1
Année XV®
IMÌ.I|C B'iBOMJnSiBKNÏ PÀ« àfî
lu .UÌ....................L. 3
Tou« le» pays de iTnîon
lioate . . . ' . *
AiüH'iviqnB, rtu Sud . . » il
.Ou. s'aibpuiicj;, i,
A’ti blifeàu d'Aiîiïlti^ls^raUoii :
Clierf MM.;dfîs Pastoura; '. .• ni
Hhfîx y..Emniit Kobfii't/Pigiif*roi^
• 'rftr À la Librainc Ohiafitni'iy bV
Mascar^îlî fFigiierol . i
lj'alionnéni«iiî. part dn. ' [
qt ae pain d'avaiioo»
Îîutnôi’os gópai’ós d'
le rirago 10 oontimeg<5Uaüun
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N. 16. '* Ih^b' '
avant
Anmnf^e/i : 20 oeîitiio.es par Ugue
pour une sonlfi fois.— 15 cep
timea d« 3 à 5 lois el 10 coin
timés pinu: ^ fois ot an dosaus.
B’fidi-easer pour la llfuîaclioP «t.
l’lilmiiilstraCfrtïî à Jî. le Paatour M. Rosio — Sunit OermafnOhisoii fFinorolo/ îialin.
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Tout changeriiéjit d^adflsao ©fit
payé 0,25 üHUtimd.s.
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ÉCHO DES,VALLEES VAUDOISES.
î'r i'Paraissant; ohaijllé Vendredi ■
l/h v/irfté qiJid kl ^knrt'ti^. Kl'Ë. iv, 15.
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.H-.^iiiP : l’’’ f'^sn!' •;!!<
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Ressuscité^ avec GHrist. Méaài’Müslon
fe ‘cHirui'aie'n: —Tr'édiciitioh ei"sètyièys
■ i'.iv-' ■ ^ni. ■■ . r,. ,
funèbres.Bourgeois’ et, travailleurs. —
La: piieicle,ta veuve; — Variétés. Nou
véllèS'réligjieùsès. ’— Chronique Vatidoîse.
-^'’Révlié' leu
■" ___..C.UT (t.-i :'i'1ih ')'!
■nUn
•RESSÜSÏÎITÈS A\Efi filHUST'
Lo‘irrànil but de l’EVangiTe ' est
(Je qréer.j'i nouveau.les h.0imj)e.<j,,ep
Jé.sus-Chriüi; Il visftià une. réswr-'
re61io-n.et jJil’ac'couipJitj-Il'n]a |.),0;int
piiru dans ie'bvoivde sfmpîeiHe'nt,
pour inodéfer les pass'iVjns, où polir ,
édupuer saiuemenl ..le.» puippjé§;
mais pour leurlO.ommitniquer-. une '
vi«- np'usel 1 e.Iqlt'iIs.ne:'posaédülionl
pas dans ieùr état de péché,J’ai as-1
,sis1é,(iiér 'iVjçi'he scènë'^qui ’m'a'pàrQ •
une fli.lèÎe iiniigfi.dH tr,ay.aiii;des‘'pré- I
dica t eu l's q ui in 1 oti t id ’au Ire di u t q ue
celui’dé moraliséit leürs a’iiditeürs. ,
Non lo'ih 'de la .éôt'é 'se ïroiii'àféiil >
■01^
UQiç. douzaine'de *bavq,ues ,t,o.utÿej
cupées à chercher et ;’i retirer de
i
l'eàn deux cadavres.... pour arriver à les enfouir ensuite’dansda
terre, L'Evangile a une tàche’ibien
plu.ç élevée. Il ne nie pas la valénr
des efforts du moraliste, il ne méprise pas les résultats de l'édu"üLiWi bTJ r^iîi#'Hd '''(vts''«P' : a U-“Pét abH sw*
meut de la vie, d’une vie nouvelle
et supérieure. .'Accomplissez votre
o&uvre, éducateurs et moralistes,
vous êtes utiles à votre maniéré';’.®
mais lorsqu’il s’agit des besciinVÿfc
éliiii'nel.s de l’homme, l’Evangiie’
seul peut les .satisfaire; l’hopwie/î|
a besoin d'étre régénéré, ^
renouvelé par un souffle céleli^dt»
Cette œuvre Dieu raccôm.pJït'»?i,'^‘^ ‘
■îç3l™ijP
VI q.
cheZ'Ceux qui se confi'eht err«i! noms a vivifiés enivembie
Christ».:
. Il y a là quelque (ihose que uous ne
pouvons expliquer; niais.si c’estiun
mystère c’est cependant uiie grande
réalité. Nous savons et nous certifions que nous possédons maintenant une vie"'dont nous ne connaissions rien, il y a quelques
années. î L.as choses vieilles sont-
2
~in.
passées, voici toutes choses sont
devenues nouvelles>. Je rends témoignage que j’éprouve aujourd’hui de la tristesse pour des choses
qui ne m’affligeaient point avant
que je connusse le Seigneur, et je
suis ravi par des joies dont je me
serais moqué lorsque la vie divine
ne m’avait point vivifié. Ceu.x qui
n’ont pas éprouvé cela n'ont pas
plus le droit de mettre en doute
notre témoignage, qu’un aveugle
n'a celui de nier les couleurs qu’il
n’a jamais tues. Il aurait beau
s’écrier : < Quels fouslRiende pareil
n'existe. Voilai 70 ans que je vis
et je n'ai jamais rien vu de ce
prétendu vert, rouge, blanc dont
parlent ces gens!» La réalité des
couleurs en serait-elle moindre?
Cette vie nouvelle amène l’exerci'ce de forces nouvelles. Celui qui
commence h vivre pour Dieu, peut
maintenant prier réellement, louer
Dieu de cœur, avoir communion
avec lui, l’appeler «Mon Père».
Et cette vie nous la recevons par
Christ. Il est notre représentant.
Est-il res.guscité, accepté, glo'■"i Ceux qu’il représente le sont
-„iÿv' asftc lui. Il est la tête du corps;
ceux qui sont unis avec lui, par_ ticipent à sa vie. t Parce que je vis,
V0H6 vivrez aussi ». Un cadavre jeté
' d^ins le tombeau où étaient les os
yi’^d’Elisée, revint à la vie. Là bas se
dresse la croix de Christ; aussitôt
que l’âme touche le Sauveur cru
T
cifié elle vit; et quiconque se confie
en Lui, l’a touché.
(Abrégé de Spurgeon)
JE4N MUSTOIV CHIItUfirilËlV
III.
«Le jeudi donc il revint à moi et me
dit: Eh bien, monsieur, je vous ay bien
donné du temps pour songer à vous,
quel est votre dessein? Je lui dis que
j’y avois songé et resongé, mais que
je' ne pouvois pas violenter ma conscience sur ce sujet, lui alléguant plusieurs raisons que je lui avois déjà
dites la première fois, ajoutant que
s’ils prioient uniquement Dieu par
Jésus-Christ, que je m’exécuterois;
mais qu’étant autrement je ne le poiivois. Eh bien, dit-il, en coufsier, et
vite, car j’ay d’autres affaires. Je me
déshabillai et tirai ma chemise. Je lui
dis que j’étais étranger. Tout cela n’y
fait riçn, dit-il, ce n’est pas moi qui
le fais, c’est l’ordre du Roy. Enfin,
ce moment fut funeste pour moi; je
fus dans un si violent combat par la
crainte du supplice que je voyois devant moi, que le courage me manqua
et regardant aux signes que me faisoit notre chirurgien de promettre,
j'eus cette malheureuse lâcheté que
de dire; Eh bien, monsieur, je le
lèverai; mais je proteste que c’est
par violence et que ce n’est pas par
aucune intention d’honorer votre reIjgion ou votre culte. 11 me diùN’estce pas ce qu’on vous dit ? On ne demande pas que vous croyiez ni que
vous adhériez, mais que vous fassiez
cela comme par civilité.
» Je lui répliquai à tout avec assez
d’exactitude, en soulenant toujours
qu’il y avait du mal à lever le bonnet;
finalement il me quitta. Je tombai sur
le champ dans un si grand étourdissement que je ne savois où j’en étais.
» Je me reprochai ¿’abord ma lâcheté
et le remords de ma conscience me
jettoit dans un tel trouble que je ne
savois si je devois me dédire de ma
felale parole ou non, de sorte que je
passai une partie du jour en larmes,
soupirs et sanglots, ne pouvant me
résoudre à tenir cette malheureuse
promesse et gêner „ma conscience
contre ses lumières. Le soir comme
3
J 23
on voulut faire la prière où l’on chante
la passion selon leur hymne et dans
lequel il y a des paroles qui s’adressent au bois, qui me font horreur loKSque je les entends, je mis mon capot
sur la tête et me lins couvert comme
auparavant, me disant à moi-même
qu’il fallait obéir aux mouvements de
ma conscience. Je sentis une secrète
joie après y avoir obéi. On me chercha
et rechercha, on me montra aux officiers couveit à mon ordinaire; on dit
qu’il fa.lait le dire, mais tout cela ne
me fit pas relâcher, de sorte que je
continuai encore à me tenir couvert.
»Je tombai malade peu de jours après
du violent déplaisir et mortification
que j’eus de ma lâcheté, que je condamne de tout mon cœur devant les
hommes, comme je l’ay fait devant
Dieu que j’ai outragé, en manquant
une si belle occasion de signaler mon
amour pour sa majesté divine. Mon
péché m’était si hideux et ma lâcheté
me paroissail si grande que j’ay souhaité plus d’une fois de la réparer par
la bastonnade; mais Dieu ne me voulut
pas faire tant de grâce, de sorte que
les chagrins, les troubles, la douleur
«et les larmes ont été mon pain pendant quelque temps.
. ïj’ai été dans une si profonde tristesse de ma faute que j’ay bien de la
peine d’en revenir, quoique je pusse
m’assurer que je n’avois pas tenu ma
malheureuse promesse. Ah! qu’il est
terrible de tomber dans cet étal. Cet
exemple et ce monument de ma faiblesse (quoy que je fusse résolu à tout
souffrir et même jusqu’à la mort, qu’on
me verroit plutôt mourir sur le coursier que de rien céder) est fatal pour
moi, et doit servir de sujet à tous
ceux qui sont engagez dans les tentations de se défier perpétuellement
d’enx-mêmes, pour ne se confier qu’à
la grâce du Toul-Puis.sant».
Plus tard, le 2 décembre 1700, il
écrit: «Je persiste non seulement à
condamner et à délester mes illusions
et la violence que j’ai faite à ma conscience, mais encore à abhorrer ma
lâcheté et à confesser que quand même
Dieu me puoiroit en sa justice et que
les fidèles que j’ay scandalisez me traiteraient avec indignation, je n’aurois
aucun sujet de me plaindre».
Ce qui résulte de ce récit que l’on
sent être véridique jusqu’au dernier
mol c’est: 1“ — que Musseton commit
un acte de faiblesse en promettant
de «lever le bonnet», mais le repentir
si profond qu’il en éprouva ne nous
touche-l-il pas davantage que si nous
l'avion.s vu quitter le « coursier » tout
saignant? et 2°, qu’il ne tint jamais
sa malheureusepromesseelqu’ilaurait
été pi'êl à périr sous le bâton plutôt
que de se découvrir. Dieu ne le permit
pas; il semble.qu’à l’onde épouvantable de cruauté qui avait fondu sur
les pauvres forçats, ail succédé une
mer plus calme, et que les argousins
et les officiers de.s galères aient fermé
les yeux sur les infractions à la régie
établie, dont les protestants se rendaient tous les jours coupables.
Il ne nous reste plus maintenant
qu’à reprendre la noie de Mr. le pa.sl.
Fonbruue Berbinau, dont nous avons
reproduit une partie déjà, dans notre
premier article :
« Eq 1711 il était sur VEdalante.
En novembre 1713, Poncharlrain manda
à Arnoul, intendant des galères, de
lui faire connaître par quelle raison
particulière le Roy avait refusé lagrâce
au forçat nommé Musseton, de la
vallée de Luzerne, réclamé par les
plénipolenliaires/à Utrekt» (Archives
du ministère de la marine). Muslofl
fut enfin libéré le 7 mars 1714 él '
rentra dans les Vallées. ■ i.'
Pris, au passage du Jaillon, le 24
août 1689, déiivré le 7 mars 1714 son
martyre dura vingt-quatre ans, six mois
et quinze jours.
Nous ne saurions clore ces lignes
sans mentionner deux autres Vaudois
qui par leur fidélité se sont acquis une
place honorable dans le journal des
galères (1):
(Ij |Bullet, but. et litt. ann. 1809 pp, 2î17
Ht 2:^9.
4
'WWW wwwywVw>wwvw
. « David y,olc, ,,dc. Val-Péroii!îe„| ea
Piémont, (émbai’qné sni’ la iîareej receiU "aussi.' le 7'se'ptêmbi’e (1700 f'il ne
basionnàde de.quai'ante-qualr(! coups,
on présence du majoi', poiii' le refii.s
de iever te bonnet».
«Jean Bemi, de Saint,Jean, vallée
de Iqbei'ne, .(embarqué .sur h DauC'Oc.eiM, aussi le 27 sepienibre
aa'e bastonnade de cinquàntetroi-s! coups., .
dit Bemi. oi ThOnta.s Bernai'd,
de Nimes,. i'urent encore baslonaez le
27 déceirtbre, du se,iil ordrei de I’au4
niônier(!i, 'auquel J;0 coŸniié ôbéit sans;
hésiter».:';- -, tUp- ■■ 'U .■:! i;-'.
llhi : .:j •:!:
(;r. .mi.'p’i 'é
N’es‘t^'l ' p'as vrai-,!-' c'hei‘ lecienr, ijüé
,si noti'é cœni' ‘s’émenl à 'la pensée des
pfîv.aqion^, des’’sonlTrâ,nces de toute
e,spèce'.fcjl’é' durent supporter l'es'V'audois,‘ qui; à'ta suite d’Ar'naiid, atlfii-gnirenI. 'Ie's' VaIléësl'iI. s’éméut plus*'encore au .souvenir dé ces’ panvreibfôr'“'
Cnlsj-iiquiai landie qire ileurS 'i'rère.slse
i'eposa-renl.b'de'detirs 'fati’gües dans' tes
hérilages de leut's pèi'es, vivaient,
eux,'renchaioé.« avec-le rebut de l’humanilé, et dont le dOs, à la moindre
■,peecîf.dWtâ;iniissciail'de aaiïg ¡s.0ns le
fou.e.l)i>dô(.li’a)igi)ysin ? .N.’e.sl'ilii pas ¡vr4fl
qbe ,S;i nous admirons la foi'de ceux
quiprouPne^rent le serment deSibaond
et dqfendijienlJla Batsillei nous admif
rônaienpDre,>p.te la-M-deceu». qu’un
mot ¡anraitupu'ai'ca-cher. :ài renier- où
iis/tèlaienl plongés, et qui/ce niolj ne
la-préihoiieèrent pas?' Obi celte foiv
darisl ’iju e Is le nfies ■ tôu ch an ts u n e, s’ex^
pr i rn e-1- ' ; ! I c P a 5 ,d a il .s. I a I e 11 r e ,s U:i va-nte
itÇEiie Maqrip: ?;4é. |u.jn :1698): ;
uo(( (Juanl ià nous, nous i^stoms, Nous
nouszfaisons .un l'.plaisir de suivre l’At
"neau pai-loiil où il noua mène. Pourripns-nous ,nqus .résoudre à qu|iler
H;0,tre Di eu ? j ;Npn î la ut, de pei'içctip ns
ppus charment. Nous avons les yeux
sur lui'piutôi qu.e-sur no.s .lég,éres pjifyes; de plus, ses grandes proracss-,es
nous engagent si foi'lemenl à le servir
que nous ne pouvons penser qii’.à lui
obéir avec une joie et une crainte ac
cp rppa gn ée -d’am ou r. , O q ’il¡; ;1 uj; f. p fa i.s e
.seulement de nous,réndre bons, Justes,'
charitables, et, comme lui, afin que
par nos œuvres nous l'eprésenlions.àes,
yerlus infinies » (I)..!
-.fllya avantage, cher lecteur, à parler
de la- GlorieüseiRentrée de nos pères
dans' leurs Vallées, mais, n’esUce pas
qu’il y a eu grand profil aussi î\ nous
entretenir, de la. ÿloneusa demeure de
qiî.elq-ues-uns de nos-ancêtres sur les
galères du,roi de France; quand ce ne
serait que pour nous faire réfléchit-.4.,
Ah! pauvres Vaudois./d'aujourd’hui,
où: est. donci-notre foi notre amour?
,H.: M.
; li Í?, ‘ fo't.h'iiü '
•Bist ii'i'
rut
■±kh
■
tit!
; r.
’ t'rétlicjiliiin ad. services fnnèbi’tis ‘
nr: : (il-. ■- ] ,.|1
La> Semaine.' religieim rapporte le:-trait
suivant 'c|Üi*no-ys's'efiible digrté d’êtré
sêriepsemérit , rrtjéd it^ én'cp'rp
qufpnvAljeœagnpi i,,,,;; vd , :
' '’l!' Ldrsqlié J’étais enco're u n aimpie
candidaten ibéologie.écrit Me, Pirscher
disciple tin regi'etlépf'Pf; Beckj je visitai »
un jour un islituteui Chrétien qui'lefiait
tous l6s,,dimanifheSides!réùnio.ns dlédi- .
ficalion daps'isQniiécp)^,! eiidonl i’iir-!
fluence feligieu-^e était étendue etifœ
condèi.' Le j-eiioe pasiepr placé à la têfo
de If! parpi'sse prêchai(tjau'«si:avep;déçisioii).' tesi,v,érit-ê;Si dp„.|a,'fQi,, pt té,ht
citai le maître;.dlécolie du bon.iaecord
qnii devait'régner, enUieqle pasteur,et
lui,iipt .desi excellents fruits iquc.petle
h a r ni 0 n i e, ,3 P i r i tuél l e ;, d,e vp i li, p r o d ui r.e
pour le hien dee -âineiiv «¡iHélas ! ¡me
répondit-i;l avec tristessek.usi )Mr.;,,le
pas leu I' ; ré vei 11 e I es, âmes ¡par seSj prédis
ciitionp:,,lü les 'rendOirt par ses sarviees
funébreSi.- -Dans sou¡désir. -de' consoler
les su r V i v a n Ifïvi I ca non i se tou S1 es-.foor t s *
quejle, qu’ait été Jieœ' vje. Aussi,dijlton
dans, tou lie vi liage; .Certes, - fi. célpi-pi
pu ceJile-là, e&i, :aU| ,’picl, ',noufi,f,oœ.in,e.s
bien sûrs d’être, tops,sa,qyé,sl,,Oqi., je
me dis toujours, eb,efi‘®riaanl ses seï'.ytees funèbres; CelÎjot,bmp'Ffas’appliq,up
à tuer aqpimeliêredes .germes,dq vie
5
489
qu’il a fait, naître à l’église.^ Sans doute,
continué Mr;* Pirscher, nous dévoriçi'
témoighér aux’famillés en denîï'lîne
cordiale sympathie,' mais jamais aux
dépens de' la Mainte vérité. Nos ser^
vices'fuhébi-es doivent servir de eôi/(r’épTeuve à nos prédications. Aii boi'd
de la, fosse, le pasteur ne doii. pas seulement montrer qu’il a du coeur; il
doit montrer aussi qu’il a du caractère.
C’estia condilton indispen.sable de sOn
action spirituelle >.
Bourgeois et travailleurs
;',r
Un vénérable past, év., M. A, Beck
de I Lohn, ( Schaffhonse ), répondant,
dans,le Éiwche.nfreund à une brochure
intitulée des- mépPi.sés du
pmp/e, .déclare, que aprè.s avoir pas*
sablemeit'l vu’ip nibncie, dii paîa'is.'du
prince à la mansarde, du mendiant,
c’est, en définitive, ducôtédes croyanls
nltachés àil'Evahgileélernelqu’il a rencodti'é les aCte's' de la charité la plus
déi^on§e*''etj^lna-j'désinIêfesséq, 11
lérrnin,é l’on 'article pa'r. j'a'cQnelpsion
suivante;. ; ,,.1,,
« Le; .constructeur du canal‘'de la
Leillp'-noniad Esclier de Zurich; l'un
des pillé ''grands bienfaiteurs de notre
pai'rié,''’visitait''un ’jdtjf lés’ otivrieés
qui travaillaient à son'canal. L’un d’eux
lui dît';.’, -’«I Ah ! Ml’v*' lé rprésid.éht; ' si
j’éfais’'àiis'si ric’hë qtié'''VotrS'{'Jé voiis
réponds'biô'rt que fé hc viendrais pas,
corn rné Vous, patadger dâns’cetté hdu el»
Sur quoi Eschër dùi' repartit.'iinmédiatément; «Etifmonarni; lébOnDieu
lé savait bien,'"et c’est j'USlement ponicéhr'.qu’iPn'é vous a pas diitiné 'la fortune! Ue ces' deux hommes’"réique!
étafUlé'bdurgèdis,’' et .lequel éfàil'’î4
t'ra-vailie'urt'i i ■' U'''''! r.
: 1:1 a_ queÎqjue' léinpS,'
une
^iQus;se c.pied^dàns le’canton de ZüTi.çh;
jé'.^renconliai 'dans 'un ’champ 'asse?
élqigné 'dü; village de; plus' yqiiiti une
vi.é'fyêjlfè'^^^^ .pi
ip, ,.pi q,ravftil. Il [âypl plïj
tduié'la matinée, la'lerré étailidou.tè
trempée, et le ciel était en.core toul
noir. Ému de''pili.é''je ciuai A ■'ééile
fém;rn,e: « Eli !‘grand-mère, vous"êtes
HntÎA fhrir'fip M PI* ' ■ ifi» Il ph ôt’ TSMi»'nPiÿ
doiic forcée ,d‘allér’'faiicher par'ces
temps-là? » Elie uie répondit d’iin ton
de reproche: «Maisj’yvais par plaisir!»
«Si nous avions beaucoup d’ouvriers
comme cetlç,lémrne,. et beaucoup de
patrons'cornine Esch.er d.e la Leitli,
les choses iraient, autrement. Le socialiste,,Jo&epti,Erey^ ne reconnaissait-il
pas en plein Grand Conseil d,e_,.Bâle,
que :si tous Ips'industriels jrailaifent
I e s^ 0 il V r i er s, po m m e. C h a i' I es i Sqi T'a s i n
le.‘filisait,, la ' quesiion social,ép|era:il
lOLile,i’ésô,l|ue? .
-lÀ-miM'iA '»K
'ï''.. il, 'iir.rid’ifrri■, u-.;
On s’adressa un jolir à-line ¡dame
fort, riche, .pour laiiprier.:de:iîvou'toir
ai,der imié bonne œuvre par sas co:n>r
Iribution, , i) n .■ . .'iT , :1'. ■ ..
Très volontiers, i'épohdit-elle, mais
il .'faudra vous contenter de'<‘ln' pfin
de la veuve. Oh,'c'esi b'e.mcmip'ti'op.
Madame 4:0.reprit'Jes;'cof1eetenr ;- je
ne puis accepter mitai)l. -r Beaucoup
trop?ivoüS, ro’avaz^ans dontemaheompi‘;tse,ijîaj,c0sdei'.niet'.s liera ps,jkidonné
beaucoup pour œuvres de charité, dt
c’èst;poui'ï)uoi je ne puis idonner au*
joui'dthui iquq ta pile deila vçuve —
« Fit je voiis.répète què c’e^theaucoiip
trop. La veuve de l’Evang-iJe Tt donné,
comme on le sait, tout ce qu’elle posséda, en sacrifice pour Dieu, liais toute
votre fortune je ne puis pourtant pas
àccéptéi’ii' ' 'La dârné,';dpnhd' ijné'con1 i* i bu'ti’o n c 0 n s'i'd éi:ab Ip Depuis 1 d i’s‘éjfc
ne co'mp;ii''|i 'pljiS;jàma'rs'‘'séé' r'îôbésseë
avec'’iii'pite dé'Îâ'vétiveJ'.;
' . ■ i ■' '’I' ih ..T i jl , V, '
■V,: i ■
ùr- ;
iBottuclleâ S;cljnjiew0f|&
.'f',!; ■ I,
jt/éë, ^tudifliiU nçps^^^ .“¡.IVUcoss'e
possédé.■q.iuiiréj Üniyeraiiçs qjii'.conjpleni,pet.tq01)006,00 Volai de
di a , s'o'î l ^deii )i fo i s P J 0?; qp ’ en j 18 62.
'.*1
6
-126
L’iiniversilé d’Edimbourg, la plus impoi'lanie, a 3.460 étudiants; celle de
üia.sgow 2.200, celle d’Aberdeen 918 et
celle de St. Andrews 221.
Les fruits de IHw'ognerie. - Le
Chrétien Belge, parlant des i‘{ioi ts de
la ligue contre l’alcoolisme et de la
nécessité sociale et économique d’une
(elle œuvre, dilque l’a.^socialion, pour
démontrer que l’abus de l’alcool est
un «fléau pire que la peste» a publié
une affiche rouge qu’elle répand dans
le pays et qu’un bon nombre d’industriels ont fait placarder dans leurs
ateliers. Voici quelques chiffres significatifs extraits de celle affiche: «Le
pays boit 70.000.000 de litres d'alcool par an! et la consommation ne
fait qu’augmenter.
Tandisqtie depuis 15 ans la population ne s’est accrue que de 14 0[0»
la consommation de l’alcool a augmenté de 37 0|0 et avec elle ont
augmenté: les cas de folie de 45 OjO,
la criminalité de 74 0|0, les cas de
suicide de 80 0|Q, la mendicité et le
vagabondage de 15Ü 0|Q.
(]el élat de choses est dû en Irès, grande partie à l’ivrognerie. Le pays
dépense en boissons fortes 1S5 rntL
lions par an! tandis que l’Etat ne dé
pense que 16 millions pour l’instruction publique. 11 y a 5.500 écoles et
136 000 cabarets!
Vne croix d'or, — Lors de son passage à Naples, Mgr. Lavigerie, ce prélat français qui s’efforce de soulever
une croisade en faveur des pauvres
esclaves africains, reçut de l’Archevêque San Felice la superbe croix d’or
que les Napolitains oui donnée en souvenir de ses visites aux cholériques.
Mais te lendéniain même voilà que
la fanfare du temple emplit la ville
de son fracas. C’était les Napolitains
qui s’étaient réunis pour protester
contre celte cession de la croix d’or.
« Cette croix, nous la rachèterons et
nous la rendrons à notre archevêque,»
dirent-ils. Et on la racheta pour
20.000 francs. Une banque en donna
le même jour 10.000, une autre 2.000,
d’autres 1.000, à quoi les 600.000
Napolitains en ajoutèrent 5.000. Maintenant mie fera-t-on de ces 20.000
francs? On propose de fonder un pensionnat pour y recevoir de petits nègres
dont on feia plus l.ird des missionnaires. f Chrétien Bvang. /
Conversions au ealkoUcisme.
De temps en temps le catholicisme
sent le besoin de célébrer certaines
victoires sur le protestantisme sous
le titre ronflant de « conversions importantes». Celte fois il s’agit d’un
« baron » de Warendorff qui vient
d’embrasser le catholicisme à Rome.
C’est le Courrier de Genève qui a battu
la grosse caisse. Mais voici que la
Gazette Luthérienne universelle nous
apporte les informations suivantes sur
celte remarquable recrue de l’égli,se
romaine.
Me. Frédéric de Warendortf n’est
point, baron. Né en 1840 à Gueldre,
élevé à Wesel, il était devenu pasteur
à Dorlar dans la Prusse rhénane. D’un
caractère très-fantasque, il s’isola de
plus en plus de ses collègues qu’il
accu-sail sans cesse d’avoir contrarié
son avancement. Demeuré célibataire
et entièrement livré à l’influence de
la personne qui tenait son ménage,
il se brouilla avec son enlonrago naturel et se lança dans des spéculations
financières contre lesquelles l’autorité
ecclésiastique crut devoir le mettre
en garde et qui aboutirent à .sa ruine
matérielle. Des indéiicatesse.s, ou tciil
au moins des irapiudences commises
dans la gestion des intérêts qui lui
étaient confiés, l’obligèrent finalement,
en 1886, à se démettre de sa charge
pastorale et le conduisirent même à
la prison. Il n’y avait pas longtemps
qu’il en était sorti quand il a passé
à l’Eglise romaine. Si le cierge catholique veut bien se charger de débarrasser le clergé protestant de tons
ses membres de celte catégorie, nous
lui en serons sincèrement reconnaissante.
7
127
Situs«rí|ilio» (Í'hcüaiis ({láces
pour le Bicentenaire de la Glorieuse Bentiée
Eglise de S. Germain (3® lisle).
Quart, des iîondtws. - Rivoire lean
Daniel et fam. Ir. 8; Vinçon Marianne
veuve Malanol 2,50; Bonnous Jean
(Az.) 0,80; Griot Jaques 2; Berlalot
Jean 0,50; Travers François Í ; Bleynat
Tbéopiiile et fam. 5; Vinçon Barih.
feu Barih. nég. 10; Vinçon iMvid 2;
Büunoiis Barth. 2; Bounoii.« Henri et
fam, 5; Rostan J, Fi'ançois feu Et
1,50; Berlalot Jaques 1 ; Malanol Jean
0,40; Bleynal Madeleine veuve 0,50;
Griol Elise de Jean 2; Balmas Etienne
feu Jean 0,50; Cheyret Pierre feu P.
1; Gheyrel Madeleine veuve Germanel
5; Bonnous Margiiei'ite 0,50; Rivoire
Marguerite f. Philippe 0,50; Robert
Barth, de Dan. 1; Jaliier Barih. 3;
Vinçon Philippe 2; Rivoire Catherine
feu Phil. 0,50, Travers Marie 0,40;
Robert David 2; Robert Louis 0,50.
Total des 3 prem. listes fis. P663,05.
®ariétée
Remèdes contre la Péronospora.
— M. G. Marchese met en garde les
lecteurs du Carrière délia ^era contre
les remèdes capricieux, ou seçrets, que
bien des gens proposent pour combattre la péronospora. « Défiez-vous,
dit-il, des remèdes dont vous ignorez
la composition.. On peut vous donner,
même en étant de bonne foi, quelque
chose qui ne sert à rien, si ce n’est
à engraisser quelques spéculateurs • .
Il est des, remèdes secrets ou entrent
des sels de plomb qui ne détruisent
pas la maladie et sont, par contre,
de vrais poisons.
« Le remède souverain crtntre la péronospara est le sulfate de cuivre. On
ne peut plus le mettre en doute à moins
de nier à l’évidence. Il est prouvé aussi
de la manière la plus absolue que le
sulfate de cuivre, tout en sauvant le raisin, ne nuit pas à la santé de l’homme ».
M. le prof. Jemina conseille, dans
l'Ecommia Burale, d’employer le traitenienl suivant: Après avoir taillé la
vigne, passer sur les sarments un pinceau Irempédansune solution acqueuse
de sulfate, du 5 ou 10 pour cent. Cela
détruit les germes qui peuvent se Irouver sur le bois. Très ulile pour les ceps
qui ont beaucoup souffert.
Au mois de Mai, avant la floraison,
si l’on n’a pas fait l’opération dn pinceau, on donnera le souffre cuivré,
au 3 pour cent. On fera bien cepenpant d’employer le remède liquide pour
esfeuilles, et en poudre pour tes gi'apaes. Donnés l’un à la suite de l’aiMre,
e souffre adhère plus facilement.
Après la floraison, et Icirsniie les
rejetons, très suiels à la malaaie, ont
poussé, renouveler le iraileraent liquide SU)’ les feuilles, et le souiîre
cuivré au 5 pour 100 sur les grappes.
€lironii|ue ®iiubaÏ0f
Nous regrettons le retard d’un jour
qu’a du subir la publication du présent
numéro du journal. Ce retard est dû
à l’une des irrégularité.s, malheureusement assez fréqnenie.s, du. service
postal entre Saint-Germain et Pignerol.
. La Saciélé d'histoire Vaudoise met à
la disposition du public 200 exemplaires de l’histoire de la Glorieuse
Rentrée par Paul Reynniidin, telle que
le Bulletin N. 5 l’a reproduite. Le prix
de ces deux feuilles d’impression, avec
jolie couverture, est do fr. 0,50. On
peut s’adresser à Mr. David Peyrol,
pasteur an Serre. Le payement peut se
faire au moyen de timbres-poste. /
Jeudi 25 cour, à 8 h. aura lieu dans
la salle de via Beckwith, à La Tour,
une conférence sur la Glorieuse Rentrée, donnée par Mr. David Peyrol.
Une grande et belle carte dessinée
pour la circonstance periuetlra au conférencier de faire suivre à ses audi-
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'^'tuhdi prochain,.couidrit, deux
rhemhres dii Comilé d'’';Eva.ng(5lisation,
MM. le docleur nroehei et Ch, A. Tph,
yo.^' se mettre en 'roiiie po,Mr;Î’Ang)er
icr'rp, 'et çp'tppl^pi trà>fe'i;sèr’:’ènsiiitj3
l’Arla'hlique pour se rengfè aux Elalsünis! 'téur but éfii de'râviver PiiUêrêi
dçs chi’étieiis d’A^m^t'ique en faÿèùeide
I’ôeuvre''d’êvangélisatî6ri''èn Italie. IIS
rept’ësenteront noire Egliseauxassembleés arinuelles Ütis grandes EgliséS
presbytériennes du Nouveau Monde.
Les vaudois,..ne manqueront pas de
les acco'mpôgiter deVienrs iVOeux et de
leurs prières dans le long voyage qu’ils
entreprennent pour la cause du Seigneur..'“ ’mkî’Vi >iKi“ !:•
1, !
r î&CÜUCl ttOl
• v-’ungi'l !•( ni, lu ! iri-1,.
HaHe. ^ Le Ministère, d’après
leS ' iiiiFtrniations de la pluparl des
jô'fir'iiauxr aurait’ décidé d'.ajourner
tout'prèjet relatif A de nouvelles OC
^ ‘ i ' ’V ■' ■ ' i ‘a - ' ‘ ' '
cnpatiotis.en Afrique; sans compter
le déficit financier, la:&ai,«ou ne seraii
pas propice' jiour enlrepi'endre une
nouvéÎfe‘èam'pagnc, et 1è comrnandaUt
des irôùpe.f de Ma.ssaua.y serait Ipiit,à-fait opposé. L’un s’étonne après cela
de l’insistance défdoyée par l’Opiwione
et \û Biforika pour persuadèi' le Gbuveroemenl, ,a organiser une nouvelle
expédition, -j ,}( ,
vJDu p'esie, le Négus'est-il bien mort?
est' il ' vrai que Ras-'Alula est blessé
pii'rfiori, lui aus^i ?‘L’iine' et ‘l’üutrô
nouvelle sonlu de nouveau iPises en
quarantaiine.i ; : i.„' hi’r.Æ i r
S. M. Humbert I restituera prochainetnèPly probablèrn'enl'en’hnai', ' fa visite à lui faite pabvi’empereur d’Allemagne. ' ' I' ■■■ U ‘ '
|i[ j: -il î ' I ' I. ' ^
I Le Min i s tè re de T lu? t ru cl ion Pu b 1 i q u e
vienii'de .décider que la ilicence .élémentaire suffii-a dorénavant pour doiiner df^il, sans ultérieur' examen, à
l’aditiilsion aux Gymnases et -Ecoles
techniques., j
O Les journaux discutent, le congrès
des AséociatipésCohstitiitlonneile dernièrement'rèuh'i'Ai Reggio-Emilia, et
le; voyage en Italie de l’ex-ministre
Floqoet, voyage qui, selon quelques
lins, ne serait pa.s étranger au projet
de' remahiemenl deiflUeiques tarifs'de
d.op^'ne 'entre les deux nations lafines.
c'jiVwM««». Le Sénat, constitué en
Haute Cour de justice, a commencé
ses séances depuis le 12 c. et a élii,
comme Président de Séht Merlin. Le
gén. Boulanger a déclaré qu’il necomparailrail jamais devant aucun Iribu
L.i I V..: “U ■ m.“
na
ue.
.jMfrleA*?.' I! pahiit malheuréusemeut prouvé’qu'é' lii morl' drammalique du prinçp Rodolphe a affecté
si profondément l’impératrice El Isabel h
que celle-ci est en proie fi des accès
de'follie, maladieV dir reste, hérédi
taire dans sa famille.
i“
Afriqwe. ~ Le 3'c. le 'général
Baldissera, par le moyen de ,400 hommes et d’un peloton de cavalerie in.digène, ,a, opérjé. le transport des .restes
iisnortels des officiers tombésSaganeiti
depuis'l’automne passé. ît
'■ cO'Ui
■Ui'.ii
" ’"T ''ÈasEST ItmikrtT , iJeraiït: ,
)U“.'i:)-^ U'
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ii,' iiHp’.''C'îi'iSnt'ûre-‘Mascarèlli.''
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