1
Année XIV«
PRIX P'ABOXNEMENT PA|l AN
itÀHft I . ,jV • , ! L. 3
Toils les pays de riTci{o]> dâ
) postsi] t. ,J j • . . >6
.Ajni()r|que dii Sud » ^9
•• Qij iS>bonn,f| : \m,;. inn
An bureau d'Àdmiai^tratioD; ,
■<ÎlW«3!'MMi Ifeis'I’astburB'; • '''
<fhé;î ifxipenwt Ttobsrt/PlKlicroIj,
et à'ia Librairie CnianCore fit
Maaearelli fTignerol).
L'aboimmrifint fiart du 1* Janvier
«fi d’avancîo. ., j
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i G«
N. U.
Kunièréfl Hêparés demandés avant
le tirage 10 oentime|i chacun.
Àiinonced: 20 centimes par ligne
pour nue seule fols.—15 centime« de 2 à â fols et 10. cen
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S'adresser pour la Hédactlon fit
r idministrfttion a M. le Pasteur H. Bosio —- Génnain^
ClHSÇn l'Piuerolo) Italie. .
Tout chnngeiaent d'adresse est
paye Ü/25 centimes.
,'r* !'
rCHAi OES Vailêes, vaudoises
Paraissant chaque Vendredi
■'U'
tot*9 tué ééréé iéttiâiHé, Àotb« 1,8..
^Ufpani lit tvn'té arw /¿t cAarihi. Eph. iv,, 15.
Sommatjre- ^
V f'J ' ■ ' :‘-'w ' ' ,
XXV'«,<Cqatéroaçe du Val l’élis. *- Ques.liens ,el Réponses. —,Prière, — I.a Vallée
de Rragfjla en ¡1714.^ Entre niari.ejl, femme,
-r. ¡‘Espérance par Christ. — (Nouvelles religiouscs< il—■ iVariétés. — Chronique vau■ doise.^'i .
•nrpv
ît ,î] .■)(/
I^OIVFfiftBUCe BU VAL f Fus
■)1' .7;; 7 ! ■.!',/ ü. : i
I ",'‘ÎÎ .veiHé de ,1? 25® conférence du
Pé|Uj. qual|;e réunions ont eu lieu
dans la paroîise d’Angrogne: aux
Joiirdans, aux Martels, au Cacel, et
au Serre.
Le 3 avril cour|intj, à 9 h. du rnqlin,
Idè 'nietribréà' dè la^ conférence avec
plüfeibürs' auti'és persorinci sé'rjéiinissenl dans la grande école de Saint
■Laureitt '■!'■¡■'■îiH'î :îii.:7','| i.j
'Après un chant et une prière,-Mr.
H.'Mcillé président, lit dan.s' Saint
Matillieu;'’au chàp. ii, les v. 22 ¿1 23,
et développé les pensées suivantes :
Pierre ne fait une actiod stirnatnrello qüien comptant" sur là parole
du Sèlgueur. L^œuvre de^ noire ministère est aussi surnaturelle; par
tiiQlre force ordinaire nous pouvons
bien enseigner tout tecatéchjsnie,.niai.s
nous ne pouvons communiquer la vie
à nos catéchumènes que par la forcé
du S^eigneur. Ce n’csl aussi que par
celle même force que nous pouvons
consqleè les .iffligés, ou amener celui
3Ü1 nous écoule h s'écrier: «Que
ois-je liiire pour être sauvé?» ou à
dire: « Je sais que j’ai la vie éternelle ».
Noire ministère ne porte du fruit
que lorsqu’il est considéré comme
une, œuvre surnaturelle.
En avançant dans l’œuvre de notre
ministère, ne nous est-il pas arrivé,
comme à Pierre, de nous sentir enfoncer? Quand nous entendons des
Vaqdois parler en ennemis contre l’église et qonire Christ, quand nous
songeons à la corruption qui se manifeste sons différenles formes chez
notre peuple, ne sommes-nous pas
effrayés? Quand nous pensons aux
besoins de nos églises, et à la petitesse de nos moyens, ne nous sentohs-noiis pas comme débordés?N’éprôüvoris-nous pas de la tristesse et
du dêcpuragemènl quand nou^voyohs
les membres de nos iroupeaux^ublier
si complètement lesparolesdel’apôtre:
« Souvenez-vous de vos conducteurs
qui vous ont annoncé la parole de
Dieu... IlÉBB. 13. 7. 17.
Ne sommes-nous pas tout près de
perdre'çoupageen voyant, d’une part,
'ddmbten peu nous pouvons compter
Sur les' membres de nos ég!i.ses pour
2
faii’e une œUyre, et d’autre; partt
combien il nous manque'/de 'dons
Spéciaux polir le ministère, cornli^ien
peu nous sommes avancés dans la
sanctification, et quels sont nos 'dé
fauis? Yn-t-il jamais eu un ministre
chrétien qÏÏi'sé Soit avancé vers Christ,
sans se sentir enfoncer?
t
Wais’si nous disons ces choses,
c’est pour vous encourager. Si Píeíá'e
enfonça, c’est narce-qu’il a regardé
âïix vdgj#s et fil vegl. i^gar|forij|^tour
leurs i^'s à .Ipus-Éhript, e||t(»|ours k
moins jpuxi hoilmeà^ à j»houj|i*meS|
a: nos dfïlicullés et"^à tros'^réisèîês; car
tout aussi Téïilemêrnrqd’avèc TOrret"
Que notre devise soit: Tra'VhilleY pOfi^r'^
Christ et pàr Christ. Aussi tongtemps
que nous regardons aux hommes ou
,^,noiis., nous ^orameSj sujets au^ déç'çhràgèrnent, majS qüapq npu's a¿íS,^,ons p.bur. Cnrist j. n^iré tèiiVâir éSt
u|qs, fiicile¡et' plus dohhe
,de meiUelifjé, réstilt^is.'^ Que noife. Iràvàil soit par Chii'st j n6|n par
force, mais par sâ'foVce, de sorte
que nous puissions dire avec l’apÔtrè':
S<y plilssàrjce: s’'acéb'ihfyfU' dans l’infirhiité. ‘ ‘ ‘ ‘ '
Ministres, aricîéhs,' diacres, fidèÎbs,
Tehdns le i’égâi’d fibtë sur CHHsf, tîôWipYdt‘ hui; nous H’ehlendébhS'^lus
le’rnügi|Ssemétit des vëgués , libUs ne
vdrro,ns' jiUis qué lë’Sei^néÜé, el àfbfs,
noiiS ,ïü’i'di'rbnSy eh l’àdbhànVi'Tli: es
Vë'rita'hlèrïïènt Je Fils de' Diôü. k ' ~
Cë' diseô'iirS' éS'ÎiiàùiVi d‘uh bhdiil' 'et
'dhine prière.
'Ul, H'.'i ¡(lii'.i.ii
-I l'”i l'i .ut; , -Il Min - '.(I
-il'.' M.i.il , .,i'i Ii: .;i| ;.i. ;i .
- , /Apres, la lecture du ,procès vephal
vde la sessipq précédente, Mr. Henri
iMeUlf. Jil s;on, rappdrt sur 'lei,sujet
< difséniimiîon] de& publi
cations rçliÿieuseh Ça discussion,a lieu
sur, ,|eS:;points suiyants :. ;.’.■dó-',
i> 1“ Bihliolhèquesiipnroissialesv L’assemblée, après, quelques iifcammuèi¡caiions suri nps-bihliiilhèques, adopte
U.prppqsiljQR de ¡námrnep une¡|Cqra( nijásion qui ,serait,ch,argéede prqpdré
des informalipn'si sur Pétat de no? hi
hUothèques, et de chercher”à leur
iriôrfBër Une vie nouvelle, Mr. David
Péyrot pasteur, et Joseph Long inslituteuf sont invités à faire partie de
bette commission, dont les autres
membres seront nommés par lés cdhférences du Vàl Pérouse et du Val
St. Martin. i.
2° Circulation des journaux. L’As's'dmBlée s’occupe tout particuliérernent
du Témoin, auquel il faut procurer
un p^ifl grand notmlge d’abAnés, be
''‘ui ésipossible, nufmd il I a des
ersbr^es qui prentfint la leine 3e
1^1# i
les qui pren
fair# connaîtreV-ef* d^l^ recoiJB
ptns
’ trme' parowM iKiWMHiesoin, ponr
'étreüplu8cïB.firessant, au près etjiu
loin, d’avoir des nouvelles ou des fiots
de toutes les paroisses, et une collaboration plys,vqçi,qq.,,^
3° Recueil de cantiques. Qiielquesüiiéè de hôi *ptiédisSéé 'é'èhtéril, fe besoiV d‘ avoir hh recuëil'i pobr i'èls
rêUttibhs’'fa'mlHêl‘es. 'Après ' 'q<it?D|iïès
échnhgbs de vués bitruiin <lel ''isdjet,
l’assemblée finit par* 'reconrmahder
aux pasteurs et aux régents de'jfàièe
un choix d’une vingtaine de cantiques
à envoyer à Mr. IL Bosio, moderaÎéiii-'Üldjblijt J^fiH
la Table poui^ie à une nouvelle
édilipn du Choip de :Cantigues. pour
lès ' ¿holes' du DmhhéHè, béCuëjl ” qtii
’bounb' huâM 'yèiiVir'bhsl èëp
•'hlbns..'■i /m.f
I ' " . i lli; , l’i I 11,1; / Il i;
lit. il,V I'-IUliU'Mi i. l-î.
I / .h .9ssem%fi ,dù, ISipojii .ipfqçhqin,
se tiendra,»,.V,.,, deqi,„1». I
jde^Rotq. j/ 'nef ui'*'
La prochaine conférence aw'anilieu
if, Bobi,j ,Çe sqjel ,à,,trtli,te|ifp, çeçaÿ Les
càléchqmènés;; ie,qrj,|P|’§para[i'(jji ^u
iCatêchùm'èqâÇ,; i leijiip ,aç^fni^(flp^, ¡^i
lèprs première?,,.ahhees çomqiqinénibree,,de i:é,gh>e.,,„„
II iMr. B. Gardimlupasteuri àil^obii,! est
iHo mm é I iprfei dent I l'dei la c ■ epbfbfertce
ipour J’année 4888r89i). ' l'.i in
La eéanoe'est cloéeupar iilè chant
eiulauprièrèJi' ”'1 im>l f>U:;i jr;nD.UM'.
■iir.li ii'oi.
," i l'.iî; i:(.
L:vk : I
l.|
)■! 'ir.i(
Miiliii. 1 -nn/iiiii
l'V
_______________i
3
107.
Questions et Riéppia^ep¡„,j,
-t*-:+rtr • .ím',-' . r>l ■ lu
Question. — €oiiiheM\i''èÊf^hé'''âe>
A’o¿ a-t-elle pu conteúff'
ópmrne non univeiláel, s’appuie sur
1(1
Malgré cela, si Ton ¿’en [íj^pt¡ ,^,ux,
calculs, (même exagjérfeVlrfâï.^fiVjinïs
qui comptent 1658 especes ué rnammil'êres, OiKX^lespèces d’oiseaux, 650
de reptiles et 550.000 d’insectes, il
est évident que la difficulté indiquée
Rllft(;«iPif«iiluiéíO)e-iViáíp)idP iqq/pq it«>i}tip-. le,Tidé|ugp,
rotais^,1^’jJ i’e^pétendu seqkfrtdjiilr. aws/pap^jpqi.lq rpce, hp|[fla.(^e
•éiii^t jp5ifPveime>.pLeiftpmbreioQS. pspqçps
4bnwit»}eq (?ftuv,é#3f d^m^Jiirchp-ig,#
âir«,i .ainîi'» 4oo$ii|.4'i4>iertt^'îé .
llflC&nO J‘.< •JlHt'u.MlO ••id'i/liuu
¡;j,,,. ntT
(et pour les bêles pures',-sentì de'fób-d
lesi-'trnn'p n mr-fl
riture pendant pJ^ViS'4'un^ !
Réponse. — Les "dimiens'iòiif^ dë'
l'arche étaient foR'■^ltìrid‘éL''’Oh"'tì'
calculé qu’elles se rapprijotistteiil d«
celles du plus grand vaisseau teiodernie,
le Great Eastern; qu’elle pouvaiiticoni
tenir autant queiiiSOiHivaisSeuiiK'ndiei
gmei-re avef:,,;l.('0a hppwç^^
des vivres pou-r geqXj .ôq (pois’a(is,
des canons et des,bô,q)‘çis. ' .............
'.'I iiiil riusi) tiOi;ii;ul r;
•‘jm'sl ;il <ni,t) iiur.iu ;,1
-<;q 'ir^orn i;> li.u.ib •
1) 'ii'ii'iil -i|_i
• AIO/
in
i';b Ui^fiirbi'blique> le but
ifc,#ai!f,;.çp fiflYppnl (e,,4éliige était
de pelruire la race Aîtmtiiuc corrombuél‘’,ir sxiffis/i'ît' '(îes ■IHit que les pays
habifé’s 'ptir' rhom’fhe "fussent sub
'Les l^rnife's ie»’'ée''ét’fouie ia ierre
'orïludanB lituBibi-eiiiet-i'.dans le récit
' rnêtnë idufldélugei t'in sieïi'sl très élaslinquer Ix^npleii-« La-colontbe ne trouva
adminlion! pour laIplante fcîe son pied..
çiir,5j.;y avfp'l eaqy.à 'îi surface
,d'q,,i^ui^Jçrfç,»,. Nfté regarda,
®i Vçipi,vla'.surr^p terre avait
,,seçM ‘Î^j fif cplpm^^ ,,'iji les yeux
^9é,i flîQgt liMl le tour du globe
entier.
3, Les moyens dont Dieu s’est servi
pour submei'ger la terre portent à
croire que le déluge a été local. Avec
la pjttie du ciel, ce sont les eaux du
gr/^ WII\,d:^Mê3ÎldfVWliÿ jner,
qui ont couvert la terre. La croûte
irénestr^ à donendû’ s’^aLftlsfipi' ¡ipour
q«4.1ai mer précipim ^pr
-sécbô. ÎMifOn^7‘]tïqii§,;Crpir,Ç; qoevOfRÎ'
Ijiii., bciu}ayi0Csq,i,ainsi,î4j|uty,;lp g^y,
I m ênie IJ (v où ili in ’ y I, ap r ai 11 -qu,, a H fi P q e
■ JPtéceSÇi lé»?'i )!p'■ ; i lui îd : ? 1 ¡; jf J | y î'0>
=,3ï=pTffip^,, ..il .■i;r,i
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le,..'.,.;
I.
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.■AU.liUêiiv. '.‘A 'vO)‘,(! , \'i‘Vvi I
" ■ U'y •■.■‘.•■Vi '.'U
eiild^''*' - ''dur.)
ore
III nr. .1 î)
■!ll ‘ 'oa I t-l:(;itÌ7
I i111 )i t ' ' 'r * ( I ' i J -1 ' w I
, ,. .iijMi'Ç. ;WifiHil.JÇi<yipns,,^,iloi, ne ferme pas
•H;A»îii!ÇriÎiiP>Jî) mnlflei^t;^f|x qui l’invoque, et ib ci-ainl.
■ li .Jl(^;icqipr me .qjfi. mu iconsckoen-èveiJI^,
• ;i(>. Vimj. iÊd'iiupRlqft'Àc,q(jirqeni3.^^u pédië-qui tW’élqeiniî-Mi . (),i •;
-Al tiVi;-))/ ruAPu i^5iÿ' tu le lié- l’inyBh38ihle‘'hiYdt’êi%i "i"'l '>fid‘|
El Tu vois les eftbrlSMii^élM chai/W^j'ôtJÎi'^ -l'-'i/rd uli
.-mTiO D’une âme qui ne veut tleui'drV(ju'(i •‘rq Turiiîêlie V'!'" ’ ''' ‘’ ''O"/
D’un cœur qui pour aimer ^bà't''ttfÛ',WlëètéA'flhiôdfJ'; ''M-b incq
, ^ ; . ...■ - " -.''!i''it-Ml-i-i ;..li ti-'il ni;
'! >:u('Ui:iipejil(-.je|fatW)i$, i3e.tombe,,,,hdlas,l.-el .tqtil# ,CfJ,o?qi[.,/| .,q
t Mî«pl)nli!ilar4e»«.- trop.jlourd. Qhsqob, é9.n , : !
1!'))I
III;-lu SeigneUBÎiiDansimoti ¡âésipri fais rejae,wi|ALi},ros¿!(,,j,.,v,
!'J oIj iiiclMiAeî lïi'ots j,^ign0tjf>,,|;e.,i;aini,eii Angn?pfli,en-qtpi fdl]n-, .a
.IÍ .Íí 'unuf 'i.l'IJlIl'lM ;tb "'lit y,;,,!,
u.ihiU) ),!. "Ot -gl 'Biitfianifei-el 'Í'IL '"ii-r -.il
mit iruPm-fi M. ra;p>:,,!!
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llîli!
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4
108.
FWV wwws«w>/v^>>*>/vs ■ ••
Du sein'‘ de’riïi'flni sôii pardon ■/i'.iî;-">;iy
Du péchepi; qid LMhyoîjue a'^ec foi, sans femlise,
Quand lés’aiiges' eri' choeiir'célèbien't, dans ie, cisel ./liir-. 'tn
Le retour d*un proscrit ^ans la terre promise^ , . . , 7
Dieu liii-même jouit (i’ùrt bonheur éternel! ' i > ,u , [ !
Lui, devant gui mille ans sont comme un jour qui passe.
Lui, que les cieux des cieux ne peuvent contenir '
S’incline avec amour sur. l’âme triste et lasse
Dont les cuisants remords prouvent le repènlir., ,
L’exaucement snrvienlv rosée printanière; I *
L’âme éclol, refleurit et la suave odeur - , '
De la vie en Jésus rembaume tout entière
Même dans la plus sombre et mortelle doul€ur;(M)
Ceci, mes chers lecteurs, on peut le dire ep prosé
Et bien mieux. J’en suis sûr. Paidonnez*moi,iii j’ôsie
Mettre en vers un verset d’un prophète pùiSràni :' “' u ; '
La solitude et le désert, en jouissant,' ’ /’
Fleuriront, fleuriront, comme fleurit la rosé.' ^ ’n > <,
Müan , 18S8.
P; L:' . i-!i(
MO;
■ ^
t. -(Î'> !(/Î
I i){) 'iii iu; I
■‘•'i !-ii
tí
ÍÍÍ-! M. -'ÍÍI' :
JJ, '■íViíí.'
'.'f 1- y i /
la Vallée de Tragela en 17i4 '
' An manuscrit iniitulé flstot des
Eglises etc. nous faisons suivre deux
procès verbaux se rapportant également aux Eglises du Pragela et à
l’année 1714. Tons deux existent' en
original à la Dibiiolhèque de la ville
de Pignerol. Chacun de ces documents
porte pour litre :
Verbal contre tes habitants dirltettde Fourrières gui se sont assemblés
contre les ordres,
L 'M.l, ,||-’ ! ;r
« L’an mil-sept-^cent-qualorze et le
vingt-trois novembre par devait nous,
Jean Pierre Pillit procureur au Sénaf
de Savoye, Juge, et Châtelain de la
Vallée de Ciuson pour S. M, a comparu dans nostre maison d’habitation
au lieu de Féneslrelles R“* Jean Frim
Curé de Fourrières lequel 'après avoir
presté serment manus ad peclus, ecelesiasticorum more, dit et déclare que
dans le earlier du dit Fourrières il y '
a deux tiers des liabitans, les trois
fesanls le tout, qui professent la Religion P. R. et déclare comme dessus
3ne le liuiiième du courant tons les
its Protestants qui sè sont trouvés dans
■il’
h
le lieu se sont assemblés dans la niffi'36n
de Daniel ChaMier Cadet feu Jêan'edviron les trois bénre^ après Wifli''et
quelques Uhs d’içeux Ont dîVaasdéposanr que’ l’èn’ leur avait drdoitné
un jeûne lui disant que e’estôil-pour
rendre' |râçe>'iàî' Dieu du retounde
deux qui aVoîent'estés eiiléz, lesidimanches suivants onzième et dixhuit
du courant ils se sont tous assemblés
dans la susdite maison deux fois le
jbiir sçavoir le malin dans le temps
que le déposant disait sa messe paroissiale, et le soir â une heure de
jour et on ' châdrë à 'biâute voix ; c’est
tbui Ce ’qu*îl 'afférmé"|>ar serment
'cdttirae dessus,''ën ’fdy lfle quoy il a
sîgnë' ie présent'les an" ¿1 jour susdits. -- JeaiN; PftiW r.^uré susdit de
Fourrières. - ■./ n'i'
I.T
PiTTIT.
:fll S,:
.-v* injl, n>:>!
L’an miDsèpt-cent-quatorze et le
vingt-deux décembre paF devant nous
Jean Pierre! PÎltit Procureur au Sénat
de Savoyeg Juge et î Châtelain de la
Vallée de Pragelas pour S. M. certifions à tous ceux à qpi la connaissance! abparlidridrà que le susdit jour
dans hdlre màiébn d’^habitalion au lieji}^
de FénèstrelÎes à‘ eomiparu Thomas
5
. )Mk K X r. B, >\>, K rv
i09.
Louriens du lieir de Pourrières â^é
d’eti^iron 'vingl^six ans , labonreiu*'de
prote^sioïi !é tjiiel^api*é6f avoir prestê
serménl siir les Saintes Ecrilures de
Dieu entre nos mains louchés préalablement avertis des peines portées
contre les faux tesmoins dit et dé
ff
Je me suis trouvé il y a environ un
mois dans le village de Pourrières it
la rue proche dp la maison de Pierre
Cadet et parlant avec le dit Pierre de
choses rndiférenieSy il me dit je me
suis trouvé à la Duasi à l’occasion de
renterremenl de Jacob Perron et l’assemblée'a esté fort nombreuse et je
crois que nous estions plus de cent
cinquante personnesi Ils'ont parlé de
faire une députation pour envoyer en
Suisseiafin de solliciter pour obtenir
l’exércice libre de leur religion. La
pluspart des chefs voulant sçavoir
absolument ià quel prix que ce soit
s’ils pourront yi'réussir, à quel effcot
lesi principaux priérenl le médecin
Perron de vouloir agréer d’eslre leur
député-, lequel s’en excusa et ensuite
ils idéputèrenl * lo nomméi Â>ntboine
Bopret de FéneslréHes et je crois qu’il
partira'bientost. Voilà ce que m’a-dit
le dit Pierre Cadet qui est frère de
Dahiél Cadet Chanier qui a esté eonSkI il y ai trois ans c’est tout ce que
jë déclaré et a fait sa marque pour
ne'xavoir escrire dé ce enquis.
De plus je déclaré cOrn-me dessus
qu’à Pourrières les Assemblées se continuent comme 'auparavant.
'i','j/qrgue'^ tÎè THdïiAs'LÀiiREiljs dèposant. , . ' ' , ■ ;
Entre mari et femme
■ ^ ' î ' ■ » '' ■ ! ,
Nous savioriS par la Parole de Dieu
(Gautes y.,'19 à 22) ,que les’sécles
sont une ôeüvre de là chair, tout
comme l’adulièrè, l’impudicÎféV l’idolâtrie, rivrognerie ët les choses semblables’ à celles*1à. Nous avions craint
que plus dîune secte ne diM son origine à l’orgueil, 'à l’esprit de vén
geance ou là l’intérêt matériel.'Nous
tenions- de très ¡ bonne -souiicei que
l’évêque dei Pignerol se réjouissait eu
voyant surgir une après, ¡l’autre ta,nt
de sectes dans nos Vallées. Mais-noos
étions loin de croire à qpelidegré
l'esprit sectaire pbusse à la division,
à raffaiblissementv ad menu -fractionnement et 'Combien il éloigne de
Christ et de la religion pure et sans
tache qui consiste à visiter les veuves
et les orphelins dans leurs afflictions
et à se préserver de la souillure du
monde. (Jacq. i. 27). , n
V011.S allez en juger par le- trait
suiv.snl que nous tenons d’une personne digne de considération et très
bien informée.
Deux amis se rencontrent et nous
les appelons B. et G. pour ne'^poinl
faire de personnalités.
-- Où en sommes-nous, Monsieur
G.? dit B. en l'accostartl; j’ai appris
que vous avez abandonné l’église qui
vous a inslniit, élevé, et noilrri jusqu’à vous procurer la position que
vous occupez parmi vos semblables.
Où en êtes-vous? ,
— Ne me taxez pas d’ingratitude
si vous voulez que je- m’enlrelienne
avec vous et je vous dirai que je suis
d’abord passé à l’Egli.se Lihrequej’ni
cru devoir quitter pour des raisons
que je ne tiens pas à publiéri* et que
vous devinez; facilement. 1 r-M>, j-.i
—¡ Màis/où en éles-'-voas? i -.' • !
— Je suis passé chez les Baptisles
que j’ai aussi laissés parce-quë jé ne
crois pas que l’on puisse refuser le
baptême aux enfants pendant que le
Seigneur l’a établi pour toutes lés
créatures.
TT .Mais - enc,ore. où en êtes vous
maintenant?
— Je suis passé aux Plymoulhisles
autrement dits .Darbistes,,.,jpais je
n’en suis plus là', sachant de lâ^Bible
qu’il n’y a point ici-bas de justes,
non pas même un seul, donc pas assez
nour former une église pure qui ait
le droit de regarder les autres de
haut'en bas. i, j,
— Vous avez donc bien prbmené
d’une église'à l’autre; mais àlaquelle
vous êtes-vous arrêté? i" : .’h -
6
í-^^J’aiitáté dii conditibfíalisme mais;
jeijl’ai bientôt abandonné \iu quülse
iialtachei nu pa^dniismei'bl.’ !neMméi:i\i3
pas! d’êU’6 !ra«{?é(panni ilesiidéosomit
na-lionsi líhrétíéhnbsj n : i : i.
■■ ■ • ' 'íJ. : Mi-Hi'.
.ii-H-iJlài ivoulu salfsFaire: iina icuno-f
sité) -TObstsaveE ibieiï qne |’oti!iií»'íí un
píen,.íiet^«ó¡r'aussi les salutistes:; ;'» i
Ñe saqe&voug. pas qii’ii y n ün
enibp'ponn-les: ciit'ieuxi?' - i,!¡i mi' i;t
'í'-K-: .líüssii j'’'a'i déjà reçu nia punition
el.i je:n!'Mn suisl plus, ne crqyanl pits
qu’on puisse expbser l,!Evíiñ{íilaH.aM
rirtteulfc, mi dotinei' pour floriA-enfvion
r;e>'qiH(!mi>serail)iqn’une smexcitàlion
nerveusej voiis (laissant crUirCiique
vous louche/ au ciel lorsqueda sandit'ÎiealionifdiimcaïfH' n’a ¡pas marblic
du pain avec renlbouâiasme a^q rnornenl. . ■•îi...u.î,■ .-.q ■; ■ •
VOUS'':iio- tw’avoz (¡pas! encore
dtlpp. qiteille: déiiomiaaSiffin l'élijjiduSe
.vqu9'wittúá raltnbheïiiaatuellenienl<uj' ^
r-t-i 1 Mai liten iinlijè raseeseliez raoi-./ |
UH—iiMiais •'tilods quK ■']ailcsT(vo'US"ide
l’oi'diieitqüe A'ousudoinpcx'lqi' Biblentle
ne point abandonnëpiks-asfiàmibtéôsS
hi4+iJe/Kii'is f'ali”ué'.de .eiirculer, et
Í‘«iiiif«i6<v'omi (1 iaice . le culte à la
nuHS«ri'-aqeciraaifemmei,|jusqtj’à' .l’aiutife,
jópiiíioiú.'jjI;-! é ''--iq hu'uir'U !
••iloH+i;'fenc<9)l’e?ui)ii nit ii.w'.ii nii !
' U11 i-f J Vfl i 1 îi ',11 fnp n t Í ,1^’ on t en d OH s ■ f a-s u^e :
la même manièiie, linal femnve>Bl mot,
le verset'A^'jdu 'OhapilueiVti?,Mu livre
Idhjt çtibtorsvcliiaciiinide-nous liiil son ;
■cultjç'àijpartv'ldKhs iSil chambi’éf >;iu i
•U +H.iiO’'esl donciJiiiisquesdà qqe ,l’es ;
priliijïoclalrie ¡yoùsii tiu condu'ilsitit.Q.ulei
DieaiJaiil i piiié'iieiMôiwsi eti.VioufiiiiaiO^ièifte j
dans le bon ciiemin! .-o udi.-n i I
'iiüv <-jiú !i'.> útE,,,BíKítí.)gT-.p'Eléieur. j
if.()eiilltmiu/rT'/ii!; •('X.ti '¡U', ul. - ■ !
''!■ ,.";‘E&pèi^àüè‘è’*p?iï*’'FC!lïi^ |
■'laulTl 'fl) - u ; il', n !
'l’ISrU! ull ■•lut-i'TTTuinil r, ,'■¡1 ¡j'iqi |
mUn'lsii|vaiït,i,v.oyatïcm' aitwuyc! dausi
île MOjisitiftg,^ de|. the$i5ialpniquç’:deiix;
.eei’çueils; qu’pn, viuftaât. id’ejihttmqr -.çt^
qui avaient été enterrés 1,’aincailidei-j
!fjHÎiide,jrfluf,ire;i,il[in(éi;ieuri!.provenait
4ieSil|emptS;ainl,4rieui|Ç.0Ti ebristiimiïmp’,i
le supérieur de'llépi»qnei.cbiié.tie)i,i)e.
Sun la pr.pmmr.'îe trp^^qier^ffpe^,^)[\ç^^sf
«iDans Ila ,mprt„,pftiipi ]d,’espé.n#iv;p.! 8
Sur le- second,\ceâ,bp||e? parjçij,ifSylM’Mf
dft l’EyaflgiJp 5eil,oir)^v..je!)n; ((.Îq.H’l?
L4..\RçsuvneaiQn e,t, j? Jtlfi »fjdn u'.itl
'il lih 'lii'f.n ',1
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5¿i;lí 'rill fit.
; !d, ddfiipÊml Ribàrd
iGan,ge?>
. be;compteriiendti'ide tailflftniiéi’Æoiîe
des ..Eglises' ; Libres 1 du Su'll-,E,«li CQii'
le ri 11 ; dans le lu (i méio. id e. lYOlre qiOiUAnt) 1
dp i16 couj anl .ylüiiiiiie qu.’àr.FriM»,Wf
salutiime ,(t f.nlevé,^u&lqms fwpsmiwns.
Ja préside .lalf’éuniûnidfi.i(’égii#âi|ibre
;de iGnnges loiijs (iJe$i,jdifi3flnc!Îies., qB<!
fü i s dep U i Si PIU s i e uns. a n né I i m ¡ii’ai
.dèmandéüÎMmies, auditettis habiloMsi.
les. imemhreS'de Héglise, »s’ilpiftsaiflqi
ieonnaissTanpe ■ qi^e l-qi')'.ieljqU(U(luidftii?.SWi
;6uti ifûli r fi ov e rm sa.i u Üs6ci„ .Rp. jtvql {pus
tré.pâftUu i(u’ilp,ne :qommiÉjsaida^ peiîsorinepquii iâtVidanSi.ceucn&.ieiiiir, PPi'le
ocoa aie a d e ur >Q P i nie B stiii'i i«i splitAif pfiie
s’est' nianifeatée;. .Ji’aii,ipHi;ie«tiBUitpi'
îqujils. ni6 spnl nUllemiuit'l prêt» igoie
likvfini l'jii [eS'-.bia;flnievi0S;.ipl>))lii.tiBî int^a
•soumission. mjJkainé.ieîiigéedqniiBeiJie
-eomrtïUHioniiiietiigkMaÉit pal*. iep,i(fiji»fs
■iéfniniBs.i ; qui I Iîyh cemwaijdeat lies
;ebjO)queqliifQi'temQBit!, lOip. iliniiiidil
que laiiplijparl des peiisfinn^idOvlGangies'qui,sont .allées .dans bestr^wions
y , rendrdMmaigmgi iQtU,i'qt)fl|tdonnées.. Qwe/,eei)toinep, piensqiiiioedid'î
la ville, de iGangés,.suivent les .réunions'Skiul^stéé,''(l’e^' ^bss'iiiè')* un
so,|^^'^q)|ve toujours un plus 'OTÎ"l|‘i!ii
LtiCamë)s QmttnhlnimiitiMal des
Unions Chrétiennes de Jeunes gens an
W""'
iqpale .des ünjionç ,ifnreliemjés
i.qumv,
in .Si un„fa>sçpa,u Pj9sspdç,pjnp dp flÇ.pl
!,Unions, son CpnpiéiîaMo.Pê|adq,an«i
de. ge l'allie riepréseniqni,pai:,,dijc 4fi ^
gués;,i,s’U .¡possède ¡.HiiÇiqs'Ide gçnt
7
™iu
mi
CbThlfô W (Jírá dé fcníq.
Chaque pays a dfoit à un délégué
1, U,^’^pi,’qseqi^qt au. .Comité'deni,raj
lolérnalional esl dé droil d'élégu|i‘â
■•^ijppp%epeç,,■,, ' ■'
i4wt.,jp, hqtuhre „est, fixq
le rgg|çme(T,(, bi^ d'autres.àrtijs pren?FP'î’es..,4i°‘ .l^'.'Cópíc
rence, mais' avec "vou cohsiülíUjVé
seulement. Il esl désirable, en èflet;
en vue même de-Çaction à exercer
en Suède, que lé nombre des memdirasidq la ConiéreacemeiliMi-dmdehors
.sdit'iàiiigsi. élevié -qiuë p<i6sibte.‘)U'n. CK>i'diat aciuail desn Ifrèbesvcdu , Comifé
suédois d’invilat'ion'èslî^aranti à toui.
Nous notons dans le programme
les sujets suivants;
« Que dit la Bible aux jeunes hom)m'dé'<ndli'd<‘épômë? / travhrf'lervrfhlj''d’Wtr.oldrieti6Á aií'^hjtíP;.
sídht' lés ■ rtydtbhi‘'ëlnèTé^^ë''’p'à^' l'èk
Úní'óÍ!ls'GIméiiénné.^'’()Oitr'fó''dév%tbd'*bi£f'mbfil;i's[llliîtiièl dé'fei'irs rhdWbi"è's
aétift''tít''lá ébftVersirjh tfés ièüliës 'géWs
'¿IJtt’éfy'làoftt lé!i’i(J)o^eÎi'à*'értïb18Vè;
'Jiai“'|es tíivfersdá’'ürtiébS' Chrêtreh'h'es
'riblié*'* lèl 'dévélbp'p’ètrièril ’rtSot'nl" ' dds
' èu,flfesi^enà? (LyU'e'óÓrtÉré Î’ithpiW’élé,
• *lHiÉbd]pér;ii1fc^,‘''|leë' m<Viîvâ‘r$ëè 'lléc
’ ■' •• l'f
« De la créalïbH‘bt'de’l'6r^anislàti6n
d’Unions Chrétiennes. Les divers types
d’Unions».
tQuell¿ld</Mlf% itCvyMliibl e source
de la vie dans lesünionsChrétiennes?»
Les ‘Sujets11süivaMts! ■ seront ti-aités
aü>!,seiri de Commission^.'spécialéfe ;
1. «Les UnioiBs ChiiélientiftsJ eiqle
..apiejalisme: Le vrai et fe fauss socialisme; comment pouvons-nous aider
au développfenrveni dh premier et contribuer à arrêter les progrès du secdha-? i'f' '• ’j.-r I
2. « L’œuvre des Unions Chrél iennes
en pays non protestants».
3 «Les divers moyens employés
par tes Unions Chrétiennes pour le
développement physique des jeunes
gens».
' &n eonpohrs i sur iés funestes Gonsé<qiSiéit'ces de la vie de café,utéaieh, ¡été,,
est olvverl,-pàr la nSoeiêlé génevoide
pOUUla sabcliíicdttón du !d¡io3a.nfihé.
il s’agit de démbntreri par!,des, faits
ou. auiremetUi eindaos uni.siyle./popojaireiu les triste? fi.ffels.ide ¡(a .fréquenlalioiiides: débris ¡de boissons,fl,lcooJiques dans;¡los^ joufs ouvrables et
principalement l.e,dimaiiieb,0.), ioul.,en
mentionnant brièvement les bienfaits
du jour du repos chrétiennement employé. — Le, RxJ,q dpvra fournir de
20 à 30 pâgés o’Ttti^'éssion. Un prix
de 250 fr. sera olïerl au meilleur Ira..y.îtjL. .Ces.jmaahsçpits, ,de,Vt'o,n L^rçj remué 'li, lîi.ficlobi:?! PO ,PÎl|f.t3Fd,
.'IrMl X|elUi?,|Sqcrétaite..,de la,;soiCie|e,
,1,9»,. riuei..Çq ^4q! lO; 'f!, .QqnèyÇp, ,, •< i ¡ /¡
.,'0' ,r,/,j 'liJttil'. 'Ki (!K
ni-i 'nu'l'ii,'
H Un monument i,m gmef¡al
iwie ndi 14’iêtji.’e ¡ é.lpi¡p ,<à, iLop d rc?( [à ap.s, • k
oalhé4và4p,i4e Sbl Ôaul.i,,_.L’è|)i^p|iio
iv,aîif,t! .ia‘ peine id’être siigbajee.;,! la'¡y|Ojci
en. partie« t jn .un
K AU'MaJOROÉMÉRALîGhARLES: G.- GojiÉON, qui cen tout temps et par« tous
de?- moyens ándonilé ises fqroee poqr
ilestfaiwlee, sornargeAt pqun iesfipauV r esl, 8 a !?y m pà't h i Q ■ po U r. 1 e s .sowffriun f s,
son mür à Dieu. Né à Woolw'ichu-'.'le
28 janvier 1833, assassiné à Khartoum,
le 26 janvier 1885 ».
Hfircl
(« ^ Jiô IJ UJJ.l clUL/UlJ J Cîpi ULlIÜ ü ff
üressiei* ' ad. sujet deS /dngi^àis pérdüs,
‘ si leurs ïiiWieri'sdjil bien'çtiii'étênhs,
s'ils ne perdé'ni; bits' üne ghiifié ‘ne
Ipuiih ,';'’a’éiiii Oè iyé^iW,,'4’lîifiii‘’‘de
satofi',’ d’eau grafesë', '''de l'êduré'ge,
pas de mauvaises herbes, pas do cendres, pas d’os, pas de chilfons de laine, pas de tannée, pas de bruyères,
pas de genêts, d’ajoncs, de cnru'res
de fossés, de jjoues de mares ou d’elang, de boues de rue, de plâtras;
s’ils tirent bien parti de leurs ani-
8
112
mnux morís, s’iís onl dépensé jus
3u’au bout toiUe la menue monnaie
ei leurs substances fertiiisanlesi...
îjés > en^ira i s ■ d e ila : ferme doi ven l ; pasr
scr avant ceux de l’industrie d. '
Nous lolirnons la iniestion aux asïriCuUeiirs'de nôs Vallées dont le but
doit *être aussi de nourrir copieusement* leur Ierre! pour pouvoir pro■duire abondamment.
Jff lxr a II i qti c ® niib a t
ViLLESÈCHE, ~ M. le-' pastent‘_''P.
Giraud vil renircf dans son ehàrnp dp
travail ordinaire à Siise et c’est ’H,,
le pasl, D. Pej,n-o( (Serre d’An'gVo^rte)
qui và lui succéder ‘teWpbrairetTtenl
a Villèséche pour, rebiplacer MV Mitol
dont la mission à , MaTsdrfle* doit' ’se
/iii| Il ;
-en ’iii'.
Pen&ées
*, 'IT n’y à qu’un moyen de rie pas
•déitester ceux qui nous font du niai
'Ct du loi'l, c’est de leur faire du bien;
on surmonte la colère par la douceur;
/si on ne les change pas, eux, par
celle victoire sur ses propres senlinierils\ on'se dompte soi-mêmé. Il
*n’est pas bon de s’indigner pour son
criimptie;'on ne doit .s’indigner que
'p6i(r''les grandes causes. Pourquoi
perrnellre à la malignité humaine de
nous aigrir. Om n’en finit pUs avec
les! récriminations ou les plaintes; le
iplii.s simple est de tout effacer. Il y
prolonger jusqu'à'ia fin d'u 'riïdii" dc
juifl. '' ' ' ' ■ i '
f. . . t. • . h- il ÎîV.•
‘•lis "ir,' C/r
PAEr,i—I Nous 3voris:m;u' pburda
veuve 'Barùs du: Liqsàrt fr. ôi'deiMr.
Ant. Ferfero de Turih et fr. 2 de
M. le past. El. Bonneli /
amn mal que l’homme n’est pas tenu
de punir; c’est celui dont il c.st vioilme. / Amiel.
La justice est à la cbarilé ce que
le tronc est à la cime. On peut concevoir un .^tba'e :saos'';èime, ou du
moins une'mnAe èatis' développement ;
on ne peut concevoir une cime san.si
l,ronc, iL|âme ay^nl d’ètre féçondée
par. J,i | rosée deVlfi grâce , peut . en
.èlrg resiée.,à l’idéé.,de ja justice, et
haleter sans, joie isojis raiguillon ,de
la,ilfli; mais Tâme qui |S’esl élevée à
la charité, bien join de renier (a jusjlioe. et’! le devoir, s’y ailache ,p:t, ,s’y
complaît d’avantage.
ViivÉ'r!
. '.UM ■ V
Biesi. --- A l’occasion de, la ; visite
récente du. doct, Prochpl ,en -Sicile,
le: baptême, fat administré, à ' Bi^si,
à uii jeune garçon de izjans qu,!, te
dema.nda liiirmême et qui après,¡son
baptême_ récita Mue, poésie. e^prjrt\a,ut
des sentiments de reconnaissance,,(de
eonséciation à Bien, et implorant le
secours.d® ®Vri . Esprit,.,.C^!te- ..peié®*^
publjée par prohable
ment la dernière qqi isoit,, sortie , de
I a pi U me d u re g relié p r o f.. liliçcp li n i,
vu qu’il la composa quelques, sema ine.s, avant s.ai.mprL,„
■n^TTT
.,î,îB0ubsî: stewarCÜm’‘
■, '!i'l'!¡!''.'>iKl ilU'TTri^.Mj fill.;: ''ii i i;j i.
En mémoire de Mr*Ile professeur 1
Eïienrie Maîan i;n.mu.i di fiv 20;^ilr.' l>anie^'Gáy■j^s{'ï)'ior,l ■ -i
pasleiVr, Aoste'.' . i
»'"lO,
•u dl
.’U ■ ■;
, si -I il , -|.i ( . li-, -, j: I ,1 , .1 . ..'i! , :
/'I ui ‘M, ■ . .....i 'n'I -Ml
■ fl' •■■■ !, Mi. . ^ m:' . -)M¡
■•'il III. j. . ..!| , .'i.. .(li li
■ fi'i ! ni'! 'Ml ,'i I .|iu(i li) ..II- •
'I''.; • I, 1 ¡-I, (, (,.,iii :r - ‘, M
(U.'i 1 , ¡<ift«.K8TiHpi»EB3!íiiti:«raí((, , in.
" !• ■ ir.^ ’'^‘-■'1 :"~,t "vmlr! !
Pignerol, lmp. Chianiore Æ Mascar.çlli.
M, mim; .1 - ‘
il'- 'J
Mlll'.l
1 -.jh/il
" ¡C TI ' iM'itj n•-■r , i.;i; i
• i(M /iii-i <■( ,v(j, , I
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