ? Très fréquemment, on s’endettait jusqu’au cou
pour acheter un lopin de terre, une propriété minuscule qui venait arrondir votre
domaine et qu’on disputait au voisin à
coups de billets de cent francs, alors que, le
plus souvent, vous ne disposiez même « pas
de l’argent nécessaire à payer les écritures », remarquait avec un brin d’humour un
de mes vieux amis. Et la dette ainsi contractée, avec ses gros intérêts, allait peser
lourdement sur le maigre budget de la
famille, sans qu’il fût pœsible d’entrevoir,
même de bin, l’heureux jour où l’on poui'rait s’en délivrer.
Dans une autre famille, on voyait un
pauvre homme chargé d’enfants, lequel, au
cours des années, assez fréquentes, de
juauvaises récoltes, n’arrivait absolument
pas à joindre les deux bouts. Il fallait
forcément emprunter, c’est à dire hypothéquer les revenus de l’avenir. Il 7
avait aussi fe petit propriétaire de la montagne, demeuré sans ressources au début
du printemps, alors qu’il faut tout acheter
et qu’on n’a rien à vendre, qui prenait
à crédit, tout le long de l’été, le blé et le
maïs, jusqu’à une foire d’automne où il
vendait quelques tête de gros ou surtout
de menu bétail, pour s’acquitter. Mais,
vous vous en souvenez, vous les vieux, à
quelles conditions onéreuses les bonnes
âmes leur ouvraient ces crédits ;! Vous
vous souvenez de nos petits usuriers des
paroisses de montagne, exploitant la misère de leurs proches (tout en ayant l’air
de leur rendre service) et dont quelquesuns ont édifié de petites fortunes dont leurs
descendants jouissent encore aujourd’hui.
Passons.
Puis est venue la guerre avec la dépréciation de la monnaie d’un côté et le formidable renchérissement du bétail et des
produits de la terre de l’autre, et les
« dettes héréditaires » ont été payées, à ce
qu’on nous assure ; c’est à dire qu’on a
remboursé les créanciers qui vous avaient
prêté de « l’argent bel et bon », avec des
lires, de 20 centimes ou même de 17 ou
• 18 centimes. C’était tout profit pour les
débiteurs, aussi en ont-ils largement profité.,. et ils firent bien. Nos petits propriétaires se trouvent donc généralement en de meilleures conditions que leurs
devanciers. Il y en a bien encore quèlques-uns qui, après la guerre, se sont enfoncés et ruinés en voulant acheter, sans
- argent, des terres à un prix exhorbitant,
* spéculant sur une toujours majeure déi prédation de la lire. Ils se sont lourde
■ ment trompœ et payent cher bur impru. dence et leur avidité. Il ne faut jamais
s’endetter de cette façon, sauf peut-être
lorsqu’on peut spéculer honnêtement (?)
à coup sûr... et encore. Je dirai plus : il
ne faut s’endetter, sous aucun prétexte, à
i moins que vous n’ayez pas d’autre moyen
; de vous procurer de l’argent pour donner
du pain à vos enfants. Fuyez les dettes
^ comme la peste, si vous tenez à dormir
tranquilles.
Ensuite nous avons les « petites déttes » qu’on ne paye pas, par pure négligence, si ce n’est par système, détestable
système. Il y a celui ou celte qui paye
toujours argent comptant, par prindpe,
et qui renonce à faire un achat quelconque
plutôt que de s’humilier à demander un
délai de payement. Mais l’on trouve aussi
mainte personnes, des hommes et des
femmes, des pauvres et des richœ, achœ
tant à crédit lorsqu’ils pourraient payer
rubis sur l’ongle ; des gens qui, on dirait
de parti pris, règlent constamment leurs
notes de fournisseurs en retard et à la
suite de sollicitations parfois bien humiliantes pour eux. Et ils ne songent même
pas qu’ils assument par là une grave responsabilité : te fournisseur qui n’est pas
remboursé régulièrement de vos achats,
ne pourra, à son tour, faire face à ses
engagements au temps voulu.
Nous avons vu, à ce propos, id à La
Tour, un petit magasin fort bien achalandé, mais dont les propriétaires se montraient trop larges, trop complaisantes
envers les payeurs irréguliers, déclaré en
faillite. Pas nécessaire d’en expliquer la
cause.
N’oublions jamais, dans nos rapports
d’affaires avec n’importe qui, que « les
bons comptes font les bons amis ». Un tel
vous dira, au moment où vous vous disposez à régler une petite dette : « Mais, rien
ne presse, vous avez le temi», vous passerez plus tard... ». Ne tes écoutez pas.
Payez. Payez pour vous délivrer d’un
souci ; payez par un sentiment de légitime fierté et d’indépendance vis à vis
d’autrui.
Si vous saviez toujours tout ce qu’on
dit de vous chez les fournisseurs, artisans, boutiquiers ou autres créanciers de
petites sommes dont vous renvoyez le payement d’une semaine à l’autre, d’un mois
à l’autre et parfois d’une année à l’autre,
vous rougiriez peut-être et vous deviendriez sans doute plus ponctuels.
Les petites dettes sont, d’abord et surtout, un indice de désordre et de laisseraller, désordre qui, dans la plupart des cas,
vous coûte plus cher que vous ne croyez.
Ne faites pas de notes chez- vos fournisseurs : bon nombre d’entre eux ne résistent guère à la tentation de vous la majorer sensiblement, sans compter qu’ils vous
servent ordinairement en rechignant et
qu’üs sont parfois poussés à vous livrer
des marchandises qui ne sont pas de tout
premier choix et qu’ils n’oseraient offrir
à celui qui paye toujours comptant : « Qui
paye ses dettes, s’enrichit » : il gagne et
conserve l’estime de ses semblables, il sauvegarde sa dignité et son indépendance, se
délivre d’un souci ; et tout cela au mieux
de ses intérêts, bien compris. j. c.
CORRESPONDANCE.
New-York, 9 mars 1929.
Cher Professeur,
Comme vous voyez, nous avons tout simplement accepté la suggestion que vous
nous faisiez, ü y a plus d’une année de ceci,
de nous restreindre, en tant que correspondant de notre Colonie, et de ne vous
envoyer que des nouvdies de caractère général, laissant de côté, en particulier, tes
Actes liturgiques.
A part, peut-être, l’argument tiré du
nombre des abonnés, nous avons trouvé
que votre recommandation était très sensée, qu’elle nous était profitable, en dernière analyse, et qu’en tout cas eUe rendait un véritable service à la personne à
laquelle elle était adressée.
Nous vous prions même de nous excuser d’avoir abusé, sans nous en rendre
compte, de l’hospitalité de notre petit
journal hebdomadaire que vous continuez
à diriger avec une passion on ne peut plus
vaudoise...
Que voulez-vous ? Sans penser plus loin,
nous nous sommes laissés aller à faire cmnme les correspondants des paroisses de
Prarustin, de PYamol, de... Saint-Jean:! Et
avec le souvenir du souhait, sorti un jour,
ardent, de votre plume, de voir VEcho des
Vallées devenir de plus en plus VEcho des
Vaudois, nous n’avons pas eu te moindre
doute que notre attitude ne fût normale.
Et puis, pourquoi ne pas le dire ? Nous
avons aussi, un peu inconsciemment, cédé
à la tentation de faire plaisir aux "Vaudois
de New-York qui, restés en bien des choses ce qu’ils étaient au vieux pays, semblent surtout chercher, dans l’Echo, les
nouvelles qui les concernent de près, c’est
à dire qu’ils connaissent déjà. C’est là
peut-être une autre de ces contradictions
qui formaient te sujet d’un sermon laïque
de date récente.
Ils aiment pourtant aussi lire les nouvelles de leur patrie d’origine, cela est certain ; et non seulement les nouvelles, mais
même les réflexions de leurs amis d’outremer, ce qui n’est pas peu dire... par les
temps qui courent !
C’est ainsi que, en parcourant du regard
les considérations suggérées dernièrement
par le XVII février, entre autres les chaleureux appels à l’union et à la solidarité
malgré les distances qui nous séparent, ils
ont vraiment senti qu'un souffle du sol
natal arrivait jusqu’à eux et que cela leur
faisait du bien.
Cela dit en guise d’introduction, venons-en aux nouvelles de notre Colonie et
de notre Première Eglise Vaudoise.
Après un silence ou une éclipse de 9 ou
10 mois, nous croyons que personne ne ^
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pourra plus avoir l’impression que nous
nous montons trop souvent sur la scène
ou que nous y occupons trop d’espace une
fois que nous y avons mis le pied.
Mais par où commencer ? Vous nous
avez demandé, tout en nous recommandant la modération, de continuer, de ne
pas manquer de continuer à renseigner les
lecteurs de l’Echo sur le mouvement des
Vaudois de New-York. Eh bien, commençons par... les mariages mixtes. Si ce n’est
pas là du « mouvement », nous ne savons
trop ce qui mérite d’être appelé de ce nom.
Ils sont, d’ailleurs, à l’ordre du jour les
mariages mixtes ; nous voulons dire à l’ordre du jour dans nos feuilles religieuses,
pour la discussion. Hé'as ! (devons-nous
dire héios ?) il y a eu un moment où ils
n’étaient pas moins à l’ordre du jour, en
tant que réalités objectives, dans notre
Colonie. Ils ont beaucoup diminué cœ dernières années ; évidemment parce que
toute — ou à peu près toute — notre jeunesse venue des Vallées est maintenant
mariée, et que quant à la nouvelle génération, elle n’en est pas encore là.
Si nous les mentionnons ici ce n’est pas
pour nous livrer à des réflexions ni pour
donner des conseils : nous ne sommes pas
prêt pour cela. Au reste, il est très probable que nous n’aurions qu’à répéter ce
qui a déjà été écrit, et par des plumes
mieux taillées que la nôtre. C’est plutôt
pour relever quelques faits caractéristiques.
Les voici : Dans la très très grande majorité des cas, c’est le mari qui est catholique. Ces hommes ne fréquentent pas leur
église ; quelques-uns participent de loin en
loin, ou assez souvent, à nos cultes ; et
trois de ceux qui ont accepté l’Evangile
après leur mariage sont actuellement membres, et membres dévoués, de notre congrégation. Quant aux enfants, il va de soi
qu’ils ont été baptisés selon le rite
protestant.
Même dans les ménages où c’est la mère
qui est catholique, les baptêmes protestants dépassent les autres. Il est même
telle de ces mamans qui se montre particulièrement anxieuse de l’éducation rehgieuse (évangélique) de ses enfants, et qui
trouve son bonheur à participer à nos réunions, tandis que son mari (Vaudois) s’en
est tenu jusqu’ici éloigné.
Nous passons à nos services de communion : non pas pour dire que nous voudrions y voir un plus grand nombre de
participants, même à Pâques, mais pour
faire remarquer que dans les Eglises Américaines, quand la Sainte-Cène est célébrée,
tous les assemblés, sans exception, y prennent part et ne comprendraient pas qu’il
n’en fût pas ainsi : un fait digne d’être
médité dans nos «Assemblées d’Eghse»
ou dans nos Conférences de District !
Il nous faut courir.
Nous avons 14 catéchumènes dont 7, s’il
plaît à Dieu, seront reçus prochainement.
A la fête de l’Arbre de Noël réunissant
une très nombreuse assemblée, la plus
nombreuse de la saison, 72 enfants répondirent à l’appel quand le moment fut venu
de distribuer les cadeaux. Cela ne veut
pas dire qu’ils fréquentent tous l’école du
dimanche ; un certain nombre sont encore
trop petits ^pour cela.
En décembre, grâce au bazar, la Société
des Dames (présidente, depuis des années,
M.me Adèle Jahier), a pu verser de nou- veau à l’Eglise 900 dollars, tous frais
déduits.
Le dimanche 27 janvier, nous avions la
grande joie de recevoir la visite du délégué
de l’Eglise Vaudoise, M. le pasteur Paolo
Bosio, et de sa dame. Il s’était proposé de
nous transporter en esprit aux Vallées et,
dans le champ de l’Evangélisation : ce qu’il
a fait. Son discours vibrant de foi et de
patriotisme a trouvé la voie des cœurs :
nous l’en remercions vivement.
L’assemblée, comme on avait pu prévoir,
était nombreuse, et quant à la collecte,
voici quel en a été le résultat ; l’offrande
habituelle (dans les enveloppes) pour les
besoins de notre œuvre a donné 69 dollars,
et celle pour l’Eglise Vaudoise, à l’occasion
de la visite de son délégué, 77 dollars.
Le XVII février a été célébré avec autant et plus d’entrain que ces dernières
années : à 4 heures, par un service religieux au cours duquel ont parlé tour à tour
les pasteurs Hugon, Buffa et le Pasteur
local ; et le soir, au Restaurant Garrou, par
un banquet de 103 couverts.
Au nombre des convives, un représentant de la Colonie de Valdese, M. Jean P.
Rostan, et le vice-président de l’Union Vaudoise de Marseille, M. Peyran ; auxquels,
comme à tous ceux qui ont bien voulu assaisonner ou couronner nos mets de messages fraternels et d’espérance (Buffa, Hugon, Etienne GriU, le pasteur Villante de
New-Rochelle...), nous disons encore, et
très sincèrement ; Merci !
Avec le XVII a paru aussi, pour nous,
comme d’habitude, le. Rapport annuel financier. Il accuse, en fait de recettes, pour
1928, $ 4.707,44.
C’est un progrès, un progrès sensible sur
les exercices précédents, et qui est dû exclusivement au fait, dit le Rapport, qu’un
bon nombre de nos membres d’église ont
augmenté leurs contributions de membres.
Les dépenses ne sont pas arrivées à ce
chiffres : il y a un excédent ou un résidu
de $ 669,47. Ce qui fait qu’avec les épargnes des trois années précédentes (dont
une incomplète), nous avons aujourd’hui
un fonds de caisse de $ 3.573,57, sans parler de ce qui a été versé pour le « Ciahot »
ou « Maisonnette Vaudoise » que nous nous
proposons de fonder.
Mais ce qui intéresse, sans doute, le plus
ceux qui peuvent lire ces lignes, c’est que
nous n’avons pas entièrement perdu de
vue les besoins de notre prochain ou de
ceux dont nous avons voûiu être les prochains : 334 dollars pour des œuvres qui
n’ont aucun lien ecclésiastique avec la nôtre ; ce n’est pas beaucoup, c’est vrai, mais
c’est ijourtant quelque chose pour notre
modeste congrégation.
: Le regretté docteur Ribetti, de Pittsburg, bien que n’ayant jamais habité New“York, laisse un souvenir béni au milieu
de nous. Son départ est une perte pour
notre Eglise.
Enfin (c’est bien le cas de dire enfin !),
nous sommes reconnaissants au vénéré
pasteur M. Daniel Maurin, pour avoir déclaré au dernier Synode qu’ü se réjouissait des efforts que fait notre congrégation pour atteindre, le plus tôt possible,
avec l’aide de Dieu, sa complète autonomie.
Votre dévoué en J.-C.
PiERRE iGeIGUO.
A propos “d’hygiène et de théologie,,.
L’article de « Valdensis » sur le mode
de célébration de la Sainte-Cène nous a
naturellement amené des réponses, une entre autres d’un défenseur à outrance de
la « coupe individuelle » et... de quelque
autre chose ; mais que notre correspondant d’occasion veuille bien nous excuser
si nous ne jugeons pas à propos d’insérer
sa lettre. Nous avons cfelaré dans notre
petite note au bas de l’article sus-mentionné qu’il n’y a plus lieu de rouvrir les
débats sur une question qui fut en son
temps longuement, trop longuement débattue... et résolue à l’entière satisfaction
des intéressés, des deux côtés, à l’exception de « Valdensis » et de quelques àutres. « Valdensis », qui n’est pas le premier venu et dont les idées sur le sujet
nous étaient connues depuis longtemps,
n’avait pas encore eu l’occasion de les manifester publiquement.
Voilà uniquement pourquoi nous n’avons
pas cru devoir refuser l’insertion de son
article. Mais, notre journal se refuse à
rouvrir une polémique là-dessus... à moins
qu’il ne se produise un revirement appréciable dans nos congrégations et dans ceux
qui les dirigent. RÉn.
Opera Balneare 6. P. Melile.
L’Avyocato STEFANO PEYROT
con studio
In Torino - Via Sagliano Hicca 1, Angolo CorsoOporto
(Teler. 19878)
In Pinerolo - Via Silvio Pellico, 1 (Telef. 95)
RICEVE
In Torre Penice ogni Venerdì, ore antimeridiane
In Ferola Argentina ogni Martedì, ore pomerld.
E’ aperta l’iscrizione per la cura marina a Borgio-Verezzi.
Le domande devono essere inviate entro il giorno 5 Maggio al Pastore della parrocchia cui appartiene il richiedente ; il
quale Pastore è pregato di farle pervenire
al sottoscritto non più tardi del 12 Maggio.
In questa domanda, perchè venga presa
in esame, i richiedenti devono indicare :
1" Nome, cognome, paternità.
2“ Il preciso indirizzo (borgata,, contrada e numero).
3" La data di nascita (giorno, mese,
anno).
4" Professione o condizione dei genitori o chi per essi.
5" Se ed in quali anni vennero già ammessi alla cura marina, avvertendo che coloro i quali hanno compiuto consecutivamente un triennio di cura, non potranno
essere accettati.
6“ La data precisa alla quale saranno
liberi da obblighi scolastici. Quelli che ritengono di essere esenti da esami dovranno
notificarlo nella domanda stessa, onde si^
possa formare e far partire al, più presto
una squadra.
■Richiamiamo l’attenzione degli interessati sui punti seguenti :
a) Perdurando ancora le ragioni di
vita molto cara, verranno rigorosamente
esclusi tutti coloro per i quali, a giudizio
del Sanitario dell’Opera, la cura marina
non sarà giudicata assolutamente indispensabile.
b) Gh ammessi dovranno portar seco
un corredino con biancheria di ricambio,
scarpe in buono stato, pettine, forcelle,
ecc., e sopratutto un còsturae da bagno,
senza il quale non saranno accettati.
NB. I richiedenti verranno ulteriormente avvisati del luogo, della data della
visita medica, delle speciali iprme per
l’accettazione e della data precisa della
partenza.
Torino, 5 Aprile 1929.
Il Presidente : Bart. Soülier.
CHRONIQUE VAUDOISE
Souscription pour les Collèges.
Pour l'œuvre de Dieu.
Pour que les discours du 17 février aient
une certaine utilité pratique ;
afin que le retentissement des gros mots
ne se perde pas dans le vide ;
afin que chacun donne ce qu’il peut donner,
seulement ce qu’il peut donner,
mais tout ce qu’il peut donner ;
afin que tous les jeunes, de 18 à 80 ans,
puissent être mis en condition de répondre à l’appel du Maître ;
on met à la disposition de tous les Unionistes de bonne volonté qui enverront
leur adresse au Pasteur de leur paroisse,
ou à M. Henri Beux, de Villar Pérouse,
des indications sur la manière de travailler pour le Maître, pour l’avancement du Règne de Dieu...
J’espère que les Unionistes et non Unionistes répondront au moins dans les modestes proportions qui me suffisent pour
le moment.
Il faudra d’abord que nous fassions un
petit changement dans notre « nomenclature » : à la place du mot Evangélique, y
mettre « Evangéliste ».
Sous un ciel où tous les évangéliques
seront des évangélistes, fais. Seigneur, que
ritalie se réveille ! Un Unioniste.
Institntions Hospitalières Vaadoises.
De M.lle .M. et M. P. G.
(fleurs en souvenir de leurs
trois chères sœurs : Caroline
Gay-Boër, Marie Gay-Pons,
Adèle Gay-Tron) ;
Pour l’Hôpital de La Tour L. 75,
Pour l’Orphelinat »
Ht ifi ta
Fleurs, en souvenir de M.me Marguerite
Bianqui veuve Bonnet :
Lœ enfants, doct. Mathilde et
doct. Auguste Bonnet :
Pour l’Orphelinat L. 100,—
Pour le Refuge » 200,—
M.me Caroline Gay-Durand, Id. » 20,—
M.lle Ida Gay, Id. » 10,—
* * *
Pour le Refuge:
Miss Helen Grimes L. 50,—
M. Silvano Poët, Mossul
Hc * *
L.
82,
Pour le lit à la mémoire de M. B.
LÉGER, à l'Hôpital du Pomaret.
Listes précédentes L. 14.064,66
Miss Marie Ribet, New-York » 50,—
Total L. 14.114,66
PRARUSTIN. Samedi dernier un lopg
cortège accompagnait au champ du repôs
la dépouille mortelle de barba Jean Grill,
décédé deux jours auparavant, à la Crotta,
à l’âge de 88 ans. Notre vénéré frère, aimé
de tous pour sa bonté, sa générosité et sa
droiture, laisse un grand vide dans sa famille et dans son Eglise qu’il a toujours
aimée et honorée. Ainsi que l’ont relevé
le Pasteur de la paroisse et M. le pasteur
Marauda, Jean GriU laisse aux siens et à
ses nombi;eux amis un exemple de foi, de
piété et de soumission dans la souffrance.
Que sa famille, qui sait où puiser les
consolations dont elle a besoin dans ces
moments douloureux, agrée, ici, l’expression réitérée de notre profonde sympathie
chrétienne.
— Notre Eglise prépare un Bazar en
faveur de ses différentes œuvres. Il se
tiendra, D. V., le jour de l’Ascension, 9
mai prochain, à 2 h. 30 de l’après-midi, à
la cure de Saint-Barthélemy. Nous recevrons avec reconnaissance les dons (objets
ou argent) que nos paroissiens, momentanément loin des Vallées, voudront bien
nous envoyer. Quant à nos amis dœ paroisses voisines, nous serons très heureux
de les voir parmi les acheteurs. A. J.
SAINT-JEAN. Dimanche prochain, D. V.,
nous aurons la visite de la Commission
de District, au culte principal, qui sera
présidé par M. H. Pascal, de Rorà,
secrétaire.
— Réunions des Mères. Environ 60 mères étaient présentes à la séance de dimanche dernier, 7 c., présidée par notre
chère M.me Gardiol, laquelle nous parla
de Mrs. Midletton, notre bienfaitrice.
Mrs. R. M. Midletton appartenait à une
très noble famille écossaise ; élevée dans
un milieu strictement chrétien, eUe y acquierra les plus élevées qualités de cœur
et d’esprit. Humble et bonne, elle répandait autour d’elle des rayons de lumière
et de douceur. Dès son enfance elle avait
entendu parler des Vallées, et son plus
grand désir a toujours été celui de les
visiter.
Enfin, il y a juste 30 ans, Mrs. Midletton vint aux Vallées pour la première fois
et y initia les réunions des mères, œuvre
à laquelle elle donnait, en Angleterre, une
partie de son temps, de ses forces et de
son argent. Après sa première visite, elle
retourna dans nos Vallées pendant 13 années consécutives, tous les printemps, pour
apporter aux Groupes de Mères qui
s’étaient formés un à un dans chaque paroisse de toute la Vallée du Pélis, un message affectueux et encourageant. Sa parole chaude, venant d’un cœur débordant
d’amour pour Dieu et pour son prochain,
allait au cœur! Elle était mère et comprenait les mères ; et bon nombre de mères qui ont eu le privilège de l’entendre,
n’oublient pas et n’oublieront jamais le
bien qu’elle leur a fait. Lorsque sa santé
et ses forces ne lui permirent plus de faire
le voyage de Londres aux Vallées, elle ne
cessa de s’intéresser à ses chères mères
vaudoises et elle leur envoyait par écrit
un message affectueux avec son don habituel de Noël pour une tasse de thé après
les réunions.
C’est en mars 1920 que Dieu rappela
à Lui sa servante fidèle. Son souvenir reste,
ainsi que son exemple de vraie ouvrière
de Dieu, qui savait agir, réaliser, servir,
se donner pour le bien des autres.
Nous croyons interpréter le sentiment
de toutes les Mères, en remerciant beaucoup M.me Gardiol pour cette bonne et
si intéressante causerie.
— Décès. C’est d’abord notre sœur Ma
3
i
■'1
3
pa
fiaiine Mcdanot, qui est entrée en son reà l’âge de 88 ans, le 4 c., après une
ongue et douloureuse maladie. Voilà enjre une noble figure de vraie chrétienne
k de vraie vaudoise qui nous a quittés.
avait une grande foi et une grande
confiance en son Seigneur, et ce sont ces
ions qui l’ont rendue un vrai exemple de
¡patience et de soumission à la volonté de
[Dieu. La bonne Jana était bien connue
et un grand nombre d’amis prenaient part
ïU service funèbre, présidé par MM. les
pasteurs H. E. Tron et B. Gardiol.
A l’Hôpital de La Tour est décédé Tourn
Caniülo Gualtieri, à l’âge de 39 ans. A son
ensevelissement, qui eut lieu le matin de
ïamedi dernier, 6 c., prirent part de nomireux parents et amis, plusieurs personnes
ie Rorà d’où il était originaire. Trois Soaétés ouvrières y étaient représentées.
Aux parents affligés notre sympathie
;hrétienne. o. a.
\ VILLAR. Mariage. Jeudi, 28 mars, eut
lieu la bénédiction du mariage de M. Daniel Costabel, employé aux usines Mazzonis,
et M.lle Judith Giraudin, maîtresse d’école
[fort appréciée au Villar. Nous accompatgnons les jeunes époux, ex-élèves de nos
[établissements d’instruction secondaire, de
Ænos meilleurs vœux de bonheur, en les
[priant d’agréer nos plus vives félicitations.
c.
Le Vendredi Saint, 13 catéchumènœ
le deuxième année ont été admis dans la
Icommunion de l’Eglise. Deux jeunes gens
^ui n’avaient pas l’âge requis auront le
I privilège (c’en est un bien que, hélas ! il
jne soit pas souvent considéré comme tel)
[de faire une autre année de catéchisme.
Le culte de Pâques a été rehaussé par
l’exécution d’un beau chœur dont la composition est due au directeur de la Chorale, M. J. Héli Long, membre de la Com. mission du Chant Sacré.
Les beaux auditoires de ces grandes fêftes sont là pour prouver que chaque ditmanche l’assemblée devrait être plus nom[breuse dans le temple.
Nous remercions cordialement, aussi au
[nom de toutes les intéressées, les Unions
[des Mères et des Jeunes Filles, pour la
tbelle et bonne fête qu’elles ont offerte, le
P e., aux neuf jeunes filles qui ont été
[admises à l’Eglise.
Puissent ces jeunes recrues conserver un
l'agréable souvenir de cette fête, et mieux
encore, mettre en pratique tous les bons
conseils qui leur ont été adressés penI dant ces journées si importantes pour leur
vie spirituelle.
La collecte annuelle a commencé et
[ nous souhaitons qu’elle soit chrétiennement
■généreuse de la part de tous. Nous tenons
:â mentionner avec une vive reconnaissance les noms de quelques sœurs et frères
squi, depuis quelques mois, ont transmis
[leurs dons généreux depuis la lointaine
[Amérique. Ce sont M.lles Pauline et Mar[guerite Ceymonat (Bessé), de New-York;
|et dé la même ville aussi, MM. Pierre Fostel, Paul Charbonnier, Etienne Barolin et
l’envoyeur Paul Michelin-Salomon. A tous,
les remerciements bien sentis de leur
lEglise et de son Consistoire.
■— Actes liturgiques du trimestre jani^ier-mars 1929. Baptêmes : Connet Jean
ie Daniel ; Connet Jules, Albert et Hélène
ie Jean Etienne ; Crand Madeleine, Jeanne
et Anna de David, le 15 janvier (Envers)
Berton Amédée de Joseph, le 31 janvier
^(Garins) - Davit Etienne de David, le 11
[■février (Piantà) - Musset Anna Marie de
|J. Pierre Edouard, le 16 février (Saret) teertin-Maghit Louis et Christiana Renée
¡de Louis, le 19 février (Teynaud) - Con1 net Olga d’Anna Marie ; Connet David de
¡Jean ; Berton Henri Jean de J. Pierre et
iLantaret Daniel de David, le 7 mars (En|[vers) - Michelin-Salomon Jean, le 26 mars
(Ciarmis).
Mariages: Rivoire Ruben Pierre avec
PiJone Thérèse, le 7 mars - Charbonnier
I Paul de Jean Pierre (Meynets) avec Dalnias Emma feu Daniel (Comba), le 9 mars
' Davit Albert d’Etienne (Bessé) avec Catalin Marie de J. Daniel (Combe), le 9
mars - Costabel Daniel Auguste feu Daniel, de La Tour, avec Ciraudin Judith
feu Etienne (Subiasc), le 28 mars. Tous
nos meilleurs vœux de bonheur les
accompagnent.
Ensevelissements : Rivoire Joseph feu J.
David (Carins), le 16 janvier, âgé de 83
ans - Berton Marianne de Jean (Saret),
le 23 janvier, âgée de 9 ans - Rivoire Daniel feu J. Daniel (Envers), le 5 février,
âgé de 80 ans - Puy Judith feu Pierre
(Subiasc), le 7 février, âgée de 27 ans Marauda Jean Daniel feu J. Jacques (Teynaud), le 22 février, âgé de 70 ans. Notre sympathie chrétienne va à toutes les
familles affligées par ces deuils. p. c.
Ss * *
POUR L'ORPHELINAT.
La Commission des Hôpitaux vient de
publier, à l’occasion du 75“® anniversaire
de fondation de l’Orphelinat (décembre
1853), une excellente «notice historique»
sur les origines, le développement et la
marche de cette bienfaisante institution à
travers ses trois quairts de siècle d^xistence. Ladite « notice », ornée der'"quatre
jolies photographies, a été envoyée aux amis
de l’Œuvre et à MM. les Pasteurs dans
le but d’attirer leur attention et d’éveiller leur intérêt au sujet des finances surtout : l’Orphelinat a depuis bien des années, un déficit se renouvelant périodiquement et qu’il s’agirait de balayer une fois
pour toutes, en lui assurant en outre un
fonds de réserve.
Et, pour être compris de tout le monde,
nous transcrivons les dernièrès périodes
de la Notice : « ...D’entente aver le Modérateur et avec le Chef du District des
Vallées, notre Eglise entière est invitée
à concourir au but que nous nous proposons
d’atteindre, en célébrant le 12 mai le dimanche de la Mère, et en saisissant cette
occasion pour intéresser les membres de
nos Eglises aux enfants qui n’ont plus
de mère. La collecte de ce jour, dûment
annoncée, irait à l’Orphelinat.
« Que Dieu inspire ceux qui parleront
et ceux qui écouteront, de sorte que chacun se sente porté à concourir généreusement à une œuvre aussi importante » !
Domenica 14 Aprile, alle ore 15, ài Cinema Trento, avrà luogo la « Celebrazione
del Pane », istituita sotto gli auspici del
Duce a favore dejì’Opera Italiana Pro
Oriente, la nobile istituzione che provvede
all’assistenza dei fanciulli d’Italia che
vivono in terra d’Oriente. Parte del ricavato andrà a beneficio delle Colonie marine.
Un gruppo di Balilla, Avanguardisti e
Giovani Italiane è incaricato della vendita
dei panini, degli albums di Predappio e
di Oriente, di altre pubblicazioni, e dei biglietti d'ingresso al Cinema Trento, da L. 1
e da L. 2.
La celebrazione consisterà principalmente nella recitazione della « Favola del
Pane » e nell’esecuzione degli annessi
« Canti del Pane » da parte degli alunni
delle Scuole elementari.
Dott. Paltrtniert.
m
AVVISO.
La sottoscritta avvisa quanti abbiano ancora da liquidare pratiche espletate dal di
lei compianto marito, che col giorno 1° Maggio p. V., essa si trasferirà nei nuovi locali
di Via Geymet, angolo Via Arnaud {Casa
Ayassot).
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de 7 pièces chacun, électricité, eau potable,
chauffage central, grandes caves voûtées,
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Torre Pellice
II
les
Les membres de la Conférence pour les
réparations, rèums le 6 c., à Paris, ont
fait le bilan global des sommes que les
alliés demandent à l’Allemagne à titre de
réparation.
La France exige 65 milliards de francs
papier, plus une annualité correspondante
à un capital de 75 milliards de francs papier pour l’extinction des dettes interalliées. La Belgique réclame le remboursement de ses dettes envers l’Angleterre et
l’Amérique, plus 2 milliards 200 millions
de marlffi-or à titre de réparation. U Angleterre exige la « couverture » de ses dettes
envers l’Amérique, plus 3 milliards 800
millions de marfcs-or d’arriérés. VAmérique demande le remboursement de ses
frais d’occupation. Enfin, l’Italie revendique le 10 0/0 de la somme totale que l’Allemagne versera aux alliés, comme remboursement des dommages causés par la
guerre, plus la couverture de ses payements à l’Angleterre et aux Etats-Unis.
L’Allemagne prétend qù’elle n’a absolument pas la possibilité de payer dans ces
proportions et offre, par l’entremise du Directeur du Reichsbank, une annualité totale de 1 mifliarcT et demi de marks-or.
On est donc toujours encore loin de
s’entendre.
Palis ÜTWs»
U Evangelisches Deutschland, informe
que le Conseil Communal de Dusseldolrf a
refusé de voter un subside de 10.000 marks
pour le cortège du carnaval. Par contre,
sur la proposition de ses membres communistes, le même Conseil a décidé d’affecter cette somme à l’achat de combustible pour les indigents. Les communistes
ont donc été, par ce fait, plus chrétiens
que leurs collègues du Centre.
* s: *
L’ambassadeur des Etats-Unis à Paris,
M. Myrron T. Herrick, décédé le 2 c., eut,
le 4 c., des funérailles grandioses dans leur
simplicité voulue. Les troupes de la garnison de Paris ont rendu les honneurs et
fait la haie sur le parcours du cortège. A
la levée du corps, on eut le discours du
général Pershing et celui de M. Poincaré
qui salue avec émotion ce « grand ami de
la France» qui prépara, à côté de quelques autrœ hommes éminents, l’intervention des Etats-Unis dans la Grande Guerre.
Le corps, amené à la gare, est emporté
par l’express de Brest pour être ensuite
embarqué sur un navire américain et ramené aux Etats-Unis ou il va être inhumé.
^ St *
Le 3 c., eut lieu à Lyon le 4“® Congrès
de la Commission permanente internationale pour l’étude des maladies professionnelles, Commission qui fut instituée, en
1906, à Milan, sur la proposition du sénateur Malachia De Cristoforis. Elle a pour
but essentiel d’étudier les faits nouveaux
qui, en physiologie, en pathologie ou dans
le domaine des sciences sociales, peuvent
intéresser l’hygiène du travail ou l’assistance sociale. Non moins de 19 nations sont
représentées au Congrès, parmi lesquelles
l’Italie, dont la délégation compte des noms
illustres de médecins, chirurgiens, hygiénistes. Un des premiers sujets examinés
fut celui « des maladies pulmonaires causées par les poussières durant le travail ».
S! *
Le Christianisme raconte sur Foch une
anecdote qui fait honneur à la largeur de
vues et à la délicatesse du grand maréchal.
Au moment où celui-ci, après l’armistice,
se disposait à partir pour les Etats-Unis
où l’appelaient ses anciens compagnons
d’arme, le pasteur Fusier, président du
Comité Protestant des Amitiés Françaises
à l’étranger, se présenta à lui pour le prier
d’apporter au Conseil Fédéral des Eglises
du Christ un souvenir du temple de Reims
reconstruit avec l’aide de l’Amérique et
un message reconnaissant. Le souvenir
était la Bible de chaire transpercée par un
éclat d’obus.
— Mais, M. Fusier, objecta le maréchal,
vous ignorez sans doute que je suis un
élève des jésuites ?
— Je ne l’ignore pas, monsieur le Maréchal, et je leur souhaite d’avoir beaucoup d’élèves comme vous !
Alors le Maréchal prit la Bible en souriant, et dit ;
— Je la remettrai donc à mon ami Macfarland, en lui rendant la visite qu’il m’a
faite sur le front.
H! * *
Une pyramide à la civilisation. D’après
le Journal de Genève, un riche américain
de l’Arkansas aurait l’intention de construire une pyramide géante, qu’on dénom
mera « pyramide de la civilisation », où
seront soigneusement conservés tous les
objets marquant la civilisation moderne,
depuis une épingle à cheveux jusqu’aux
derniers appareils de télégraphie sans iU.
Jean Coîsson» din&cteuT'iresponsable
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M. et M.me Jacques Griguo et leurs enfants, M.lles Suzanne et Marie Griglio
accomplissent le triste devoir d’annoncer à
leurs amis le départ de leur bien-aimé père,
beau-père et grand-père
JEAN GRIGLIO
décédé à la Crotta (Saint-Second), le 4 c.,
à l’âge de 88 ans.
Comunicato.
Il Comando del Distretto militare di Pinerolo comunica che presso queU’ufficto di
ricompense risultano ancora giacenti parecchi brevetti di autorizzazione a fregiarsi della medaglia commemorativa istituita al ricordo della guerra 1915-1918 Interalleata della Vittoria, col relativo segno
metallico, intestate ad ex-militari che hanno
partecipato alla grande guerra.
Gli ex-combattenti appartenenti al suddetto Distretto, che ancora non hanno ricevuto tali onorificenze, sono perciò invitati a farne sollecita richiesta a mezzo
delle rispettive Sezioni Combattenti, oppure presentandosi direttamente al Comando interessato.
Il Colonnello Comandante il Distretto.
NOCERA-UMBRA
(Sorgente Angelica)
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I TAL! AN A
LIBERArìL, CORPO
E alliIeta. lo,spi rito
NAVIGAZIONE GENERALE ITALIANA
PROSSIME PARTENZE
(Salvo variazioni)
Per NEW-YORK.
Roma: 3 Maggio da Genova, 4 da Napoli
6 da Gibilterra.
Angnstas: 17 Maggio da Genova, 18 da Napoli.
Per il Stfb AMERICA.
Giulio Cesare: 25 Aprile da Genova
e Villafranca.
Duilio: 16 Maggio da Genova e da Villafranca.
Per il CENTRO AMERICA c PACIFICO.
Virgilio: 30 Aprile da Genova.
Per informazioni e biglietti rivolgersi agli Uffici,
alle Agenzie e ai Rappresentanti in tutta Italia.
4
INDIRIZZI delle principali Chiese ed Opere Valdesi in Italia.
VALLI VALDESI.
INGROGNA - Peistore : Davide Pons.
BOBBIO PELLTCE - Pastore ; Enrico Tron, S.
LUSERNA S. GIOV. - Pastore ; Emilio Tion.
MASSELLO - Pastore: Giovanni Miegge.
PERRERO - Pastore : Luigi Mieol.
PIN EROLO - Pastore : Luigi Marauda.
POMARETTO - Pastore : Guido Comba.
PBALI - Pastone : Alberto Fuhrmann.
PRAMOLLO - Pastore ; Ermanno Genre.
PRAROSTINO - Pastore : Augusto Jahier.
BICLAREPTO - Pastoie: Guido Miegge.
RODOREITO - Cand. teoi. Lorenzo Rlvoira.
BORA’ - Pastore : Enrico Pascal.
S. GERM. CHISONE - Pastore: Enrico Tron, J.
¡TORRE PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
VILLAR PELLICE - Pastore : Pietro Chauvie.
PBAi DEL TORNO - Evangelista D. Gaydou.
ABBAZIA - Chiesa - Pastore : Corrado JaUa,
da Fiume.
AOSTA - Chiesa : Rue Cnoix de Ville, 3.
BARI - Chiesa - Pastore : G. Moggia, Piazza
Garibaldi, 63.
BENEVENTO - Chiesa Evangelica.
BIELLA - Chiesa : Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario - Evangelista Diodato Rosati, Casa Fiorina, Via Mirabello.
BOEDIGHEHA - Chiesa: Piani di Vallecrosia
. - Pastone; Arnaldo Comba.
BORRELLO - Chiesa Evangelica.
BRESCIA - Chiesa : Via dei MiUe, 4 - Pastore :
Francesco Peynonel, M.
BRINDISI - Chiesa : Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Pastore ; G. D. iMaurin, ivi.
CALTANISSETTA - Chiesa : Via Maida, 15 Pastore : G. Bonavia, ivi.
CASALE MONFERRATO - Chiesa ; Piazza
Giardini Pubblici.
CATANIA - Chiesa; Via Naumachìa, 22 - Pastore : Eugenio Revel, ivi.
CHIETI - Chiesa Evangelica - Evangelista G.
Scaiinci, Largo Vezio, 19.
COAZZE - Sig. Carlb Lupo, da Torino.
QOMO - Chiesa : Via Rusconi, 9 - Pastone :
D. Revel, ivi.
CORATO - Chiesa Evangelica : Via Garibaldi Cand. teoL Alfonso Alessio, Via Garibaldi.
COURMAYEUR - Chiesa Evangelica.
FELONICA PO - Chiesa Evangelica - Anziano, evangelista Pietro VarveUi.
FIRENZE - Chiesa di Via de’ Serragli, 51 : Pastore : V. Sommani, ivi. — Chiesa di Via
Manzoni, 13 - Pastore E. Meynier, ivi.
FIUME - Chiesa: Via Sem ¡Benelli, 6 - Pastore : Corrado JaUa, Salita Flanatica,
Casa Benco al Calvaria
FORANO - Chiesa Evangelica - Evangelista
Antonio Cornelio.
GENOVA - Chiesa : Via Assanotti - Pastore ;
A. Simeoni, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa Evangelica - Evangelista
G. B. Azzareili.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Peistore :
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’Armi.
LA (MADDALENA - Chiesa Evangelica.
LIVORNO - Chiesa ; Via G. Verdi, 3 - Pastore :
AttUlo Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi, 18.
LUGANO - Pastore: Giovanni Grilli, Viale
Franscinì, 11.
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : Via Maddalena, 112 - Pastore : Seiffredo Colucd.
MILANO - Chiesa di S. Giovanni in Conca Pastore; B. CeUi, Piazza Missori, 3 —
Chiesa di Via Fabbri, 9 - Pastore : Luigi
Rostagno, Via Stradivari, 1.
NAPOLI - Chiesa: Piazzetta Tagliavla, 25 Pastore : Giuseppe Fasulo, ivi.
NIÉZA - Chiesa : Rue Gìoflredo, SO - Pastore :
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA DI PUGLIA - Cand. teol. Elio Eynard.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Cand. teol.
Enrico Geymet.
PALERMO '- Chiesa : Via Spezio, 41 - Pastore: Emilio Corsani, ivi.
PESCOLANCIANO - Chiesa Evangelica - Evangelista Amato BiUour.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore : Arnaldo Comba, Istituto Femminile Valdese.
PIEDICAVALLO - Chiesa: Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa : Via Derna, 15 - Pastore : Rinaldo Malan, Via Derna, 17.
REGGIO CALABRIA - Chiesa; Piazza San
(Marco, 4 - Pastore: S. Coiucci, da Messina — Culto la Domenica aUe ore 16.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore: Arturo
Mlngardi.
RIO MARINA - Chiesa Evangelica - Pastore :
Roberto Jahier.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107
- Pastore; Giovanni Bonnet, ivi. — Chiesa
di Piazza Ctevour - Pastore : Paolo Bosio,
Via Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARENA - Chiesa : Via Giosuè Carducci. 16 - Pastore : Alessio Balmas, ivi.
SANREMO - Chiesa: Via Roma - Pastore:
Ugo Janni, ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa EvangeUca.
SIENA - Chiesa : Viale Curtatone, 5 - Pastore :
Giovanni Petrai, ivi.
SIRACUSA - Via Cavour - Culto il Martedì,
alle ore 18. - Cand. teol. Enrico Geymet, da
Pachino.
SUSA - Chiesa: Via Umberto I, 14 - Evangelista Gustavo Bert, ivi.
TARANTO - Chiesa : Via Di Palma, 13 - Pastore : Antonio Miscia, Via Principe Amedieo, 250.
TORINO - Chiesa : Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore :
Bartolomeo Soulier, Via Pio Quinto, 15. —
Per la Diaspora : Sig. Carlo Lupo, Corso
Vinzaglio, 73.
TRIESTE - Cliiesa : Via S. M. Maggiore - Pastore : G. Del Pesco, Via Scorcola, 15.
VENEZIA - Chiesa : Palazzo Oavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Giov. Bertlnatti, ivi.
VERONA - Chiesa : Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Pastore ; F. Peyronel, da Brescia.
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Evangelista
Enrico Oorsani.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto GouWgi*- Via Serragli, 51, Firenze - Direttor
Pastore V. Sommani.
OSPEDALI VALDESI - A Torre Peliìce, a R
maretto, a Torino (Via BerthoUet, 36). ^
CASA DELLE DIACONESSE - Sede : Luserni
San Giovanni (Torino) - Direttore: PastoBg
Davide Fornerpn, Torre Pellice. h
RIFUGIO PER INCURABILI « RE CARI^
ALBERTO» - Luserna San Giovanni. -5
ASILO PEI VECCHI - Luserna S. Giovanni,
ASILO PEI VECCHI - S. Germano Chisonej
SCUOLE ELEMENTARI, oltre a quelle neÙfi
Valli Valdesi: Carema, Dovadola, Grotte;
Pachino, Palermo, Riesi, Rio Marina, Salle^ ;
Sanremo, Vallecrosia, Vittoria.
CHIESE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Il evito principale si celebra in Mie le
Chiese alle ore 11 circa della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Pastore V. Alberto Costabel,
moderatore - Pastore Antonio Rostan, segretariorcassiere - Vìa Quattro Novembre,
107, Roma (1).
FACOLTA’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cessa,
42, Roma (26) - Professori ; G. Rostagno,
Em. Comba, T. Longo.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preside ; Prof. D. Jahier.
SCUOLA LATINA - Pomaretto - Direttore ;
Pastore Luigi Micol, Perrero.
COMMISSIONE ' DELLE PUBBLICAZIONI Davide Bosio, presidente; E. Meynier, Ernesto Comba, Teodoro Longo, Paolo Bosio.
CONVITTO MASCHILE - Torre .PeUice - Direttore : Pastore P. Grill.
CONVITTO MASCHILE - Pomaretto - Direttrice : Sìg.na Sofia Rostan.
CONVITTO FEMMINILE - Torre Felice - Direttrice : Sig.na A. Vin^n. ,
ISTITUTO FEMMINILE. VALDESE - VaUecrosia - Direttore ; Pastore Arnaldo Comì>a,i
ORFANOTROFIO FEMMINILE. - Tom’e Peli".,
lice - Direttrice : Sig.na Adele Arias,
COLONIA VALDENSE (Departamento de Co< '
Ionia - Rep. O. del Uruguay) - Pastore;
Ernesto Tron - Pastore emerito : D.
mand-Ugon. 5
COLONIA COSMOPOLITA (Departamento
Colonia - Rep. O. del Uruguay) - Pastoreti
Enrico Beux - Pastore emerito : Pietw
Bounous. ■'■s :
COLONIA ARTILLEROS - Pastore : Earicg. |
Beux. •
TARARIRAS (Departamento de Colonia - Reps <
0. del Uruguay) - Pastore : Guido Rivofr, ;
COLONIE RIACHUELO-S. PEDRO - Pastord j
Guido Rivoir. •"* |
OMBUBS DE LAVARLE (Departamento de [
Colonia - Rep. O. del Uruguay) - Evange.: ¡
lista Daniel Breezet’ ;
COLONIA MIGUELETE - Evangelista DanM |‘
Breeze. ' .
SAN SALVADOR (Canada de Nieto - Dolor®
- Rep. O. del Uruguay) - Evangelista:
G. E. Gönnet. &
COLONIA IRIS (Jacinto Arauz - Pampa Cea^ ,
trai - Rep. Argentina) - Pastore : Silvitf ^
Long.
COLONIA BELGRANO (Est. Wildermuth, li Í
C. C, A. - Prov. S. Fè - Rep. Argentina)^
Pastore : Levi Tron, *
Oolonia del Sacramento, Colonia De Nìn Y Silvis
Colonia Nuova Vaidense e altre Colonie non i
. hanno un Pastore a posto fisso e sono vlsl-4
tate peiiodicàmente. ' 1^]
NUOVE PUBBLICAZIONI E RISTAMPE
Breve Catechismo Evangelico
Catéchisme Evangélìqne.......................................
Dialoghi e Fantasie musicali, di Sommani . . ^.
Commentario di S. Marco, del Doti. Stewart (tela L. 15), brochure
La Messa in Italiano e in Latino, di G. Ribeiti
Cartelli Biblici con disegni colorati d'autore, la copia
{Testi; Gios. 24/15; Salmi 107/1 ; 121/1:121/8; Matt. 28/20, Luca 24/29;
Giov. 14/1 ; Gal. 2/20).
11 Pellegrinaggio del Cristiano, di Bunyan, 11*’ migliaio (in tela
L. 7.50) brochure
La Lampada di Tip
Spigolature...........................
Parabole di Cristo, di E. Bosio, illustrato . .
Vita di San Pietro, di Teofilo Gay . ,
Commenti al Vangelo, di C. Bonavia .....
Dietro le Quinte, edizione, illustrato ....
Iddio è Carità, di Adolfo Monod.........................
Preghiera del Giorno (breve preghiera per ogni giorno), (in tela
L. 2), brochure
PUBBLICAZIONI RACCOMANDATE
La Religione Cristiana, Era. Comba, U. Janni, eco. (Compendio
delle Verità fondamentali del Cristianesimo) ....
Amore e Luce, T. Vasserot (Esposizione sintetica dell’insegnamento
di Gesù - 440 pagine) . . . . .
Più presso a Te Signor, G. Rostagno (Pensieri brevi per ogni
giorno dell’anno) (in tela L. 10), brochure
Breve Storia dei Valdesi, Ern. Comba - con numerose illustrazioni
e carte geografiche (200 pagine)................................
Figlia (La) dell'Anziano, di Strong (Dramma storico in 5 Atti) .
Margherita di Francia, Silvio Pons (Dramma storico in 4 Atti) .
Sangue Valdese, S. P. G. (Dramma storico in Un Prologo e 3 Atti)
Marchese di Pianezza, G. Rostain (Dramma storico in 4 Atti) .
Lettere di un carcerato, A. Muston (Biografia ed epistole del
martire G. L, Pascal) . ...............................
Storia Letteraria della Bibbia:
1° I libri storici dell’A. T., T. Longo.........................
2“ I libri dei Profeti d’Israele, Ern. Comba ....
3“ I libri poetici e gli Apocrifi dell’ A. T. - Il Canone e il Testo
dell’A. T., Ern. Comba......................................
4° 1 libri storici del N. T. - Il Canone e il testo dell’A. T. - T. Longo
5" Le Epistole del N. T, e l'Apocalisse, Ern. Comba
I cinque volumi insieme..............................................
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