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' Anno LXXIX
If ' TORRE
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Freno Llf« 15
IGE, 3 Settembre 1949
Abbonamento: Lire 500 per l’Interno: Lire 900 per l’estero
Amministrazione; Claudiana t Torre Penice -C.C.P 2/17667
Spedizione in abbonamento postale - i.Gruppo
DELLE
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Culti del k Settembre
yìHiriarxìo in modo particolare, fin d'ora, iallenZione dei nostri lettori sul culto della donjenica mattina
4 SeRembre. ^utte le varrocchie delle Valli avranno,
per disposizione della favola Valdese, il privilegio di
udire lo voce di un pastore di quello che cì\iamiamo « il
campo di evangelizzazione'». So raccomandiamo in modo tutto speciale alle preghiere dei membri delle nostre
comunità,
Robbie pel lice: l{ivoira Sorenzo; Villar pellice: Jtlessio
Jilfonso; Zorre pellice : Culto €cumenico; T{orà : l{icciarài j7lberto; ^Ingrogna S. Sorenzo: Jahier Roberto; ^ingrogna ^erre.’Scarinci Giuseppe; San Giovanni:
Vinay Valdo; Prarostino : T{ivoir Quido; pinerolo: T(ibet yilberto; Coazze: Zourn Cipriano; San fermano:
Castiglione Giuseppe; pramollo: Panasela p. Valdo;
pomaretto: Colucci Seiffredo; Villasecca: peyronel
Oreste; perrero: Comba T(oberìo; pfasseÌlo: Qirardet
Qorgio; \odoretto: peyrot Giovanni; prali: Cielo pavide; Zorino Corso Vittorio: f/ioreschini Jvtariano; dorino Corso Oddone: Jvfiscia Jintonio ; Ciabas: Cor sa ni
Cmilio.
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Siate facitori della^'patòlà e non solo
%^yditori
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L’Evangelo: OGGI
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dant.'le digne chev, Crotti de Costigliole, qui lui remit la décret royal du
27. février, regardant les quelques don- \ '
cessions accordées par le ■* Gouverne,- ^ î?*
ment aux Vaudoîs.i , “->V*<
''A‘1 Intendant Crotti le’pasteisr Pey-\
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Tre grandi adùrmte evmgelistiche si terranno durante il
sinodale. AmuinzÌ4anò /in d’ora che avranno luogo a; Torre Pellice,
sabato 3 settembre, alle ore 21, presiederà, il presidente del Sinodo; Pomaretto, (Eiciassie), Domenica 4' settembre, alle ore 15, presiederà il Vice Moderatore dott. E. Eynard; Lusèrna Sap Giovanni,
Domtniea 4 settembre, alle oro 21: presiederà sovrintendente
(loti. A'. Riboi. :'*v . « .. .
ran témoigna du reste
profonde estime’ et unreconnaissant ^
vJ souvenir, parce-gu.’il avait la persuasion que c’était surtout grâce à sa bienveillance et à son intérêt que les pà-,
steurs vaudois purent enfin recevoir,
vers la fin de septembre dé cette mê-'^’î ^
'•me année 1816, «’comme témoignage
de la bonté paternelle et de la justice >
' du Roi, un subside de 400 francs pour
subvenir à leurs besoins^ les plus ur■’ gents ».
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John Quincy Adarnsi^.U sesto Presidente degli Stati Uniti d’America
dichiarò : a Ci sono due preghiere
che ricordo e preferisco ; la prima
è la preghiera del. rutstro Signore,
perchè è Ìjuì che ce Pha insegnata;
raltra è quella clièmiiha insegnato
mia madre quando -ero fanciullo :
« Adesso vado a dormire; custodisci
tu Vanima mia, o Signore- Quando)
domani mattina mi sveglierò,'‘•fammi
prendere subito la via dell’amore.
Amen ». A quest’ultima preghiera
aggiungo ora queste parolei « Te lo
chiedo nel nome di Gesù n, per esprìmere la rnia fede in Lui e anche
per far sapere che ciò ohe chiedo lo
chiedo come un fuvor.e e non perchè
lo merito
UN PASTEUR DE JADIS
Dans un artiole paru il y a un peu plus
d’un an, sur h la vie pastorale au commencement du XIX siècle », nous avons
essavé d esquisser brièvement [activité multiple de Ferd nand Peyran, un
des ministres des Vallées les plus actifs de la période qui comprend le premier quart du siècle passé.
Nous avons vu son activité pastorale, son travail d'instructeur et d’éducateur au sein de sa famille, ses fréquents voyages pour les intérêts généraux et particuliers des Eglises vaudoises, et même son activité rurale
pendant les longues et difficiles années des guerres' napoléoniennes, où
rien n’arrivait du dehors et les pasteurs
devaient, bon gré, mal gré, s évertuer à travailler leur lopin de terre
pour pourvoir le pain quotidien à leurs
enfants.
Aujourd’hui nous désirons ajouter
quelques détails qui nous paraissent
tout autre qu'inutiles, pour mieux connaître quelques unes de ses qualités
K et pour mieux comprendre les mérites de ces pasteurs <( ancien régime »,
entièrement consacrés à leur tâche,
malgré l’âpreté de l’epoque où ils vécurent.
Celui-ci avait été, ajoute M. Peyran
dans ses mémoires. « du nombre des
14 patriotes fugitifs que j’ai eu chez
moi quelques jours dans le temps des
désastres » ■ c’est-à-d*re en 1799, à l’époque où le Gouvernement avait dû
précipitemment abandonner Turin et
passer en France par les cols les plus
rapprochés, pour se soustraire aux
Austro-russes qui avaient, pendant la
campagne d’Egypte, occupé tous les
territoires italiens que Napoléon venait de conquérir pendant et après sa
campagne de 1796.
neille pour son tour de prêche, pendant
la vacance de l’Eglise à la suite de la
mort prématurée de son pasteur, J. D.
Ollvet. Il se -rendit ensuite à Massel,
en compagnie de l’ancien de 'Chabrans,
Abraham Micol, pour y prêcher le même dimanche. Après quoi, il se rendit
à dîner chez le curé, un Balcet, qui
raccompagna ensuite jusqu’à Maneille, où il s’arrêta un moment à la cure, ■
pour descendre un peu plus tard au
Périer, à l’entrée de la nuit.
.et à deux curés
Visite à un patriote.
Parmi les qualités de Ferd. Peyran
que nous aimons mettre en évidence,
il y a celle de la tolérance et de l’ouverture d’esprit ; qualités qui ne sont
pas généralement répandues dans les
milieux restreints, et que l’on désirerait être plus communes dans tous les
domaines, même aujourd’hui.
En effet, le jeudi 15 mars 1810, après avoir accompagné jusqu’à la Por*
portata son fils Gustave Adolphe qui
repartait pour la Suisse, (d’où il était
venu le 15 janvier pour « satisfaire à
la conscription »). M. tPeyran se rendait, avec M. Andreoli, marchand de
Pignerol, à Macello, pour y faire visite à un M. Barbera, médecin et maire
de cette commune, « qui nous reçut
très amicalement ».
Nos deux visiteurs étaient revenus
coucher à Pignerol et le jour après avaient été dîner chez M le curé de la
Chapelle appelée de S.t Louis, à michemin entre Pignerol et Macello,
« qui nous a traités fort honnêtement
et qui m’a surpris en me montrant un
catéchisme d'Osterwald, un livre de
prières et un autre; il m a dit qu il
s’est servi du second dans les visites
de quelques malades ».
Et le tolérant pasieur de conclure avec bonhomie : « nos livres ne sont donc
pas damnés, puisqu’ils sont tirés des
Ecritures Saintes ».
Un an plus tard, le samedi 13 avril
1811, ce même curé de la Chapelle
de S.t I^uis, qui s’appelait Michel
Ricolfi, en compagnie du vicaire de
S.t Germain, monta jusqu’à Pramol
rendre visite à notre pasteur, auquel il
demande, en s’en allant, un « bénitier
en marbre blanc » qui se trouvait dans
la cure, devenue la maison du pasteur.
Lequel acquiesça volontier à sa demande et lui fit remettre le bénitier à
Pignei'ol chez l’apotioaire Constantin, à côté de l’Auberge de l'Ours. Le
tout fu accordé « gracieusement, ajoute M. Peyran, n’étant d’aucun usage
pour moi ».
Quelques années après, le 16 mars
1814, Ferdinand Peyran montait à Ma
Imaginerait-on aujourd'hui dans nos
Vallées, un pasteur et un prêtre échangeant gentillesse, . s’invitant réciproquement à dîner et cherchant de moitre en pratique l’enseignement de Jésus qui dit « si quelqu 'un te demande
de faire une lieue avec lui, fais-en
deux »? Ou est-ce simplement les occasions qui manquent?
de séjour. Il dut en effet s’arrêter quelque temps à Turin, à cause du protocole royal dont on n’était pas au courant aux Vallées; l’audience fut accordée aux délégués vaudois, sans que
toutefois il en soit restée une documentation officielle.
Le synode de deux ans plus tard, qui
se tint à S.t Germain le mois d’août
1823, n’oublie pas de décider qu’à l’occasion du jour solennel du jeûne, d’humiliation et d’action de grâces fixé, « on
supplierait l’Etre Suprême de bénir la
personne sacrée lu roi Charles Félix,
de rendre son règne long et prospère,
etc,. ».
Contacts
avec les autorités
Députations officielles
Le tact et les capacité du pasteur de
Pramol le firent maintes fois choisir
pour participer à plusieurs députations.
En 1814 il fut en effet choisi comme
représentant des Vallées de Pérouse
et de S.t Martin, avec M.r Vertu, la’ique, en qualité de représentant du val
Luserne, pour aller jusqu'à Gêne, afin
d’y attendre S. E. Lord Benfhick, commendant en Chef des forces de S. M.
Britannique dans la Méditerrannée, qui
venait pour rétablir sur le trône le roi
Victor Emmanuel I.
Le voyage avec le séjour à Gêne
dura dix jours ; mais les deux députés
ne purent avoir l’audience qu’ils demandaient et qui fut renvoyée quatre
fois sans aucun résultat positif.
Une deuxième fois notre pasteur fut
nommé représentant des Vaudois et
envoyé, avec deux de ses collègues et
un laïque, à Turin, pour y être reçu
par S. M. le roi Charles Félix, le mo’s
de novembre 1821, et Ini rendre les
hommages de la population vaudoise.
11 partit de Pignerol le 5 novembre,
fourni de 55 francs et 11 sous, pour
les frais de voyage, de députation et
Ferdinand Peyran sut aussi, toutes
les fois que l’occasion s’en présenta,
Se mettre en contact avec les personnes en autorité : soit avec les membres
du Gouvernement, soit avec les personnes du dehors. A ce sujet on pourrait affirmer qu’il mériterait notre gratitude par le seul fait qu’il fut le premier à intéresser le révérend Gilly aux
'Vallées, en écrivant une lettre à Londres, à la Société pour la propagande
des connaissances chrétiennes, dans
laquelle il pérorait la cause des Vaudois et donnait des détails sur leur vie
religieuse et sur leurs besoins les plus
urgents.
Pendant ses nombreux voyages à
Turin, pour y retirer, au nom de toutes les Eglises, les subsides de la Hollande et de l’Angleterre, il s’efforça
d’être toujours, d’une quelque façon,
utiles à ses frères. Ainsi en mars 1816,
il se fit introduire chez le chev. Borgarelli, ministre de l’Intérieur, qui le
reçut très gracieusement et qui lui jparla de l'audienée royale que les Vaudois attendaient avec une certaine impatience, et qui fut accordée pour le
29 du même mois.
De retour à Pignerol, il profita d’un
peu de temps à sa disposition, pour
faire encore une visite à M.r l’Inten
^ sVoyage° en^Suiss#
Vers la fin^de cette même année, à
l’occasion d’un voyage en Suisse, ^où
il conduisit trois étudiants Uu'val Bal- '
sille à leurs études, il en profita pour
intéresser une dame anglaise, Greaves, chez laquelle il se trouva un'jour,
aux Vallées et à la' Société de là Bi- ble et à celle' des-Traités, de laquelle
il fut le premier président. ' Mais surtout il sut plaider «L^chaudement et avec
impartialité » la cause des ?- étudiants
qu’il avait accompagnés afin qu’ils
eussent part aux pensions accordées
par les LL.-CC. EE. et par ceux de
Lausanne et de Genève. La chose était
tou autre que facile, car les pasteurs
du val Luserne (jalousie de clocher,
hélas! que l’on voit poindre de temps
erî temps, dans les «actes des synodes
des Eglises vaudoises» des deux derniers siècles avaient écrit contre l’envoi
en Suisse de oes trois étudiants du val
S.t Martin et iPérouse; quoique depuis
1784 aucun élève du val S.t Martin
n’y avait été reçu, à l’exception du fils
aîné du pasteur de Pramol qui comptait co'mme du val Pérouse. Mais Ferdinand Peyran pérora avec ferveur leurs
droits, en observant entr’autre que
plusieurs de la vallée de Luserne, qui
avaient profilés pour leurs études des
pensions en question, s’étalent ensuite
refusés de servir les Eglises Vaudoises
des Vallées et s’étaient rendus à l’étranger pour y chercher fortune, comme les Brez, les Ck)mbe, les Geymonat.
Et, grâce à sa persévérance et surtout à ses justes raisons, les droits de
la vallée de S.t Martin furent reconnus.
C’est sur cette note de justice et de
lutte contre les privilèges que nous
aimons terminer ces quelques données
biographiques sur le pasteur de Pramol. 11 avait cherché de marcher sur
les traces le son père — le pasteur
Jacques — qui avait déjà voulu mieux
distribuer, pendant le synode des Clos
de 1785 (sans malheureusement y réussir, car l’Assemblée « avait été partagée dans ses sentiments à cet égard »,
mieux distribuer les bourses auprès des
Académies de la Suisse, en grande majorité presque toujours affectées à des
étudiants originaires de la vallée de
Luserne.
Ferdinand Peyran mourut à Pramol,
le 26 avril 1822, après une longue et
douloureuse maladie, à l’âge de 62 ans.
Il était de haute taille et portait la barbe : il avait les cheveux chatain obscur,
les yeux noirs, le nez long, un menton
gros et le visage oblong.
Son esprit de tolérance, d’humilité et
d’amour fraternel, sa soîf de justice et
son amour du pays natal, méritaient,
nous semble-t-il, d’être rappelés à notre souvenir. T. J. P.
2
í^:
dernières heures du 2S juin. 1949 lu derrière terrestre du fm^etvr émérit¿. M, Henri Beau est arrivée à terme. Il se trouuaii dúo»
^ 82.me Blinde. i [ ^
à Colima yéldense (Ur^my) le'è notKtmèr« 1861, il,était le
prepêier p^eùr vaudoia originaire des oolsïnù&^ ï’A’mériqua du Sud.
Il étè^ très jeune quand am père mourut d’ud aiacident en truvuiUmità
dans un puits. '......... ;t
Sa .mère, Marie Beux, née'Lottg, était connue à ColoüiiOi VaJdlaaii^
comme a magna Maria ». Mtdgré les conditions matérielLes diffieiles
dans lesquelles elle $e trouvait avec sa famille, elle uoulut offrir à souj
fUs la possibilité de développa ses dons d'intelligence et de caroetère..
Ne jMUvtmt pfu le faire étud^ en Uruguay, faute d'institutuons convenables, elle suivit les conseils du pasteur Daaiel Armand Vgou dm jQo4
-;Aatüa Valdense et envoya son fils qui n^avmt pas eaeore douze ans,
r étudier en Italie. Il fit soa'myage accompagné par M. François Cmthier, up. Ofilon qui faisait un voyage d’agrémeat aux Vallées.
Le jeune étudiam. s’établit au Eornaret chez M. Philippe Peyrat,
rruûtre d'école, et fréquenta les trois cours de l'école Ustiae que dirii
geait alors le pasteur Jean Daniel Rivoir.
Il se traniféra ensuite à la Tour pour suivre les cours du gympe se
supérieur et du Irycée, en Logeant chez l'aoPieu Erache des Jourdaaois.
Il se fit remarquer ùoa seulement pour sa düigeanoe dans l’étude, mais
ausñ pour ses qualités d'excellent alpiniste^et nageur} deux fois il
sauva un de ses compagnons,, le futur Ùoct, David B^ir, qui était sur
le point de se noyer.
Après le Lycée, U. fréquenta la Faculté de Théologie qui dégeaii
alors à Florence. C’est ici qu’il reodomra parmi ses compagnons d’études, le prof. Henri Pons, futur directeur du Lycée de ûoloaiu Valdeuse,
le prof. Jeau Boistoffio, le ¡»-cf- Edouard Lcmgo, le pasteur Antpvtei
Rostan et le pasteur Paul Davit, qui vint limite travailler dans le District du Rio de La Plata. “
Pendant deux ans il fréquenta la Faculté de théologie de Berlin,
en jouissant de Ut bourse d’èUtde que les rois de Prusse avaient instituée pour les étudiants eü théologie vtundois; il ptuvinL à pprler coirectement Viudîen, le français, et ^allemand, sans compter, naturellement, l’espagnol . '
Il retourna de nouveau aux Vallées pour y accomplir l'année d'épreuve en trmxàllaat comme ooadjuietir du pasteur du Pomaret. Le 8
septembre 1894 pendant un culte présidé par le prêteur Quattriai daos
le temple de la Tour il fut consacré au saint Ministère ar¿ec Ptaü Davit
e Joseph Banchetti. '
LE pasteur HENRI BEUX (ó novembre 1867 - 28 juin 1949)
Peu de jours après arrivmt aux Vallées le Dr. Mathieu Prêchât qui
retoumaU <Fun voyage dans l’Amérique du Sud. Une de ses premièreé
décidons fut d’envoyer à Coloala Belgrano (Prou- de Saute Fe, Argentinéf le jeune pasteur. Celui-ci pœtait peur VUruguay quelques semai-'
nés après en se payant lui même le rzoyage. En andvaat m'Amériepte
il put embrasser sa mère et ses deux frères après une absdahe de plus
que quinze ans. Au mois de mars de l'armée 1895 le pastem Beux arriva
à Colonia Belgrano où il consPattnt avec étonnement que Us langue plus
commune était le piemontais. Non seulement parmi les desarndeut^ de
piémontais, mais parmi aiOisi les fils d’émigrants suisses op. aileinaadsi
En décembre 1898 le pasteur Beux s’unissait en mariage m/ee M.ile
Madeleine Long, fille du mmtre tPécole M. G. Long ,qu’ü avait coami
à Pramol axant qu’il tienne en Amérique avec toute sa famille.
Le ministère du pasteur Beux à Colonia Belgaao dura 27 ans. Il
fut ensuite pasteur à Cosmopclita pendant 16 ans, et se retira du service actif le l.er mai 1938. En étant à Belgrano U visita plusieurs fois
les familles vaudoises dispersées dans les immenses plaines da l’Argentine du Nord. Il eut souvent l’occasion, de prêcher eu français eî en
allemanid aux calons d’origne française, suisse ou allemande.
Il fut plusieurs fois président de la Commission exécutive du sixième District. En 1926 il [fonda avec le pasteur G. Rivoir et M. Auguste Rével, la <t Sotdété sudaméricaiac d’histoire vaudoise » dont il
fut le président hpiwrdre. Il fut l’auteur d’une gramie partie des Bulletins et opuscules de cette Société.
Son activité littéraire se manifesta en outre par- ds nombreux articles sur le « Mensajero valdense » et par plusieurs ouvregez de traduction. Nous rappelons sa traductiou en esjHignol de morceaux choisis
de Calvin et celle du Commentaire du N. Testament de Rochedieu-,
Il retourna ew. Italie seulement une fois, en 1924.
Après son éméritation U ne cessa pas de travailler. Quand le pa-^
steur était absent c’&ait à M. Beux qu’on demandait de diriger le culte
en froncis qu’oh: célèbre périodiquement à C. Cosatopolita qui est la
seule paroisse qm ait gardé cette tradition.
Quand à moi je garde un souvenir ému de ce vénérable vieillard qui
fut mon mtâtre.*de Us langue esp!:^tole et qui avec pat-ietwe carrig'mid
les rmotuscrits des premiers sermons que je dus prononcer en cette langue.
Avec un effort remarquable le pasteur Reux voulut assister au
culte de consécration au saint Ministère de M. Charles Albert Griot et
de celui qui écrit oes lignes. Ce culte eut lieu à Colonia Vddetisel <ui
commencement du mois de mars: ensuite le poster Beux ne sortit
plus de chez lui et contUma à s’affaiblir jusqu’au moment où U fsûssu
ce monde.
conosco più. Dante vi avrebbe detto»
con qualche lieve correzione: « la vo *
stra loquela non vi fa manifesti della _
nobil patria natia alla quale foste un tan-'^
tino molesti ».
Après une vie de travail et de consécration le Pasteur Henri Beux
repose dans ht paix du Seigneur. Aldo Comba.
LD pesili Dei 15 eeosTO in uei ceisone
La riunione indila a Las Arà, si
tenne invece alla « Baìaasso » di Bò
Ciabrand. Il cambiamento dì località era d’altronde opportuno, data
sopratutto la giornata serena e calda : assai più adatta degli aridi
« Camp », sì presentava invero la
simpatica copea della vetta più alta,
col silo verde od i suoi larici disposti
ad anfiteatro; peccato sòltanto che i
numerosi uditori accorsi dalla Val
Balzìglìa — compresi tre pastori, di
cui due oratori — non abbiano avuto
modo di saperlo ed arrivarono perciò quando il culto era già comincialo!
Superato però questo piccolo incìdente iniziale ,la giornata trascorse
veramente, magnifica, in una atniosÌera fraterna, benefica per lo spirito quanto per il corpo, senza profanazioni nè stonature.
Convitto
Moschile Valdese
■Sono aperte le, iscrizioni presso il
Convitto Maaohil© Valdes© di Torre
Pollice per l’anno scolastico 1949-50.
A Torre Pellioe, ridente cittadina
da! clima saluberrimo, si trovano ottime scuole: scuole elementari, scuole
di avviamento al lavoro, scuola media,
ginnasio, liceo, scuola magistrale.
Il Convitto, rinnovato ed arriochito
nella sua attrffitzatura, offre le migliori possibilità di studio in ambiente di
famiglia.
Rivolgersi per infonnarioni al Direttore.
In assenza del pastore locale, sig.
Edoardo Micol, trattenuto purtroj>po da improvvisa indisposizione, assunse la presidenza il sig. Paolo Sosio, pastore a Brescia, ma sempre
Praniollino; porsero i loro messaggi
successivamente i pastori Gustavo
Bertin, Giovanni Tron e Oreste Peyronel.
Parlò, il primo, invitandoci con
forza persuasiva a meditare sull’appello apostolico (Elf. 5: 14) « Risvegliati, o tu che dormi., e Cristo t’inonderà di luce ». Appello sempre
attuale per ogni cristiano; ma particolarmente urgente oggi per il popolo Valdese, la cui precìsa missione, più attuale e necessaria che mai,
è di far risplendere la luce di Cristo
e del suo puro Evangelo nelle tenebre crescenti della superstizione e
della mondanità.
A codesto dovere, eh’è pure il nostro privilegio, accennò ancora il secondo oratore. Il sig. Giovanni Tron,
pastore a S .Salvador (Uruguay) imnerpiò il suo discorso sulla figura
dell’antico pastore Morel, umile ma
valente pioniere di quelle nostre colonie Sud Americane; egli ci presentò cosi, con grande efficacia, ad no
tempo dati storico-biografici, notizie dei Valdesi là ^.abiliti ed esortazioni pratiche.
Dal paese del sole, infine, il doti.
0. Peyronel pastore a Napoli riferì
un fascio di notizie sull’opera di evangelìaszazione della Chiesa Valdese in Italia e sul mo proprio lavoro. in particolar«, con abbondanza
di interessanti iìlnstrazioni.
I cantici furono diretti con solita
energia dal maestro di S. Germano,
sig. Enrico Jahier.
Un po’ meno compatto della mattina ,ma pur numeroso, l’uditorio si
formò dìnuovo nel pomeriggio.
Presiedeva il sig. Guido Rosiagno,
da Pomaretto, del Comitato della
PUV. Rivolgendosi ai giovani —
compresi i « giovani di cuore » senza riguardo all’atto di nascita..., il
sig. Rostagno molto opportupamenie
divise la ritmiotK in tre parti.
I Parte: messaggi del sig. Enrico
Beux da Torino, Predicatore laico,
il quale perorò la causa dell’erigendo tempio evangelico in Ghivasso; di
una signorina americana e di un gio
III Parte :gìochi, che si protrassero alquanto, mentrè i ... «giovani
di cuore» riprendevano per primi,
saviamente la via del ritorno.
Al pastore Micol è andata l’espressione del rincrescimento e della simpatia di tutti per la sua forzata assenza; a lui vada ancora l’augurio
di un incontro più fortunato con gli
amici in altra occasione. l.
La lettera che portava scritto in calce ; alcuni mmibri di concistoro della Va! Pellioe, mi è parsa strana, per
due ragioni essenziali.
Innanzi tutto ho riscontrato un contrasto stridente tra il resoconto del cronista e la lettera anonima. Il primo diceva testualmente: l'organizzazione è
stata eccellente e poi elencava una serie di elogi. Gli autori della lettera invece ponevano come titolo; Disorganizzazione della festa del XV agosto,
con un seguito di critiche piuttosto acri.
L’uno vedeva bianco e gli altri hanno
visto nero e molto nero.
Secondariamente mi è parso strano
il linguaggio dei membri di concistoro
della Val Pellice. Conosco i membri
di concistoro delle valli, cosi gravi, così compresi del loro alto ufficio, cosi
parchi di parole. Li ho visti spesso ai
sinodi, alle conferenze distrettuali, conservare un dignitoso silenzio, pronti a
prendere la parola solo quando si tratta di questioni vitali della loro Chiesa.
Questa volta invece, così, d’improvviso, mandano una lettera al giornale
molto verbosa ,con una pimta di acredine, quasi fosse frutto di un risentimento. ¡Vii dispiace dirvelo : non vi ri
Ma la lettera mi è parsa ancora più Jstrana perchè non corrisponde alla real-^.
tà. Avete scritto, miei cari, che « si'
continuava a vendere oggetti, mescere ^
bibite, sorteggiare premi di lotteria^.
DURANTE TUTTO IL CULTO ». E^'
avete avuto anche l’ardire di aggiunge- ,fre ; « durante la preghiera e la lettura^'
della Bibbia ».
Vi rendo noto, miei cari onorati con
4'
siglieri, che il sottoscritto aveva dato ^.5,
l’ordine a tutto il suo stato maggiorei^]
di sostare durante TUTTO IL CULTO-?^^
L’ordine è stato eseguito. Se i gi|avi‘-“^è
membri di concistoro hanno, per caso.
vis o vendere qualche gelato 0 qualche^^^
bibita ,pochissime, in verità, ciò è sta- ^
to fatto da venditori che agivano e ’«en4S
devano per proprio conto. A buon con-,
to anche a loro avevo dato ordine di’
sospendere la vendita. I premi di lotte
"ia poi sono stati sorteggiati il pomerigg'o. Vittorio Laurora protesta e con
ragione poiché solo dopo il pranzo ha
dato un saggio della sua abilità per in<
'eressare il pubblico.
Protestano due signore di Pastor',
tutte le persone ragguardevoli addetteci
ai servizi,* le quali, durante ¡1 culto,j’
hanno formato un piccolo coro di belle ^
voci, per sostenere il canto d’assieme.
O forse avete interpretato il loro canto
come voci di sorteggiatori di lotterie, e
allora, scusatemi, di canto ve ne inten*ii
dete poco.
Quanto poi all’accusa di aver scelto;
il posto più inadatto per la celebrazione del XV Agosto, non concordo con gli
illustri membri di concistoro. Col sottoscritto sono venute persone competenti
compreso il sindaco per la scelta del
posto. Ragioni che voi ignorate, ci hanno indotto a scegliere Villa Varese. E"'
al dotto rVarese vada il nostro più caldo e vivo ringraziamento per l’ospital tà offertaci. Non tutte le proprietà private erano a nostra disposizione. E poi
non credo che l’andamento della festa
sia dipeso dal posto scelto ma piuttosto
dal programma formulato dal comitato ■
organizzatore. Nel qual caso rivolgetevi a chi di competenza. E poi, cari amici, non siete più in grado di ascoltare un culto sotto il sole, quando si pensi che i nostri avi rischiavano non solo
ione tedesco, il cui nome è sfuggito
al « reporter »; e del giovane rof.
Giovanni. Pons da Marsiglia. Tutti,
vivamente applauditi, sottolineano
il privilegio dell’unione delle anime
nell’amor di Cristo, al disopra e al
dilà ds ogni umana barriera.
di avere la testa un tantino scaldata,
ma anche mozzata? Alla Balziglia. all.Azzarà e in altri luoghi ho sempre .^1
ascoltato gli oratori del XV sotto un sole cocente e con me migliaia di fedeli,.
E allora, il XV è andato bene.
II Parte: canti. Si levarono numerosi ed entusiasti, sì da svegliare
l'eco delle rocce anche più lontane..
Infine non è vero ohe il bazar sia sta.,
ta la pietra di scandalo del XV Agosto.
Meglio una confortante tazza di thè chs
il vino e il ballo pubblico non lontani
dal posto della celebrazione, in occasione di altri XV Agosto. Sembra che '
vi sia dispiaciuto i! successo del nostro
Bazar. Non ve rabbiate a male! Concedete alla più povera parrocchia delle
valli, preoccupata, oggi, di costruirsi
da sola una scuola di quartiere, di ricevere una piccola iniezione per le sue
finanze, in occasione d’un XV di agosto, tenutosi a Piamprà, dopo 17 anni.
m
Ma noi dimenticheremo volentieri
l’appunto che ci avete mosso, qualora
voi vorrete offrire il vostro obolo per
l’erigenda scuola delle Fucine, essendo stata distrutta la vecchia scuola dalle alluvioni della primavera scorsa. M
Sono lieto comunque, diletti amici,
he abbiate rotto il ghiaccio del vostro
tradizionale silenzio e che in avvenire
possiate scrivere altre lettere, buoni
articoli, non ispirati da nessuno, se non
dal vostro cuore, per edificare, confortatevi lettori, ansiosi di leggere qualcosa che li rinfranchi e li orienti verso jf
il Bene. ''J
Fate vostra la troppo dimenticata pafola del Battista quando dice : ' « Bisogna Ch’Egli cresca e ch’io ¡Mmimisca ».
Distintamente: Gustavo Bouchard.
3
Savonarola
23 maggio gli Evangelici Fiorcntiini si sono racOTlti in Piazza ^
tàignoria intorno alla lapide del Savonarola; una corona vi era stata depposta al mattino ad indicare l’amore dei Fiorentini iper il loro riformaItorc religioso. Dinanzi ad un gruppo di circa 300 presenti un membro
idell’Esercito della Salvezza ha letto un passo della "Slcrittura e i pastori
»lucci e Gay hanno irivolto un messaggio. La cerimonia ha terminato con
l-Vinno di Lutero. Riproduciamo El'ui una parte del messaggio , :
Cari amici
p. Non come giusti cU fronte ad ingiusti, non come giudici dimm^i
%d imputati ci presentiamo oggi in questo. Luogo, che ci ricorda la
[costanza di un credente fedele fino dUt morte. Siamo qui convoetOi per
ìriudirc, in piena umiltà, Veoo del messaggio del Savonarola.
Credo che da quel messaggio si stacchino chiaramente tre elementi
‘fj'sempre attuali:
La coscienza che la violenza non può soffocare la potenza della
^'Verità;
[.a necessità del continuo rinnovamento della Chiesa;
L’urgenza sempre viva dlj un ritorno di tutti alla Scrittura e al Cristo.
Sono messaggi., otìe ci riconducono d valore universale della fede’ cristiana e come tuli li vagliamo udire questa sera.
^ Anzitutto dal martìrio di Savonarola deduciamo che la violenza e
irla soprufIasione non possono nè devono attentare dìu poterts udella ve'^rità. I metodi violenti non piegherantw mai i. testimoni del Cristo.
•K^Per questo eleviamo oggi la voce contro ogni tentativo far tacere lè
% coscienze: si elevino esse al di là o al di qua della barriere che le pdi"¿tiche transeunti e le diverse impostazioni idoologiche possono troMOro
f; sulla nostra povera terra! I cristiani devono essere liberi di far udire la
Piloro voce e devono credere talmente dia forza della verità da acui ser
Pvirsì del braccio scolare por vincere le battaglie dello Spirito. Riéorr
datevi dell’affermazione dell’apostolo Paiolo: la Parola di Dio non è
^incaleiiata! Ricordatevi che tutta la chiesa primitiva visse perché saJ pera che U discepolo non è da più del Maestro e che è imivrale retaggio
ÈÌ'dei cristiam soffrire per la causa dell’Evangelo della croce. Ma apspunto per questo non si trasformi l’offeso in tìffcnsore, nè risponda
a violenza con violmztt : la sola carità non verrà mai meno.
Savonarola propugnò la riforma della chiesa.
V Volle che la chiesa hrillasse della semplicità e della robustezza
spirituale dei profeti degli apostoli. Fu somme un nostdgico e non
un organizzaiore. Mipi come potremmo dire che la sua nostal^asia um
cosa passata? Come non volgersi coiaimiamente dia fonte per bere I aequa pura? Non è vostro desiderio, o amici, a qualunque coaifessiaiu.^
appartenime, vedere nella chiesa brillare la purezza dei atstuiui dei,
tempi apostolici? Non è vostro desiderio, adoperarvi al rÌmovameut&
interiore ed esteriore delUt chiesa, che è il popolo dei oranti in Cristo, perchè sia invalidata e confutata ogni accusa, che factmi dei credenti dei sostenitori aitivi o passivi di situazioni contrarie alla giustizia
indicataci da Dio?
.Savonarola visse attendendo quel rinnovamento. Egli prcdtcava:
« la <-hipsa s’ha da rinnovare per Tabbondanza dello Spirito Santo...
La vostra riforma deve incominciare dalle cose spirituali ». E come
potrebbe essere altrimenti ? Non vale forse per la chiesa come per il
singolo credente che si vive là dove si muore al mondo per rinascerò
con Cristo ?
Cari amici
r-' Saviynarola ci ricorda infine la necessità delle Scritture per ritrovare Cristo. Al emiro della sua riforniti era H gran^ desU^io che il
Cristo degli Evangeli divenisse il Signore della vostra città. E non è
forse anche questo che noi sentiamo come una esigenza insopprimibile?
Non è vostro desiderio, che il Cristo regni nelle coscienze, nei cuori e
i rulla viui di tutti? E come regnerà, se non diverrete tìitti araldi dei
7 Suo Vangelo, se non diverrete tutti lettori assidui delle epistole degli
l' apostoli e non ne, ricaverete coitfortu mila prova ed indicazione sUsirti
^ neU'nru diel dubbio? _ ^
si- « Avrà la riforma, egli predicava, solo chi prenderà a seguirlo.
() Italia, così dice il Signore, manderò in abbondanza lo Spirito Santo
sopì a di te e tj diarò nuovi consiglieri, quali tu avevi in antico, ed
avrai nomini santi nella mia chiesa e dopo sarai chiamata Città del
giusto e chiesa fedele. Ti avviso, o Italia, e te ancora, o Roma; non ti
confidare nelle armi: a nulla ti gioveranno.. Ninno ti salverà, se non
.. è Cristo e Lui soltanto. Egli sì, lo farà ».
/ tempi sono miovamente malmgi : fratelU si levano contro fratelli
ed il sangue scorre troppo spesso nelle nostre contrade e alelle nostre
campagne. Comi0. potremmo dhra in questa giorno dimlemware il ridi ionio del SatMmarola alla rioorviiiliazipne degli animi? Nom è forsé
necessario ohe ognuno rtconosca le sue colpe, own la proprid vita in
una più fedele coerenza evmigelica? Non è necessario che tutti teadior
mo verso una più iaPima e profonda comunione fraterna, basata sul
rivonoscimento della nostra comune salvezza in Cristo? Percibè questo
richiamo resti più seriamente inciso md vostro animo, vi rileggo, e con
questo termino, la laude del Savonarola:
Se volete Gesù regni,
Viva viva in nostro core
Cristo re, duce e signore,
Ciascun purghi l’intelletto,
le memorie e volontade
del terrestre e vano affetto;
arda tutto in caritadie,
eontemplando la bontade
di Gesù re di Fiorenza;
con digiuni e penitenza
si riformi dentro e fore.
Per sua grazia in vostro core
tutti gli odii e pravi sdegni
Commutate in dolce amore;
discacciando ogni rancore,
ciascun prenda in sè la pace;
Questo è quel che a Gesù piace
Su nel cielo e qui nel core.
...Satana va, oggi come ieri, per le
vie del mondo; e sono esperienze interessanti! . .
« *
re; per la religione c’è sempre tempo ! u
‘tr •(.'.‘■.i'i’‘ili ■ ‘
Eccplo al focolare domestico di casa***; if
<( Eh! mio caro! Tua moglie non ti
vale; ti fa sfigurare nelle conversazioni; e poi invecchia. Quando si possiede la tua intelligenza-e la tua superiorità, bisogna sapersi liberare da ogni convenzione!...» ‘
(Í Eh! mia cara! Tuo marito ti trascura, e dovresti pur esser« qn po’ gelosa ; non si occupa che del suo sigaro
e del circolo. Non sai ohe la donna ha
i suoi diritti e che esiste la separazione legale? Dammi il tuo anello che
non ha più nessun valore ; te lo restituirò, Se lo vorrai ».
E ranello se ne vg con Satana, e
quando lo si cerca di nuovo, la vittima..., le vittime, non. lo trovan più!
(( Donde vieni. Satana ? »
(( Vengo dalle strade ' del mondo e
mi sono soffermato ai focolari domestici ». ■'
♦ * f
« Allora, vuoi proprio cambiar vita,
a quanto si dice l Sei giovane e pensi
che un ipo’ di penitenza per i tuoi peccati non farà del male! Non hai tutti i
torti, ma, vedi, è troppo tardi!... Hai->
solo trent’anni? Ma, caro mio, è sempre troppo tardi, per convertirsi; Dio
non sa ohe farsi di gente come te, che
si è infangata in tutte le lordure di questo mondo ! Godi la vita, e lascia stare
l’eternità che non t’appartiene ».
* * •
E così Satana va per le vie del mondo ; e chi lo incontra ascolta la sua voce
e non la riconosce, perchè la voce del
tentatore è la voce di ciascuno di noi.
Satana = Io.
E chi oserebbe non ascoltare una voce così profonda?
Imit, da'Talmage.
Cong]^ Mondial d’Evaligélisatipn
août Î950. M \
" Encouragés par la paroles de bienvenue prononcées par M. Antoni, Mal- ■.
re de la ville de Cannât « Vous avez
Touvé Je vrai-moyen da renverser les
■ barrières intematîonales par l’amour ’
mutuel et nous vous accueillons de
tout coeur, vous qui chantez un hyra-*
ne et portez une croix et non une bayonnette et un fusil..» les délégués sous
la direction du Dr. Robert A. Çook de
Ch’cago, président, et de Boris Bessnertny de Paris, directeur de Jeunesse
pour Christ en France ont travaillé sans
arrêt pendant oes huit jours de sessions, de décisions et de grands rgllyes
de jeunesse à Cannes, à Antibes, à
Grasse et à La Bocca.
<( Le suprême devoir de l’Eglise »
<13
J
Anche le vie del ' commercio sono
ben note a Satana che s’è più d’una
volta seduto al tavolo d’un impiegato,
d’un povero travet, e gli ha sussurrato;
« Mah! sei veramente un povero
diavolo! Anzi, un buon diavolo; lavori tutto il giorno per gli altri e guadagni... beh! non me lo vuoi dire?...
guadagni poco, e la famiglia costa
molto ed hai fatto qualche debituccio.
La tua coscienza ti rimorde? Te l’ho
detto : sei un buon póyèro diavolo ; ma
svegliati! Insomma » non ti voglio
dar cattivi oinsigli, iha^ mi' pare che,
con un po’ d’abilità, a potrebbe fare
qualche piccolo « storno dì fondi » ;
dalla cassa della ditta alla cassa familiare... Comie?... ammanco...? verifica di cassa...? Non esser così pauroso : osa ; vedrai die tutto si aggiusterà. Sarebbe proprio straordinario che
ci fosse una verifica in questo periodo :
avrai tempo di far quadrare! »
Sul giornale si leggerà poi che un
giovane è stato arrestato per malversazioni ; che un padre di famiglia è stato licenziato in tronco dopo lunghi anni di fedele servizio.
c( Donde vieni, Satana? »
(( Vengo dalle strade del mondo, e
mi sono soffermato in qualche ufficio ».
Le Mouvementpour Christ » qui,
de la « Jeunesse
en cinq ans, s’est
* * *
Pensieri sulla Fede
per
Io credo che se addizionassi le
rm che passavo in preghiera
domandare la fede, avrei
un totale di parecchi mesi. Dice
va sempre: c Ciò che ci abbi,^ogna è la fede, sa soltanto aves.timo la fede si potrebbe capovolgere la città di Chicago ».
Pensavo che un bel giorno la
fede sarebbe caduta su di me
come un fulmine. Ma non sembrava aumentare molto. Un
giorno lassi al cap. fO dei Romani: a Ora la fede vien dall’udire e Vadire è attraverso la
Parola di Dio». Fino a quel
momento avevo tenuto la Bibbia
chiusa e pregato per ricevere la
fede. Da allora aprii la mia
Bibbia e incominciai a studiare
e la fede non cessò pià di aumentare. <D. L. M®ody)
propagé dans 55 nations vient de connaître de nouveaux succès à Cannes du
13 au 2l août ,lors de son Congrès International qui réunit 200 délégués, représentant 14 pays différents. D’un
commun accord, ces délégués ont décidé de se porter entr’aide pour l’évangélisation de rEurope, et ont choisi
Bruxelles Belgique, comme siège du
s’écria le Dr. Cook dans son message
d’ouverture « est encore l’évangélisation du monda. Jeunesse pour Christ
■ 3t à l’heure actuelle l’un des plus importants Mouvemàîts d’évangélisation,
mais jusqu’à maintenant nous n’avons
encore qu’effleuré la surface ».
Le Lt. Colonel Ivan Neill de Belfast,
Irlande, membre du Parlement Britannique, déclara que des Conférences
pour la paix n’auront aucun résultat si
le monde ne se tourne pas vers le
Christianisme. z'
Des plans de travail pour 1949-1950
ont été élaborés au cours des sessions;
ils comprennent de grandes campagnes, des congrès nationaux avec la
collaboration de toutes les églises, la
formation de chefs et d’équipes ainsi
que l’évangélisation individuelle.
H. A. P.
jPîvec allégresse
Marcher vers le ciel...
Ma le vie del cuore dell’uomo sono
quelle che Satana predilige!
« Come, leggi la Bibbia, tu uomo di
vasta cultura? Lasciala ai semplici, ai
poveri di spirito ! »
(( Come, leggi la Bibbia, tu che non
hai fatto nessun studio? Cosa vuoi capire in un libro così antico e profondo?
Lasciala agli uomini dotti ».
Vous connaissez tous, sfuis doute, çe beau cantique. Je I ài toujours
aimé. Enfant, c’était un de mes préférés, aioei que tous ceux gui pelaient a du ciel ».
Marcher vers le ciel
Combien de gens se demaaldent quel est le sens de Ué vie, et répètent en soupirant: « Vaut-il vraiment la peine de vivre? ».
Mais voilà qu’id la vie nous est présentée comme une marche vers
h- ciel. Considérée de cette manière, la vie n’acquiert-elle pas uni sens
tout nouveau, une valeur insoupçonnée ?..
Une marche vers le ciel
(I Sei vecchio, sta bene; non si può
negare che 80 anni siano una bella età; ma la tua salute è ottima; cosa
. uoi star II a preoccuparti di problemi
spirituali! Fra dieci anni potrai cominc’are a pensarci! Ma fino ad allora godi
la vita come viene e non ti arrabbia
HéUís, que de fois nous nous égarons, nous suii?ons des sentiers
qui ne conduisent pas précisément « au ciel », Il faut alors rebrousser
chemin, retourner sur nos pas.
Il y en a qui s’éloignent tellement, qu’Us ne savev^ plus retourner
sur le bon chemin...
Pour ne pas égarer, il faut
Regarder sans cesse - notre Emanuel
Le regard fixé sur Lui, &i suivant Ses trouves, nous serons sûrs idcl
« marcher vers le ciel ».
Mais la manche devient parfois bien pénible, il y a des pierres et
tles ronces sur notre sentier, nous sentons nos forces défaillir..
Que faire alors? '
Puiser foi nouvelle - Dans ce doux regard
De l’âme fidèle - C’est la seule part.
Le regard fixé sur .lesus, nous retrouverons jour après jour la foi,
et avec la foi de nouvelles forces et un nouveau courage pour aller Oé
l’avant.
avec allégresse
Marcher, non pas résigaés à o'ol're sort, parce que nous ne pouvons
pas en faire autrement; marcher, non seulement dans un sentiment de
devoir, ni même d’acceptation; rruA marcher avec allégresse, car nous
marchons.
vers le ciel I
Ohl flîors
Frères, frères - les coeurs en haut
Non plus courbé sous le poids des difficultés, de la 'fatigue, des
épr^ves du chemin; mais regardant au but, sachant que
Jésus nous appelle - Il viendra bientôt
Bientôt. Qu’il s’agisse du retour glorieux du Christ, ou de Son
retour pour chacun de nous en particulier, un fait est certain: Jésus
nous appelle, et, p^-être plus tôt de ce que nous croyons.
QuMle pensée encourageante!
Reprenons donc ooumjgq ; qm notre marche soie courte ou langue,
facile ou pénible, cela na pas d’importance, car mus savons que nouià
marchons vers le del et que chaque jour qui passe nous approche du
but. ,
Ainsi donc
avec allégresse * Marchons vers le ciel
Selma Longo
4
sX'. •
S^'.'
¡¡XA-.,'
nnpQ'
sjubu
B Lfl:*BÍBI
1®) Dapprima perché è troppo a buon mercato. Ponete acquistarla
con poco donare te le cose che costano poco e che sono comuni non
sono generalmente di grande utilità.
2") Ineseguito, perchè la Bibbia produce degli effetti strani sui sentimenti. Agisce come luno specchio sull’anima; rivela le vostre imperfezioni e vi rende scontenti di tni stessi. Essa potrebbe indurvi a
correggervi di molti difetti, e persino la farvi cercare la gravM del perdono e di una vita retta. Tuitto ciò implicherebbe la rinunzia a troppe
cose che voi amate, il che non sarebbe molto piacevole.
3”) Bisogna anche evitare la lettura della Bibbia perchè vi fa perdere il gusto di una quantità di cose ; il gusto di andare a passare le
serate in luoghi malfamati, per esempio nelle bettole e nelle stde da
hallo; il gusto di ubriacarvi, di rendervi schiavi del {fumo; il gusto di
infiorare la vostra conversazione di parolacce ic idi bestemmie; il gusto
di mentire, di calunniare, di truffare... insomma tutti ¡quei gusti, naturali o acquisiti, che paiono importanti e necessari alla vita.
4”) E’ meglio, inoltre, rum leggere la Bibbia perchè essa esercita
una strand influenza sull’intelligenza, che essa sviluppa in modo allarmante. La Bibbia apre la mente ad un mondo di pensieri nuovi e diversi; la stimola a ind punto chejwn solo il \cervello lavora contìnuamente, ma si cdritua a pensare da sè invece di ' pensare col cervello 'del
vicino. Esm crea nelVuomo una ihdipendejvsa di giudizio, il che, agli
occhi di mólti, è una cosa spiacevole.
5‘) Un’altra buona ragione per non leggere la Bibbia è dovuta ai fottio
che si corre il rischio di mm comprenderne subito tutto il contenuto. E’
ben vero che ciò avviene per la maggior parte degli altri libri e delle
altre scienze, come la grammatica, la geografia, l’aritmetica e la storia. Ma come un figlio savio e intelligeate, al quale il padre hd lasciato un’eredità, se non comprende il senso del testammo, lo lascia semplicemenfe da parte, o lo fa passare al vicino dicendogli'.
« Fatene quello che vi piacerà; io non voglia rompermi la testa; se
ho diritto a qualche cosa, mj darete quello che vorrete, o. vi terrete
tutto 9 cosi l’uomo saggio e prudente deve fare in quanto al Testamento che gli ha lasciato il Suo Padre Celeste. Dato che nori llu
può comprendere alla prima lettura, deve lasciarlo da parte rimetterlo nelle mani di qualcuno il quale potrà trarne profitto, sopratutta
a proprio vantaggio'
^ 6“) Conosco ancora un’altra buona ragione per astenersi dalla let
tura della Bibbia : essa ha il cattivo affetto di far cambiare la religione
e la vita degli individui e qualche volta perfino delle nazioni.
Questo è davvero il peggiore dei mali;., poiché sapete che quando si è
stati istrutti in una religione, sia essa giudea, maometuma, pagana d
altra, bisogpa rimanervi. E’ vero che gli apostoli, specialmente S. Paolo,
cambiarono religione, e che i giudei diventarono cristiani; ma bisogna
guardare dairimitarli! E’ anche vero che Gesù Cristo mandò i suo»
apostoli fra le nazioni per rinnovare la laro religione e la loro vita. Ma
Gesù ha anche potuto sbagliare... Comunque, è così vero che la Bibbia
produce tali effetti, che si potrebbero ciUwe non pochi esempi di rinnovatnento. In un’isola dell’Oceania viveva una popolazione di pagani,
selvaggi e cannibali. La Bibbia vi penetrò; gli iadigani cambiarono ca-‘
stumi e religione, inveex di adorare gli idoli, essi adora'" ino ri vro Dio.
Per caso due europm liberi pensatori visitarono quest’isola. Cercarono
di persuadere gli abitanti ad abbandonare la loro manìa di leggere la
Bibbia che essi chiamavano a nuxomi da vecchie ». Gli indigeni persistettero e risposero: « Avete torto di cercare di distoglierci dalla lettura di questo libro; poiché se foste venuti qui prima che noi I avessimo
conosciuto, vi avremmo uccisi, fatti arrostire e mangiati! ».
7 ) Penso ancora ad un’altra ragione per non leggere la Bibbia.
Ques^ lettura vi dà una strana e pericolosa malattia che si chiama « nostalgia », Essa m fa pensare alla Patria Celeste, in tal modo da staccarvi qualche volta dalla vostra dimora terrestre. Vi convince che si età
quaggiù soltanto stranieri e viag^atori, pellegrini verso un mondo mi-,
gliore. Molti credente, lettori assidui della Bibbia, hanno lascwto la
terra sema rimpianti, sona andati incontro alla morte senzd paura e
sono entrati nell’eternità col cuore pieno di gioita speranze... Avevano
letto tante cose sulla Gerusalemme Celeste, che ne erano affascinati
come qualche armo fa i minatori lo erano per le regioni aurifere'delPAlasoa.
8 ) Ma, infine. Ut ragione migliore per non leggere la BUAUl è che
Gesù Cristo raccomanda questa lettura. Nell’Eiungelo di S. Giovanni,
al cap. V vers. 39, leggete: « Voi investigate le Scritture, perchè pensa'e aver per mezzo d’esse vita eterna, ed esse sòn quelle che rendon
testimonianza di me » e nell’Apocalisse al cap- P vers. 3 è detto « Beato chi legge e .beati coloro che ascoltano le parole di questa profezia.. »
Lettore, perdonami se ho adoperato lo stile ironico per trattare
un argomìmte cosi serio, e così importante cornei quello della lettura
della Bibbia. L’ho fatto per meglio mettere in evidenza gU immaa^
benefici che si ottengmo leggendo con pietà e in luw spirito' di pre^
ghiera quel Santo Libro che si chiama: Ut Parola di Dio.
(Le lieu fraternel)
Trad, da M. L.
IBISCO „DlCliLI!AVALLI VALDBSI
Nel pomeriggio :<U sabato 27 agosto si è inaugurata nelle sale del Collegio Valdese una Mostra d Arte
Contemporánea, che rimarrà aperta
ogni giorno, per alcune ore, fino all’il settembre. La Mostra, assai ben
ordinata e disposta, è veramenté notevole, sia per la^ quantità ed il valore delle opere ^ pitture, sculture,
disegni — che si riferiscono ad una
quarantina d’artisti, fra i più noti,
ed insigni che vanti attualmente ITtalia; sia per il suo carattere artistico attuale, nelle sue varie manifestazioni. Essa, presentando in modo
molto efficace le condizioni attuali
dell’arle nuova ìp Italia, ha un’importanza che supct:« di gran lunga
i limiti regionali. E Tambiente di
Torre Pellice, centro delle Valli Vaidesi, ricco di una secolare tradizione di pensiero c di cultura, si è dimostrato particolarmente adatto ad'
una tale manifestasdone d’arte.
L’inaugurazione è stata ispirata ad
un concetto geniale ; essa ha avuto
luogo non nella Mostra stessa, ma
nell ampia aula della Casa Valdese,
coti lo scopo palese di preparare il
pubblico a considerare e comprendere i metodi e gli atteggiamenti dell’arte attuale. Il presidente del Comitato, prod. Attilio Jalla, ne presentò i caratteri generali, il pittore
Scropgo, del Comitato Artistico, ne
indicò ì criteri di formazione; indi
l’oratore ufficiale, l’illustre pittore
Felice Casorati, espose con calda eloquenza, con felicissimo tono cordiale simpatìa, i metodi, gli atteggiamenti, le aspirazimii degli artisti
della recente e nuovissima generazione, che intendono ^esprimere il
tormento della loro anima con la
massima libertà, ^ con un’affannosa
ricerca d’espressione senza nessun
legame convipziooale. Il foltissimo
pubblico espresse jEon vjvi applausi
la sua soddisfazione. Indi, per inerito
stesso deH’oratore, 'si svolse un interessante e talora vivace scambio di
idee fra lui e il pubblico, che valse
a rendere più atlraente ed utile la
visita che seguì alle sale della Mostra.
SARTORIA
Artoro Jaltna
TORINO
Via Berthollet n, 13 (I piano) - Tei. àO.455
AUTONOLEGGIO
(1100 sei posti)
Guido ?as(hetto
LUSERN A S. GIOVANNI
(Air ali)
Recapito: Confetteria Zanaio / Tel. 70
Alla quale il pubblico accorse assai
numeroso, da vicino e da lontano,
^ anche nei giorni successivi, dimostrando quanto fosse opportuna e<l
efficace una tale manifestazione ai*tistica per il progresso della cultura
e la formazione della mente.
Nel pomeriggio di domenica e nella serata di martedì, alcuni artisti
espositori spiegarono al pubblico gli
atteggiamenti e criteri della loro arte, guidandolo poi all’egame diretto
delle opere esposte. Queste conversazioni, che i visitatori dimostrarono
dì gustaré assai, saranno ripetute
nei prossimi giorni, in orario che sarà via via comunicato.
Un ufficio che legge
migflele di giorneli
La voce delle comunità
ANOROGNA - Capoluogo
Domenica 28 agosto nel corso del
nostro culto nel Tempio venivano pi’esentati al Battesmno i bambini Morinet Lucicmo. di Giacomo e dj Ricca
Emma (Prassuit) e Chimmi Renato e
Alfredo di Attilio e dj Odin Ida (Rt)c.
eia).
Sui bambini e sui genitori invochiamo la beneidizione del Signore, e. a.
Molti dii voi si doraaaideranno ; ma
■% a quale eoopoì Pensât« un po’ : il vo.
atro nonie o quello di una persona ohe
vi interessi è citato dalla stampa ; po.
tete voi compiu-air« « legger© tutti i
giornali © tutte le riviste per sapere
quale di ©ssi lo ha citato ? Oppure, voi
studiate un dato argomento (politico,
letterario, scientifico, eoe.) e vi pia.
ceireb.be saper© in quali periodici po.
ireste trovare articoli in projiosito.
Siete voi al caso di procurarvi tali
articoli Assolutamente no se non vi
rivolgete a L’ECO DEILLA’ìSITAMPA,
eh© nel 1901 fu fondata appositamente per colmare una tal© lacuna nel
giornalismo. Questo ufficio, se siet© abj
bonato, vi rimette giorno per giorno
ARTICOLI RITAGLIATI DA GIOR.
NALI E RIVISTE, sia tìh© si tratti
di una persona © sia d’un argomento,
secoind© Tordinazion© oh© avete data.
La sua sede è in Milano — Via Giu.
seppe Gcmpa.gnoni, 28 — © potrete ri.
oevere 1© 'condizioni di abbonamento,
inviando un semplic© biglietto d \ vii
sita.
TORRE PELLICE
Luserna San Giovanni
Il culto di Domenica 21 corr, come
dj consuetudine nel l’imminenza del
S<inodo, è stato presieduto dal Moderatore della Chiesa Valdese. La Cbie.
sa gremita di fedeli ha vivamente apprezzato il messaggio del Moderatore
cui sj esprìme rinnovata riconoscenza.
comunicRTO
Il Pastore Ernesto Ayassot visiterà
dal 15 Settembre al 30 Novembre vari
centri dell’Inghilterra © dalla Scozia
quale delegato della Chiesa Valdese
presso le Chiese della Granhrei.agna.
Tutte le famiglie Valdesi che avessero dei loro membri o amici in detti
Paesi sono invitate a fornirne gli indirizzi al Pastore Ayassot in modo ohe
egli possa prendere contatto con quei
Valdesi lontani e, s© possibile, visitarli recando loro il saluto affettuoso della patria e della Chiesa madre.
ArnhalMtorio di DerwofHttia. Il Gran
Magistero deH’Ordiine Mauriziano,
neil’intento di migliorar© sempre più
l’assistenza sanitaria a favore delle
popolazioni della vallata, ha istitaito
un ambulatorio di malattie dell» pflle, che si effettuerà ogni lunedì dallo
ore 10 alle 12 neirOspeida'e Maurizi.a.
no di Luserna.
L’ambulatorio di malattie della pelle sarà aiffidato allo specialista dott.
Geraldo Winkelmann che iniziò il servizio lunedì 22 u. s.
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8,20 1
7,55 I
8,46 I
9,081
9,261 9,35
I 9.50
I 12,28 I 13.10 I 17,05 | | 18,20 | 18,30 | 21,35
i I 13,52 I 17,51 I I 18,46 | 19,16 | 22,15
I 13,07 I 14,20 I 18,17 | | 19,01 | 19,43 | 22,36
12,48 I 13,24 I 14,42 I 18,45 | 18,52 | 19,18 | 20,02 | 22,56
13,02 I I 15,03 i I 19,07 I 19,35 I 20,24 | 23,14
IN VIGORE DAL 15 MAGGIO 1949
Torre Pellice
Bricherasio
Pinerolo
Airaaca
Torino
4,35 1 I
4,501 I
6,181 I
5,37 I 6,03 I
6,25 1 6,45 I
5,561
6,11 I
6,28 I
6,52 I
7,35 I
6,11 I
6,24 I
6,51 I
7,161
8,15 I
7,051
7,201
7,361
7,55 I
8,30 I
9,05 I
9,19 1
12,20 I ---
1234 I 12,40 I
I 13,03 I
I 13,20
I 14,20 I
13,13 I 16,26 I 19,42 |
13,26 I 16,42 I 19,58 |
13,40 I 17,03 I 20,22 |
I 17,29 I 20,43 I
14,30 I 18,20 I 21,35 I
BRICHBRASIO-BAROE e viceversa
Bricher. 5,16 | 9,30 113,35 | 14,55 I 18,50 | 20,15 Barge 4,25 | 6,08 I 12,22 | 14,08 | 16,30 | 19,32
Barge 5,36 I 9,50 | 13,54 I 15,14 I 19,10 l 20,36 Bricher. 4^ | 6,30 | 12,40 | 1438 | 16,40 | 19,52
Autoservizio e tramvia
P1NEROLO-OR6ASSANO-TOR1NO e vicev.
Pinerolo
Orbass.
Torino
Torino
Orbas.
Pinerolo
(I)
6,15
7
7,40
(I) (2)
6,20 I 8,25 I
7,03 t 9,04 I
(2)
I 8,20 1
19
19,38
(Il (1) (2)
11,251 12,50 I 18,10 I 18,45
12,05 I 1330 I 18,50 I 19.30
12,43 I 14,08 I 19,37 | 20,08
(I) (2) (1) (11
11,301 14,25 1 14,55 1 18,15 | là,55
12,08 I 15,01 I 15,33 I 18,59 | 19,35
Autoservizio Sapav-Satti
PINEROLO-AlRASCA-TORINO e viceversa
Orario sriorni feriali Sapav-Satti
(2)
7,43 I 9,44 I 12,411 15,41 | 16,13 | 19,39 | 20,15
(I) Feriale — (2) Ftstiro
TRAMVIA PINEROLO-VILLAR-PEROSA ARGENTINA e viceversa
Pinerolo
PeroM
435 I 6,45 I 6,45 | 8,15 | 10,15 | 11,30 | 12,40 | 14,40 | 17,20 | 19,15 |
5,45 1 6,37 1 7,40 1 9,10 | 11,201 12,25 | 14 | 15,40 | 18,25 | 26,10 |
PoroM
Pinerolo
4,45 I 5,56 I 7 I 8,26 | 9,40 | 11,45 | 13 | 16 | 17,40 | 1830 I
6 I 8,451 736 I 8,101 10,40 | »33 | U,1S | 1635 | 18,» | 18,45 I
I
Linea Automobilistica
TORRE-BOBBIO PELLICE e viceversa
(1)
8,35 I 1130 I 19,15
9,05 I 13 I 19,45
Torre Pellice
Bobbio Penice
(I)
Bobbio Penice 6,(B | 7,30 I 1530
Torre Penice 635 18 I 16
(1) Solo II Vtntrii
Pinerolo
Airasca
Torino
Sapav Satti Sapav Salti
7,40 1 11,401 13,451 19
7,54 I 11,54 I 13,59 I 19,14
8,25 I 12,25 I 14,30 | 19,45
Torino
Airasca
Pinerolo
Salti Sapav Salti Sapav
7 I 11,50 I 17 I 19
7,31 112,21 I 17,31 I 19,31
7,45 I 12,35 1 17,45 1 19,45
Pinerolo
Airasca
Torino
7,40 I 8,30 I
8,44 I
8,25 19,15 I
13,10
13,24
13,55
Orario giorni festivi
I 19,50 Torino
I 20,04 Airasca
I 20,35 Pinerolo
7,20
7,51
8,05
12,15
12,46
13
18 25
18,56
19,10
23,55
0,35
Auto PEROSA-PERRERO'PRALI
PeroBB
Perrero
Perrero
Prall Qbigo
9,20
9,50
IO
10,51
ierlale
1735
ierlale
18
22
17,15
21
20,20 Prall Ghigo
20,50 Ferrerò
21 Ferrerò
21,60 Perota ______________ _
Le corse 7 e 22 si ellettuano soltanto 11 Lunedi, Mercoledì, Sabato e lestivl fino al 30 giugnoDM I luglio si elfeltuersnno tutti 1 giorni. Ls corsa 21 si effettua dal 1 luglio il Venerdì, Sabato,
e Domenica. La corsa 6 si effettua dal i luglio II sabato e il lunedi. La corsa 8 si effettua dal I
Luglio solo la domenica. La corsa 6 è in coincidenza con t’auloservizlo di gran turisaio Peroaa
tp. ore 7,10) Torino (a. ore 8,25).
6
5,35
6,20
6,25
6,50
8
6,50
7,30
7,35
8
11,10
11,35
18,05
18,15
18,40