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AMN« LXieVI
Torre Pellice, 15 Marzo 1946
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L’ECO DELLE
Nulla sla plit forte della vostra fede!
(Giftiiavello) iiTTIMANAtE DELIA
ABBONAftJENTO
• ^ • • L. 150,— Semestraie L. 75,—
Italia : Annuale . . ^ .
Estero: »...................
Ogni cambiamento d’indirizzo costa Lire Cinque — La copia Lire 4,
redaSì
AMMINISTRAZI
fl Ginevra
La creazione di 32 cardinali, rappresentanti di tutti i paesi della terra, è espressione di notevole importanza della cattolicità
della chiesa romana. Espressione non meno
importante della cattolicità delle chiese non
romane sono le riunioni del Consiglio ecumenico delle chiese e del Consiglio internazionale delle missioni che hanno avuto luogo
ultimamente a Ginevra.
Nel 1937 le Conferenze ecumeniche di
Oxford e di Edimburgo dettero vita al Consiglio Ecumenico delle Chiese con lo scopo
di riunire i rappresentanti delle diverse Confessioni per concretare Fazione corhune della Chiesa nel mondo.
Il Consiglio iniziò la sua attività nel 1938
e svolse durante la guerra un’opèra considerevole di assistenza ai prigionieri e ai profughi, mantenendo relazioni con tutte le Chiese che rappresentava.
Per la prima volta dopo il 1939, la riunione plenaria del Comitato provvisorio de!
Consiglio ecumenico delle Chiese, s’è tenuta a Ginevra dal 21 al 23 febbraio u.s., nei
nuovi locali del Consiglio ecumenico, inaugurati nell’autunno 1945. Il pastore francese
Marc Boegner, presiedette le sedute che riunirono più di 50 membri ed invitati, provenienti da una ventina di paesi e rappresentanti di un centinaio di chiese (ortodossa, anglicana, luterana, riformata), che comprendono non meno di 300 milioni di anime.
La Conferenza ha fissato l’attenzione degl( ambienti più diversi, non esclusa quella
della stampa mondiale.
La sua importanza fondamentale è stata
ancora accresciuta dall’interesse suscitato
dalla presenza di eminenti personalità, come
il pastore tedesco NiemSller, il vescovo norvegese Berggrav, il professore olandese
Kraemer che ebbero a soffrire nelle prigioni naziste a motivo dt'la loro testimonianza
cristiana.
Il momento più solenne della Conferenza
è stato il culto celebrato nella cattedrale di
San Pietro, con la partecipazione d’una folla compatta che gremiva ogni angolo dell’imponente edificio.
Il metropolita (hermanos lesse l’Evangelo
in greco, l’arcivescovo di Canterbury disse
le preghiere in inglese, il dr. Chester Miao
'Cina), il vescovo Berggrav e il pastore Niemiiller pronunziarono allocuzioni. Il pastore
Koechlin, presidente della Federazione delle Chiese protestanti svizzere, pronunziò la
preghiera finale e il pastore Cellerier, Moderatore della Chiesa di Ginevra, impartì la benedizione.
Manifestazione solenne e commovente
espressione di testimonianza della Chiesa,
una nel servizio del comune Signore.
La Conferenza ha deciso, fra l'altro, di
convocare nel 1948, probabilmente in Danimarca 0 in Olanda, un'Assemblea generale
(corpo legislativo) per fissare la Costituzione
definitiva del Consiglio ecumenico (organo
esecutivo).
Nell’attesa il Consiglio ecumenico avrà
cinque presidenti : l’arcivescovo di Canter
bury, il pastore M. Boegner, il dr. John R.
Moti, l’arcivescovo Germanos e l’arcivescovo Eidem, di Upsala. Il dr, Visser’t Hooft è
stato confermato segretario generale.
Una Conferenza mondiale della gioventù
sarà organizzata nel 1947. Riunirà i rappresentanti dei giovani cristiani del mondo intero.
Inoltre è stata decisa la creazione di un
Centro ecumenico di formazione di quadri
che si stabilirà nelle vicinanze di Ginevra,
n Centro, istituito grazie a un dono di John
D. Rockefeller, accoglierà una sessantina di
giovani d’ambo i sessi, che seguiranno dei
corsi relativi all’evangelizzazione e al lavoro
ecumenico. Sarà diretto dal prof. H, Kraemer.. di Leida, con la collaborazione di quattro professori fissi e di altri,'di diversi paesi, che vi faranno soggiorni più o meno
lunghi.
La ricostruzione delle chiese sinistrate durante la guerra, è stata studiata accuratamente. 11 grande sforzo finora compiuto sarà ancora intensificato in tutti i paesi.
Importanti decisioni sono state prese relativamente alla collaborazione del Consiglio
ecumenico con il Consiglio internazionale
MESAAGE Du CONSEIL
Oecuméniciue des
v.s «-oiiegto vaiaese
TORRE PELLICE
N. 11
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.. BIguardate alla roccia onde foste tagliati
CHIESA VALtïESE isaia LI: 1.
IONE: Via ¿ibaud, 7 - Bobbio Pellice
ONE : Via Carlo Alberto, 1 bis - Torre Pellice
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Le Comité provisoire du Conseil œcuménique des Eglises, assemblé à Genève pour
s.n première réunion plénière après la guerre mondiale, a formulé le message que voici :
Le monde se trouve aujourd’hui entre la
vie et la mort. L’espoir des hommes en un
monde meilleur a été déçu. Des millions d’ètres humains sont en proie à d’intolérables,
souffrances. Les pieuples semblent incapables
de donner une solution aux problèmes crucieux de l’ordre international. Un lourd fardeau pèse sur toute l’humanité.
Face à cette crise, et en tant que chrétiens, nous sommes profondément troublés
dans nos propres consciences. Et cependant.
Dieu,, dans Sa miséricorde, nous a consacrés
au ministère de Sa parole; cette parole, nous
sommes contraints de la proclamer. Les
hommes Sont engagés dans la voie de la
mort parce qu’ils ont désobéi à Dieu. Il n’est
de renouvellement possible que dans la repentance : il nous faut abandonner nos oropres. voies et entrer dans la voie de Dieu.
Dieu appelle les hommes à une décision dernière : «J’ai mis devant vous la vie et la
mort. Choisissez donc la vie ».
La guerre est la conséquence de l’orgueil
humain èt de la tragique incapacité des hommes à trouver la véritable solution de leurs
conflits. Nous prions Dieu que les Nations
Unies sachent choisir le chemin de la vie et
épargner aux générations futures la malédiction de la guerre. Mais le temps presse. Le
succès que l’homme a remporté en libérant
l’énergie atomique menace d’entraîner sa
propre destruction. A moins que les hommes
ne changent toute leur-conception de vie, notre civilisation périra.
Une paix illusoire ne vaut guère mieux
que la guerre. Aucune paix ne saurait durer
si elle ne repose sur de vrais fondements spirituels. Nous demandons à -tous les hommes
de bonne volonté et à tous ceux qui croient
aux valeurs et aux forces spirituelles de travailler ensemble à l’établissement d’un ordre conforme à la justice et à l’humanité.
Toutes les nations se trouvent sous le iugement de Dieu. Les pays vaincus subissent
un châtiment terrible. Mais les ressorts de
leur relèvement sont intérieurs ; s’ils se tournent vers Dieu et s’ils écoutent la voix de
ceux qui, même dans les jours les plus som- •
bres, ont résisté aux puissances du mal, ils
pourront recouvrer leur place propre dans la
communauté mondiale. Les pays vainqueurs
ont beaucoup souffert eux aussi ; mais la victoire les charge d’une responsabilité nouvelle devant Dieu. 11 leur faut allier la charité
à la justice. Se venger de ses anciens ennemis soit en les privant de leurs moyens
d’existence, soit par des expulsions en masse de populations ou par tous autres moyens,
ne peut conduire qu’à de nouveaux désastres. 11 faut aux relations internationales un
commencement nouveau. Les nations ont
leur place propre dans le plan de Dieu, mais
l’égo’isme national est un péché contre le
aco
delle Missioni, collaborazione che dovrà essere più stretta, in particolare nel campo delle giovani Chiese d’Asia e d’Africa. Per,
quello che concerne il riavvicinamento interecclesiastico, il Consiglio ecumenico s’interesserà specialmente delle Chiese orto- j
dosse. !
Inoltre s’è deciso di formare una Commisr
sione per lo studio degli affari internazionali. |
Il Consiglio ha poi pubblicato un Messaggio che riproduciamo in prima pagina e quattro risoluzioni relative alla miseria in Europa e in Asia, al trasferimento di popolazioni. aH’antisemitisrpo e alla condizione degli
Israeliti, ai cristiani d’asCendenza ebraica. i
La nostra Chiesa Valdese che ha aderito i
a suo tempo al Consiglio ecumenico, vi è stata rappresentata dal suo Vice-Moderatore, pastore R. Nisbet.
A Ginevra l’unità della cattolicità non romana s’è rivelata vivente ed operante. Le decisioni prese avranno vaste risonanze e, con
1 aiuto di Dio, si riveleranno feconde di risultati in vista dell’azione della Chiesa nel
mondo R.
Créateur de tous les peuples,
grands. Aucune nation ne peut
dessein particulier de Dieu à son
par ailleurs, elle se refuse à collait
nement avec lès autres nations ei
membres d’une même famille. Il
mutuelle interdépendance entre F
cial et ¡’ordre international.
C’est pourquoi nous faisons
spécialement aux gouvernements
grandes puissances et leur demaji'
s’élever à la hauteur des resp
qu’ils portent. C’est en unissant
ces qu’ils ont gagné la guerre,
-demandons maintenant d’unir tous
"forts afin d’établir la justice,- de
la famine et de créer une comm
nations libres dans le monde. S’ils
tournent pas de leurs anciennes v
renoncent pas à s’appuyer sur leur
, sance, s’ils ne se soumettent pas à
vine de justice et d’amour, ils s’a
vers le désastre et la mort. «J’ai
vous la vie et la mort. Choisisse!
vie ». .
Le devoir incombe aux églises
nations à choisir }fe chemin de la
chrétiens sont appelés à être le sel
re et la lumière du monde. C)
qu’appartient le ministère de la
tion. C’est à eux aussi qu’il app
témoigner en paroles et en actes
de Dieu trouve son accomplisse:
l’amour du Christ. Nous appelons
disciples du Christ à faire tout c
en leur pouvoir pour soulager ceu
petits et
emplir le
Endroit si,
erer pleitatit que
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vie. Les
de la terst à eux
i'éconciliaîrtient de
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lent dans
toud^ les
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X qui en
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durent les terribles privations et souffrances
du temps présent et à travailler à l’établissement d’un ordre meilleur où les droits de
l’homme seront pleinement reconnus' et protégés. Nous avons cette confiance que les
églises le plus fortes, continueront à porter
secours aux Eglises des territoires libéré et
des pays éprouvés et que toutes auront à
cœur d’aider l’Eglise à accomplir sa mission
qui est d’annoncer l’Evangile-au monde entier- Nous demandons instamment à tous de
prier sans relâche pour le pardon des offenses, pour l’unité et pour une fraternité humaine véritable.
■ Quant à nous, nous rendons grâces à
Dieu de notre fraternité œcuménique en
Christ. Les années de guerre ont élargi et
approfondi notre communion et de par la
grâce de Dieu nous avons découvert à nouveau que c’est Lui qui nous fortifie dans la
communion universelle de Sa sainte Eglise.
Nous nous réjouissons d’avoir pu nous réunir à nouveau après les épreuves de ces
années et d’avoir pu constater que nos cœurs
étaient intimément liés les uns^aux autres par
l’amour du Christ. Nous attestons qu’en cette première session d’après-guerre, nous
nous sommes rencontrés et nous avons travaillé ensemble comme des frères, trouvant
en Christ une unité spirituelle qui trascendait nos différences. Nos cœurs sont heureux
et reconnaissants de cette expérience et
nous y voyons un gage d’espérance pour
l’humanité tout entière. Dieu nous a fait
connaître en cela le mystère de Sa volonté
qui est, lorsque les temps seront accomplis,
de réunir toutes choses en Christ. Il est
notre paix. En Lui se trouve la vie de l’humanité.
« J’ai mis devant vous la vie et la mort.
Choisissez donc la vie».
itisolntioii concernant
r antisémitisme
Le Comité provisoire du Conseil œcuménique des Eglises exprime son horreur de
la tragédie sans précédent qui s’ést abattue
sur le peuple juif, par suite de là tentative
nazi d’exterminer les juifs d’Europe et exprime sa sympathie sincère aux survivants
de cette tragédie, ainsi qu’à leùrs coreligionnaires dans le monde entier.
Le Comité prend acte avec reconnaissance du témoignage courageux de nom breux chrétiens qui n’hésitèrent pas à cou-,
rir de grands risques en protestant contre
l’antisémitisme et qui donnèrent abri à ses
victimes II reconnaît et déplore que les
Eglises n’aient pas su vaincre, dajis l’esprit
du Christ, ces éléments des relations humaines qui ont créé et contribuent (mcore au
maintien de ce mal qui menace aussi bien
les communautés Israélites que cHrétiennes,
C’est pourquoi le Comité lance un appel
pressant aux chrétiens du monde entier, les
invitant à combattre ce mal par tous les
moyens dont ils disposent et, plus spécialement, de la façon suivante :
a) en s’élevant contre le principe et l’application de l’antisémitisme en tanli que négation de l’esprit et des enseignmeiits de notre Seigneur;
h) en pourvoyant, pgi;tout où delà s’avère possible, aux besoins de ceux j^ui continuent à souffrir des conséquences d’une discrimination antisémite où de persécution ;
c) en accordant un aptpui à tous
entrepris en Vue de .trouver un lieu de ré
ceux qui
sidence aux juifs transférés ou à
n’ont plus la possibilité de rester Où ils sont
actuellement ;
d) en collaborant avec les israéjites dans
toutes les tentatives réciproques destinées à
supprimer les causes de frottemenf dans 'e.s
■/dations personnelles ou collective^ ;
e) en favorisant la compréhens
les efforts
bonne volonté entre chrétiens et isjaélites de
manière à ce qu’ils puissent rendre
un témoi
gnage commun aux obligations réiiultant de
la fraternité humaine et à leurs d
justice, à la vérité et à l’amour en
fondements d’uije société huma
conçue.
on et la
roits à la
tant que
ine bien
“C’est l’argent’’
L’uranio sta alla vita fisica come l’oro alla
vita spirituale. Dal primo si ricavano le
bombe atomiche, sulla ■ cui forza di distruzione tutti sono d’accordo, che ha qualche
cosa d’inumano, d’infernale, ma... le complesse esigenze della politica, la necessità
d’impedire la guerra, e ohe so io, fanno sì
che ognuno ne vorrebbe da solo il segreto.
Non per farne cattivo uso, s’intende, anzi,
proprio per farne il solo uso buono possibile : quello cioè a cui ognuno pensa quando
(cioè quasi sempre) inconsciamente (o consciamente) fa suo l’assioma di Gandolin : «.Al
mondo ci sono due opinioni : la mia e la falsa».
L’oro, tutti d’accordo, si sa, è una potenza demoniaca, è Mammona, è la morte del
sentimento, è 'a sorgente dei dissidi più violenti, delle inimicizie inconciliabili, degli
odii più freddi e crudeli, la causa degli assassinii, degli stermini!, della guerra: C'est
l'argent qui fait la guerre. E’ la forza più
tenebrosa e violenta che possa scardinare la
vita spirituale. — Ma... le esigenze della
vita quotidiana e della convivenza civile,
delle buone opere, della diffusiope delle sane
idee, della colitica, della propaganda, ecc.,
ecc., fanno si che tome per il segreto della
bomba atomica, ognuno vorrebbe averne il
monopolio o quanto meno una buona riserva.
S’intende ; anche in questo caso, per farne
un uso buono, il solo uso buono, quello che
ognuno pensa con Gandolin.
Eppure anche qui ci sono due scuole, o
due vie — e due sole. Come por la violenza;
perchè è una violenza potenziale : o la si usa
0 la si subisce. O l’oro è il cattivo padrone
0 è il buon servitore. L’oro buon padrone
non c’è : inutile cercarlo. Porlo come base di
un programma politico, magari come un’etica al suo soldo, servirsene come mezzo di
diffusione, per dirla eufemisticamente, è postulare incontrovertibilmente la negazione
dell’esigenza spirituale.
Pensare il contrario è illudersi, accettare
il contrario è farsi complice. G. a. C.
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E stato vitMinente apprezzato per la sua
obbiettiva serenità l’articolo del Vice-Moderatore R. Nisbet, sul n. 7 dell’Eco delle Val-'
U, concernente il trasierimento dei pastori.
Accolgo volentieri l’invito finale che egU rivolge ai lettori, per esprimere ilvniio punto
di vista, sperando che il problema sia discusso e trattato ancora su queste colonne.
A me pare che le ragioni esposte dal pastore Nisbet in favore di un avvicendamento dei pastori siano più che, sufficienti perchè un articolo chiaro e decisivo venga a
tale proposito inserito- nei nostri regolamenti, in sostituzione dell’art. Í7.
In sostanza lo spirito stesso dei nostri- R.O.
è per il ministerio di quattordici anni, e le
complicazioni che detto art. 17 introduce non
sono altro, a mio avviso, che un tentativo di
non dare forma categorica e inderogabile ad
una norma di vita ecclesiastica che dovrebbe
avere come suo unico e supremo regolamento V Evangelo.
- Tuttavia la chiarezza è necessaria : quando i parrocchiani di una comunità ed il loro
pastore sappiano ohe nessun cavillo di regolamento permetterà al conduttore spirituale di
rimanere più di quattordici anni nella stessa
sede, sono sicuro che la quistione sarebbe pacifica per tutti. E forse anche meno dolorosa
0 antipatica : in quanto che non si andrebbe
incontro a possibili delusioni per quei pastori 0 quelle comunità che ritengano di avere i
quattro quinti dei votanti favorevoli, mentre
tale percentuale non può essere raggiunta.
(A questo proposito mi par giusto osservare che accanto aH’inconveniente lamentato dal pastore Nisbei a! termine del suo articolo, ne vada annoverato un altro non meno
k
-iti
^^¿grave. cioè di quel gruppo di votanti che coi i!^stituisce non la maggioranza della parrocch a,
ma che supera il quinto bastante a boicottare la volontà dei rimanenti).
In breve, sono convinto della necessità
di un legilamento ben chiaro, che stabilisca
in modo inequivocabile l’avvicendamento dei
pastori al quattordicesimo armo. Ne trarrà
profitto la Chiesa in generale, ;ne godranno i
pastori, senza cotìtare che Sinodo e Tavola
non si troveranno di fronte a problemi aggrovigliati.
Mi piace inoltre notare come l’articolo già
citato del pastore Nisbet parte da un presupposto ' fondamentale : quello deU’autonothia
delle parrocchie, abolita la quale queste discussioni restatio inutili, Sono pure persuaso
a tale proposito che la commissione Sinodale
nominata «ad hoc» presenterà delle proposte sane e convenienti, e ■'•he il Sinjdo non
sarà costretto a prendere delle decisioni improvvise, e a dare alla luce dei regolamenti
che accusano 'a fretta e la noia. ,
La quistione deH’avvicendamento pastorale
non è tuttavia, secondo me, da risolversi con lo
scambio di idee nell’Bco 0 con qualche relazione sinodale : ritengo pertanto cosa utile
che tutti i membri di Chiesa ne siano debitamente^ informati e facciano udire la loro
voce. — A tale scopo in parrocchia potrebbe essere convocata g suo tempo l’assemblea
e presentato, preferibilmente da due laici,
il grave problema • dalla discussione e forse
da una votazione emergerà la volontà della
parròcchia, di cui saranno interpreti i delegati alle Conferenze Distrettuali e al Sinodo.
Augusto Hugon
0N AII DES ÏADD0IS
Le Pasteur GALLAND
Le service postal, enfin rétabli avec l’Amérique du Sud, nous a apporté la triste
nouvelle de la mort, datant du 3 novembre
1944, du pasteur Emmanuel Galland, de
l’Eglise Evangélique de langue française à
Buenos-Aires.
Je ne sais si une plume plus autorisée et
mieux qualifiée que la mienne a annoncé
dans nos journaux vaudois ce départ prématuré : il n’avait que 57 ans. Mais si lacune
il y a sur ce point, je sens qu’il est juste
de la combler en rappelant brièvement celui
qui a été un pasteur convaincu et dévoué à
sa vocation, un pionier de l’Evangile en
Amérique du Sud et un fidèle ami de l’Eglise vaudoise.
Lorsque, en 1931, je le rencontrai à Buenos-Aires, il était le représentant et la cheville ouvrière, en Amérique du Sud, de la
Fédération Universelle des Etudiants Chrétiens. Né à Lausanne où il avait fait ses
études à ia Faculté de Théologie de l’Eglise
Libre, il avait été empoigné par l’intérêt
pour l’oeuvre de John R. Mott parmi les étudiants du monde entier. Sur son invitation,
il avait abandonné la Suisse, à laquelle il
était si profondément attaché, pour s’établir
à Buenos-Aires et accomplir, de ce poste
central et important, un travail riche en résultats spirituels dans les milieux universitaires de l’Argentine, de l’Uruguay, du Chili et du Pérou. Toujours jeune d’esprit, généreux et entraînant, il se trouvait dans son
élément au nilieu des étudiants. 11 ne connaissait ni découragement ni fatigue; les
cours qu’ils rendait, les conférences qu’il
donnait, les séances auxquelles il prenait
part, tout ce travail enfin qui a laissé des
traces profondes et durables, il le faisait avec
enthousiasme car sa devise et sa préoccupation de tous les iours se résumaient en un
mot ; servir.
Mais il lui restait un regret ; une œuvre
manquait, à la réalisation de laquelle il se
voua avec son énergie et son élan habituels.
Il n’y avait pas d’église organisée pour les
protestants de langue française *- Français,
Suisses, Belges et Vaudois — établis à Buenos-Aires et dans les environs de la grande
métropole argentine. Il se met au travail intéresse à la qjiestion ses amis de Suisse et
de France, s’assure sans difficulté de l’appui
de nos pasteurs vaudois de l’Argentine et de
l’Uruguay et bientôt, sous sa direction spirituelle, est constituée l’Eglise Evangélique
de langue française.
Des protestants de passage et surtout nos
pasteurs vaudois eurent dès lors, grâce à
lui, l’occasion de nous donner d’excellents
cultes, et c’est avec reconnaissance que je
rappelle quelques noms: André Siegfried,
professeur à la Sorbonne. Ernest Tron, de
Colonia Valdense, Silvio Long, de Jacinto
Arauz et d’autres encore.
Admirablement secondé par Madame Galland dans ses différentes activités, il avait
trouvé en elle la vraie femme de pasteur.
comme lui active et consacrée au service du
Maître; leur maison hospitalière était ouver.tes à leurs nombreux visiteurs, notre petite
chorale s’y réunissait et/y trouvait toujours
un accueil chaleureux. La loyale poignée de
maift, le sourire cordial d’Emmanuel Galland, sa parole toujours élevée et fortifiante faisaient de lui un- ami précieux et un
hôte des plus sympathiques.
Pendant les vacances d’été Monsieur et
Madame Galland avec leur charmante famille (les deux fils ont probablement suivi leur
père dans la carrière pastorale) se rendaient
à Colonia Valdense, et dans ce milieu évangélique et amical, ils aimaient à se retrouver et à se reposer.
Emmanuel Galland se ralliait à l’Eglise
Vaudoise dans laquelle il copjptait beaucoup
d’amis et de connaissances. C’est à ce titre
spécial que je suis heureux, moi modeste
membre du troupeau, de rendre à sa mémoire un fervent témoignage de reconnaissance
et d’affection. La journée terrestre a été
biem remplie et noblement vécue ; de profonds regrets accompagnent son départ, mais
nous qui l’avons connu de près, qui l’avons
apprécié comme il le méritait, nous disons
que son souvenir restera tgès vivant en nous,
car il a ete en bénédiction pour plusieurs.
Gustave Cougn, ingénieur.
F. U. V.
I
GRUPPO VALLI
CONVEGNI GENERALI
Domenica 17 marzo - POMA RETTO - ore 15
A. Gir.ardet : Le témmgnaye de la ieungsse.
Domenica 2i marzo - TORRE PELLICE ore 15 :
A. Glrardet: La fot de la jeunesse réformée.
I di.scorsì tiel nostro fratello svizzero saranno preceduti da brevi studi in italiano
di nostri Unionisti e seguiti da giochi e
canti.
1“ GIORNATA DEI RESPONSABILI
Pinerolo, 19 marzo
Tutti gli Unionisti membri dei Seggi, e
tutti quelli che iranno un incarico regolare
nella loro Unione, sono attesi a Pinerolo dall’Amnónier cantonal A. Girardel e dal Comitato di Gruppo.
Nessun responsabile si privi della gioia e
delle benedizioni di questa giornata.
A Dio piacendo, queste ire manifestazioni
avranno luogo cor), qualunque tempo.
Ricordiamo i culti che avranno luogo con
l’intervento del pastore Girardel:
Domenica 17 ni Chiotti, alle ore 10,30.
Domenica 24 a Lu.serna 8. Giovaiini, alle
ore 10,30.
Tanto ai Convegni quanto alla riunione
dei respon.sabili, i giovani sono pregati di
portare gli Innari italiano e francese nonché i Canti giovanili;
UFFICIO RECTTE
DiFFrn*
Questo Ufficio ha, nel repertorio che mette a disposizione (Ielle Unioni federate, le
opere drammatiche complete della rimpianta .scrittrice- di cose valdesi, Èva Lecomtc
(autrice, fra l’altro, del famoso Mugmiio di
Cantarana e della Fidanzata di Cucurne).
Ora, a scanso di ogni equivoco, rUfflcio
Recita della FiU.V. avverse chi vi possa comunque avere interesse ;
I 1) che con lettera in data .15-.agosto 1941,
I la sigjiqia Èva Lecomte.;cedeva 1 manoscntI li dej SUOI lavori drammatici aH’Ufflcio Recite della F U.V ; e pertanto, chi detenesse
alcuni di quei manoscritti (che per circostanze indipendenti dalla volontà della donatrice
non poterono essere consegnati all’U.R ), li
detiene in qualità di depositano e non di possessore o proprietario.
2) Che le versioni in italiano di dette produzioni drammatiche sono unicamente quelle appresso segnate. L’Ufficio Recite vieta
che ne siano fatte altre traduzioni. Eventuali altre traduzioni verranno contestate. .
Elenco delle traduzioni :
La Fidanzata di Cucuruc : Nella Pons.
Suor Adelina: Teodoro Raima.
Giovanna di Carignano: Teodoro Raima. '
Il Mugnaio di Cantarana : Teodoro Raima.
Un’altra traduzione della Fidanzata di Cucuruc, anteriore alle versioni predisposte a
cura-della E.U.V., fu. dichiarata dalla stessa autrice (nella lettera sopra menzionata)
versione non ufficiale, e pertanto deve in-.
tendersi come inautentica.
3) Cmi la lettera sopra citata, la signora
Èva Lecomte cedeva ogni eventuale diritto
d’autore, la proprietà risei-vata per stampa,
rappresentazione, e diffusione a mezzo radio, aU’Uffìcio Recita della F.U.V. Si dividano, dunque coloro che volessero provvedere a diffondere copie, anche dattiloscritte,
del repertorio drammatico Lecomte, con l’avvertenza che le copie autentiche sono contrassegnate dal timbro deU’Uffìcio Recite.
fi Gerente delVU.R.
DALLA SVIZZERA
Il 26 tehbraio St. LoUp h'a ricevuto la visita del signor Nisbet, Direttore della Casa
Valdese delle Diaconesse.
Nel presentarlo alle Suore il Direttore di
St. Loup signor Reguin ha rilevato il fatto
che sono trascorsi esattamente 100 anni da
quando le prime Suore di St. Loup sono
giunte all’Ospedale di Torre Pellice per ¡prestarvi la loro opera di carità.
Abbiamo ascoltato con gioia e con simpatia il commovente messaggio che M signor
Nisbet ci ha portato. Attraverso queste righe vogliamo esprimere la nostra ammirazione per lo spirito coraggioso che anima il
popolo Valdese, per la sua ferma volontà di
ricostruire tutto quanto è stato distrutto, con
l’aiuto di Dio e per la Sua gloria.
Lucietta Tenger
CRINACA VALDESE
— Sabato 2 c. m. nei Tempio del Serre si
sono uniti in matrimonio Amoul Renato
(Rertots) ed Amoul Lea (Ruonanotte). Il Signore benedica e santifichi questo nuovo focolare.
.“ Lunedì il c. m. abbiamo deposto nel
cimitero di San Lorenzo la spoglia mortale
della nostra sorella Buffa Lidia ved. Coisson
deceduta un mese dopo la dipartenza di suo
marito Coisson Giovanni Davide, a Martinail, alla età di anni 80.
Sui figliuoli afflitti dalia dipartenza dei loro amati genitori, sui parenti tutti invochiamo le consolazioni del Padre mentre esprimiamo loro la nostra fraterna simpatia.
e. a.
IPvcB na «»11«»
Vìsita di Cl^iesa. - Il Vice Moderatore
jiastore R. Nishe-t, ha effettuato la visita tifficial(3 di Chiesa verso la fine di gennaio.
1,0 ringraziamo per j- suoi edificanti mesal culto nel tempio e in due riunioni
rpiartierali, alla scuola domenicale ed ai caIpfiimeni.
— Decesso. - Dopo acute sofferenze ci ha
lasciato per la Patria Celeste il nostro fratello Federico Peyronel dei Tournim, di anni G8. Lo ricordiamo come nomo profondamente affezionato alla sua Chiesa, come anziano fedele del suo quartiere, e doinandiamo al Signore di consolare i familiari afHitti.
— Battesimi. - E’ stato amministrato il
S. Rattesinio a Aldo Plaran di Giovanni e
(li Sonlier Elsa (Porneano); ed a Alberto Ribel di Ferdinando e di Ricca Olga (Bocchiardi).
V’oglia Iddic) benedire abbondantemente
questi bambini, ed aiutare i genitori, padrini e madrine a mantenere i loro impegni
con fedeltà.
— XVII febbraio. - Abbiamo celebrato con
gioia la bella festa valdese del 17 febbraio. Già la vigilia numerosi falò' si accendeva^
f no sulle alture della parrocchia. Indi il
gionio- stesso del 17, si ebbe il culto soknne
con larghissima partecipazione di pubblico
attento e raccolto, in cui vennero ricorclati
i privilegi e le liberazioni accordati nei secoli ed Oggi alla iiostra Chiesa, e perciò ,la
r(isponsabilità diretta di ogni valdese degno
di quel nome. E fu posto l’accento sul fatto
('he se Dio,' nella Sua grazia, ci ha favoriti
in passato è perchè ci aveva assegnato il
compito preciso e glorioso di essere <(lux
iri fetiebris»; ed è lo stesso compito che oggi ancora spetta alla nostra piccola Chiesa :
(piello della evangelizzazione, per cui 11 Signore stesso ci lascia <( una porta aperta che
nessuno può chiudere », e che non sarà chiusa se non dal Signore stesso nel caso di infedeltà e di rinnegamento da parte nostra.
Nel corso di questo culto, alla cui solennità ha contributo la Corale che ha eseguito
magistralmente due bei cori, ed i bambini
della scuola domenicale preparati dalia signorina Sommani, si è concluso col (¡Giuro di Sihaud» captalo .con fervore da tutta
quanta Tassembleà.
AH’useita dal tempio è stato largamente
distribuito l’opuscoio commemorativo preparato dalla Società di Studi Valdesi,
mezzogiorno una novantina di persone
partecipavano all’agape Tratema, nttimamento preparata' e servita dall’albergatore
^ locale. »
„ Ed infine la sera un iiumeioso pubblico
'■ 'gremiva sim? aU’inveraòlmile la sala delh
attività per assistere alla tradizionale riunione tarniliare. Un lungo programma di
lecite preparate dagli Unionisti fu vivamente applaudito. La serata, riuscita molto bene grazie alla valentia degli artisti e della
Corale che vi partecipo eseguendo alcuni
bei capti, venne ripetuta la domenica 24
‘febbraio. ,
' l^in«»«»!«» '
— Il 28 febbraio scorso si svolsero i funerali del nostro fratello Pons Giacomo Enrico, usciere durante lunghi anni negli uffici
municipali della uo"tr‘ Cuti. Rinnoviamo
Tespressione delia i ostra smpatia cristiana
alla vedova eia congiunti dell’Estinto.
Domenica 3 c. m.. al culto principale il
signor Riccai’d T rm dCCDmpagnato al1 organo dalls «ignorma AU Ressone, ha
eseguito sul viulimceiio alcuni pezzi di musica sacra. Ai vaiume vioionceliista rinnoviamo 1 nostri vivi ringraziamenti per il suo
apprezzato apporto alla solennità e alla edificazione del nostro culto.
»■T giovane fratello Arnaldo Gar
diol delle Combe, prigioniero di guerra negli
Stati Uniti, e rientrato ultimamente in seno alla sua famiglia. A lui.il nostro benvenuto. Facciamo i migliori voti affinchè l’umeo nostro fratello ancora da rimpatriare,
Aldo PastK di S. Secondo, possa essere ben
presto restituito anche lui aU’affetto delia
sua famiglia.
Domenica 10 c. m., il pastore Arnaldo
Cornba, presidente della C. I. O. V., ha presieduto il nostro culto principale e ha perorato la (?ausa dei nostri Istituti di beneficenza. Gh rinnoviamo i nostri vivi ringraziamenti pel suo vibrante messaggio.
— 1 due ■fratelli Genre da Pomaretto, caduti sotto il piombo tedesco lo scorso anno
nelle vicinanze della nostra città fmoiio
commemorati dal nostro pastore nel pomeriggio di doineiiica 10 c. m. Presenziarono
alla mesta funzione i genitori e i congiunti
dei due caduti, le Associazioni Giovanili di
Ppmaretto e di Pinerolo e un discreto pubblico. Pronunciar()no allocuzioni i! Comm.
Risso, Sindaco di Pinerolo e i pa rtigiani
Favont e Cotta-Morandini.
Villa* l»elli«;«»
iTT Atwom focolari. - Abbiamo celebrato
ultimamente, nel nostro tempio due matrimoni: Gönnet Davide fu Davide del Sarei e
Rei fon Caterina di Giuseppe dei Garin il 2
marzo; e Randazzo Francesco di Antonio
da Catania e Geymonat Anna Maria di Paolo il 9 marzo.
Il Signore sia l’ospite sempre desiderato
di questi focolari,
— Dipartenze. - Il 27 febbraio, dopo breve
malattia è stato richiamato dal Signore il
nostro fratello Giuseppe- Enrico Fontana del
Ciarmis, in età di 77 anni. Egli è partito serenamente, dopo aver avuto la consolazione
di poter riabbracciare i suoi due figliuoli
entrambi reduci da lungo internamento in
Germania.
Il 1" marzo era uno dei nostri più piccoli che il Sigriore riprendeva a Sè. Il bimbo
Eugenio Davit, di Alberto, dei Garnier, dipartitosi dai suoi genitori e dai suoi 10 fratellini, in età di 7 mesi.
E il 9 marzo un vegliardo ancora la.sciava
quasi improvvisamente la sua cnmpagna c
i suoi figliuoli : il nostro fraieilo settantenne Alessandro Rostagni di San Giovanni,
stabilito recentemente al Cairus con la sua
compagna Caterina Roux.
Alle famiglie in lutto ridiciamo le nostre
fraterne partecipazioni al loro dolore e alla
loro cristiana speranza. j.
Alberto Ricca: Direttore
Au.'orizzazione N. P 356 dell’A.P.B.
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Il 5 marzo, a Rorà, dopo non brevi sofferenze, si è
oddormentata nel Signore, nel suo 82" anno di età
RM RISI VER. iRlIRRIOT
La famiglia ne dà il triste annunzio e, nell'impossibilità di tarlo personalmerite, ringrazia ed esprime
ia sua riconoscenza ai pastore signor Geymet e signora,
e a tutti coloro che in qualsiasi modo si sono adoperati nella luttuosa circostanza.
La famiglia VICINO, con i congiunti, ringrazia sentitamente quanti direttamente o con scritti presero parte
al suo dolore, per la dipartenza per la Patria Celeste
della diletta sorella e zia
ELISA
Ringrazia in special modo le diaconesse e l'infermiera del Rifugio Carlo Alberto per le amorevoli cure, ed
il pastore Sig. Rivoira per le sue parole di conforto,
l.userna S. Giovanni, 6 febbraio 1946.
La famiglia della compianta signora
BUFFA LIDIA ved. GOISSBH DAVIDE
ringrazia, vivamente commossa, tutte le numerose .persone che In qualsiasi motto hanno preso parte al suo
grande dolore.
Angrogna, 11 marzo 1946.
PER LA CASA BALNEARE VALDESE
DI BORG/0 VEREZ7A
cercansi iugHo-settembre due cameriere, una cuoca e
una donna aiuto cuoca. Inviare domanda entro 11 15
aprile p. v., indicando capacità, referenze e pretese,
ai signor Alberto Peyrot, Via Milano, 10 - Torino.
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