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Cinqoante-septtème année.
Il Mars 1921,
N" 10
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PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
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PRIX D'ABONNEMBKT:
Vallées Vandoises
Italie (en dehors des Vallées) et Colonies . .
étranger...................................
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Que toutes les choses vraies^ hoanêtesi; justes, pures, aiinables..... dignes de louange, occupent vos pensées,
(Phil. IV, 8),
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A MM. LES COARESPONDANTS.
En remer-ciiini très cordialement les correspondants nombreux qui nous ont envoyé
des manuscrits' pour la publication, et dont
les articles n’ont pii paraître jusqu’ici, faute
d’espace, nous les prions de vouloir nous,
pardonner le retard bien involontaire et de
patienter encore. Ils paraîtront sans faute,
à tour de rôle, mais il y a engorgement et il
'faudra quelques semaines pour que le tout
soit écoulé.
Nous ne sommes pas pour nous plaindre
de cette abondance, au contraire; mais nous
ne pouvons que déplorer sincèrement que notre chère feuille en soit encore réduite à des
proportions si exiguës et insuffisantes. N’y
aurdit-il pas lieu d’espérer que nos abonnés,
en faisant un petit sacrifice, nous permettent
.de redonner prochainement à /’Echo ses quatre pages de jadis? Nous saisissons l’occasion pour recommander encore à nos correspondants d’être aussi brefs et concis que possible : le journal y aura tout à gagner en variété et richesse de nouvelles.
Un Symbole de l’amour.
J’ai lu quelque part l’histoire d’un rayon
de soleil qui avait entendu dire qu’il existait
sur la terre des endroits si horribles, si sombres, si tristes qu’on ne pouvait les dépeindre. Le rayon de soleil résolut de découvrir
ces endroits, et il se mit en route avec une
grande rapidité. Il visita d’abord les cavernes de la terre. Il se glissa dans les demeures
sans soleil, dans les allées sombres, dans les
caves sous la terre; il voyagea partout à la
recherche de l’obscurité, car il voulait savoir
ce que c’était; mais il ne put jamais la découvrir nulle part, parce que partout où il
allait, il portait la lumière avec lui. Tout en^
droit qu’il visitait, quelque sombre et triste
qu’il fût, était éclairé et égayé par sa présence.
Le soleil est un magnifique symbole de
l’amour. Il envoie ses rayons lumineux et
gais dans les bouges les plus misérables, dans
les prisons aussi bien que dans les palais...
Il luit sur les bons et sur les mauvais, sur
le croyant et sur l’impie, sur toutes les nations, sur les blancs comme sur les noirs ou
les jaunes... Il remplit simplement de sa chaleur et de sa lumière tout lieu mù il peut pénétrer...
Comme le soleil, l’amour éclaire, réchauffe
et appelle à la vie tout ce qu’il touche. Il est
pour le cœur humain ce que le soleil est
pour la rose. Il en fait sortir le parfum, la
beauté et la richesse qu’il renferme. L’amour
éveille tout ce qu’il y a de meilleur en nous,
parce qu’il fait appel à nos sentiments les
plus nobles, les plus élevés. Le vrai amour
élève, purifie et fortifie tout cœur qu’il touche... L’amour Voit Dieu dans l’êtfe humain
le plus dégradé... G’est lui qui est le lien.de
la société; il est l’esprit du Christ, qui.sert
de levain dans le monde. La seule chose qui
soit universellement comprise, qui parle
toutes les langues, tous les dialectes, qui soit
un livre ouvert pour Tignorant, même pour
ceux qui ne connaissent pas leurs lettres,
qui nepeuvent écrire leur nom, c’estTamout;
Drtimmond dit quelle treizième chapitre
de la première lettre de Paul aux Corinthiens
est le plus grand poème sur l’amour qui ait
jamais été écrit. Quand il le lut aux étudiants '
de l’évangéliste Moody, à Norfield, Massachussets, il leur demanda : « Lesquels d’entre
vous veulent se jomdre à moi pour lire, ce
chapitre une fois chaque semaine, pendant
les trois mois qui vont'suivre? Un homme
de ma connaissance l’a fait, et toute sa vie
été transformée. Voulez-vous le faire?
Voulez-vous? ».
Ce chapitre, dont Dtummond fait un si
grand cas, ne renferme que treize courts
Versets. On peut l’apprendre par cœur très
facilement; si quelqulun veut le faire, et se
le répéter d’une façon compréhensible chaque-jour, il peut être certain qu’il révolutionnera toute sa vie. 0.-9. Mabden.
1^:, (Les Miracles dè Vam&ur).
les preuves, M. l’abbé!
Sous le titre « leggende », un collaborateur régulier de YEco del Chisone, un prêtre
bien entendu, s’efforce, sans en avoir l’air,
de jeter un pe'Îi de discrédit sur les Vaudois ; et il n’en est pas à son coup d’essai,
croyez-le. — IP fait son métier, direz-vous,
et nous n’avons pas à discuter avec les gens
de mauvaise foi, pas plus que nous ne
l’avons fait chaque fois qu’il s’est attaqué
à nos institutions, à notre histoire glorieuse
ou à nos traditions.
— Vous auriez raison et nous ne nous
donnerions pas la peine de lui répondre, si,
dans un de ses derniers articles, sous une
bonhomie apparente qui cache une âme fielleuse, M. l’abbé n’avait dépassé la mesure.
Nous laisserions sans réponse ses gloses au
sujet de ce qu’il qualifie de « légendes »,
de « fables », à savoir la supériorité morale
des Vaudois sur leurs voisins catholiques,
qu’un c(t-respondant de la Gazzetta del Popolo a to;^t récemment affirmée. Il y aurait
là aussi matière à discussion et nous pourrions aisément rétorquer les arguments spécieux de M. l’abbé qui, si je ne fais erreur,
vit depuis de longues années dans un tout
petit vallon reculé du Val St-Martin. Du
haut de son perchoir, ü prétend embrasser
de son regard d’aigle toutes les Vallées; il
prétend connaître les Vaudois à fond, «pasteurs et modérateur» y compris... ce qui reste
à démontrer. Il a donc remarqué parmi
nous des actes d’immoralité que nous ne
songeons nullement à contester; il a trouvé
chez nous des avares, des gens fortement
attachés aux biens de ce monde... et cela
non plus ne fait pas le moindre doute; il
a constaté quelques cas de désertion de
Vaudois au cours de la dernière guerre, ce
que nous reconnaissons avec lui; il conteste
le prétendu attachement des Vaudois pour
leurs Vallées, vu que, chaque année, bon
nombre d’entre eux traversent l’Océan et
vont s’établir en Amérique (!).
Il en conclût donc que lès Vaudois n’ont
aucune supériorité sur leurs voisins de l’autre confession; au contraire, est-il probablement tenté d’ajouter. Or nous nous permettons de faire observer à M. l’abbé qu’il
n’est pas en mesure de nous juger et que'
sa qualité même n’est pas précisément une
garantie d’impartialité à notre égard. Il
coxmo.ît quelques Vaudois, tous ceux de son
petit vallon, mais il ne connaît pas les Vaudois. Il jouit secrètement de nos défauts,
se documente, dit-il, sur nos faiblesses, se
met à l’affût de nos petits scandales pour
s’en s rvir contre nous au bon moment,
avec toute la charité évangélique dont il
est enflammé !
Pas plus que M. l’abbé nous n’aimons
les exagérations et comme lui nous détestons les flagorneries; mais nous n’avons
garde de repousser en bloc les témoignages
impartiaux qui nous viennent de tant de
lieux divers, de près et de loin et qui constatent, ne vous en déplaise, que le peuple
Vaudois, dans son ensemble, a réellement
une certaine supériorité morale, voire même
intellectuelle sur ses voisins. Pourquoi, depuis l'Emancipation, se plairait-on, à mettre en relief nos qualités (fût-ce même en
les exagérant un peu) si notre supériorité
n’était qu’une «fable ou une légende» ? Que
gagnerait-on à nous flatter sans raisons ?
Pourquoi,les chefs d’industrie qui embauchent nos ouvriers, les danses catholiques
qui nous sollicitent pour avoir des personnes de service de chez nous ; les officiers
de tout ordre qui ont vu nos soldats à
l’œuvre au cours de la dernière guerre ; les
étrangers qui séjournent dans nos Vallées
durant la. belle saison ; les touristes intelligents et libres de préjugés qui les parcourent en tous sens, s’accorderaient-ils à nous
reconnaître les qualités que vous nous déniez, s’il ne leur avait été donné de les constater?
Cela dit, venons-en au sujet qui m’a mis
la plume à la main. A propos de Y affaire
Poli-Lageard, c’est à dire de lacón version ( ?)
et du baptême subreptices d’une jeune vaudoise’— que »notre feuille a' à- peine men^
tionnés— dont plusieurs journaux ont parlé
(|rop parlé) et dont*la justice a été saisie, M.
l’àbbé affirme imprudemment des choses fort
graves et qu’on ne doit pas laisser tomber sans
Inviter poliment à donner des preuves... si
t^t est qu’il en ait. Après avoir, avec toute
sà sincérité coutumière, déploré la fameuse
conversion forcée, ainsi, ... et surtout, que
le bruit qu’elle a causé, moins parmi les
Vaudois que parmi leurs amis, M. l’abbé
ajoute que ses archives privées recèlent quantité de documents prouvant que les Vaudois ont fait pis que cela: il s’agirait de
mineurs, fils de cathoHque^ et qui, demeurés orphelins furent confiés à des familles
vaudoises, lesquelles les auraient convertis
^ par force, je suppose — à leur foi (à quel
âge, M. l’abbé?); de malades catholiques,
entourés à leur lit de mort par des Vaudois
qjïj, au lieu d’appeler le prêtre au chevet
dlç. mourant, ont fait venir le pasteur; de
pauvres femmes catholiques, mariées à des
Vaudois, tout en demeurant d’abord catholiques, qui « sous le coup de pressions et
deÉnenaces n’ayant rien d’évangélique», ont
été'forcées d’abjurer leur foi!
^oilà des accusations en bonne et due
fcfee, très catégoriques et qu’il s’agît maint^ant de prouver, en puisant aux fameuses
aiehives dont nous parlions plus haut. Nous
attendons les preuves, c’est à dire que nous
les demandons; mais elles ne viendront pas,
et'*^bur cause. Vous verrez que M. l’abbé,
s’én tirera, avec sa finanderie bien connue,
p^AIes faux-fuyants, j. c.
^ ÊPHEAIÈRI0E5 VAUDOISES.
25 Février 1602.
Edit de Charles Emmanuel I.
Lorsque Charles Emmanuel avait réussi à
enlever Mirabouc, la dernière place que Lesdiguières conservait dans ses Etats, en passant au Villar, il avait promis aux Vaudois
protection et justice; mais son long règne
ne fut, à leur égard, qu’une longue série
d’actes d’oppression et d’injustice. Il demeura quelque peu tolérant, tant que dura
la guerre contre la France. Mais la paix de
Lyon (1601), fut suivie coup sur coup de *
l’édit d’expulsion des réformés du Marquisat
de Saluces, et d’autres mesures contre les
Vaudois des Vallées. Les premiers mois de
i’6o2 furent employés en une mission au Val
Luseme, où le duc, l’archevêque, les comtes
et tout leur attirail ecclésiastique et militaire, mirent en jeu tour à tour promesses,
menaces, astuce et violences pour arracher
quelques âmes à l’hérésie. Le monument culminant de cette campagne est l’édit du 25
Février.
Malgré les capitulations signées par son
père et en dépit de ses propres promesses, le
duc y déclare d’abord sa résolution 'd’ensevelir et entièrement détruire l’hérésie dans ses
Etats. Dans ce but, il défend à tout hérétique de tenir aucune école privée ni publique, sous peine de la vie; il prohibe, sous
peine de la confiscation des biens, tout mariage mixte; il expulse des Vallées tous ceux
qui s’y sont retirés dans les sept dernières
années (c’est-à-dire précisément depuis la
date des belles paroles que S. A. avait prononcées au Villar). Ces victimes étaient surtout les rëfügiés du Marquisat de Saluces,
qu’il menaçait de la confiscation des biens,
en cas dè désobéissance, tandis que ceux qui
les logeaient étaient frappés d’une amende
dé raille écus. Défense était faite aux catholiques, sous peine de la vie, de fréquenter
les assemblées et même les maisons des hérétiques. Un hérétique qui aurait osé empêcher une abjuration était puni de mille
francs d’amende. Les S5mdics devaient accompagner les moines, chaque fois que ceuxci le demanderaient, sous la peine de cent
écus par fois. Aucun hérétique ne pouvait
gérer aucune charge communale, ni autre,
sous peine de confiscation des biens des coupables, et de 500 écus pour la Commune.
(Et cela même dans les Communes où il n’y
avait pas un seul catholique !). Défense à
tout catholique de vendre des biens fonds
aux hérétiques, sous peine de la perte de
ces biens. Un tiers des amendes était au
profit du dénonciateur; cjui demeurait secret.
Cet édit, non seulement intolérant, mais
injuste, ne fut pas toujours appliqué-strictement ; néanmoins, il demeura en vigueur
jusqu’à la Révolution française. Après un
quart de sièclè de liberté, Victor Emmanuel !
le remit en exécution, eii 18x5, après son retour de Sardaigne, et Charles-Albert s’y appuyait encore dans ses décrets du 1° Janvier
1838 et du 23 Septèmbre 1842 !' Il fallut
l’Edit d’Emancipation, dont nous venons de
fêter l’anniversaire, pour délivrer nos pères
de l’oppression que l’édit dé Charles Emmanuel I fit peser sur eux pendant deux siècles et demi. J. J’.
BOBI. Dimandie dernier a été pour Bobi
un Dimanche missionnaire. M. le missdon*naire A. Lageard y a présidé quatre cultes,
le premier dans le temple littéralement
bondé d’auditeurs, et les trois autres dans
la grande salie des Unions.
La parole chaude, profondément convaincue et riche ^’expériences personnelles de
notre frère a vivement touché, les cœurs et
ne manquera pas d’être en bénédiction pour
notre paroisse. Le total des collectes faites
à ces différents cultes, L. 54. L’EgHse de
Bobi remercie très cordialement M. Lageard
de sa visite et lui souhaite beaucoup de
succès dans sa belle et noble tâche.
GENÈVE. Colonie Vaudoise. C’est avec
un réél plaisir que nous avons- pu réunir
nos frères Vaudois de Genève à l’occasion
de la Fête du 17 Février; cette commémoration a laissé dans nos cœurs le meilleur
souvenir.
Le Vendredi iSi dans la Chapelle de Ca<rouge, une soirée avec projections de quelques-unes de nos paroisses de montagne,
attira un très nombreux auditoire. Nous
eûmes le plaisir d’entendre la Chorale Vaudoise en deux chœurs fort bien, exécutés.
Quelques-unes de nos sœurs eurent l’aimable pensée d’y venir en costume Vaudois.
Ces chères petites coiffes nous donnèrent
l’illusion d’être dans une de nos paroisses,
ce qui fut pour chacun de nous très doux
et bienfaisant. Le Samedi 18, le banquet
traditionnel (53 présenté) fut tirés animé et
joyeux, laissant à chacun le souvenir agréable d’une heure de bonne intimité.
Enfin le Dimanche 20 nous eûmes la commémoration oflftcielle de la Fêie Nationale
Vaudoise. Nos frères y vinrent nombreux
et applaudirent de grand cœur nos artistes
grands et petits qui s’associèrent à la fête
en y prenant une part active. Des chœurs,
des solos, de la musique instrumentale et
des récitations nous firent passer très agréablement deux heures. Deux brefs discours
de M. E. Benech et de M. Balmas rappelèrent d’une façon plus directe là fête que
l’on commémorait. Nous avons profondément joui de ces réunions et nous avons
senti plus que jamais combien nos chères
Vallées sont près de nos cœurs. Il fait bon
de se retrouver en pays étranger unis par
u-n meme souvenir et un même amour pour
notre Patrie et pour notre Eglise. B.
LA TOUR. La semaine passée nous
avons accompagné à son dernier repos la
dépouille mortelle de /. Daniel Eynard de
Chiavoula décédé dans sa 79.me année.
Toute notre sympathie à la famille
M. Gustave Bugnon de passage, à
la Tour a bien voulu présider ime réunion
aux Coppiers, mercredi soir. L’école était
bondée et la parole de l’évangéliste Suisse
a fait beaucoup de bien à nos cœurs.
PRARUSTIN. LeDimamche 20, nousavons
eu la «Visite d’Eglise». La veillé, un bon auditoire se réunit dans la vaste école du Roc,
où nous eûmes le privilège d’entendre les
pasteurs M. Louis Marauda et M. Henri
Tron du Perrier. Le Dimanche, M. Tron,
secrétaire de la Commission de District, présida l’école du Dimanche et le culte du
matin à St-Barthélemy, en nous donnant
une prédication très édifiante. A la visite
d’Eglise proprement dite qui suivit lè service, Ion accentua la très grande impôt-'
tance du culte de famille et la nécessité d’un
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réveil de l’Eglise en vue de la mission que
Dieu lui a confiée.. .V *
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L’après-midi, M. Tron a eu la bonté de
présider le culte à Rocheplate, et le soir uñe *
bçnne réunion au Colarey.
'%3L journée a été sans doute bien fatigante pour notre frère; mais nous remercious le Seigneur pour les nombreux appels
qui nous ont été adressés et qui, accompagnés par les saintes rosées d’En-Haut,
porteront^ certainement de bons fruits. Et
après avoir remercié le Seigneur, nous remercions encore M. TrOn pour son excellente
visite, ainsi que M. L. Marauda pour son
précieux concours. Comme il serait bon de
se voir plus souvent! Certainement, nos
Eglises en recevraient de précieuses bénédictions. J. Bertinatti.
NEW-YORK. Nous remercions au nom
de notre Congrégation Vaudoise M. le pas-*
teur Albert Costabel, délégué officiel de
l’Eglise Vaudoise aux Etats-Unis et Canada,
pour le sermon si riche d’inspirations et d’encouragements qu’il nous a prêché le Dimanche 9 Janvier. Ça été pour nous une grande
joie. Aussi notre Congrégation a-t-elle été
heureuse de lui confier pour l’œuvre d’Evangéhsation en Italie sa collecte de dollars 25
et de lui destiner une coUecte précédente
en dollars 21.81.
M.me Costabel, qui accompagne son mari
dans sa dure tâche, lui est une aide infatigable et fort précieuse. Que Dieu bénisse leurs
efforts.
Voici quelques nouvelles du travail accompli par les différents groupes du « Waldensian Aid Society» de New-York pour
l’œuvre d’Italie. Le 4 Janviér lé « home » de
M.me Jonathan Bülkley était bondé de personnes venues pour donner la bienvenue à
nos hôteS; M. et M.me Costabel. D’autres
réunions, aussi bien réussies, eurent lieu chez
M.me WiUiam Church Osbome, chez M.me
John French, chez M. William. Colgate. On
y écouta avec beaucoup d’intérêt et de sympathie les messages de M. et M.me Costabel
qui reçurent le meilleur accueil. De nombreux discours y furent prononcés par nos
amis d’Amérique et l’on y entendit les
chœurs très appréciés du quartette « Grâce
Chapel». B. Tron.
RODORET. Pour Dispensario Medico.
Giov. Turin, L. 25 — Mme L. B., Florence,
L. 20.
SAINT-JEAN. L’C/mo« Chrétienne de }eunes Gens vient de faire les dons suivants qui
sont ufie preuve éloquente de sa louable
activité: au Consistoire, pour ses différentes
œuvres, L. 796; à l’Asile des Vieillards,
L. 400 ; au Fonds des Unions Chrétiennes
pour un missionnaire italien à l’Asmara,
L. 20Ô.
Nous adressons à cette chère jeunesse
nos félicitations sincères et nos meilleurs
temerdments.
SIENNE. Le20 du mois nous avons célébré la fête du 17 Février. Le soir à 8 h.,
dans notre beau petit temple, nous avons
donné une conférence sur cette date si importante de notre histoire devant un bon
auditoire. Lès élèves de l’école du Dimanche récitèrent plusieurs poésies adaptées à
la circonstance et une page du Livre de De
Amicis, Aile Porte d'Italia. Le Rimpatrio et
le Serment de Sibaud furent chantés par le
chœur.
Une heure après nous nous rendîmes dans
la grande salle du rez-de-chaussée du presbytère pour faire honneur au « rinfresco »
qui avait été préparé. Les récitations et les
jeux reprirent de plus belle et la conversation faite dans le plus pur siennois fut
loin d’être ennuyeuse. Vers ii heures tout
était teririiné; chacun pensa à regagner sa
demeure, hâtant de ses vœux une célébration comme celle que nous avons eue cette
année.
À PROPOS DE DANTE.
L’Eco del Chisone nous cherche chicane,
évidemment. Et ce n’est certes pas de sa
dignité à l’endroit d’une modeste feuille
comme la nôtre qu’il se plaît à appeler
avec dédain... « un journal à deux sous ! ».
Nous trouvons que ce n’est même pas
poli.
La raison de la chicane ? Une très innocente allusion de notre vénéré correspondant de Lugano au fait que tels auteurs ont pu considérer Dante comme
ayant été un Barbe Vaudois ou Albigeois,
en tous cas comme un sectaire et hérétique du Moyen-Age; allusion faite évidemment à. titre de curiosité historique
et par laquelle M. P.. C. introduisait une
étude sur « les convictions religieuses de
Dante Alighieri ».
Nous ignorons ce que nous dira cette
étude; notre correspondant sait bien, en
tous cas, que la « Divina Commedia » n’est
pas mise à l’Index. Mais voilà L’Eco del
Chisone en conclure aussitôt que M. P. C.
va tenter de prouver sur nos colonnes
que Dante... fut un Barbe Vaudois, ou
tout AU moins un hérétique; et cela annoncé en toute première page sous ce tibe
significatif:,* Dante... Barbètto »?!
Tpp d’honneur, monsieur le confn.re
et pas assez d’équité! Comme nous n avons pas relevé ses articles provocateurs
et pas trop inspirés à une sereine critique
historique à l’occasion de notre récent 17
Février, nous ne le suivrons pas, cette
fois non plus, sur le terrain des disputes
stériles. À quoi bon? *
Nous nous contenterons, comme par le
passé, en lisant L’Eco del Cà/so72e,:;.d’apprécier ce qu’il porte d’instructif* et de
" déplorer le reste, quitte à remettre les
choses au point quand nous sommes directement pris à parti. '
In]sl!ÌkMon^ Ho^pitalièie^ liandoi^e^.
La Commission des Institutions Hospitalières Vaudoises, convaincue qü’iT n’est pas
possible de faire face aux besoins des Hôpitaux et de l’Orphelinat avec le produit
de la souscription publique,'à’établi de recourir, en faveur de ces deux'lnstitutiofis,
à un Bazar qui se tiendra à La Tour pendant la semaine du prochain Synode.
,La' somme qu’il faut trouver est si considérable — pas moins de vingt-cinq mille
lires —: que la Commission croit devoir faire
appel à toutes les forces vaudoises soit aux
Vallées, soit en Italie et soit même à l’Etranger.
Un Comité céntral exécutif va être nommé à La Tour pour recevoir les dons et
organiser le Bazar. A ce Comité viendront
s’ajouter les représentants des groupes qui,
aux Vajlées et dans les différentes villes de
l’Italie, auront pris un intérêt actif à la
chose. Dans les 'centres où existent de fortes Colonies Vaudoises, pourront se constituer des Sous-Comités qui, au temps voulu,
transmettront les objets et les dons ait Comité Central. Les offrandes isolées pourront être envoyées au prof. J. Ribet, à
La Tour.
Amis Vaudois, nous vous en prions instamment, faites-vous un devoir de venir en
aide aux Œuvres qui périclitent aîin qu’elles
puissent surmonter la crise èt rendre à nos
pauvres les services pour lesquels elles ont
été fondées.
La Tour, 7 Mars 1921.
Pour la Commission : J. Ribet.
ÂIbo d’Onore ai Caduti tt Chiesa Yalta.
È uscito di questi giorni, dalla Tipografia Rastellini di Torre Pellice, VMbo
d’Onore che la Chiesa Valdese ha pubblicato in memoria dei suoi figli caduti,
nella grande guerra, per la Patria. In
bella veste tipografica, con più di 400
clicliés della «Zincocelere» di Torino,
con artistica copertina di Paolo Paschetto.
Non è messo in vendita. Un esemplare
è offerto dalla Tavola Valdese alle famiglie dei caduti. Le altre famiglie che
lo desiderano, lo possono avere facendosi
prenotare presso il rispettivo pastore,
mediante il versarrtento di lire dieci.
Le fotografie inviate alla Commissione
dell’Albo, possono essere ritirate dalie
famiglie, presso il rispettivo pastore, insieme all’Albo.
I Signori Pastori ed Evangelisti sono
pregati d’inviare le loro richieste — per
le famiglie dei Caduti e per i prenotati
— al Signor Valeriane Perazzi - 44, Corso
Vittorio Emananuele - Torino.
L’Albo d’Onore merita di figurare, come
sacro patriottico ricordo, presso ogni famiglia Valdese. Per la Commissione
Davide Jahier.
Chronique politique.
Nous venons de traverser encore uuç
semaine des plus mouvementées, soit au
point de vue de notre politique intérieute,
soit à celui des évènements de la politique
internationale. Essayons de les résumer en
quelques mots.
La Chambre a épuisé la discussion générale du « projet sur la bureaucratie », que
nous avons mentionné dernièrement, mais
n’a pas achevé la discussion des articles.
Elle a nommé une Commission de 14 membres pour le projet relatif aux modifications à apporter aux circonscriptions électorales. Elle a pareillemient entrepris l’examen du projet de loi sur les « contrats de
locations des biens-fonds rustiques ». Le
plus clair de son temps est cependant consacré à la politique intérieure, soit aux
répercussions des luttes entre fascisti et
socialistes qui ont continué à faire ragé
quoiqu’il y ait eu un peu moins de sang
versé qud dans l’avant-dernière semaine.
Mais la situation est toujours grave, car
aucun des deux partis ne songe à désarmer
à ce qu’il paraît. Bien plus les communistes
ont repris partout leur attitude de provocation qu’ils semblaient aVpir momentanément
abandonnée ; le conflit de Florence avec
ses'tjs morts, fut provoque par les commu- v
nistes; le massacre des .imarins à Erapoh
est^égaleifïeitt leur œuvre; le coniiit de
Casaie Monferrato ou dedx tambours dt
l’armée sarde;''un « fascista » et un comm'iniste ont laissé la vie. fut aussi provoqué
par les communistes... ainsi que plusieurs
escarmouches ayant eu lieu par-ci par-la.
Et voilà pourquoi, malgré le fameux pas
en avant dans la restauration de nos finances, notre change demeure à des hauteurs désormais inaccessibles; et il ûe commencera à descendre - cela est de toute
évidence - que le jour où ces déplorables
conflits épidémiques auront totalament
cessé.
— Les funérailles de l'ex-roi Nicolas
du Montenegro ont été célébrées avec
solennité àS. Remo le 5 c. Le Roi Victor
Emmanuel en personne, représentant la
famille royale d’Italie, les princes et princesses du Montenegro et leurs alliés étaient
présents à la cérémonie.
— En prenant possession de sa haute
charge, M. Harding, le nouveau President des Etats-Unis, a adressé, selon
l’usage, un message au graftd peuple qu’il
se, prépare à gouverner. C’est un discours
d’un , homme d’Etat et non d’un philosophe
idéologue, comme ceux de son prédécesseur ; un discours positif, basé sur des
, réalités. « L’ Amérique, dit-il, veut être
maîtresse absolue de ses énergies politiques
et économiques, et n’entend pas les mettre
â la disposition de telle ou telle autre puissance européenne ». Donc, accords, pour un
tribunal d’arbitrage, soit; mais aucune alliance militaire, aucune obligation économique permanente; aucune annulation de
dettes.- Que chacun demeure le maître dans
sa propre ihaison. Il y a là de quoi faire
réfléchir les optimistes qui voyaient déjà
notre formidable dette envers l’Amérique,
effacée d’un trait dé plume ! ^
— Mais la note saillante de la politique
internationale est encore, et plus qrre jamais,
la question des réparations c. àd. le conflit diplomatique provoqué par l’Allemagne à la Conférence de Londres. Vous
n’avez pas oublié que l’Allemagne offrait,
avec toutes sortes de réserves, 30 milliards
sur les 226 qu’on lui réclamait. Cette offre
avait soulevé l’indignation des alliés, mais
avant d’en venir aux, « sanctions » d’ordre mihtaire et économique, ils invitent
l’Allemagne à faire d’autres propositions.
L’Allemagne, qui ne, veut pas payer - cela
ne fait désormais plus de doute - cherche
à se dérober et fait d’autres propositions
encore plus dérisoires et inacceptables que
les premières. Il s’ensuit que l’Entente, à
bout de patience, en est arrivée aux sanctions établies par le traité de Paris, et qu’à
l’heure qu’il est les troupes des Alliés ont
occupé Düsseldorff et autres localités du
bassin de la Rhur... en attendant le reste.
On prétend que la porte demeure ouverte
malgré tout, et que les pourparlers ne seraient pas définitivement rompus. j. c.
Nouvelles Religieuses.
SUISSE. Eugène Burnand, le grand
peintre religieux, l’Ulustre auteur des tableaux chrétiens et des Paraboles vient de
mourir. Toute son œiivre est empreinte d’une
foi sincère et d’un mysticisme émouvant. On
peut dire de lui qu’il a mis son art au
service du Maître et que son éclatant témoignage est destiné à durer. Chrétien convaincu, il n’a jamais caché ses convictions.
Ancien de l’Eglise de Moudon, il y présidait
des cultes et des réunions missionnaires. Le
service funèbre, qui eut lieu à Moudon et
à Vulliens, fut une touchante et solennelle
apothéose de l’artiste et du chrétien. Nous
saluons sa mémoire avec toute notre reconnaissance et notre admiration
COMUNICATO.
Dopo quasi 14 mesi di lavoro sono costretto
mio malgrado a cessare la mia azienda tipografica (Tipografia Alpina di Umberto Camillo
Rastellini -Torrepellice) iniziata il l “Gennaio 1920.
Alla stessa ho dato, in uno coi miei collaboratori, ogni energia durante quésto tempo;
ma sia perchè troppo personalmente assorbito
in lavori anche spesso materiali ma pure indispensabili che mi impedirono di esplicare come
e meglio avrei desiderato il lavoro di diffusione
della buona stampa, che per le: condizioni di salute del mio procuratore Sig. Edoardo Vidossich
il quale non avrebbe più potuto assoggettarsi ad
uno sforzo incessante e continuato superiore
alle sue forze fisiche che gli richiedono un periodo di riposo o quànto meno un lavoro meno
assorbente e d’impegno, ho dovuto arrivare,
con dispiacere, alla suaccennata decisione. ‘
La mia azienda tipografica ha già cessato di
funzionare di fatto dalla data del 1® Gennaio
corrente anno, a partire dalla quale dovetti sospendere ogni accettazione di lavoro per dedicarmi all’ultimazione di quelli già in corso o
accettati in precedenza. Pur continuando in ,
quest’ultimo lavoro, in ciò aiutato dal mio procuratore, col 19 Febbraio u, s. la mia azienda
trovasi in liquidazione ; lieto per altro di comunicare-che buona’pirte di essa venne ceduta
e viene' continuata a partire da tale data dalla
nuova* Società in accomandita che fa capo al
Sig. Carlo Decker accomandatario e che continuerà sotto il nome di Tipografia Alpina
con sede in Torre Pellice, Vicolo Centrale.
Mentre ringrazio vivamente i Signori Clienti,
Fornitori, Collaboratori e quanti mi furono fdi
aiuto durante. ¡l,ijrio, breve ma laborioso esercizio tipografico, formulo i migliori auguri di,
successo alla nuova Azienda tipografica alla
quale prego pure voler continuare la fiducià e
la preferenza favoritami, ' 2 .1
Colgo pure l’occasione per ringraziare ancora
quanti - amici, conoscenti ed altri - che,, sul finire
del 1919, mi .favorirono oblazioni per aiutare la
diffusione della buona stampa, oblazioni che
furono da me versate alla Commissione per le
Pubblicazioni della Chiesa Valdese che appunto
si occupa di tale scopo. Per conto della medésima, cd oltre aU’qpera che ^ essa direttamente
svolge, mi occupo della dfffu^sione dieU’edlzione
speciale del Vangelo della Vita AeX Prof. Förster
e per mio conto dell’edizionq speciale dei libri j
della Raccolta Stali.
Torre Pellice, 4 Marzo 1921.
Umberto Camillo Rastellini.
Abonnements payés.
1921: Vüîar: Geymonat Pauline, Ville ■ .
J anavel Jdaa, Id. — Grand Daniel, Saret
Gönnet Jeanne, Cougnet — Garnier J. Kt.,
Meynet — Nicolet Rosine, Maossa. Riclaret: Bounons P. Albert, Albarea — Pons
-Bm., Clos— Griglio Adèle, Id. — P.ascal
J. P., Clos Inf, — Reyronel Alex.ne, veuve,
Barneo — Bounoiis Henri, Id. — Clot Pierre,
Id; — Brès Laurent, Reynaud — Bonnous
Hélène, Albarea — Peyronel-Pascal Aline,
Tronssan — Peyronel Adèle, Conlet — Rostuing J. Btienne, Villesèche. — Bovile : Genre
Jean feu Henri, Granges — Grill Philippe.
Combecrose — Ribet Pierre, Id, — Gênre
Alexandre, Vrocs - Tron Jean, Bâtie Peyret Alexandrine, Id. — Peyrot Lydie,
Troussier, Paetto — Refour Bléonore, Crô, ïd.
— Ferro Alexandre, Traverse — Long Aline, ;
Marseille — Gay Barth., Lnserna S. Giov. —
Bellion Henri, Id. Laurier Long, Baillaigués — Carola Jean, Paris — Beux Henri.
Sappiat, Pramol — Bouchard Lamy, Ruà.j
Id. — Bertin Lamy, New-York — Bertalotf
Jean, Id. — Pons Fleuri, Ribba, Pral -, Gar- I
nier Pablo, Col. S. Gustavo — Grand Daniel,
Lautaret, Bobi — Baridon Giovanni, Bolii i
— Malan Amilda, Prassuit, Angrogne — 'j
Chauvie Bmma, Id. — Jourdan Louise, Jourdan, Id. — Besson Clothilde, Id.--Monnet ■
Charles, Sârsa, Id. — Saru Madeleine, Serre, i
Id. — Union Chrétienne du Serre, Id: — Gt'i’-monat David, Bobi — I.ausarot Jeanne, Id.
— Buffa G. D., Pisa —- Messina Clem., Casale Moaferr. — LuzziG., Firenze — Petr-ai ^
G., SampierdareUa — Banchetti G. D., Pio j
Marina — Barns Esther, Inv. Pinasca — Pey
ronel Jeanne, Cannes — Pezzuto M.me. Grasse
— Polis Adélaïde, Perrier — Tron Henri feu^
Jacques, Robers, Massel — Tron Lydie, Id.,
Id. — Micol Charles, Portes, Id. — Micol '
Henri, Id., Id. — Tron Pierre, Ajasse, Id. ä
— Pons Armand, Id., Id. — Micol Alexandrine, Pralacombe, Id. — Tron Benjamin,
Reynaud, Id. — Chauvie Pierre, pasteur. Id.
J. Bonnet, Rédacteur-Responsable.
Torre Pellice - Imprimerie Alpine,
La veuve Alexandrine Forneron et ses
enfants et la famille Tonm“Boncoeiir remercient tous ceux qui ont prêté leurs soins
affectueux à leur cher
pendant sa longue et douloureuse maladie et
aux amis nombreux qui les ont assistés par
leur simpathie dans leur grande épreuve.
Un renier ciment particulier à M. le Doct.
Turin pour ■ son assistance dévouée et au
pasteur M. Peyronel pour les précieuses
Paroles d’espêranre chrétienne et de consolation apportées au mourant et à sa famille
en deuil.
Rot à, le 18 Février 1921;
1
I
COMPERASI Bicicletta d’occasione. \
Offerte al Sig.,jÎ?asfe////ii -Torre Pellico. ?
DEUX jeunes Vasdoises sont’ demandées pour bonne famille habitant l’été les
Vallées et l’hiver Pavie, comme femme
de chambre et cuisinière. Bons .gages.
S’adresser à Î’Esattoria de Tórre Pellice.
Vl^TA ÉÈoIe e difettosa.
Sarà in TORREPELLICE e si tratterrà
soltanto Mercoledì 16 Marzo
lo specialista di diottrica-oculistica
MEOgdHilLEI^ domm. Massimiliano
(di Torino).
Riceverà all’Hôtel de l'Ours per
correzione dei difetti e debolezza di vista
col suo ptuticolare sistema di lenti, in detto
giorno, dalle IO alle 12 ant. e dalle 2
alle 4 pom.
.OH
Di Aij~vnñTáñt.'"lsrtrwi
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