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Vallées Vauj«ate
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Pasteurs.
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l^abonpemont se’paye d’aTaaee. (. ,
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Pour tontes les annoAees, s’adroMer i^l’lniprlpairlë AlpWeC*
^cjpncessioimair^.
S’adresser pouî laBédaotlon à M. GM- Tao», p&aÇ'^rre^llfie,
' etjtour l’Admli^trafion à M. j.’Coïssiw, prof., TorrenUtae..
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es Vraies^ hoiihêtes. " ÏÏgn«» de lottange^ ocçwjaept vos peiisôfs. (Phik f
Tout cbangeptent d’adrass» coûte . 15 oohtlnae^ sàof oehx dû .
.,'^mmenbepi%ot de Tannée. »!. ^ j V '
^i^s^engemente non acehinpagnés de la tomme de la., cent. ^
' ---^ pas pris en considération; ^
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Communication — L’i
Eph^méridet
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Nouvelles polit
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Le Vatican
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Vaudoîse a
hlVèr à répar' plusieurs
6 Conférences
proposées dai!#lli^tó)^isses %u Val
Pélis.
Les six con|teeiieii%|n qpestitìfla sont
les suivante^fe^ï Îa i
2. Les faiMic^^i^l^^orìfiiau0^{^
Jean
iÈ^. Nos p0rsj|l^id||^slreôfilo*Cay).
4. La Glori^ fée (prof. David
trë^ inedie p^-éñl »ptes laquell^
' il faut soupî^#f hélas f
ttéjl^^Hse "*4 bien* des
es torrq^JelleSj
rástres,. ^Herhpêtes, la's'éelieresse,,
lès épi(}éq^4 grève^,%'^j^ttli|é,,
des ;^0ipi^|| la Agrandé mis^e,^l|A^
cela’ e^ fOTf^mle, Lf ,yie n^st donc
pàs^'ra pa^tdp, e^t^é^feoutraire une
lütte'c0ntin||pÿieÇ ïxÎiie liitte^ de tous le#
.||Â' "
irïe a
Notre pat?fi /^^assé par des calii-^
mités, mais liblts devons remercier ,
Dieu de ce qüïlla veillé sur nous. Î1
^u
a 4ingé no’tre souverain, notre gpu->
vérnemènt, nos hommes d’état, de telle*
sorte que au point de pue poUHque,
noiis n'aVons pas* â nous ilam^e. *
Nous sommes "Heureux'' dé^e nue des
hoinmes à tendai^Be franchement libé
raie aien| pris pant*à la direction suprême (Îë jl'Etat; c’était un devoir et ^
A!> .._.
î ■ ■ -V-“ -t-r
sine, où nptrft-Coüiité a eu 4e bonheup .■
^inau|;urer ¡de «na^ülques temptes.
Et ù Borne même« dans notre capitalé.
r
recéder à l'acBat d^
2500 is^|;fes; e^T^8 (de où^vec
l’aidé de pieu,verra s’éleye^ une,
>cathédrale p|»^èaq palais. '
point de if^e>'spif.Uuet,' sì'‘,Poè^-„,
vje ^’ava«^lipas avec Ifatidíté,^*^”
se
i,*^oiiimès dit Jésiis. Haa sei^i^ ^tì® ‘ * * t" ' ,
^ à pettfe épdqûqe de l’ap#e,l:le'a’ÍB^i‘d.
AM-M d^A ' crtVr» /^Aif '*
bop %onibr% d^^l^^es ü^i -opt #ufe
àrjiüyer de nouvèauxçcl^^eûrs. Dèp^
de pps Joysins ontf ptìs
un putrì esÉ|pentré|ian^le^í¿p4é;
noussreste %n’k«éaÍ^üdfeF ,,,
bénisse pôtre,.trâÿaiXj Mé^fàiHe*'bìép.
• *. i - . '• ^ ,'lc - T .... - 1
son |i||a^’ Què Dieü hi^ssfc t^teq pa
trìe,tótre œuvre d’évap^é¿saíicp,i®0s'
iâèe’des bîëüfaitsque nous
MeVonlûà Cfir|st. 'Maife ¿êhii qui,a^.saisi *
le.’^salùt né p.bài|râ ■pas feire à nioins
qué'.’le'' parier ^^deg' cb^^s^qu’il a j^ues " /
et entenduesj’et condùi^^d^aütres aux
pieds, du Christ, ^ * , C , > ?' X ‘
Cejuî qui me <M?n^||Brâ*duv^t lés,,^ ’ ' '
.... l'arrête'sü'f-.ebte
Da^^s^ái^,#Pí^sJiv0^^ î îÇéiÂ' in^ivldqeij^e^^^ '^hnpè ladis v
ï^t et to^s#'Vo^ j'tó- bédi^
iêSlS-Vôus prêts à:|ïiendrë en nijin m*a
«te,a..,, a..
l’év|ngé|isation. G’esfÄut pn remite^ I'lea,use, et me i'ecopnaître eP .1|c;^ du
ménage *qui jjient ,;(|’dyoir ;lteb, compje Vèjrê ^âüy^r ft
*toàîi Ee*® Qu^ui>T^on|irons-,
Dftîù.-qiüe
imparfait, mais «quf^ bQ^ïfaisob* etK!^^3ei§neuy tu sais toute
%üs t'âiSmo'pîpq^^^^
Elles seron|f8!|i&i|e! D. V. à La Tour
le Jeudi soir'~ á¿^’,j^la Magna, et le
Dimanche’ scàti
Villar et
Bobi, dans l’oj^'^l^vant :
Janvier 8 - conférence.
» 12 - . id.
» 15 - SÎMfïite^^ Bobi, 1"*.
> 19
Boibi, 2”“.
; Villar, 2“’.
5“'. I : ■*
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Bobi, 5’"'
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4 paroisses ieS’*
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St |(|j illj^tfif 15, 29; Février
5, 12, 2Í, ioi ,1
La-.”
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ai«e|^;quei<
süîvnoBter.
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bi'min parcounl)^
||il^s qu’il a fallu
|èèn des levons à,
(ÛÜS qu’il fau**«com-j
" ^oiVept#iparad
^-----J v*,W 'AMI
pour tous. Cette harmonie a permis
au parlement de faire beaucoup de
travail et d’examineç une quantité de
problèmes qu’il faut résoudre. , /
L’Italie tend ù prospêr^er toujours
plus et son relèvement, à ç,et égard,
a quelque'cVose dè merveilleux. Le
bien-être' devient toujours plus général, et nous ne dépendons plus de l’étranger, comme par le passé.
Nos relations avec la papauté sont
, c^^vu’elles étaient, il y a bientôt cinql^te ans. Le pouvoir spirituel s’exile «très librement, et Te temporel
d<M du sommeil des justes. C’est dire
d^e personne n’a l’intention de brouiller la situation actuelle et qu’il fau(|j’a, bon gré mal gré, se faire à cet
liant. Le pape ne pourra jamais se
¡Üj^sporter ailleurs, de telleforte que
Itjpi tout à gagner à rester où il est,
•protestant d’un côté, et vivant tranquiiLement de l’autre. .Tf
Les Evangéliques à leur tour peuvent librement faire connaître leurs
principes. L’œuvre de la propagande
est entrée dans nos mœurs ; si, par-ci
par-là, il y a quelque explosion de
fanatisme, le gouvernement sait intervenir et protéger la libeçj^é. Ce qu’il
y a de certain, c’est que les protestants en Italie sont plus libres que
ceux d’Angleterre ou d’Allemagne. Cela
paraît une énormité, mais c’est' la
réalité. ^
Notre Eglise & continué sa mission
sous le regard de Dieu, soit dans notre œuvre d’évangélisation, soit aux
vallées, soit encore au loin.
Nous ne voulons pas oublier qu’elle
l’est fortifiée d’une manière sensible
itOênes, ù San Fier d'Arena et à
CONFESSER CHRIST
Quicoixpie me confesse devant
les hommes, Je le^ confesserai moi
aussi devant inon **
Mmh. X, B$t
*
La confession du nom de Christ est -*
* H '
un sbint devoir «que lui-mêipe a im
tendu'lt senti
4^
posé à ses disciples. C’est à eux qu’B;
s’adrésée en prononçant . les paroles
queinous méditons. Ils avaient déjà
appris à le connaîtra; ils avaifent contemplé sa gloire, cru en Lui, et reconnu qu’il était le Christ, Je fils dp
Dieu Vivant. Le temps s’apprdfehait
aussi, où ils devaient côbimencer à
conduire aux pieds de leur Maître, le
monde, et à considérer comme un devoir^sâ'cré celui d’attester au milieu
dans son i sein, qu'il est Çelui par lequel tout le monde peut être sauvé.
Celui qui me confessera devant les
hommes. Ces mots nous rappelle^^
aussi à nous quels sont nos devoirsT
Son nom a été invoqué sur nos Têtes,
le jour de notre baptême, et depuis
pette journée, se sont établis entre Lui
et nous, des liens que l’éternité ne
pqurra jamais briser. Nous avons expérimenté sa grâce ; nous nous réjouissons de son œuvre et de son triomphe ;
Sa paix peut inonder nos cœurs et
nos consciences; par son moyen nous
nous sentons en sûreté à Tombre de
l’amour de Dieu. N’est-ce pas aussi
son Evangile qui a éclairé notre route
depuis notre enfance jusqu’à ce jour?
et embelli nos vies en nous éloignant
du fléché dont plusieurs sont victimes?
J^ous n’avons qu’à regarder autour de
pous, et contempler ceux qui be possèdent pas ce que nous avons, pour
ent ce
ans ces cpnversationà’^^
intimes àvic Jésus. MSîs la^arole ne
safâiK^pas à-eliè seoje-; ilï dôivenf être
pénétrés de l’esprit de CbTist et de sa
vie. Par le moyen dé* leuKyie toute
CQnsai^ée à^pieâ, ils doivent démoœ
Irer au inonde- qüo J¿ Æ^uteitl ;^lr
en euxj que lêjrègne deDiêu n*est pas.,
ua beau systèniè, mais^quë c’est uné"
puifsance ^ivinequi est pénétréé dans '
Je monde, et qui ne ldi apjiartîèÊt,’
pas. J . ^
Nqus deyons .-nq»s,. eni acquitter dè
ia véritable manière pour quë’Ta bé*'
nédiclion ne nous manqué jpa|,. Nouif ,
vivions dans des jours où jf foi en Dieu;
sepble chanC^er dansT^'lsœurs; l’dn^ne semblé.plus eroíre.^qudle cb’ristia^
nisme soit 1® levain; Je ael de la terre 5
et dans de telles conditions, la côafession du <<nom de> Jésus en paroles
'i' A .»-ji - i
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seulement, ne peut plus être cettê force/
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qui peut vaincre le monde. Plulteurs
croient, et souvent hélas! à raison,
que les paroles pieuses jue spnt qu’un
voile pour recouvrir Pbypocrisie du
cœur. Il n’y a que la vie quî»'puisse'
produire la vie. Christ par le moyen
de son amour et de sa vie a produit
ce que tous savent au milieu de son
peuple. Il ne lui a pas seulement donné
des paroles à ce peuple, mais II s’est,
donné lui-même ; et c’est aussi par le
moyen de nos vies que nous dévons
démontrer que nous sommes ses disciples. Que pendant la nouvelle année
dans laquelle nous venons d’entrer,
notrepréoccupation constante »oit celle
de saisir cet idéal que Jésus nous présente; c’est-à-dire d'être des hommes
de bien, dans toute l’étendue du mot.
Pî^Gibaud,
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í&EPHEMERIÜfeS VAUUOIStiÿ^
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*, 4 Jai|irier. If"
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coosísKie â s'iômanoiper
ty^nte ^ la 8up«raímoi»:
^ Le gánéral0e:^ereaMel. ^
Cela fait du biea de trouver» dé^
temps en témps dans nos annales quelque acte de générosité, accompli^ en
faVeiir de nîbs pères, par les autorités
établies sur eux par les ducs de,iSà- '
voicf Cês actes’sont doutant plus remarquables qu’ils sont plus rares.
Le 4 Janvier 1707 nous en rappelle
un, pareé que en ce^ jour le gouverneur de Luserne, marquis général De
Bercastef, Honora de sa présence le ^
Synode tenu à La Tour. Il n’y venait
pas d’office pour le surveiller, il y
..avait pour cela le délégné Gasea; il
y enalt an jimi pour témoigner de
son intérêt pour Íes Vaudois. Ce Sy^
node est fameux hélas! à, cause^jle
ceux qui y manquaient, vu qu’il n’y
avait ni pasteur ni délégué du Val^
St-Martin. Cette vallée s’était érigée
en république, sous la protection de
Louis Xiy, et resta séparée de l’Eglise
Vaudoise, jusqu’en 1708, quand Victor
Amédée s’en qrftpara et la^réunit à ses»
domaines. Mais il èst fameux aussi à
pause de l’aimable visite que lui fit
le gouverneur De Bercastel., C’est que,
il faut savoir que ce personnage éprouvait pour nos pères une si vive sym- *
pathie, que dès le lltFévrier 1706 il
avait donné' à l’Eglise du Villar 300
ducats d’argent comme contribution
persdnnelle pour la reconstruction du
temple.' ,
Les archivas dñ Villar contiennent
d’ab^üant^pîi>l;es sûr ©etite reconstructi<Hî qui fut achevée précisément
en
tióííy^OíSr»aeiiítéi
comme aussi sur le temple
LE VATfCAN ET LES NATIONS
* Pie X est sanâ contredit un pape
sincère qqi ne veut que lesbien dë son
Pigiise. Êiu, malgré lui, à la haute
charge de souverain pontife, il a pris
BU sérieux son mandat, et il s’efforce
d’y être fidèle. Succédant à un homme
fort habile en politique et très érudit.
Pie X plus modeste, ne pense qu’à être
un bon berger, en soignant son troupeau. Seulement, comme les temps
modernes sont orageux et que les brebis sont exposées à brouter de l’herbe
empoisonnée. Pie X s’efforce de soustraire son troupeau au danger qui le
menace. Nous regrettons de devoir dire
qu’il est mal récompensé, car que
voyons-nous? he Portugal %e révolte
et chasse les Jésuites, en se préparant
à légaffser la séparation de l’Eglise
et de l’Etat. La France est lancée vers
un avenir très mystérieux et les évêques ne savent plus que faire. Enrayés
par l’Etat et par le Vatican, le mécontentement et la désorganisation se
trouvent partout. L’incrédulité triomphe et la libre pensée s’est saisie avec
audace du pouvoir. La Belgique, dirigée catholiquement par un parti qui
a su se maintenir au pouvoir depuis
longtemps, est sérieusement menacée,
et le jour n’est pas loin où le socialisme va s’emparer des rênes de l’état.
U Espagne, trop longtemps soumise au
pouvoir des prêtres se révolte, et le
président Canalejas a pu faire voter
une loi prohibant les nouvelles congrégations; elle sait que sa seule
-^eniagnè^atholique, 1
fbfce intellectuelle de Rome, se rebelle
contre le jnréfeënt àûtinfodèrntetèi iMi«
ÿbsé aux prêtres et aux. professeurs.
C’esL,,donc bien grave tout ce qu^
nons pouvons constater au seuil de la
nouvelle année, ¿a barque de .
Pierre se trouve sur une mer bigif!
houleuse, if y reste, Î1 est vrai,
nations protestantes, Angleterre et a-î
tats-Unis, qui paraissent subir Pinfiuence, néfaste du Vatican. N’en croyons'
rÎen^jiÉâûÎgré^certaines défections, maij
^ gré certaines faiblesses des autotiié«
'p61itiques,'lè8 nations prbtéetaiitéà sauront Que veiwMis-nous^eBjl» »
tôt? Attendons, en veillant et priant.
Ouvrons nos yeux, cariés signes desi
temps sont une prédication éloquente»'*
t,a Tour* Aies journaux politiqûes
dé ^me(ÿ ^rnier, o^ iâppoj
nouwlle,^«^ M. le p^of|;j4.
d«^^hev;ili^ de Ja co^<^e (^Italie
e^^St.J^^rice -et Làzàre, ténaït
d’être décoré de la croix à’officier de
lâ* OdurS^n^ dTt^I^, idi' métû* pròprio
.#le S. M. — M. le prof. Vinay, prési'îdfent du sous comité de la croix rouge
%
travaillé avec une telle énergie, en
tte qualité, qu’il a bien mérité cette
C-' '■
CHRONIQUE VAüDOISE’
Bobi. Favorisées par- un temps exn ceptionnellement beau, nos assembliés
religieuses de Noël et dijtlIîouvelÿAn *
ont été bien encourageanteiS^soît'pBr
le nombre, soit par l’attention sont^ùè
de «eux qui y prirent *part, et parmi
(;.eux-ci environ 350 s’approehèrmïtod»
la Table du Seigneur. ■ y #
Les'élèves de FEcole du Dimanéhè
eurent leur fête comme d%abitude le ‘
jour de Noël, et le soir 7S jôunes gens't
et fjéuites^Mlis jej’ünioû chrétienté,
répondant à l’invitation dû pasteuf|et
sa compagne, se réunissaient dans"'
de
la grande salle du noüveaù lo(^y^
y passaient quelques bonnes hèure^aü
(hssH
son doux en même temps que puissant
du bel harmonium qui arrivait enfin
bien à propos, et venait coumptier
admirablement l’œuvre entreprise |>ar
notre aimable bienfaiteur que nous
regrettions de ne plus avoir au miHeu
de nous. ii
* ' ■'%
Mais à la joie devait bientôt suCt^er
la’ tristesse. L’avant-veille du NouVelAn, un cortège de quelques centaines
de personnes accompagnait âu ch#mp
du repos la dépouille mortelle de Joseph Berton, ancien du quartie#!de’
Peirelà, un de nos unionistes (hi la
première heure, qu’une violente pireu*
monie enlevait en moins de huit jours
à sa famille et à son Eglise, à l’âgé
de 51 ans.
Cet homme de Dieu laisse ^i^Urlüi
l’exemple d’une carrière toute consacrée au service du Maître et au bien
de ses frères. Depuis qu’il eut lé privilège de saisir la grâce qui est en
J. C., sa vie fut en effet changée du
tout au tout. Elle était une prédication vivante de l’Evangile. Homme de
paix, il chercha de toute manière à
procurer la paix autour de lui, dans
sa famille, dans son quartier, dams la*
paroisse. Quoique mort, il parle encore et il parlera longtemps au milieu
de nous.
Que sa veuve et ses huit enfants,
dont l’alué était depuis quelques jours
seulement sous les armes, reçoivent
encore l’expression de la sympathie de
l’Eglise entière, dont leur époux et
père étaièenne colonne, et auxquels
il laisse en héritage le souvenir d'utte
piété vivante, et d’un dévouement chrétien à toute épreuve. B» G,
^distinction, ce dont nous le félicitons.
I Jeudi prochain 12 courant à 8-h.
J(|û.iSoir, dans l’Aula Magna, aura lieu
jremière des conférences données»,,
la « Société ¿’Histoire Vaudoise »T ‘
Suj^t: Nm prigiries,.^^ ‘
^ Unlqn, Chrétienne dé
filles .a vu, av^ grand regret, la semaine déHirèfê7*“partîrchèi'ë ’^ê- '
^sidente, m“». Robert, qui va ^’établir
■à Pianello Lâflo^Robert son
frère a été nommé^optenr.-': 3 *
f Ce n’est pas flatter que de’^ïe^î^e’’^
s(^s la présidence de M“® Robei’t, nètr^
Union a fait bien des progrès.^ Par son
ca^çtèfe sérieux et aiinàbÎÛ'à la fois,
elle savait combler certaîhès lacunes
qui jusqu’ici suaient passé inapèrçues
et placer un bçn mo'ftoujours à propos.
Depuis un plus d’un la# seulement
qu’elle était à la tête de notre Unioh,'^
elle avait su sè fairë*aimer et’respecter par tous les membres.
Mercredi soir, 28 décembre à 8 h.,
^nous étions réunies pour saluer notre
chère présidente. Après le culte, on
%’ènlretint de plusieurs choses; elle
fut très émuin lorsquey^àû; Jiôm dé
l’Union, Ame jeune ^le lui présenta
deux tableaiix bibliques, comme petit
souvenir et signe de reconnaissance.
une si noble initiative qjiii
été cou#nnée par un h|)n
y exaipe
portent’■ O
ne nous
semble H
l’on rem
tati on da:
au culte pÎfKîjl;
pendant lé
trop .mauyiii
moins
de J
h»is, le nom)
-200. »Que 1’
nous'Tie’do
parmi ,nouj
î? Notre c
édifiant; le '
un joli chœur,
notre régent ^
bre de memb;
chèrent de la
de quoi encour,
Les ex||nens de quartiei
yés avant Noël ; part^uï
été-suivie avec intélêi
public. Les obsèr^
ropos de l’abandbû
i|ées et les exhorta
réchôpun sa place
lônt, été’jugées
aïÉséi .vesp^ims-ncpEf
aient ét| d|Mrr|i$i
science et qu’e
de fruits,
its, du reste, si nolis*
s d’illusion, il û
¡mûririfvu qjièsensible augmetare des auditeurs
.auf.un dimanche,
s était vraiment
;avons jamais eu
pes et, quelques I
[Hilllevé. à- près de
n continue, et
’il se' produise
èil. ; ?
l a^été aussi
sque-rëmpRÿS
t dirigé par)
un bon nom->(
qui s’approi^l
t^gneur:
Æinous assurel
que les commUte)|lAr^i été plus
nombreux que A Dieu noua
donne que ce ne^g^^pg^un jFen dsl
paille> mais rœt(v%^l^^iut Esprit''
en nous.
8 Nos deux
arès le
Í le -me, offert paj;’
li*'® Robert.
bon exemple qu’elle nous à donné, de
dévouement et de bienveillance, nous
demandons à Dieu de la bénir dans
sa nouvelle résideûcé, pays catholique
où elle se sentira un peu seule sans
l’Union à laqudle elle avait consacré
une grande partie de son temps, et
nous lui promettons de penser à elle,
en lui demandant de ne pas nous oublier non plus. c.
ü Nous recommandons chaudement
Aes Légendes Vaudoises de M. le pn
vlalla, publiées les derniers jours
l’année. Comme toutes les Vallées.,,
sont intéressées, il est paturel que jS(iy,
livre puisse être connu partout. Prix:
2 francs.
flessSne. La souscription ouverte
par VEcho, pour un souvenir à la
moire de M- Chauvie est close,
avons envoyé le montant de la colleclfe l
- plus fr. 2 de M. J. Gaydoü, Ayralâ<'*’-«
à M. Corrado Jalla qui se trouve actuellement à Caltanissetta, où Al a ôté
envoyé par le Conseil d’évangélisation et qui nous charge de remercier,
■au nom de l’Eglise de Messine, tous
les donateurs.
M. Corrado Jalla a acheté deux
tombes perpétuelles dans le cimetière
réservé au non catholiques. Les corps
de M. et M““ Chauvie ont été exhumés
et se trouvent déposés dans les caveaux préparés à cet effet. Les dépenses se sont élevées jusqu’ici à fr.
476 et 10 centimes. — On espère inaugurer le petit monument à la mémoire
de nos ouvriers, et des frères de l’Eglise de Messine, tombés si soudainement, vers la fin de l’année. Nous désirons remercier M. Corrado Jalla d’avoir
sont aussi bienjjk^i
afons 144 élèves
seetioh«às|IaîJd
ëiOijièiÎjÉsb dimanche:
Nouai
là Peumian. Nos
pour le bonheur d^
ü Actes lituf
décès 3: celui d’|
dernier Synode,
talot assesseur cèlû
ans, qui avait déji
huit jours auparl
sœur, Félicie,
tombe 15 jours
La famille BertÎ:]|
éprouvée puisqu^|
Arts, les troiSi tó^
w
d!r<% en i
mu;
cette épidémie de |
notre paroisse ; mal
en parle hors d’ic
[ue la
famille, jii
’hftf yÓlMh qui se
tuellenient alité.
LéS^i'oisième efii
nous avons eu dansíá
de décembre, est cei
Jean Fr. Ândrioh
présentai
qui a été trouvé m
ans, danâ'sbl llé^iSânl
aient jusqu’à prése
sa mort est due à
s’eSt éndormi de ih
exprimons aux fami
affectueuse sympat
Kio de lu Plhiui
resse, la révoliitio:
qui ont ravagé pl
lonies les dons po
mune et pour le '«
sanee *^ *ont dépas»
■ -w
jeune^é
riage 1 ^
députés ail
Jean Ber^^
âgé de 43*1
compagne
celui de sa
it dans la
;e de 34 ans.
durement
s’-trois déassesseur
seul peut
dedanger.
sqû’ici, de
[Ui a affligé
eut qu’on
ons de nodisant
fà une
farçon
(we ac
3fit ? que
jeo|^ dû mois
3
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k9-: Im diphtérie àr fatt^ pinsieoi^i
vfibtimes à Iris. ^ . I ■ ■ M
OD Henri Pavarin a per^^
et pM mariée, aveé âîa J|e
liferre 'iélmi Ri voire d’Ægrogne. '
Cl® Humbèçt 'Peyroneli^de Veaado
O^ierto^YÎént de 'partir I pied, ponr
Yiïii;. t&n voyagent bon retéir.
10est jeune et très courageux.
Oo- A S, ^ustavo la récol$e de frorient et maïz est perdue. , • *
ïjNainl-Germain. Le 3 Décembre
dernier un modëste convoi fuûèbre iac-j^
c^npagnait au champ de' repos de
CMstâbelIa (Pfamol) la défwuilie mortëllè dë'ReynaMii Jacques pèT*e de rancien de Æe ifl|iartier, décédé è. ISfSuite
d'une ciute. Notre fière avait 8§ ans,
mais it était encoré plein ídte fià’ce et
d'éneiigie,;Nous exprimons à notre frère
rapcien,,de;,C!ostabeya iCt à i^ute J#
famille du défunt toute notre sympathie,^ . G.
Ô' Samedi dernier on a acobmp^né
au champ du repos, les dépouilles
mortelles de notre frère 6V i/ie Ponzio,
décédé subitement à l’Asi it4es Vieillards. Cesare Ponzio av ni ti connu de
beaux jours, lorsque ancien^de l’Eglise
de Turin et occupant ui ^rbonne position, il avait consacré les forces à
faire connaître Christ, < i ouvrant sa
maison pour des réuni ns spéciales,
où bon nombre arrivèi nt à saisir le
salut en Jésus, leur Sanyeur. Ayant
perdu sa compagne ét síí píáí», p vint
frapper à la porte de 1 Vsîie^ où 11 fut
recouvré, et où il y fl" du bién pe'n-’
dâht les dernières ani éns ,de sa vie^
ü»aiui»ileaii. Mard t% Décembre
eût lieu à la cure la fetejde l’Arbre
pour les maîtresses e' les élèves de
^l’Ecole de Couture. >■
1 ’Ô Mercredi 28, au s?ir, belle fête
des ünîons , Chi ètieiïhçTs 'de’St-Jeatj
dans la Salle Aibarin, ouverte par une
prièi’e et une allocut iou du pasteur et
continuée jusqu’après K) heures piir
des chants et des ci ürs,ei des récitations fort bien exéc i;< s, le tout suivi
dé ratraîchissements, c' conversations
et de jeux familiers.
Nous iélicitons M. Mc .i i^'lia, président
de l’Union des jeunco gens, et Mlle
Bastie, présidente i'e 1 Union des jeunes tilles; de l’heureuse idée et du beau
succès de ces réur j qui, nous l’espérons, se fépéteroü cet Aivèt.
et üamedi 31, au nr, réunion de
fin d’année au priïnier Itage de la
Maison Vaudoise,, ( liants, prières et
léctures'dans la Bi>;
ayee de sobres
obseryatîoiis,consti u ut le programme,
ion gnûté.par les nombreux assistants.
& ilimaucUe prochain, 8 courant,
à Soir,'dans la ôaiie Aibarin,
première des Conférences
données par la « Société d’iIi«aboiie
Vaudoise^. Sujet Nos origines.
Iré^ae. Notre cçiiègue M. Balmas,
nousfêçrit une longue et bonne L'ttre,
nous ;dl>d^^ant. des nouvelles du nouveau champ d’activité qui lui a* été
confi^ La réception accordée au nouveau ^conducteur a été des plus cordiales; et il se sent encouragé par
l’affection des nouveaux membres de
son Eglise, qui sont assidus au culte
principal, comme ù celui sur semaihe.
Parfois la plac^ manque tout à, fait.
«On sent avec b^nhenr que la semence
jetée n’est- pùs ' perdue, mais tombe
dans dû bon terrain,-et qui, par conséquent, ne peilt maqquèr. dr^porter
des fruits ^ni|: po^|¿s f^es. q^uoi.
que les cuîiÉés €u s<mí aient lieu â g
heures, il est des à ombres qui jloiyent
faîW dd tonr 4e foi^ pouvoir
y fssOter; et ils le fonty ils’quittent
leur bureau à la hâte, et prennent encore 4ine part active à un exercice de
chant qui suit le culte, et ne rentrent^
chez eux qu’après 10 heures, après
avoir accompli leur devoir de bons
et fidèles membres d’église.
Il est, en outre, quelque chose qui
me réjouit: c’est l’estime dont jouit
nntre église auprès des églises sœurs
éti-angères, spécialement celle allemande et écossaise. J’ai reçu plHout
un accueil vraiment cordial et teL..
que nous avons pu préparer un splendide Arbre de Noël aux enfants de
notre école du Dimanche, et hier au
soir notre chapelle était remplie de
membres d’église et d’invités, accourus pour entendre un programme composé de chœurs, de dialognea et de
récitations, développé par nos chers
petitsenianes, aidés par quelques grandes personnes et qui a duré dçux heures précises, autour d’un sapin de 4 ï[2
mètres de hauteur. En somme, bonne
et joyeuse fête qui a laissé une agréable impression dans tous ceux qui ont
eu le privilège d’y assister».
Nous remercions M. Balmas d’avoir
bien voulu nous donner de ses nouvelles et nous faisons des vœux sincères pour que l’année 1911 soit heureuse pour lui et sa famille; d’une
manière spéciale, nous demandons à
Dieu de rétablir la sauté, si ébranlée,
de Mme Balmas.
Aouyellüs polillaaes
A Messine et Reggio on a commémoré le 28 Décembre l’anniversairé
de la grande catastrophe de 19Ô8. Services religieux dans les églist^s, pèlerinages aux cimetièj|es .où giafení des
milliers (le victimes, ffeurs ét «îiseoûri
sur lel tombes, voilà le . programme
de la doufoureus' journéil, assombrie
encore^par le .temps pluvieux et frôid.
Le soir du aiême jour la population
était alarmée par un violent incendie,
éclaté près (lu pavillon des télégraphes et deS téléphones de la gare. Plusieurs baraquements ont été détruits
par le feu qui s’est propagé rapidement parmi ces constructions en bois.
La troupe a réussi à isoler l’incendie
en démolissant les baraques environnantes. Il n’y a pas eu de victimes
mais les dommages sont considérables.
Partout ont eu lieu les réceptions
officjielles du premier Janvier. Avec
le cérémonial habituel nos souverains
ont reçu Dimanche les représentants
4u Parlement, et les hauts dignitaires
de l’Etat qui sont venus leur offrir
leurs hommages. Quoique souffrante,
la reine a tenu à assister à la réception, Elle portait le bras bandé à cause
d’une foulure qu’elle s’était faite la
nuit précédente en tombant dans un
escalier pendant qu’elle allait embrassei les petits princes et leur porter
les souhaits et cadeaux pour le Nouvel-An,
Par suite des mesures prophylactiques, prises par les autorités contre
le choléra, des désordres se sont produits Dimanche à Tárente, Les carabiniws et agents de police ont tenté
de repousser les manifestants, mais on
les a criblés de pierres et les agents
ont tiré quelques coups de révolver.
La foule s’est retirée laissant trois
morts sur le terrain, dont un enfant
de huit ans. Une enquête rigoureuse
s instruit. Toutes les troupes sont consignées dans les casernes à cause de
l’agitation qui 'continué dans la ville.
Il y a eu de nombreux actes de vandalisme avant et après^I'énieute.^
Une grande agitatioé a régné; en'
France, à Paris sîirtou|, les derniers
jours, de l’année, â ’’cause.^^du procès
et de la condamnation à mort d’un
nommé Dui^ndf’’chef d’un syndicah»
ouvrier.. Pendant une grève à Rouen
un oèvrier^jaune a été tué d’un coup
de réyolver. L'auteur ou l’instigateur
du crime aurait été ce même Durand
qui avait proféré des menaces de mort
contre le traître. Arrêté et jugé, le
verdict du jury amène à une sentencé
capitale. Grand émoi partout. Les jurés eux-mêmes signent le recours en
grâce. Des doutes surgissent sur la
culpabilité du condamné. Enfin les
syndicats ouvriers s'agitent pour obtenir la révision du procès, menaçant
des manifestations violentes si la grâce
n’est pas signée. Le Président de la
République a enfin signé l’acte de
grâce, opiÇiBauant la peine de mort en
sept années de réclusion.
L’insurrection au Mexique n’est pas
encore complètement domptée. Les
troupes fédérales ont repris aux révolutiounairés la place forte de El Pazo.
Le président Diaz a offert une amnistie aux insurgés,,et promis la suspension de plusieurs gouyerneurs, la réforme dans les impôts et la suppression des abus qui ont en partie provoqué la révolution actuelle. E. L.
-U'E
m —
TRÉSOR DE GRAND PRIX
PAB î
MARGUERITE S. COMRIE
" .^TOULOUSE
SOCIÉTÉ DES UVRES RELIGIEUX
Paléi^ine. Les journèàüx apportent
la nouvelW. d’un nouveau massacre,
fait par les Arabes, au dépens ûea
Turcs et des chrétiens. Il s’agirait de
la destruction de Kerak où il y avait
2000 habitants.
Parpi les morts on compte 100 chrétiens.
f* Ah. payés et non quittants.
19Î0iP. Bounous, Riclaretlo.
iplO-1911: Mme E. Mylius, Torino » H.
Brenna, Fontaines.
1011; Lina {vieille, Topino - Alberto Frache,
Torraca - Prof. E. Boàib, Firenze - Dr John
Biava; Milano. Ricevuto pure importo inserzlonêj Contraccambio cordiali auguri. - Davide
Pellegrini, Torino - Paolina Pellegrini, Id.
- Itale Rostan, Cry [Savoie] - Louise Rivoire,
PilotRill [Cai.] - Henri Tron, Pignerol - Mme
GaIl|Sn, Marseille - Mlle Gaydou, Id. - Stefano
Bertii, Pignerol - Pascal Enrico, Id. - Gander
Giafofno, Id. - Pasquet Emma, Id. - Long
Gius^pe, Id. - Revel Prof. Paolo, Id. - Rostan
Enhcj), Id. - V.ve Gay Micol, S. Secondo Revej Giov. Daniele, Torino - Et. Berger,
OmKijes de Cavalle - Jn Revel ancien, St-Jean
- Ef Beymonat, ex-syndic, Bobbio - F. Rostan,
Oôn0 - D. Gaydou, St-Jean - D. Prochet prof.,
Turil [avez-vous payé 1910?] - D. Fonieron,
IrisfMlles Cayrus, New-York [Btehoit 1®"^ Septem^e 1911 ^ Bons vœux] - P. Ferrier feu
A., #tót [avez-vous payé 1910 î] - J. H. Matthietdsec. com., Pomaret - Mme Vve Bonnet,
Turin - L. Ferrerò, Id. - Maj. D. Beux; StGernàin - A. Genre syndic, Bovile - G. D.
Buflfaipasteur, Turin - D. Miller, Bordighera
- J. [). Billour, Vallecrosia [reçu fr. 2,50;
manqie 0,50] - G. Marauda, Cuorgné - Aberto
Long,Turin - E. Fontanaroux, Châtillon [bons
vœuxj - Daniel Frache, Turin - P. Chauvie,
Rio bhrina [boun di - boun an] ^ M. Chauvie,
Angrojne - J. J. Léger, Valdese - B. Benech,
Iglesia - E. Gay, Pra Ligure [souhaits] - E.
Pascal Falerna [manque 50 cent.] - Bureau
postal! Genève - Bureau postal Lugano - M.
Mack^zie, Alloa [merci-souhaits] - J.BosioGay, la Tour - Vve S. Meynier, Pérouse D. R^el, Ivrée - G. Bert, Champ-de-Praz ComnhndeurPoët, Pignerol - B Avondet, Envers-Îbrtes - S. Jabier Vve Mondon, St-Oermain i Od. Jalla, Florence - B. Revel, Còme
- Chei D. Peyronnel, Pomaret - J. Tron f. P.,
Salse !■ A. Pons, New-Jer.sey, U. S. N. A. D. Ha^on, Envers, La Tour - Veuve Gay
d’AgMtino, La Tour.
Sig. E. Pascal. Vendita Giornali a Dicembre
1910. jBrazie, contraccambio auguri.
Mm« Rosso Chambón. Col. San José, reçu
par M. Beux pour années 1910-11. Reçu de
M. Beux l’envoi - expédié livres - écbangeeiis
cordifges salutations.
■f'i
.::'r
V,
L’étudiaut en théologie ne se le Ht pas dire
deux'fois; il prit sa course yers la grande
route, suivi de près par son futur élève Bientôt le désastre fut réparé, et il fallut songer
BU départ.
— Vous reviendrez me voir, n’est-ce pas, ma
chère petite î dit M“* Clarence en embrassant
Eisa.
— J’en serai bien contente. Et nous permettrez-vous, à ma bonne, à mon^ frère et à moi,
de venir le dimanche à votre service ?
— Nous serons très heureux si vous pouvez venir. Dans quinze jours mon màrî sera
ici, et alors nous commencerons nos réunions.
Nos excursionistes arrivèrent sans autres
aventure à Roccadoro, où l’on coinmençait
à s’inquiéter de ce retour tardif. M“® Brindini
avait la migraine et s’était couchée de bonne
heure; mais M“® Mactavish les attendait et
alla assister à leur souper. Marguerite et Bruce
y tirent honneur, tandis qu’Elsa avait trop de
choses à raconter à sa vieille bonne pour
avoir envie de'manger. *
Plus tard, pendant que Nanette lui brossait
les cheveux, avant de la mettre au lit, la 111lette lui dit:
— Savez-vous, Nannette, nous avons été au
Vatican, qui est, parait-il, la maison dn pape ;
mais nous ne l’avons pas vu. J’aurais pourtant
bien aimé l’entrevoir, tout au moins.
Chapitre Vili - Le Bosquet.
Les jours et les semaines qui suivirent cette
excursion à Rome passèrent rapidement et
joyeusement à Roccadoro. Notre trio avait repris avec courage pioches et pelles. Eisa avait
la noble ambition de découvrir 1e bébé de
Oqkèbed, et.-aussi de seconder -RUa dans ses
recherches aurifères.
A côté de cela, les jeunes fllles trouvaient?'
du temps pour étudier la Mblesous la ilii-e^-^
tion , de M“® Mactavish, malgré les défenses
et les menaces da péra Gaspard. Eisa admi-'^;
rait .beaucoup je courage de sa- eoiiainé, qui j
jusp’MôiVràvatt jamais osé WèsMiéîïi ¥
conducteur spirituel. Ce prêtre, en effet, exer- i > j
çait une sorte de fascination sur la j eune mie ;
lorsqu’elle éijait en sa présence, ?§ yuJonié était L M.
paralysée, et elle subissait son influence sans
pouvoir s'y soustraire, quelque désir qu’elle
en eût.
Le jour où M. Maxwell avait emmené les
enfants à Rome, M“® Corvielti avait quitté le
château sans dire où elle allait et sans donner
son adresse. Margue’rite aurait été scandalisée
si ont lui avait dit que cette absence était un
soulagement pour elle ; mais il n’en était pas
moins vrai que sa gaieté, son entrain étaient
revenus, qu’elle circulait dans la maison en
chantant comme un oiseau, et que Henri, en
entendant ses joyeux éclats de rire, ne pouvait s’empêcher de dire: « Pauvre enfant!
elle est heureuse maintenant! pourvu que cela
dure I »
Ces bonnes dispositiunsdeMarguerite avaient
une heureuse influence sur son père. Celui-ci
paraissait moins soucieux, prenait place plus
souvent au cercle de famille, et s’intéres.-iait
même à la lièvre qui s’était emparée de la
jeunesse. U allait souvent assister à leurs travaux et les plaisantait sur le succès possible,
quoique peu probable, de leurs fouilles.
Nanette et M“® Brindini étaient moins enchantées de cette toquade, l'une parce qu’on
salissait ses vêtements, l’autre parce qu’elle
était souvent privée de la douce société il’Elsa.
Bruce fut le premier à deviner cette impression de sà tante, et pour lui procurei' un peu
de distraction, il parvint à installer un hamac
sous les arbres à proximité de « leurs travaux », de naanière à ce que la malade pût
venir, elle aussi, surveiller et encourager les
travailleurs.
Le champ de leurs opérations était dans ce
qu’on appelait «t le bosquet », non loin du
nouveau jardin potager dont Henri dirigeait
l’installation, et sur les conflns de la propriété
du comte Roraualdo. Si nos jeunes amis ne faisaient pas encore les grandes découvertes auxquelles ils aspiraient, il ne se passait pourtant guère de jours sans qu’ils trouvas.sent
quelque poterie, quelque beau morceau de
marbre, etc.
(à suivre).
C.-A. Tbon, Directeur-responsable,
V.
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