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■'l'ies èxamerts db'ntt’tìductiorttau ébl'lège, '-k' ' l’Ecolé;l'Supériéure’éVà T'Ecolb
'LatinèMU'PéTnài’el., atìróntdiéli lë'vbri*
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UNE FÊTE À ROME
Dimanchedernier, Rome élailen fête.
Mon moins de 6000 Sociétés différentes
avec 1970 bannières et des centaines
/'liirhi!;, 'il'j r. io[i "li;; . ‘li iio
de 'faîiMes,' ëntitrâvergé'ipipéfe^iD'ii;mel 1 emeriti testFiiies'>dfe5 la»v<ilIév 'Sdbfiës
l'd’urielgi'ande fotfjeVpaTtosaf'àcètlëi Ilièis
aieo ëës manifeiÎÎMioas'dë jôie: Celle
immense' processtoïi'i‘ Stesi ' 'reWduë'sWC
•tó placei api[leléé Eampo ^|i Piorij'.'teù
i^QpWMTteds'iij
!Wè éfirigée à Gifirdano B»
tnè éfirigée à Giordano Br iMo:! Les Gbrja
íquiiétaiOTti''epvésenliés|d'epiiiSl,l'OHá '
br'â'etlaMnnifcijialilôromafnéjüBqûteull^
kssociaifons d'Allémagnetet de'Fra'nep,
qui'y a;pris paiti desf'pré'paratifé'qtie
Pon îavaül faits, rordi'è'^'irrépipéhaute
iqui a régné! dan.s'IapvWIfe!,) loulUteontribnêi à l'rendre soienncUes' les fêtes
du'9 'jtiim' .ü'i! Il"''' .î'ii
■'l'i
;¡;!'.'iíi
'.»'U'.U'.U'iS'l ;i1V‘;:î'Î-\
-..■';t:i I llii iiüyil
Plus d’im de pps.lept,çprs,se dWiîRId(^,ra,iprobablement,qui était te|,p¡er''‘Ôpérpji,
.slalug, tnaiigu,t|ee, aypc ,iant, d eplat?
GiprdknPijBr.u^ nié,en 1&iii8,',^'^N'qra
ea Catepaniei X l’ág^.fle; »ns il a,pp
êifre témo.in dès pers'ééùlipn^' inffigé.ès
aux ,vfi;udois etebl:is,,dans.Jes .èpvibpidk
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pailèr d,u rp'artyfe de Jçag
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Eni'r,é,p3P9 up .çpuvqni T
,ift,J>.4w?»i'AP,jde8, ),fpages
ët des saints; Il se sauva a Kdmè, puis
2
184
dans la Haute Italie, ensuite à rélianger, enseignant, écrivant des livres
philosophiques, où de graves erreurs
se mêlaient à la vérité. De retour en
Italie, il fut saisi à Venise par l’Inquisition, transféré à Rome ou il croupit
pendant sept ans dans les prisons, et,
comme il refusa de rétracter ce qu’il
regardait comme vrai, le pape ordonna
que la sentence fût exécutée. Il fut
brûlé vif au Gampo di Fiori le M février 1600.
La solennité des fêles que l’on vient
d’avoir en son honneur, n’est pas en
rapport avec l’influence qu’il a exercée,
et la vateurde ses idées pnilosophiques;
aussi bien, ce n’est pas tant l’individu
ou le philosophe qui a été glorifié,
mais le représentant de la Hberlé de
la pensée et de la conscience, le martyr qui, sacrifie sa vie pour obéir à
ses convictions. Affirmer solennellement les droits de l’inlelligence et les
droits de la conscienoe humaine, les
affirmer à Rome, siège du Saint-Office
eide la papauté, sur la place où s’est
allumé un bûcher, cela vaut bien la
peine qn’on accoure de loin, et qu’on
organise une grande fête, t Rome affirmant loyalement et sans restrictions
la liberté de conscience pour tous, pour
le^cliréUens et pour les non chrétiens,
po,iir les catholiques et pour les non
Gatholiques, pour les croyants; et pour
les athées, pour tous, - voilà, dit la
Gaixetla Piemontese, un spectacle réjouissant, glorieux, liiiinain, et qu’on
n’avait pas encore vu».
Certes si les chrétiens évangéliques
ivaientdûchoisir eux-mêmes un représentant de la liberté de conscience, ils
auraient nommé Paleario (brûlé le 8
juillet 1570 à Rome), ou Pascale, ou tel
autre, parmi les nobles martyrs du
Seigneur Jésus en Italie. Les organisateurs de la fêle du 9 juin ont suivi
leurs sympathies en désignant Giordano Rruno;, npqs ne saurions les en
blâmer, et cela ne nous empêche, en
aucune façon, de nous réjouir en
voyant la liberté dq conscience hautement affirmée comme un droit absolu.
Nous souhaitons qu’elle soit toujours mieux comprise et pratiquée.
— Et noire souhait n’est point superflu, car l’intolérance est naturelle
au cœur de l’homme; elle n’est, au
fond, qu’une des formes de l’orgueil
et l’un des .symptômes de l’absence
de l’amour. Celui qui vil sans Dieu
et sans espérance, n’est pas pour cela
plus tolérant que le croyant. Si le nom
de Dieu a souvent été mêlé à des actes
d’intolérance, c’est parce que ceux qui
« croyaient rendre service à Dieu »
en faisant mourir leurs semblables,
« n’avaient connu, selon la parole
de Jésus, ni le Père, ni Lui (Jean 16.
3) », .lésiis, qui est le modèle achevé
de la foi, qui a affirmé la vérité avec
une aulnnlé absolue , est celui qui
a montré le plus grand respect pour
la liberté humaine et la plus grande
charité pour les hommes, même pour
ses ennemis. Plus nous serons animés de son esprit, plus nous serons
capables, — je. ne dirai pas de tolérance seiilemenl, maji de vrai respect
et d’amour patienlel p^rofond à l’égard
de nos semblables.
Nous allions oublier de noter une
chose importante. C’est que tout le
monde ne s'est pas. réjoui de l’hsomr
mage rendu à la liberté de conscience
et d’examen à Campfi di Fiori. Ce joiir-là
le Vatican a été fermé, comme aussi les
maisons de ses adeptes; le.s journaux
papistes vomissaient des injures contre
ceux qui. honoraient la liberté dans
la personne d’une des victimes de
l’Inquisifion, Faut-il s’étonner de cela?
Non; mais il n’est pas inutile d’observer que la papauté ne renie, pas
un iota de ses maximes anlich,retiennes,
pas un des bûchers qu’elle a allumés.
Si Rome lui était livrée, elle y renouvellerait l'es exploits des temps passés.
H. B.
3
185
SmMM DE L’EXPEDITIOK
par l'aol ReyiiaDdin
(Suilej.
Comme nous marchions sans cesse
et fort, serrés, noire avanl-"ardetornbe
dans une embuscade laquelle, après
avoir crié selon l’ordre, lira dessus;
après quoi ils s’enl'uirent inconlinenl
pour aller garder le ponl qui élail
encore un quarl de lieue loin de là.
Celle grande décharge élani venue à
nos oreilles el même quelques-uns de
l’avanl-gaide ayant été blessés, nous
arrêtâmes tant soit peu (1), mais afin
de marchej' plus vile en nousencourageanl les uns les .autres el envoyant
bien loin à droite el à gauche pour
découvrir s’il n’y aurait point d'auti'es embuscades, el alors nous commençâmes à sonner de la trompette
el à crier à gorge déployée; courage
courage et, le sabre à la main, nous
marchions à grand hâte contre le ponl,
el comme nous prîmes le chemin par
des champs, car alors nous ne suivions
point de chemin, les ennemis qui
étaient en plus grand nombre que nous
ne croyions, firent sur nous de si furieuses décharges qu’on auraii presque
cUeiiilli les balles. Jusques là qu’un
gentilhomme savoyard assez Agé ét qui
venait avec nous de Cluse, dit après
que nous eûmes passé le ponl: J’ai élé
assez longtemps à l’armée, mais je n’ai
jamais vu un si grand feu.
En effet les ennemis liraient par
cernai nés à la fois, ce que nous ne
faisions pas de noire côté, el nonobstant tonies ces grandes décharges les
plus hardis de nos soldats s’avancèrent
le sabre à la main pour prendre le
ponl, el on commença à crier. Courage,
courage, le pont est pris, ce qui anima
lellemenl nos soldais qu’ils se jetèrent
en foule sur le pont avec les ennemis,
(1) Dans cette halte, on invoqua le secours
de Dieu er on tinteonseil surla maniéré de
faire l'attaque. * ï^es «thefa convinrent, dit Robert, que sans «ttendre le clair de lune qui
devait bientôt se lever. >1 fallait attaquer sur
le moment 1 de crainte qu'il ne leur vint
quelque renfort ai l'on tardmit encore».
le sabre à la main, cl devant que ‘d’être
maîtres du ponl, nous fûmes repoussés
deux ou trois fois.
Mais enfin il fallut que'les ennemis,
quoiqu’en beaucoup plus grand nombre que nous, nous cédassent le passage. Comme donc nous emportâmes
le pont de vive force, nous étions, du
moins les premiers, pêle-mêle, et même
plusieurs se prirent pai' les cheveux
et se tuaient avec le sabre el la bayonnelle, après même s’êlre mis par
terre et l’un dessus l’autre, on se tuait
l’un l’autre avec le bout du fusil contre
l’estomac; el ce fut alors qu’un officier (1) des ennemis s’écria: Mon
Dieu, est-il possible que je perde la bataille f Mais Dieu lui fil voir bientôt,
que ce qu’ils en faisaient était contre
lui, en combattant contre les .fidèles.
Les ennemis eurent deux capitaines
de tués, el pour les soldats, le nombre en étant incertain, on ne le peut
pas dire ici; il suffil que Dieu nous
a donné la victoire, el que la terre
était couverte de leurs morts, d'autant
plus que plusieurs qui n’avaient point
de mal s’étaient cachés parmi eux
croyant d’échapper, comme en effet
il en sera échappé quelques-uns qu’on
n’aura pas aperçus. Monsieur le mar- ,
quis de la Raye, qui commandait, a 'éié ‘
blessé au bras et à la cuisse, el assez
dangereusement, et il nèse peut pas non
plus qu’ils n’ayenl eu beaucoup d’autres officiers el soldats blessés, à en
juger par les morts qui étaient sur
les carreaux (2). Nous avons brûlé
pour le moins dix ou onze cai.sses, fait
brûler leurs barils de poudre el emporté leurs balles el d’autres munitions
en forte grande quantité, car ils en
avaient plus qu’il ne fallait pour nous
faire tous périr s’ils eussent pu nous
vaincre comme ils en faisaient bien
leur Goiiipte; maissi l’homme propose,
(1) Le marquis de Larrey que Beynaudin
écrit fautivement La Raye.
(2) Arnaud parle de 600 tués, et la Relation du retour donne le chiffre de 700.
Robert se contente de dire: «Nous ne
sûmes pas an juste la perte de nos ennemis,
mais elle dut être considérable, le champ
de bataille étant presque aont couvert de
leurs morts k
4
.186
DiflH dispQSSj. el celui .q^ui.s’appuie .suri
Iß,bras.de' ìa;Clia>ir..ne.subsi,^t6ra poin^.
et au contraire cem qui ¡»’assurent .en
Die.u» .qui esl ^i'ocher dcs.sièclespîie
seifOiit ipuTiais .po,nfps. .! .... ..¡¡
Ihy en au-ni en dix' ou douze) des'
nôtres de-blessés; pour les tués - on
tld peut pás en savoir âu [usté, le nom-'
brtv'-pa-i’cetfue -plusieurs-‘qui sé sont
perdus'tant'delà le pont que ia 'nuiti
qué nous moritâmés les iiïontagnes de
Aape/® pourraient être inis'au. nombre
des --tués'(1). ‘ ‘ '
■ Nbüs -àvò'ns' oillis' de dite 'cj[ü’a'yàô't
pâSsê'Te' dit pont' de Salbertrand',' iT
vini* après nous ‘dès soldats (íjtji liöbji'
liraient quelques cöups ,dessus,, mais
ils''lfeiri'eû'C'ba's' îé çôü'ragé a^ passer
le 'jdönt 'p'dur 'ilOlis' poiirsujvi'è; pat'c'è
qifùti''de'iios 'ôffibier's'et'quelques sdl-da'(S"dWe'lui, 'lui'flVèiu'iêté' iel Pott
tèiédl lès- bà'rllS dé p'ô'ùtirè tout prèi,
dtf jjodt 'tlpHi' là"blû'ldi-' e'd'l'eur' pré-séô'è'é ábies qil'e'ioils en-étiVerii p,r!s'
uUfà’iit'àuMfê Irôulüj'édt:.''' “
liu,nii,'i. , ili'.H' '.in .\ ..1. r.l , |ii:l,-.
9.“ £™mpe,tt.e-jiouMpi r.q,
s/^vRir le !:eh^,ç,z-yot}.s pu 3q,tpouv,^i;ept^
iiieme pjusiefii;s.^i),lda|s #s enne.rp,is,
pye,9| ,r\ôu',s ¡¡al 'qqi; $ç, ,di.s,a,iept .d,e.s,'
,iio,ps les,
roipî^sYen,I’e|l^t ^es,. a,blrt?s„,|C9,pinne iJidi
,ç.orpp,tpp,íies,-la {ii;q7|
rp(ét;e èmbip^patlç |j|ps,qp’à ce,, qp.,Mo-WÎ-i
le sapiè^i 8;",!,
d’ppüt, Tftus Je^.bfqsspa qpi,sft pppepl,
tqpif iiapljspjt peu ^xfipval,,, nopS|k§¡
¡9M;R9MS-'9ty Wns, ,p.VÎs, dft?.
t montures au pont, outre celles que
inous emmenions de la Savoie.*
i Nous fûmes toute la nuit à grimper
I les montagnes de Pi agela, et plusieurs
I reslèrenlendormispaj’lesbois, etoulre
i que nous ne pouvions pas faire quatre
' pas qu’ij ne qpuS|,fii),l,ûl ç,o.u,çhe;:,,,pous
crpïèrn^ n’y qûl,q.uelq,u,e^,em7
! bustaaes',,Mais Diep^.npiis.pvail,donné
¡la îpt’çe dç:jéur.avoir,,ôj,é, l’en,yie,.de
; 99,ys ,y,ç,nij, .vdfr.
;^li -ir.
lin. Il],
.1 ll.
-''Clûîtfr'bert |)ëtifei-Üé’itlùSiétirs'qVi!i crtiièrillIsipassap (lïupom impossible',.-et résolurent'
de, Si’pü ( fièpurrin.^r,, ,1« ais i ils, furent, fails, pri^
.«QR'brie • ,q,Uf,Mi
lassituaoaécablait,furent pris parlés français.
,Le fait est, qu’après 9 jours de. marche, il
Ciilcul,®! ijU)ilsii^laieiiit;;30()i.deiiinoiiia. < "
(2) « Quelques-mïs i ' die Robert/'s'y-'éteht
iroùvéè tPop-'dHgàgüs'-piMîfi'iiég'ïi'ôtfes, 'ep
ne pouvant'S'è.ttioir.M'Véé-leurs 'Càtriàra’déèv’
s’avisôréhi do falhe les inbrti/piais luùlS'è’taht
aperçü'Side-leiir'fu9è;'tibûsBh fîinèSüifi'e ré-tPié-'
si''tixtiotB'’àve'e*'(8 'pàlnté'dé'nOs qtf-fV
üïiiosïi'je'Criiia'fhrtfifélaPiM’ QiSntdu'SB'Vanter
de nous on avoir donné à garder M âdSSüstif-;')
(A, mpre),
=fFF
..i „i, ,.¡^1 . f,
.. . Evangélisatlool V. ■
Lombaraoi^'Veneto-Emilià '
i.jl. If... i , ■..•U I■-.-■■
.'ta ' Xy**'” ‘Session ide ’ la' Copi^rênfil'
du ' di.sli’ict Lombar'dp-yyneto-|irnjïÎ^^
s'ésC'oiiVerfe à’Cprnd,‘'’mardi'' À ,,çpp^
r;lni,’‘à"10 heiii|’ës ‘dd m.iIm,par unç,
prëdicàüotf _,Slr. .Ém. ,,Ru;pjp ,§u,r
S.^Jciin"isi: ,paslpiir?. pi'
deùÉ députés' y'ptii'' pris' patq;,i lp,s,
l'es''Eglisès"dü distinci y. étai.ent' rfe'
présémys! â"l’éxcépti'oo dé cejlepi' dé
kHiB.ur'è't’dû 6uid ».'' ',,,,1
^‘*Â'pfès foémgdîon
les'■ pefsofinés, de Mr.’ ,Êm; .Lqngp, pràV
sidériÎ'elf. de 'Mr.' W!,' ftével ^ecrel;iire,i
d,e?,
,..! ,11.
,,,]í^eyt,îSje.í¡Trr t’Eg.ljMè. .à. été, |S4 ni eu se,»;
mef||.,,éRi',ouY,é,9i:, lui.montidup, n, ein|,e,vé
sqs,npe.'ïïi,brqs,( eni,Tq.-au,ires fe^.
d 9 ipt ,iji npi.e,qs,,., ppi-.s'(i)iinef,,, qqj,, .joy! s-,
salent d’une,i,ïés,igranclç napsidératiflUi
J9rî'^®.iV.|r9.,.9P'9me ksinç^es
mu.mi ,i9t .,fWé„9#.
été, ejfpuMé?;.;/Malgréj.ces, éprép,yes,,M,
C|0,ngi;'ég9ty^dn 'q’q pas'ç^ù^i.de Ç).eçp,ijissçs
'-':'99-. ffiL'Prlî 9t,a. ÇRpünué .n)afch,9|
i99|,'éÎÉfVo99Æ^
fàveui' dé;sa sq idué,
ei\K rM.s’ç,sI,p,i:od ml P^4w\ '
liép
ont loue
culte et de nombreux audileurÇ| ^’y
tés;.qdj4tnuqMij|s w/iVfe
ue, a leurs frais, une salle de
réunissent cbaque dimanche, même
lorsque* l’évangéliste ne peut pass’y rendre. L’EçoIe du ditrlanche qui
compte douze, ëlèvesi est ¡dirigée par
une jeune sœur.' .......... ■ '
5
*•' J
‘ir'
187
, tMUan. -r-T Celle, congrégalioiii occupe
Louj(aLU's,.digtiemenL la pi'em,ière'place
parmi,les Eglises du District, non seu-i
lenaent pan le fait qu’elle résidedans la.
ville principale et par le nombre de
ses membres, mais encore.' pai’ijses
contiiibu.liions.et par les noj;nbr,eus.esTe-.
crues qu’il lui est dotiné de fairechaqiie
année; Les cultes ont été bien fréquentés et, à l’époque , des. grandes
fêtes, notre belle église de S. Giovanni
i;p.'Conca ,a, accueilli des auditoire«
très considérables. Les réunions, de
Porta Voila et de Porta Garibaldi ont
aussi été bien suivies,' Le' rapport
donne des détails très inléressants sin'
les .â'L nouveaux membres- ireçus-.m.
Pâque» el4fi je- .n’en .párle pas -c’esl
parcequ’une correspondaflcomn iï déjà
entretenu les lecteurs du Témoin.
Tèrone. — Les'ôulÎes el leàréunigns
j : X 1^ E J« n Ai'và »C
d _
sòdi'pa
Sidérablíí'dabsJ’Egiísé.clmzÍescálécbliid'èneè’,, Pêcô'l'è dù ditfiàpchd e'i dans, lèS
côntïîbiifijo^s; Cps' 'perlés o'ri't élé édmpètisées paf’la fe.céj[iiiòn"'dè 13 ii’duveáux' híiettbréfe',' dont .Tiitt'l,'piaf cèfi!-'
fidai et'idíí¿á‘'^'áf' tìi’oféskidn.
•htouQu r, L/'Egbse ee compose,diCi
proieslant^ dp naissaniGe,et.de.oathoT,
liques convertis; les premiers'np,,se,
vo,i e n l, I en, t gé n¡éra I j qu e très raiem en t
a<ux)CnUeSï ta(ndisqup,lps a-utres-^oiiL
nég-uiliers.i.L’Eyangélisle.m’y. éta-uit paf.
établi di'upe mæiiiière,diéfjniM;v,e rt’,a,,pa3,
pundonnerl à l’icemîre ioui leidéviPlopTi
pçrneHi désirablai// - ...‘.ii'.',.,..
Qomë éb Bî’aiporœJ. -uj' A' Cotno. iès
Cillfes, .et suptoultdes conférences"dui
dimanche soiê) oni'élé fr&mientèsd'tméi
manière' enéourftgéE>n'te.' "i)iæi cwtéÈh.uii-n
mènes'ènt'suivi' rinslriiolion l'eligieu'së.
0t'Stefc'onl îSlé'yadmis'i& 'fa' S.1' Gèneii
L’Eglispi' cdnri|)leià )ipHéfeent Bifi-comni
nTiiniants/fCetitei année,’ deS’'Cw!'teiS'iont
été! 'ira nsfdrés dansidhe- dowlvelle ■sà11 e
mie'uX''sitiîée'»'el plus "déceiïte,' maisi
cesi'cbangemenlSiiKonP lofijours .feii-'
sibles à'I'œuvrepcaHI lut'dónrientnhe
apparence d’instabilité,' deifeorlfe qwe;
le besoin'd’une'Chapelle' se>fiait ton-'
■ çul’S' p'IüS' i'£(enÉii'.'"<^uélq'ü'es 'tnillieTS'
de francs ont déjà été' collectés, pour
cet .objet el nous espérons que le
Comité pourra bientôt s’en occuper
d’une manière définitive.
L’Eglise de S. Fedeie est' restée ce
qu’elle était au commencement de
l’année ecolésiastique. Les eultes sont
suivis presque ex-cliisivemeint par.des
membres* de l’Eglise et leurs enfants.,
et même quelques-uns trouvent facilement des excuses pour se dispenser
d’y i-nlerveoir. , -
Un petit mouvement évangélique
s’est produit cette année'à Arognio,
village' alpestre.'silué!dans le Gânlün
Tessin.f Les réunions ont ¿lé*'asSi^
nombreuses pendant l’hiver, etUEcde
du dimanche' a. réuni jusqu’à 25 en-,
fatiLs.,-L’opposiliori idu'prêlre nous a
élé favorable, vu qu’elle a conlribué A
augmenter, an moins temporairement,
le nombi'e.desîfauditeuys.ifPervdanL un
le,htPSu;9.n ne parb)it,,dap,s j,0U;l,|e^ys
que dés ' réu ri ions ' évangélique,s ' '¿/!,de
l’Ecole du dimanchW.''H cejlenpôqbe,
les esprits étaient surexcités à qel point
qu’on a craint qu’irri’àV'riVât quelque
chose de fâcheux au PàHèWel à l’Evangélièle qui s’y rendaient, el plusieurs fois, les amis sont venus à leur
rencontre jusqu’à la frontière. Dieu
; merci, il n’y a rien eu de regrettable
I et..le!..L0ut -s’:es-l‘ réduit, à quelques« inj suites à leur adresse. Nous y avons
; maintenant iine pelite-cotìgrégation de
i o»*îe«.<l9bJinunia,iUs,, dont, (rm prolts^
; lanls de naÌR.sance,i et c/jwiili.eonvéïflis
du K)af.lioi*''isme. ,, !i,y
Les rappoj'|s,^egf(utpqaÉgjises (Guastalla, Carpì, Eresci|\, ,CasUgli,onq, et,
Guiliizzolbl) n'd^ifent MênJ'tfè'qîeqiinT
tjéréssant pdüf'Îes '.léiîteurs', de' ng'ire,
journal. Malgré lelfavaîl cbn^çié^i'è|ix]
l'qesiévangélisles qui s’y Irqiivéqt, ¡'0%,
Igi-'é la fidélité,d^s mem^s qqr'lés,'
I corriposent ené'bôh’l'é'rilÔîgdïig^ q'j’ll^!
I rendent à la vérité, rœuvr'è'ÿ est resI tée stationnaire.
j Quant à la cél^ralion dn Bicenleç
nqii;«.:îfa» »qon^yfwe •■déade^tm !ijp
suit:
« I componenti^ la conferenza del
Di&trefLlo',''.convô'üéli a'' Cornò, If'S'ò' 6
giàgno*,'!ricòn^noi' eou graiifiidiliè al
Signdife evviva àminiradibné phr lit fède'
6
ï
II-;
-188^
eroica e la tesLimonianza resa dài Valdesi che la etfelluarono, la gloriosa
epopea del .rimpalrio; si associano di
nulo cuore ull’esiillanza del popolo
valdese che sla per solennetnenlè ce
librarne il secondo centenario, edumilrncnle irnpioiano dal Signore nuova
effusione dello spirilo suo pei- il rinnovamenlo dei cuori e la diffusione
de! Vangelo nella patria italiana; si
associano alla conferenza di Toscana
in ordine alla modalità della ceteb,razione ».
La' conférence charge sO'n Bureau
d'écrire des letli'es de sympathie à
MM. Matleo Prochel el G. A. Tron et
aux conférences de Roma-Napoli et
de Sicile qui doivent seréuhirbiehlôl.
Sont nommés députés au Synode
pi'ochain:
MM. P. Hbnking de Vérone.
A. Decker de Milan.
Députés à la conférence générale;
MM. L. VULICEVIG.
D. Revel.
F. Cerutti.
Campetti.
Italo.
SoascriplioD (i'aeùons <le pâc«8
fDDT tbiBieenttniiré dt la Gldrieas« Iteatrde
Australie
M. Edouard Gay. horloger,àTamwoi'th,
flis deifeu le pasteur François Gay du Villar . . frs. 20 —
Vaudois du Texas
B. D. Hugon de la Tour frs
G. P. Josselel née Hugon jh
Paul Salomon (Bobi) . . »
Paul Hugon................»
David Hugon...............»
Jean David Burolin (Villar) »
B. A. Hugon . .... i
15 —
5 ~
7 50
52 50
55
JiouiieUee iScUjgteudfd
Synode libre du Canton de Vaud.
— La AO** session de l’Eglise libre du
Canton de'Vaud a eu lieu du IS au
16 mai dernier à Lausanne dans la
cbapelle des Terreaux. Le rapport de
la Commission synodale, lu par son
président, Mr. le pasl. S. Burnier, a
constaté que l’année avait élé calme
et que l’Eglise s’élait mainlenue avec
un léger progrès Le'^JI déceitibrel888,
l’Eglise comptait 4088 membre.s avec
une assistance moyenne aux cubes du
dimanche malin de 6500 personnes;
599 catéchumènes ont été insiniils en
1888, mais l’EgliSe n’a reçu que 546
adhérents nouveaux, y compris les
adultes.
Il résulte du rapport des finances
que lés receltfes ont été, de 1S9 676'
francs'el les dépenses de 127.123 francs.
Le budget adopté pour 1889-90 >est
de 145.900 francs.
Mr. Léon Say à l'Oratoire de Paris.
— La Société protestante de Prévoyance
el de secours mutuel de Paris's’est
réunie le dimanche 12 mai à I Oi;aloire sous le présidence de Mr. Léon
Say qui a prononcé, à l’ouverltire de
la séance, une al locution très applaudie.
Après avoir rappelé que le lien intime el profond qui unissait tous ses
auditeurs était la foi proieslanle, l’honorable sénateur a constaté que la
Gonsliluante de 1789 avait marqué
une ère inouvelle dans le protestantisme français.
«Nous devons, a-l-il dit, être reconnaissants envei's cette génération
qui nous a libérés, cai' entin combien
de nous ici potirraienl dire qu’ils fi’ortt
pas appartenu à une de ces familles
persécutées au XVII® et au XVIII®
siècles et qui ont dû s’exiler de France
pour n’y plus revenir que grâce à la
Révolution? Moi-mêmej’appai'tien.s à
une famille qui avait cherché son salut
dans l’exil et n’a ipu rentrer dans sa
patrie qu’à la fin du XVIII® siècle en
profitant de l’Edit de Tolérance ....
» El mainlçtianl, au bout d’un siècle,
quelle profonde différence ! Je vois des
protestants à tous les degrés de l’échelle sociale. Moi-même j’ai été président du Sénat el mon successeur
(Mr. Le Royer, d’origine genèvoise
comme Mr. Say) appartient aussi à
notre religion. Partout des Protestants >
7
f?
189
je. les. vois ofteiiper, i:e^s plits. Iiaules
plaoes dans les.arls el diujs. rindijslrie.
Il me semble que da;ns-Cfit|.e circonstance, nous avons bien fait, de nous
réunir nombreux, et moi je suis fiei'
de pouvoir vous dire: «Soyons dos
citoyens reconnaissants !' »,
L’eau du Jourdain, — i^e Church
Times, journal anglic.m, publie l’iinnoricû d’une « dame récemment revenue de Palestine» et qui « o(ÏVe de
vendre à raison 12. ti'. 50 franco la
petite fiole de l’eau du Jourdain puisée
au lieu même où le Sauveur [ut baptisé! n U y a, parail-il, s’attendre
3ne les lourdauds ne mauqueroni pas
’.accourir nombreux pour protiter
d’une si bonne occasion !
L’Islande. - Cette île du,Nord est
eniièremenl protestante et compte
70.000 habitants. Clle n’a ni théâtre,
ni polii:e, ni prison, et pas mêtne un
juge de paix! Voilà un pays modèle.
La Revue Chrétienne do juin contient un discours de Mr. Roger Bollard: A. pi'opos du Centcnaiie du 5
mai 1789, un article de Mr. E. Ménégoz sur la Base dogmaliqiie de la
morale de S. Paul.
Lespreséj/iénewsoccupent, aux ElalsUuis, plusieurs charges importantes
dans l’Elat. On sait que le présideni
Harrison est nn ancien d'une église
presbytérienne. Il n’a pas moins de
li'ois autres amuens dnn.-i le Cabinet
appelé à le seconder. Ce sont MM.
VVanamaker de Pliiladeiphie, Noble
du Missouri et Millei' de rindiana.
Quatie anciens à la tôle d’un Etal de
bO millions d’âmes!
Cela pourrait donner à réfléchir à
ceux qui ne voudraient pas voir les
anciens siéger dans un polit conseil
communal de campagne.
dtr(mi(|ue ®aiiboi0f
Mr. le prof. E. Comha compte pouvoir publier sa biographie d’Arnaud
en juillet prochain. Elle no sera pas
volumineuse el contiendra des donnée?
nouvelles.
Le lundi; 24 courant, doit avoir
lieu à La Tour, la .S™“ réunion annueUe
du Groupe Piémont Ligurie dcsUnions
Clirétiennes. Après un culte à 9 h.
viendront les rapports sur la marche
des associationSj iin travail suivi, d’une
discussion sur Les premières armes
d’une Union Chrétienne, enfin les propositions. Dans l’après-midi promonade en campagne.
MM. les pasleurs Procliet elC. A. Tron
ont représenté l’Eglise Vandoise aux
Assemblées de New-York et ont été
partout accueillis avec la plus grande
cordialité.
Le Bollettino Yaldese notts apporte
l’agréable nouvelle que M. le pasteur
docl. Théophile Gày, ci-devant au service de l’Eglise mélhodisie épiscopale,
a présenté sa démission à ceile é.glbe
pour demander du service an Comité
Vaiidois de l’évangélisation, qui. l’a
provisoirement placé à Rome comme
collég.ue de M. Buflia,
ia< OUC polttt(|UC
rtniie. — La Chambre a continué
et complété l’examen des adminislralions de l’Instruction Publique et des
Postes et télégraphes. Sauf la question
Durando-Piccoli, remise sui’ le lapis
par le député Cavallotti, aucune n’a
donné lieu à des discussions un peu
orageuses.
L’occupation de Keien a éfé officiellement confirmée par le Présideni
du Ministère, mais Berlolè-Viale, en
réponse à une interpellation de l’hon.
Bonghi, a déclaré que cette prise de
possession,autant qu’onpeutle prévoir,
n’en traînera après elle aucun envoi
de troupes, ni aucune dépense nouvelle.
La Commission du Budget a procédé
à l’élection de son président, en remplacement du démissionnaire honor.
- ' J
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____Ì90
ri
Lij^Ziltl’iv' dans^ia’''peii’sÒnne’ 'de'“l'fexMinistre Ceppino. '-o
li B^venapl siiK i^a .ptìemiàrSiudélibéi;a,lion.ielieiia aocordéiaii.Mijni.stèro de
renoqqer ¡,à : l'^cofiomie, dç 3„ÓW«000'
francs ,sur¡;le budget dy© la,fia,fopagne
d’AbiitiUeí ;il- I':-;';:. . , ,í íliriulrU
’ ' tá i Kit d e's b II i;éa vi x 'dfe‘ la C b a m K pe
senbblent' décidés à refiiser, ad Prbeureur 'dy rói Pádlpriia^íon‘‘de ^pi'océdéí’ éotili^é' ré'dé'púté t'adicaf'AwdPéá
^Cosla, dont la Coui^'Apilel viënt dd
confirmer la,condamnation h 3, ana,de
»ní -;’'.^" It,,/
f-il i Ui'*
•'í'S. Mí Hviniibei’tvAet'' ledprincé: roya]
sont arriXés à Naples le matin'du íl^
c. et'assisteront à l’inaugnratjion des
'travaux de sventramento fixés pour samedi,'îd5.:''U -"'''i'' ■.nr’s’-.it'A '.1
, |.Saraé^l,,.qt'jdim''’P<î"e iSrpl ,if'ide",çe
rnoi^ opt eu,,liep^iRpme les brillantes
fêles en ■ 1 *honné u r'd i) m ariyf G i o rdf| np
Î^ifWnp. Il;; [, ¡ ' . I | | ) |1 Í I ! ' ■ | ) 'UJlr!'
” dja'’’éiauiéitìé‘1’hél’óìq^ue,’‘*rndidéi’dfe
Nói a ; œ U vre ■ t rês - b ie n ré liss'i é d ' E ito i' è
Ferrari, orne inainteTiatit la place de
Campo dei Fiori, la même où il fut
brûlé par le gouvernement papal le 17
Févrierjf!|^0(l,, ‘ f, j; t. \
50.000 pcrsonne.s,di,sent les journaux,
ont pris>parl à, la Içie; pn nombre jmméil¿é'do;Soéiétés'y étajeût 'f'e'pi''êsenlêes. Plüsiéùi’è; pérâbli'iiagê? illÜSti'ës
tels ’(Jué i rhrîit,briè'ù Gregéroviiis; E'.
RénaW,¡'Aurélfé:%¿'ltt/'áVáieiii'exjpi*i'tné
pài’ letlre'déuitt'lésine’yadhBÌsIbó.V '
r . > ►..» «i.. , . I . ■ 4 .•* ' it- i ,• 1 .. I 11 t - •• I ( ;
lettré''leur'
■hIIî-'hîî: ,
O'iÇanéslé, upar excellence,b a' fêi C' -de lia
libre pensée, de la liberté de conscience,
np^is .de lit à ,cr9ire,;,cpn)nie,orj l’ajafOrroé,,. ,qu,0 ^'|}’.i.naugUjr|iiion. de,, cette
s ta t ne. m,a pq pédéi co ni m e n çe m e n,t d ’ d
ère toute,.pOiiivelie pouj:,Î'lonie,el Tjr
,i?ijig,pfli général,,|il yi» eiiGore iloin,|
■ ' 'Lés pi'iftbi'paux ' ’ oritieurs ''ont 'éfé't
outre le'Prés,, du Comité 6rj;an'iéâ‘féiir
fil"fé syridic'de Ro'rtié, 'lès ''dép'.''Boyîb
et Imbriani.
‘•bwiii |,.i
...
ça
M 5t:.tV||' i‘() l!‘> {>> 1 M i . U - ; I , i ,
P|u|,ieurs villes s,i^, soni |,iinips. a; Ip
pour fêlet'^jl^p’ hèro'?!idù ,|Ó!i¡r
'àj la
'Le Vatican, au contraire, et le journal ïsmé clérical 'de'Rome, ' ont mené
d'éviil pendant S jours, 'ici' - ii
'ra ■ i. 'i.| i: .1(1 .-..i- ii. •.. iii; .• ••¡ii,'
De,, riouveaijx documpnlSi.séqueslrés.ipar.ila, Haulp Çour
de Justice semblent éinblir Je complicité de plusieurs personnages haut
placés, avec le géot Boulanger .dans le
ço,rnplpt,Qrganis,é;Cpnlre ,!a sûreté de
l’Etat;. , ' . ,
— Dés corre'spbhda'ncés
pri'vééé ' dé'‘ Mas'spu'a fournissent, tjejà
dêlailfe 'irè'â intéféssants' ibucbâbCT'oçlcn'pàtipn de Kéren. Débeb"a'ùrail prêt'é
sa COopérirlion, ' trêi?, 'efficace’ dans ce
cas,^ Ûol”’ ’l’olféct'balidil b'bdirbjèl.'' 'i'
Éafel et'â’chéi’s’,’ ses^’.pubbrdojinés,
sont prisonnier,s â Assab. Le capitaine
Rubipl^ reste à ,Kerén ^'’oc,,dP,e cpmpa'gri i e ' d’i ri d i géb.es, é t 4 p i eces Jr
leyie.‘ jtjoe
personnes, 'ènvoyép.paV; le.roiAÎenêljli,
éS|V,Æn‘marche, pour,,l/l'lal je, ;Blusienrs
^ù„ri,‘ bec6,qnü,|cpfnrne,,'Nê""""
3tS
ii;.
I. ir
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Aniioiioes i
■c i. -i.; j !,i.,ü 'i ■■i ci- \‘î:.;'hl
. Vient de püraî^e':''
. 1 LëxsonI di! Storia xleVia Chiesa,
cbmplilafe da EniilioConlba'j)ròfe.s.sbre
ne|Îa' Scuoia' Véldése di' FireriXe';’,'^''^
'i, — Pi;rio^p degli .,1 VO.l.
in 8" de 83 pages;,, Firenze, iTipog.
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