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Cinquante et unième année.
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16 Avril 1#16
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Etranger...*. ••• ,-4 . » 5
' ’ I^lu8 d'im'èiemplàitô à'ia ïùà£ùè' adie8se; '‘’'
T»aiemagne, Antriche-Hoagrie,Belgtqné, Brésil,.DaBeœark, ;, ; 1 lî^ypte, Hollands.,Suède, Suisse, par abonnemeni
Postal selon Aàcard dé' VieHne^ ' ¿''âiob
l'i : U:i ..íí.j vO’i.'fiij
; P*> s’aboaue: à Torre PolMce ,au bureau d’administration et à
1 Imprimerie Alpine; dans toutèiles paroisses,chez MM. les
Pasteurs. M-;l 'te -¡i, '■ ■)[; Oi 'ï. mi,
R'A,issa,*^.;t chAQMiS;,vre.Nc>iBiEp.i
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'ii L'^aboansQiéat aeipaye d’aVanoe.i.)-Mr:‘.i'-.>:(5 ììì. ii.i -n. -lii;',.-dt-i
'|‘/C ¿ .i:---- ■■ ‘ t" / f
s’adresser i I* IrapiiBierie Alpine,
Pon'r tèWtes Îe8 àiinoBees,
¡i ooDoessio&náire.
S’kiresaer pbur la Rédaction à lÀ d.-A. Tkoit, past., Torrè Peîtiàè,
et pour llAdmtBl8tratiOB àM.j.<loï8SONi proi.tTorrePeÎUeei
‘‘‘ To^t'éhâügèiàent d’aàresse ood^ IS cenii'mes, saut oenx cin
- ? oommenoemsnt de raanée. ü ,.'. ;
Les ohangement» non< aooompagpés de la .somme d.e 15 oent
■ né seront pas pris en oonsidération. '
Qwe toutes les choses vraies, hoánéteei jüstespptiréá¿ fóiíáables.....^dÍ^eé de louarige, occupait vos pensées.' (Pàii TŸ, 8).
■ " -M"-' ..... ----------- ■ ---- jtP ’ t . .1 t.t iT‘ ;■ ih M'i, M U..I
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i-;i.’ji;/7 !',ú;íjí i ‘iUM.U
S.OMMAII^^;.. Ji'étais. ¡mort, ije :suis-¡vivant
I r“ d^Ajmee du Te.tui)l^,,^e JBtesc^i
* Mission ïtomande aux Spelonken irP
'Yiero Ôiaéosa — Cëi•rèspondá^e^'—^
Chronique vaudoise — 'Ntìuvellès pòi*
litiques. . htîil i/ii ù'ap
J’étais iriorti Je' sjli|,:ti|feí!’
Conïm); tqùb était sqriatïrieÎ4ÿili'bùr Mu
Vendredi Saint ! Conipie nous comprenons bien ces ténèbres qniâsürVihrent
tout à coup, menant deuil sur lâlJumière
qui avait été rejetée ! Ah ! le priticg dés'
ténèbres, peut bien se réjouir, car apiMremmedt il a obtenu une victoiré'énnWi
piété sur Christ. N’est-II piasfm®rt^ur la‘
croixi dé la mort lasplùs ligtiuminieUSé,'
cloué entre deux'brigan8s.^iLés'saeriíiM
cateurs i peuvent bieii’se r^ouir, car^'ilsi
ne verront i plus et nfentendroiBt’plus ceJ
juste qui osait* les i blâmer et leur repm-'T
cher ieuriihypocrisie; les s Cribe» ègt ■teá'í
pharisiens'kMurontiplusifâ souténir des'
luttesf avec cfi dnctenrfsinvimciWé fai 4b{
sait dans leurs cœurs ; ce ¡peuple fahâtisè.'f'
orgueilleux, présomptueùx n’aUid ,^lus5
devant ses yeux ce roi quilhe ïaisait qué
lès humilier et qui ne faisait >rien pour’
rétablir le^ royaume d’Israël.- sépulcre <
a englouti sd victime.;' les sentinélles sont
placées autour du tombeau et font boitnéî
garde. Femmes de Jéinsailem, ¡pleurez et
lamentez-vous ; frappez-vous la poitrine,
car le prince de la vie est vraiment mort.
Et vous, .hommes Galiléeris, vous, les
choisis-, phur être des témpins, votre Maître où »t-il ? Vous êtes tristes et découragés; pùuis vous comprenons. -*- Mais.i
oh I n/y«tère des ; mystères, quand déjà
Siles forces coalisées du mal célét leur victoire, c’est alors que la¡
» frappée incidentelleínemt par la
mort, sort triomphante du tomheaü.
Vous, ê^saintés femmes, qui vous rendiez
au sépulcre chargées de drogues et d’arômes pour embaumer le corps de votre
Sauveur, épargnez votre peine, ne soyez
point en souci en vous demahdant qui
roulera la pieffe: voyez plutôti leitom-i
beau est vidé. Accourez, Ô.apôtres idésolés, scrutez ce tombeau où était le -corpsde votre ¡ Maître, il est vide < quelques
linges'seulement sont là, attestant- que
le mort n’y est plus. 0 Marie, fidèle servante du Galiléen, ne va pas croire à uni
sacrilège; les soldats romains n’étaient-ils
pas là pour accomplir lepr devoir avec
leur discipline de fer ? Mais vous tous,
amis dévoués du trépassé,.laissez de côté
Votre tristesse, vos doutes, vos angoisses.
Ouvrez plutôt les yeux et regardez; au
bord du tombeau vide se. prouvent des
créatures étranges, ayant la ressemblance
d’hommes, mais ce sont des anges venus
du ciel, ils apportent un message, écoutez l'un d’eux¡ qui paraît un jeufie; hom^
me (s’écrier; Pourquoi cherchesrvous
’AVù « ,, Î’S'iVit» Jî-j i
parmiiLés morts Gélut qui est vivant'-?
Jésus.sn’est point; ici, ib esti ressuscité."
SouvêuezfVGus de-quelle -manière^ il vouS>
arparlé, lorsqu’il était-encore en Galilée*;!
« II-faut ,^ue le fils ëe l’hommejsôitdivré'
entre rlési mains (¡des hiaiames» péchèura,«
qu’il,sait i Crdcifié, et i qu’il éessUkitéM leí
troisième,¡jour Ivvc JjUi'.n-'Ai .visàW*:- /
.. il/.!J’iétais’niorti je suis ùimnt. Que- Jé-ì
sus-;iutiimort, c’est hien |mkivè;- niais
qU’Il Xoit (vivant, cela ne l’iest fias, mains.'
Quelitriomphe pour la petite armée dUf
Galiléen ' pionr Í un instant ¡ Mispépsée I i lie’’
courage revientv la foi se rallunle, le zèle
seimanifésté, l’espérance de Favehir dfe-'
visât une réalité.* Les- ¡ pria messes ifaites;
seront,?maintenues», le^eombat«sera-■cou-'’^
ronné'par k süccèlSi Jésus «st vraiment le
Fils de -Dieu descendu duieèd pour'cher-î
cher et sauver ceux - qui êfeêa’rili perdus i'
La condamnatinn, est vraiment¡¡êtée, là*
mort ne:sera-Qu’uniincident, les demeures promises dansda imsflsonidu-Père attêWèW éèlx qlTfcMT'l^^
eux, ,É»®C^fl«àt€iu, fmSi qiur
asoensiion vers k.ciel' Uù les trôînesî sèht
pmparéa et où ils -règneitont aveedeur roi;
pour l’éternité. Non. ‘Jésus n’a pas faibM-;
dans son;ministère en trompant ceux qurf
se donnaient à ¡Lui;-ce n’est pas un philosophe, uhi philanthrôpe, un grand bien'-.«
fâiteuCidu mòiùent,-c’est le Fils de Dieu
qui i s’est fait homme pour attirer ses
semblables à Lui et les rendre heureux. !
Gette assurance c’est pe qui a fait la force
dé-Pierreiiet de PaùL en prêchant aux
Juifs et-aux Gentils 5-cette assuranoe c’est
ce- qui à ouvert. la bouche des martyrs i
marchant à la mort en confessant Christ ;
cettei assurance c’est-ce qui dònne ceftte
joie aux mourants désireux de -seitremver le plus tôt aunciel aveeJeur chef et tes
autres membres du troupeau. Ah Lmei
nou^ étonnons ¡pas de cette îmarehe’rapide et conquérante du christianisme à S
travers tous les sièclesu J1 n’y a pas ici’
une allueination, il y a une réalité plus
forte que le mondé et l’enfer réunis, une>
réalité qui s’affirme.
■ Mais quelle confusion dans le camp de
l’ennenii 1 O Satan, où est ta victime ?
ô sépulcre, où est ta victoire ? Vous, prêtres Juifs, vous docteurs et scribes, vous,peuplé» ignorants et fanatiques, qu’avezvous obtenu ? Votre rage vient se briser
contre Christ comme les vagues en furie
de la mer contre les écueils 1 Vous êtes'
liés;! impuissants. Votre ennemi est victorieux-et il règne au siècle des siècles.’
'Pharisiens modernes, armée d'incrédules, égoïstes • spéculateurs, démago- •
gués insensés, continu«^ votre oeuvre
folle et délétère si cela vous plaît. Vous'
ferez quelques victimes, mais votre œu-î
vre pera détruite, vous la contemplerez
avec terreur un jour. Oui, vous serez
obligés de rendre un compte de vos iai-i
quités et de pleurer sur vos forfaits» « " "b
Gtîèétieàéi rtïès 'frèrés, le^ grand jour
est ari$yê. Il' est Vraiment'bessüscité no-'
tre'SauVèuti'Il est vraiment* Dîeli éelùi
en qiii-noüà'avôns’plàcè notre confiance.
Il est-ressüscité commé''te preniier-nè;nôus lèssusbitetô'ns. à notre tour. EXal-'tons, »^jonissons-nous, trâvàillons, ôhM
tràvatooîlfe'àvec corfflancé^ èt zèié: Notrë
travaft-pe-sèra pas vain-, car la 'Victoire
est asîlùtêe.' Oui mbus lé dit ? Celui qui
a déc^è -éetté' vérité si MÔuéè J’étais
mort,|e suis vivant.* G; A. Tuon. '
La|ièaiÉ lipleie'.
" La ^utnéé de dithanéhè à été àBlènnelleBreséia et pour l’Églisé Vaü-‘
dôiSe. Pbüt Érescial diSons-nôùéi car le'
11 aviill'étàît' p^êcisément la dàté de Fàfl-''
niver^ire ‘dé/ie 'di'eei^'ÿiortidie,' <Ét aussi
cette teè patribtitlüfé'en à * profité poar‘
faire ’ déniôhstiàtîôn^^^’e ¥arëi
ment ¿trtià'én MVôiis vù*n'ôtrè‘^é‘.'*
Ott pijlfe'bieft 'Miré t|uê'îMuté ‘là Vilte' ÿ à'
piM^artiMMt* eit pàÜrMAsalri!#* rhé# ëtlek ’
fenêtres' dé’hahùièresi séîf’én ^pi*énànt:^
d'ààSatit les 'fealcôttS pôùr ’côfitfeirtjîlér
d’intèrminabléS'éortègés,’ soit éàllinçànt
de petits billets ayant tôùS le’înênié bùt,‘
celui de ràppëlèr l'é déVoitMè rachëter ïeÿ'
prôvînces lénèore êh dehors de là vie de
la nfàtion, soit surtout ëd’intétvèhànt à
la 'démonstràtiôn (jni partit’ dû palais
municipal et qui se rendit* au cimètière.
Râiéinent ôii à'vu ufte'ünibh semblable :
l’DgIise pari'ttîië'PoihctS'on solennelle à Ia‘
cathédrale à 9 hë'ùres'et demie et par sèS'
nôriîbreùses ’aSso’ciatîorts précédées des'
• bàAMères, était là, se mêlant àii peuple et'
pârtagëant avèc lés autorités civiles”
Fbônheur de faire vibrër la corde pàtrid-'
thjàe. II y avait 153 banUiêrèsi ünë 'quàhtiféde coüronnès; mais c’est'surtout Cëlle
dés'irredenfi qui fràpjiaiF et iriipression-^
naîtiRe public. Qùeitjùes centàihes’ de’
Trerdins èt de TrieSiini, Suivaient leurs*
di^J)èaux et la couronne pôrtàht'un rubiÉÙi hoir en signe de deuil avêë cette 'inscifÀtiott : « GU Irredenti dÛa vigïtia dèild
lofif liberdzioUe^. Au cimetière, le' Maire’
dé 'Btescia, deui députés, et les repré-*
setféànts de Trieste ët dé Trénto prônon-’
cèrent des discôurs touchants. En passant devant le monument dë^Garibaldi,
lès drapeaux s’inclinèrent et c’est là seu-*
leàSént qu’éciatèrèht les “applaudissements de l’immense fodlé et que tes Garibaldiens eurent Une ovàïîon saisissante^'
Brescia, belle Ville de près de lOO.OOO'
habitants s’est montrée, dimanche der-’
nier, à la hauteur de sa renommée: ville^
foite et patriotique, digne. Honneur à'
la Ville d’Arnaldo. ' ' ' ÿ.‘ *•- '
''î*our VEglisé Vaudoisei'le 11 avril sérd”
doiénavant une date mémorable. II S’agissait de procéder à la dédicace du Uoùveau temple qui se trouvé dans la ruci
dei Mille, à deux pas de la plaëé Gàribaldi '
Cëtte pà'rtie dé la ville dura certainement
un brillâtft'avéhir et noüS né dôütôns pas
qfue Teriiÿiiaèément chôisi sera' faVorahl'é
à là prédicàtiôhMél'Evàngile. Après tant
de j[ièrégrinatiortS;’àprèS‘ tant dé soiicis, il ^
était juste que’la ville de'BrèSeia eût
auSsi son Hémple vauübis. NoUs avons
dans Cette Ibcalité deux ôuVriëàs'tomhès
au 'champ d’'h6nneur; MM. Jeari PbiisÉitrrer et Piétrk Andtèètiii nous âVohs'
une ébngrêgàtion'qüi Cbmpte plus'de'ïOO
membres et, en tout,- environ 200 personnes qui sont sons l’influencé de l’Evàngile, ri’était-ce pas le temps de poür-*
voir ? On y'a pourvu èt très biën'jibufVii.*
Notre Eglise est tout à fait un petit nibnument dé l’art. Honiieür à l'architecte,
un membre dèT’Eglise*inêhîè:''Lâ façade'
se présenté bien] àVèc une béîie rosAce é#
l’inscription : Cùresô FàZdéSe.'E’intérieiir
est confortable et élêganï. 'Au fond l’ab-’
sïdè; à gauche î’brguei excellent. Trois'
fénêtres avec dès ■ritraux coloriés, pàS
trop' surchargés ; le tetriple pieut 'corttènir'
afsÀrtéhf dfeuk'ééntspérsbiiriéàyi’àcbùltiiy
que est des meilleures, l’écho n’éxistant '
mis par invitatibn'.^^SL fe'pasteur F. Rostan, chef du diStéÎctpébfiiiMença par l’inVbèàtiôii”sè 'chargeant'dè’-la prèmiâre
paître dû culteTitürgiqùë ; M. 'B. Léger,
lé modérateiuri’déposa la BibleMn chaire*
en pronbùçàrit'là prière dé consécràtiôn
M.*E. Qiampiccoli, te'président dn Colïiité, * pronôbçà le Miséburs de CircbnS*tance; un diséôurs up íó date, ebmme diraient'les 'AnglaisV' c’e^' à diré'à la haùteùr' du Woim'eW. II prit pour texte lés'
pàroÎésMe St-Raùl*/ «'je ne 'gèux connàî-'
tre que Ghristi, niontrant comnrént lé*
témjlië étàit consacré au Seigneur Mans
des temps solennels poür la villé dè' RreSèia', Aour'î’ltàlie e?t (jub les sèrttiméntS
qui devaient déborder de nos'Moèùré'
étaient'ceux àe i-econnuissanctét ûë’responsabilité. Là Séëon'dè pàrtie dû'discours éüt pour* büt dè démiontrer comment lé*'C/irfsZ doiF' être ‘áhnoncé 'sbít
parce qué'nous appàrteàbUs à une Eglise
gui bien avant la Réformé, même avahi*
Arnaido, vivait pour Christ et'' cbnfêssait Christ au milieu des haines et des'
persécutions; soit à cause de notrë'
qui doit toute se concentrer en Christ,
et qui répond aux besoins” de' vraies
légions qui se trouvènt en Italie ; saris
la foi en Christ la vie' serait iiîutîle, un
vrai fardeau;'soit pour lé faire péiiétrer dans la vie de tous les jours, car àP
tuellement cè n’est pas Christ qui règne,i
c’est la civilisation saris Christ;”c’est lâ^
barbârié.' Ce discours, prononcé avec
puissance, avec'clarté; avéà uhe siiAplî-i
cité qtti s’adaptait'à toùtes les intelligen-’
ces, *a laissé l’immense auditoire soiis* là
meilleure' des impressions. Dieu bénira'
cëtte semence' de vie jetée dans tes'toèii'r's.'
S
2
t>î
aiü^
öl'Ht Ôl
ÿfmÎÀU i» í»ííiiSiípol
distincte et privilégié^ contre tout éela
iit%on i^ignation. Une|iniati^î|»ourrie de^lère, d’horreuf et
fe^ semblpb^ à celle de qui "dé¡acherüt de ses cnâ^s un polype monstrueux et repoussant et à cet effet les|dlchirerait avec acharnement » (p. 184|. c:
“ Rester dans l’église (romaine), mais sé
oaS.iift.iO-des llénients qui la corrompeiit^
l|e service a été clos par le pasteiif de
la Tour, qui a te&i|é j^^ne
pri^e. Notre Rère rflfe Crè& Ajo;
que^e Chœur a foi^^n H»
tiques, ce qui ajoufea-ina béaflé dileaite.
îî|ans l’après-tnidi M. le prof. Rostagno
de |<‘lorence présida un second culte non
moâis nombreux, non moins recueilli. La
çons chrétiens, pour les associer aux rites
iiindal«^ du j^anismeMln dimancl
i’heure^ ®nt parcoq
ban
M
»anisme
les païei
le ^lage deiTaldézia, l^s
■geSidl^gnlssiers à lÎ main, en quwe
de nouveaux adeptes. Une partie des
chrétieùs'^tililstÔ lâuSfe dés défectiiSs
qui se produisent, €t Uautre, parce que.
parole vibrante de foi du professeur s’at»'»sbrûlantd’.y aller .oh d’y envoyer leprs^a^--';
Quelques mots encore sur l’hôpital
(^^Hubsidié pa*É 1^ Gott^e&ra^É(25èi^(^rs. par an|i cMtinqp-ôfs
qnéilprte tq^re à faire ^pwcier^ &ssi^. Oe Îêlf^à 1913 le nombre ^s liralades blancs a doublé (de 65 à 111 par
%n) ; on éotripl^é'céf hôpital iiar un laJjoratoire, par une salle pour rayons X.
'dii’bôpà^ des noirs reçoit chaque année
tacha à n}op^tcer i^p.ell^ sont les çcmdi- ^ fants, .ils i ^ envujoii' 300 malades (l’augmentation estiaj' rester dans l’églisei-^mais en repôhssef fa
tiohs religieuses de nôtre peuple qui se «-Heureusement qu’il y a, commq-e^^]^ moindre que pour les blancs). Les, noirsj ^,^ptéte^dué esseqCjÇ>,iqgClergéTtesi;er dàrts
trouve ^ups ,1 iufluenç|^.j4?j, J-^ncré^Îjt^^j,^^ rçstç.quine fléchit pas et q0i. 4- hospitalisés sont surtout des Bavendas, T’églisei .mais en- retrahcher la hiérardhiè'
nouÈ adéëssotts én ^rêséhtant jé^;(|Î|ri n‘éüTj^^®^é^'ä® nos chrétiens suc- Quant à l’école normale de Lémana,’ se chargera d’effectuer; Mais l’église s|ins
quiiélève, qui jnstruit, qui transforme la .comberaienL Nos chrétiens exposeront plaoée sous la direction de M. Eberhardt, la hiérarchie c’est le christianisme dé^iosociété, qui epmba| le P^^, 4’ç^oïsm^, .. vie pou|,Feco^uyjçr .uim^ypche voIé|,4y|Çl,le^çpiupte Irentur^^^^^ garçons^ et qua^^iiccrutiquo, Cf es^ l’aüroro rie la imnaissaiice
qui prépare le lendemain qui doit être mais iis n’osènt pas lever le petit doigt tre filles. ^ ^ ... .... .. l§M®nsei^e’est IgJRéfflrpat^^^
Italie l’Eglise Vaudoise.
celui de la paix et de I amour.
Le, soir à, 7 heures ot depiie ppe agupe
fraternelle réunijt. .une cinquantaine de
frères et de speurs. Ici encore ¡op eut le
privilège de passer quelques beaux mo.
mentsensemble; on fit desçonnaissançesf
on se serra la main et on se sépara aveç,
la joie aip fond dp cœur^ JLes Eglises ()e,
Aoste, de Rome, de Còme, dp ,I)iice, en^;
voyèrent un message ; d’uptres ga,rdèrent
un silence... siguificatif. MM. Simeoni, B.
Léger et E. jGiampiccpli portèrent des
santés aux bienfaiteurs et à l’Eglise.
Parmi les personnes qui accoururent, dp
dehors à notre fête, nous ayons remarqué
la famille du chev. Fontapa-Roux de Milan; M. A. Quattrini; la famille Baer de
Vérone; la famille Henking,. de Bergame;
M.me Ppns-Harrer de la ¡Xqur, outre les
membres des deux administrations. „
, .Que Dieu bénisse J’Elise de Brésçiaj
ep la faisant,prospérer en foi et en noiUTi.
bre. Il y a un beau temple, uniPresbytére
superbe^,,pne chppeUe çpufort,able,,et ès
Brescia un, grand pepplç; gpe t’Expugile
puisse y tropyer..tej chemin,.dçs,,çflepra,
MISSIQK ROMANDE Alix SPE^NKeC'
^ Aqjourd'hai. ,
Elim et Valdézia, ayec un grand, nombre d’annexes, sont encore aujourd’hui
les deux principales stations des Spelon^
ken. Kquroulène, fondée en 1903, est ,à
30 kilomètres à l’est de Valdézia, dans
un pays plus bas et plus malsain.. L’hôpital d’Elim et une école normale à L,émana, plus,pu sud, complètent l’çeuvre,,
tandis que ^hilouvane, à 160 kilomètres
au sud-sud-ouest, et Mingha, à,130 kilomètres au nord-est de Valdézia, mat-r
quent les points.extrêmes du, champ de
trayail missionnaire, du, nord du Trans-,
vaal, dont les Spelonken.p’ocçupent quei,
le centre. , ,
Voici quelques nouvelles récentes .des
Spelonken qui nous ont été transmises
par l’obligeance de M,,; Grandjeqn. -rComme partout ailleurs,/la mission a
reçu le contre-coup de la guerre ; M. Jaques écrit le 18 aoûtî «Il en résultera
évidemment pour les missions., un/grand
déficit matériel et moral. Nous nous y
préparons. Nous allons réduire leSvtraitements de nos évangélistes. ¡Puisse cç|a,
réveiller nos chrétiens au point de vue
de la libéralité ».
La Mission romande a, d’ailleurs,¡très
souvent souffert des > conséquences de
guerres moins formidables que celle d’aur
jjourd’hui, mais qui menaçaient plus directement ses stations.,,
Il y a ensuite un retour offensif du paganisme qui se traduit en particulier par
ce qu’on appelle les écoles de circoncision.
Ainsi M. Rosset écrit de Valdézia, le 3
août, qu’on lui a enlevé70 garçons,de ses.
écoliers, trois hommes mariés et sip gar
pas lever le petit doigt
pour sortir leurs fils de ces antres de Satan ou leur parenté,païenne les a atfiiiés
de force op parla peur», À Efrata, la
meilleur annexe, presque tous les chré-;
tiens, ont cédé au cquçant, tandis qu’à
Em.maüs TîT touchant, contraste —t.mni
jeune homm® encore païçn a refusé, naal-,
gré ses parents,¡de se laisser entraîner;,
on est allé faire un charivari jour et nuit
dans son tillage. Il a tenu bon. Le len-;
demain il annonçait àjsrèvangéliste aon
désinde suivre ,le Seigneur. C’est comme
un tison arraché du feu, i.. , j,
. Dt’nutiæ. part,- M;wJaques'éerit d-’Blimr
Je crois qu’il faut frapper un grand çoup
et qù’ii fà'àttMi&étiri de ïa fermé toüi ces
homm.es chrétiens, quiisont allés aunffoma., La porte de IJégUse continuera d’ailt!
leurs à leur être ouverte.,,cQue la imis-i.
sance d®s, ténèbres est ¡redoutable ,
; Que question , grosse/dc conséqiienees
eat cellej ,de la segrégation,¡ d’après« lar
quelie certaines, parties dUf,territoire,ha-:
bitable et,®ûtti^able seront réservée^aûik'
nègrep,|, tandisj.que. d’autr®# appa^endrqnt aux.blancs-:Les marchands ai^lais!
etj-hoers auriaient Ydeia -reléguera les
2QQ,pOQ noirs dû district de l’autre côté,
de Ig . Montagne de fer, bien loin dans le
nord et l’est,. Mais cet avis; n’a pas prévalu. Les stations des Spelonken nestent,
sur le terrain réservé aux noirs, en-vertu.,
des, décisions d’une assemblée -tenue à
Pietersburg,. où les missionnaires ont été
consultés. ¡, j., ,
Les chefe indigènes, voulant-<hscuter
de leurs intérêts, mit emprunté la salle
d’école de Valdézia, qui leur a/été accordée, à condition de ne pas boire de la
bière indigène dans les séances, Cette
bière indigène fait beaucoup de mal. Un
évangéliste d’Elim disait dernièrement:
Nous sqipiucs trois homuies qui ne buvons pas à Elim. Sqixante-dix personnes
ont cependant renoncé à la bière tout
récemment, à la suite deiconlércnces données par. M. Creux, ¡venu/de, Prétoria.
■ La vie,de famille fait défaut chez nos
chrétiens,, écrit encqre M, Jaques. ,La famille, n’est,toute la parenté, le clan; l’individu est noyé dans la collectivité. L’enfant a grandi pendant bien des années
chez ses grands-parents, dont l’indulgence a passé en proverbe.
Le synode de la mission romande au
Transvaal s’est réuni les 2 et 3 juillet à
Elim; c’était la dernière,fois, pensait-on,
qu’on ferait le vpyage dans le pittoresque cart, l’inauguration d’un chemin de
fer étant prochaine. L’évangéliste Jacobus, qui allait partir pour l’école de
théologie d® Morija au Lessouto, a fait
ses adieux-; chaque homme des stations
s’est engagé à donner annuellement un
sheUing (1 ,fr. 20) Æt chaque femme 60
centimes pour l’aider dans ses études. Le
synode se réunira à Valdézia en 1915,
pour la quarantième anniversaire de
cette station. ; i
«ri S-*»!«;».«';;' ■
Les divers rapports s’accordent à dire
que la fréquentation dès cultes est bonne
et la libéralité en progrès, sous réserve
de, certaines annexes : ç^est queIque>chose.
Du côté de Kouroulène, l’œuvre paraît
devoir s’étendre, un petit chef ayant demandé un, évangéliste dTne manière très
pressante. Dans son rapport, M. Rosset,«
de Valdézia, demande aux lecteurs d’êtref
toujours indulgents avec les pauvres
chrétiens noirs dont il décrit les faiblesses'.*'
Nous n’y manquerons pas. Les temps où/
nous sommes sont bien faits pour nousrendre indulgents à l’égard de ceux qui
montent^lentement,! et non' sans reculs'
momentanés, des épaisses ténèbres du*
paganisme à la/lumièTe de l’Evangile.
Soiyons «'.«indulgents : et humilionsmous
nous-mêmes comme chrétiens, comme <
Européens, comme protestants^^ comméî
Suisses;; Hiunilions-nous et espérons en i
Christ qui a vaincu le monde. « u« ;
: .'i« î ‘ aiEd/De Perrot, a!
/ {L'JSdufiation Janmer 1915).'«
! l»IERO QlACOBA.
■Piero Giâcosa tràvaille de toute son« ;
âme «pour une plus grande Italie; plus,
grande et plus consciente au point de vue ;
politique ; plus grande et plus audacieusement innovatrice au point de vue spirituel. C’est un professeur d'université;
c’est un Fogazzaro ressuscité et retrempé
dans les dures expériences du modernisme; c’est un prophète qui tient ferme
comme voyant Celui qui est invisible ;?
c’est un croyant qui oppose au catholicisme officiel, sombrant sous les« superstitions, les affirmations du christianisme
éternel. ^ ^
Il écrit dàns l’un des plus grands journaux italiens, dans le Corriere délia 5era,
des articles aux chaudes couleurs nationalistes et qui provoquent de vives discussions en Italie et à l’étranger. II a publié dernièrement un livre intitulé Anteo,
que nous avons parcouru avec un intérêt
vif et quelquefois même passionné. C’est
un roman à thèse religieuse et qui arrive
à la conclusion suivante:
« Agir, on doit agir, sortir de cet état
de doute terrible et angoissant. Mais comment ? Emmanuel; le missionnaire catholique, se séparera-t-il de l’église ?
Non; parce qu’il se sentait profondément
chrétien et avait une idée telle de la communion religieuse, de son unité et dé sa
sainteté qui le rendait fier d’y appartenir.
Il testera donc dans T'église, mais il res-«
tera dans la plus large communion ; toujours lise détachera de ces éléments qu’il
savait corrompus, quoique, grâce à leur
position hiérarchique, iis représentent aux
yeux de tous l’essence de l’église même.
Contre eux, .contre les formes extérieures
dont ils s’entouraient, contre leur langage,
leur .hiérarchie, leurs privilèges, ! contre
tout ce qu’ils ont inventé pour se séparer
du monde, pour s’affirmer comme classe.
J’entends dire : «Lès conseils de Pierò
Giacoisa sont sages;'niais"après tout que
offre-t-ii au renouveau spirituel de TltaUe, ? Des paroles. Qr ce sont des actions
qu’il lui faut».
Lecteurs; exigez de l’éëriVaîn le tàlërit
dq ^hoq cQnsejjt mqis l’sexéçutiQn ne,Jîj
demahdèz que He v»uâ-mêmés. " '
« CORRESPONDA NGE.
• ' ' * ■ Ginosa, le 6 Avril 1915.
: «:. Cher Echo, ; / ,
Voici quelques nouvelles pour tes nombreux-Jecteurs; : .;j¡ / ; ;
- Le carême est passé un. peu agité. Lesgros-bonnets du pays, tous humbles serviteurs du prêtre, avaient réussi à faire
venir eomme iprédicateur un enfant'du
pays, un moine du couvent de Squinzanô
près de Lecce, et- ils étaient persuadés
qu’il aurait donné du fil à retordre aux
protestants, et, qui sait ? il aurait^ peutêtre, ¡réussi à les réduire au silence.: Ji
ne faut pas «se faire illusion : Ginosa n Hst
pas du tout« un pays libéral; comme, on
m’avait fait croire; sauf quelqufes exceptions, tous, de la..haute bourgeoisie aui
dernier agriculteur, sont contraires à notre église, et ils seraient bien contents si
quelqu’un pouvait la faire disparaître.
Venu le moine, après quelques jours,
il commença à nous attaquer, et nous,
autres à répondre. Il y eut ainsi une série
de conférences polémiques assez fréquentées, mais pas comme nous l’avions espérés La sainteté de l’église, Vunité dès
protéstantsi l’importance de la religion, à
qui nous devons ,nous confesser, Jh^iis ou
le pape ? le purgatoire, le médiatem, ètCi,
voilà quelques sujets traités, V ¡ :
Nous avons donc travaillé, et nous espérions d’en avoir bientôt des fruits,
quand tout à coup, à cause de la grande
misère qui est dans le pays, et du manque
de blé et de farine, le matin du 29, pendant que j’étais à Tarante, il y eut une
émeute;le peuple se dirigea vers unfmou'^
1 in, fracassa tout, prit et emporta la farine, le blé et le son, et, non content de
ça, rompit le coffre-fort et s’empara de
plus de 60 mille francs, puis brûla tous
les livres d’administration, et pendant
toute la matinée il fut maître du camp.
Les pauvres carabiniers furent blessés,“
et pour empêcher qu’on envoyât du renfort, on coupa les fils du télégraphe. La
préfecture, cependant, ne -tarda pas à
savoir ce qui était arrivé, et le lendemain
le pays était rempli de soldats, de carabiniers,. de sergents de ville, délégués et
magistrats. On comfnença à arrêter et
envoyer à Tarante, et déjà plus de cent
personnes sont en prison, entre autres^
celui qui est retenu maintenant comme
le chef dés Adventistes et qui fait trembler et tomber en trance les autres. —
Quand jeudi matin je partis «poiir aller à*
Tarante jpour les réunions du jeudi et du
3
. ií.
í
L
%
Ì?
Ì
ifc
vendredi saint, je le 'Vjs. Ca
stellaneta, fl^4
tourna les .(ÿ©ux;' j«alfcêùreu^®B't
des nôtrM^ jÿp ôon^iller caIQm^ltt^al^W!.1
aussi ét^r^é."'"’^^
Les réii^ions''^ ont souffert, et j’ai dû 1
suspeûdfe celles iilu lundi, du jeudi et du
vendredi saint, parce que ^èr^opnè ¿’ose,
plus Wrtirjé soir.
„Inorale, sera répétée
h. % du soir,
graûd^écôlJde^^^Laurent. Tout
avec plai||ter pour
passer une soirée aê^We''^Ϋour en|0“ra^^la^Chorale à continuér. ^
Samedf^i? co^i*^
cat'^Si^nêi^ôi^îé'^^'dniis ÍÍ ■& àîdiite} 5éqneñce”des^%gitátidns''^^HÍ®^^
Cène le Ve^dfé<K ,;S^int,JLe. jò^^^ de Pâ^ Íioos¿)opuIay:es quellesjjjçéle^ q,’pntj,8aS
qnps Jp^epiple f^ii littéralei
telli^B^yiièr î«8 b|iïicS‘'pf(Jinjaires^iiè pûQ
rent suffire^jpg^^jtonoerjjplaçe fu public(;
Nous e^.^ni|s|ms le Se^npur», !
tes
iirée.
uo avjLii^re soir. -1 li-., «i -—--
.■¿-ii“-' ae P.,ue„ ,
aura
comme-celni de 1 anneeá)assee. À peine s á '
un^ trentìiìe de nltsonnes ont^ait la ^
Î4 du- soir,'da^ns la
ChoHÌ*à
d’oceasioA,
pubM
^<^tré
à ?la satlsfaeíioñ de tout le
■ /<-v ^''SX
vinç^ ^de ^urin, fe’ sénateur "^lÎforèlIÛ
est traqsiterè^è Florence, vét . il dpit êtip
i^mplacé ,.p^rVerdinois, jfptnallemeiÿ
préfet à Vérone. «.r-.j« , fl
■ .3n:i-0 tsh f
!Sj très impor.’
un^ trentaiSe de pltsonnes ont «ait la 1
Saintè-Cèn| et la trislgsse jfniplissait
toi| nos c^rs, en pensant à ce qui était r^**^**^ d d^ee de Goloftîa Valdense.
arrivé. Diei¿veuille que ccî qui s’est passé ‘ ommission Examinatrice, venue
,1 _ Ui: • :Vï : < < .«î*pressêmmt de^MantevideO, s'èst mon
.tçée satisfaite de la bonne ‘’naprehe du
Dans l’après-midi du jour de Pâques,
une jolie fête à l’Union des Jeunes Filles :
pour’donnèè'ûne cordiale Bienveriué ‘aux)
catéchumènes réce-iTiùipnf ’rAPnoc Dis-"
f Un conseil de| ^mini|tfeS|
^ne sùf lês aélibérOTions laisse penser qi¿|
cours affé
.í^rlí-^^í-iiísííi’ I «.
Í itlejoangufatjon de la nouvelle année
en ces jours-ci, soit une bonne leçon pour
foui,'et que’notre peuple apprenne à' i?é
pas^trop écouter ceux qui sout irpùjours
prêts à prêcher la violence I *"* ' .. , .------
. , * ’ ••'*“® s®ol^re aura heu immédiatement après
X rr. . . ""'•-'Pâques. . -, >3'
A.Tarante.'0U3evaischaque.qx^ej|.|^ - ^ —
jours, nous avohs eu, ces^erqiers tçmgs, , ..1 ^
X- HP. ndmbrêux'-phbhc s’ét|||, donné rendez
re Cl
man
,.L
v -r.ee.ue|.^.
!Sapx cahMqqç^ioJtes
it;
?,^c^rdi^itéâ^ tpuchant|^^
soir
ne de
de bonnes réunions. Le; dimancho; desi.-T-,^ - „ . ¡ r
Rameaux, le jeudi et ie ves^i^i saiift-i^ ';" ' S?®,Î??P° ^ P*’
tV. . _ n iî 11 On Ta'ri An Ali 1-1T .1*
XidlllcdUX) le JcllCtl Ct 10 V6H^r0Cli '■ " '• ■”vV‘* .
les cultes .ont: été bien fréquentés, a noiu^ieAplc. Le dis
1 1. . coursjofïiciel a étj^||içj^iicé par le pas
dredi soir il y eut l’adniission d’euri soiaat An-, ■ ‘ ---
de marine, et 25 perales .•.ppw4g/iáT.*’ O»«
^ „ - ...„ ,.r X a.Pres-midi.díi. mS#n¿ iftiir Q on lio., I.
rent à la Table dé la SfNs|Je-Cène. Lés
membres de l’église désirerSiit avoir les
mêinè jour a eu lieu la
première séaJtèo,dÇ CShférence du disstrict à
cultes tous les dimanches, ptfitvoir un délégués
ouvrier fixe qui reprenne ïe -frl^ï'idu
regretté M. Mariani, mais^ pour 1e aborda la question
ment le Comité ne peut pas les;contentei,"^ délégation à la Conférence
et pour cause.! '' '* > ^
■ j^We toutes les dénominations évangé
..liques de l’Amérique du Sud dans le buf
têpe réçeption se répétât Je mardi
s'IèsTocàtix de l’üù^oïi ChrétienÿP||es Geqs. ¥*uissent nos chers
nouveaux Membres' d’Eglise "(^ohserver
de ce|i|ours une imjiressioh bénie et fortifiante et puissént-ilS se sentir toujours
eqtoiiié^le là’mênièfratérhélle^affection !
La collecte dû dimanche (le renoncemeirilSli«à^ghr^^èiâ? MîsMdftifle Paris a
donné'dans'la -paroisse'frs. 85.“
iriif^hfeîétéiparticulièrement édifiants
et fif^^tra.^Cèlui du Vemiredi Saint
aa^^^rçux^communiants
' liàtichumènes
Sai
i^sez pour le moment; salutations
fectueuses. H. C,
reçus le dimanche des Rameaux — se
•t< {J;.
sont approchés de la Table du Seigneur
D«n lill chanJ^J’oéà%iâemiêÎ'
dé
CHRONIQUE VAUDOISE
ANGROGNE. Samedi soir, dans l’é
gublic accouru
die la paroisse et même dfe' LU Lour èUffe
^t-Jean, notre Chorale a eu ssuscUrée ré^ :
dréative de bienfaisance, dont voici le
programme :
1. Chant, A moi les cœurs braves — 2.
?
Poésie, Le pasteur du désert (M.lle Madeleine Gaydou) — 3. Monologue Le ceriMer (M.lle Honorine Rivoire) — 4. Chant,
$e m'assale violenta la tempesta — 5. Comédie, Le sourd (MM. Albert et Adolphe
Malan, Barth. Chauyiç,, Silvio,,, Riypire,^, ,
Lamy Bertin, Barth. Odin, J. P. Frache
' et Em'i4Sàp;pà|^.0!|g*>«^^>^ps“
poésie. J’aime Jésus (M.lle Fanny
8. Idopologiie, .gui qu’q du ta.'J. Pl Pr#hp — 9. Mçholdgue, ‘
.à rien |iirf (M.lle Lydie IVpian) ■ '
haiïtj. La paix ¡du sdir ~ IL (èo-î
Agenore V indeciso (M.m, Lydie
hialan, MM. Silvio Rivoire, Âdoïphe et
Albert’Malaft,' 'Emile Sâppé''et Lamy
Bertiny — Îè. Moilôlogué, Jfe skû J^rkr *
aux femmes (M. Albert Malan) — 13.
Chant, Sur lesi^pnimets —14. Çomédief=iî
Le mariage rféÎJean-Pierrd' (M.me Argentine Chauvie, M.Iles Esther Rivoire et
Annette Chauvie, MM. Albert Malârfl
Bârth. Chauvie, etc.)*-^ 15;Chant, Etends
sm nous tes ailes, o douce nuit I '
^ 'Y’-' ,iL' 'f ■:
L’absence, pour cause de,mala,(Jiç d’un
deis principaux acteurs, qui a dû être remplacé au dernier moment, a nui à'Texécution surtout de la première comédie,
■•f-i '• -if: ' ■ 'y ..
sans empêcher cependant la. bonne r.éus
de fonder, en commun, une faculté
théologie au Chili.
LA TOUR. La Table, dans sa dernièr|
séance a nommé une Commission spéf
ciale pour s’occuper dés soldats en cal
de mobilisation. Cette Commission, qu|
par la
nité de
httLcoqLribué à la solences cultes__
Saint
.Dgns l’pprès-midi . du,,
Î'ïlnion tßreiienne de Jei
Vendredi
» T — * T
des décisions très graves bntiété’¿risey
L’opinion générale ést '^fjtfe Tfteuih' J
che et que; l’ïtaHe va Siéntd|ïsbr€r (^
sa neutralité. Mais pour le momenrnoià
ne savons rien de précis. Les négociatioiM
continuent à Berlin et à. Vie!n®e,.-mnîJ
rien ne laisse préveir une •solution^danrs
le sens de la paix.^ ,, .»»«u...
Depuis quelques* jours de nombri|ises
familles allemandes? quittent |l’|||áii|. il
en part surtout delà Sicile e't de Malles.
Une bonne partie de la colonie_^nÍ|陿nde
de Rome est aussi loifl:Xe^ concis Allemands conseillent le départ à íéúrs compatriotes (fànsj’éveutuahté d’une gqerre
avec l’Autriche et par conséquent |vec
l’Allemagne. ; |
Pérsonn^ ,du > resite, ^|se parle| de
paix en Eprope. La guerre devient :toujours pijS^ ïéfoce.'«Si|r le«^arpatheJ où
on §e bàt' aVeé aéfiârnement depuis ^eux
mois et demi, les RùSsés'*àoto*(Îev|nus
maîtreÿ dé toutes les crûtes et'áe1oi¿ les
passages. Mais ils se sont artêt& depuis deux jours et les AustfmAîfêîîiânds
annoncent avec sécurité qu’ils li’ifbiït
pas plus loin et ne mettront ^
cution leur pla,n d’envithir la Won^îh.
Les bataillpi ont été terqbleSj, surtquLA
(|ole de St-Laurent, (ieyant un nombreux , - - -------y— iju#
des^diffâ-énts^‘^^tifâ Oïdéteréâdrfi'IMfàï/est composée comi
f s.«. _* i I-: Í suit, fl slkT.AÆi .''Ç-. '' ni Q m aÎa/1 aIÎ viV>Artîri^«^4-li
. , cause de Âcige et le mqu^^s
jeunes
nii
i f melsuit Ei' Giampiccoli, président|
; Ch. Decdceiq, yiee-pr§sident ; A. Prochet!
ques jours auparavant; Culte, chants,
deux récitatiôhA'"tfc^n%hàe*:oardicn,
irmi » 'rum I «iiii«»ii 111 I I « I «I I m ■! III i n i ** . a_A.
lé'MOTi?”§afomoñ, é
, ---, jar
e moissonneur
pasteur;,M.rne|,,Seryptta2, Gustave Del
cher, V. PerazZi et M.lle M. Turin, secréf
taire. Toutes les communications doiven
être adressées à M. Ch. Decker -‘Corsy
Re Umberto, 17 - Turin. |
SAINT-GERMAIN. Trente et un ca|
téchumènes ont été confirmés le jour di|
Vendredi Saint et ont participé à Ia.5rJtfei
Cène le jour_de Pâques. Plus de 200jpersonnes ont pris part aux communions des '
de-ttX,,d«f|^%di®L:ihches,^ ■teafepsip^^ ^
favorisé la réunion de bonnes assemblées.
L’apr|s-midi de ; Pâques, l’Uai
a inVitii
•yCe^ Français annoncent .(^çorç
succ^,çnL^ld |deAse.,etj|a^QSéil|î’^l
„tranchées prises, des villages occum
situation générale très , a|négorée;
•^Jc^^ds ni^nt'Ls ^àl’ennemi
Iés> ti-ahcliées penlue|.ji|tiéï|f'recbnqui
Lei
Lei
Chi-ètÿfenne de Jeunes #Mes
'.¿-i ’ h ■ Í-Í
17 |euûes Tilles reçues à un entretien
calSaUqùel assiltait Mlle E. GayjdC
Pérpuse. Un petit souvenir a été repris à
châcuîle et quel^ués hb'ârés *sè ¡sont écoulées àgré'àbleùient. ^ '1 S
*' *■’—^-©imànche derniè'r l’Union des mén)
reS de famille a tenu sa séance de clâture^
à la cure, avec l’intervention de M.me
'Bpon de Pignerol, qui a adressé jàux
sœurs réunies dë bonnes exhortations.
L’Union *'s’est occupée avant Noël^ries
dons en nature et en argent qu’elîfe%
l’habitude de distribuer chaque anhéÿ4
une vingtaine de familles. Dans les^L*^miers mois de 1915 les mères de faîniHe,
aidées par l’Union Chrétienne de Jeun
Filles, seront occupées de la confection^
d’articles de lingerie destinés à Toïphç.
i
e| les fleurs,
t|é et jeuxfltçl'
llppé dans les trois heures qué dura la " «p« i«c «Aü+s/ . * '' iT"
»lance. L’Union lais»ÿ#p|e »IreLnliraM^^ de|
,n comme »„„venir a chac„„e.<ie».,,„j.t„„, , J
aiection chrétienne. ' MU^m f maximumj
ÆaS-Sqk^^Hb|iq^Jani.i’éçolq,parois- Tes ¿ou« mari««
siale. On y entendit six chants, deux poé- ap a m, •
JJ , J ^ destruction. Plusieurs sous-marins
.sies, deux monologues. (Jeux dialogues ,, a^amands.. sont «éjà pe^us. «ma d’au
^quatre^mediç^ Lous çes travaux fu- -1 tfés tes reilpla^nl. ílñe&fFa proit vive^nt applaudis. L encaisse est X^.^tla-fiollàndeJes réparations vouLe
îtine a #gmenter^Ie fonds pour l’achaU ^ j^Vja ¿ette dealrois navAes hfftiandais
|n Orgu^mericam|out notre terppf^^^^ Mer ^ NordJ^C
" j' ^ allemand Friffr-I'i^-Uric
IVOUVell^ '"P^lttiqoài.^, nIÍÍ?. pac'-les ui^gljnis
«n» T £ T '■ ayant dû sè reiugxef^vxian
iMalgré la nouyefferioi tiui défénb 10^.^ ün port près de New-York po^'^fes ré
Unions de caractère politique, f# neu-t.;''t. .
dans
,5^4..* r, r . :. V "î parations urg#tes. 1l ayaîÎ3-coüîélplu
[istes et leurs adversaires continuent - i • - -v ' •
jL 4- 4 J valeurs navires anglais. La marine''aile
Itcnir dés mèéttHos des conferenées^r*^' j »'x >
i ,. L \ M. “r mandeavait eicbre5.ur-r0céah-un der
Instoutes les'vîHefe prin(iipales. Dihian- ' û • • 'F .i. e- ■' ; ...
L J . ' Ç. , ' mer croiseur auxiliaire, le KrotiprinzWil
te dernier encoré deS^desordres-se sont haim ^ s^r-z ' ■ n -- '
X TVÆ'iX • ; -U ' Acim.,; Apres avoir coulé 13 paquebots
iioduits. AMilmi un jeune homnlie a suc- çS ÛT4 s V« • »i • 4.- • ;
*c® de navigation ininter
$ite â& la soirée dans son ensemble. Le ïinat de Vallecrosia. Tout en prenaiftljrib
public n’a pas marchandié ses applaudis- tasse de thé, toujours bienvenue, on s’est
séînents après chaque morceau, sans ou- entretenu de ce qui préoccupe, à Theuf©
âctüèllë; non seulement les mères; mais
ébnbèfà la suite d’un coup de bÎtôn à la
||te reçu par un ageqifjiepolice én bourl^is. Les p^is pop^aitls, pouSsés par
iê) conseil coilmunaliïlntiprofité de l’inpident douteureux pùurforganiser une
anifestatioff imposante: contre la poet le gouveraemejat. Une grève gèle de vingt-qnatre:heure‘s est décidée,
interpellations pièùvent sur le gou
rompue, ce,dernier est éntré^dans le même port américain pour s’approvisjo^ncr
de vivres et de charbon, et Id e%Î%ine
espère reprendre la mer. Mais "il sera probablement interné comme l*autfè^.iLes opérations contre lès |)aïdané|[es,
interrompues à cause du maUvais terUps,
vont être reprises avec plus dé Vigqeur!
Les trqupes de terre qui seront dénar
tout le monde.
UT- ' '
blierlés diants, que notre vaillaifte Cho
iÉ|e a exécuté de son mieux.,Il était nu,U > <. j,, ; , . .^ • -• y
n^ ler^u^»!^, programme„,fut tet^iné SAIl^T-JEAN,s Bien qu’en retard, il
et l^^geait, mais cela .n^ôtait rienjL la»s^' ^^PP^ter nos Îête^e,,P(â.gûes*
joie de«acun et nOtré Choralê peutêfre ' ' qüî ont été des plus sotennéllês eÙéÏÏisatisfaite qüe ses efforts aient été cou- fiantes.
ronnés de succès à tous égards. Devant une très bonne assembïêé;'
.» XX- guu- , ■ — < I--- UCJJai
yÎrnement, qui a tout de suite ordonné Sur la côte ëuropéeniié'donneront
aâe enquête sévère. ** ^ ^ Ptes de chapces de spegès.
^Un grand nombre dé'préfets, une ving- h »
L.
ne, viennent d’être- mis en retraite ou
.changés de résidence'.‘Cette mesure imprévue étonne beaucoup l’opinioflî'pu-^
blique; Il y a qui veut y voir une mesure
de pbîifiquè étectôrale, d’autres une con
Ab. payés et non nnittaTin¿9
Meyuet, Id.
t-'-A. Tron, Directeur-responsable.
4
!5>fS
OIKCTiyiR OE M SECTIOH
OjrO-RfMO-LARINGQLOGIQUE
" Mi é NUOVO USKDilÌE» DE tURlN
Spéèialiste' pòur les maladies
du ÉEZ, ..................
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1 '} ' 1
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défauts de respiration, nasale.;
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AVVIATO NEGOZIO DI PANETTERIA ,
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VOLETE U SALUTE
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tonico ricostituente del Sangue.
ACQUA-NOCERA-UII/IBRA
« Sórgente’A ng^^
Esportazione in tutto il mondo,
prodoiione annua 10.000.000 di bottìglie.
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La stagione dì primavera è la migliore per là cura tehdenle
a rafforzare i bulbi piliferi ed agevolare così lo sviluppo e la.,
conservazione dei Capelli e della Barba e la preparazione
meglio indicata a tale scopo è la
Chinina- migone
i L’Aocjttefc preparata
con sistema speciale e con materie di primissima
qualità, possiede le migliori virtù terapeutiche, le
quali soltanto sono un. piJssento e tenace rigeneratore
del sistema capillare. Essa é un liquido rinfréàcànte e'
limpido ed interamente composto di sostanze vegetali,
non cambia il colore dei capelli e ne impedisce
la caduta prematura. Essa ha dato risultati immediati e soddisfacentissimi anche quando la
caduta giornaliera dei capelli era fortissima.
Tutti coloro che hanno i* capelli sani e
niiMA DCLLA GURA dovrebbero pure usare l'Aotitxoi. dopo la cura
CHINIMA-IIIIGONE e così evitare il pericolo della eventuale caduta di esai •
di vederli imhianohirsi. Una sola applicazione rimuove la forfora e dà ai capelli •
* BB magnlfiee lustro.
Si ’bende de iuiU l FermadsU, DróghUrt e Ptofumleti,
Dapoàno Gentrelt de MIGONE & C." Via Oréfici • (Pisugjl* Centnit, 2) MILANO^
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