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ÿXRÀÎâSÂip; CHAQUE VENDREDI
PRIX D'ABONNRMEMTi Par aai Paor é mate
Italie et Colpnies italiennes .... . . L. 10,— 6,—
Etranger . . . . . . . . . . » 24,— 12,— i
Plusieurs abonnements à la m£me adresse ...» 22,— '■ ,
Od e’aboDDCi à Tom Pelltet, au Bureau d’Administration de r£cAo(Via Wigram, 2)
• Dans toutes les'Paroisses, chea MM. les Pasteurs.
..................................................... ■ ” " ' ..................................................................................... ....................
' - ) U y ' < ^
• L'ABONNBMBNT MB, PA ve D'AVANCE. i
S'adresser: pour la Rédaetton, à M. le Prof. Louis Micol * TorrePelli(e-~ pour
PAdnainistratioa, au Bureau du Journal, Via Wigram. N° 2 - Torre Ptlliet, ^
Pour toutes les aanraicm s'adresser au Bureaù du ioumal.
Tous les changements d'adresse coûtent sa ccDtloMa, sauf ceux du commet*
cernent de l’année.
Le namAro: eenttmea^
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..., di^es de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8). '
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U ■•p-'
AVIS.
Notre proelmin numéro paraîtra ie
12. mar$.
Pour l’instruciion
ints.
Le but de l'instruction biblique, doit
être de faire coinnaîitre 5e contenu de la
Bible, mais aussi, ét peut-être surtout,
d'enseigner à lire la Bible. La Bible doit
donc être, en principe, le texte de nos
leçons.
Naturel’enxent,, cette règle n’est pas sans
exceptions, surtout dans les classes enfantines, et i>our tes récits qui ne se prêtent guère à une étude directe datns le
texte. Dans bien des cas, on ne peut s’empêcher de résumer, en se bornant à faire
lire quelques versets bien choisis. L’aide
d’un manuel à la portée des enfants, qui
est toujoturs utile, l’est surtout dans ces
cas-là. Mais le manuel doit servir à faire
lire la Bible, il (ne doit pas la remplacer.
Ce que nous disons se rapporte naturellement aux leçons d’histoire sainte, et
en général aux leçons d'un caractère narratif. Mais nous croyons que l’instruction
Wblique ne doit pas se borner aux parties
Kstofiques de la Bible; elle doit aussi se
proposer d’initier nos enfants, grad'uelefment, -à la connaissance des livres poétiques et prophétiques et des épîtresi
Pour ce genre de leçons, évidemment,
l’usage d’un résumé n’aurait pas de sens.
I^a leçon consiste alors essentieUement
dans la lecture et l’explication d’un texte
de quelque étendue. Ce genre dè leçon est
bien connu dans les écoles secondaires
même inférieures, pour la lecture et l’explication des classiques des littératures anciennes et modernes. C'est pré isément à
cette méthode que nos leçons de Bible devront s’inspirer. Il est urgent de réparer
.à rinconvénient, q/U'e les seules parties de
la Bible qui sont habitueremeent connues,
parce qu’on les a étudiées dans les éco’es,
sont les récits des patriarches, auxquels
s'ajoute parfois im vague souvenir d'événements compliqués et barbares de l’époque des rois. Plusieurs psaumes, plusieurs
passages des prophètes, quelques chapitres
du livre de Job, et surtout plusieurs chapitres des épîtres, ne sont pas plus difficile» à comprendre que la plupart des textes de littérature italienne ou latine que
nos enfants doivent lire et étudier en IIP ,
ou IV® gymnase. Quel est l’enfant de 12 à
14 ans qui ne peut comprendre la poésie
puissante d’Esa ’e VI, ou des osseir enfs secs
d'Ezéchiel, le réquisitoire d’Esaïe I ou d’Esaïe XLIV, 12-20, l'é’ioquence émouvante
d'Esaïe XL (« Consolez, consolez mon
peuple...») ou comprendre le problème, si
simple au fond et si humain, du livre de
Job, en cherchant à pénétrer, sous la direction de son instituteur, dans la forêt
tropicale des «discours de l’Eternel», Ou
des autres dialogues de ce poème ? Et si
nous passons au Nouveau .Testament, peurqfpoi devrait-on laisser de côté les épîtres
de Saint-Paul, qui sont si riches d’acc^ts
personnels et d’enseignements pratiques
accessibles aux ©nfânts dé 14 a 15 ans?
Ces leçons de lecture de morceaux choisis devraient être alternées avec ce’les d’un
carrière narratif, et elles ne devraient
pas être laissées à l’initiative des élèves,
mais être expliquées en classe, sous la ,d>
rectipn attetntive de l’instituteur. Il faudra souvent une heure entière pour expliquer un psaume ou un chapitre de St- •
Paul, un verset après l’autre, et souvent
mot ^ mot ; mais ce temps sera certainement occupé de la façon la plus profitable.
Inutile de dire que le choix dé la version dans laçjuèEe ont lieu ces lectures a
une grande importance. Pour les Vallées,
la Version Synodale ou la Segomd devraient être d'un usage gêriérail ; pour le
reste de l’Eglise, la Versione Riveduta devrait être la seule admise pour l’instruction de la jeunesse. Que’que valeur qu’on
attribue aux beautés surannées de la langue de Dipdati, on ne devrait pas leur permettre de compliquer gratuitement une
lecture, qui est déjà par eEewnême assez
difficile pour nos enfants. M,
{Extrait d'tm rapport synodal).
“ Arrive qu’arrive
C’est toujours ainsi, chaque fois que le
vent hurle lugubremënt : « ouh, ouh », ou
que, dans sa fureur, fi. tord les branches
des arbres les faisant ressembler à de ,
grands bras chargés de menaces, ou bien
encore quand la tempête se déchîûne et
l’orage édate, c’est toujours ainsi... Une
vague anxiété pèse sur mon cœur comme
celle qui Oppressait les d'sciples sur le lac
de Génézareth et comme eux je mérite le
reproche du Maître ; « Gens de petite
foi » ! J’ai peur. Mais voilà, aussi rapidement qu’un éclair traverse le ciel, en
éclairant sinistrement les nuages noirs,
ces vers du Dante traversent mon esprit :
« Teiner si dee di sole qml e cose-C’hanno
potenza di far altrui male : Déll'altre no,
che non son paurose », et voilà que toujours la même détente se produit, le même charme opère. Je n’ai plus peur et je
répète avec philosophie les mots du vieux
Jacques : « Arrive qu’arrive ! ». Car je ne
puis jamais penser à notre grand poète
sans qu’une autre image se présente immédiatement à mon esprit : Barbe Jacques. Ils ne se ressemblaient pourtant pas.
Le pauvre montagnard (n’aurait pu se
vanter ni d’originés ni d’un nez très aristocratiques. Sa vieille tête n’était pas couronnée de lauriers, comme nous aimons à
nous reptésenter le grand poète. Non, son
vieux couvre-chef, qui avait bravé toutes
les intempéries, depuis... au moins la Glorieuse Rentrée, avait toutes les couleurs
de l’arc-en-ciel. Quant à so(n pantalon, rapiécé aux deux genoux et ailleurs... mais
il ne faut pas pousser trop loin les parallèles... Laisse-moi p utôt t'expliquer, ami
lecteur, pourquoi, je ne puis m’empêcher
d’associer deux hommes si différents et tu
comprendras qu’on peut avoir de grandes
affinités spirituelles.
Pardonne-moi un souvenir pérsonnel.
C’était un soir d’été. Un violent orage
s’était déchaîné sur la vallée et m’avait
surprise sous bois. Je courais imprudemment sous les mélèzes, éblouie par les
éclairs, effrayée par le fracas du tonnerre.
Je tenais ma poupée bien serrée contre
moi : au moins nous allions mourir ensemble si le dernier jour du monde était
arrivé !... J’arrivai finalement, hors d’haleine, près dü villaëre... Dans son champ,
Jacques travaillait tranquifiement à creuser un-petit canal. Haletante et abasour
die, par tant d’inconscience, je lui criai de
i loin : « Mais Barb’ Jacques, n’ave»-vous
■. pas peur, et si c'était la fin du monde ? ».
Et lui de continuer à creuser tranquiKer
ment et de répéter son refrain : « Et bien
arrive qu’arrive». Et il m’expliqua qu'il
fallait ce petit sillon pour empêcher la
pluie torrentielle — qui n'allait pas tarder -— de faire des rayages dans le
Champ... du voisin.
En m’expliquant combien ce terrain
ïdus en pente aurait souffert des pierres
que l'averse y aurait charriées sans le petit canal qu'il creusait, Jacques travaillait
sans s'arrêter et la petite « froussarde »
que j’étais se calma comme par enchantement. De son calme émanaient des ondes comme celles qui émanent du gén’e
du Dante quand il dit : « Temer si dee di
sole quelle cose - Ch’hanno potenza di far
dtrui male ».
',Je compris que les éléments déchaînés
n’avaient point de prise sur l’âme de Jacqu<¿ ; mais qu’une chose, par contre, lui
faisait terriblement peur : de nuire aux
autres ! Ah ! certes ce n’était pas la faute
de ses poules si la pauvre vieille Rosa’ie ne
pouvait réussir à avoir un peu de salade.
Et ses vaches avaient beau faire, elles ne
réussissaient jamais à goûter l’herbe du
voisin. Et, quand ces mêmes petites vaches, au mauvais caractère, pour se, ven■ ; ger' laissèrent un très désagréable souve‘ nir de leur passage, et cela, vraiment devant la porte de la jeune Catherine —
toujours si propre, et vraiment un samedi
soir, savez-vous ce qui arriva ? D arriva
ceci — je le vis de ma fenêtre, il arriva
— pardon aux âmes poétiques — il arriva
que le pauvre Jacques, au dos brisé de fatigue, s’en alla ramasser les bouses pour
.qu'elles ne gâtent pas tout l'effet de
beaux géraniums... que Catherine avait à
■ sa fenêtre.
Et ainsi je m’en allais au lit tranquille.
Jean, l'amoureux de la jeune fille, pourrait s'arrêter devant la maison, histoire
./le regarder les géraniums, fi ne courrait
- , plus aucun risque. C’est vrai qu'il y avait
un beau clair de lune, mais sait-on jamais
, où les amoureux peuvent mettre les
pieds ? Quoique enfant, j’avais observé
qu’ils ont la fâcheuse tendance d'avoir le
nez en l’air.
:'i Vraiment, ami lecteur, je voudrais, te
faire comprendre que Jacques était un
l ’homme exceptionnel, quoiqu’il n’eût ja}■ mais l’idée d’écrire un poème... Comme fi
r avait peur de nuire matériellement, il
I craignait de nuire moralement. Jamais fi
I n'aurait voulu tromper la conscience d’uti
enfant, ternir par une parole inconsidérée
fi cette chose —- si délicate — la réputation
d’une jeune fille. Et comme il aurait eu
peur de donner le coup de pied de l’âne
à quelqu'un déjà par terre, de décourager
un faible ou un imila<te. Par contre, il pensait comme le poète que « fe altre cose
non son paurose ». Les épreuves pouvaient fondre sur lui. H savait que la vie
est une « eicolo ».
Quand une première attaque d’apoplexie
risqua de le foudroyer, il attendit avec
sérénité la secondé. Il savait que la mort
„ est un tunnel ¡très sombre, mais qui amène
à plus de lumière, dans la Maison du Père.
« Le dtre cose non son paurose »,
t. R.
M. le Prof. Emile Tron.
Le. 15 février, après une courte maladie
d’une sémaihé seulement, est décédé M. le
professeur Emile Tron, de TUniversité de
Gênes. '
Avec lui disparaît l'un des maîtres les
plus compétents dé la langue et dé la littérature française en Italie. . i
Nous exprimons à ses six enfants, dont
trois sont professeurs dans les éeoleB
moyennes, notre profonde sympathie.
ü Lavoro de Gênes, du 20 février, lui
consacre un article que nous repnjduisons.
In memoria dì Emilio Tron.
Mo’ti ricordano la caratteristica figura
di un signore suHa sessantina dall’aspetto
grave e distinto, dallo sguardo severo e penetrante, ad onta delle lenti che ne attenuavano un poco la vivacità, seduto,.nel
tardo pomèriggìo di Ogni giorno, ad un -.
tavolino esterno del c^è della Borsa. Cdla.
màno appoggiata ad un nodoso bastone
che talvolta brandiva nel calore di una dilscussione, rimaneva lungamente net suo
angcletto preferito, assorto nella lettura
dei quotidiani francesi q incuiyosito al viavai cittadino.
Quesfuimio, che sotto una scorza di
apparente ruvidezza nascondeva tesori di
bontà e di in1elligdiza#era il prof. Tron.l - ‘
Nato a Salza di PinerolO, fl IS settembre
1872 da famiglia di modeste condizioni iniziò gli studi clàssici a Torre PeDise,
proseguì quelli universitari a Firenze
e à Pavia, ove, poco più che ventenne, si laureò in belle lettere. Giovanissimo ancora entrò nello insegnamento
come professore di lingua e letteratura
francese ; in seguito occupò varie sedi ; tra
le più importanti quelle di Bari, di Roma
e di Firenze. Dal 1912 tenne a Genova la
cattedra presso la Scuola Sur ericre di Commercio, trasformata poi in faco'tà di scienzi
economiche e commerciali.
Contava al suo attivo molte pubblicazioni e tra esse varie raccolte di poesie in
lingua francese, veri ceselli per finezza di
sentimento ed eleganza di forma. Capo di
una numerosa famiglia avviò i sei figli
agli studi, tanto che tre di essi esercitano
Tinsegnamento nelle scuole medie.
Modesto, riservato, quasi sino alla scontrosità, ligio al dovere, consacrava all’insegnamento 'nel quale ecceUéva, nutrito di
solidi studi, le isue migliori energie.
Odiava irreducibilmente la retorica;, le
ingiustizie^ i soprusi, i favoritismi, ed
esprimeva senza reticenze la sua disapprovazione quando altri non avrebbero esitato a chiudere un occhio e a taperè.
Le numerose generazioni di studenti che
egli educò colla, parola e con l’esempio rievocheranno, commossamente, la sua alta
figura morale.
Vadano le nostre più sentite condoglianze alla famig'lia ed in ispecie ai figli
che in lui piangono il padre amoroso e sollecito la cui costante preoccupazione fu
quella di addestrarli alla vita dello spirito
e di indirizzarli sul sentiero della rettitudine e della bontà. E. R.
*^3
La consdmee humaine a besmn dè Dieu,
et 'elle saura bien le saisir malgré les sophistes qui n'en parlent (pie peatr le dérober. .Te,w Jaurès.
2
ìi
'L’Echo des Viedlêes > ;Vlndr©di 2e Février 1937-XV
AHQROQKE/Lesiiriinevè voulu,
- ^ <5§tte anoiée, fêter le'XVH.février, en ïai'
saut leur apparition antîripée, et en ijoys
<^nant l'illusion d'être déjà hors de l'hiver. Personne ne s'en est plaint; en pensait aussi à la neige qui, l'année dernière,
à'là même époque, taraînait à gros flocons,’^et;. empêchait plusieurs paroissiens dé
participer à. la céSébuation.
„. Nous av(Hi8 donc eu la satisfaction de
voir le temple bondé par une assemiblée
rejfUeilli^i Nous avons tout d'abord médité
^ur' l'exhortation de la Sainte-Ecriture :
«Sois, fidèle jusqu'à la mort )>, qui reçoit
upe plus grande lumière par la célébration du XVII février. Ensuite, nous avons
assisté à un très bon programme de récitations, développé par les élèves de nos
i® dir^tion de leurs maîtres'Çhqralé, dirigée par M.me Emma
Ber^ot, nous' fit èntendre un choeur de
circonstance.
, . Après le culte, soixante-dix personnes se
^t; réiipii^ au Serre pour le dîner traditionnel. Nous avons eu l’honneur d’y
voir le Commissaire préfectoral, le Secréta,ire de la^Çoromune et le Juge de paix,
aussi ad'ressé la parole aux convives. Des dépêches ont été envoyées à
S^, M. le Roi Empereur et au Duce. Le
f|remjj^ a daigné répondre par cette
dépêche : « j^gmto Sovrano mi incarica
di Yp^raziwre quanti erano rwppreseniati
nel gentiles telégramma di omaggio detta
S.V, - Gem^glè Asimsi ni Bernezzo >>. Ensuite les membres de la Chorale nous ont
fajt passer deux heures très amusantes,
çxécutant des chœurs et récitant plusieurs poésies et monologues.
Cette fête — qui a aussi été célébrée
au Pradutour le dimanche 14 courant —
a laissé de bons souvenirs en tout ,e monde,
et nous remercions pour cela toutes les
personnes qui ont collaboré à son süocès.
■■Nous»opérons vivement que la «Semaine de renoncement >> puisæ rencontrer
le même succès qüe'la fêté "de la liberté
religieuse. Quelques-uns ont déjà démontré d’avoir compris la valeur morale de
cette collecte, mais plusieurs autres semblent' avoir caché leur talent sous la terre.
★ Dimanche prochain, s'il plaît à Dieu,
un groupe de jeunes gens compte se ren
dre au « Convegno » organisé par la Fédération Juvénile Vaudoise du Perrier.
Départ de La Tour, par le train de 7 h. 15
et» Retour par le dernier train. Le prix du
■vpyage d'aUée et retour (avec une agréar
r bή promenade à pied de La Pérouse au
perrier) est de L. 11, réduit à L. 6 pour
les paroissiens membres de la F. G. V. Il
est nécessaire de s’inscrire avant dimanche.
.. R. N.
fiofil . Le il février a eu lieu l’ensevelissement de Paul Jouvenal de Marguerite,
décédé aux Pertins, à l’âge de 7 mois. Notre sympathie aux affligés.
★ Le « XVII » a été célébré :
mâtin, par un culte dédié surtout aux
enfants, qui nous ont égayés par leurs
récitations soigneusement préparées.
A midi, par une agape, au cours de laquelle ont pris la parole le Pasteur et
M. Pierre Chauvie, pasteur «nérite. Un
court programme de chants et de récitations préparé par M,lJe Bianca Carrera et
M;'Ï^Ul t^xarbonmer; a fort applaudi.
. Le mir, par la représentation du drame
^Mnneqata de S. Tron, et de l’acte comique « Le distroidoni del dgrocm Antenore.», pw E. Novèlli. Les artistes ont
bien mérité les applaudissements du pubüç très nombreux.
Vers minuit, une «ftaccolata» au moiuiffleht de Sibaud termine la glorieiKe
journée. R.
LA TOUR. Diàtinctim. Nous apprenons
que M, le sénateur Giordano, de Venise,
a été nommé membre honoraire de l'Académie Laftclsiâna de Rome, à laquelle a
été présentée sa dernière œuvre : « La
clùnargia dd medico pmHco>, dont on
prépare une édition en langue portugaise.
Il nous revient aussi que M. le s&iateur
Giordano vient d'être ncannaé membre de
l'Académie françaisé^de médecine, dont
font partie les plus célébrée mMecins et
chirurgiens de France et de l'éti^ger.
Gela prouvç la grande estime dont jouit
aussi hors de Tltalie M. Giordâno comme
horhme de science, comme chirurgien et.
comme écrivain.
•VAUDOISE
fSP
★ Les .services {commémoratifs qui ont^
eu lieu a semaine Mu XVII février. ont
laissé une bonne et, espérons-le, durable
Impression. ■ - *>. V
Le dimanche 14, le culte du? matin a été
consacré à la célébration de la date glorieuse ; nombreuse a^mblée, discours de
circonstance, ha, Société Chorale,. sous ,|a
direction de M. le pasteur Eugène Revel,
s fort bien chanté le Rim^trio, ipusique
de Th, Rjcca. ' ... \
Le soir, la gtâhde salle de Sainte-Marguerite était remplie d’un public attentif,
Sii apprécia beaucoup la conférence de
. Auguste Armand“Hugon, étudiant
universitaire, sur le 17 février 1848.
Durant la semaine, les membres de « La
Balziglia» parlèrent dans les écoles .des
quartiers sur différents sujets de notre
histoire vaudoise.
Mercredi, 17, dès le matin, le tricoilDre
V est exposé aux maisons des Vaudois, et r
notre petite vflJe a air de, fête,. A t
10 (heures heures,, le long cortège des élèves de nos écoles élénientaires, venant de i
Sainte-Marguerite avec leurs drapeaux, ?
entre dans le temple, où lè public occupe
déjà tout l'espace disponible. La chaire, dès le dimanche avant avait été enveloppée du tricolore sur lequel ressortait vi- •
vement l’écusson de l'Eglise Vaudoise. Le |
programme habituél se déroule iiitêres- «
aant, varié et bien préparé. *’'■* ^
A 12 h. 30, un grand nombre de convives se retrouvaient dans le réfectoire de
l’internat pour l'agape fratemélle, le set - \
............S-®
■I
vice étant fait par des demoiselles en cos
tume vaudois. t;
Plusieurs autorité nous ont hofiorés de
leur présence et on n’a pas manqué de ^
leur faire sentir notre reconnaissance.
Le menu n'â rien lafesé à désirèr et la
joie a régné du commencement à la fin. :4
Inutile de dire que la fin du repas a été ‘sÿ
agrémentée par des discours et chants.
M. le pasteur Jules Tron, M. 1’avoc.at
Peyfot, portent la note dé la reconnaissance ; puis la Société Chorale, sous la direction entendue de M. E. Revel, chante '
La Patria,
M. le professeur A. JaUa insiste sur ic
devoir de l’action pour être dignes de l'hé- j
ritage qui nous a été légué, et t appelle
ime parole du général B«îkwith : « Agis- »
sez ».
Le chgeur: . ©hante le .Serment de Sibaud.
Le professeur Th. Pons et M. lé pqsteur E. ReveT parlent ensuite. ?
Les notes de Nàbwcco s'élèvent dans la
salle, tantôt comme un doux murmure,
tantôt comme l’éclat d’un dairon.
Et nous n’allons certes pas oublier no^
tre poète dialectal Par vus (M. A. Pasquet),
qui n’a pas beaucoup de loisirs pour chatouiller la Muse, mais elle répond toujours
volontiers à son appel.
Il nous dit une poésie pleine de humour, et — ce qui n'est lias toujours le
sas lorsqu’il s'agit de poésie — bien cossue d’idées.
M. le podestat Toscane apporte son message, très apprécié.
Le chœur chante encore, puis on se sépare heureux et contents.
L’impression a été des plus favorables
et tous les assistants, garderont de cette
fête un bon souvenir.
★ Dimanche dernier, à, lAula Magna
du Collège, M. Graffegna, inspecteur provincial du Comité des Volontaires du samÿ,
présenté par M. le prof. Attilio Jala, au
nom des Autorités focales, a exposé, d'une
façon saisissante, l'œuvre noble et charitable de ce Comité, qui groupe les personnes préparées à céder une partie de leur
sang pour rendre la force et la santé-à
leurs frères en danger. Cette oeuvre,
nécessaire, se développe avec trois condj'
tions : elle est absolument gratuite,, ^ç>
nyme et fértneraent disciplinée. Sous là direction de M. le doot. Gardiol, un groujè
s’est aussi formé chez nous. Ceux qui voudraient en faire partie, peuvent s’adresser directement à M. Gardiol.
PBBRIBR-BIANEILLE. Le 10 courant,
un long cortège a accompagné au champ
du repos Ja dépouille mortelle de notre
frère Phüibert Canal, des Granges, originaire de Samt-Martin, âgé de 42 ana
Dans sa sinmlicité, ü a été Un exemple de
foi pour tous ceux qui l'oint connu et qui
raimaient.
Un accident a brisé la vie de Pierre
Pons, des Sarets de Chabrans, de 53 ans.
L’ensevdissement, qui a eu heu au ïV>maret, le 15 courant, a démontré combien
notre frère était connu et ertîmé. ,
A l'Hôpital du Pomaret est décédée, te
14 courant, Henriette Avandet née Trm,
originaire de Saint-Martin.
À tous ceux ont été frappés par ces
départs, nous exprimons notre syinpatlite
chrétienne et nous demandons à Dieu de
vouloir consoler les cœurs brisés.
POUARBT. Plusieurs fois, en ces der-> ‘
niers temps, nous avôns pris le chemin du d
. cimetière pour y accompagner là dépouille '
mortelle des sœurs qui nous ont quittés
pour la Patrie céleste : Henriette Baret,
décédée au Girp du Pomaret, à l’âge de
73 ans ; Louise GriM née Trm, épouse de
notre cher frère Henri Grill, du Fort de
I^rouse, décédée après une.pénible maladie, à l'âge de 59 ar^ ; et Em,Uie Marie
Lageard de Pierre et de Marie Moscone,"
des Grangiasse du Pomaret, âgée d’à
peine 2'mois et demi, vVr'i' *
Que le Dieu des consolations console lès
cœurs affligés et les soutienne dans leur
dure épreuve; .»
A La fête du XVII février, comme toujours, a., été célébrée avec un grand enthousiasme : les nombreux feux de joie
de la véiEe, la nombreuse assistance au
culte du matin, les récitations dés enfants,
les chants exécutés par la Chorale, la nombreuse participation à l’agape fraternelle
la soirée très bien réussie, tout a contribué à rendre très soJénnelle cette célébration et à feter dignement cette date a
jamais mémorable Un remerciraent par
ticulier est du au regent M J Louis Ro
stagne, qui a ete lorganisateur et l’animateur de la fête.
PRAMOL. Nous voudrions pouvoir donner, surtout aux Pramolins répandus
dans notre patrie et dans le monde, une
idée de ee qu’a été le XVII février, ici
au « pays »... et malheureusement il est
imp<®sible d'exprimer en quelques .lignes
toutes les belles, intenses émotions que
cette fête nous a procurées. Les années
pas^nt, mais la beauté et la valeur de
notre fête ne passent point; et les vrais
Vaudois, tous ceux qui, malgré leurs imperfections, s’efforcent d’avoir l’esprit des
vieux Vaudois le sentent bien profondément ! La commémoration du XVII février .a commencé le dimanche précédent,
par un culte de circonstance, pendant lequel nous avons dirigé nos pensées reconnaissantes vers Dieu et vers nos pères. Le
mardi soir, sous un magnifique ciel étoüé,
de nombreux feux de joite annonçaient
l’arrivée du jour qui nous est si cher et
que nous avons si intensément vécu. Les
enfrnts et les grandes personnes se réunirent à 10 heures, dans le temple, où tout
un joli programme de récitations et de
chants se déroula avec un plein succès ;
le? coiffes vaudoises, ces b’anches coiffes,
qui sont quelque chose de plus.noble et
de plus précieux, qu’üh simpfe costume régional, comme on a l’habitude de rappeler et de le considérer aujourd’hui, étaient
bien représentées ; nous avons mis en relief les traits les plus caractéristiques de
cette vaillante et pieuse responsabilité
qu’a été Janavel; ensuite la Chorale a
chainté un chœur de circonstance, le Rimjiatrio. Le repas traditionnel a groupé
plusieurs convives et nous y avons entendu quelques bons messages et des
chants, enlevés avec entrain. Enfin, le soir,
les jeunes gens nous ont donné l’occasion
de nous réunir encore une fois et de bien
terrniner, dans un bon esprit, cette belle,
lumineuse journée. Nous en gardons un
cher souvenir ; et tandis que nous remercions, après Dieu, ceux qui ont aidé
à la préparer, nous exprimons le vœu
qu’ePe serve à fortifier notre foi,, à faire
pénétrer en nous et dans nos familles un
souffis puissant de la saine et forte piété
dé nos pères.
* ★ Notre reconnaissance va à l'évangéliste G. Bert, qui est monté prfeider le
culte du 24 janvier. Merci peur sa collaIjoration.
RODORET. XVll février, La fête attendue par tout le monde a été célébrée par
grands et petits avec enthousiasme. Le
vent faisait flotter nos drapeaux. Les enfants de Rodoret se rendirent jusqu’à Serveü pour y rencontrer ceux des Fontaines. Notre temple avait l'aspect des jouri
de grande fête et l'on y voyait accourir
de tous les villages les courageux qui bravaient le vent.
A 10 heures, la cérémonie commençait,
et après un discours de circonstance du
Conducteur de la paroisse, la parole était
donnée aux enfants, qui, par leurs chants
et leurs récitations, contribuaient à la
bonne réussite de la fête. Nous demandons à Dieu de bénir les impressions reçues et de nous donner la force de lui
être toujours fidèles.
★ Depuis quelque temps, a été instituée
aussi aux Fontaines une Union des jeuoes. Chaque samedi soir, oette jeunesse,
sous la guide dix Pasteur, se réunit en bon
nombre pour étudier ensemble, avec l’aide
de Dieu, les problèmes les plus importants
de la vie spirituelle.
ROBÀ. Vendredi, 5 courant, a eu Heu
I l'enterrement du petit Humbert Malan,
des Fusin^, que le Seigneur a rappelé à
~W
i V
Lui a i âge de 5. mois seulement. Nos coa- ,^.
doléances sincères aux jeunes époux 'qiui le
pleurent.
★ XVII février. L’heureuse date vaudoise a été célébrée avec beaucoup df®®train,” malgré l'épidémie de grippe, lyui
obligeait beaucoup de gens à garder 1© lit.
La veiUe, un entretien très bien organisé
par notre jeunesse, nous fit assister aux
conversations d'un bon foyer vaudois, du
temps où l’on s’occupait encore avec pa®“
sion de l’histoire glorieuse deS' pères...La
gaîté et la bonne humeur ne firent pas
non plus défaut et devinrent même très
bruyantes, à un certain moment de te
soirée. • . -v, .y.
La^ fête des enfants, le matin du XVII,
se déroula comme de coutume. Le rétablissement du cortège, qui traverse te
bourgade, rencontre la faveur générale.
La r^itation de bon nombre de poètes
et dialogues préparés avec beaucoup de
soin par les institutrices du Centre et du
quartier de Rumer. obtint; les plus chaleureux applaudissements. ! ,
Le dîner, dans la. Salle de la Jeunesse,
ne -récluta pas uhr très grând
convives (trente-deux seulement), maïs
fut en revanche assea joyeux et se prolongea, grâce à de nombreux cantiques,
jusqu’à 4 heures de l’après-midi.
La commémoration officielle, dans k
temple, a eu lieu dimanche, 21, avec le
développement de l’argument suivant :
« Rprà dans rhistoire vaudoise ». A Ifoccasion de cette solennité, Iç Consistoire a
adressé un appel particulier à la paroisse
et bon nombre de membres y ont répondu.
8AINT>6EBMAIN. Série de Conférences. Dimanche, 28 février, à 20 heures Pasteur Louis Marauda, vice-modérateur :
«H mistero nella vita». — Dimanàte,
7 mars, à 20 heures - Pasteur Robert Jahier, de Vülar Pélis : « Il sacerdozio universale ». — Dimanche, 14 mars, à 20 heuh
res - Pasteur Ermanno Rostan, de Pramol : « L’incroUabile certezza ».
SAiNT-JEAN. Le deuil a éprouvé trois
familles de notre paroisse :
Le/ 14 février, a eu lieu l’ensevelissement de notre frère M. Daniel Gatg, décédé au Pont des Gay, après une péniWe
maladie, à l’âge de 73 ans.
Le 18 février, a eu lieu l’ensevelissement de notre frère M. Edouard Bertin,
décédé aux Subilia, après une longue maladie, à l’âge de 80 ans.
'■ Le. 23 février, nous avons confié à te
terre les restes mortels de notre -’frère*'
M. Patd Bastie, décédé aux Favouts, à
l’âge de 88 ans.
Sur les parents affligés par ces départs,
nous invoquons les consolations de Dieu.
-k L’anniversaire de notre Emancipation
a été célébré avec la joie et l’entrain
habituels. A 10 h. 30, au temple, les enfants qui avaient formé le cortège tradr
tionnel ont offert un beau programme de
récitations et de chants, soigneusement
préparé par leurs institutrices et instituteurs. A midi, l’agape fraternelle dans la
Salle Albarin, organisée et dirigée avec
tant de compétence par M. F. Marauda,
auquel nous voulons dire une fois encore
toüte notre profonde reconnaissance, comme aussi à ses collaborateurs, MM. A. Revel, ancien, et A. Coïsson, diacre. Un
merci cordial aussi aux gentiUes coiffœ et
à tous ceux qui ont bien voulu travailler
à la benne réussite de la fêté. Après la
lecture des dépêches envoyées au Roi, au
Chef du Gouverne.ment et au Prince du
Piémont, des messages qui nous ont été
adressés par dés amis absents, quelques
discours sont prononcés par M. le géom.
chev. E. Ayassot, podestat, par les pasr
teurs MM. B. Gardiol et Rivoire et par
M. le prof. G. Costabel. Après le chant
de 'nos chœurs patriotiques, on se sépare,
pour permettre aux Unionistes de prépar
ler la Sa'lë pour la soirée, où l'on jouera
Albèri di Ubêrtà,ràe l’-ingc'Q. Rostainv-et
une farce pour terminer affisi, joyeusement, cette belle inoubliable journée.
VILLAR. XVII février. Le matin, dans
le temple, tr^ bonne fête pour nos 200
enfants, joyeux à ravir autour de leurs
bannières. Les récitations et les cHaJits
d’ensemble, dirigés par nos institutrices,
sont vivement appréciés par le norribreux
public. A 12 heures, l'agape tradîtionhelle
réunit, dans la grande école, soixaziteKiuatre convives, chez qui la note patriotique
vaudoise vibre à runiteon. Le dîner, bien
préparé par M. Davit de l’«Alpino», est
servi par nos jéunes filles. Au café, brefs
discours d-u Podestat et du Pasteur, qui
évoquent le passé glorieux et rappellent
aux devoirs du présent.
OON8 RgQUS
Du rag. Levî Rostagno (Turin) ,’'£¿ 50
pour ^fférentes œuvres (les détails serbot
publies par les Administrationis des couvres mêmes),
—il
3
Li’Echo des VaJlées - Vendss^i 26 Février
■XV
i
t
.iifv
^LeîXVIPâ Tétrangc
'»■'iJa Colonie Vaudoise de Genève s’eist
rêünie'au Reôtautant Pe‘rrachond-Gay, le
djahEuitlie 21 février^ pour fêter l'Eman
■■V . il’Isv'Sfr'iWT.v
f5Îpe.ti0n.
Jjc baJifliiet, excellemment servi, groupa
aijitôur'" des tables fleuries,* une cirtquantkiâne ^îe- convives. ’ ' *i * ' •
Au dessert le'major de table, M. Elmile
P^uèt, donna la bienvenue aux présents
et salua spécialement M.Ue Bienz, éditeur
de l’Almanach Calvin, ainsi que M. Geiaterfdorf-Des Goutttes, docteur ès-lettres,
qui assistait pour la première fois à notre
riji^ifeistation. M. Pasquet rappela ensuite
Benech est depuis trente ans prér
aident! de la Société Vaudoise, et si la Cokiniei a toujours été unie et attachée am
VatBêes, on le doit en grande partie aux
efforts du Président et de sa dévouée corhÇj^gnp, qui, ain,pi que la plupart des dame«, avait mis la Wanehe coiffe vaudOise.
' 'M. Benech prit ensuite la parole pour
räppfelör' d’abord lés disparus, notre doyen
Matthiîeù Gay'''et notre yiee^trésorier
François Chanforan,,
Puis, après aypir rappelé la: signification de la fête du « XVII », il parla de la
brochure traditîonnsHè, rédigée pendant si
lô’ngtèmps par le prof. Jean Jaha, et cette
année par le regretté prof. Jahier, et comme cette publication écrite en italien,
n’est pas comprise par tout le monde, il en
exposa le contenu, et termina en disant
que ,si les Vaudois peuvent être fiers de
leurs ancêtres, ils doivent aussi en. être
dignes.
M.Üe Bienz rappela ensuite le séjour
de Janavel à Genève. Puis M. Geisendorf,
membre du Consistoire de l’Eglise Nationale de Genève, qui nous dit que son attachement aux Vaudois s’explique par le
fait qu’une de ses aïeules était Vaudoise,
Il nous parla ensuite de la, Colonie , Vaudoise de Marseille, qu’il emt l’occasion de
cannaître pendant son séjour dans cette
ville. Il mentionna aussi les liens qui unissent Genève aux Vallées et la similitude
des écussons genèvois et vaudois;
Après quelques paroles de MM. Louis et
Ami Gay, ori entendit les chants patriotiques, vaudois, exécutés avec maîtrise par
]\i. Pasquet et ,sa charmante famiUe.
I^a fête se prolongea par des productions
diverses de MM, Beux, Avondet, Bœri
Berlin et de la jeune Clothilde Gönnet,
qui chànta avec entrain « Giovinezza ».
Une centaine d’Unionistes assistaient à
la (juatriènie Convention, dans la saUe^de
la Maison^ Unioniste de Torre PeEice, diTuanehe dernier. M. Charles Gay, candidat
en théologie, développa d’une façon très i
intéressante. au point de vue historique
et théoriqiue, le sujet qui avait été pvdix)sé : « L’œuvre de Dieu en vue du salut
de l’homme », présentant très clairement
et pratiquement le problème de la prédestination. Une discussion fraternélle s’ensûîvit ; dont la cofiblusibn fut résumée par
une parole impressive de M. Falchi : que,
quoique, les voies pour y arriver \puissent
paraître différentes, la porte du salut est
toujours la même. C’éSt là que Dieu attend chacun avec l’imperscrutahle profondeur de sa grâce. C’est avec un sentiment
ttès' vif de satisfaction et de reconnaissance, que nous rappelons cette série de
Conventions Unionisites qui, répondant
évidemment à un profond besoin, ont obtenu un succès spirituel considérable. ■
* * #
■ La carte illustrée que le Comité des
Unions Chrétiennes Vaudoises a publiée à
(l’occasion du XVII février, a eu un succès vraiment étonnant. En moins d'une semaine, l’édition en a été entièrement épuisée. Que cette voix solennelle du passé héroïque de nos pères, exprimée par le verset illustrant la carte, laisse une trace
ineffaçable dans le coeur de chaque TJinionisbe : Se voi persévérât,e neîla mîa parolà, voi sa/rete veramente mlei dhcepoli».
A. J.
t
î Nous rappelons à la jeunesse vaudoise
le « Convegno » qui aura lieu, D. y., dl^nanche prochain, 28 février, dans lte’' témrpie du Perrier, à 14 heures. On y traitera
le sujet suivant : « La sincérité dans la vi^
chrétienne^. Que tous les jeunes gens de
bonne . volonté soient présents à cette
réunion,, E. Eûstan.
.... L.
IJ , ^
c.J' A
sur It lir de la toefiriilioi.
, , Ai.. if Directeur,
Il y a désormais quelques années, vous
avez eu l’ohligeance d’héberger dans vos
colonnes une modeste,^lettre par. laquelle
je proposais timideiïxent, à ceux qqi en, ont
la responsabilité, d’établir la réception des
catéchumènes en un jour de fêté: légale,
de façon à permettre aux parents, aux
frères et aux intimes de oes jeunes candidats à la Sainte-Cène de les entquiror de
leur sympathie ét de leur donner la durable impression que ce solennd acte de leur
vie est une fonction dont ils doivent garder un bienfaisant souvenir, et non seulement une hâtive formalité bureaucratique.
En publiant alors pia lettre, vous
aviez trouvez l’idée digne d’être considérée, en ajoutant le regret que,. comme elle paraissait seulement le Vendredi
Saint, elle qe pût plus avoir son application cette année-là.
Gomme, personne, d’autre part, ne s*est
pris la peine de me dire que j’avais tort,
je me permets de répéter cette année, un
peu plus tôt, ma proposition, dans l’espoir
qu’elle ne continue pas à laisser totale*ment indifférents ceux qui sont chargés
de ici direction de celles de nos paroisses
doiiiL les membres qui doivent gagner leur
pain ne peuvent pas faire abstraction
complété des lois qui nous régissent et dies
exigences du travaü. qu’ils accomplissent
en ccllaboration avec d’autres. ’
Un membre d’Eglise.
Encore une fois le Rédacteur dé i’Echo
donne raison au «.membre laÂqùèi.
Le Vendredi Saint n’est pas‘ une fête
légale, aussi plusieurs personnes ne sontelles pas libres ce jaw-îà. Je ne vois afumne raison spéciale pour que la confirmai
tion soit fixée au Vendredi Saint, et le dimanche des rameaux serait bien phis indiqivé,.
Pour des raisons historiques, le jour de
la confirmation devrait être fixé à la Pentecôte, à la date de la création de l’Eglise
chrétienne par la descente du Saint-Esprit.
Pour des raisons historiques, ce serait,
à mon avis, la date préférable, mais si l’on
ne tient aucun compte des raisons historiques, qu’on suive du moins une méthode
pratique et que la confirmation se fasse
un dimanche quelconque plutôt qu’en un
jour de travaü. ,
«Fiori:» in memoria del compianto professore D, Jahier, per la Società di Studi
Valdesi.
(7F“ Lista).
Sig. Guglielmo Del Pesco, Trieste L.
Prof. Luigi Micol, Torre PéUice »
Prof. Mario Falchi, Id. »
Sig. Antonio Eostan, Roma »
Prof. Gino Costabel, Lusema
S. Giovanni »
Sig. Ferdinando Bounous, Torre
Pellice »
Sig. Enrico Peyrot, Torino . »
Dott. Guido Ribet, Id. »
Nella lista precedente invece di
Alberto Costabel, Pinerolo, leggere
torio Alberto Costabel, Milano.
20.—
15.—
10,-r
50,—
25,
20,—
50,—
20,—
Carlo
Vit
« Flmrs » en somenir de M.me Louise MatMeu-Vinay :
M.Ue Letizia Bleynat (pour le
Refuge) L 20,—
COMUNE DI TORRE PELLICE.
Stato CÌYlle dal 16 al 21 Febbraio 193Ry.
ni.
Uflt Amie dts Vagdois.
!■ La Stampa Sera du .6 février nous donne
■Res nouvelles de M.Ue Pos, écrivain et
'journaliste de Hollande. ^
' Noua reproduisons Fentrefilet en infprfiaant les lecteurs que « û paese dei rododèvüri » il faut le chercher aux Vallées
Vaudoises! Le® Vaudois en seront dtfec
bien intrigués.'
La scrittrice oiandese Pos ospite âi. Roma
Roma, sabato séra.
è .
,,^,jE’ in questi giorni ospite di Roma la
scrittrice olandese Mary Poe, la quale ha
scritto molto sull’Italia e anche nel tempo
delle sanzioni continuava senza tregua il
suo lavoro e scriveva i suoi articoli spinta
(¡mi suo grande amore per il nostro Paese,
jri suo ùltimo libro per banabipi, che uscirà
éiuesfanno, è intitdato ; ’’Verso U Paese del
rododendro e si svolge in tina vallata pie
.r ' .-f-p .n i ' ^ ^ ,
niipqtese,. con una descrizione particolareggiata delle bellezze del paese, la storia e
la vita del saldo popolo montanaro italiano.
Ha scritto molto sulla Sicilia, Napoli, Capri, su Assisi, su personaggi italiani e
sulla politica, ma specialmente su Roima. Il
Duce le concesse diverse interviste^ l'ultima delle quali fu stampata sul TehgraOf,
ii principale giornale dell’Olanda.
i’E’ tornata poco tempo fa dalla Russia
per via aerea. I sdoi dieci articoli contro
4. bomunismo riportarono un grande sudcesso.
Nascite N® 1 — Decessi N® 2
BTÉDES M'SSIONS tUNGtllQUES DEPARIS
nous prie d’annoncer que les abonnements aux journaux mi^onnaires, puffiés tant à Paris (Jo«trmiZ des Missions,
^ lires, réduit à 12 lires pour les pasteurs
évangélistes, Petit Messager, lires 6,50,
émi des Missions, lires 5,20), qu’à Genève
{Nouvelles du Zambèze, 3 lires), peuvent
être remis à M. Auguste Coïsson, missicainaire, à Torrd PMce, qui, avec fe. Banque
Pellegrini & C. est chargé de recevoir aussi
les dons et contributions des amis des Missions d’Italie.
L’exercice financier de la Société se termine les premiers jours d’avril, et il serait bon que tous les abonnèments et les
dons, petits ou grands, reçus toujours avec
gratitude, puissent être signalés à Paris
avant cette date. Le 26 janvier dernier,
lors de la Conférence Consultative des Comités Auxiliaires, il restait à recevoir pendant leiS 65 derniers jours de l’exercice
2.258.500 francs.
Dès aujourd’hui, merci aux amis qui
voudront aider à couvrir cette somme.
PERSONALIA.
Nous lisons dans VAlpino du 15 février,
qu’unè médaflle de bronze de la valeur militaire a été décernée au major David
Jalla, avec la motivation suivante ; « Comandante delfavanguardia di una adonna
adibita ai rifornimenti ed al trasporto di
feriti ed ammalati, attaccata pût volte da
ìvuàéi ribelli, dava prom di calma e corag^'^’rimeendo, còl felice impiego <Mle
sfie truppe, a respingere Vavversario consentendo così all'autocolomba di riprendere
la 'marcia. — Torrente Mimtà - Monte
Rufà - 18-19 ottobre 1936-XfF».
* » i»
M. Aììmiìo BiUour, fils du pasteur Siilo ur, a gagné son concours pour une chaire
d’anglais,* et a été appelé à enseigner cette
langue dans le Gymnase dé Pola.
Nos félicitations et nos meilleurs vœux.
‘ 'Î'-' % « ü:
M.. le pasteur B. CeM vient d’être
éprouvé par la mort de sa femme, Nous
lui exprimons notre vive sympathie.
. . ' • * • *
Nous exprimons de même notre sym, pathie à M. le pasteur Gârdiol et à sa fille
M.me Hélèm John Burke pour la mort de
leur gendre et mari.
"'Lai
Une dame se, présenta, un jour, devant
Philippe de Néri, gin s’accuBant de jnédîsance,: /. ,g.,,,
'foiribezrvous souvent dans ce péchér?
— lui demianda-t-il. ‘ ! •
'} — Oui, mon père, très souvent —
* pondit la pénitente. ’ '
— Ma chère enfant, dit Philippeï' votife
péché J est grand ; mais la rolséHcorde de
Dieu est plus grandé encore.’"Pcittr votre
(, pénitence, voici ce que vous àurez'à' fàÏTè
Allez acheter, au marché le plus voisin, un
poulet fraîchement tué’ et encore couvert
de plumes. Parcourez ensuite une certaine
distance en ïdumant l’oiseau pendant wtre marche. Cela fait, veiieiZ me trouver.
Ainsi fut fait. La dame aUn marché,
acheta la volaille et se irait en route en la
. plumant, selon rordre’qu’elle avait lepu.
Elle revint bientôt avec le <3Éâr, de dire
cofrfijién exactement elle avait accompli sa
péniténee et l'e^oir que la singularité ïuî
en serait expliquée.
— Ah ! dit Philippe, vçus avez été tout à
fait fidiMe à la première partie de mon or
dre. Exécutez maintenant là[ secondé' et
vous serez guérie. Revenez sur vos'pas,
suivez tous lès endroits q^’V^oiis avra Ixaversés, et ramassez unfe a*ün© toütes les
plumes que vous avez jetées à droite et à
gauche.
— Mais, mon père, s'ééria la pauvre fierii
me, j’ai jeté cés plûmes de tous côtés, sans
y faire attention ; le vent les a emportées
dans toutes les directions. Comment faire
pour les retrouver ?
— Bien, mon enfant, répondit-il. H en
est de toutes vos paroles de médisance cont
me des plumes que lé vent à éparpfiléés :
elles ont été dispersées dans tous les sens.
Rattrapez-les maintenant, si vous pouvez.
Allez, et ne péchez plus.
(Christiatn Life).
S
Après une vie de droiture, entièrement
consacrée à sa famille et à l’étude,^ à la
suite ét.wie courte medadié le .......
Prof. Doct. EMILE TRON
de rUniversité Royale de Gênes
est entré dans son repos le 15 février, H.
l’âge de 64 ans.
Sa femme Hélène Valentene Besson :
ses fils ; doct. Emile, Elvire avec son mari
PiEEEE Regamey et la petite Mkeùa,
doct. Emmanuel, dod:. Edlalie, Eugène,
Esméralda ; sa sœur Alice veuve Bene c
et tous ses parents pleurent sm départ
prématuré soutenus dans leur douleur par
la foi en Celui qui. a dit : «Tune sais pas
maintetumt ce que je fois, mais tu le sauras dans la suite » (Jean XIII, 7).
Gênes, 17 février 1937.
La veuve du regretté
EDOUARD BEETIN
profondémênt éniuè des témoignages de
sympathie reçus à l'occasion de la maladie et du départ de son bienraimé mari,,
remercie de tout cœur toutes les personnes qui ont pris part à sa grande douleur.
Luserne St-Jean (Subilia), 18 février 1937-XV.
UNIONE CRISTIANA DELLE GIOVANI
Si è nuovamente aperta, a Napoli Corso Umberto I, 75 - una Casa Umorista
(Foyer) per studentesse ed imprèg'ate,
nella quale troveranno ospilale accoglienza
anche signore e signorine di passaggb. —
Rivolgersi alla direttrice,. sig.na Frollo.
T-k-T, li ^ I ■
Ferrovie dello Stato.
Riassunto facUitazìoni di -imggio.
Loreto - A. R. - rid. 50 % : dal 20 maggio 1936 al 19 maggio 1938.
Libia - A. R. - rid. 50 % : dal 7 dicembre 1936 all’8 maggio 1937.
Roma - A. R. - rid. 50 % : fino al 28 ottobre 1937. ,
S. Remo - A, R. - rid. 50 % ; dal 6 marzo
1937 al 18 aprile 1937 ; dal 16 giugno 1937
4
des Vállées
lé37>xv V
.áv ■
. ^7.
J <.Uj'>
ai 30 itoverobre 1937. \. ^
-í . SICILIA - A- R. - rid. 50 % :
Caltaoiisetta, PalemS, Catania : dal 16
ottobre 1937 al 31 dicembre 1937.
^ Taormina, Siracusa, Marsala : dal 15
febbraio 1937 al 15 maggio 1937.
Messina, Termini J., Arcireale : dal 16
maggio 1937 al 31 agosto 1937. '
. Trapani, Gefalù, Mìlazzo : dal 1“ settembre 1937 al 15 ottobre 1937.
Per maggiori schiarimenti rivolgersi
agli uffici di stazione.
Les Livres
La ricmciliazicm di tutte le cose (Colossesi I, 20), di Paolo Sanfixifpo. — A
' cura del periodico «La Vedetta Cristiana » - Pisa. — Prezzo L. 1,50.
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1937 : Bost^mo-Gay Marianna,
Secondo di Pinerolo, et 1936 - (1)
- Beynaud Alice. Torino (2) - Marie Louise Bons, Marseille (16) - Beux
Carlo, S. Germano Chisone - Rostan Henri,
Coin, Praly - Tron Esther, Guigou, Id. Veuve Grill-Pascal B. Jeanne, MaJzat, Id.
- Peyrot Jean Michel, Orgères, Id. - Peyrot Jean feq Antoilne, Id., Id. k Richard
Jean, Ville, Id. - Garrou PYancois feu
Fr^çofe, Id., Id. - Garrou Jean, Id. Id. Grill Jean feu Pierre, Id, Id. - Grill Franh
«ois feu Pierre, Id, Id. - Rag. Federico
AvMidetto, Torino (5) - Paschetto Carlo,
Torre Pe’lice (2) - Gönnet Juan, S. Carlos
(6) - Rivoir-Gonnet, ViRar Pellice (2) Malan Lami, Angrogna (1) - Travers Rosina, Torre Peflice - Filomena Di Gentoaro,
S. Lucia QuisteUo, 1« semestre - Gustavo
A, Comba, Genova (10) - To/um Lufea ved
Morel, Rorà - Tenente^jofonnelfo Giulio
Martmat, A. 0. I. (5) - Cbt Cesare, Lusema S. Giovami (2) - Akesio Alfonso,
Forano 3shma - Dana Giacomo, Torino Arture Petrogalli, Id. - Perrero-Maniglia :
Pe^ot Madeleine, Pancia - Pons Pierre
Phihppe, Baissa - Martinat Marie, veuve
Id. - Ribet Josué, Id. (1) - Genre, famille.
Serre (2) - Pascal François, Laurens - Barai Edouard, Id - Peyran Henri, Id. - Peyran Emmanuel, Serre (2) - Micol Frédéric,
Làurens - Ribet Caroline, Saret (1) - Pons
■" ,. ; ■ . ' 'if
Pierre, Bessé (1) - Pons Théophile, Id. (1)
- Pons Marie, veuve, Id. (1) - Pons Adèle,
, veuve, Id. (1) - Pons Albert, Id. (1)
Genre Abr^am, St-Martin - FamiDe CÌot,
^ Ibrea - Ferrier Albert, Barbencia - Menusan Henriette, Perrier - Peyronel Oreste,
Id. (2) - Ghigo Alessandro, Id (2) - Peyran Louis, Id. (2) H Peyran Jean, Id. (2)
- Pascal. Mical, Id. (5) - Pons Ad&ïdê,.Id.
(2) Peyrot Henri, Id (5) - Tessore Ester, Id. (2) I- Giaiero Madeleine, Id, 1936 Poët Adèle, veuve, Traverse - Poët Frédéric, Id - Poët Alexandre, Id. (2) - Poët
Humbert, Id. - Micol Jean, Faiureng i(l) Ribet Suzanne, Id. - Pascal Henri, Td. Pascal J. Abraham, Id. (1) - Pascal Hermann, Id. - Tron Jean, Id. - Micol Henri,
Id. (1) - Pascal Auguste, Chiabriano (2)
- Poët Jules, Grangettes - Poët Philibert,
Id. - Poët Albert, Id. - Poët Josué, Id. Ferrerò Jean, Id ^ Ferrerò Albert, Poumarat - Ferrier Jean, Id. - Ferrerò Madeleine, Saret - Ferrier Louise, Casas - Clôt
Pauline, veuve, Frairie - Poët Clémentine,
veuve, Cloutes - Peyrot Jacques, Crouset
- Peyrot Marguerite, Id. - I^rot Emile,
Tu'nisie (1) - Bounous Barthélemy, Crour*
set - Pons Jules, Perrier - Tron Clothilde
veuve Gay, Torino (5) - Bessone-Tron Ida,
Pinerolo - Prof. Vinay Violetta, Torre Pellice (2) Charbonnier Elisa, Id. - Costa/bel V. A., Milano (5) h Gardiol C., Genève
(6> - Scarinci Giuseppe, S. Giacomo degli
Schiavoni (5) - Pons Arnaldo, Aosta - Forneron Suzanne, Tarimi, Prarostino - Gauidin Marguerite, Ruà, Id. - Gaudin Jenny,
Bric Molère, Id. - Bertalot Michel, Pesaculà, Id. - Gardiol Lidia, vedova, Saret, Id.
- Gaudin Méry, Godina, Id. - Godinio Enrichettai, Moïsa, Id. - Brosia Matilde ved.
Costantino, Gayot, Id. - Giovanna Lantaret, Firenze (2) i- Stallé J. D., Goffrane (1)
- Bert.alot Giovanni, Pra Catinat (2) - TrcImo Susanna, Genova (2) - Brache Ida.
Luiserna S. Giovanni - Jahier Giacomo,
Torre Pellice (2) - Sonzini Susanna, Toulon (16) - Prof. GriU Eîmanuele, Milano (5)
- Prof. Car’o Comba, Firenze (10) - Marie
Cimbro^Bonnet. Torino - Pascal Arturo Id.
- Amato AJbarin, Genova Sampierdarena Leô Rochat, Firenze (5) - Long Lydie, StFons, Rhône, 1935 et 1936 (2) - Martinat
J., PaTÎs (11) - Micol Edoardo, Pachino Murri-Tran H'sa, Bergamo (5) - Jourdan
Maddalena, Genova - Jourdan Augustine.
Angrogna - Prof. Ermanno Vinay, Carmagnola (5) Buffa Lidia, Angrogna (1) Reymond-Gardiol, Genève - Martinat,Henry, Valdese, N. C. (2,50) - Gril Anto’oe Id. (2 50) - Grfl] Philippe, Firenze
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